c'est aussi ce gars qui avait baisé James Dean en intime et en SM
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c'est aussi ce gars qui avait baisé James Dean en intime et en SM
ton fils peut descendre de la cuisse de Jupiter ou de tes prestigieux ancètres, , tel Ganymède, s'il est attiré par les garçons aucun curé n'y pourra rien Amen
CASTING :
Réalisateur Jean
Delannoy
Acteurs et actrices :
Francis Lacombrade : Georges de Sarre
Alexandre Motier : Didier Haudepin
:
Michel Bouquet : le Père de
Trennes
Louis Seigner : le Père
Lauzon
Lucien Nat le Père supérieur
Gérard Chambre : André
Ferron
Henri Coutet : l'employé de
l'institution
François Leccia : Lucien Rouvière
Dominique Maurin : Marc de Blajean
Le père enseignant Bernard Musson
Georges de Sarre, ( Francis Lacombrade dans le film) imbu de sa particule et de son apparence, entre en 4e dans un collège jésuite du Languedoc. La moitié de l’énergie des Pères est consacrée à instruire, l’autre moitié à faire une chasse implacable aux « amitiés particulières ». L’obsession des Pères pour la pédérastie va de pair, bien entendu, avec l'homosexualité latente de certains ados, dont une bonne partie sont fascinés par l’interdit, au point qu’ils ne peuvent pas vivre une amitié innocemment, et que toute amitié a priori « innocente » est inexorablement poussée sur le registre homoérotique, par la suspicion pathologique des Pères ! Georges s’attache bien vite à Lucien Rouvère, ( François Leccia dans le film), son voisin de chambrée (« Sa piété était gaie », p. 23) ce qui entraîne une jalousie pour André Ferron, ( Gérard Chambre dans le film), ami de "sang" de Lucien, comme le lui révèle, croyant bien faire, Marc de Blajean, ado aristo hétéro, qui utilise le mot « prosélytisme » (p. 28). Plus ou moins de sang froid, Georges dénonce et fait exclure André, mais sans bénéfice, puisque Lucien tombe dans une crise mystique, et que de son côté, Georges s’amourache d’Alexandre, son cadet de la division des 5e. La folie des Pères offre aux ados l’occasion de tester leur ferveur, puisque ceux-ci font tout pour empêcher les relations inter-divisions. Georges lie un commerce fort chaste avec Alexandre. Les deux garçons font le pacte du sang et s’entraînent vers l’excellence scolaire. Un nouveau surveillant, le Père de Trennes, se révèle pédéraste, et fait peser de trop près un désir pollué par son pouvoir sur Georges et Lucien, dont il a deviné les secrets. Malgré tous leurs soins à se dissimuler, Georges et Alexandre finissent par se faire pincer par le Père Lauzon, confesseur de Georges, qui, par son implacable acharnement à empêcher cette passion adolescente, engendrera un drame :
il rencontre Alexandre, élève des petites classes âgé de 12 ans et il en tombe amoureux.
Malgré leur discrétion, leur relation est découverte d'abord par le père de Trennes, que Georges réussit à faire renvoyer en dévoilant que lui-même invite des garçons à boire et à fumer dans sa chambre la nuit. Cependant, au troisième trimestre, le père Lauzon découvre le pot-aux-roses, et force Georges à rendre à Alexandre toutes les lettres d'amour qu'il a reçues de lui. Alexandre refuse cependant de remettre au père Lauzon les lettres d'amour de Georges et, dans le train qui le ramène chez lui, les déchire et les jette par la fenêtre, avant de se jeter lui-même du train en marche.
Georges regrette alors encore plus d'avoir rendu ces lettres, d'autant qu'il a essayé de faire savoir à Alexandre dans une nouvelle lettre qu'il n'avait agi que sous la contrainte. Avant l'enterrement, le père Lauzon, qui l'a obligé à rendre les lettres, lui rend visite et nie maintenant que la mort d'Alexandre ait quoi que ce soit à voir avec la fin forcée de leur relation. Georges lui remet la lettre qu'il avait écrite, lui dévoilant ses projets de revoir Alexandre pendant l'été.
Le metteur en scène Delannoy présente l'adaptation cinématographique du roman par les mots suivants :
Jean Delannoy laisse ouverte la question de savoir jusqu'où allaient les sentiments de Georges et d'Alexandre. .
NOTES•Comme il le raconte lui-même, c’est parmi les figurants de ce film que Roger Peyrefitte rencontra Alain-Philippe Malagnac, alors âgé de 12 ans et demi. Il entretiendra une longue relation
avec lui et cela sera le sujet de plusieurs livres qu’il écrira par la suite[3].
•Le film représentera la France au Festival de Venise en 1965.
•Le 29 octobre 1974, le film sert d'introduction à un débat de l'émission Les Dossiers de l'écran de la chaîne Antenne 2 sur le thème « Des amitiés particulières aux amours interdits ». C'est une
des premières fois que ce sujet est présenté à une heure de grande écoute à la télévision française.
sous le feu des projos et du regard brûlant des spectateurs
tandis que dans la back-room du bar gay ...
on est moins pudique !
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