PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét

Jeudi 8 septembre 4 08 /09 /Sep 06:56

  témoignages sur Doctissimo (le Forum)   

les garçons aussi se font violer…

  bonjour. Je suis comme vous les filles violées à la différence, je suis un garçon et je n'ai rien dit. Mais la souffrance est la même.

 

Ca a commencé mal, ma mère m'a eu à la suite d'un viol. Elle m'a élevé seule, mais on la montrait du doigt, et on la jugeait. On se moquait de moi. Les enfants, parce que leurs parents parlaient de nous à table. Vous savez, tout se sait dans un petit village…J'étais renfermé, timide, je ne me plaignais jamais quand on m'ennuyait, de peur des moqueries. J'étais souvent seul à l'école, enfant et adolescent.

Ma mère n'a jamais déménagé, même si je la suppliais de partir. Elle travaillait beaucoup pour que je ne manque de rien, mais elle n'avait pas les moyens de partir.

Je n'avais pas beaucoup d'amis. Les filles se moquaient de moi, le timide, le rebut de la société, le "sans famille", on m'appelait même Rémi. Les garçons me traitaient de lopette, de peureux, de folle. Je n'étais pas gay, mais mon attitude le faisait penser. Et surtout que mon seul ami, était un gay.

En 4e au collège, des anciens ont commencé à raketter les petits. Moi y compris. Je n'avais rien à donner, mais ils arrivaient quand même à me prendre des trucs. Des stylos, des baskets pour le sport, une veste, parfois des classeurs en vidant mes cours… juste pour m'ennuyer, car ça n'avait aucune valeur. Je disais à ma mère que je perdais mes affaires. Le pire, c'est que je sais qu'elle m'aurait soutenu et défendu, mais j'avais peur quand même d'en parler.

Et puis un jour, j'avais 14 ans, ils m'ont pris à part, ils étaient 4, à la sortie de l'école. Ils m'ont isolé, dans le local de rangement qui était toujours ouvert. Ils se sont amusés à se balancer mon cartable, et je ne bougeais pas. Je me disais qu'ils finiraient par se lasser et partir. Au lieu de ça, un des garçons a commencé à me bousculer. Comme je ne bougeais pas et ne disais rien, un autre l'a fait. Puis, comme beaucoup, ils m'ont insulté et traité de "pédé" et ils ont baissé mon pantalon. A ça j'ai voulu m'enfuir, tant pis pour mon cartable. Mais ils n'ont pas voulu que je sorte et le calvaire a commencé. Un des garçons m'a violé, en commençant par ses doigts puis tour à tour, ils y ont mis leur sexe. J'avais beau pleurer, ça les faisait rire. Je disais que c'était eux les "pédés", et ils n'aimaient pas que je dise ça, ils me violaient encore plus fort. Ils m'ont obligé à leur faire des fellations et à tout avaler. Ils m'ont laissé là en me menaçant de pires souffrances si je parlais. Et je n'ai rien dit. Le lendemain, je suis retourné à l'école, comme si rien ne s'était passé. Je ne voulais pas que ça se sache.

En quittant l'école, j'attendais le plus tard possible, pour les éviter. Ca a marché pendant plusieurs semaines. Mais un jour ils m'ont suivi pour rentrer chez moi et sur le chemin, je passais toujours devant une entreprise dont les bâtiments étaient en travaux. Toujours vides. Là ils m'ont violé de nouveau, toujours les mêmes. Le pire, c'est que je n'ai rien dit, je me disais que si je ne bougeais pas, ça irait plus vite. Mais la souffrance était là…

Et puis sans trop savoir pourquoi, je ne les ai plus revus. Je suis resté le garçon timide, mais je voulais changer, alors j'essayais de me faire des amis. Le traumatisme des viols était en moi, et c'était difficile.

Etre violé, en étant garçon, est très perturbant. Etre violé par des garçons est horrible. Mais être violé par des filles c'est humiliant et traumatisant. LES FILLES PEUVENT ETRE TERRIBLES.C'est ce qui m'est arrivé à 16 ans. Deux filles m'ont soi-disant invité à une soirée, elles m'ont fait boire et se sont amusées à me violer. Elles m'ont attaché et mis des godes. Je leur disais d'arrêter, que ce n'était pas drôle. Elles me disaient que j'étais gay et que j'aimais ça. L'une d'elle m'a forcé à lui lécher le sexe. Alors que la plupart des garçons en rêveraient, moi sur le moment, je souffrais. Elles m'ont laissé partir au bout de deux heures. J'étais tellement humilié que je n'ai rien dit. A personne.

J'ai arrêté l'école, après ça, je ne voulais plus les croiser, ni croiser personne. J'ai commencé à travailler. Je savais que j'avais déçu ma mère qui voyait en moi quelqu'un avec des diplômes, alors pour qu'elle n'aie plus ce sentiment de déception chaque matin en me voyant, je suis parti dès que j'ai pu. A 19 ans j'avais mon petit studio en ville. Loin de tout ce que j'avais vécu.

Je suis resté des années silencieux. Sans petite copine, sans réels amis. J'ai eu des relations intimes, avec des garçons, pourtant je n'étais pas gay, et je ne le suis toujours pas. Mais dès qu'une fille me plaisait, je perdais pied, j'étais en panique, et je n'arrivais pas à aller vers elle.

Je n'ai jamais voulu me faire aider, par peur des moqueries, des regards, des jugements. Alors j'ai été beaucoup sur internet pour m'aider tout seul. Et l'écriture m'a aidé. J'écris beaucoup. Je corresponds, j'ai beaucoup d'amis correspondants, que je n'ai jamais rencontrés, mais qui connaissent mon histoire, et me soutiennent. Ils m'ont convaincu de m'inscrire sur les forums pour en parler.

Je suis là. En espérant être compris. J'ai 25 ans aujourd'hui. Denver

DIALOGUE :

  - Bonjour et félicitations pour venir parler ici. Je suis un mec et même si je n'ai pas subi de véritable viol, je me suis pas mal retrouvé dans la description de tes troubles et de tes relations avec les autres. J'ai 33 ans et j'en suis à ma 7ème thérapie mais j'avance. Je peux juste te dire que c'est possible d'en sortir, d'en guérir avec de la volonté et aussi du soutien. Et la volonté tu l'as, la preuve par ta présence ici. Après avoir créé des amitiés solides, j'ai pu en parler autour de moi. Tout le monde n'est pas nécessairement en mesure de comprendre. D'autres m'ont compris à la perfections. Certains préfèrent ne pas en parler du tout pour se protéger eux-mêmes mais tous ceux à qui je me suis confié sont restés, fidèles, envers et contre tout. D'autres étapes d'attendent après avoir écrit ici. En attendant, tu es le bienvenu ici.

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     Hetwine, fille :

Tu n'es pas le seul homme à avoir été ainsi tourmenté.
En vérité, je ne suis pas sûre que les hommes victimes sont si peu nombreux, je pense que pour beaucoup c'est encore très difficile de parler.
Encore aujourd'hui, un préjugé social veut que l'homme soit "fort", sache s'imposer en toutes circonstances, je ne sais quoi. Les victimes au masculin ont ceci de particulier que ce préjugé se retourne contre elles.  

    Tu dis  :
- Elles me disaient que j'étais gay et que j'aimais ça. L'une d'elle m'a forcé à lui lécher le sexe. Alors que la plupart des garçons en rêveraient,


Oui enfin ça aussi, énorme cliché social, l'homme toujours au garde-à-vous, sexuellement prêt et intéressé.
De la même façon que les femmes qui rêvent d'un homme "viril" ne rêvent pas en fait d'une grosse brute qui va les violer, toi, même si tu avais ce type de fantasme dans ta tête, ce n'était pas forcément avec cette personne et surtout dans de telles circonstances.

Sinon, ce qui me frappe aussi dans tes deux histoires, c'est la composante énorme d'humiliation, d'insultes, de brimade, de volonté de te rabaisser dans ta virilité (rien de honteux en soi à être gay mais j'ai l'impression que tes deux groupes d'agresseurs t'ont assené ce mot comme une insulte, d'une part pour nier ta nature parce que tu leur disais ne pas l'être, d'autre part comme pour t'amputer en quelque sorte de ta virilité, te dire "moins homme"...)

Dans les deux cas, non seulement ce sont des viols, mais avec des circonstances aggravantes puisque viols en réunion avec des sévices physiques en plus (te taper, pour les garçons, t'attacher, pour les filles).


Je reprends un détail de ce que tu disais pour les garçons agresseurs :

   
  Tu dis :  
    - Le pire, c'est que je n'ai rien dit, je me disais que si je ne bougeais pas, ça irait plus vite.


    - Te reproches-tu de n'avoir pas bougé ?
Ta réaction, non seulement est normale - je ne vois pas ce que tu aurais pu faire contre plusieurs garçons en bande, dangereux, violents -, mais il se peut qu'elle t'ait sauvé la vie ou évité d'être défiguré.
D'ailleurs, la première fois où ils ont passé les bornes, tu t'es rebiffé, as montré ostensiblement que tu n'étais pas d'accord, et - malheureusement - ça n'a pas été suffisant à les dissuader. Tu ne devrais en aucun cas te reprocher un manque de courage ni quoi que ce soit de ce genre.

Je te souhaite plein de courage, et bravo pour avoir réussi à en parler, même si ce n'est que par écrit pour l'instant.

Message édité par Hetwine le 21/09/2011
POUR MOI L'HORREUR:   
poztony: “Follow http://poztony.tumblr.com for thousands of posts, updated hourly! ”
que va-t-on penser de moi maintenant ?
dailysmoothy: “wwalkerrn: “ Wow ” And athletically shaved, he’d be REALLY wow! ”
j'aurais pu les trouver beaux malgré leur allure de bad boys

Par DENVER - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 7 septembre 3 07 /09 /Sep 23:45

    Je désire me faire violer.
"J'en ai marre de moi. Retrouvez mon âme, perchée quelque part entre quelques troncs morts et secs.    

J'emprunterais nonchalamment une rue, tout en sachant pertinemment à quoi je m'exposerais, et puis une bonne nuit, un homme, un grand homme, costaud comme il faut, passerait sa grande main froide et vigoureuse autour de ma frêle nuque après m'avoir suivi quelques minutes, et, m'entrainant dans une ruelle sombre, humide, puante, m’ordonnerait de me désaper sans faire d'histoire, un couteau à la main.
Je m'exécuterais sans rien dire.
Tête basse, là, il me pousse contre une poubelle. Pas méchamment, mais fermement. Il tient à garder le contrôle. Je me soumets servilement.

 

 

Oh oui, je ne souhaite que me soumettre.
Il commence par me pénétrer.
Il rentre lentement. Je serre les dents. Tout mon corps est crispé. Puis il se relâche, peu à peu.
Il se relâche à la même cadence que celle de mon agresseur qui s'évertue, lui, de tirer le maximum de plaisir de ma vieille carcasse.
Je me demande ce qui lui a plu en moi. J'ai mal. Il me serre fort. Mon corps a mal, mais j'ai pourtant l'impression qu'on me libère d'un poids.

Pourtant, je n'aime pas les hommes, mais que voulez-vous. Parfois, du plaisir peut sourdre des roches les plus dures. C'est ce que j'ai toujours aimé. Briser l'incassable. Voir du quartz s'effriter. Du moins j'aimerais le croire, oh, je me raconte encore des histoires.
Allez, n'éjacule pas trop vite.
Encule-moi encore. Que cette nuit ne finisse jamais. Je suis une victime, mais si ça me permet d’être fissuré, tout au fond de moi, alors je l'accepterais.
J'irais déposer plainte, pour la forme. Pour le statut. Car c'est du viol, c'est de sa fermeté, de sa violence que nait la fissure.
Les caresses idiotes ne m'émeuvent plus. Je laisse ça aux gens heureux.
Oh, il se retire. Pourtant il n'a pas fini.

Il m'attrape par les cheveux. Force sur mes épaules. Je suis à genoux devant lui. Je lui lèche le sexe.
Il éjacule dans un râle alors que j'avais tout en bouche. J'avale en déglutissant une partie de sa sordide semence venue trop subitement pour être recrachée.
Il lâche mes cheveux.
Je suis abattu. Tête basse, toujours. Il se rhabille prestement, tandis que moi, je gis toujours là, à moitié nu, sur le sol sale et jonché de détritus divers.
Je ne sais plus si je suis la, je suis ailleurs. Est-il parti ?
Subitement, il passe sa main sous mon menton et je reviens à moi.
Il redresse mon visage de sorte que mes yeux rencontrent les siens. Je le regarde, comme un pantin inanimé, sans expression. Il me sourit chaleureusement. Je suis surpris. Choqué. Me caresse la joue avec son pouce, et me remercie d'avoir été un si bon coup. J'ai l'impression de rougir. J'aimerais baisser les yeux. Me remercie de m’être laissé faire. Non, il ne faut pas qu'il croie ça !
Je redresse la tête.
Mais déjà, il s'en va. Comme gagné par l'émotion, je lui crie dessus. Je lui dis qu'il payera. Que je ne me suis laissé faire que sous la menace.
Un peu surpris, se retourne, me regarde, sourit, puis s'en va définitivement.
Il ne m'a pas cru.
Non, bien sûr qu'il ne m'a pas cru.
Maintenant, le plus dur reste à venir. Déclarer le viol. Me rendre à l’hôpital. En parler à mes proches.... non... non, je ne dirais rien. Personne ne doit savoir.
Je n'ai aucune envie d'écouter leur fausse compassion. Ils... ils ne peuvent pas savoir ce que j'ai ressenti. Ils ne comprendraient pas...
Que je recherchais ce viol depuis toujours.

   

                                                                
          
           

               mon copain :bave:

Alors voilà, je sais que c'est un fantasme assez bizarre, mais les fantasmes ne se décrètent pas :ok:

J'en ai parlé un peu à mon copain, mais ça l'a un peu gêné :-(

Car lui c'est quelqu'un de doux, tendre, aimant et d'attentionné :bave:

Le truc c'est qu'il ne veut pas me faire du mal, et a du mal à comprendre que j'aimerais qu'il me viole, juste une fois, pour réaliser mon fantasme :hap:

Après, quand je dis viol, c'est qu'il me prenne alors que je ne m'y attends pas et que j'y pense pas , mais qu'il me frappe ou me fasse mal :ok:

 

 

 

 abusedhumiliatedbttmboy

 

 

 

 


Par ROLAND - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 6 septembre 2 06 /09 /Sep 15:25

  pour la psychologie, la taille compte sûrement...les petits-petits doivent craindre de transmettre leurs gènes aux générations futures ...mais la plus grande disgrâce, étant donné qu'on n'a pas d'os-là c'est de n'avoir PAS ou PLUS d'érection, ce qui nous ramène au rang des femmes 

 

Et l’Homme dans tout ça ??

Sur l’Homme, il existe beaucoup, beaucoup d’informations sur la taille du pénis. Ceci car c’est un problème de société d’avoir un petit pénis.Voici la répartition de la taille du pénis chez l’Homme :

les % c'est le nombre d'individus membrés et recensés

en bas les cm et on voit bien que les pénis entre 12,5 et 17,5cm sont les plus nombeux !

Nous voyons que la taille du sexe chez l’homme s’étale entre 8 et 22 cm avec une grande majorité aux alentours de 14 cm. Les français sont donc en moyenne bien placé avec une moyenne à 15,11 cm.

Le plus gros pénis jamais enregistré mesure 25 cm et appartient au chanceux Lexington Steele (un homme noir, pas inattendu  !).

Tout le monde pense que ce sont les noirs qui ont le plus gros sexe, pourtant, selon l’étude très sérieuse : The penis size survey faite par le Dr Richard Edwards, ce sont les Caucasiens (blancs d'Europe) qui ont le plus gros sexe :

Taille du sexe en fonction de l'origine ethinique

Mais ce qui est vrai, c’est que les noirs sont les plus fiers de la taille de  leur sexe :-lol-

Fierté de la taille du sexe en fonction de l'éthnie

  • well endowed jaune = bien pourvu
  • average bleu = de taille moyenne
  •  modest (c'est clair rouge = peu aidés) 

 


Une étude complémentaire à ce sujet : Quelle est la taille du sexe chez les hommes en fonction de leur profession. Il en ressort que :

  • les acteurs pornographiques en sortent les premiers avec 22,3 cm en moyenne (gloups)
  • Les bodybuilders ont la plus petite moyenne : 9,3 cm. Ce qui confirme donc les rumeurs suivant lesquelles les musclés auraient de petits sexes...

les grecs anciens s'étaient préoccupés de ça et on peut lire des textes qui en parlent. En fait,  les gros pénis n’avaient pas bonne presse dans la Grèce Antique. Ils étaient généralement associés à des hommes lubriques ou insensés, voire parfois à des semi-hommes tels que les satyres.

A l’époque, l’homme idéal devait être rationnel, raffiné et autoritaire. Il pouvait avoir beaucoup de rapports sexuels mais il accordait peu d’importance à la taille de son sexe. En outre, le fait d’avoir un petit pénis lui permettait de garder la tête froide en toute circonstance, et donc de conserver son sens logique.

Cette explication n’est guère surprenante compte tenu du fait que les Grecs ont été les premiers à opposer la raison au désir. A leurs yeux, l’homme devait en effet sublimer le sexe et l’intellectualiser pour aller au-delà de la pulsion animale.

Les statues sculptées à l’époque ne l’étaient pas uniquement pour décorer les villes et les demeures. Elles étaient utilisées comme des symboles pour représenter la culture grecque et c’est donc pour cette raison que les hommes sont tous dotés d’un petit pénis.  Et si le gland n’est pas apparent, c’est tout simplement parce que l’homme bien éduqué ne devait pas trop se découvrir à l’époque.

 

 

Ce qui m’a déçu

Et oui, on a tous des idées reçues qui viennent d’expressions. Voilà ce qui m’a étonné :

  • Le taureau a un sexe très long, mais fin. En revanche, il a bien des couilles de taureau.
  • Le cheval n’est pas si bien monté que ça (moins d’un mètre).
  • Le gorille a un tout petit sexe

Ce que j’y ai appris

Choses que j’ai apprises :

  • L’homme est le seul mammifère à ne pas avoir d’os (le baculum) au niveau du pénis. Ce sont seulement des « poches gorgées de sang » (et ça, ça a fait dernièrement la fortune des labos du viagra et cialis etc )
  • Dans la Grèce antique, avoir un petit sexe était signe de fécondité. Il fallait donc avoir un petit sexe !
  • Le dauphin a un très bon contrôle de son pénis et s’en sert pour sonder les sols marins !
  • Si j’avais pris les oiseaux en considération, l’éléphant serait distancé de très loin par ce canard qui a un sexe en érection qui fait 2 fois sa taille

Canard pénis et il faut observer comme il le pompe pour l'introduire dans le cloaque de la femelle

  • Si j’avais pris en considération les molusques, le canard se serait fait détrôner de très loin par le « pouce-pied » qui a un sexe faisant près de 20 fois sa taille !

Conclusion

Afin de répondre aux questions qui se sont posées à propos de cette étude, nous pouvons dire que l’Homme se situe bien par rapport aux autres mammifères et nous n’avons pas à nous sentir complexés par les autres animaux, notamment les primates, nos plus proches cousins.

Sans pouvoir trouver suffisamment de sources sur internet, il apparaît qu’en moyenne, la longueur du sexe d’un mammifère est égale à un dixième de sa taille. 

 

 

Par ERNESTO - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 5 septembre 1 05 /09 /Sep 18:35

 

 

Ajoutée le 13 oct. 2015

▲ ▲ Toutes les informations sur cette vidéo sont ici ▲ ▲

Je tenais à vous parler de ma première fois avec un garçon car je sais que vous vous posez beaucoup de questions sur le sujet :)

ça c'est bien :

- Si vous voulez me contacter, c'est ici : andrewestgay@gmail.com


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Merci d'avoir regardé cette vidéo jusqu'au bout !
Je vous embrasse !

 

 

Par ANDREW - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 5 septembre 1 05 /09 /Sep 16:20

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par HERBLAIN - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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