si vous voulez bien m'entendre
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si vous voulez bien m'entendre
Gainsbourg : "Viens petite fille dans mon comic strip
Viens faire des bull's, viens faire des WIP !
Des CLIP ! CRAP ! des BANG ! des VLOP ! et
des ZIP !
SHEBAM ! POW ! BLOP ! WIZZ !
J'distribue les swings et les uppercuts
Ça fait VLAM ! ça fait SPLATCH ! et ça
fait CHTUCK !
Ou bien BOMP ! ou HUMPF ! parfois même PFFF !..."
Bonjour! |
Les onomatopées du plaisir.
"La plupart des langues sont relativement démunies de mots ou d’expressions désignant un plaisir ou une douleur intense, si bien que les œuvres érotiques et porno débordent d’onomatopées censées reproduire les soupirs et hoquets, gémissements et autres petits cris et sons incongrus. J’en ai relevé quelques-uns à toutes fins utiles.
Ainsi pour souligner le soulagement ou l’apaisement, vous pourrez avoir recours à; Ah! bah! Fiou! Seigneur!
Pour la satisfaction et pour exprimer son bonheur, sa joie, son extase et son plaisir, sont souvent utilisées les onomatopées suivantes:
Âââh! Allélulia! Bon! Chic alors! Dieu! Envoé! Encore! Foutch! Hourra ! Mmmmh! Ôôoôh! Ouf! Waouh! Yahououou! Youpi!
Pour exprimer votre enthousiasme, votre excitation, vos encouragements, les simples : Allez! Bravo! Hardi! Hé! Kss!ksss! Olé torrérro! Tiens! Prends ça pis ça…Vouiiii! peuvent convenir.
Pour illustrer la respiration, l’essoufflement, l’aspiration, les onomatopées suivantes feront aussi l’affaire : chipp, pff, pfouf, pfupfu, wop! Wop!
Pour ouvrir ou fermer une fermeture éclair, les bédéistes ont souvent recours à Zriii synonyme de zzzip, zzziiip,
Le Ah! marque aussi bien l’admiration, comme dans : Ah! Charles tes oreilles! (Lady d)
AH! C’est ça! Ou, Ah! C’est que ça! La déception.
le même ah! peut marquer le plaisir : Ah! ce fut merveilleux! (moi, hier à mon amant)
Aie! peut exprimer une surprise désagréable, tout comme il peut exprimer une souffrance pas si désagréable : « Aie! Plus je souffre… et plus j’aime ça », dis le maso à sa maîtresse.
Ouiaille! douleur aigue, Ouaie! Douleur fulgurante.
Bah! Peut exprimer l’insouciance. Bah! J’en ai vu d’autres (Xaviera Hollender) Bah! Y a pas de quoi fouetter une chatte.
Beurp : bruit exprimant une éructation, un renvoi, un rot. Croyez-le ou non, bien des auteurs sérieux ont étudié pendant des années le son du rot discret, sec, gras, ou tonitruant. Parmi ces vaillants chercheurs, il convient de citer : Ciceron, Galilée, Rabelais, Balzac, Dali, Coluche ect
Par contre Bodobadobadobodôôô! est la manifestation onomatopique du désir charnel chez le rustre, comme Fred Cailloux, cette expression de concupiscence a de nombreux synonymes, dont : Ah! putain! rrrahh loveley! Ah! la vache! Mais chez les vrais obsédés sexuels. Badabadobodôôô! est définitivement le son d’expression.
Au Québec on a aussi intégrer le sacre au lit…
Stie…que je jouis . Ciboire tu suce-tu?
Enfin, j’espère que cette brève incursion dans le monde imagé de l’onomatopée vous a inspiré. Soyez ouverts et sensibles aux sons que vous produisez et à ceux qui vous entourent. Pour en savoir davantage consultez le précieux dictionnaire des bruits(1) de Jean- Claude Trait et Yvon Dulude au Éditions de l’homme 1989. Ou vous trouverez en plus des quelques exemples ci-haut repertoriés, d’autres bruits sexy.
Les onomatopées sont amusantes, significatives et évocatrices dans un texte érotique n’hésitez pas à vous en servir, elles mettent de la sonorité au texte.
Pour embrasser on peut utiliser smack, smoutch, je l’utilise ici pour clore ce blogue. J’ en profite pour vous smacker et vous smoutch smoutchez chers lecteurs. Au plaisir.
Lili Gullliver
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NB : on a vu aussi Ouiiiiiiiiiiiii ! Nooooooooooooooon ! Aïïïïïe ! fffff (mais aspiré quand on reçoit la Sainte bite) ...et place à l'invention ! on vous attend sur ce terrain !
seulement des propositions où peuvent se développer les rêveries lubriques evidemment va encore y avoir des gens qui disent que c'est mal de se branler en ce cas
O FANTASMA
Réalisation : Joao Pedro Rodrigues. Scénario : Alexandre Melo, José Neves et Joao Pedro Rodrigues. Image : Rui Poças. Montage : Paulo Rebelo et Joao Pedro Rodrigues.
2001, Portugal, Durée : 90 mn.
Fiche technique :
Avec Ricardo Meneses, Beatriz Torcato, Alexandre Melo, Andre Barbosa et Eurico Vieira.
Résumé :
Sergio est un bel
et jeune éboueur qui travaille la nuit dans une Lisbonne désertée propice aux rencontres sexuelles que Sergio recherche avec avidité. Lors d'une de ses tournées nocturnes, il doit vider
une vieille maison de ses meubles. Là, il aperçoit ce qui semble être l'idéal de son désir sous la forme d'un jeune motard briquant sa moto.
Sergio n'aura plus de cesse que d'épier l'objet de sa convoitise. Il fétichise bientôt tout ce que touche son motard : sa moto bien sûr, un de ses vieux
slips, l'eau de la piscine dans laquelle le garçon a nagé, jusqu'à la paroi de la douche où il s'est rincé (ce qui nous vaut une scène d'une grande invention sexuelle puisque Sergio jouit
du seul fait de lécher cette paroi !).
L'avis critique
O Fantasma est le premier film de son très francophile réalisateur, né en 1966 à Lisbonne où il a suivi des études de cinéma.
Le titre est très astucieux et donne une bonne idée des desseins du réalisateur. « Fantasma » veut dire en
portugais, à la fois, selon le contexte, « fantasme » et « fantôme ». Le récit n'est nourri que des fantasmes du jeune et beau héros. Ils lui permettent de s'échapper
de son triste quotidien au point de se transformer progressivement en une sorte d'âme damnée des ordures, condamnée à hanter les décharges publiques.
Les lieux ne sont pas des endroits du réel, seulement des propositions où peuvent se développer les rêveries lubriques du jeune homme. Le temps n'est pas plus soumis au vérisme. Il est
tantôt compressé, tantôt dilaté.
Dans la première partie du film, de loin la plus intéressante, dans laquelle Sergio fait une fixation sur le jeune motard, on
pense beaucoup à Les Rebelle du Dieu Néon de Tsai Ming-Liang. On retrouve dans le film portugais la même atmosphère nocturne que dans celui du
taiwanais. O Fantasma ne se déroule quasiment que la nuit. On y retrouve aussi le même mutisme. Il y a très peu de dialogues dans O Fantasma. Autres
points communs entre les deux œuvres : la même omniprésence de l'onanisme et le même voyeurisme.
Il faut regretter que Joao Pedro Rodrigues ne soit pas resté sur l'obsession de Sergio pour son motard et ait bifurqué dans la deuxième partie du film sur une métamorphose presque
kafkaïenne, Sergio étant "customisé" par une combinaison de latex noir avec cagoule qui évoque à la fois les Batman de Tim Burton et surtout l'Irma
Vep d'Assayas. Être que lesCahiers du cinéma, qui ont parfois beaucoup d'imagination, qualifie de cafard gracile. Cette chose dès l'instant qu'elle est affublée de
cette peau caoutchouteuse ne semble plus s'intéresser au sexe mais seulement aux ordures dont il se nourrirait (?). Le spectateur, s'il ne possède pas la même fascination que Sergio pour
les monticules de détritus, s'ennuie ferme. Sergio glisse de plus en plus vers l'animalité jusqu'à marquer son territoire...
Mais le film ne se contente pas, si l'on peut dire, de ces deux pistes. C'est aussi un catalogue des fantasmes gays du coté S.M., un peu comme Pink Narcissus pour les
fantasmes kitsch. Ces fantasmes sont plus ceux des débuts des années 80 que ceux de l'an 2000. Il n'y a aucune allusion au SIDA.
O Fantasma a généré une prose aussi délirante que réjouissante. Sa première partie n'est guère autre chose qu'un porno qui serait proprement filmé, quant à la seconde moitié son
ennui abyssal m'a empêché de penser... Mais il n'est tout de même pas trop compliqué de comprendre que le cinéaste fait un parallèle entre deux activités souvent nocturnes et qu'encore
beaucoup jugent sales : le sexe (d'autant que les pratiques décrites sont homosexuelles) et le ramassage des ordures. Sous des dehors libérés, on peut voir ce film comme une transcription
moderne du puritanisme.
Lors de sa conférence de presse à Venise, où le film fut présenté en compétition, ce qui suscita quelques remous, Joao Pedro Rodrigues expliqua que son personnage était en butte au rejet
d'un autre qu'on aperçoit de loin en loin (j'ai pourtant scruté suite à cette déclaration et je n'ai rien vu !). Peut-être, mais c'est en délaissant peu à peu toute psychologie et tout
réalisme que le cinéaste perd ses spectateurs.
Rodrigues filme frontalement le désir brut. O Fantasma ne cache rien des beaux garçons qui le traversent, ni du héros qui se masturbe régulièrement durant tout le film,
ni de ses amant dont un que l'on voit se laver soigneusement le sexe après usage, pas plus qu'une mise en bouche d'une minute, ce qui est beaucoup plus long que ce qu'autorisait le Code
Hayes, jadis, pour de chastes baisers...
lui non plus ne sait pas me faire plaisir à moi …huuuummmm... pour un prof de physique quoi de plus simple que de faire de l'électricité -lol-
mes difficultés... skype?...
« C’est une adresse skype qui me permet de communiquer avec les élèves qui en ont besoin. Après chaque contrôle, je convoque le moins bon, je parle de ses difficultés pour trouver une solution, et je lui remet mon skype pour qu’on puisse voir ensemble ce qui va pas pour les prochaines leçons. »
Sans rien faire il m'a mis le feu
C Mon tendre drame |
C'est alors que les évidences du lendemain me rappellent quel faible jeune homo je suis…
Evidemment je me réveille en retard, je me lave vite fait et pars la crinière ébouriffée en cours. Evidemment j'arrive en retard pour la rentrée des vacances de Noël. Evidemment pour le cours du pire du pire des profs de physique qui me déteste deja assez comme ça. Evidemment pas assez en retard comme ça, je croise un mec au regard tellement magnifique que mon corps se stoppe net. Et malgré que j'ordonne à mes jambes d'avancer, mon corps n'écoute que lui et ne désire que faire marche arrière pour revoir une nouvelle fois ce regard…
Evidemment mon corps a toujours le dernier mot, et se retourne vers lui… Parfait en tout point, entre mannequin et bad boy, cherchant du regard un
numéro de salle qui pourrai l'orienter… Et moi… Les joues déjà rouges de timidité, les cheveux ébouriffés mon petit sourire gêné. Mon stress m'empêche de lui laisser la possibilité de s'exprimer
j'engage la conversation en moulin à parole :
“Hey salut ! Tu es nouveau ??
- heu… Bonjour… Oui
- tu vas en quelle salle ?
- A320
- wow !! Le hasard fait bien les choses ! J'y vais aussi”
Evidemment fallait qu'il soit de ma classe, sûrement un nouvel étudiant… Evidemment fallait qu'il me plaise, que son parfum (Le mâle de YSL) embaume tout son environnement, que ses yeux agrippent les miens et que ses lèvres rouges écarlates laissent échapper la plus grave des voix, me faisant vibrer jusqu'au fond de mon corps et hérisser chacun de mes poils.
Maintenant mon obsession jour et nuit
C Mon tendre drame |
Evidemment il fallait que ça soit typiquement le timbre de voix qui m'empêche de dire non à quelqu'un… Plus on se rapproche et plus mon flot de
paroles ne cesse de s'amplifier ne lui laissant plus une chance de parler.
“Heureusement que toi aussi tu es en retard ! Je justifierai mon retard en disant que j'emmenais le petit nouveau ! (Déjà un beau bébé pour un petit
nouveau !) t'es dac ? Tfacon jte laisse pas le choix ! Ca sera ta façon de m'être redevable ! Au fait moi c'est Axel. Et là ? C'est l'antre du pire prof au monde ? Près à 2 heures horribles
?”
Il ne répond rien, il me fait juste un regard à tomber par terre et m'invite à rentrer…
Et évidemment en allant m'asseoir je découvre qu'il ne me suit pas, je découvre qu'il va au tableau, qu'il prend une craie pour marquer son
nom…
Evidemment il se retourne, s'excuse de son retard et s'annonce comme le remplaçant du prof de physique jusqu'à la fin de l'année….
Evidemment il fallait que ça tombe sur moi… Et alors qu'il fait un tour de classe pour les présentations, il finit par moi, la tête dans mon sac,
six pieds sous terre…
“Et toi là bas ? Soit pas timide, dis-nous ton prénom ?
-Axel…
-Et donc Axel, explique nous la raison de ton retard ? Tu sais ça concernait un petit nouveau ?”
Evidemment ça n'aurait pas pu être un prof normal, fallait qu'il m'affiche encore plus….
“En tout cas enchanté Axel, merci pour la visite express du bahut”
Il s'approche de moi, pose ses deux mains sur ma paillasse et attend que je relève ma tête.
Evidemment cet homme ne pouvait être né que pour séduire, par un mini clin d'oeil complice il m'achève. Je dois évidemment être ridicule la tête
plongée dans mon sac a dos et évidemment je ne me rend pas compte que chacune de mes actions est connotée de “mignonne” à voir son magnifique sourire quand il me parle ou me regarde….
Evidemment je suis son élève, évidemment il est mon professeur.
Les évidences rendent ma vie cruelle et tellement difficile. Des princes charmants y'en a dans chaque coin de rue. Non ! Evidemment il faut que ça soit mon frère ou un prof qui me plaise. Tu sais ? Le genre de relation compliquée et impossible ? Evidemment ça tombe sur moi… Pas grave j'ai bien compris que je resterai sûrement puceau toute ma vie !
Les cours de physique chimie avec lui se situent entre un véritable calvaire et une merveilleuse attraction quotidienne. Au fur et à mesure des
heures de cours je suis de plus en plus dans l'impatience de le retrouver même si une fois devant la porte je suis terrorisé. Il m'impressionne tellement, il me fait tant d'effet… Que j'en
perds mes moyens…
Evidemment ça ne serait pas drôle si après le premier contrôle de connaissance, il ne me demandait pas de rester à la fin du cours à cause de mon
5/20…
Le regard fuyant, la tête dans les épaules je sors à toute vitesse de son cours… C’était sans compter, la persévérance de ce ténébreux
apollon…
« Hep bonhomme ! on se rassoit et on m’attend ! »
Le reste de la classe est mort de rire, de toute façon ils ont l’habitude, je suis un vrai clown, à mes dépens…
Je ne sais pas s’il fait cela pour me mettre en confiance mais il laisse la porte de la salle ouverte, me demande de m’asseoir et s’assoit
directement sur la paillasse juste devant. C’est bien la première fois que je vois un prof s’asseoir ailleurs que sur une chaise :
« J’ai besoin de quelques explications sur ton travail Axel.
- Regardez mon bulletin… J’ai toujours été une quiche…
- J’ai effectivement consulté ton bulletin, et ça fait plutôt penser à du foutage de gueule! »
Il ne s’exprime absolument pas méchamment mais je suis très étonné des mots qu’il emploie ! On voit bien que c’est un jeune prof qui débute ! Et
moi… incapable de le regarder dans les yeux… Je me suis déjà trop de fois fait griller…. Mes yeux sont un livre ouvert… Il ne faut pas qu'il lise dedans… Honte à moi… Il sort alors un
papier qui ressemble à mon bulletin !
« Francais : 12/20 Anglais : 13/20 Histoire : 14/20. Et là ça devient
intéressant. SVT 15/20 maths 15,5/20 et physique chimie 8,5/20 ??? Tu m’expliques ?
- Le prof était con… et je fais pas d’effort avec les cons…
- J’ai l’air con ? regarde moi quand je te parle ! »
Je sens que le ton monte et quand il hausse la voix, son autorité fait surface. Sa voix me transcende et je n’ai qu’une envie lui obéir alors je relève ma tête et noie mon regard dans l’horizon bleu du sien…. Etrangement, il retrouve rapidement son calme. Je ne sais pas,, peut être que mon visage de petit minet passant pour une victime lui a fait pitié…
« Désolé mais ça me rend dingue Axel ! Gâche pas tes études pour un con. Premièrement il reviendra pas, deuxièmement tu n’as plus que deux
trimestres pour t’y mettre ! Ensemble on peut faire du bon travail. Franchement ça me saoûle de voir un jeune aussi prometteur et qui a autant de capacités de réussir que de tout détruire…. Tu me
fais penser à moi…
- Ah bon ? »
Il sourit, le regard de braise, et la coin de la bouche taquin :
« A peu de chose près…. En un peu moins musclé peut-être
- Han !! comment vous me cassez gratuitement !
- Gratuitement ? je ne crois pas ! Quand on a 4/20 en EPS sur son bulletin… Je crois qu’il faut pas trop la ramener. »
Il me fait un grand sourire complice. Son attitude est tellement étrange… Evidemment fallait que je tombe sur un prof de physique chimie, jeune, atypique, et troublant. En 10 minutes de conversation, il a eu le temps de me casser trois fois, de rire de moi 5 fois, et de me refiler son skype professionnel si jamais j’avais des difficultés… vous aimez ? Vous m'aimez ?
d'où ça me tombe ça ? elle se fait enculer sous mes yeux et je sens mon anus et mon rectum se gonfler de sang...je bande du cul jusqu'à en avoir mal.
Œil impressionnable et religieux s’abstenir ! Fermez tout de suite ce texte et allez lire autre chose sur ce blog. Les illustrations comme les propos peuvent « choquer les âmes sensibles » – selon les propos convenus. Vous êtes averti.
Jérôme :- "Je vois bien que ce que font mes "copains"*aux queues énormes et bandées je suis bien incapable de le faire. Ils doivent penser qu'ils lui font du bien en lui donnant leur queue, que même s'ils la forcent elle doit aimer et jouir. C'est aussi ce que je sens car je suis jaloux de Nina, j'aimerais être à sa place mais personne n'y pense, personne ne fait attention à moi. Dans tout ce drame où il règne un certain ordre : le "tour" de la tournante qui les aligne les uns derrière les autres.
Je me rappelle que j'ai une queue et je fais comme d'autres-car on est nombreux- je me masturbe sans participer. Certains qui espéraient baiser jouissent en l'air et perdent ainsi leur "chance". On baigne tous dans ce viol bien réel et dans la complicité objective. Ce sera dit au procès des dix huit accusés parmi lesquels je ne figurais pas.
On était bien plus de 18. On a avancé le chiffre de 25, mais je crois plus encore et a s'est reproduit plusieurs fois, souvent on peut dire ! Il n'empêche que ce grave moment a eu des répercussions déterminantes sur ma personne et sur ma vie.
Tout en restant un garçon et sans le dire à personne, je ne rêvais que de me faire enculer. Car c'est bien le mot : sous mes yeux Nina s'est
fait prendre par tous les trous et, moi Jérôme, 16 ans, je n'ai pas cessé de l'incarner et de l'envier cette fille martyre
Basé sur un fait divers authentique et un article dans la presse :
Nina arrivée dans la cité vivait avec sa mère et son frère cadet, après le divorce de ses parents. Nina avait 16 ans. Forcément elle était vierge. A l’école, elle était parmi les élèves motivés, curieuse, enjouée et «un peu garçon manqué», allant familièrement avec les garçons , souvent en jogging. Un soir de septembre , en sortant du cinéma, elle croise notre groupe de garçons qui buvons et fumons du cannabis. Moi, Jérôme je me sens trop jeune pour avoir envie d'elle mais le chef de bande passe son bras autour du cou de Nina qui cherche à se dérober, mais rien n'y fait les autres l’encerclent. Ils la conduisent de force jusqu’à une tour. Dans la cage d’escalier, le chef lui explique que, c'est la règle, qu’elle doit «coucher». Elle refuse, il la frappe au visage. Il la force à le sucer ; à force de la frapper elle cède et il la viole devant nous,par devant, par derrière, dans l'anus aussi (fellation, pénétration vaginale, anale). Les autres sont autour. Nina dira «Il y en avait qui me tenaient, il y en avait qui rigolaient, il y en avait qui étaient là et ne faisaient rien.»(j'en fais partie : je regardais de tous mes yeux mais ne faisais rien, puis, comme d'autres, un peu à l'écart je me suis branlé )
On comprendra que si je voulais "pareil que Nina" ça ne pouvait pas être "genti-gentil" -lol-
*on habite la même cité, des fois on joue au foot ensemble...
comment je l'ai eue ma tournante !
Je vous raconte pas que mon père ayant amélioré sa situation, j'ai changé de quartier mais j'aigardé ce cul incroyable qui bande pour les mecs. Un cul insatiable. Maintenant j'ai 20 ans et des cheveux châtains clairs tirant vers le blond assez longs et coiffés en arrière. Mes yeux sont noisettes avec un léger cercle vert en leur centre contrastant avec mes dents d'un blanc immaculé. Je mesure 1m78 pour 75 kg de muscles massifs et puissants, et oui, le sport ça forme un corps. Si vous habitez Chatou d'ailleurs, vous m'avez peut être déjà croisé entouré d'une bande de mâles en rut torse nu sur le stade de la ville. Tout ca pour essayer de vous faire comprendre que vu comme ca je ne suis pas plus gay qu'un homophobe. Entouré de machos velus j'ai dû cacher mon jeu.Toujours en train de faire des blagues machistes dans les vestiaires, de rire des grandes folles dans la rue, d'embrasser un nombre incalculable de filles en soirée, mon statut de petit PD passif et salope est insoupçonné de tous. Personne, absolument personne n'est au courant que presque 2-3 fois par semaine, le beau et fort Jérôme se fait casser la chatte par des mecs différents. C'est quelque chose que j'ai réussi à garder secret et j'en suis fier. Ceci me permet de garder mon image de bg macho tombeur de filles qui me plaît bien tout en me laissant régulièrement redevenir Jérôme la pute a pisse. En effet, plrs fois par semaine j'invite des inconnus de passage a Chatou à venir me faire le cul dans ma chambre se trouvant 50m à côté de la maison familiale sur le même terrain. Mes parents pensaient que je prendrais de l'indépendance avec ce studio au fond de la propriété, or la seule chose que j'ai pris ce sont des kilomètres de queues larges et juteuses qui se sont vidées dans mes orifices.
L'histoire que je voulais vous raconter c'est déroulée pas plus tard qu'avant hier. Actuellement en grandes vacances, je profite de cette coupure dans mes études d'ingénieur pour me faire un peu d'argent. Alors non, je ne me prostitue pas (encore), je me contente de travailler dans une petite boutique au coeur de la ville et qui vend nombre de produits locaux. Cette boutique est magnifique mais a le malheur d'être très mal placée. Ce qui fait que de 10h a 19h je me fai copieusement chier à attendre . Mais bon, je n'ai pas à me plaindre le job paye bien et n'est pas épuisant. En somme, j'ai 9h tous les jours pour voir qui sera l'heureux mec qui aura la chance de me passer dessus le soir même.
Aujourd'hui est un jour spécial à la boutique, cela fait quelques semaines que je suis employé et le grand patron a considéré à la dernière minute que j'étais digne de confiance et capable de faire l'inventaire de tous les stocks. Evidemment il m'a communiqué cette décision a 18h, horaire ou je commence a tout remballer pour rentrer chez moi une heure plus tard. Du coup, je dois rester sur place jusqu'à 22h environ le temps de tout comptabiliser, noter, commander, déballer... Et mon plan cul devait arriver a 21h chez moi... Que faire... Je déteste mettre des plans foireux aux gens et je ne tenais pas à commencer aujourd'hui pour mes plans cul. Mes hormones me travaillant je décide qu'il viendra a 21h, mais à la boutique. Je l'en informe. Le gars a l'air presque heureux de cette nouvelle. La perspective de me loper dans une cave remplie de charcuterie et de vinnasse semble l'exciter. On n'en vient à parler de plan à plrs et de mon envie de me faire partouzer. On en reste là et je continue ma journée de taf comme si de rien n'était.
Arrive alors le fatidique horaire de 21h. J'étais tellement concentré sur la compta des stocks que je ne vis pas le temps passé et je fis un bond lorsque le bruit d'un tapotement sur la vitrine se fit entendre. Je montai l'escalier qui menait au rez de chaussé, traversait la boutique. C'etait Max, mon plan cul. Il devait mesurer dans les 1m80, etait assez large d'epaules et fin de la taille. Il avait de grandes mains bien veineuses et une barbe noire de plrs jours assortie à ses cheveux hirsutes. Il avait 33ans et était habille d'un simple short de sport et d'un débardeur qui laissait voir ses bras musculeux. Il était en déplacement, et avait décidé de séjourner les quelques jours qu'il devait passer à Chatou dans un hôtel que je connaissais bien.
J'ouvris la vitrine, le laissai entrer en le jugeant du regard. Il le remarqua.
- alors, je suis à ton goût?
- ouais ouais t'es parfait mec, bien comme je kiffe.
- cool, elle est où la cave? Je meurs d'envie de te baiser.
Voila ce que j'aimais, lorsqu'un gars me parlait franchement et me faisait comprendre que la seule chose qu'il voulait c'était me démolir la 'chatte
et me remplir la gueule et le cul de son foutre.
- par là.
J'ouvris la trappe et descendis l'escalier en colimaçon suivi de Max.
La pièce est assez spacieuse mais remplie de cartons. Les murs étaient cachés derrière 2 ou 3 mètres de caisses, le plafond était jonché de jambons
et saucissons qui séchaient. Le sol était balisé par des cartons qui traçaient un chemin au travers des étagères de produits régionaux. Le tout était faiblement éclairé par une ampoule
minable qui pendait mollement du plafond et qui semblait réclamer de griller. L'ambiance était glauque. Max fit le tour de la pièce du regard en se balançant sur ses pieds et rangeant ses
écouteurs. Il s'approcha d'un mur de carton et le secoua légèrement.
- c'est bien ici, tu vas pouvoir crier autant que tu veux, personne entendra rien...
- Je crânai : heureusement, vu comme je suis bruyant quand je me fais péter le cul!
Max me regarda avec un sourire vicieux.
- ah ouais? Tu fais du bruit quand tu te fais niker?
Il se rapprocha doucement de moi.
- assez oui...
- t'aimes gémir pour faire comprendre a ton maitre que t'en veux plus?
Il était un peu plus proche de moi.
- oui...
- tu kiffes te laisser aller totalement qd ton maitre exige ?
Il était en face de moi.
Je soupirai un "oui" de plaisir tant j'aime qu'on me parle comme ça.
Il appuya brusquement sur ma tête et me plaqua la gueule entre ses cuisses, me faisant sentir son entre jambe de mâle.
- allez pompe sale chienne, pompe moi bien, pompe moi comme si ta vie en dépendait sale fils de pute!
Il avait sorti sa queue et me gavait la gueule de son calibre. Sa bite était de bonne taille ce qui avait pour effet de m'étouffer à chaque
mouvement et donc de me faire triquer comme un âne !
- ouais vas-y, c'est ca, en bon fond de gorge ptite pute a bite, gave toi de ma queue, vas-y... Ouuuuuuais, comme ça ma chienne...
Max me déboîtait la gueule en me plaquant le visage contre ses couilles a chaque mouvement d'un geste de main placée derrière ma
nuque.
- tu kiffes hein?!
Je ne pouvais même pas répondre tant sa queue pénétrait dans ma gorge de traînée. Seuls quelques sons de fond de gorge dus au réflexe de vomissement
s'échappèrent de ma gueule. J'avais les larmes aux yeux, de la salive partout sur la mâchoire et mon torse, je me sentais a ma place. Max semblait adorer me démonter la gueule et me remplir la
gorge. De temps en temps il me crachait dessus et me baffait pour me rappeler qui était le maitre en me limant la bouche. Je sentais mon tshirt trempé de salive sur mes pecs et des larmes de
bonheur coulaient le long de mes joues déformées par cette teub qui me violait la cavité buccale.
D'un coup Max se retira de ma gueule et me poussa contre un carton au sol, il me baissa sèchement mon short et mon boxer, vira mes chaussures et en
profita pour faire voler ce même short et ce même boxer avant de venir me coller une fessée qui me fit si mal que je hurlai d'un coup ma douleur à en faire trembler les bouteilles dans
la pièce. Sa main se reposa contres mes deux fesses bien fermes et rebondies pour,mes les caresser doucement, en connaisseur, presque avec amour.
- tu vois, c'est dans ces moments là, qu'une pute se rend vrmt compte de ce qu'elle est....
Je tournai mon visage rougit par les larmes vers lui tandis qu'il continuait de me caresser le cul avec amour.
- pourquoi?
- parce que justement tu as peur et tu sais que tes cris n'y feront rien.
- peur, je sais pas niai-je...
Max venait de relever la main de mon cul en imitant le geste d'une fessée. Tout mon corps venait de se contracter et je laissai un petit cri
échapper de ma bouche.
- alors?
Je ne sus que répondre. Il avait raison. Il me dominait totalement, il m'avait claqué le cul avec une telle force que si je voulais j'aurais eu
toutes les raisons de le virer de la boutique, or je restais là, allongé sur ces cartons, à sa merci, attendant fatidiquement le prochain coup. J'etais une vraie pute. Je fus ramené à la réalité
par une nouvelle fessée qui me fit hurler de plus belle. Sa main revint se poser sur mes fesses pour les caresser apaisant ainsi la douleur.
- tu comprends le raisonnement? Tu m'es soumis, complètement offert...
Il releva sa main et je hurlai à nouveau sans même qu'il m'ait touché. Il feinta de me frapper à nouveau, me fit hurler de peur, feinta à nvx, riant
de sadisme tandis que je sanglotais de peur d'être encore malmené alors que je ne pouvais cacher le fait de bander comme un taureau. Soudain une avalanche de fessées s'abattit sur mon ptit cul
tout musclé! 1, puis 2, puis 3, puis 4, puis 5, puis 6. Toutes s'enchainèrent ainsi sans pause entre chaque alors que je pleeurais de douleur! Lui il riant de plaisir, me voir ainsi lopé semblait
l'amuser.
- bien, maintenant on va passer aux choses sérieuses mon petit... Mon petit comment?
- Jérôme, sanglotai-je.
- Jérôme, parfait Jérôme, tu aimes te faire baiser?
Je hochai la tête.
- parfait, parce que tu vas prendre cher avec moi...
En me disant cela, il sortit de ses poches deux paires de menottes qu'il accrocha à mes poignets et à des canalisations qui s'échappaient
des cartons.
- parce que tu ne pourras pas appeler ça un viol collectif puisque techniquement tu es consentant vu les messages que tu m'avais envoyés, et tout
simplement parce la police, c'est moi, me fit-il en me montrant sa plaque.
- donc là, jusqu'à ce que je te le dise tu vas te faire baiser, et quand je dis baiser, c'est te faire éclater les trous... Et pas que par moi,
parce que vois-tu, je fais partie d'un site internet où on se propose des partouzes et où n'importe qui de la région peut venir, et j'ai posté une annonce à l'instant, pendant que tu me suçais...
Tu vas enfin réaliser ton rêve de gosse, te faire partouzer sans pitié...
Quelqu'un toqua à la porte.
-ah, je crois que les gens commencent à répondre à mon appel...
Il me sourit et monta au rez de chaussée.
Dans quoi je m'étais fourré... J'avais déjà fait des plans a 4-5 maxi, jamais mon kiff de toujours : de vraies tournantes où n'importe qui pouvait
venir...je n'avais même pas la force de me détacher, parce qu'en même temps c'était enfin l'occasion de savoir jusqu'à quel point je pouvais être une pute... J'attendis donc patiemment dans la
position dans laquelle max m'avait laissé, et me cambrai même un peu plus, exhibant ainsi ma chatte rasé à blanc à quiconque descendrait à la cave.
J'entendis des bruits de pas. Plrs bruits de pas' ils étaient plus de 2... Les bruits descendirent les escaliers. Il y eu alors 5 voix différentes
toutes plus graves et viriles que les autres.
- ah ouais, quand meme...
- quelle pute!
- il a une de ces chattes!
- tu nous as pas menti Max...
- tu l'as ouvert déjà?
Je n'entendais que les voix, je ne pouvais pas les voir en raison de mes entraves et ça m'excitait encore plus...
- nan pas encore, répondit Max, défoulez vous les gars, cette chienne a tout juste 20 ans et prétend aimer être loper, montrez lui ce que c'est une
vraie tournante! Je vais attendre les autres dehors.
J'entendis Max remonter les escaliers tandis que les autres mâles s'approchaient de moi en défaisant leurs braguettes. Un doigt s'enfila d'un coup
sec dans ma chatte ce qui eu pour effet de me faire gémir.
- putain la salope, elle couine de plaisir.
Un autre doigt s'ajouta au précédent tandis qu'une bite pénétra dans ma gorge.
- putain il a raison! Regarde comme elle a le cul tendre!
Je sentis le deuxième doigt s'agiter en moi.
-vas-y mec, fourres-y ton doigt tu vas voir!
Et un troisième doigt vint s'enfoncer dans mon fondement pour lon plus grd plaisir.
- ah ouais... Quelle pute, j'ai jamais vu un gamin avec la chatte aussi accueillante et molle...
- bon je vais pas passer la soirée à doigter ce fils de pute, je suis venu pour me vider les couilles alors...
Je sentis une queue m'envahir ma chatte, elle s'enfonçait sans jamais finir... Elle devait faire au moins dans les 22 cm! Enfin de sentis ses
couilles claquer contre mon cul et je gémis de plaisir autour de cette queue qui me bourrait le cul.
Je me sentais à ma place, une queue devant, une derrière, plrs gars autour de moi qui attendaient leur tour pour me baiser.
Soudain une grde douleur me perfora le cul, comme si... Comme si... Comme si une deuxième teub me pénétrait... Putain mais oui, ça faisait même pas
1min que je me faisais baiser que déjà je passais à la double! Il me fallut quelques minutes avant de prendre pleinement mon pied et savourer ces deux queues qui bougeaient en décalé de
manière à ce que j'en ai toujours au moins une au fond de ma chatte de pute. Entre temps un autre gars m'avait enfoncé sa queue dans la bouche, 2 devant, 2 derrière. Je couinais sous leurs coups
de reins et bandais comme j'avais rarement bandé! Sentir ma chatte chauffer tant je me faisais limer profondément et rapidement, j'étais au septième ciel!
D'autres bruits de pas se firent entendre dans l'escalier.
- je vois que ca la nike bien la chienne hein? Elle est bonne?
La salle entière hurla un "ouais" de satisfaction!
- elle a un cul, un truc de ouf frère!
Les quatre queues qui me limaient aux deux bout sortirent de moi s'échangèrent les places et reprirent leur labeur. J'avais dans la gueule les 2 zobs qui m'avaient pilonné le cul et inversement! Je gémissais de bonheur, bavais partout, le cul tout mou tant il était dilaté, seuls mes lombaires étaient bandés pour que je puisse me cambrer au maximum et me faire baiser le plus profondément possible! Les bites tournèrent, de grosses remplacèrent les fines, mais toutes me démolissaient les trous avec force et sans pitie! Régulièrement un gars me lâchait un "sale bâtard!" ou un mollard et j'adorais ça, être enfin la pute d'autant de gars différents!
Mon cul était démoli, je ne sentais plus qu'il y avait 2 queues en moi à chaque fois on me jutait dans les trous, j'étais complètement shooté au sperme, le foutre des mecs précédents servait de lubrifiant pour les suivants, ma gueule dégoulinait de jus bien gras et blanc, j'empestais la semence masculine, je la sentais couler le long de mes cuisses, je devenais complètement fou lorsqu'on me giclait dessus, réclamant qu'on m'ouvre le cul ou m'écarte les mâchoires à chaque giclée pour ne pas en perdre une goutte! J'étais un vrai zombie sexuel, une vraie pute à faire tourner qui ne souhaite que se faire remplir! Les mecs jutaient et partaient, ils étaient immédiatement remplacés par de nouveaux...! Enfin, vers 00h le rythme ralentit et a 1h30 ce fut fini. Max était parti depuis longtemps je crois mais les gars avaient continué d'affluer.
Je me retrouvais donc seul, la chatte complètement explosée, incapable de marcher, la gueule pendante d'avoir autant pomper. J'avais le visage recouvert de sperme cristallisé, je ne pouvais presque plus ouvrir les yeux tant j'en etais couvert! Mon cul recrachait continuellement tout le sperme dont on l'avait gavé je ne pus m'empêcher de le récupérer et de l'avaler. Ainsi recouvert de foutre et puant la transpiration et le jus, je ne pus m'empêcher de me trouver pute et donc de vouloir me branler. Je commençai alors à m'astiquer ma bonne teub. Or il me manquait quelque chose... Un vide m'accablait... Je savais! J'ouvris un carton en sortis une bouteille de champ' magnum et m'assis dessus! Je pouvais enfin jouir! A peine assis dessus, le goulot enfoncé dans ma chatte de gosse, de grosse giclées sortirent de mon gland gonflé de plaisir! Je léchais mon propre foutre au sol et m'allongeai sur les cartons pour finir par m'endormir.i
Epilogue : je cherchais depuis des heures, j'avais toujours mal à la chatte... Soudain je la trouvais, je trouvais l'annonce que Max avait
postée :
"Rdv au ** av. *********** Chatou, pute a dispo de tout juste 20 a, à gaver sans pitié ni limite, grosse queue et quantité de foutre exigée! "
accompagné d'une photo de moi en train de le sucer!"
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