PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét

Mercredi 11 mai 3 11 /05 /Mai 08:14

  à la découverte de la pornographie   

    

J'ai vraiment l'impression de faire tout à l’envers. C’est vrai, j’ai bientôt 18 ans et je ne connais pas grand chose à l’univers pornographique… C’est con mais dès que je m’installe devant un ordinateur… c’est le vide total… Je ne sais plus quoi marquer, pour trouver les contenues qui m’intéressent. Ou peut-être ai je trop honte d’assumer ce que je suis capable de chercher…
Ce sont peu après les évènements de la natation, que je me suis m’y à chercher plus activement. Je demandais aux potes sur quels sites, ils allaient. Je rebondissais à chaque fois qu’un mec parlait d’un acteur ou actrice porno… Mon petit coté vicieux fait bien rire le reste du groupe. Et dès qu’il le peut Fred m’explique pourquoi :

« - Tu transpires la pureté. C’est pas étonnant que les autres se marrent. Ils se doutent bien que tu n’es jamais aller sur youporn… »

Ma relation avec Fred est devenue bizarre, il m’aide à grandir et comprendre ce que malheureusement ma naïveté créé comme blocage en moi…

« -Je mate des tonnes de porno moi. Parfois même avec mon reuf quand il trouve une bonne scène »

Oui ba désolé, je ne connais rien à votre monde. Mon frère doit être le seul mec au monde à être le plus grand pratiquant et pourtant chercher à m’en protéger le plus longtemps possible. Il y a pas très longtemps en discutant avec mes parents j’ai appris qu’ils n’avaient jamais activé le contrôle parental car ils nous ont toujours fait confiance. Mon frère était très gêné ce jour là. Aucun doute possible, c’est lui qui l’a mis en place. il m’a fallut du temps pour trouver le code secret, mais j’y suis parvenu…

« -Fred tu me conseilles quoi ?
-Rien. Fait toi t’es propre favoris. Quand ça sera le cas, je partagerais peut-être quelques liens avec toi. Mais cherche seul. Enfin… si il y a bien quelque chose par lequel tu pourrai commencer tes recherches.
-Quoi quoi quoi ?? aller dit moi !!
-Le nom que l’équipe arrête pas de te donner. Tu t’en souviens ?
-Oui… Brent Corrigan ?
-Exact ! Brent Corrigan ! Commence par ça »

Il se rhabille et part encore une fois mort de rire. Et encore une fois je ne comprend pas pourquoi !

« -Cherche son étoile, jeune padawan ! Cherche son étoile ! Si tu l’as trouve je t’en dirais plus… » Me cri t’il avant de disparaitre dans le bus.

« - L’étoile de qui ? » Me demande mon frère qui était venu me chercher à la natation car il se faisait tard. Une gourde à la main car lui devait surement sortir de la musculation, il m’emmène à la voiture. « -De quel étoile parlait il ? »
Je sais bien qu’il insistera jusqu’à ce que je parle…
« -Celle de Brent Corrigan »
D’un coup il s’étouffe et crache toute sa boisson au sol. Mais décidément quel est le problème avec ce brent ??? Mon frère rougis
« -Je ne sais même pas si je veux des explications…
-Mais y’a rien à expliquer ! c’est juste que les mecs arrêtent pas de me surnommer Brent. J’aimerai juste savoir à quoi il ressemble ! »
Apparemment j’ai réussi à calmer Romain, car il ne dit plus un mot. A moins qu’il soit encore plus énerver et qu’il préfère se contenir en ne disant rien…
Je le remercie d’être passé me chercher, je pose ma main sur son genou pour accompagner ma parole d’un geste affectueux. Son genou est recouvert de sueur… Le reste de son corps doit être encore plus….
raaaaaah ça va arrête, rentre, mange des pâtes, file dans ta chambre te coucher et tapes ses quelques lettres sur ton portable pour avoir le fin mot de l'histoire.

C'est donc lui… Ouais bof minuscule blondinet rachitique y'a mieux quoi… Je viens de me casser en une seule description… La classe… En même temps si c'est comme ça que l'équipe me voit… Enfin il fait un piètre acteur porno hetero… Enfin il fait pas rêver…
Mon sentiment de solitude fut démultiplié quand je compris enfin qu'il n'était pas hetero… L'equipe me compare à un acteur porno gay, qui vu la tête et le physique doit être 200% passif… Je pense savoir le rapprochement entre lui et moi… Nos fesses se ressemblent beaucoup. Bombées et charnues. Mais quand même de la à être réduit à une paire de fesse… C'est assez dégradant…

C'est comme ça que mon histoire avec le porno a débuté. J'ai regardé ma première video ce soir là avec Brent Corrigan, puis une autre en lien en dessous, puis une autre et ainsi de suite.

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Voici mon parcours, je vous fais part de mes préférés, ceux qui ont attisé ma curiosité, ceux qui ont su faire frémir mon corps à travers un écran d'ordinateur, arriver à me faire gémir par les manières d'être leur façon de faire. Je pouvais enfin sans contrainte, sans gêne et sans peur regarder des corps qui me plaisent tant, des attributs qui me font rougir, des attitudes que me font fantasmer…

Brent corrigan est mignon, je ne peux pas le nier, mais quand j’ai découvert sa scène avec…. Rien que prononcer son nom me fait vibrer. Avant de vous dire son nom, je dois vous le décrire. Un magnifique mannequin canadien… Un corps parfaitement formé, même si mon frère est mieux. Très souvent il se caresse le corps en regardant la caméra. Il sait qu’il est beau, il aime son corps et son orgueil est assez plaisant… Le pire c’est quand il est complètement huilé… Ses lèvres rouges sont charnues et embrasse de la manière la plus excitante qu’il soit. On sent qu’il aime embrasser… Sa queue…. Je ne vous en parle même pas… Un magnifique membre de jeune mec en rute. Elle n’est pas énorme mais bien plus grande que la moyenne. Circoncise, épaisse, surmonté par un magnifique gland bien large qu’il tient virilement du bout de son avant-bras tatoué par deux cercles fins et noirs…. Je ne sais si la description suffit mais il s’agit de Brent Everett… Je pourrai vous décrire chacune de ses scènes… Je les connais quasiment toute par coeur… Je le suis depuis que je connais son existence… Il adore les scènes solo, mais quand il est en duo c’est excellent…. Notamment deux avec Brent everett… Il m’a fait découvrir que les gays font quelque chose que je ne connaissais pas du tout…. l’annulingus… Corrigan faisait peut-être semblant mais il avait l’air de vraiment aimer qu’Everett dépose sa langue sur sa rondelle… je ne comprend pas encore tout mais bon… Les images me plaisent de plus en plus… Il restera toujours mon favoris….

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Dans la même veine nous avons Topher DiMaggio… Hum tout en muscle et en vigueur. Gueule de bogoss, bonne queue, dès qu'il baise un bon petit passif, il ne peut s'empêcher de commenter et ça j'adore… Même si c'est en anglais c'est excitant quand le mec te demande si tu aimes ce qu'il te fait, la manière dont il prend possession de ton corps. Et ses râles virils de plaisir me font durcir presque instantanément…

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Les sites pornos sont indexés par catégories…. Jamais je n'aurai du y jeter un oeil… Mes catégories préférées ? Muscle, uniforme, big cock ou ttbm…
J'ai un faible pour les ttbm c'est difficile a exprimer mais ça leur donne une virilité et une force… On sent qu'ils sont fier d'eux. C'est difficile à exprimer mais moi ça me rend fou à regarder… Et particulièrement trois…
Barrett long, Matt hughes et Trevor Yates… Le premier a non seulement une énorme queue, mais de magnifique couilles pendantes bien remplies… Quand à Matt je l'ai découvert dans des scènes gay avec son énorme manche qui fait en général peur au passif qu'il va devoir l'avaler, mais je l'ai préféré dans son époque hétérosexuelle. Une queue tellement impressionnante qu'elle est incapable de s'enfoncer jusqu'à la garde dans une chatte bien humide. Ça doit être frustrant d'être ttbm… Peu de personne arrive à pleinement vous sucer, même avec la meilleur volonté du monde les chattes de vos copines ont une fin parfois bien trop proche. Pas étonnant que quand vous trouviez un bon trou agréable et pleinement utilisable vous ne le lâchiez plus…

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D'autres acteurs me font penser à mon frère et j'avoue aimer les regarder. Pavel Novotny en est un parfait exemple. C'est pecs sont aussi larges que ceux de mon frère. Un visage fin. Une queue normale mais dont il se sert à merveille. Les mises en scènes que j'ai pu voir sont assez vintage mais je me souviens mettre fait beaucoup de bien en le regardant…

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Titof est un français qui m'a beaucoup surpris. Il n'a physiquement rien de très attirant mais lorsque j'ai découvert son depucelage gay…. Il y avait de la tendresse, l'actif avait l'air de vraiment se faire plaisir dans son petit trou, et a en regarder de plus près les réactions de titof donnaient vraiment l'impression que c'était la première fois. Ressentir sa souffrance à la première pénétration et découvrir au fur et a mesure de la scène qu'il aime ça… Il m'a fallut attendre de découvrir ses scènes hétérosexuelle pour que cet étalon monocouille montre ce que sa large queue peut faire… Et toujours ce côté, fier de sa teub… Parfois ce sont les petits commentaires qui sont les plus incisifs et provoque le plus de plaisir. Quand il retrouve à moitié nue la femme qu'il va devoir sauter. Quand il s'en approche queue bien raide lui massant les seins, et frottant rapidement avec deux doigts sa petite chatte. Qu'il se retourne en rigolant vers le cameraman qui lui dit “alors on t'a gâté hein” et qu'il répond en branle sa bonne queue juste devant son visage de salope en manque “oui elle va être très bonne je le sens. Fait voir comment tu suces” ça me rend dingue…

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Je connais malheureusement peu d'acteur francais qui sont aussi bavard. Parfois sur citébeur on a de bonnes surprises, avec des arabes bien viril, des vrais niqueurs qui ne pensent qu'a leur bien, et qui domine leur lope par la parole. Mais sinon…. Le francais parle peu je trouve.
Je me contenterai d'anglophone bavards qui se débrouillent plutôt bien…

Est venu le temps aussi ou j'ai découvert les productions… Ce n'était pu un mes des étalons tous triés pour rentrer dans les codes de la production en question…
Notamment TimTales…. Ils ont tous des membres tellement larges que parfois une simple baise ressemble plus à du fisting qu'autre chose…

Et la production où j'ai l'impression de ne voir que des clones de mon frère : Belami…
Des corps magnifiques, des queues à couper le souffle… Je me régale à chaque fois que j'en lance une… Et en tête de cortège Kris Evans…

J'ai découvert une production beaucoup plus douce et orienter sur l'amour que sur la baise. ManRoyal et notamment une scène ente Tyler sweet et luke hass…. Tout m'a plus la manière se s'approcher de tyler…. Ce fut la première fois que pu constater la position d'annulingus, on luke mis tyler en chandelle pour avoir son anus directement à la portée de ses lèvres et pourquoi dans le même temps observer les réactions de son passif. Inutile de regarder le visage de tyler, il suffit de voir sa rondelle s'exprimer et se crisper a chaque coup de lange. Je me demande dans quel état est un actif qui bouff un trou…

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J'oublie naturellement plein d'acteur mais vous avez les principaux. Ceux qui me font vibrer, bander et même jouir… J'ai découvert lors d'une de mes séance quei j'avais mouillé mes draps. Ce n'etait pas du precum ou de la transpiration. Quand j'ai avancé un doigts près de ma raie et que j'ai senti l'humidité venir de là. Cette découverte m'a stupéfait. Le liquide etait visqueue et très humide mon doigt glisse sans mal dans ma raie….. Serai ce ça la mouille masculine ?
Le constat de mes favoris est plus qu’inquiétant… 99% d’acteurs porno gay, principalement actifs, le plus souvent des sosies de mon frère. Dès que je tentais de regarder une scène hétéro, seule la queue du mec m’importait, bref je crois que je vais devoir arrêter de me voiler la face et accepter la vérité sur ma différence… L’assumer est bien différente mais au moins si j’accepte ce que je suis, je vivrais plus facilement mon gout prononcé pour les musculatures développées et les membres impressionnants, je dirais même hors normes qui pour le coups me paraissent normales… J’ai l’impression que toute la population est doté de ces engins impressionnants, pourtant cela ne représente qu’une minorité. La chance est de mon côté : Fred, mon frère, Enzo. Je suis plutôt correctement entouré…

Quand à mon addiction pour Romain… Le poids de ma culpabilité fut rapidement allégé quand une merveilleuse nuit je suis tombé sur deux jumeaux… Je me souviendrai toujours quand j’ai activé la première video ces deux jumeaux baisaient un troisième mec, et quand dans les propositions de video j’en ai vu une où ils s’embrassaient, j’ai vite cliqué dessus et j’ai découvert qu’ils faisaient l’amour ensemble… C’était possible, cela existait et pas que dans mes fantasmes… Deux frères jumeaux se pompant mutuellement la queue, se léchant l’anus et se doigtant amoureusement jusqu’à la pénétration finale. Ils se faisaient tellement de bien qu'ils finissent par s'éjaculer mutuellement sur le torse et sur le visage. Rien ne les dégoutte. Ils gouttent même avec plaisir au sperme de l'autre. Certes ils sont payés pour réaliser ce scénario mais ils l'ont quand même fait… Deux frères jumeaux. Elijah et Milo Peters…

Si deux jumeaux peuvent…. Alors pourquoi pas moi ? Pourquoi pas nous ?! Ah arrête de penser à ça, tu te fais des illusions….
Plus un jour ne passe sans que mon esprit se monopolise 5 minutes à penser à lui.
Et ce soir que fait il ? Surement sortir en boite avec la bande comme tous les samedi… Je me décide d'aller le voir dans sa chambre. Interdiction de rentrer sans frapper, la dernière fois que j'ai osé, j'ai bien cru qu'il allait me tuer !

“-Axel, c'est toi ?? Qu'est ce que tu veux ?
-Rien, juste discuter….
-rentre pas je t'ouvre dans 30 secondes ok ??”

Je l'entend se dépêcher de ranger des trucs de l'autre côté de la porte, puis m'ouvre les portes de son antre. Son odeur d'after-shave embaume la pièce, se mélangeant avec sa délicate odeur de beau mâle. Il est très rare que sa chambre sente le vieux fauve. Le plus souvent j'ai le droit à ce genre de subtiles effluves.
Face à moi, chemise blanche grande ouverte laissant apparaitre ses muscles divins. Je m'étonne d'ailleurs à continuer à en apprécier les rondeurs malgré le fait que j'en matte bien plus à présent sur le net. Et pourtant les siens ont quelque chose de spécial d'authentique de réel et surtout peu d'acteurs porno se révèlent mieux loti que lui !

“-tu te prépares encore pour aller en boite ?”

Sous entendu “tu te prepares encore a aller en boite SANS MOI, et me laisser SEUL un SAMEDI SOIR ????!!”

Ma question a l'air de l'avoir toucher car il se stoppe net dans le boutonnage de sa chemise, se pose sur le lit en tapotant la place à cote de lui, m'invitant à le rejoindre, ce que je fais immédiatement…

“On en a déjà parlé Axel tu es trop jeune pour nous accompagner. Tu serai perdu et de mon côté je passerai mon temps à te chercher du regard pour êtreu sur que tu vas bien…”

 

Par newcomer - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 11 mai 3 11 /05 /Mai 07:44

je me répétais : " je t'aime...je t'aime..."sans arrêt...

 

 on s'est compris hein, les mecs ?

 

Hier, tandis que je faisais ma promenade quotidienne parmi la meute, je repensais à une des phrases d’un de ses derniers courriers : ” ne baisse pas la tête “. Bien sur je comprenais l’invitation à être ” fort et fier ” mais je m’attardais sur cette formulation peu ordinaire et j’en cherchais le sens exact. Voulait-il me dire de ne pas baisser les bras mais au vu de la quasi inutilité de ces membres chez moi, jugeait-il plus adéquat de parler de ce qui fonctionnait encore ?

J’avais des lunettes de soleil sur le nez – j’aime mettre cette distance entre moi et le monde – et ça me permettait de regarder les chalands sans détourner les yeux quand leur prenait l’envie de me jauger à leur tour.

Je m’interrogeais sur mon incapacité chronique à soutenir le regard de gens si peu importants pour moi et je repensais à mon sevrage de 2006 dans la clinique de la forêt noire de la périphérie toulousaine. Après avoir laissé derrière moi certains poisons, les relations à autrui étaient très difficiles, je devenais un fantôme silencieux et peureux. Je n’arrivais plus à regarder les gens dans les yeux, pour moi c’était un réel problème car chaque conversation était une torture et peu à peu je m’isolais. C’est alors que l’étonnante psychologue qui présidait un groupe de parole hebdomadaire sur « les dépendances » avait tenté de me donner une leçon. Pendant la séance elle s’était adressée à moi sans me regarder mais au lieu de contempler le sol, elle fixait le plafond. C’était assez déconcertant, tellement inhabituel de voir quelqu’un vous parler les yeux vers le haut, elle ressemblait à ces personnages de mangas dans une de leurs gimmicks récurrentes. Elle ne le saura jamais mais cette scène m’a beaucoup marqué, c’est resté là – au milieu d’un imposant fouillis- et souvent j’y repense. J’avais bien compris le message : rien ne vous oblige à baisser les yeux si vous n’arrivez pas à soutenir le regard des autres, vous pouvez aussi les relever, c’est à vous de voir.

Tout en continuant à marcher et à penser à tout ça, j’ôtais mes lunettes noires et je me disais que je n’avais aucune envie d’offrir à ces gens le petit plaisir de penser que je me sentais inférieur… Même si je n’arrivais pas à dépasser le conditionnement qui m’interdisait de les regarder en face je pouvais toujours essayer de planter mes yeux dans le ciel.

J’y découvris le soleil, des nuages magnifiques, des oiseaux… L’horizon tentait visiblement de me faire comprendre qu’il offrait au regard bien plus de merveilles que le sol et ses petits trésors mesquins. C’est difficile de marcher en contemplant le ciel, mes yeux voulaient sans cesse reprendre leur position habituelle mais je ne les laissais pas faire. Même si je savais que ça ne durerait pas, même si le lendemain j’étais déjà passé à autre chose, j’étais décidé à faire cette balade les yeux dans le ciel jusqu’au bout.

Je regardais les toits, la cime des arbres, les lignes blanches que les avions dessinaient dans le bleu et c’était si joli que je me demandais s’il était possible que je ne déteste pas le monde autant que je pouvais le croire. Comment ne pas aimer ces paysages ?

C’est là que je compris … Ce n’était pas le monde qui me faisait horreur, c’était moi que je n’avais jamais aimé. Quand la vie me semblait hostile, quand j’étais irrité par les autres, c’était souvent avec moi seul que j’avais un problème.

Il me sembla que je venais de trouver une clef d’une importance première : peut-être que s’aimer soi-même était un début de solution à tous les problèmes ? Peut-être que si les hommes avaient plus d’amour propre la terre aurait moins de difficultés à tourner sur elle-même pour nous montrer la voie?

Comment faire quand on ne s’aime pas ? Comment changer ça ?

Entrer dans le cabinet d’un psy, dire « bonjour, pouvez-vous m’aider à m’aimer ? » ?

Je décidais que non, ce n’était pas ma voie, je n’apprenais qu’en suivant mon propre cheminement et les nouveaux gourous de ce monde si moderne n’avaient jamais réussi qu’à me prescrire des difficultés supplémentaires. Comment pourraient-ils me comprendre dans leurs diagnostics, leurs symptômes et leurs remèdes universels ? Comment me faire tenir dans leurs cases ?

Cependant je ne pouvais pas tout rejeter en bloc, d’autres avaient du esquisser des solutions et après avoir analysé la situation pendant quelques instants mon cerveau se connecta à celui de ce bon vieux Coué. Si tout n’est qu’un conditionnement, pourquoi ne pas tenter d’imposer à son mental d’autres schémas que ceux qui vous handicapent ? On peut toujours essayer, ça ne mange pas de pain.

J’ajoutais donc un nouvel exercice à ma marche solitaire, j’avançais désormais en regardant le ciel et en me répétant « je m’aime, je m’aime, JE M’AIME… », à voix haute quand il n’y avait personne sur mon chemin, dans ma tête quand je croisais quelques vieilles peaux limougeaudes au mépris épidermique.

Je tins bon pendant une heure mais, alors que je rentrais chez moi, mes yeux quittèrent le ciel pour tomber sur un garçon au physique troublant.

Je le regardais un moment avec une certaine envie, en me demandant ce qu’on pouvait ressentir lové dans ses bras puis mon regard, fataliste, reprit son voyage vers les sommets. Qui aurait bien pu comprendre un garçon qui marchait dans les rues en exhortant le ciel de lui donner la force de s’aimer ? Il fallait se rendre à l’évidence, il existait des solitudes indélébiles, des partages impossibles.

J’étais un peu triste, j’avais envie de laisser couler mes larmes mais je fis une nouvelle découverte : on ne peut pas pleurer la tête haute, ce n’est pas une attitude qui convient à la désespérance.

 

 

Par DESDICHADO - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 5 mai 4 05 /05 /Mai 19:39

une sécu de l'amour ...une sécu du ...cu  ! un gars qui ferait aussi bien de se faire gay...il a des dispositions ! 

 

Stéphane parle sur Rue89

 Je suis pas seul dans mon cas qui rappelle la misère sexuelle du héros du film « La Crème de la crème » de Kim Chapiron. Pour ma part, je compte sur mes doigts le nombre de rapports sexuels que j'ai eus. En tout. Je me sens un "vrai loser de la baise"

la fille :    

   

 

 fake : à la recherche d'une image anonyme qui représente Steph  

Capture d'écran de la bande-annonce du film
Photo : Capture d’écran de la bande-annonce du film « La Crème de la crème » de Kim Chapiron. Un étudiant de grande école profite d’un réseau de prostitution créé dans une école de commerce afin de contrecarrer une certaine misère sexuelle. - Wild Bunch
Je dis tout :
L'INTERVIEW SE DEROULE SUR SKYPE :

Au tout début de la conversation, on a dû mal à entendre ce que Stéphane dit. Son souffle sature le micro. On dirait qu’il stresse, pas à l’aise malgré la distance imposée par Skype.

Stéphane a 27 ans et il le dit, il n’est pas souvent à l’aise. Pas confiance en lui. Militant engagé, ancien étudiant en politique, ce passionné de science-fiction use de mots durs pour se décrire :

« J’ai un peu de ventre, je suis moche, timide, parfois trop sérieux, je manque de tact, je ne plais pas et rebute au premier abord. »

Avec les relations sentimentales et sexuelles, il a un peu de mal. C’est pour ça qu’il nous a écrit.

« Je vous propose la perspective de ceux qui ne baisent pas, ou plutôt n’arrivent pas à baiser. »

Voici les mots de Stéphane, ce « loser de la baise », comme lui le dit.

Ma sexualité

Ma dernière relation sexuelle ? Je peux citer la date et l’heure. Le 30 mai 2014, presque 2 ans maintenant. J’ai rencontré la fille sur un réseau social de « sorties amicales ». La vingtaine, elle allait passer le bac alors je l’ai aidée à réviser.

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Lors d’une séance de révision, on s’est embrassés puis pelotés. La semaine d’après, elle est venue chez moi, officiellement pour réviser. Elle n’était pas très intéressée, j’ai un peu insisté et elle a accepté.

J’ai d’abord voulu la prendre en missionnaire, mais ça ne l’excitait pas trop. Du coup, elle a grimpé sur moi, en amazone, elle adorait cette position,

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ça tombait bien puisque moi aussi, c’est ma préférée. On a fini au bout de trente minutes.

C’est l’unique fois où l’on a eu un rapport sexuel. C’est bien dommage. Après ça, notre relation a vite décliné. En même temps, je me suis attaché à elle juste dans l’idée de coucher, ça ne pouvait mener nulle part, la base n’était pas saine.

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Coucher avec une fille, ça tourne vite à l’obsession. Sur le réseau social de « sorties amicales », par exemple, je ne me pointe pas aux sorties où il n’y a que des hommes.

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Il y a bien une fille qui me plaît en ce moment. On bosse ensemble dans une association, mais je ne sais pas ce qu’elle ressent, je n’ai jamais osé le lui en parler. Puis maintenant, je pense avoir franchi la limite de la « Friend Zone ».

Est-ce que je me sens en manque ? Franchement, ma libido n’est pas très forte mais il m’arrive parfois de me sentir en « rut ». Je me réfugie dans ma tête, je compte le nombre de mois où je n’ai rien fait, je me masturbe deux à trois par jour.

Je consomme du porno amateur. Quand je me connecte à un site, je vais directement dans cette catégorie. Les vidéos sont moins formalisées que les professionnelles. C’est comme si je vivais la relation par procuration, je me dis : ça ressemblerait à ça si j’avais une copine, un moyen d’essayer de ressentir ce qui m’est inaccessible autrement.

 

Ah ????? !!!!

"J’utilise un plug anal" et des masturbateurs, des sortes de fourreau en forme de vagin. J’en ai deux, dont un qui simule une fellation. C’est du manuel, pas électrique. J’ai aussi fait l’acquisition d’une poupée gonflable. Et j’ai vu qu’ils avaient sorti une nouvelle gamme, un tronc en silicone.

 

Les masturbateurs de Stéphane
Les masturbateurs de Stéphane - Stéphane
club gay : 

Quand ma tension sexuelle monte trop haut, je vais dans un club gay. Avoir des relations sexuelles avec des hommes ne me repousse pas, viscéralement parlant. Je dirais que je suis bi-curieux. Je ne suis jamais tombé amoureux d’un homme et jamais un mec ne m’a plu, spontanément dans la rue. (NDLR : dommage !) 

Ma dernière fois avec un homme, je la date à février 2015. Oui, j’ai dit tout à l’heure que ma dernière fois, c’était en mai 2014, mais il faut comprendre que coucher avec un mec, je considère ça comme un acte purement mécanique, « pour me vider ». S’il n’y avait pas l’ambiance particulière du club gay, la musique et les cellules privatives, je ne ferais rien.

Les hommes rencontrés sont plutôt passifs. Je ne me suis jamais fait prendre. Parfois, juste un câlin, on se masturbe, on se suce, on s’embrasse, voilà. Ah si, je me rappelle une fois vraiment bien, avec un homme, plutôt vieux. Il m’a sucé jusqu’au bout ! Ejaculation dans la bouche, ah bah ça, c’était super, la première fois qu’on me le faisait. Lui était tout content de sucer un jeune, il me disait : « Ah, ça, c’est une bien belle bite. »

Mes dates clés

Ma sexualité s’est éveillée sur le tard. Je me suis masturbé pour la première fois à 15 ans et demi. Au début, je n’arrivais pas à jouir, même devant les films érotiques du dimanche soir. Pas très dégourdi…


Couverture du livre « Neuromancien », de William Gibson

Ma première éjaculation est arrivée comme par hasard. J’étais en train lire un bouquin de SF, le neuromancien une œuvre fondatrice du courant cyberpunk.

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J’ai commencé à me tripoter sur une scène sexuelle, j’ai joui au bout de trente secondes. J’en ai foutu partout sur la couverture. Vraiment, « Neuromancien », c’est un des meilleurs bouquins de SF.

Pendant toute mon adolescence, j’ai souffert de solitude, et ça a eu un impact sur ma sexualité. Au collège, je me réfugiais dans la lecture mais au lycée, avec le réveil de la libido, j’ai souffert. L’éternel puceau à qui on ne prête pas attention car il est trop intello, trop littéraire, trop dans son coin.

J’ai eu ma première relation sexuelle à 20 ans. Je me disais :

« Non, là, ça ne peut plus durer. J’ai 20 ans. Je n’ai jamais couché avec une fille. Et si une fille tombe amoureuse de moi, je dois savoir comment faire, ne pas passer pour le puceau. »

Je trouve un coin où il est de notoriété publique d’y trouver des prostituées. Prostituées qui, avantage énorme, travaillaient dans un camion (je n’avais pas les moyens d’aller à l’hôtel). A la première croisée, j’ai dit : « Je suis client. »

Elle avait des gros seins, bombés, pas très attirants. Dans le camion, le lit, assez étroit, était plaqué contre la porte arrière, et ça sentait l’encens. Elle m’a enfilé la capote car elle voyait que j’avais du mal. Elle avait peut-être compris que c’était ma première fois.

Je l’ai prise en missionnaire cinq minutes. Dans ma tête : « Ça y est, je suis en train de coucher avec une fille. » Elle m’a fini à la main et deux semaines plus tard, j’y retournais pour tester la fellation.

J’entends parfois les témoignages de gens qui regrettent leur première fois, genre « c’était trop nul ». Moi, ma première fois, je me suis senti obligé de l’acheter…

Par la suite, j’ai eu la chance de vivre, pendant mes études, dans un pays européen tolérant envers la prostitution. Il y avait un bordel près de chez moi, je sélectionnais la fille sur Internet, selon la photo, plutôt grande et de mon âge. J’essayais d’y aller le matin, comme ça je me disais que j’étais l’un des premiers clients. Elle serait plus en forme, plus attentive…

Je reviens en France vers ma 25e année. Là, ça ne peut plus durer. J’ai un déclic. Il faut que ça change, que je change. Je trouve des coaches en séduction sur Internet. Je dévore littéralement les articles. Ils t’apprennent comment parler aux filles, les séduire, avoir un « life style », comment donner l’apparence d’être intéressant, bien s’habiller…

J’ai dépensé plusieurs centaines d’euros en tout, livres de séduction compris, pour un résultat quasi nul au final. Pourtant je maîtrise la théorie des « opener », des moments de la conversation, du kino (toucher une fille), etc. Mais dans la pratique...

C’est grâce aux applications de rencontre, notamment Badoo, que j’ai eu ma première relation sexuelle non payée. La fille cherchait des coups d’un soir, une fois par mois. On a tchaté, ça a collé, elle m’a dit de venir chez elle.

Je suis arrivé un peu trop tôt, elle a pris une douche, avant de sortir en robe de chambre. Elle a capté que je n’étais pas à mon aise. On a maté un film et, deux heures après, on s’est embrassés, pelotés, avant de se jeter l’un sur l’autre. Je lui ai fait un cunnilingus. Apparemment, ça lui a beaucoup plu. Je savais comment faire car j’avais lu un e-book sur la question.

tardif ? comment peut-on reprocher à un homme d'être tardif  ? ?? 

La fin n’a pas été très satisfaisante. Elle a atteint l’orgasme vite et m’a laissé en plan. J’ai dû me finir à la main. C’est un vrai problème, ça, je suis tardif et on me l’a reproché plusieurs fois. On parle des éjaculateurs précoces mais jamais des tardifs. Il y a même une prostituée qui a refusé de me voir, la troisième fois, parce que je la « fatiguais » trop. Comment ça se traduit ? Je finis quasiment toujours à la main.

Après ça, j’ai eu une copine pendant un mois. J’en garde mes meilleurs souvenirs. C’est d’ailleurs avec elle que j’ai connu la fois la plus folle. Elle voulait rompre. En me réconfortant, on a fini au lit. Sans capote. On a fait beaucoup de trucs, plein de positions, mais malheureusement on a pas été jusqu’à la sodomie. Enfin, je lui mettais quand même un doigt dans le cul. (bienvenue au club Stéphane !)

Le droit de baiser et le droit à l’amour devraient être une part fondamentale de la protection sociale 

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Aider la sexualité

Pour définir ma sexualité, je dirais qu’elle est frustrée. J’aimerais avoir bien plus d’occasions d’avoir des rapports, mais ces occasions ne viennent pas. A moins que je ne les voies pas.

En fait, je ne trouve pas normal de pouvoir compter le nombre de relations sexuelles que j’ai eu dans ma vie. Les doigts de mes mains et mes pieds suffisent…

Au fond, c’est pas le sexe le plus important, mais c’est l’affection. J’aspire juste à avoir une vie stable et faire l’amour une fois par semaine avec ma copine, partager de bons moments.

C’est vraiment pas normal que, dans notre société, il y ait des gens qui puissent passer des années d’abstinence et d’autres non.

Je pense que nous ne sommes pas égaux en matière de séduction et donc de capacité à coucher. Comme à l’école, quand tu n’as pas certains avantages, l’ascenseur sexuel (social) ne marche pas. Tu restes au fond du trou en espérant trouver un jour une fille assez désespérée pour vouloir de toi.

Je ne sais pas comment le formuler mais, pour le travail on a Pôle emploi, alors pourquoi ne pas avoir « Pôle amour ». Le droit de baiser et le droit à l’amour devraient être une part fondamentale de la protection sociale, tout comme le droit à des soins, à un revenu minimum, à une éducation.

Ce que je dis peut paraître idéaliste, mais je suis persuadé que des gens en couple, ces sont des gens plus épanouis, qui font tourner l’économie. Tu vas dépenser plus, tu vas avoir des meilleurs résultats au travail, tu es en meilleur santé.

Alors, j’ai déjà pensé à créer le parti politique de l’amour, ou du sexe, ou simplement une association. J’ai composé les paroles d’un remake de « L’Internationale ». Je l’ai intitulée « L’Intercoïtale ».

« L’Intercoïtale », paroles écrites par Stéphane

« Debout  ! les damnés de la Baise  !
Debout  ! les forçats du Plaisir !
Notre vie n’est pas une longue ascèse,
de laquelle nous refoulons tout désir.
De l’abstinence faisons table rase,
Amant transi, debout  ! debout  !
L’amour va changer de base  :
Nous n’avions rien, niquons tout  !

C’est la baise finale
Dévêtons-nous, et demain,
L’Intercoïtale,
changera notre quotidien.

Il n’est pas de pudeur suprême,
Ni Moraliste, ni puritain,
Forniquer n’est pas un blasphème  !
Décrétons l’orgasme commun  !
Pour que le sexe soit un droit,
Pour tirer la libido de son silence,
Mettons les bonnes mœurs en émoi,
Et livrons nous à la jouissance  ! »

  (quand on est mort on rattrape pas les jours de "grève du sexe ! )  

 

Par STEPHAN&RUE89 - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 25 avril 1 25 /04 /Avr 14:34
Colton Haynes se prend pour Angelina Jolie sur Instagram !
C'est l'éclate pour Colton Haynes !
Publié il y a 7 jours
Publié le 18 avr. 2016 10:32:11
Ecrit par Ludivine L.
il a 28 ans  ce beau jeune-homme

Pendant que certaines stars font la fête à Coachella, Colton Haynes lui s'éclate à se déguiser en Maléfique ! Décidément, Colton Haynes nous surprend toujours !

Ce n'est pas une nouveauté, Colton Haynes ne fait pas les choses comme tout le monde ! D'abord ça tient à ce que Colton Haynes avait un passé gay secret
 
 
 Tandis que beaucoup de people s'éclatent à Coachella, la star d'Arrow fait elle aussi la fête, mais pas au célèbre festival. L'interprète de Roy Harper était invité ce week-end à une soirée déguisée et c'est une nouvelle fois de façon presque WTF que Colton Haynes est venu habillé! Rappelez-vous, pour Halloween 2014, l'acteur s'était déguisé en Fiona de Shrek et pour 2015, c'est en Ursula de la Petite Sirène que Colton Haynes s'était vêtu ! Mais attendez... On est bien en avril ? Ce n'est pas encore Halloween ? Un détail qui ne semble pas déranger le jeune homme qui s'est déguisé en un célèbre personnage de Disney.
Colton Haynes, né le 13 juillet 1988 à Wichita dans le Kansas, est un acteur, mannequin et chanteur.
Il commence à avoir du succès après être apparu dans une série de photographies de Bruce Weber pour la marque Abercrombie & Fitch
En mars 2010, il est sur le tournage de la série d'ABC, The Gates, dans laquelle il tient le rôle de Brett Crezski, un joueur de football qui se transforme en loup-garou.
En 2011, il décroche le rôle de Jackson dans la série de MTV Teen Wolf, basée sur le film éponyme de 1985.
En 2012, il apparaît dans le clip de Leona Lewis "Trouble" dans le rôle du petit ami de Leona Lewis.
En 2013, il décroche le rôle de Roy Harper dans la série Arrow.
.
 
NON EVENEMENT :
Colton Haynes vient de confirmer son homosexualité par morandini
 
 
c'est dans la peau de Maléfique que Colton Haynes s'est glissé ! Serait-il un Disney fan caché ? Il n'y a plus aucun doute ! 
 
Trouvez-vous Colton Haynes délirant ?
- Non ! moi je l'aime !
Afficher l'image d'origine- j'en ferais bien mon escort...s'il est gay en plus !
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 - comment lui dire : "tu es gay?  eh ben je t'm mieux quand tu es une lance et un trou...(mieux gay qu'hétéro) -lol-
Afficher l'image d'origine
 
 
__________________________________________________________________________________
transformer mon Chéri ?
2  

Genre...eh ben on le préfèrerait gentil Ptit Loup

 
 c'est pas lui, rassurez-vous !
 
Par 1MORANDINO 2 MORANDINI - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 13 avril 3 13 /04 /Avr 02:24

enculé ça ce serait rien ? -lol-...mais humilié, ça non !

 

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http://www.jeuxvideo.com/forums/1-50-98617678-1-0-1-0-vrai-recit-trahi-par-mon-ami.htm 

Je vais faire simple : je me suis fait violer par mon ami. Je voudrais de l'aide, mais avant je vous raconte mon histoire -si vous ne voulez pas la lire lisez simplement le dernier paragraphe-.

Alors, cet "ami" s'appelle Jules, c'était mon meilleur ami avant. Nous nous faisions des petits coups en douce, des petites blagues, etc... Mais ce n'était jamais méchant ! Chacun prenait toujours bien la blague de l'autre... Jusqu'à ce jour...

C'était à mon tour de faire une blague. Pour ce faire, j'avais trouvé une parade très simple mais qui reste encore drôle au fil du temps : baisser le pantalon devant tout le monde. Jules et moi étions donc dans la cour de récréation, il y avait une foule pas possible, et moi j'étais enchanté de pouvoir faire rire autant de monde ! Jules s'avançait donc dans la cour, je l'ai surpris par derrière et lui ai baissé son jean. Un rire communicatif submergea la cour devant le visage penaud de Jules, qui s'empressa de remettre son pantalon en place. Mais ce qui est fait est fait. Tout le monde riait, y compris les profs qui regardaient l'extérieur de leur salle.

Vous trouvez ça sûrement salaud de ma part, et c'est vrai que ce n'était pas très intelligent... Mais justifiait-il une telle vengeance, cela méritait-il le viol ?

Quelques jours passèrent après cet incident. Jules me paraissait très bien remis de ma blague mais ça m'étonnait un peu qu'il ne contre-attaque pas dans les jours qui ont suivi, cependant lui et moi pouvions très bien ne pas nous faire de crasses pendant un mois, alors je n'étais pas plus dérangé que ça.

Et puis ce jour fatidique... C'était un mercredi. Jules et moi sommes sortis du lycée vers treize heures. Nous bavardions gaiement sur le chemin du retour quand soudain Jules s'arrêta et me regarda, l'air curieux. Je lui demandai ce qu'il avait et il me répondit : << Tu sais, je me demandais... Tu ne voudrais pas aller faire un peu de sport au gymnase après les devoirs ? Ça fait longtemps que  nous n'y sommes pas allés. >>. J'acceptai. Il disait vrai quand il mentionnait que ça faisait pas mal de temps que nous n'avons pas mis le pied au gymnase, et puis de toute manière ça ne dérangeait pas mon emploi du temps.

Il passa donc chez lui chercher sa tenue de sport puis nous allâmes chez moi ; nous fîmes nos devoirs, je pris ma tenue de sport et nous partîmes au gymnase.

Arrivés au gymnase, nous allâmes dans les vestiaires. Deux garçons se changeaient mais je n'y prêtai pas attention, trop occupé à discuter avec Jules. Nous enfilâmes nos tenues respectives et sortîmes des vestiaires. Soudainement, Jules s'arrêta de marcher. << Oh ça me fait penser ! L'autre fois quand je suis allé au gymnase, j'ai oublié ma paire de gants dans la réserve ! Viens, on va la chercher ! >>. Et moi, tout naïf que j'étais, je l'ai suivi. La réserve se trouve au fond d'un long couloir exigu, très loin du terrain du gymnase donc...

Jules ouvrit la porte de la réserve qui n'était bizarrement pas fermée. Je ne tins pas compte de cela et me mis à chercher bêtement une paire de gants qui pourrait traîner par terre. Affairé dans mes désespérées recherches, je ne remarquai plus aucun bruit. Au bout d'un moment je me redressai, le dos en compote et vis Jules, torse nu ainsi qu'un des garçons des vestiaires. Celui-ci avait une batte de baseball dans la main. Je restai bouche bée. Quand je voulus prendre la parole, Jules me coupa sur-le-champ : << Déshabille-toi connard. >>. Je le regardai, complètement ébahi, jusqu'à ce que l'autre garçon s'approche de moi et me menace de la batte qu'il tenait. << Tu te déshabilles ou j'te frappe ! >>. À cet instant-là je songeai à une blague de Jules et tentai de me rassurer moi-même en disant : << Tu sais Jules, il est pas parfait ton plan... Je peux sortir à tout moment, hein... >>. Vous devez trouver ça con mais c'est la seule parade que j'ai pu trouver, et je commençai à avoir un peu peur pour tout vous dire...

Jules roula les yeux, exaspéré et dit : << Y'a l'autre qui surveille t'inquiète pas. >>. Je restai silencieux, complètement étonné. Il s'avança vers moi et enleva promptement mon t-shirt. Je fus, comme lui, torse nu. Sans que je puisse dire un mot, il baissa mon jogging accompagné de mon caleçon. Il les enleva et les envoya à l'aitre bout de la pièce. Je me courbai, honteux puis balbutiai : << Jules c'est pas drôle, arrête... >>. Jules se mit à rire. << Tu crois que ça l'a été quand tu m'as baissé le jean l'autre jour ? Petit con, va... >>.

Et à cet instant-là... Dans son regard... Je remarquai une pincée de rancœur et de perversité. J'ai compris qu'il ne blaguait pas. Je me suis donc élancé vers la porte mais trop tard... Jules me retint par la hanche et me fit violemment tomber sur les genoux. Je restai sur le sol, n'arrivant pas à me relever dans la mesure de l'immédiat. Pendant ce laps de temps, Jules avait légèrement baissé son jogging et son caleçon et me présentait un sexe très considérable... << Suce-moi. >>, m'ordonna-t-il.

Je n'ai pas réagi... Que feriez-vous, vous, si votre meilleur ami vous faisait ça ? Excédé, Jules me prit par les cheveux de sa main droite, m'ouvrit grand la bouche de sa main gauche et me fit gober son gros engin. << Et si tu me mords... Tu vois ce mec, là-bas ? Il s'appelle Raphaël et il est là exprès pour te punir si tu n'obéis pas ou si tu te mets à te rebeller... >>. Je jetai un nouveau regard sur ce garçon-là et vis qu'il me regardait avec une certaine sévérité, se frappant la paume de la main avec sa batte. Je frissonnai. Pour que je m'en sorte, il fallait que je suce Jules...

C'était écœurant. Jules était quelqu'un de propre mais il y a malheureusement des choses qu'on ne peut pas nettoyer toutes les heures comme son intimité... Son phallus empestait la pisse... J'étais dégoûté et me mis à pousser quelques gémissements plaintifs. Jules, lui, se complaisait. << Tu suces absolument bien, Alexandre... >>, me dit-il, un sourire de satisfaction sur les lèvres. Je levai les yeux vers lui et lui jetai un regard noir. Il le remarqua et rit. J'eus envie de pleurer, mais je me contins... Pleurer aurait été la pire chose que j'aurais pu faire ! Ma langue léchait de soi-même le puissant sexe sans que je ne fasse le moindre mouvement ; Jules agrippait ma nuque et la faisait aller et venir. Au bout d'un moment, il se retira en vitesse, bandant comme un taureau. J'eus un goût nauséabond dans la bouche et je crachai par terre. Cependant Raphaël installait un tapis de gym mais je ne prêtai, encore une fois, pas attention à lui... Je me levai et ouvris la porte dans des mouvements fulgurants...

Et là, je me mis à trembler.

Le deuxième garçon des vestiaires était en effet derrière la porte, comme l'avait dit Jules. Il me toisait avec un mépris indéfinissable tellement il me scotchait. Quelques secondes après, je sentis de puissantes mains m'agripper les hanches et me tirer vers l'intérieur ; je vis que c'était Raphaël quand je sentis un violent coup sur le genoux droit. Encore une fois je m'étalai par terre, et encore une fois, sans que je ne puisse faire quoi que ce soit, on m'agrippa par les hanches et on me plaça sur le tapis de gym préalablement installé. << Mets-toi à quatre pattes, allez ! >>, m'ordonna Jules.

Aussitôt je compris ce qu'il voulait me faire depuis le début... Il voulait m'enculer...

À ce moment-là je me révoltai frénétiquement, infligeant des coups de poings et de pieds dans l'air à la manière d'un chien montrant ses dents. Je me mis à hurler à la mort mais une main se plaqua sur ma bouche et je ressentis un nouveau coup de batte qui me déstabilisa quelques instants, cependant je sentis une sorte de tissu s'installer dans le creux de ma bouche ; je regardai le dernier bout de ce "tissu" entrer dans ma fosse bucale et remarquai qu'il s'agissait de mon caleçon ! Et puis, je sentis que l'on m'écartait les fesses... Complètement ébahi par la situation, je me suis laissé faire comme un con... Si j'avais fait quelque chose à ce moment-là... Jules me lécha la rosette [et cracha], j'en fus gêné... Ça vous paraîtra idiot mais je ne voulais pas que l'on me prenne pour un gay même si ce que Jules faisait était contre ma volonté... L'instinct naturel, peut-être...

Je sentis son gland tenter de dilater mon sphincter, puis je sentis son gros sexe s'introduire dans mon rectum. J'eus un mouvement de surprise même si, bien au fond de moi-même, je savais que je ne pouvais y échapper. Pour commencer, il s'engagea lentement en moi jusqu'à s'enfoncer le plus profondément possible. Mes cordes vocales vibrèrent mais aucun son ne s'échappa de ma bouche à cause de mon espèce de bâillon improvisé. Après ce premier aller, il se mit à me pénétrer plus rapidement, et surtout... Plus agressivement ! Je me mis sûrement à saigner à partir de ce moment-là. Son énorme sexe me limait consciencieusement les reins et ses cognages répétés contre mes fesses faisaient balancer mes attributs sexuels. Je rougis ; Raphaël nous regardait, enfin ME regardait surtout... Il se marrait, riait de moi...[il était là pour ça !] Bizarrement, à ce moment-là, ce ne fut pas une nouvelle fois de la honte qui surgit en moi mais de la colère. Je voulus leur dire ce que je pensais, et Jules dut le voir car il demanda à Raphaël, essoufflé : << Retire-lui... Retire-lui son caleçon... Pour entendre ce qu'il... Ce qu'il veut dire... >>. Raphaël obéit et enleva le sous-vêtement tout mouillé de ma salive. Je ne sus par quoi commencer et dis simplement à l'intention de Jules : << Va... Va pas... Va pas si vite... * J'ai... J'ai mal... >>. Jules, en réponse, accéléra davantage son allure, ce qui m'énerva. << Va... Va te faire... Va te faire.. Va te faire foutre ! >>. Jules rit et répliqua : << C'est toi... C'est toi qui te fais foutre tu vois... >>. Je m'appuyai de tout mon poids sur ma main gauche et tentai, de ma main droite, de stopper Jules. Celui-ci saisit ma main et la serra.

<< Laisse... Laisse-toi faire... De toute façon, tu sais... Tu sais ce que c'est... D'être enculé... Tu aimes te faire enculer, hein ?...
-T'es... T'es qu'un salaud, en fait !...
-Et toi... t'es ma petite pute... Hein, hein ?... >>

Jules lâcha ma main rougie. Je ne répondis rien. Je sentais son pénis entrer et sortir ; son sexe était si gros et il y allait si fort que je ne sentis presque plus le haut de mes jambes. Je lâchai des gémissements de douleur et tentai de me concentrer sur autre chose que la sodomie. Chose impossible. Je me faisais violer. Comment penser à autre chose ? Soudainement, Jules s'appuya contre mon dos, et me fit retrouver le nez au sol, et le cul en l'air. Cela lui facilitait peut-être davantage la pénétration mais me mit, moi, en colère.

<< Aaah... A-a-arrête... Ah je... Je n'aime pas... Je n'aime pas ça... Je sens plus mes jambes... Haa... J-J-Jules...
-Je t'encule vraiment comme... Comme une sale pute... Je vais... Je vais t'appeler Alexandra... Maintenant...
-Salaud...Salopard... Je vais... Je vais prévenir mon père... Il va te... Il va te démolir...
-Tu pourras rien lui... Lui dire... Parce que... Déjà, t'auras trop honte... Ensuite... T'es... T'es filmé... >>

Ses mots me firent frissonner. Filmer ? Je tentai d'avoir une explication plus précise:

<< F-Filmer... Où... Comment... ? ...
-Raphaël... Depuis tout à l'heure te... Te filme en train de te faire... De te faire enculer... >>

Je regardai Raphaël et vis qu'effectivement, il me filmait avec son portable. Je le fixais, consterné. Comment Jules pouvait-il être allé jusque-là ? J'essayai de comprendre mon ex-meilleur ami.

<< P-Pourquoi... Jules ? P-Pourquoi ?...
-Alex-Alexandre... L'autre jour, tu te souviens ?... Hein, oui, hein ?... Je me suis tapé... Je me suis tapé la honte devant tout le monde... À cause de... À cause de toi...
-J-Jules... C'était... C'était pour rire... Pas pour te... Te ridiculiser... >>

Jules ne répliqua rien, soit parce que, manifestement il regrettait ce qu'il faisait et qu'il était trop tard pour arrêter, soit car il ne supportait pas mes explications, les jugeant trop minimisantes. Son coup de bite était devenu plus rude, si bien que je pensai perdre connaissance, puis il ralentit progressivement avant d'éjaculer dans mon intestin. Après quelques instants, il se retira, me laissant le cul pointé vers le plafond.

Jules me regarda sans doute un moment puis je vis du coin de l'œil qu'il saisit la batte de Raphaël... Et, sans trop d'encombres, il la planta dans mon intestin jusqu'à mi-longueur. Ensuite, il se frotta les mains et remit ses vêtements en place ; il regarda Raphaël puis se marra.

<< Au revoir, Alexandra... Passe une bonne journée... Ah et puis je t'enculerai encore hein ? J'ai bien aimé ton petit cul fuyard... T'es plus vraiment le mec vierge que j'ai connu, marrant hein ? >>, dit-il en essuyant une substance qui s'écoulait de mon anus. << Tu saignes... Petite pute va... >>. Jules demanda alors à Raphaël de l'aider à remettre mon t-shirt, mon caleçon et mon jogging. Ils me rhabillèrent donc en me laissant la batte enfoncée. Jules adressa quelques mots à Raphaël et voulut voir la vidéo de mon viol, puis ils sortirent... Je fus écœuré. Ils me laissaient là, comme un con, le cul toujours tendu vers je ne sais quoi... J'attendis sûrement comme ça une bonne heure avant de finalement tenter de me relever. Un petit cri m'échappa et je me hâtai de retirer la batte ; je sentis un grand vide dans mon rectum, comme si il s'était élargi durant cette pénétration. Je regardai la batte tachée de sperme et de sang et décidai de la prendre, je ne sais pas pourquoi... J'ai essayé de marcher mais je tanguais comme un gars qui serait bourré. Je zigzaguais en gros. Avec un grand effort de ma part je rentrai chez moi, la batte de baseball cachée dans mon sac de sport. Mes parents ne se sont doutés de rien, car j'essayai de marcher le moins possible. Aussi j'avais cette douleur à l'anus que je soulageai avec de la pommade.

À présent je ne rejoins plus Jules mais celui-ci me regarde toujours avec un tel sadisme que je suis sûr qu'il va renouveler son coup et qu'il ne reste plus qu'à moi d'agir... Mais comment ? J'ai besoin d'aide ! :-(

(J'ai toujours la batte je précise. Je ne sais pas pourquoi je ne la jette pas...) Commentaire à l'auteur :

on aimerait savoir la suite : soit tu as corrigé Jules et tu t'es vengé, soit en fait, il a réussi à te retourner en homo.

* Autre chose : un indice de ton retournement possible :  << Va... Va pas... Va pas si vite... * J'ai... J'ai mal... >>.Ne laisses-tu pas entendre que , plus doucement....ça le ferait !

et :

(J'ai toujours la batte je précise. Je ne sais pas pourquoi je ne la jette pas...)

oui, pourquoi ? pour faire subir le même traitement à Jules...ou pour retrouver la sensation ???

Hommage à ton texte, émouvant de plusieurs points de vue... 

 

 

 

Par ALEXANDRE - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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