Partager l'article ! "- tu ne me disais pas tout - ... - accompagne-moi à la réserve..." et tu me violes ...Maintenant que tu t'es vengé je mesure ce que tu as ressenti ...
enculé ça ce serait rien ? -lol-...mais humilié, ça non !
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Je vais faire simple : je me suis fait violer par mon ami. Je voudrais de l'aide, mais avant je vous raconte mon histoire -si vous ne voulez pas la lire lisez simplement le dernier paragraphe-.
Alors, cet "ami" s'appelle Jules, c'était mon meilleur ami avant. Nous nous faisions des petits coups en douce, des petites blagues, etc... Mais ce n'était jamais méchant ! Chacun prenait toujours bien la blague de l'autre... Jusqu'à ce jour...
C'était à mon tour de faire une blague. Pour ce faire, j'avais trouvé une parade très simple mais qui reste encore drôle au fil du temps : baisser le pantalon devant tout le monde. Jules et moi étions donc dans la cour de récréation, il y avait une foule pas possible, et moi j'étais enchanté de pouvoir faire rire autant de monde ! Jules s'avançait donc dans la cour, je l'ai surpris par derrière et lui ai baissé son jean. Un rire communicatif submergea la cour devant le visage penaud de Jules, qui s'empressa de remettre son pantalon en place. Mais ce qui est fait est fait. Tout le monde riait, y compris les profs qui regardaient l'extérieur de leur salle.
Vous trouvez ça sûrement salaud de ma part, et c'est vrai que ce n'était pas très intelligent... Mais justifiait-il une telle vengeance, cela méritait-il le viol ?
Quelques jours passèrent après cet incident. Jules me paraissait très bien remis de ma blague mais ça m'étonnait un peu qu'il ne contre-attaque pas dans les jours qui ont suivi, cependant lui et moi pouvions très bien ne pas nous faire de crasses pendant un mois, alors je n'étais pas plus dérangé que ça.
Et puis ce jour fatidique... C'était un mercredi. Jules et moi sommes sortis du lycée vers treize heures. Nous bavardions gaiement sur le chemin du retour quand soudain Jules s'arrêta et me regarda, l'air curieux. Je lui demandai ce qu'il avait et il me répondit : << Tu sais, je me demandais... Tu ne voudrais pas aller faire un peu de sport au gymnase après les devoirs ? Ça fait longtemps que nous n'y sommes pas allés. >>. J'acceptai. Il disait vrai quand il mentionnait que ça faisait pas mal de temps que nous n'avons pas mis le pied au gymnase, et puis de toute manière ça ne dérangeait pas mon emploi du temps.
Il passa donc chez lui chercher sa tenue de sport puis nous allâmes chez moi ; nous fîmes nos devoirs, je pris ma tenue de sport et nous partîmes au gymnase.
Arrivés au gymnase, nous allâmes dans les vestiaires. Deux garçons se changeaient mais je n'y prêtai pas attention, trop occupé à discuter avec Jules. Nous enfilâmes nos tenues respectives et sortîmes des vestiaires. Soudainement, Jules s'arrêta de marcher. << Oh ça me fait penser ! L'autre fois quand je suis allé au gymnase, j'ai oublié ma paire de gants dans la réserve ! Viens, on va la chercher ! >>. Et moi, tout naïf que j'étais, je l'ai suivi. La réserve se trouve au fond d'un long couloir exigu, très loin du terrain du gymnase donc...
Jules ouvrit la porte de la réserve qui n'était bizarrement pas fermée. Je ne tins pas compte de cela et me mis à chercher bêtement une paire de gants qui pourrait traîner par terre. Affairé dans mes désespérées recherches, je ne remarquai plus aucun bruit. Au bout d'un moment je me redressai, le dos en compote et vis Jules, torse nu ainsi qu'un des garçons des vestiaires. Celui-ci avait une batte de baseball dans la main. Je restai bouche bée. Quand je voulus prendre la parole, Jules me coupa sur-le-champ : << Déshabille-toi connard. >>. Je le regardai, complètement ébahi, jusqu'à ce que l'autre garçon s'approche de moi et me menace de la batte qu'il tenait. << Tu te déshabilles ou j'te frappe ! >>. À cet instant-là je songeai à une blague de Jules et tentai de me rassurer moi-même en disant : << Tu sais Jules, il est pas parfait ton plan... Je peux sortir à tout moment, hein... >>. Vous devez trouver ça con mais c'est la seule parade que j'ai pu trouver, et je commençai à avoir un peu peur pour tout vous dire...
Jules roula les yeux, exaspéré et dit : << Y'a l'autre qui surveille t'inquiète pas. >>. Je restai silencieux, complètement étonné. Il s'avança vers moi et enleva promptement mon t-shirt. Je fus, comme lui, torse nu. Sans que je puisse dire un mot, il baissa mon jogging accompagné de mon caleçon. Il les enleva et les envoya à l'aitre bout de la pièce. Je me courbai, honteux puis balbutiai : << Jules c'est pas drôle, arrête... >>. Jules se mit à rire. << Tu crois que ça l'a été quand tu m'as baissé le jean l'autre jour ? Petit con, va... >>.
Et à cet instant-là... Dans son regard... Je remarquai une pincée de rancœur et de perversité. J'ai compris qu'il ne blaguait pas. Je me suis donc élancé vers la porte mais trop tard... Jules me retint par la hanche et me fit violemment tomber sur les genoux. Je restai sur le sol, n'arrivant pas à me relever dans la mesure de l'immédiat. Pendant ce laps de temps, Jules avait légèrement baissé son jogging et son caleçon et me présentait un sexe très considérable... << Suce-moi. >>, m'ordonna-t-il.
Je n'ai pas réagi... Que feriez-vous, vous, si votre meilleur ami vous faisait ça ? Excédé, Jules me prit par les cheveux de sa main droite, m'ouvrit grand la bouche de sa main gauche et me fit gober son gros engin. << Et si tu me mords... Tu vois ce mec, là-bas ? Il s'appelle Raphaël et il est là exprès pour te punir si tu n'obéis pas ou si tu te mets à te rebeller... >>. Je jetai un nouveau regard sur ce garçon-là et vis qu'il me regardait avec une certaine sévérité, se frappant la paume de la main avec sa batte. Je frissonnai. Pour que je m'en sorte, il fallait que je suce Jules...
C'était écœurant. Jules était quelqu'un de propre mais il y a malheureusement des choses qu'on ne peut pas nettoyer toutes les heures comme son intimité... Son phallus empestait la pisse... J'étais dégoûté et me mis à pousser quelques gémissements plaintifs. Jules, lui, se complaisait. << Tu suces absolument bien, Alexandre... >>, me dit-il, un sourire de satisfaction sur les lèvres. Je levai les yeux vers lui et lui jetai un regard noir. Il le remarqua et rit. J'eus envie de pleurer, mais je me contins... Pleurer aurait été la pire chose que j'aurais pu faire ! Ma langue léchait de soi-même le puissant sexe sans que je ne fasse le moindre mouvement ; Jules agrippait ma nuque et la faisait aller et venir. Au bout d'un moment, il se retira en vitesse, bandant comme un taureau. J'eus un goût nauséabond dans la bouche et je crachai par terre. Cependant Raphaël installait un tapis de gym mais je ne prêtai, encore une fois, pas attention à lui... Je me levai et ouvris la porte dans des mouvements fulgurants...
Et là, je me mis à trembler.
Le deuxième garçon des vestiaires était en effet derrière la porte, comme l'avait dit Jules. Il me toisait avec un mépris indéfinissable tellement il me scotchait. Quelques secondes après, je sentis de puissantes mains m'agripper les hanches et me tirer vers l'intérieur ; je vis que c'était Raphaël quand je sentis un violent coup sur le genoux droit. Encore une fois je m'étalai par terre, et encore une fois, sans que je ne puisse faire quoi que ce soit, on m'agrippa par les hanches et on me plaça sur le tapis de gym préalablement installé. << Mets-toi à quatre pattes, allez ! >>, m'ordonna Jules.
Aussitôt je compris ce qu'il voulait me faire depuis le début... Il voulait m'enculer...
À ce moment-là je me révoltai frénétiquement, infligeant des coups de poings et de pieds dans l'air à la manière d'un chien montrant ses dents. Je me mis à hurler à la mort mais une main se plaqua sur ma bouche et je ressentis un nouveau coup de batte qui me déstabilisa quelques instants, cependant je sentis une sorte de tissu s'installer dans le creux de ma bouche ; je regardai le dernier bout de ce "tissu" entrer dans ma fosse bucale et remarquai qu'il s'agissait de mon caleçon ! Et puis, je sentis que l'on m'écartait les fesses... Complètement ébahi par la situation, je me suis laissé faire comme un con... Si j'avais fait quelque chose à ce moment-là... Jules me lécha la rosette [et cracha], j'en fus gêné... Ça vous paraîtra idiot mais je ne voulais pas que l'on me prenne pour un gay même si ce que Jules faisait était contre ma volonté... L'instinct naturel, peut-être...
Je sentis son gland tenter de dilater mon sphincter, puis je sentis son gros sexe s'introduire dans mon rectum. J'eus un mouvement de surprise même si, bien au fond de moi-même, je savais que je ne pouvais y échapper. Pour commencer, il s'engagea lentement en moi jusqu'à s'enfoncer le plus profondément possible. Mes cordes vocales vibrèrent mais aucun son ne s'échappa de ma bouche à cause de mon espèce de bâillon improvisé. Après ce premier aller, il se mit à me pénétrer plus rapidement, et surtout... Plus agressivement ! Je me mis sûrement à saigner à partir de ce moment-là. Son énorme sexe me limait consciencieusement les reins et ses cognages répétés contre mes fesses faisaient balancer mes attributs sexuels. Je rougis ; Raphaël nous regardait, enfin ME regardait surtout... Il se marrait, riait de moi...[il était là pour ça !] Bizarrement, à ce moment-là, ce ne fut pas une nouvelle fois de la honte qui surgit en moi mais de la colère. Je voulus leur dire ce que je pensais, et Jules dut le voir car il demanda à Raphaël, essoufflé : << Retire-lui... Retire-lui son caleçon... Pour entendre ce qu'il... Ce qu'il veut dire... >>. Raphaël obéit et enleva le sous-vêtement tout mouillé de ma salive. Je ne sus par quoi commencer et dis simplement à l'intention de Jules : << Va... Va pas... Va pas si vite... * J'ai... J'ai mal... >>. Jules, en réponse, accéléra davantage son allure, ce qui m'énerva. << Va... Va te faire... Va te faire.. Va te faire foutre ! >>. Jules rit et répliqua : << C'est toi... C'est toi qui te fais foutre tu vois... >>. Je m'appuyai de tout mon poids sur ma main gauche et tentai, de ma main droite, de stopper Jules. Celui-ci saisit ma main et la serra.
<< Laisse... Laisse-toi faire... De toute façon, tu sais... Tu sais ce que c'est... D'être enculé... Tu aimes te faire enculer, hein
?...
-T'es... T'es qu'un salaud, en fait !...
-Et toi... t'es ma petite pute... Hein, hein ?... >>
Jules lâcha ma main rougie. Je ne répondis rien. Je sentais son pénis entrer et sortir ; son sexe était si gros et il y allait si fort que je ne sentis presque plus le haut de mes jambes. Je lâchai des gémissements de douleur et tentai de me concentrer sur autre chose que la sodomie. Chose impossible. Je me faisais violer. Comment penser à autre chose ? Soudainement, Jules s'appuya contre mon dos, et me fit retrouver le nez au sol, et le cul en l'air. Cela lui facilitait peut-être davantage la pénétration mais me mit, moi, en colère.
<< Aaah... A-a-arrête... Ah je... Je n'aime pas... Je n'aime pas ça... Je sens plus mes jambes... Haa... J-J-Jules...
-Je t'encule vraiment comme... Comme une sale pute... Je vais... Je vais t'appeler Alexandra... Maintenant...
-Salaud...Salopard... Je vais... Je vais prévenir mon père... Il va te... Il va te démolir...
-Tu pourras rien lui... Lui dire... Parce que... Déjà, t'auras trop honte... Ensuite... T'es... T'es filmé... >>
Ses mots me firent frissonner. Filmer ? Je tentai d'avoir une explication plus précise:
<< F-Filmer... Où... Comment... ? ...
-Raphaël... Depuis tout à l'heure te... Te filme en train de te faire... De te faire enculer... >>
Je regardai Raphaël et vis qu'effectivement, il me filmait avec son portable. Je le fixais, consterné. Comment Jules pouvait-il être allé jusque-là ? J'essayai de comprendre mon ex-meilleur ami.
<< P-Pourquoi... Jules ? P-Pourquoi ?...
-Alex-Alexandre... L'autre jour, tu te souviens ?... Hein, oui, hein ?... Je me suis tapé... Je me suis tapé la honte devant tout le monde... À
cause de... À cause de toi...
-J-Jules... C'était... C'était pour rire... Pas pour te... Te ridiculiser... >>
Jules ne répliqua rien, soit parce que, manifestement il regrettait ce qu'il faisait et qu'il était trop tard pour arrêter, soit car il ne supportait pas mes explications, les jugeant trop minimisantes. Son coup de bite était devenu plus rude, si bien que je pensai perdre connaissance, puis il ralentit progressivement avant d'éjaculer dans mon intestin. Après quelques instants, il se retira, me laissant le cul pointé vers le plafond.
Jules me regarda sans doute un moment puis je vis du coin de l'œil qu'il saisit la batte de Raphaël... Et, sans trop d'encombres, il la planta dans mon intestin jusqu'à mi-longueur. Ensuite, il se frotta les mains et remit ses vêtements en place ; il regarda Raphaël puis se marra.
<< Au revoir, Alexandra... Passe une bonne journée... Ah et puis je t'enculerai encore hein ? J'ai bien aimé ton petit cul fuyard... T'es plus vraiment le mec vierge que j'ai connu, marrant hein ? >>, dit-il en essuyant une substance qui s'écoulait de mon anus. << Tu saignes... Petite pute va... >>. Jules demanda alors à Raphaël de l'aider à remettre mon t-shirt, mon caleçon et mon jogging. Ils me rhabillèrent donc en me laissant la batte enfoncée. Jules adressa quelques mots à Raphaël et voulut voir la vidéo de mon viol, puis ils sortirent... Je fus écœuré. Ils me laissaient là, comme un con, le cul toujours tendu vers je ne sais quoi... J'attendis sûrement comme ça une bonne heure avant de finalement tenter de me relever. Un petit cri m'échappa et je me hâtai de retirer la batte ; je sentis un grand vide dans mon rectum, comme si il s'était élargi durant cette pénétration. Je regardai la batte tachée de sperme et de sang et décidai de la prendre, je ne sais pas pourquoi... J'ai essayé de marcher mais je tanguais comme un gars qui serait bourré. Je zigzaguais en gros. Avec un grand effort de ma part je rentrai chez moi, la batte de baseball cachée dans mon sac de sport. Mes parents ne se sont doutés de rien, car j'essayai de marcher le moins possible. Aussi j'avais cette douleur à l'anus que je soulageai avec de la pommade.
À présent je ne rejoins plus Jules mais celui-ci me regarde toujours avec un tel sadisme que je suis sûr qu'il va renouveler son coup et qu'il ne reste plus qu'à moi d'agir... Mais comment ? J'ai besoin d'aide !
(J'ai toujours la batte je précise. Je ne sais pas pourquoi je ne la jette pas...) Commentaire à l'auteur :
on aimerait savoir la suite : soit tu as corrigé Jules et tu t'es vengé, soit en fait, il a réussi à te retourner en homo.
* Autre chose : un indice de ton retournement possible : << Va... Va pas... Va pas si vite... * J'ai... J'ai mal... >>.Ne laisses-tu pas entendre que , plus doucement....ça le ferait !
et :
(J'ai toujours la batte je précise. Je ne sais pas pourquoi je ne la jette pas...)
oui, pourquoi ? pour faire subir le même traitement à Jules...ou pour retrouver la sensation ???
Hommage à ton texte, émouvant de plusieurs points de vue...
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