PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét

Lundi 3 octobre 1 03 /10 /Oct 08:20

Qu'on soit tarlouse ou hétéro, C'est finalement le même topo, Seul l'amour guérit tous les maux Renaud dans Petit Pédé)

  chronique sur le cinéma gay, consacrée à un film français, À Cause d’Un Garçon.  

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Titre original : À Cause d’Un Garçon
Date de sortie France : 13 Mars 2002
Réalisé par : Fabrice Cazeneuve
Avec : Julien Baumgartner, Julia Maraval, Jérémie Elkaïm, François Comar
Nationalité(s) : Français
Genre(s) : Romance, Drame
Durée : 1h26

Synopsis : Vincent a 17 ans et est un jeune homme sans problèmes : bon élève, discret, sportif et beau, il sort avec une jeune fille que tous convoitaient. Mais Vincent vit dans le mensonge depuis longtemps. En réalité, Vincent aime les garçons et surtout Benjamin, un nouvel élève bien mystérieux. Un jour Vincent découvre un graphiti sur un mur du lycée le traitant de  » pédé « . Son homosexualité est alors dévoilée au grand jour et sa vie en est profondément bouleversée …

Bande-Annonce

Mon avis : À lire le synopsis du film, on pourrait penser qu’À Cause d’Un Garçon est seulement et encore un film traitant d’une romance entre deux garçons, ici Vincent et Benjamin. Mais au moment de visionner le long-métrage, on comprend que les choses sont assez différentes.

Un garçon détourné "du droit chemin" par l'homosexualité ? :

On nous présente donc Vincent, champion de natation et bon élément du lycée où il étudie. Il sort avec la jolie Noémie. Néanmoins on découvre assez rapidement au début du film que Vincent a une liaison secrète avec un personnage gay nommé Bruno. Au début, on ne sait pas trop ce qu’il en est clairement de la sexualité de Vincent : est-il homo, bi ou essaie-t-il simplement de satisfaire une curiosité naturelle que nous éprouvons tous envers l’autre sexe à l’adolescence ? (bien que certains vous le nieront toujours, par crainte ou pour ne pas blesser leur égo). En effet, qu’on soit gay, bi ou hétéro, qui ne s’est jamais demandé « comment c’est avec l’autre ? devrais-je essayer ? ». Certains franchissent le pas pour tester, pour d’autres cela permet de conforter une position déjà existence et finalement pour le reste, cela ne reste qu’un fantasme qui ne sera jamais réalisé et parfois oublié ensuite.

Le spectateur en reste donc là, et on apprécie la relation mignonne et sympathique entre Vincent et Noémie. Jusqu’à ce que déboule un nouveau personnage assez énigmatique, Benjamin, qui ne va pas laisser indifférent Vincent. Ce parasite qui va s’immiscer dans l’histoire va faire tourner la tête à notre pauvre Vincent qui de fil en aiguille va être amené à se poser de nombreuses questions, et également à avouer ses attirances, qu’il cachait ici à tous, que ce soit à ses parents ou à Noémie.

Et c’est cela le point fort du film : plus que de traiter la relation amoureuse entre Vincent et Benjamin, qui soit-dit au passant est quasiment inexistante (nous y reviendrons plus tard), le film met beaucoup plus en avant l’acte du coming-out, les difficultés rencontrées lors de ce passage obligé, que ce soit tôt ou tard, pour toutes les personnes homosexuelles. Vincent doit ainsi faire face aux nombreuses questions de ses parents, qui se demandent ce qui a bien pu se passer pour en arriver là, ainsi qu’à la perte de confiance de sa petite amie Noémie, qui l’accuse de ne pas lui avoir dit la vérité au préalable (cela aurait-il changé quelque chose ?). Bien évidemment, cela ne se passe pas que dans le cercle privé, car hélas pour Vincent, le bruit et les rumeurs vont également se répandre comme une traînée de poudre dans le lycée suite à un graffiti apposé sur un des murs du lycée, accusant Vincent d’être un « pédé ».  Vincent va donc être tiraillé de toute part, y compris dans son équipe de natation où règne une homophobie latente. C’est donc vraiment beaucoup plus sur cet aspect que s’arrête ce film, le fait d’avoir à affronter l’agora une fois que nous sommes percés à jour, plus que sur la relation du personnage principal avec le nouveau du lycée.

Car en effet, si vous espériez voir un film romantique entre Vincent et Benjamin, c’est râté, et c’est à mon sens le point faible du film : le long-métrage passe tant de temps à explorer la problématique du coming-out que le traitement de la relation entre les deux personnages est totalement mise de côté. Il n’y ainsi pas de véritable construction amoureuse entre Vincent et Benjamin, seulement quelques scènes assez éparses où l’on sent tout de même une certaine tension monter. C’est à peine si nous les voyons s’embrasser.

Les seconds rôles sont intéressants, à l’instar de Stéphane, le meilleur ami de Vincent, qui sera un soutient sans faille pour ce dernier, l’un des seuls au début d’ailleurs. Noémie joue une petite amie convaincante, qui aura forcément aussi beaucoup de mal à accepter les choses au début, mais cherchera tout de même à comprendre ce qui anime Vincent. Quant à Benjamin, alias Jérémie Elkaïm, il est bien connu dans le cinéma LGBT pour avoir joué notamment dans Presque Rien aux côtés de Stéphane Rideau.

Au niveau de la mise en scène, elle est assez douce et classique, avec beaucoup de plans assez longs. Elle manque peut-être un peu de punch, à l’instar de certains dialogue un peu pompeux pour des adolescents lycéens. La musique est très en retrait et ne prend pas le pas sur l’image.

de l'usage du nom "pédé" (interprétation libre de l'auteur)  

 

Il y a une chose qui a retenu mon attention durant le film, c’est l’utilisation récurrente du mot « pédé ». Il faut savoir que ce film date de 2002, et a donc plus de 13 ans. À l’époque, le mot gay n’était pas si répandu en France, et ne faisait pas encore parti du vocabulaire courant pour désigner une personne homosexuelle par un terme plus court et généraliste. Le mot « pédé » était donc largement utilisé, avec la connotation très négative, encore plus qu’à l’époque, qu’on lui connaît aujourd’hui. Il est très rare désormais de voir une personne gay s’auto-qualifier de « pédé », car cela tient plus de l’insulte homophobe, qui a d’ailleurs connu une banalisation désolante vers la fin des années 2000 (certaines personnes utilisaient alors, ou utilisent toujours, l’expression « ça c’est pas un(e) *** de pédé » pour désigner un objet ou une chose (« ça c’est pas une caisse de pédé » par exemple), comme si l’adjectif « pédé » était quelque chose de piètre qualité, bas de gamme ou minuscule, assimilant ainsi toute une catégorie de personnes par ces désignations homophobes.

Pour conclure, À Cause d’Un Garçon est à mon sens un bon film LGBT, qui explore un aspect pas toujours mis en avant dans ce type de films, à savoir le coming-out et les conséquences qu’il implique. C’est une autre vision des choses, et cela permet au spectateur non-initié de se rendre compte des nombreuses difficultés auxquelles peut faire face un adolescent homo qui doit tout avouer du jour au lendemain à sa famille et ses amis. Le film aurait gagné à explorer un peu plus la relation Vincent/Benjamin qui est clairement reléguée au second plan et ne sert que de catalyseur pour la situation du coming-out et du dépassement de soi.

 

extrait  du blog

NocturneWorld

Entrez dans le monde de la nuit à qui nous disons toute notre gratitude

Par NocturneWorld - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 1 octobre 6 01 /10 /Oct 08:31

faut-il en parler ?...ou "A Dieu vat !" ???

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Il est à craindre que les fils d'aujourd'hui aient à naviguer dans d'autres eaux que celles que les adultes ont connues. Allez les empêcher de faire des découvertes !!!!  

"le fils de cette maman se cherche, tant au niveau de sa personnalité que de sa sexualité... Comment l'aider à s'apaiser et s'épanouir ? Un expert psychologue, Didier Pleux, répond à cette maman un peu désemparée.  

  La question de la maman :
Bonjour,
J'ai un garçon de 12 ans qui est très désobéissant, turbulent, timide, indécis mais aussi très intelligent... En revanche, il a eu un petit échec en ayant une mauvaise moyenne à la fin de l'année dernière et son comportement a empiré. Qui plus est, je suis dernièrement tombée sur un message privé Facebook où il se pose des questions sur sa sexualité... Comment discuter avec lui et l'aider à s'apaiser  ? J'ai vraiment besoin de vos conseils, car je suis dans une impasse... Merci."

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La réponse de Didier Pleux, psychologue :
Bonjour,

 

Votre fils est déjà sur le Net et commence à vouloir vivre comme les adultes. Se poser des questions sur la sexualité à son âge est normal, mais s’il cherche lui-même les réponses en ligne, il risque de n’y trouver que des conseils... pornographiques. Il est temps de lui redonner des règles de vie qui correspondent à son âge et la régulation stricte de l’utilisation d'Internet en fait partie. C’est ce que j’appelle "l’autorité en amont" : faire bien attention à ne pas le sur-stimuler, l’hyper-protéger, freiner le trop plein de paroles et de communication et éviter la surconsommation voulue par le marketing ambiant. Bref, il vous faut faire à nouveau preuve d'autorité..

__________________________________________________________________________________________________

Il y a une autre façon de répondre : "écoute mon Ami, écoute dans le vent, écoute, la réponse est dans le vent!"

 

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quand une manoeuvre présente un risque, les marins en réfèrent à Dieu en disant "à Dieu vat!" Vous voulez tout stériliser dans la vie des gosses ? ce n'est ni bon, ni possible ! 

 

 

...

  Selon Grevisse, il s'agirait d'une déformation populaire (du langage maritime en fait) qui conduisait à rajouter un t prononcé après va. La forme serait selon lui un impératif À Dieu va ! (le Bon Usage, § 765,
R. 2). Ce qui peut s'entrendre comme « toi (marin, ou navire) va à Dieu » lorsque le navire se trouve au milieu d'une tempête. Il existe des grammairiens pour exiger le -t à la  fin de l'expression, sans doute par souci d'un archaïsme. 

  Afficher l'image d'origine sexpériences ? -lol- 

 

Par claudio - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 28 septembre 3 28 /09 /Sep 06:26

    au voleur !

                                                                           

 

        en attendant mon tour, j'adorais voir mon pote se faire défoncer par ce mec rencontré sur le net     

 

    

Un gars qui avait l'habitude de baiser mon copain était brutal. Il était bien au début et je suis arrivé à regarder. Puis il a commencé à me jeter et verrouiller la porte. À un moment donné, il m'a effectivement tapé et craché à la gueule et m'a dit " casse-toi. Tu t"es pas vu, non ? va dans la cuisine !"  Après ça je n'ai été autorisé à aller dans la chambre que pour nettoyer pendant qu'ils se douchaient. Quand mon mec était pas là, il abusait méchamment de moi. dur ! C'est une bête, c'est vrai.

Et quand il a décidé de se déplacer avec nous pendant quelques semaines, il m'a dit que je devais dormir sur le plancher. Dans la pièce à côté. Mais il ne m'était même pas permis de dormir sur le canapé. Un jour, mon bf était allé au travail et il m'a réveillé en pissant sur moi, puis m'a fait nettoyer le tout, et faire la vaisselle et essentiellement être son esclave. Après la première semaine, il m'a dit de foutre le camp. Il m'a donné les clés de son appartement et m'a pris les clés que j'avais de l'appart de mon copain. J'étais banni et je devenais son esclave. Heureusement aussi son vide-couilles à ses moments perdus. Il a cassé notre couple SANS AUCUN SCRUPULESince he met my boyfriend two month ago, this 21 years old twink has sucked my boyfriend’s cock countless times!!! His looks were exactly what turns my boyfriend on.
This morning, as he was sucking my boyfriend off once again on the edge of our pool,...

  ET ENTRENIR LA PISCINE AUSSI 

 

Par OBSERVER - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 22 septembre 4 22 /09 /Sep 06:27

c’est quand le garçon enfonce sa pissette dans la pissette de la fille. » Je pensai.que ça  n’offrait aucun intérêt. Sérioja et Boria me dirent : « Victor, viens avec nous foutre Zoé. »

les enfant ont accès à la sexualité malgré les interdits des adultes mais il y a un "sort" des événements sexuels de l'enfance. Au delà, chacun sa vie.

Réaction révélatrice : Serge me montre le dessin d'un homme à l'énorme pénis avec cette inscription : « Monsieur de la pine pointue» et il me dit  «Tous les garçons savent ça....c’est quand le garçon enfonce sa pissette dans la pissette de la fille.» Je pensai.ça n’offrait aucun intérêt. Origine du document, anonyme, Confession sexuelle d’un Russe du Sud 1926

lecture gratuite : http://www.youscribe.com/catalogue/livres/litterature/litterature-erotique/confession-sexuelle-d-un-russe-du-sud-251399 

    Une réaction révélatrice ?  mais comment l'interpréter ?   

À l’âge de sept ans je savais déjà comment étaient faites les fillettes, ayant observé la conformation de mes sœurs, mais cela ne m’intéressait nullement. Ici se place un épisode dont j’ai gardé un souvenir très net, bien qu’il ne m’ait pas du tout impressionné sexuellement. J’avais entre sept et huit ans.

Nous passions l’été dans une villa au bord de la mer Noire, dans une ville du Caucase. Nous avions pour voisins la famille d’un général dont les trois fils (six, neuf et dix ans) venaient souvent jouer avec moi dans l’immense jardin qui entourait nos maisons de campagne. Je me souviens qu’un jour j’étais seul avec le garçonnet de neuf ans, Sérioja (diminutif de Serge), auprès d’un mur sur lequel était dessiné au charbon un homme avec un énorme pénis et cette inscription : « Monsieur de la p… pointue. » Je ne sais plus de quoi nous causions ; Sérioja me dit tout à coup : « Est-ce que tu fous tes sœurs ? (Il employa un équivalent russe de ce terme, tout aussi grossier ou même davantage.) — Je ne comprends pas ce que tu veux dire, lui répondis-je ; je ne connais pas cela. — Comment, tu ne sais pas ce que veut dire le mot foutre ? Mais tous les garçons savent cela. » Je lui demandai l’explication de ce mystère : « Foutre, me dit-il, c’est quand le garçon enfonce sa pissette dans la pissette de la fille. » Je pensai, à part moi, que la chose n’avait pas le sens commun et n’offrait aucun intérêt, mais, par politesse, je ne dis rien et me mis à parler d’autre chose. Je ne pensais plus à cette conversation qui avait été une déception pour ma curiosité, mais quelques jours après, voilà que Sérioja et Boria (Boris), l’aîné des trois frères, me dirent : « Victor, viens avec nous foutre Zoé. » Zoé était une jeune Grecque de douze ans, fille du jardinier du général. Ayant déjà appris la signification du mot foutre et m’intéressant d’autant moins à un acte qui me paraissait absurde, je déclinai d’abord l’invitation ; mais on insista : « Viens donc imbécile ! Tu verras comme c’est bon ! » Ayant eu toujours par tempérament peur de désobliger quelqu’un, toujours poli jusqu’à la pusillanimité, je suivis les deux garnements auxquels vinrent se joindre leur petit frère Kolia (Nicolas), la Zoé en question, un jeune Juif de huit ou neuf ans qui s’appelait, je m’en souviens, Micha (Michel), et un garçon russe d’une dizaine d’années, Vania (Ivan).

Nous pénétrâmes dans les profondeurs du jardin. Là, dans un bosquet retiré, les garçons sortirent leurs pénis du pantalon et se mirent à jouer avec. Je me souviens de l’aspect qu’avaient ces organes, et je comprends maintenant qu’ils étaient en érection. Zoé les maniait avec ses doigts, introduisait des brins d’herbe entre le prépuce et le gland et dans l’urètre. Elle voulut me le faire à moi aussi, mais cela me fit mal et je protestai. Puis elle se coucha sur l’herbe en retroussant son jupon, en écartant ses cuisses et montrant ses parties sexuelles. Elle écarta les grandes lèvres avec les doigts et je fus étonné de voir que la vulve était rouge à l’intérieur. Car, si j’avais déjà vu les parties génitales de mes sœurs, je n’avais jamais vu la vulve entrouverte. Cela me fit une impression désagréable. Alors les garçons se couchèrent, l’un après l’autre, sur le ventre de Zoé en appliquant leur pénis sur la vulve. Comme la chose continuait à ne pas m’intéresser, je n’ai pas essayé de me rendre compte s’il y avait eu une immissio penis (intromission) ou si le contact était superficiel. Je voyais seulement les garçons et la fillette s’agiter beaucoup, l’une dessous, les autres dessus, et chaque garçon continuer, à mon grand étonnement, cet exercice pendant assez longtemps. Le petit Kolia fit comme les autres. Vint mon tour. Toujours par politesse pour la compagnie, je mis mon pénis sur la vulve de la petite Grecque, mais celle-ci ne fut pas contente de moi, me traita d’imbécile et de "vieux rossinante (kliatcha)", dit que je ne savais pas faire, que ma pissette était comme un chiffon. Elle essaya de m’apprendre à mieux faire, mais n’y réussit pas et répéta que j’étais un imbécile. J’étais très blessé dans ma dignité, surtout de la qualification de « vieille rosse », d’autant plus que j’avais conscience de faire une chose si absurde et si insipide par pure courtoisie pour la compagnie et sans m’y intéresser le moins du monde. Du reste, je n’avais pas le moindre soupçon que tout cela pût être considéré comme honteux ou immoral. Aussi, de retour à la maison, je racontai à ma mère devant tous et le plus tranquillement, le plus ingénument du monde (ce n’était nullement une délation, puisque je ne savais pas que « foutre » une fillette fût répréhensible) à quoi nous nous étions amusés. Épouvante générale, terrible scandale. Mon père va voir le général pour l’avertir du danger moral auquel ses enfants ont été exposés, sans doute par la fréquentation de quelques petits mauvais sujets, comme cette Zoé, ce Micha, ce Vania, tous enfants de familles grossières ; mais le général devient furieux à l’idée qu’on ait pu supposer ses enfants (pensez donc, les enfants d’un général !) capables de faire des choses sales, il affirme que j’en ai menti, il dit des injures à mon père qui lui répond avec virulence ; la brouille entre les deux familles voisines est complète. Tel fut mon premier contact avec les choses sexuelles, contact qui, du reste, ne me salit nullement, car je n’ai rien compris à ce que j’avais vu et n’ai pas ressenti l’ombre d’une émotion génésique sexuelle. C’est comme si j’avais vu les enfants se frotter le nez les uns aux autres.

Je me souviens que, quelque temps après cet incident, et de retour à Kiev, ma tante, venant d’arriver de la campagne, causait avec ma mère sans savoir que je les entendais. Elle disait avoir découvert qu’Olga qui, à la campagne, dormait sur la terrasse à cause des chaleurs estivales, avait été continuellement visitée la nuit par un garçon de douze ans, le fils du cocher, qui s’introduisait dans son lit « pour lui faire des saletés ». Après le scandale de l'été, je compris de quelles « saletés » il s’agissait. Et ma mère de dire à ma tante : « Ah je comprends maintenant pourquoi Olga est arrivée ici si jaune et avec des bleus sous les yeux. » J’en conclus que faire des « saletés » était nuisible à la santé.    -lol-

Son indifférence à la sexualité et aux filles ne fera pas de lui un homosexuel. Il découvre la sexualité très tôt et progressivement. En fait victor deviendra "esclave" du sexe et cela détruira sa vie personnelle.

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  Dans le Meilleur Des Mondes*(1), fiction devenue en grande partie réalité,  paru dès 1932, Aldous Huxley évoque une sexualité des enfants pas mal "aménagée" dans son roman où on naît dans une éprouvette et on(le foetus) est traité chimiquement pour admettre par avance les règles de la société, pour l'instant bien différente de la nôtre-lol-, ça va de soi...

Cette société rend tabou le sujet de l'accouchement : l'allusion à la maternité, à la famille ou encore au mariage font rougir de honte aussi bien les jeunes que les adultes. La sexualité y apparaît comme un simple loisir : chaque individu possède simultanément plusieurs partenaires sexuels (entre deux et six par semaine), et la durée de chaque relation est extrêmement limitée (quelques semaines en tout seulement). 

  Qui aurait cru dans les années 1930 que le monde décrit dans ce bouquin existerait un jour ?
Cette société aseptisée où ce qui n'est pas " beau à voir " est caché, où un produit chimique provoque " l'évasion " et le " bien-être " du corps, où les êtres sont " fabriqués " pour entrer dans le moule d'une classe sociale.
Pourquoi se cacher les yeux ? Ces choses atroces peuvent se passer très vite si nous, les petits humains, ne sommes pas vigilants.
Ce livre " plus tout jeune " est d'une actualité plutôt flagrante 

lecture gratuite : http://www.oasisfle.com/ebook_oasisfle/Huxley,%20Aldous%20-%20Le%20Meilleur%20Des%20Mondes.pdf 

 

jeux d'enfants Afficher l'image d'origine

Parc de jeux de plein air - Parc de Loisirs  internet

 

 

Par victor enfant russe 1926 - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 14 septembre 3 14 /09 /Sep 05:27

le feu de Dieu du diable en une poignée de secondes

                                  

 

  wouahhhh j'en peuhhh pluhhh          baise-moi, baise-moi fort

Méphisto ce n'est rien d'autre qu'un homme comme lui :

                  
quand le diable s'étire c'est qu'il va (VOUS) baiser
subson-domdaddy: “diaryofadonkeydick: “ Dear diary, I am hung like a donkey… submit if you want thousands to see your horse cock ” Worship ”

            moi c'est comme vous voulez , Dieu OU diable c'est kif-kif

 

 

Par sanzaudio - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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