HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE

Jeudi 11 décembre 4 11 /12 /Déc 07:31
 
 
 
 ILS DISENT QUE C'EST DU "LEGAL MAIS "CETTE VIDEO CI DESSOUS NE RESTERA QUE 30 MN
 
      ayé je l'ai sucrée !
+UN RECIT DE CHARLES
Par blowdeep - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 10 décembre 3 10 /12 /Déc 23:28

  LUI  

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MOI

 

 

 

 

 

 

 

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Par LENET - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 11 novembre 2 11 /11 /Nov 07:00

     ça vaut de l'or en effet      

  

 

LiFlE

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Un tendre bûcheron qui ne fait pas que de l'abattage...

 

_______________________YAGG-TETU___________________________________

 

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Avec sa barbe de bûcheron et son incroyable sexyness, Colby Keller a apporté au porno gay américain une dose vitale d’animalité et d’intelligence.
TÊTU: Il y a plusieurs semaines tu as annoncé un nouveau projet: «Colby se fait l' Amerique». De quoi s’agit-il? L’idée, c’est de traverser les États-Unis, de visiter les 50 États et pourquoi pas le Canada pour filmer mes plans cul et ma vie sur la route. Ça devrait donner quelque chose à mi-chemin entre le porno et l’art. Mon but est de faire une vingtaine de vidéos. J’espère lancer un site en janvier ou février où je mettrais gratuitement les vidéos en ligne en encourageant les gens à faire un don pour pouvoir finir le projet.
Tu vas financer ça comment? Grâce à un partenariat avec un studio? Non, je voulais garder mon indépendance. J’ai fait une campagne de crowdfunding sur IndieGoGo. On a levé 45000 dollars en 30 jours. C’est beaucoup d’argent mais je dois payer la personne qui m’aide pour ce projet. Récemment, j’ai fait une autre performance artistique dans laquelle j’ai donné toutes les affaires que je possédais: mes chaussures, mon téléphone, mes sous-vêtements. Je n’avais plus rien! Alors une partie de ce fric m’a servi à me racheter un nouveau téléphone, un nouvel ordinateur, une nouvelle caméra et un véhicule pour voyager ! Je vais essayer de dormir chez l’habitant dès que j’en aurai l’occasion. Je vais devoir compter sur la gentillesse d’étrangers pour réussir ce projet!
Le réalisateur John Waters vient de sortir un livre où il raconte comment il a traversé les États-Unis en auto-stop. C’est une façon de se faire une idée plus intime de l’Amérique? Je n’ai pas lu le livre de Waters. Il y a plein d’artistes qui avant moi ont eu la même démarche… C’est un cliché américain de dire qu’on se «découvre sur la route». Lorsque tu traverses une crise dans ta vie, c’est la route qui va te sauver. L’Amérique est si grande qu’elle permet ce genre de quête. Peut-être vais-je trouver quelque chose pendant ce voyage! Peut-être pas! (rires)
C’est une sacrée aventure, tu te sens assez fort pour te jeter dans un projet aussi fou? Me lancer dans le porno, c’était déjà un peu la même démarche. À l’époque, j’avais besoin d’argent aussi et j’étais très déprimé. Je sortais de l’université et je ne trouvais pas de travail. Même McDonald’s ne voulait pas de moi et je ne voulais pas finir SDF! J’étais suicidaire. Pas dans le sens où je voulais me tuer mais dans le sens où faire du porno était une forme de suicide social. Un jour, bouffé par la frustration, j’ai décidé de m’inscrire à mon site de porno préféré, Sean Cody. J’étais persuadé que j’allais être refusé et que le rejet viendrait valider le regard négatif que je posais sur moi…
Tu ne te plaisais pas physiquement? Non. Et surtout je me considérais comme un loser! (rires) Contre toute attente, ils m’ont répondu: «On est intéressés!» Je ne sais pas comment ils opèrent maintenant mais à l’époque, il y avait tout une prose assez menaçante qui venait avec cette proposition: «Si tu ne ressembles pas à tes photos, si tu ne prends pas l’avion, si tu viens et que la scène n’est pas bonne ou que tu es nul devant la caméra, on te facturera l’avion. On ne te payera pas. Tu nous devras de l’argent.» J’étais terrifié, mais je me suis dit: «Il faut que je passe la seconde étape!» Donc, tu vois, je ne pensais vraiment pas rentrer dans le X! Encore aujourd’hui, je ne comprends pas comment j’en suis arrivé là. Et je comprends encore moins pourquoi je continue dans ce business!
Tu n’as jamais mis de «deadline» à ta carrière? Non. Le côté positif quand on est un homme, c’est que si tu restes à peu près en forme tu peux continuer dans ce business. Probablement plus longtemps qu’une femme. Pourtant, je ne suis pas très beau, je n’ai pas la plus grosse bite du monde… Si c’était le cas, je pourrais rester dans ce business jusqu’à la fin de ma vie!
Le porno gay est avide de chair fraiche. C’est très difficile de se faire un nom dans ce milieu mais tu as une véritable fanbase! C’est aussi une chose compliquée car les gens te jugent. Par exemple, c’est incroyablement difficile de se faire des amis. C’est aussi incroyablement difficile de sortir avec quelqu’un. Il y a très peu de garçons qui soient réellement intéressés par moi et pas par «Colby Keller». J’ai eu une horrible rupture avec cet autre acteur porno. C’était une relation très abusive. Et puis j’ai rencontré un autre garçon qui m’a fait croire en l’amour à nouveau. Et pas plus tard qu’hier, j’ai découvert qu’il m’a menti tout le long de notre relation. Il voulait être avec Colby et faire partie de mon monde. Il m’a utilisé. J’ai sacrifié beaucoup de choses pour cette relation. Par exemple, le sexe était vraiment nul mais je me suis acharné parce que j’avais de l’espoir dans cette relation.
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Regrettes-tu parfois d’avoir choisir la voie du X? Non, le X m’a apporté beaucoup d’opportunités. Mais je dois me battre chaque jour pour survivre. Réussir à mettre chaque jour de la nourriture dans ma bouche est un combat. Mais c’est un combat gratifiant. Mais je crois que ça serait pire si j’avais un boulot à la con!
Aimes-tu être une pornstar? Oui, vraiment. Il y a eu une longue période dans ma carrière où je détestais ce que je faisais. Mais plus j’accepte Colby Keller, plus j’intellectualise ce que je fais, plus je me projette dans une démarche artistique, plus je prends du plaisir dans ce métier. J’étais un artiste avant de faire du porno. Je fais de l’art depuis que j’ai dix ans. Réinventer mon travail l’a rendu plus supportable.
Il n’y a pas beaucoup d’acteurs qui tentent de dépasser leur condition d’acteur porno à travers l’art. À part toi, on pense à François Sagat… Je ne le connais pas personnellement mais je crois qu’on a une démarche assez proche. Même s’il a beaucoup plus de succès que moi! François a un corps incroyable et un tatouage si emblématique! On a des amis communs. J’ai été surpris d’apprendre qu’il avait lui aussi du mal à joindre les deux bouts. Je le percevais comme une énorme star qui faisait la couverture des magazines de mode! Le monde nous rejette car nous utilisons nos corps, le sexe pour faire de l’argent. Et cette perception ne va pas s’améliorer, les jeunes gays sont horriblement conservateurs, surtout aux États-Unis. Mon ex me disait souvent: «Pourquoi tu ne cherches pas un « vrai » travail ? Pourquoi tu ne veux pas devenir « normal » Mais je ne veux pas l’être. Je trouve ça chiant. Si l’homosexualité a un jour été une forme de radicalité, si elle a par le passé pu avoir un potentiel révolutionnaire, aujourd’hui c’est terminé.
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Le porno gay n’a jamais été aussi peu créatif. À une période pas si lointaine, c’était une forme d’art! Les studios se plaignent qu’il y a trop de compétition et que les gens téléchargent tout illégalement. On pourrait croire que ça les stimulerait mais non. Le modèle économique, c’est celui de la télé. Quand tu tournes une scène formatée, cela te garantit une certaine rentrée d’argent. Comme la plupart des films hollywoodiens: ils appliquent une formule.
Tu as commencé chez Sean Cody, un label qui emploie une majorité d’acteurs gay for pay. Ça ne te dérange pas de baiser avec un mec hétéro? Non, beaucoup de ces mecs sont très cool. Ils sont très nombreux dans l’industrie du porno gay. Pas seulement chez Sean Cody. Je dirais qu’ils représentent entre 60 et 80% des performers. Pour tout dire c’est parfois plus simple de travailler avec eux. Parce que pour eux le sexe, c’est juste un job. Ils sont beaucoup plus professionnels. Les mecs gays veulent être le centre de l’attention, qu’on leur dise qu’ils sont hot… Quand j’ai commencé, j’ai dit aux studios avec lesquels je travaillais que je refusais de bosser avec des modèles hétéros. Mais avec cette règle, je ne pouvais pas bosser avec grand monde! (rires) Mais j’ai compris que ce n’était pas du vrai sexe, que c’est un boulot. Et finalement, tourner avec un acteur hétéro me permet aussi de me protéger car je sais qu’il n’y aura rien de plus.
Tu es escort? Non, mais la plupart des acteurs le sont. Pour eux, le porno est une façon de promouvoir leur carrière d’escort et de faire monter les prix. Mais moi, je n’y arrive pas, je me sens vraiment utilisé par le client. Mais je veux être clair: je soutiens totalement mes amis travailleurs du sexe qui le font!
Vous pouvez suivre les aventures de Colby Keller sur son compte Twitter.
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 Trois copains très sportifs. Un scénario  "culturel" en deux parties  avec la Moldau de Smetana comme son...
 
 
Colby - "Que vas-tu vouloir que je te fasse ?
 Anthony       - oh, doigtage ça me plaît bien....[ ... ]  et toi ?
Colby - oh moi ? te fourrer ma langue dans l'anus... "
 
Par LENET+YAGGTETU - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 9 novembre 7 09 /11 /Nov 20:20

 

vinemales: Fit pornstars resting a bit (one is still hard!) (deleted vine, saved gif) - Reblog // Please follow vinemales.tumblr.com // Over 50.000 followers // Hot naked gay vines  

 «Quel que soit ton partenaire et la qualité du rapport, c'est surtout tes propres sensations que tu perçois. Jamais tu n'es si proche et si à l'écoute de toi-même.» (Paul)  

 

  «C'est un langage muet, un accès direct à l'âme.» (Edouard)  

 

«C'est difficile d'isoler la sensation de pénétration de tout ce qui l'entoure. C'est un tout. Il y a aussi les odeurs, les bruits ( gémissements, supplications, halètements, ...etc). » (Julien, 34 ans)

    «j'ai rencontré Ralph, le premier mec avec qui j'ai vraiment fait l'amour. Il avait 25 ans, et une certaine expérience et la première fois que nous avons baisé, j'ai été un peu surpris par ses réactions. ...costaud et sportif, aucun signe ne laissait penser qu'il était gay...[,,,]. C'est pourquoi sa transformation quand on s'est retrouvés dans son lit m'a étonné. Au fond de lui, il était doux et caressant. Presque féminin. Après nous être embrassés et roulés des patins en nous tripotant sur toutes les coutures, il m'a chuchoté à l'oreille qu'il adorait qu'on lui bouffe la rondelle et qu'on le prenne. D'un air de me demander si ça me plaisait. II ne pouvait pas tomber mieux dans mes fantasmes puisqu'il m'offrait son cul. Je l'ai allongé sur le ventre et l'ai admiré. Ses épaules larges et musclées, ses hanches étroites et ses fesses menues et parfaitement rondes. J'ai fait glisser ma langue tout le long de la colonne vertébrale et j'ai mordillé ses reins. Ils étaient recouverts d'un très fin duvet qui leur donnait encore plus de velouté. Il a frémi quand j'ai promené mes lèvres sur ses fesses. La peau était tiède et d'une douceur fabuleuse. La chair ferme et compacte, parcourue de frissons.

 

J'y ai enfoncé ma bouche. Je l'ai mordue. J'ai léché toute la surface des deux globes en dégustant leur saveur. La raie m'attirait irrésistiblement mais je voulais prendre mon temps. M'habituer à l'idée que j'allais réaliser mon rêve. Ralph a poussé un gémissement quand ma langue s'est infiltrée entre ses fesses. Il a cambré les reins ce qui a eu pour effet de les écarter sensiblement l'une de l'autre. J'ai plongé ma bouche dans la faille. Elle était moite, brûlante, délicieuse. Tout son corps a sursauté quand la pointe de ma langue a touché les fines muqueuses qui se sont nerveusement contractées. Il a levé ses reins pour mieux s'offrir. Une bouffée de passion m'a emporté. J'ai collé mes lèvres sur le trou et j'ai dévoré sans retenue sa chair la plus intime. Une plainte de plaisir montait de sa gorge tandis qu'il balançait ses reins de droite à gauche. De mes deux mains crispées j'ouvrais ses fesses le plus largement que je pouvais. Excité à la fois par le plaisir que je donnais et par celui que j'éprouvais. Il est presque impossible de décrire l'exaltation qui était la mienne. Cette volupté qui me submergeait et que j'éprouvais par tous mes sens. Les odeurs et les saveurs, la consistance de la chair souple et vivante qui fondait dans ma bouche. Les petits cris de Ralph. Les mouvements de son corps habité par une tension qui montait graduellement.    

  Finalement, il a dit d'une voix haletante : «Prends-moi maintenant !»

J'ai promené mon gland sur l'orifice qui palpitait. II geignait à voix basse, abandonné à mon bon vouloir. Je voulais voir ma bite s'enfoncer dans lui et le prendre. Je voulais le posséder. Il a poussé un cri quand mon noeud a franchi l'anneau. Il m'a semblé que je m'engloutissais dans un paradis de douceur chaude et onctueuse. Mon pubis s'est écrasé entre ses fesses. Il était à moi. Mes yeux ne se rassasiaient pas de la beauté de ce cul écartelé et empalé, de la vision de ce trou dilaté dont la peau luisait sous la tension que ma verge lui imposait. Ralph m'encourageait à le bourrer à fond, à venir dans lui encore plus fort encore plus vite. Les muscles de son anus se serraient spasmodiquement autour de ma queue.

Je l'ai pilonné pendant de longues minutes avec le sentiment d'une jouissance très vive mais stable. Comme si j'avais pu me retenir indéfiniment d'éjaculer. La réalisation de mon rêve d'adolescent était encore plus belle que mon rêve lui-même. J'aurais voulu qu'elle ne s'arrête jamais. C'était une volupté si forte qu'elle dépassait tout ce que j'avais connu jusque-là.

À la suite de cette première étreinte nous avons passé toute la nuit à baiser dans toutes les positions et de toutes les manières possibles. Nous nous sommes sucés, léchés et pénétrés avec nos doigts et notre langue. J'ai bu le sperme de Ralph et il a bu le mien. Mais j'en revenais toujours à son cul et lui souhaitait avant tout se faire enculer. Nous avons connu du premier coup une jouissance partagée et entente parfaite.

Sur le matin, alors qu'on était tous les deux fatigués par nos excès, il a exigé que je le prenne une dernière fois. J'ai mis longtemps à bander malgré l'habileté avec laquelle il me suçait. Mais moi aussi je désirais me régaler encore de son cul. Il me l'a offert étendu sur le dos et les cuisses repliées contre sa poitrine. Son anus entrouvert par nos précédentes unions m'a aspiré avec une délicatesse qui m'a tiré des soupirs de bonheur. Notre dernier orgasme a été simultané.

Après Ralph j'ai eu d'autres amants. Beaucoup m'ont apporté autant de plaisir que lui mais je n'ai plus jamais ressenti avec autant d'intensité cet éblouissement de la découverte. C'est pour ça que l'image de celui qui m'a donné son cul pour la première fois est restée si vive dans ma mémoire. D'autres ont été plus tendres ou plus habiles mais ils n'étaient pas les premiers !»

extrait de         http://www.gai-eros.org/w/index.php/J%27aime_le_cul_des_hommes

 

TEMOIGNAGES D'AUTRES ACTIFS QUI COMPARENT LEURS SENSATIONS       

 

enquête en forme de commentaires

«Je suis aspiré dès le passage de l'anneau et là, même si le monde continue d'eixster je n'ai conscience que de ce qui est au bout et autour de ma bite.» (Pascal)  

 

«Sans préservatif, chair contre chair, ça change tout. Sans, on perçoit beaucoup mieux les nuances et comment ton partenaire ressent les mouvements de ton pénis...» (Julien)

 

«La pression, la chaleur, la manière dont il joue avec... C'est ce qui fait toute la différence. Caressant ou pas, coulissant ou pas. Plus ou moins lubrifié : trop, ce n'est pas plus confortable, tu es dans un aquarium, tu ne sens plus rien, tu as peur de débander ; pour garder le contrôle tu touches le point de contact entre anus et pénis.» (Pascal)

   « Aucune pénétration ne ressemble à une autre. .» Sauf que deux images reviennent systématiquement dans nos premières impressions : celle d'un monde clos : rien autour, peur de faire attention à autre chose, concentration. c'est un monde complètement fermé, où, bien arrimé à l'Autre,  tu marches seul.» (Paul, 47 ans) 

 

       

«Ce qui est vertigineux si le gars en veut bcp, c'est l'idée de pouvoir toujours aller plus loin, on a la sensation d'être dans une gaine où on peut rentrer une grande longueur, illusion que maintiennent tes allées et venues, tes entrées et sorties  .» (Julien)

 

«Ce n'est pas une grotte... Plutôt un cocon humide genre le mollusque, le coquillage.  C'est peut-être pour ça que c'est si rassurant l'odeur d'un jeune cul qui se livre,  émouvant même.» (Emmanuel, 52 ans)

 

«La pénétration, c'est une plongée en apnée. Tu prends une bouffée d'air avant, et tu y vas. Tu entres dans un univers liquide qui t'aspire, comme un aimant. lui, il s'ouvre un peu comme une fleur, et là tu exultes. ...» (Pascal)

 

 

  Ceux qui vous accueillent le mieux...Mieux ?  ils font quoi au juste  ? Au moment de la pénétration, la sensation d'être à l'étroit, bien sûr. Mais c'est plus complexe qu'on l'imagine. Certes il y a les «mécanistes», mais aussi les partisans de la sensation globale. Comme ils le font tous remarquer: «La taille du sexe a son importance, mais ça ne fait pas tout. Comme pour vous, non?»

«Plus c'est serré mieux c'est. Il y a des culs où on se sent comme aspiré à l'intérieur. On se sent plus désiré même si au départ c'est  un peu douloureux pour LUI. S'il sait bien y faire il va vous faire des séquences où il vous serre et vous lâche, alternativement» (Julien)     

 

«Plus ou moins étroit, moi je m'en fous. Ce qui compte c'est comment on fait l'amour ensemble : est-ce qu'on se lâche ou pas...L'abandon et la perte de soi peuvent parfois aller très loin. Même avec la même personne, c'est toujours différent. Aimer son partenaire c'est un plus. Mais je crois aussi à l'histoire d'une seule nuit inoubliable, "one shot". » (Bernard)

 

«Moi j'adore les culs bien épilés, doux, accueillants. Et sentir l'humidité qui monte, comme une vague. Il y a des culs qui vous aiment, qui aiment votre sexe. Ils vous aimantent, et on les quitte à regret... J'aime de plus en plus le cul d'homme. Un partenaire faussement silencieux, qui s'ouvre, se ferme: c'est lui qui fait tout...» (Emmanuel)    

   

 

 

 

 

Par Divers - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 9 novembre 7 09 /11 /Nov 20:13

         

Un trio avec Thierry et son pote. ça frise le hard malgré le consensus évident...   

 

 

     « Thierry posa sa main sur mon crâne et me baisa la gueule en m’encourageant:

— Ouais, ouais, vas-y ma chienne... Pompe ton maître!

Je m’appliquais à mon pompage. Ma langue jouait avec le gros gland dur.

— Ouais! Aaah, c'est génial!

Il donnait de grands coups de reins pour envoyer son gland au fond de ma gorge. Il encouragea son pote à pousser sa queue à côté de la sienne. Je me suis donc retrouvé avec deux bites en bouche. J’étouffais presque et j’avais la bouche en feu avec ses deux queues gonflées de désir. Le limage de ma bouche dura plus d’un quart d’heure et Thierry se retira pour s’occuper de mon cul. L’autre continua et, très excité, il lâcha ses giclées de plaisir chaudes sur mon visage.

— L’autre trou maintenant! me dit Thierry doucement.

Ses mains me palpaient les fesses et me titillaient l'anus. Je n’en pouvais plus d’excitation. Je me laisse faire et il me pénétra d'un doigt puis de deux et de trois.

Pendant qu’il déroulait une capote sur sa bite, j’en ai profité pour m'enduire l'anus de gel à l'eau. Il me coucha sur le dos et remonta mes jambes pour me plier en deux. Sa grosse queue chercha l'entrée de mon cul et s’y planta sans ménagement. Mon cri l’arrêta. Il m’avait quasiment déchiré le cul.

— Putain, j’ai trop mal!

— Désole! J’y ai été un peu trop fort... Excuse-moi...

Il était ressorti aussi vite et me donnait des bisous sur le visage pour sécher mes larmes. Il attendit un moment puis me dit:

— On va arrêter, si tu veux!

— Non! Laisse-moi juste reprendre mes esprits et on va reprendre... Je te veux en moi.

Au bout de cinq minutes, me mettant à quatre pattes, j’ai saisi sa queue derrière moi et je l’ai guidée vers mon petit trou lubrifié. De cette façon, je menais les travaux d’approche. J’ai écarté délicatement mon anus en poussant sur mon sphincter et j’ai senti l’avancée de son gland en moi. Il me laissait diriger la manœuvre. Lorsque mon conduit fut habitué à son calibre, je lui dis:

— À toi, maintenant, vas-y!

Il entra en moi un peu plus. Je poussais vers lui. Mon anus s'ouvrit lentement. Il s’installa.

— Eh, dis donc, y’a une troisième bite à satisfaire, mon lapin!

Il appela son deuxième pote qui me fourra sa queue en bouche.

— Voilà ce que j’appelle une bonne salope! Deux trous fourrés!

Comprenant que je n’avais plus mal, il fit entrer sa grosse queue un peu plus encore, jusqu'à la moitie de sa longueur. Je sentais mon petit trou s’élargir et se détendre. Il me disait des cochonneries et j’étais excité comme une petite salope.

— Tu aimes ça, hein?

J’ai lâché un moment la bite de l’autre pour répondre.

— Oui, j’adore sentir ta grosse banane dans mon cul!

Mon anus se relâcha au maximum et son gros membre m'écartela délicieusement en s'enfonçant lentement jusqu'à la garde.

— Ça va? demanda-t-il.

— Ton engin est bien gros en moi. C’est super! Ne bouge pas trop... Laisse-le là pour m'habituer...

— D’acc!

Je poussais vers lui mes fesses cambrées. Il claqua alors ses deux mains sur fesses et en s'accrochant à elles, s’activa dans mon cul.

— Tu aimes que je t'encule comme une petite pute?

— J’adore.

Il poussa toujours plus fort avec sa queue dans mon cul et ordonna à l’autre de me défoncer la gorge.

Juste avant de gober cette autre bite et de me taire jusqu’à la jouissance, je lui ai lancé:

— Tu m'encules trop bien, j'aime ta queue, elle est grosse et performante! Thierry t’es un dieu!

Il me saisit aux hanches et m'enfonça puissamment son énorme bite dans le cul en frappant fortement à l'intérieur. Je couinais de plaisir en suçant l’autre mec. Je sentais le plaisir entrer dans mon anus, monter le long de ma colonne vertébrale pour atteindre le bas de ma nuque et m'envahir tout le corps.

— Putain, Thierry, t’es déchaîné! Tu l'encules trop bien cette salope! Elle a la gueule collée à ma bite!

La séance se termina en apothéose. Le sperme de Thierry et celui de l’autre m’arrosèrent avant que le mien ne s’écrase sur mon ventre.

— Ben, mon cochon, t’es servi! me lança Thierry!

— J’adore le sperme...

— Ouais, je constate que tu es vraiment une pute à jus!»

  extrait de    http://www.gai-eros.org/w/index.php?title=Sex-shop:_Surprise&stable=1 

    montée vers l'extase  A écouter les témoignages ci-dessous , l'extase semble plutôt coïncider avec le tout début: cet instant magique où l'un franchit le seuil de l'autre.

 

témoignages en forme de commentaires 2

«La pénétration, c'est un aboutissement. En termes de chasse, c'est le coup de fusil... (Rires.) Pour en arriver là tu as pataugé des heures dans la forêt. Et enfin, ce n'est plus elle qui te balade, c'est toi qui décides! Surtout avec un nouveau partenaire, c'est une jubilation. Une fierté. Ç'a à voir avec la domination, la virilité. Le mec te fait confiance, il s'offre. Quand tu entres en lui, tu peux le sentir s'ouvrir... Tu ressens forcément une forme de puissance. Tu deviens machiste même si tu n'es pas macho. Inconsciemment tu te dis: "C'est moi le mec, je vais le prendre, le déchirer."» (Pascal)

 

«Qu'on soit dans la séduction du jour ou avec un compagnon qu'on connaît depuis quinze ans, c'est toujours l'aboutissement. Le moment intense où on passe à la fusion, à l'alchimie. L'essentiel pour moi, c'est de retarder le plus possible cet instant "le glissement progressif du plaisir"... Et là, à l'instant T, ce qui est intéressant c'est la résistance. La sensation de ce corps fermé qui s'ouvre (qu'on ouvre). Et ce n'est jamais gagné. Ce que j'adore c'est entrer et sortir juste le bout de mon sexe. Rester à l'orée, de LUI et de moi. Un jeu très jouissif: j'y vais, j'y vais pas. Un jeu sur le temps. Et lui qui halète, gémit, souffle dans ton cou » (Paul)

 

«C'est le moment de vérité, surtout la première fois que tu couches avec un gars. Jusque-là, tu es dans le jeu de séduction, dans la démonstration, tout est exacerbé pour conquérir l'autre. Et soudain tu es moins dans le jeu. C'est là que tout commence (ou tout avorte).» (Bernard)

 

«On obtient de la partie adverse un truc sacrificiel. C'est la même symbolique depuis des siècles..» (Edouard)

 

«J'adore regarder mon sexe qui entre en lui, c'est toujours aussi magique pour moi. Observer la vigueur de mon sexe qui le pénètre. Ce pont entre nous. Comme si mon sexe devenait extérieur à moi, un être à part entière.» (Emmanuel)

 

une fois installés l'un dans l'autre ? Là commence le «pas de deux», une expression qui revient souvent. La pénétration, c'est comme une danse où chacun, tour à tour, invente le rythme. Finie la phase de domination. Place au dialogue, à l'échange, au partage.

«Qu'est-ce que je ressens, alors? Du plaisir! (Rires.) C'est génial d'être en communion, noyé dans l'autre, en fusion. Hyperattentif au  moindre tressaillement... Il peut arriver aussi qu'on s'ennuie. Qu'on ne jouisse pas (c'est d'ailleurs très mal pris par l'autre...). Il m'est déjà arrivé de bâiller, et même une fois de m'endormir (dans le désert d'une histoire perdue). Ce n'est pas juste un truc mécanique, être dans un mec silencieux qui ne souffle même pas... Le plaisir n'est pas garanti. Tout dépend de la manière dont les corps s'entrechoquent et de ce qui se passe dans l'esprit... Parfois c'est ton passif qui reprend le dessus, qui impose les choses. Tu peux te faire baiser... (Rires.)» (Bernard)

 

«Dans la tête, c'est toutes les couleurs de l'arc-en-ciel. Moi je suis un cérébral. Parfois me traverse l'idée que je coupe l'autre en deux. Je suis le marteau de Thor à moi tout seul. (Rires.) Parfois c'est le supplice chinois, tu sens cette bouche qui se resserre désespérément quand tu sors, qui a la larme à l'œil quand tu reviens... Et cette humidité... Tu mesures l'envie, la correspondance. Tout le reste c'est un jeu de contractions. Pourquoi croyez-vous qu'on vous tape sur les fesses, qu'on vous tire les cheveux, qu'on donne un coup de reins plus fort? C'est pour obtenir une contraction. (Rires.) Parfois on se sent comme aspiré. C'est délicieux. » (Edouard)

 

«Quelle douceur d'être dedans! Ce n'est pas seulement moi qui le pénètre mais lui qui m'accueille, me veut en lui, positionne ma bite sur sa corolle... Mon plaisir est très lié à l'envie qu'il a de moi. Il y a une sensation que j'arrive à isoler, très agréable: lorsque mon pubisvient cogner contre ses fesses et mes couilles viennent toucher les siennes. J'ai l'impression alors que son anus m'aspire et que je pourrais aller très, très loin... Les mouvements aussi entrent en jeu. Comment il bouge. J'ai plus de sensations lorsque les mouvements sont lents. Quand le gars demande un va-et-vient plus violent, le plaisir est plus psychologique. C'est sa façon de s'abandonner qui me comble. Quand je le sens trembler, frissonner, miauler, crier, j'ai toutes les sensations décuplées.» (Julien)

 

«Plus je vieillis, plus j'adore rester, sans forcément aller et venir en lui. Il m'est même arrivé de ne plus savoir qui était en qui. J'ai parfois l'impression d'être totalement passif. Un jour un mec m'a dit: "C'est moi qui ai ton sexe." C'est ça, oui: comme un partage absolu de ma bite...» (Emmanuel)

 

«J'adore poser ma main sur son ventre quand je suis en lui, pour me donner l'illusion de sentir mon pénis aller et venir en lui.» (Pascal)

 

«C'est la trêve du malentendu. L'osmose. Une alchimie digne d'un parfum. Etre dans un mec, ça évoque pour moi quelque chose de parfait.» (Sébastien, 35 ans)

 

«C'est un langage muet, un accès direct à l'âme.» (Edouard)

 

Et l'orgasme, alors? Non, ce n'est pas forcément le moment le plus fort. Du moins pas le leur: la sensation est tellement fugitive, déplorent-ils tous... Mais notre plaisir à nous, ça oui, c'est une sensation qu'ils adorent. Et sur laquelle on ne les trompe pas.

 

«Dans le ventre d'un mec, tu détectes tout: s'il s'ennuie ou simule le plaisir ou l'orgasme. Comme si ton sexe était un vrai sonar. (Rires.) Il y a une contraction que j'ai appris à repérer: de légers spasmes, hors contrôle. Ça, c'est la jouissance.» (Pascal)

 

« Ce que je préférais, c'était LUI au-dessus de moi qui n'avais plus  qu'à l'aider à se maintenir. J'adorais cette participation.» (Julien)

 

«Avec mon partenaire, je repère le moment où il va jouir, et je peux, en me calant sur ses contractions, jouir à l'unisson. Ces moments-là, c'est de la téléportation.» (Sébastien)

 

On pourrait les écouter des heures, mais il faut bien conclure. Alors, «post coitum anima triste»? Pas vraiment, non. C'est plutôt un état de béatitude qu'ils décrivent. Et encore un cliché qui vole en éclats: dans l'ensemble, ils aiment bien rester dans le mec qu'ils enculent et savourer, dans une semi-conscience, le calme après la tempête.

 

«Je suis toujours bien là, je n'ai pas envie d'en sortir... Ce qui est jouissif avec celui qu'on baise, c'est jouir en lui, rester et s'endormir. L'un dans l'autre. J'adore particulièrement somnoler en chien de fusil, mon sexe dans son cul.» (Julien)

 

«Pour moi la pénétration a un sens un peu mystique. Avec mon nouveau pote de sexe  j'ai envie d'être en lui tout le temps. De dormir dedans...même débandé... Malheureusement, en se retournant, on finit toujours par se séparer.» (Emmanuel)

   

 

«C'est mon moment préféré. Avec moi, ce sont presque toujours les passifs qui finalement se séparent... (Rires.) Surtout ne plus bouger, fermer les yeux, ne pas parler. L'animalité du nid est là, dans ce moment de plénitude, de calme, après le jeu, la fièvre, éventuellement le combat. Peu importe où tu te trouves, ce qui se passe autour: tu ne sens plus les limites de ton corps, tu es en suspens. Et en sécurité. Peut-être parce que c'est un retour aux sources... Dans ces moments-là, quelqu'un entrerait, je ne réagirais pas. Plus rien n'existe autour. Peut-être même plus l'autre, qui devient une part de moi. C'est un moment très égoïste, en fait, où tu profites pleinement de toi. En mode relaxation. Ç'a à voir avec la spiritualité, avec une sensation mystique.» (Paul)  

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cet instant magique où l'un franchit le seuil de l'autre

dippinfan: Visit the archives the next time you’re test-firing the meat missile:http://www.dippinfan.tumblr.com/archive

 

le supplice chinois, tu sens cette bouche qui se resserre désespérément quand tu sors, qui a la larme à l'œil quand tu reviens

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C'est le moment de vérité, surtout la première fois que tu couches avec un gars

 

 Comme si ces beaux témoignages n'avaient pas suffi, quelques photos 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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FIN

 

 

 

 

 

Par récit de charles - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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