Dimanche 9 novembre 7 09 /11 /Nov 20:13

         

Un trio avec Thierry et son pote. ça frise le hard malgré le consensus évident...   

 

 

     « Thierry posa sa main sur mon crâne et me baisa la gueule en m’encourageant:

— Ouais, ouais, vas-y ma chienne... Pompe ton maître!

Je m’appliquais à mon pompage. Ma langue jouait avec le gros gland dur.

— Ouais! Aaah, c'est génial!

Il donnait de grands coups de reins pour envoyer son gland au fond de ma gorge. Il encouragea son pote à pousser sa queue à côté de la sienne. Je me suis donc retrouvé avec deux bites en bouche. J’étouffais presque et j’avais la bouche en feu avec ses deux queues gonflées de désir. Le limage de ma bouche dura plus d’un quart d’heure et Thierry se retira pour s’occuper de mon cul. L’autre continua et, très excité, il lâcha ses giclées de plaisir chaudes sur mon visage.

— L’autre trou maintenant! me dit Thierry doucement.

Ses mains me palpaient les fesses et me titillaient l'anus. Je n’en pouvais plus d’excitation. Je me laisse faire et il me pénétra d'un doigt puis de deux et de trois.

Pendant qu’il déroulait une capote sur sa bite, j’en ai profité pour m'enduire l'anus de gel à l'eau. Il me coucha sur le dos et remonta mes jambes pour me plier en deux. Sa grosse queue chercha l'entrée de mon cul et s’y planta sans ménagement. Mon cri l’arrêta. Il m’avait quasiment déchiré le cul.

— Putain, j’ai trop mal!

— Désole! J’y ai été un peu trop fort... Excuse-moi...

Il était ressorti aussi vite et me donnait des bisous sur le visage pour sécher mes larmes. Il attendit un moment puis me dit:

— On va arrêter, si tu veux!

— Non! Laisse-moi juste reprendre mes esprits et on va reprendre... Je te veux en moi.

Au bout de cinq minutes, me mettant à quatre pattes, j’ai saisi sa queue derrière moi et je l’ai guidée vers mon petit trou lubrifié. De cette façon, je menais les travaux d’approche. J’ai écarté délicatement mon anus en poussant sur mon sphincter et j’ai senti l’avancée de son gland en moi. Il me laissait diriger la manœuvre. Lorsque mon conduit fut habitué à son calibre, je lui dis:

— À toi, maintenant, vas-y!

Il entra en moi un peu plus. Je poussais vers lui. Mon anus s'ouvrit lentement. Il s’installa.

— Eh, dis donc, y’a une troisième bite à satisfaire, mon lapin!

Il appela son deuxième pote qui me fourra sa queue en bouche.

— Voilà ce que j’appelle une bonne salope! Deux trous fourrés!

Comprenant que je n’avais plus mal, il fit entrer sa grosse queue un peu plus encore, jusqu'à la moitie de sa longueur. Je sentais mon petit trou s’élargir et se détendre. Il me disait des cochonneries et j’étais excité comme une petite salope.

— Tu aimes ça, hein?

J’ai lâché un moment la bite de l’autre pour répondre.

— Oui, j’adore sentir ta grosse banane dans mon cul!

Mon anus se relâcha au maximum et son gros membre m'écartela délicieusement en s'enfonçant lentement jusqu'à la garde.

— Ça va? demanda-t-il.

— Ton engin est bien gros en moi. C’est super! Ne bouge pas trop... Laisse-le là pour m'habituer...

— D’acc!

Je poussais vers lui mes fesses cambrées. Il claqua alors ses deux mains sur fesses et en s'accrochant à elles, s’activa dans mon cul.

— Tu aimes que je t'encule comme une petite pute?

— J’adore.

Il poussa toujours plus fort avec sa queue dans mon cul et ordonna à l’autre de me défoncer la gorge.

Juste avant de gober cette autre bite et de me taire jusqu’à la jouissance, je lui ai lancé:

— Tu m'encules trop bien, j'aime ta queue, elle est grosse et performante! Thierry t’es un dieu!

Il me saisit aux hanches et m'enfonça puissamment son énorme bite dans le cul en frappant fortement à l'intérieur. Je couinais de plaisir en suçant l’autre mec. Je sentais le plaisir entrer dans mon anus, monter le long de ma colonne vertébrale pour atteindre le bas de ma nuque et m'envahir tout le corps.

— Putain, Thierry, t’es déchaîné! Tu l'encules trop bien cette salope! Elle a la gueule collée à ma bite!

La séance se termina en apothéose. Le sperme de Thierry et celui de l’autre m’arrosèrent avant que le mien ne s’écrase sur mon ventre.

— Ben, mon cochon, t’es servi! me lança Thierry!

— J’adore le sperme...

— Ouais, je constate que tu es vraiment une pute à jus!»

  extrait de    http://www.gai-eros.org/w/index.php?title=Sex-shop:_Surprise&stable=1 

    montée vers l'extase  A écouter les témoignages ci-dessous , l'extase semble plutôt coïncider avec le tout début: cet instant magique où l'un franchit le seuil de l'autre.

 

témoignages en forme de commentaires 2

«La pénétration, c'est un aboutissement. En termes de chasse, c'est le coup de fusil... (Rires.) Pour en arriver là tu as pataugé des heures dans la forêt. Et enfin, ce n'est plus elle qui te balade, c'est toi qui décides! Surtout avec un nouveau partenaire, c'est une jubilation. Une fierté. Ç'a à voir avec la domination, la virilité. Le mec te fait confiance, il s'offre. Quand tu entres en lui, tu peux le sentir s'ouvrir... Tu ressens forcément une forme de puissance. Tu deviens machiste même si tu n'es pas macho. Inconsciemment tu te dis: "C'est moi le mec, je vais le prendre, le déchirer."» (Pascal)

 

«Qu'on soit dans la séduction du jour ou avec un compagnon qu'on connaît depuis quinze ans, c'est toujours l'aboutissement. Le moment intense où on passe à la fusion, à l'alchimie. L'essentiel pour moi, c'est de retarder le plus possible cet instant "le glissement progressif du plaisir"... Et là, à l'instant T, ce qui est intéressant c'est la résistance. La sensation de ce corps fermé qui s'ouvre (qu'on ouvre). Et ce n'est jamais gagné. Ce que j'adore c'est entrer et sortir juste le bout de mon sexe. Rester à l'orée, de LUI et de moi. Un jeu très jouissif: j'y vais, j'y vais pas. Un jeu sur le temps. Et lui qui halète, gémit, souffle dans ton cou » (Paul)

 

«C'est le moment de vérité, surtout la première fois que tu couches avec un gars. Jusque-là, tu es dans le jeu de séduction, dans la démonstration, tout est exacerbé pour conquérir l'autre. Et soudain tu es moins dans le jeu. C'est là que tout commence (ou tout avorte).» (Bernard)

 

«On obtient de la partie adverse un truc sacrificiel. C'est la même symbolique depuis des siècles..» (Edouard)

 

«J'adore regarder mon sexe qui entre en lui, c'est toujours aussi magique pour moi. Observer la vigueur de mon sexe qui le pénètre. Ce pont entre nous. Comme si mon sexe devenait extérieur à moi, un être à part entière.» (Emmanuel)

 

une fois installés l'un dans l'autre ? Là commence le «pas de deux», une expression qui revient souvent. La pénétration, c'est comme une danse où chacun, tour à tour, invente le rythme. Finie la phase de domination. Place au dialogue, à l'échange, au partage.

«Qu'est-ce que je ressens, alors? Du plaisir! (Rires.) C'est génial d'être en communion, noyé dans l'autre, en fusion. Hyperattentif au  moindre tressaillement... Il peut arriver aussi qu'on s'ennuie. Qu'on ne jouisse pas (c'est d'ailleurs très mal pris par l'autre...). Il m'est déjà arrivé de bâiller, et même une fois de m'endormir (dans le désert d'une histoire perdue). Ce n'est pas juste un truc mécanique, être dans un mec silencieux qui ne souffle même pas... Le plaisir n'est pas garanti. Tout dépend de la manière dont les corps s'entrechoquent et de ce qui se passe dans l'esprit... Parfois c'est ton passif qui reprend le dessus, qui impose les choses. Tu peux te faire baiser... (Rires.)» (Bernard)

 

«Dans la tête, c'est toutes les couleurs de l'arc-en-ciel. Moi je suis un cérébral. Parfois me traverse l'idée que je coupe l'autre en deux. Je suis le marteau de Thor à moi tout seul. (Rires.) Parfois c'est le supplice chinois, tu sens cette bouche qui se resserre désespérément quand tu sors, qui a la larme à l'œil quand tu reviens... Et cette humidité... Tu mesures l'envie, la correspondance. Tout le reste c'est un jeu de contractions. Pourquoi croyez-vous qu'on vous tape sur les fesses, qu'on vous tire les cheveux, qu'on donne un coup de reins plus fort? C'est pour obtenir une contraction. (Rires.) Parfois on se sent comme aspiré. C'est délicieux. » (Edouard)

 

«Quelle douceur d'être dedans! Ce n'est pas seulement moi qui le pénètre mais lui qui m'accueille, me veut en lui, positionne ma bite sur sa corolle... Mon plaisir est très lié à l'envie qu'il a de moi. Il y a une sensation que j'arrive à isoler, très agréable: lorsque mon pubisvient cogner contre ses fesses et mes couilles viennent toucher les siennes. J'ai l'impression alors que son anus m'aspire et que je pourrais aller très, très loin... Les mouvements aussi entrent en jeu. Comment il bouge. J'ai plus de sensations lorsque les mouvements sont lents. Quand le gars demande un va-et-vient plus violent, le plaisir est plus psychologique. C'est sa façon de s'abandonner qui me comble. Quand je le sens trembler, frissonner, miauler, crier, j'ai toutes les sensations décuplées.» (Julien)

 

«Plus je vieillis, plus j'adore rester, sans forcément aller et venir en lui. Il m'est même arrivé de ne plus savoir qui était en qui. J'ai parfois l'impression d'être totalement passif. Un jour un mec m'a dit: "C'est moi qui ai ton sexe." C'est ça, oui: comme un partage absolu de ma bite...» (Emmanuel)

 

«J'adore poser ma main sur son ventre quand je suis en lui, pour me donner l'illusion de sentir mon pénis aller et venir en lui.» (Pascal)

 

«C'est la trêve du malentendu. L'osmose. Une alchimie digne d'un parfum. Etre dans un mec, ça évoque pour moi quelque chose de parfait.» (Sébastien, 35 ans)

 

«C'est un langage muet, un accès direct à l'âme.» (Edouard)

 

Et l'orgasme, alors? Non, ce n'est pas forcément le moment le plus fort. Du moins pas le leur: la sensation est tellement fugitive, déplorent-ils tous... Mais notre plaisir à nous, ça oui, c'est une sensation qu'ils adorent. Et sur laquelle on ne les trompe pas.

 

«Dans le ventre d'un mec, tu détectes tout: s'il s'ennuie ou simule le plaisir ou l'orgasme. Comme si ton sexe était un vrai sonar. (Rires.) Il y a une contraction que j'ai appris à repérer: de légers spasmes, hors contrôle. Ça, c'est la jouissance.» (Pascal)

 

« Ce que je préférais, c'était LUI au-dessus de moi qui n'avais plus  qu'à l'aider à se maintenir. J'adorais cette participation.» (Julien)

 

«Avec mon partenaire, je repère le moment où il va jouir, et je peux, en me calant sur ses contractions, jouir à l'unisson. Ces moments-là, c'est de la téléportation.» (Sébastien)

 

On pourrait les écouter des heures, mais il faut bien conclure. Alors, «post coitum anima triste»? Pas vraiment, non. C'est plutôt un état de béatitude qu'ils décrivent. Et encore un cliché qui vole en éclats: dans l'ensemble, ils aiment bien rester dans le mec qu'ils enculent et savourer, dans une semi-conscience, le calme après la tempête.

 

«Je suis toujours bien là, je n'ai pas envie d'en sortir... Ce qui est jouissif avec celui qu'on baise, c'est jouir en lui, rester et s'endormir. L'un dans l'autre. J'adore particulièrement somnoler en chien de fusil, mon sexe dans son cul.» (Julien)

 

«Pour moi la pénétration a un sens un peu mystique. Avec mon nouveau pote de sexe  j'ai envie d'être en lui tout le temps. De dormir dedans...même débandé... Malheureusement, en se retournant, on finit toujours par se séparer.» (Emmanuel)

   

 

«C'est mon moment préféré. Avec moi, ce sont presque toujours les passifs qui finalement se séparent... (Rires.) Surtout ne plus bouger, fermer les yeux, ne pas parler. L'animalité du nid est là, dans ce moment de plénitude, de calme, après le jeu, la fièvre, éventuellement le combat. Peu importe où tu te trouves, ce qui se passe autour: tu ne sens plus les limites de ton corps, tu es en suspens. Et en sécurité. Peut-être parce que c'est un retour aux sources... Dans ces moments-là, quelqu'un entrerait, je ne réagirais pas. Plus rien n'existe autour. Peut-être même plus l'autre, qui devient une part de moi. C'est un moment très égoïste, en fait, où tu profites pleinement de toi. En mode relaxation. Ç'a à voir avec la spiritualité, avec une sensation mystique.» (Paul)  

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cet instant magique où l'un franchit le seuil de l'autre

dippinfan: Visit the archives the next time you’re test-firing the meat missile:http://www.dippinfan.tumblr.com/archive

 

le supplice chinois, tu sens cette bouche qui se resserre désespérément quand tu sors, qui a la larme à l'œil quand tu reviens

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C'est le moment de vérité, surtout la première fois que tu couches avec un gars

 

 Comme si ces beaux témoignages n'avaient pas suffi, quelques photos 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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FIN

 

 

 

 

 

Par récit de charles - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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