«Quel que soit ton partenaire et la qualité du rapport, c'est surtout tes propres sensations que tu perçois. Jamais tu n'es si proche et si à
l'écoute de toi-même.» (Paul)
«C'est un langage muet, un accès direct à l'âme.» (Edouard)
«C'est difficile d'isoler la sensation de pénétration de tout ce qui l'entoure. C'est un tout. Il y a aussi les odeurs, les bruits ( gémissements,
supplications, halètements, ...etc). » (Julien, 34 ans)
«j'ai rencontré Ralph, le premier mec avec qui j'ai
vraiment fait l'amour. Il avait 25 ans, et une certaine expérience et la première fois que nous avons baisé, j'ai été un peu surpris par ses réactions. ...costaud et sportif, aucun signe ne
laissait penser qu'il était gay...[,,,]. C'est pourquoi sa transformation quand on s'est retrouvés dans son lit m'a étonné. Au fond de lui, il était doux et caressant. Presque féminin. Après nous
être embrassés et roulés des patins en nous tripotant sur toutes les coutures, il m'a chuchoté à l'oreille qu'il adorait qu'on lui bouffe la rondelle et qu'on le prenne. D'un air de me demander
si ça me plaisait. II ne pouvait pas tomber mieux dans mes fantasmes puisqu'il m'offrait son cul. Je l'ai allongé sur le ventre et l'ai admiré. Ses épaules larges et musclées, ses hanches
étroites et ses fesses menues et parfaitement rondes. J'ai fait glisser ma langue tout le long de la colonne vertébrale et j'ai mordillé ses reins. Ils étaient recouverts d'un très fin duvet qui
leur donnait encore plus de velouté. Il a frémi quand j'ai promené mes lèvres sur ses fesses. La peau était tiède et d'une douceur fabuleuse. La chair ferme et compacte, parcourue de
frissons.
J'y ai enfoncé ma bouche. Je l'ai mordue. J'ai léché toute la surface des deux globes en dégustant leur saveur. La raie m'attirait
irrésistiblement mais je voulais prendre mon temps. M'habituer à l'idée que j'allais réaliser mon rêve. Ralph a poussé un gémissement quand ma langue s'est infiltrée entre ses fesses. Il a cambré
les reins ce qui a eu pour effet de les écarter sensiblement l'une de l'autre. J'ai plongé ma bouche dans la faille. Elle était moite, brûlante, délicieuse. Tout son corps a sursauté quand la
pointe de ma langue a touché les fines muqueuses qui se sont nerveusement contractées. Il a levé ses reins pour mieux s'offrir. Une bouffée de passion m'a emporté. J'ai collé mes lèvres sur le
trou et j'ai dévoré sans retenue sa chair la plus intime. Une plainte de plaisir montait de sa gorge tandis qu'il balançait ses reins de droite à gauche. De mes deux mains crispées j'ouvrais ses
fesses le plus largement que je pouvais. Excité à la fois par le plaisir que je donnais et par celui que j'éprouvais. Il est presque impossible de décrire l'exaltation qui était la mienne. Cette
volupté qui me submergeait et que j'éprouvais par tous mes sens. Les odeurs et les saveurs, la consistance de la chair souple et vivante qui fondait dans ma bouche. Les petits cris de Ralph. Les
mouvements de son corps habité par une tension qui montait graduellement.
Finalement, il a dit d'une voix haletante : «Prends-moi maintenant !»
J'ai promené mon gland sur l'orifice qui palpitait. II geignait à voix basse, abandonné à mon bon vouloir. Je
voulais voir ma bite s'enfoncer dans lui et le prendre. Je voulais le posséder. Il a poussé un cri quand mon noeud a franchi l'anneau. Il m'a semblé que je m'engloutissais dans un paradis de
douceur chaude et onctueuse. Mon pubis s'est écrasé entre ses fesses. Il était à moi. Mes yeux ne se rassasiaient pas de la beauté de ce cul écartelé et empalé, de la vision de ce trou dilaté
dont la peau luisait sous la tension que ma verge lui imposait. Ralph m'encourageait à le bourrer à fond, à venir dans lui encore plus fort encore plus vite. Les muscles de son anus se serraient
spasmodiquement autour de ma queue.
Je l'ai pilonné pendant de longues minutes avec le sentiment d'une jouissance très vive mais stable. Comme si
j'avais pu me retenir indéfiniment d'éjaculer. La réalisation de mon rêve d'adolescent était encore plus belle que mon rêve lui-même. J'aurais voulu qu'elle ne s'arrête jamais. C'était une
volupté si forte qu'elle dépassait tout ce que j'avais connu jusque-là.
À la suite de cette première étreinte nous avons passé toute la nuit à baiser dans toutes les positions et de
toutes les manières possibles. Nous nous sommes sucés, léchés et pénétrés avec nos doigts et notre langue. J'ai bu le sperme de Ralph et il a bu le mien. Mais j'en revenais toujours à son
cul et lui souhaitait avant tout se faire enculer. Nous avons connu du premier coup une jouissance partagée et entente parfaite.
Sur le matin, alors qu'on était tous les deux fatigués par nos excès, il a exigé que je le prenne une dernière
fois. J'ai mis longtemps à bander malgré l'habileté avec laquelle il me suçait. Mais moi aussi je désirais me régaler encore de son cul. Il me l'a offert étendu sur le dos et les cuisses
repliées contre sa poitrine. Son anus entrouvert par nos précédentes unions m'a aspiré avec une délicatesse qui m'a tiré des soupirs de bonheur. Notre dernier orgasme a été
simultané.
Après Ralph j'ai eu d'autres amants. Beaucoup m'ont apporté autant de plaisir que lui mais je n'ai plus jamais
ressenti avec autant d'intensité cet éblouissement de la découverte. C'est pour ça que l'image de celui qui m'a donné son cul pour la première fois est restée si vive dans ma mémoire.
D'autres ont été plus tendres ou plus habiles mais ils n'étaient pas les premiers !»
extrait de http://www.gai-eros.org/w/index.php/J%27aime_le_cul_des_hommes
TEMOIGNAGES D'AUTRES ACTIFS QUI COMPARENT LEURS SENSATIONS
enquête en forme de commentaires
«Je suis aspiré dès le passage de l'anneau et là, même si le monde continue d'eixster je n'ai conscience que de ce qui est au bout et autour de ma
bite.» (Pascal)
«Sans préservatif, chair contre chair, ça change tout. Sans, on perçoit beaucoup mieux les nuances et comment ton partenaire ressent les
mouvements de ton pénis...» (Julien)
«La pression, la chaleur, la manière dont il joue avec... C'est ce qui fait toute la différence. Caressant ou pas, coulissant ou pas. Plus ou
moins lubrifié : trop, ce n'est pas plus confortable, tu es dans un aquarium, tu ne sens plus rien, tu as peur de débander ; pour garder le contrôle tu touches le point de contact entre anus
et pénis.» (Pascal)
« Aucune pénétration ne ressemble à une autre. .» Sauf que deux images reviennent systématiquement dans nos
premières impressions : celle d'un monde clos : rien autour, peur de faire attention à autre chose, concentration. c'est un monde complètement fermé, où, bien arrimé à l'Autre, tu
marches seul.» (Paul, 47 ans)
«Ce qui est vertigineux si le gars en veut bcp, c'est l'idée de pouvoir toujours aller plus loin, on a la sensation d'être dans une gaine où on peut
rentrer une grande longueur, illusion que maintiennent tes allées et venues, tes entrées et sorties .» (Julien)
«Ce n'est pas une grotte... Plutôt un cocon humide genre le mollusque, le coquillage. C'est peut-être pour ça que c'est si rassurant
l'odeur d'un jeune cul qui se livre, émouvant même.» (Emmanuel, 52 ans)
«La pénétration, c'est une plongée en apnée. Tu prends une bouffée d'air avant, et tu y vas. Tu entres dans un univers liquide qui t'aspire, comme
un aimant. lui, il s'ouvre un peu comme une fleur, et là tu exultes. ...» (Pascal)
Ceux qui vous accueillent le mieux...Mieux ? ils font quoi au juste ? Au moment de la pénétration, la
sensation d'être à l'étroit, bien sûr. Mais c'est plus complexe qu'on l'imagine. Certes il y a les «mécanistes», mais aussi les partisans de la sensation globale. Comme ils le font tous
remarquer: «La taille du sexe a son importance, mais ça ne fait pas tout. Comme pour vous, non?»
«Plus c'est serré mieux c'est. Il y a des culs où on se sent comme aspiré à l'intérieur. On se sent plus désiré même si au départ c'est
un peu douloureux pour LUI. S'il sait bien y faire il va vous faire des séquences où il vous serre et vous lâche, alternativement» (Julien)
«Plus ou moins étroit, moi je m'en fous. Ce qui compte c'est comment on fait l'amour ensemble : est-ce qu'on se lâche ou pas...L'abandon et la perte
de soi peuvent parfois aller très loin. Même avec la même personne, c'est toujours différent. Aimer son partenaire c'est un plus. Mais je crois aussi à l'histoire d'une seule nuit
inoubliable, "one shot". » (Bernard)
«Moi j'adore les culs bien épilés, doux, accueillants. Et sentir l'humidité qui monte, comme une vague. Il y a des culs qui vous aiment,
qui aiment votre sexe. Ils vous aimantent, et on les quitte à regret... J'aime de plus en plus le cul d'homme. Un partenaire faussement silencieux, qui s'ouvre, se ferme: c'est lui qui fait
tout...» (Emmanuel)
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