Partager l'article ! GAY SACRED SEX ->" j'irai au bout de mes rêves où la raison s'achève...": Belzebuth, enfermé jusque-là, veillai ...
Belzebuth, enfermé jusque-là, veillait
maioui ...
J'ai sucé sa bite jusqu'à
ce qu'elle devienne molle et sèche.
Je
roulai sur mon dos, l'amenant facilement sur moi, l'embrassant à nouveau et mélangeant nos sucs d'amour des étreintes précédentes avec des bouches et des langues creusant dans le feu et la
passion de notre accouplement urgent...
...25 cm en pyramide dans son...
maioui ...
Mon sexe
était dur comme de la pierre et son cul continuait à pousser contre mon entrejambe pour sa baise. J'atteignis la petite table et pris une dose de gel et attrapai son cul.
Il s'est élevé pour moi et a chevauché mon ventre, me facilitant une large entrée dans son cul
trop petit. Mes doigts ont trouvé son trou plissé et, au milieu de ses halètements,
j'ai inséré rapidement mon index puis mon majeur. Travaillant son
trou ouvert et son petit derrière qui se tordaient au-dessus de moi laissez-moi penser qu'il était heureux. Quand j'ai senti qu'il était prêt, le
troisième doigt s'est glissé dedans et je l'ai bougé rapidement jusqu'à ce qu'il grognât et gémisse à mon propre rythme. J'ai travaillé son cul jusqu'à ce que j'eusse la moitié de ma paume poussée à l'intérieur de lui. Il souffrait maintenant, mais il continuait à pousser sur ma main, prenant tout ce que je
pouvais lui donner. Maintenant, son cul était ouvert et il suppliait de la bite.
Ma main sortit sans bruit de ce soyeux espace et mes yeux rencontrèrent les
siens. Ses yeux étaient vitreux et des larmes coulaient sur son visage. "Oh, prends-le le trou de ton bébé, s'il te plait, s'il te
plaît, s'il te plaît" murmura-t-il plusieurs fois, essoufflé.
Je le soulevai, sous les bras, le ramenant presque complètement
sur moi et guidai son trou du cul impatient de ma bite. Dès que je sentis que mon gland touchait son
puits d'amour et glissait dans son toboggan béant, je l'investis complètement, enfouissant ma bite en lui. Il gémit un peu, ses yeux encore vitreux et lointains. J'étais choqué de voir à quel point ce jeune, bien en tous points de vue, semblait dépendant, assis là,
empalé et pistonné, sacralisant ainsi ma bite dure.
Il vibrait et tremblait on ne
savait plus si c'était de douleur ou de jouissance extrême alors que je poussais inexorablement plus loin en lui, alors qu'il se collait chair contre chair, poussant contre mon ventre
et ma queue. Quand ses fesses touchèrent mon pubis, je guidai son
comportement. Il a lentement commencé à bouger, glissant de haut en bas sur mon axe rigide. Je pouvais voir la façon dont ma bite entrait et sortait de
lui, et imaginais sans peine l'effet que ça lui faisait ; il gémissait doucement alors qu'il commençait à se détendre et à le prendre dans son lieu secret le plus profond, celui
qui réunit âme et corps. Sa queue était à nouveau dure, se balançant à chaque montée et descente de son
corps. Je l'ai attrapée et l'ai serrée fermement pendant qu'il commençait à prendre son
rythme. Je commençais à grogner chaque fois que ses fesses claquaient
contre mes cuisses. Maintenant, il chevauchait le
poney au galop, pesant maintenant contre moi de tout son corps d'ange livré au démon, se balançant d'avant en arrière sur mon bâton de baise, se mordant la lèvre inférieure, son visage
rayonnant de faim et de désir et de satisfaction... le diable était entre nous ; Belzébuth avait pris possession de
lui.
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
Je lui ai fait lire mon récit et
mon copain m'a dit que je pouvais lui faire tout ce que je voulais, alors je lui ai dit d'être prêt quand je rentrerais à la maison avec juste un jockstrap. J'avais sur moi mon
costume noir et mon sweat blanc préféré que j'avais portés au travail ce jour-là en tant que professeur de lycée.
J'ai d'abord grimpé sur lui et joué, le relaxant. Puis j'ai pris ses poignets et les ai attachés au-delà de sa tête, aux coins du lit. Une fois que ses petites mains furent
neutralisées, j'ai pris le temps de manger son petit cul sexy. Il gémissait de plaisir, ses pieds ballottant dans l'air.
J'ai ôté mon propre jockstrap, et ai commencé à le baiser à cru, avec rien mais ma pine. Ça lui faisait mal, alors je l'ai bâillonné un peu avec ma bite, pour avoir ma bite bien mouillée,
puis je suis retourné au travail. Tout ce qu'il pouvait faire était de se détendre et de gémir. Il ne pouvait pas se toucher, et même s'il l'avait voulu, il était coincé dans son
jockstrap.
Après un moment, il a commencé à me supplier de jouir. Le regard sur son visage de frustration sexuelle m'a poussé sur le bord. Je suis venu bite et boules libérées au fond de
lui.
Derniers Commentaires