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HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE

Dimanche 1 février 7 01 /02 /Fév 22:21
 
  
 
 
 
C'est une assez longue histoire. Ce n'est pas arrivé en un jour.
Un jour, dans un local où sont entreposées des bobines de câbles, il devient plus entreprenant :

- Baisse ton pantalon !

Je proteste, d'un geste sec il le tire vers le bas et déchire mon slip.

- J'aime que tu me résistes ! Tu es encore plus aguichant ! C'est charmant de te voir bander quand ma queue glisse entre tes cuisses ! Tu es trop délicat pour me résister ! Tu mérites une fessée !

Il me pousse sur une de ces énormes  bobines, des claques s'abattent à toute volée sur mes fesses qui  me brûlent.

- Tu as un cul d'enfer ! Putain de beau cul !

Il m'oblige à me cambrer, sa queue coulisse entre mes fesses. Cette tige douce, robuste et chaude me procure une drôle de sensation. Après un long moment, sa liqueur inonde ma raie.

- Ça te plaît de te faire graisser le cul !

Je me sens rougir. Une main appuie sur mes reins puis glisse sur mes fesses et les écarte, un doigt s'insinue dans ma raie, chatouille ma rondelle enduite de sperme et, d'un coup, il l'introduit dans mon anus. Une décharge électrique envahit mes couilles et je jouis d'un jet puissant.

- C'est bon de se faire taquiner la rondelle ! Hein ? Tu es de plus en plus dévergondé ! Tu m'affrioles avec ta rosette bien lisse ! Allez rhabille-toi !

Je retourne au travail, j'ai l'impression que tous me regardent. Ma raie trempée de liqueur me rappelle la tige dure et chaude qui y glissait. Je reste médusé par le plaisir que me donnait ce doigt introduit dans mon anus quelques minutes auparavant.


Le dernier vendredi du mois de juin, une fête de fin de chantier est organisée, on mange du couscous et on boit du vin. Nous sommes tous plus ou moins ivres.

Grisé, je me laisse traiter de coquine quand Moustache prend ma main et me dit "Va jouer à la femme !". Tous rigolent.

- Quand le gland passe, tout passe ! Plaisantent-ils de plus belle.

Trop ivre pour réagir, je le laisse m'entraîner vers une cabane sous leurs regards hilares. La porte refermée, il me déshabille, m'allonge sur le lit et m'embrasse dans le cou. Je frissonne sous ces baisers. Il glisse un oreiller sous mon ventre. Toujours le cerveau dans les brumes, je sens à peine ses mains rugueuses écarter mes fesses, sa tige chaude, dure comme de l'acier, glisse entre mes fesses. Cela m'excite plutôt, je me détends, je m'abandonne complètement. Sa bite quitte ma raie. Frustré, je grogne. Brusquement, son gland appuie sur ma rondelle, une décharge électrique traverse mes reins. Dessoulé, je pousse un cri strident de bête agonisante, mes poings serrent les couvertures. J'appelle au secours, j'ai l'impression que mes fesses se séparent.

Je crie "À l'aide ! À l'aide !"

J'entends une voix dire "Ca y est, il s'est fait mettre !". Des rires fusent.

Sans s'occuper de mes cris et encouragé par les gloussement du dehors, il saisit fermement mes hanches et, d'une puissante poussée, s'enfonce jusqu'aux couilles dans l'étroitesse de mes reins, bousculant tout sur son passage.

Le souffle court, je me cabre, je rue, je ne pense qu'à ce tison ardent qui brutalise mon étroitesse. Il reste un long moment immobile et se retire. Toute douleur disparaît, je reprends mon souffle et d'un coup il m'encule jusqu'à la garde, il ressort et m'encule à nouveau plusieurs fois de suite, me clouant au lit.

Je crie ma détresse.

Dehors, des voix s'esclaffent : "Tu en prends plein ton cul ! Tu te fais laminer la rondelle!", et ils rigolent.

Sans s'occuper de mes cris, il me sodomise à fond. Plus je me lamente, plus ça l'excite, il devient violent et me claque les fesses en me défonçant la rondelle à grands coups de butoir.
C'est si profond. J'ai réellement peur qu'il me démolisse un organe.

 De dehors me parviennent les rires et les quolibets.

Je n'ai plus la force de lutter. Sodomisé plus doucement, je me laisse aller, je soupire. Je n'ai plus la volonté de crier, de protester. Il se retire, masse ma rondelle et teste son élasticité avec son pouce. Il s'exclame :

- Tu as un beau cul ! Il faudrait que tu te voies ta rondelle ressemble à une fleur ! Elle s'ouvre comme une jolie fleur ! Je ne Rien que de la voir je perds la tête !
Son gland appuie sur ma rondelle qui se dilate et l'engloutit à nouveau, je ressens un léger picotement. Sa bite coulisse aisément dans mes reins.

Chevillé à ce pieu, je me détends. Tout en me sodomisant, il me susurre à l'oreille :

- C'est mieux qu'avec le doigt hein ! Tu as un vrai cul de salope ! Tu cries plus ! C'est bon, non ?

Il me retourne sans un mot, les yeux brillants. Supérieur, le sexe toujours en érection, il passe une main sous mon menton, m'oblige à redresser la tête, dirige sa queue vers ma bouche, son gland appuie sur mes lèvres. Résigné, je l'avale malgré mon dégoût. Il était près de jouir. Après quelques allers-retours, le goût poivré de sa liqueur envahit ma bouche, inonde le fond de ma gorge, m'obligeant à déglutir sa semence jusqu'à la dernière goutte.



Des larmes coulent sur mes joues, qu'il essuie avec son gland en proclamant "il ne faut pas te plaindre, tout ce qui t'arrive c'est ta faute, tu es trop belle. Allez, mets-toi à quatre pattes."

Asservi, je prends la pose. Je me crispe quand je sens son gland dur et chaud qui appuie sur ma rondelle.

- Tu ne gueules plus.

Sa queue s'enfonce dans mon étroitesse.

- Allez, crie, ça m'excite.

Il me sodomise profondément, écartant bien mes fesses.

- Allez, braille.

Il me claque les fesses à toute volée. Je hurle à chaque claque. Satisfait, il passe une main sous mon ventre et me branle tout en me sodomisant, une onde de feu irradie mon anus, descend dans mes couilles, une lumière éblouit mes paupières, je me répands en longs spasmes, je chancelle et, au bord de l'évanouissement, je m'écroule.

C'est la première fois que je jouis avec une telle intensité, je mets plusieurs minutes à refaire surface, toujours rivé à son pieu. Doucement, il reprend ses allers-retours, accélère ses va-et-vient, se retire et crache sa sève brûlante sur mon dos en criant "putain que c'est bon de t'enculer, tu me vides les couilles jusqu'à la dernière goutte. Tu as un cul super. Tu baises comme une vraie salope."
 
 
 
Par quizblorg - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 25 janvier 7 25 /01 /Jan 21:51

  http://www.gai-eros.org/w/index.php/Enlev%C3%A9s_dans_le_d%C3%A9sert_(1)   

 

 

 

Thomas, adolescent de 18 ans, brillant élève de terminale d’un grand lycée parisien, lit et relit la lettre d’un de ses oncles, diplomate en poste au Proche-Orient, à Amman plus exactement. Thomas est invité avec son jeune frère Julien, 16 ans, à passer l’été dans la grande villa de son oncle au bord de la mer Rouge près d’Aqaba.

 

  Quatre hommes armés de longs couteaux courbes, pénètrent dans la tente. L’un empoigne les mollets de Thomas et le «sort» brutalement de Mehdi. Les sbires rigolent en voyant le jeune français interrompu en pleine action, répandre son jus partout. Julien, qui tente de fuir, est agrippé par deux bédouins. Il se débat mais est vite calmé quand un de ses agresseurs lui tord méchamment les testicules et enfonce son pouce dans son anus sans la moindre préparation. Thomas lui, est ramené au calme par une violente paire de claques et un coup de pieds vicieux dans les noix. Le garçon se roule par terre sous le regard réjoui des quatre bédouins. Quand au pauvre Mehdi, ses agresseurs lui font payer très cher, ses «relations» avec les infidèles, il est roué de coups; un des sbires l’étouffe sous un oreiller tandis que le chef lui tranche les parties génitales. Les jeunes français sont horrifiés, le chef range soigneusement la verge et les couilles de Mehdi dans un petit sac en cuir. Toute velléité de résistance est bien brisée, Thomas prend son frère par l’épaule et, sous le choc, suivent leurs ravisseurs sans résister.  

 

Dehors attendent d’autres hommes et un groupe de dromadaires et de mulets, la nuit est magnifique, le ciel empli d’étoiles, il fait plus frais constatent les deux adolescents nus qui frissonnent. Thomas voit deux gardiens saisir Julien par les mollets et les poignets, le garçon est soulevé de terre et allongé, toujours nu, sur un mulet, sur le ventre, les bras et mains liées de chaque côté des flancs de l’animal. Thomas connaît le même sort quelques minutes plus tard. Il est horrifié une nouvelle fois en voyant son oncle discuter plus loin avec le chef de la bande qui lui remet une enveloppe pleine de dollars. Ils ont donc été vendus par leur oncle, qui était, mais ça ils ne le savaient pas, criblé de dettes de jeu! L’oncle hurle, il n’était pas prévu que ses neveux puissent le voir mais le chef du commando semble beaucoup s’amuser. Il hurle un ordre, deux de ses compagnons se saisissent de l’oncle, le déshabillent devant ses neveux, sans ménagement. Trente secondes après, l’oncle baigne dans son sang et ses parties viriles rejoignent l’horrible collection du bourreau. Le chef jette avec mépris les dollars sur le corps sans vie, abandonné aux chacals.  

  http://www.gai-eros.org/w/index.php/Enlev%C3%A9s_dans_le_d%C3%A9sert_(2)     

  «Que veut-on faire de nous?» lui demande Thomas. «Participer aux soirées d’une sorte de secte,» et le garçon fond en larmes. Julien l’imita aussitôt! ....

Passionnant... 

 

1070-beur-gay-arab-gay-0011-1052-principale

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

     

 

  

 

Par gaytag - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 25 janvier 7 25 /01 /Jan 15:03

Le marin (capitaine), crypto homo, écrivain PIERRE LOTI a été évoqué

LES MARINS SONT REPUTES AVOIR PARMI EUX DE NOMBREUX HOMOS 

  A la fin des années 60, la Royal Navy était paniquée par l'ampleur de l'homosexualité parmi ses marins, selon des archives publiées hier. Un rapport confidentiel affirmait qu'un marin sur deux «avait péché homosexuellement», révélait l'existence d'un bordel masculin aux Bermudes, et s'alarmait du succès rencontré par les travestis de Singapour. L'interdiction de l'homosexualité au sein de l'armée britannique a été levée en janvier 2000.  

 

 

S’il est, dans la littérature française contemporaine, une œuvre provocante, sulfureuse, irrécupérable, c’est bien celle de Jean Genet. Comment imaginer un cinéaste plus proche de son univers que l’Allemand Fassbinder ? Il était donc évident, logique, voire inévitable, que celui-ci tente une traduction visuelle de cette œuvre hantée par le désir et par la mort.Querelle Transposition du roman « Querelle de Brest », ce film crépusculaire restera le dernier de Fassbinder, qui mourut juste après avoir achevé le montage. Étouffant, envoûtant, entièrement baigné d’une lumière cuivrée, il est bien à l’image de son modèle. Théâtre de son jeu morbide et fascinant le port de Brest, reconstitué par un vaste décor fantasmatique de carton-pâte. Héros : un séduisant marin nommé Querelle (Brad Davis), aimé en secret par son lieutenant (Franco Nero), jouet et instigateur des intrigues qui s’ébauchent autour d’un bar bordel où se rencontrent les marins, sous l’œil du patron herculéen et de l’ensorcelante chanteuse Lysiane (Jeanne Moreau)… Rapport d’amour et de haine sous le signe de l’homosexualité, distillée en images crues de sexe et de meurtre…

   

  1947 DESSINS  DE JEAN COCTEAU POUR QUERELLE DE BREST 

   

 

 

  

 

 

 

 

Par JEAN GENET - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 20 janvier 2 20 /01 /Jan 21:18

  TOUTE RESSEMBLANCE AVEC UNE PERSONNE AYANT REELLEMENT EXISTE SERAIT PUREMENT FORTUITE 

j'imagine que tu es en train de me regarder.

 mintolauk: Cole Monahan Follow me at http://edcapitola.tumblr.comje te vois en effet

 

 me regarder  me regarder  me regarder

 mintolauk: Cole Monahan Follow me at http://edcapitola.tumblr.com

Tu peux imaginer la douceur de ce tissu

 

  mintolauk: Cole Monahan Follow me at http://edcapitola.tumblr.com

 

ce tissu ce tissu  ce tissu

 

 mintolauk: Cole Monahan Follow me at http://edcapitola.tumblr.com

 

 Et la chaleur de mon corps, tu l'imagines ?

mintolauk: Cole Monahan Follow me at http://edcapitola.tumblr.com

 

chaleur de ton corrrrpsss je l'imagine

 

 

l'imagine  l'imagine l'imagine l'imagine

mintolauk: Cole Monahan Follow me at http://edcapitola.tumblr.com

 

que ce soit toi au lieu de moi qui caresse mon corps plein de chaleur de douceur...

de douceur... de chaleur ...de douceur... de chaleur de douceur...

 

   mintolauk: Cole Monahan Follow me at http://edcapitola.tumblr.com

 

 de chaleur me voilà condamné à vous regarder en train de faire l'amour entre potes ...

 

 

Ah, non !  VIENS !   

 

 

 

Par claudio - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 19 janvier 1 19 /01 /Jan 00:22

largement inspiré de Charles  http://www.gai-eros.org/w/index.php/Chantier_ouvert 

 

Je suis une grosse salope en manque de sexe. En commençant mon récit de cette façon, vous allez penser que je suis une femme. Si je vous dis que non, vous imaginerez directement que je suis une pédale efféminée. Vous serez encore loin du compte. Je suis un vrai mâle de 60 ans avec  un cul bien profond. Pour 99% de mon entourage, j'ai été un hétéro qui se tapait des nanas différentes sans arrêt. Des nanas, oui,  je m’en suis tapé pas mal mais, aujourd’hui, j’ai tiré un trait sur la gent féminine.

Je suis donc une grosse salope.  

talldaddy: www.talldaddy.tumblr.com

 

blackoldrough: That hole is about to get bred.

 

Et maintenant seules les grosses bites arrivent à me faire jouir. Je vous ai dit que j’étais en manque . Jamais bien longtemps. Quand mon trou a des crispations et que l'envie de me faire baiser me tenaille, je trouve toujours un moyen d'assouvir mes désirs.  Je ne dis pas non à un bon gode pourvu que ce ne soit pas moi qui me l'applique, je n’en préfère pas moins une vraie bonne grosse queue de chair et de sang.

D'aussi loin que je me souvienne et depuis que les choses du sexe m'intéressent, j'ai toujours été très porté sur la baise. Les films X, les photos, j’adore mais ça n’a jamais remplacé un vrai contact physique et bestial. Quand j'ai commencé à comprendre que j’étais plus gay que bi, j’ai fréquenté des bars où je matais puis je me laissais tripoter. Mon évolution a continué. J’ai découvert que si ma bite était réceptive aux caresses, mon trou l’était encore plus. Je me doigtais ou j'avais du plaisir à me laisser fourrer des objets dans le fion tous les jours. J’en découvrais tous les secrets de profondeur et de sensibilité. Aujourd'hui, grâce à un entraînement hors norme et une libido hors norme elle aussi, j'ai donc un trou accueillant, prêt à recevoir de gros, de très gros calibres à la chaîne. Dans certains endroits, je suis même assez fier d’avoir pour surnom «le Trou». Quand on a une réputation, il faut savoir l’entretenir pour bien en jouir. Chaque matin, je fais travailler mes muscles pour rendre mon petit trou musclé et souple. Mon but est de bien jouir et bien faire jouir mes partenaires. J’arrive aujourd’hui à mieux serrer les bonnes bites qui me remplissent. Je vous parle de «partenaires» et de «bites»... les deux au pluriel. Je suis en effet un adepte du sexe "one shot"... deux tout au plus.  Je ne me sens pas prêt pour une vie pépère avec un seul mec... même s’il a la plus grosse bite du monde.

Mon ami Fred me disait:

— Tu n’es pas encore lassé de toutes ces aventures sans lendemain? Tu n’as pas peur de finir seul...

— J'ai encore tant de choses à découvrir et tant d'expériences à vivre.

— Moi, je te parle de sentiments... Toi de cul...

— Putain de merde! Je ne suis jamais seul... Enfin, rarement! J'ai un carnet rempli d'adresses de gars qui ne demandent qu'à m'honorer de leur visite. lol

— Ne me dis pas que tu as toujours cet ignoble carnet où tu notes tes partenaires?

Silence.

— Tu l’as toujours?

— Quand je fais une rencontre jouissive, je note les coordonnées du mec et je n'hésite pas à donner mon avis sur ses... performances.

— Et pour le contacter si le besoin s'en fait sentir! Foutaises! Tu le dis sans arrêt: «Coup d’un soir et au revoir».

Mon copain n’énervait prodigieusement mais, d’un autre côté, je lui reconnaissais une certaine lucidité. Dans mon petit carnet d’adresses, je griffonnais effectivement des annotations qui me permettaient de retenir la spécialité ou les qualités particulières de chacun de mes partenaires de jeux.

— Tu n’as pas encore couché avec tout ce que tu estimais «couchable»?

— Là où je sors, il m’en arrive constamment des nouveaux.

—   J’oubliais que tu préfères qu’on lâche son«foutre» en toi!

— J’aime le cul, je le revendique. Je ne suis avide de sensations fortes. Je suis ouvert à tout.    

— Tu essayes de me faire vomir? Tu es une pédale bon teint et tu n’as jamais été bisexuel!

— Si tu le dis! Il y a cependant des choses qui touchent à l’hétérosexualité qui m’excitent... Je rêve de coucher un jour avec un couple qui ferait de moi sa chose.

— Tu rêves qu’un mec te saute devant sa bonne femme et qu’il te trouve plus chaud qu’elle.

Une petite conversation avec mon copain me stimule toujours.  Aussitôt, il me faut redécouvrir une nouvelle sensation. J’ai cherché dans mon agenda. Je voulais de la nouveauté, de l'inédit, de la baise "hors norme". Ne trouvant rien, j’ai été faire un tour sur le Net. J’y fréquente quelques sites assez hard. J'y ai déjà fait de sacrées rencontres mais il m'est aussi arrivé de vivre des plans foireux et frustrants. Dans l’état où j’étais, je cherchais un gars prêt à me pousser dans mes retranchements, me soumettre – même en public -, me pisser dessus.

De chat en chat, j’ai finalement trouvé une ouverture possible. Il était 2h30 du matin mais mon trou palpitait d’envie. J'ai dialogué un moment avec un mec qui m’a proposé de me faire prendre par trois blacks bien montés.

— On peut faire ça où? ai-je tapé sur l’écran.

— Pas n'importe où!

Ça, j’étais bien d’accord. Rendez-vous m’a été donné dans un quartier de banlieue.  ...Je ne portais qu’une paire de jeans serrant et un minuscule T-shirt noir. J’étais prêt à me faire sauter rapidement.  Je me suis dirigé vers le quartier en question en me demandant si, une fois de plus, je ne prenais pas trop de risques. J’ai fini par repérer le chantier de construction qui était le point de rencontre.  On était en hiver et le chantier fermait tôt. L’endroit était désert . Il m’a semblé voir une lumière dans le cabanon qui servait de cantine aux ouvriers. J’ai à peine attendu cinq minutes et ils sont arrivés. Trois beaux blacks foutus comme des athlètes. Trois paquets moulés et prêts à exploser. En les voyant, j'avais encore plus envie de me faire tringler le cul et la bouche à la chaîne. Trois rien que pour moi!

— Je travaille sur ce chantier! a dit un des trois.

— Ah!

— C’est un endroit calme pour baiser...

— Mais il y a déjà quelqu’un. J’ai vu de la lumière...

— C’est le gardien.

— Et...?

— Soit il reste et mate, soit il reste et participe... ou alors il va faire un tour... Nous allons voir ça ensemble! OK?

Le plan en présence du gardien m’angoissait un peu mais il était trop tard pour rebrousser chemin. Je crevais de me faire baiser.

Les trois gars m’ont précédé dans le cabanon et le premier a parlé avec le gardien. Je l’ai entendu dire qu’il préférait aller faire un tour, qu’il était crevé. Ce qu’il a fait en me regardant à peine. 

Les trois blacks me regardaient. J’ai brisé la glace.

— Allez, les mâles, baisez-moi maintenant, tous les trois! J'ai le feu au cul et il faudra bien trois grosses bites pour l'éteindre.

  La glace était à peine brisée que j’étais déjà à poil et occupé par mes trois lascars.

— Bourrez-moi à fond... J’ai deux trous, il faut les occuper... Mon chantier est ouvert...

Ils ne se firent pas prier, les gaillards. Mon trou de derrière fut le premier à se faire remplir.

— Allez, toi, approche que je suce ton gros sucre anisé.

Je venais de m’adresser au plus jeune et sans doute le plus timide des trois... mais pas le moins excité. Il avança et m'enfila sans douceur la tête de sa bite noire entre les lèvres. J'avais la troisième bite dans ma main et je l’agitais pour en maintenir la rigidité. Je voulais que leurs trois bites restent dures assez longtemps pour qu'ils puissent se relayer au moins deux heures dans mon trou.

— C’est ça que tu veux? me murmura mon enculeur à l’oreille. De la bite de black, de la grosse bite de noir?

— Oh oui!

— On va combler ton petit trou du cul. Et dans toutes les positions!

— Vous gênez pas!

— Allez, sur le canapé. Fous-toi à quatre pattes!

Je me mis à quatre pattes, la bouche ouverte pour accueillir une bite et la sucer. Le black le plus vigoureux vint coller sa bite contre mes fesses. Il me les écarta, cracha un peu de sa salive dans ma raie et me lubrifia l’entrée. Je suis très serré et le lubrifiant m’est le plus souvent indispensable. Là, grâce à une sniffée de poppers et une bonne dose d’excitation, je devais faire confiance à ma chatte pour qu’elle se montre accueillante et docile. La bite était très grosse mais, à vrai dire, mon cul en avait vu d'autres. Mon enculeur joua un peu avec son gland à l’entrée de mon trou qui n’en pouvait plus. Il donnait d’agréables coups de bite contre mon anus à moitié fermé et soudain je sentis passer son gros nœud quand il me troua la rondelle. S’il avait été doux et patient jusque là, très vite, il commença à me limer sur un rythme rapide et bestial. Les deux autres s’étaient foutus à poil et mataient.

— Tu aimes?

— J’adore mais j’adorerais encore plus me sentir rempli des deux côtés. Il y a deux bites qui ne servent à rien, ne gaspillons pas...

Un des deux autres blacks grimpa sur la table et présenta sa bite devant mon visage. L’un me pistonnait le cul et l’autre les lèvres. Avec la pointe de ma langue agile, j’adorais titiller cette longue bite depuis le gland jusqu’à la base. J'étais maintenant prêt à recevoir le troisième black pour une double pénétration anale.

Celui-ci, le plus jeune, se branlait pour maintenir son érection en attendant de venir m'enculer. Il n’allait pas être déçu.

Nous avons changé de position et je me suis retrouvé dans le canapé-lit. J'écartais largement les cuisses, assis sur la queue qui me bourrait le cul. Ma bouche pompait toujours la même bite. Entre les cuisses de son pote, le jeune black vint placer son gland luisant devant mon trou – juste contre la queue qui l’occupait déjà – et d'une poussée brutale, il entra à son tour. Mon cri ne l’arrêta pas. Il y trouva peut-être même une raison de continuer et de me défoncer. Ce n’était pas ma première double pénétration mais ça l’était avec des queues aussi grosses. Le jeune était pugnace mais il peina à trouver sa place dans mon fion car la pine de son copain y occupait déjà pas mal de place. Il agitait les reins comme pour perforer un trou plus large. L’autre recommença à bouger en moi et le nouveau venu profita d'un mouvement de recul de l'engin qui m'enculait pour gagner les quelques centimètres. J’étais au paradis! Mes deux enculeurs essayèrent de se mettre au diapason et, bien vite, ils trouvèrent leur rythme de croisière.

Cette nuit-là, je fus comblé comme je l’avais rarement été. Les trois baiseurs étaient infatigables et ils se relayèrent plus de trois heures dans mes orifices.

  Si j’ai joui, eux aussi n’ont pas été en reste... J’ai terminé ma nuit englué de jus de blacks! Un must pour les amateurs...

J’étais vraiment en chantier.

 

 

  blackoldrough: When the pubes tickle your nose you’re almost there.

 

blackoldrough: When you can’t deepthroat it, find another way to get it wet. Lick that lollipop

 

 

blackoldrough: First tentative taste of that hooded monster, In an hour he’ll be deepthroating it like a pro. No time to be nice just ram it in!

 

 

blackoldrough: Trying to get the condom off without the bottom knowing. Hell yeah!

 

blackoldrough: Luckiest guy in the world? that hole is being taken care of. Needs to ram the throat too.

 

whitesub: daddylovestofuk: Hey bitch..  you wanna suck my dick with your husband? BBC Rules!!!

 

 

blackoldrough: Those pubes on the dick. Drool!!

 

 

  blackoldrough: If your a big man with a big mouth that means you should have no problem taking a big dick, smart ass. 

 

 

 

blackoldrough: Ass or mouth.. you decide. Drink bitch

 

 

 

 

 

  blackoldrough: Needs no words… 

 

s

 

 

 

 

 

 

blackoldrough: This will shut you up while my buddy breeds your hole. Your begging is annoying. Just as it should be.

 

blackoldrough: For those who say white holes aren’t made for back dick. Dilated!

 

blackoldrough: To see a hole is to fuck, whether the bitch wants it or not. Breed it

 

 

Tag teaming a slut is fun.

 

 

Par AMAT - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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