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hummmmmhhhhh
Fais ton acte de contrition mon fils !
JALOUX ET TROUVANT INJUSTE que les amours ardentes soient souvent dévolues aux hétéros, j'ai réécrit ce récit en montrant que deux homos peuvent vivre une histoire d'amour à plus forte raison s'il s'agit d'un prêtre.
" Joyeux anniversaire, Fabien ! "
ouais, ça aurait pu...
Deux années s'étaient écoulées et j'étais à peine remis. Nul autre amour n'avait remplacé le premier. Jusqu'à… cette chimère. Tomber amoureux, non
pas d'un futur prêtre, mais d'un prêtre ! … Qu'était-ce donc que ce destin qui semblait me poursuivre ? A l'époque, je ne trouvai pas d'explication.
La question de l'abbé : " Alors, Fabien ? Et la philosophie ? … " résonna longtemps sous les voûtes de l'église. Une admirable église romane du XIII° siècle à l'acoustique parfaite. Elle
résonna aussi longtemps dans mon esprit. Elle était pour moi la preuve d'un intérêt authentique. L'abbé Yann Le Kerimel s'intéressait à moi et mon cœur chaviré par sa présence, si proche, seul à
seul, bascula dans la passion diabolique. Et ce parfum entêtant, grisant, du vétiver ! … Dans un élan, à la fois angélique et satanique, je vins me blottir contre lui, l'entourer de mes bras et
lui déclarer d'une voix enflammée que je ne pus retenir :
- Monsieur l'abbé, je vous aime ! … Je vous aime ! …
Ma poitrine vint s'appliquer contre sa poitrine, provoquant, je m'en souviens très bien, un frisson qui ébranla tout son corps. Levant les yeux vers son visage, le regard
enfiévré, je lui tendis mes lèvres.
- Embrassez-moi ! … Embrassez-moi ! … Je vous aime ! … Je vous aime ! …
Un miracle alors se produisit. Il entoura brusquement mon cou - où coulaient mes longs cheveux noirs - de ses bras et de ses mains puissantes et me dit d'une voix à peine couverte :
- Fabien ! C'est interdit, mais… je t'aime ! … Je t'aime ! …
Son visage s'approcha du mien et je vis sa bouche s'entrouvrir. Ses lèvres alors prirent les miennes dans le baiser le plus profond - et le plus long - jamais connu alors. Je me suis longtemps
demandé pourquoi, ce jour-là, à cet instant-là, je devins une lionne déchaînée, exaltée, furieuse, excessive. Une amoureuse folle d'un homme par principe intouchable et parfait. Ses lèvres, sa
langue, sa bouche avaient le goût savoureux d'une aventure condamnable, certes, mais d'une telle ferveur !
Le vitrail représentant l'archange Saint Michel terrassant le démon sembla s'inverser. Un instant, je crus voir le démon terrassant un garçon. Tout tournait autour de moi. Un vent de folie
s'emparait de mon esprit enfiévré, peut-être égaré. Je me pris à crier presque - et ma voix résonna sous les voûtes :
- Je vous aime ! Je vous aime ! Monsieur l'abbé ! Monsieur l'abbé, s'il vous plaît, prenez-moi ! Prenez-moi ! Ici ! … Tout de suite ! Prenez-moi ! … Prenez-moi ! … Je suis à vous… Je vous aime
tellement ! …
C'est ce jour-là, à cet instant-là que ma croyance en Dieu s'estompa, laissant place à celle du diable qui - sans doute sous des traits différents, et pour des motifs différents - s'empara de moi
et du prêtre. Il me serra intensément dans ses bras et je sentis ses lèvres délicates déposer partout des baisers ardents. Mes joues, mes bras nus en furent couverts alors que je sentais monter
en moi une irrésistible envie d'amour. C'est le démon qui me souffla la suite. De quelques gestes secs, j'avais ouvert ma chemise pour m'offrir à lui. Oh ! Délicieuses caresses !
Savoureuses cajoleries ! Ses doigts saisirent mes tétons et les câlinèrent avec ferveur ! Je crus un instant que la vague de plaisir qui montait allait exploser.
- Un instant, Fabien, chuchota-t-il, je vais fermer la grande porte à clé.
Sage précaution…
Lors de ces premiers égarements, nous nous tenions encore derrière l'autel, dans un endroit mal éclairé, couvert de dalles froides et sombres. C'est moi qui eus l'idée de changer de place.
Prenant l'abbé par la main, je l'entraînai devant l'autel dont le sol était recouvert d'un épais tapis rouge. Lançant à mon amant un regard enflammé, je lui ai juste chuchoté :
- Ici, c'est mieux… Je vois ton beau visage et tes beaux yeux… Oh ! Comme je t'aime ! …
Mon bien-aimé - j'en étais sûr maintenant - était éperdument amoureux de moi et me pressa de nouveau contre lui, continuant ses envoûtantes tendresses . Mon désir ne fit que s'enflammer,
s'emballer.
Desserrant l'étreinte de ses bras, je m'écartai légèrement et, arrachai mes vêtements plutôt que je ne les quittai. Un éclair fulgurant. Nu. J'étais nu devant lui et j'étais heureux. Je savais
qu'il allait m'emmener pour un voyage fantastique. Je ne pus retenir mes paroles qui résonnèrent en écho dans la nef.
Maintenant bien éclairés, je distinguais mieux ses traits. Une lueur diabolique passa dans ses yeux. Sa soutane fut arrachée en un tourne-main. Le reste de ses vêtements aussi. Nu, comme il était
beau ! Beau comme un dieu ! La lumière des projecteurs mettait même en relief ses muscles puissants. Son épée se dressait, rougeoyante, raide et fabuleusement longue. Vigoureuse et
frémissante.
Mon cavalier me reprit dans ses bras, contre lui. Je sentis son épée chaude contre mes cuisses, mon prpre sexe, dressé lui aussi caressait son ventre. Il n'y eut pa d'autres prémisses. Un
gémissement monta vers les voûtes.
Ses bras puissants me cueillirent, m'emportèrent et je devins d'une incroyable légèreté, ne touchant plus le sol. Il se produisit alors des événements extraordinaires, une sorte de liturgie.
Toujours aussi léger dans ses bras tendus, il se tourna vers le maître-autel et commença une sorte de prière.
- Seigneur, le voici l'agneau si doux, un si bel ange que vous avez créé. Acceptez cette offrande pure et sainte.
C'était sacrilège, mais il n'avait pas terminé. Il se retourna vers la grande nef, là où se tiennent les fidèles et s'adressa à une foule invisible assemblée.
- Le Seigneur m'a donné cette tâche : partir à la recherche de la brebis perdue. La voici, cette brebis qui s'est réfugiée contre moi. Faut-il la renvoyer ? (et ses paroles résonnèrent tellement
sa voix était forte) Ou l'accueillir ? … Lui donner tout l'amour qu'elle mérite ? … Oui, mes frères, elle mérite tout mon amour. Et vous armée des anges du ciel, nuées des archanges nus et roses,
vous serez témoins de cet amour immense. Vous, Seigneur, fermez les yeux, voilez-vous la face…
Surpris d'une telle homélie, je me suis un instant demandé qui la lui avait soufflée. Ou même si son esprit n'était pas embué par les violentes vapeurs de l'amour… Mais, moi aussi, j'avais
quelque peu perdu toute raison. Je ne fus même pas scandalisé de voir ce prêtre nu, le phallus long et vibrant se tourner vers une foule invisible pour prononcer son incroyable prêche. Je crois
même que l'écho de ses paroles, amplifié par la résonance de l'église, m'excitait davantage. C'était une grand-messe solennelle qui commençait.
Ensuite, il se retourna vers l'autel, m'y déposa - quel sacrilège ! - et m'examina enfin, de la pointe des cheveux jusqu'à celle des pieds. Lorsque ses regards arrivèrent au bas de ventre, il
parut surpris - agréablement, je crois - et me demanda :
- C'est bon Fabien, je peux ? …
- Ohhhhhhh oui ! chuchoté-je…
En effet, à cette époque, j'adorais mon jardin secret réservé à un Prince Charmant espéré et je ne supportais pas de le voir caché par cette toison noire qui poussait si vite. Lorsque je
m'admirais - oui, je n'ai pas honte de le dire, même s'il s'agit d'un brin de narcissisme… - chaque jour dans une glace en pied - et je prenais plaisir à contempler ma fleur rose, dégagée de tout
feuillage. Je prenais ainsi un soin infini à l'entretien de ces fruits lisses et défendus, persuadé même que mon futur prince l'apprécierait dans sa plus simple nudité. C'était ainsi. Même si sa
vue pouvait paraître… indécente en soi. Personne ne pouvait le savoir. Personne n'était dans la confidence ce qui donnait tout son prix à la scène de ma possession.
Mon seigneur déposa alors quelques baisers sur mes lèvres pendant que sa main effleurait seulement les pétales de ma rose secrète et découverte. Offerte pour lui. Il me reprit alors dans ses bras
et me déposa en haut des marches rouges, m'allongea, me prodiguant encore mille caresses et vint s'étendre près de moi.
Ses doigts et ses mains alors s'affolèrent. L'une effleurait mes seins, l'autre descendait vers ma verge , se posait sur ma porte d'amour, écartait doucement les lobes et cherchait le
tour de ma rose qu'il trouva aisément et choya tendrement.
- Oh ! Mon amour ! Mon bel amour ! Comme c'est bon ! … Quelle merveille ! … Encore ! … Encore ! …
Et la tempête se leva. J'en avais donné le signal.
Ses mains et ses lèvres coururent alors sur tout mon corps, affolées, tendres et violentes à la fois, faisant monter mon plaisir avec une incroyable frénésie. Je voulais tout. Je le voulais lui,
mon tendre amoureux, au cœur de mon ventre, je voulais qu'il m'emmène vers un ciel que je devinais, mais qui me paraissait encore inconnu. Un huitième, neuvième ou dixième ciel. Le septième ne me
suffisait plus. J'étais enivré d'un gigantesque désir de plaisir avec mon beau prince nu. Puissant dieu de l'amour qui me prodiguait de surprenantes caresses.
Mais, je n'en pouvais plus. Je ne pouvais plus attendre. Je voulais mon prince en moi maintenant. Je voulais qu'il m'appartienne et me donner à lui.
- Prince ! Mon beau prince ! J'ai envie de vous ! Envie d'amour et de plaisir… Venez en moi ! Oui, venez en moi ! Pénétrez ma fleur ! Caressez ma rose ! Plongez
dans ma corolle qui attend ! Oui ! Ne tardez plus ! Venez ! Oui, venez en moi ! Partons sur cet océan des plaisirs ! Pénétrez-moi, mon prince ! Oh ! … Vite ! Je vous aime tant ! Je vous désire
tant.
Ses yeux brûlants s'attachèrent aux miens et je vis briller les flammes (de l'enfer ? …) de son violent désir armé de douceur.
Lorsque les prémices du réveil arrivèrent, je rêvais. C'était notre mariage. Dans une gigantesque cathédrale vide, mon prince vêtu de l'habit rouge
de cardinal me donnait le bras. J'étais nu, seulement suivi d'une interminable traîne blanche. Des nuées d'anges nus, des deux sexes, chantaient de glorieux " Alléluias ". Seul, perché dans la
tribune, un ange noir aux ailes démesurées proclamait : " C'est la fiancée du diable ! C'est la fiancée du diable ! … " Alors, les cloches carillonnèrent à toute volée.
C'est ce carillon qui me réveilla complètement. Un carillon bien réel. C'était celui de l'angélus de sept heures du matin... La lumière jaillissait déjà des vitraux flamboyants… Et la clenche du
grand portail qui s'agitait... Sans doute une femme dévote qui arrivait une demi-heure avant la première messe… Mon Dieu !! … Mon Dieu !! …
Quelques minutes plus tard, empruntant une porte dérobée de la sacristie, nous sortîmes sur le jardin du presbytère, derrière un bosquet, veillant avec une infinie prudence que personne ne nous
aperçoive. Avant de nous séparer, nous échangeâmes quand même un furtif baiser d'adieu.
A toi qui lis ces pages de mes amours, je peux le dire, ce matin-là nous avons eu très peur. Peut-être même la peur de notre vie… Si quelqu'un nous avait découverts sur les marches de l'autel ! …
Quel incroyable scandale ! Aurait-on même cru celui qui l'aurait rapporté ? Rien n'était moins sûr. Et cette porte dérobée qui ne fermait même pas à clef ! …
Après, la vie devint compliquée. D'abord, il fallut nous séparer en juillet. Yann dirigeait une colonie de vacances en montagne. Il était trop
tard, donc trop risqué, pour que je l'accompagne comme moniteur. Tout était déjà organisé. Sous un prétexte de mémoire de philosophie à commencer, je quittai mon village et regagnai la ville
universitaire où m'attendait ma chambre de bonne au quatrième étage. Une chambre douillette et confortable, récemment aménagée et rénovée que j'avais décorée de grandes affiches de cinéma. Ainsi,
libre et nullement surveillé, je pouvais recevoir les lettres enflammées de Yann et lui écrire en toute liberté. Tous les jours. Comme c'est lui qui réceptionnait le courrier, personne ne put
s'apercevoir que le prêtre qui dirigeait la colonie recevait une correspondance assidue.
Ah, ces lettres ardentes ! Je passais une partie de la journée à couvrir des pages. Des pages de mots d'amour. Des pages d'espoir d'un retour attendu avec quelle impatience !
Il revint au début du mois d'août et mit au point une habile stratégie - que de mensonges, monsieur l'abbé ! … - pour me rendre visite sans éveiller de soupçons.
Nous étions éloignés de cinquante kilomètres qu'il commença à parcourir allègrement. Il partait à la nuit tombée et arrivait chez moi à onze heures. Chaque soir, alors, devint une fête selon une
liturgie que nous avions l'un et l'autre adoptée. Les premiers jours, je le recevais dans un simple peignoir de bain mais… c'était trop de tentations immédiates. J'attendais mon prince vêtu
d'un jeanset d'un tee-shirt blanc. Lui, arrêtait chaque soir sa 2cv, à mi-distance dans un bosquet et troquait sa soutane contre un pantalon beige et un blazer bleu marine. Dès qu'il franchissait
ma porte, je croyais à l'arrivée d'un acteur sorti des studios d'Hollywood. Comme il était beau et séduisant ! Quelle puissante stature ! Et cette chevelure d'ébène tombant sur son cou ! Ce teint
basané qui faisait songer à un méditerranéen ! La porte à peine fermée, j'étais déjà dans ses bras, blotti contre lui. Blotti contre mon amour.
Après les premières effusions, nous passions à table. Mon prince ne dînait pas au presbytère - la bonne était en vacances - et il se régalait de ma cuisine préparée avec tendresse. Pour le
dessert, nous passions dans le coin salon, il s'asseyait près de moi, m'enlaçait et nous commencions d'interminables discussions sur tout : l'art, la musique, la philosophie et… l'amour.
Discussions douloureuses aussi sur notre avenir. Moi, mon avenir immédiat, je le voyais seulement dans ses bras et je me refusais à toute autre question. Yann, heureusement, gardait la tête
froide et songeait à l'avenir qui se présentait, pour lui, sous la forme de deux chemins à prendre : soit il restait prêtre et me renvoyait ; soit il me gardait et renonçait à son sacerdoce.
Choix impossible ! Martyre insoutenable. Il aurait pu garder les deux sans que rien ne change dans sa fonction. Les princes de l'Eglise en avaient décidé autrement. Quant à m'obliger à mener une
vie d'amant cachée, il mettait cette solution hors de propos. Il me respectait trop - et m'aimait tellement - pour songer à m'imposer une telle vie.
Après des semaines de réflexion et de rudes combats, il me déclara un soir :
- Fabien, mon ange, mon amour, j'ai choisi mon chemin… Je te garde et seulement toi. Je trouverai un autre métier…
Ce soir-là, j'ai beaucoup pleuré. Lui aussi. Et nous avons passé plus d'une heure, sans bouger, dans les bras l'un de l'autre.
Chaque soir, notre cérémonie se poursuivait sur mon grand lit. Nus comme des statues grecques, ivres d'amour, nos ballets passionnés, tendres et violents, s'embellissaient et
se prolongeaient jusqu'à des heures très avancées. Comme c'était la période des vacances, nous étions seuls à cet étage et pouvions laisser jaillir nos puissantes mélodies d'amour. Nos hymnes
triomphants, nos mélopées de plaisir ; d'un plaisir dont - nous en étions certains - l'intensité augmentait chaque soir. Chaque nuit. Ah ! Ces chaudes nuits d'ivresse ! Yann ! Mon amour ! Ces
chants aux paroles simples qui montaient de nos corps enlacés, enchevêtrés, unis, l'un dans l'autre et qui se mêlaient dans notre plaisir d'amour. Nous entendions alors, sans fin, ces
incantations :
- Oui !!!! Oh !!!! C'est bon !!!!! Encooooore !!! Huuuuuuuummm !!!!!!!! Mon amour !!! Mon amour !!! Mon amour !!! Aaaahhhhhhhh !!!!!!!! … Je t'aime !!! Je t'aime !!! Je t'aime !!! Aaaahhhhhhhh
!!!!!!!! …
Des psaumes aux paroles si simples, mais tellement chargées de notre intense plaisir et qui jaillissaient de nos lèvres avides, fiévreuses.
Dès que mon prince était en moi, mon plaisir était intense. Lui en moi, sa chair dans ma chair, lui sur moi, me dominant de sa puissante stature. Je me donnais à lui sans réserve et j'étais
heureux, immensément heureux de cette domination dans le plaisir. Mais je voulais aussi le garder. C'est ainsi que je découvris un autre jeu amoureux. Lors de sa bacchanale, à chaque retrait, je
me mis à vouloir le garder. J'imaginai alors de resserrer ma corolle à chacun de ses pas de danse. Pensant sans fin : " Yann, mon amour ! Reste en moi ! Tu es à moi ! Ne pars pas ! Ne pars pas !
… Tu es à moi ! Mon unique amour ! Mon prince éternel ! Et ma jouissance s'en trouvait accrue toutes les nuits.
Yann était d'une ponctualité exemplaire. Il arrivait toujours à onze heures précises. Le sourire enjôleur et amoureux au coin des lèvres. Pourtant,
le vendredi 25 août il se fit attendre. Sans doute un imprévu ? J'attendis avec impatience. Onze heures un quart, onze heures et demie… Minuit… Et toujours personne… Y avait-il eu un décès ? …
Nous n'avions alors aucun moyen de nous avertir rapidement. A une heure du matin, guettant sans fin l'étroite ruelle de mon immeuble, je commençai à prendre peur. Pourtant, j'étais certain que
rien ne pouvait arriver à mon beau seigneur. Rien. Rien, mais une sorte de pressentiment d'anormalité commença à me tarauder, à m'envahir.
J'attendis toute la nuit, sans dormir et je ne vis personne. Je devins alors certain d'un drame. Avait-on découvert son stratagème ? Etait-il resté cloîtré dans son presbytère ? Le lendemain, en
milieu de matinée, je décidai - j'avais trouvé un faux prétexte - de rentrer chez mes parents. En arrivant, comme je traversais en voiture la place de l'église, je fus intriguée par des
attroupements insolites, des visages glacés. Un drame ! Un drame s'était abattu sur le village ! Stationnant rapidement ma 2cv, je m'approchai, les jambes tremblantes. Des larmes coulaient aux
coins des yeux, des sanglots s'étouffaient.
- Que se passe-t-il ? … Que se passe-t-il ? …
- Ma pauvre… C'est monsieur l'abbé… Cette nuit, sur la grand-route… Un camion fou a percuté sa voiture… Mort sur le coup… Quelle tristesse ! Un si bon prêtre ! …
Impensable ! Impossible ! Incroyable ! Mon prince était invincible !
Je me demande encore comment j'ai retenu mes cris de désespoir et de révolte. Comment j'ai réussi à rester sur mes jambes.
L'irréparable était commis. Mais POURQUOI ??? … POURQUOI ??? …
Profitant de l'inattention générale, je me suis réfugié dans l'église. Le berceau de nos premières amours. Je me suis jeté sur un prie-Dieu, j'ai laissé éclater mon immense chagrin et je suis
resté prostré jusqu'au soir. Jusqu'à la nuit tombée.
Sûr alors que l'église était vide, je me suis avancé jusqu'à l'autel et j'en ai gravi les marches. Me mettant en tenue de fête, j'ai laissé déborder l'insurrection de mon âme en colère. Face à
une assistance imaginaire, mais que je croyais apercevoir.
- Dieu ! … Pourquoi ? … Pourquoi as-tu laissé commettre ce crime ? Oui, ce crime ! Tu n'avais pas le droit ! Non ! … Pourquoi ton bras n'est-il pas intervenu ? Oh ! Un simple geste pour redresser
ce volant… Dieu !! pourquoi ne pas avoir protégé l'un de tes meilleurs serviteurs ? … A cause de sa faute ? … Mais, quelle faute ? … Tu as voulu le punir ? Le punir d'avoir intensément aimé ? …
Toi, un Dieu d'amour ! … Et vous, princes de l'Eglise ! Avec vos lois inhumaines et hypocrites ! Pourquoi encore empêcher vos serviteurs de vivre une vraie vie ? … Lois désuètes !
Périmées ! Obsolètes ! Surannées ! Vous leur préférez une vie hypocrite ? Oui, vous prélats patelins, onctueux, benoîts, quand proposerez-vous des lois généreuses à vos dévoués serviteurs ?
N'attendez plus ! Un jour ils vous quitteront ! … C'est à cause de ces lois que Yann est mort. En venant me rendre visite en cachette ! Vous l'y obligiez ! Et Toi ! Celui qu'on appelle Dieu
d'amour ! Qu'attends-tu pour que ton Saint-Esprit souffle sur tes princes ? Oui, Dieu ! Je ne crois plus en Toi ! Je crois en Satan qui nous a indiqué un autre chemin et qui ne s'est pas trompé !
… Et vous tous qui m'écoutez ! … Comment ? … Vous madame qui êtes près du bénitier… Je vous ai entendue ! Vous venez de m'appeler la fiancée du diable ? … Détrompez-vous ! … Oui à vous tous je
l'annonce : je ne suis pas la fiancée du diable, je suis l'amantd'un prêtre ! de l'abbé Yann Le Kerimel ! … Oui, son conjoint ! Nous nous sommes mariés sur les marches de cet autel ! Un
soir de juin ! Nus l'un et l'autre ! Oui, nous avons fait l'amour ! Et nous avons été heureux ! Les amants les plus heureux de la terre ! Amen ! …
C'est ainsi et en ces termes que je criai ma révolte ce soir-là. Perché sur le plus haut degré des marches, entièrement nu, les mains sur les hanches, devant une assistance médusée...
C'est l'hiver dans mon coeur, mais la Vie continue...…
déjà, ça vaut-il le coup de se (faire ) piquer la bite pour bander une ( petite) heure ?
Produit : papaverine (vendu sur internet)
Première partie
Je suis à la retraite depuis plusieurs années.
L'été, je fais du vélo et l'hiver, depuis que j'ai cessé de faire du ski alpin, je prends de longues marches pendant que mon épouse travaille sur
des chiffres de huit heures.
Je me suis fait un tracé de marche d'une cinquantaine de minutes par des rues très peu fréquentées et je le parcours quelques fois par
semaine.
Je n'ai jamais rien remarqué de spécial lors de mes randonnées jusqu'à ce qu'un jour, où la température était un peu plus froide, il m'arrive
l'aventure suivante.
Je marche seul dans une section un peu plus isolée de mon parcours lorsque j'entends un homme m'interpeller:
« Excusez-moi monsieur! Il fait froid aujourd'hui et il vente en plus: voulez-vous entrer vous réchauffer un peu? »
Je jette un coup d'œil en sa direction: l'homme qui m'interpelle est en robe de chambre, il me semble âgé dans la cinquantaine avancée et il se
trouve dans l'embrasure de la porte de sa maison.
« Je suis bien habillé, je n'ai pas froid. Merci quand même de votre offre. »
« Ça fait plusieurs fois que je vous vois passer devant chez moi. J'aimerais faire connaissance avec vous. Accepteriez-vous d'entrer pour prendre un
breuvage chaud avec moi? »
« Je ne peux décliner une telle invitation: ça me fait plaisir d'accepter votre offre. »
Je m'approche de la maison et je me dirige vers l'entrée.
L'homme ouvre grande la porte: il s'esquive pour me laisser entrer et il referme aussitôt la porte derrière lui.
« Dehors, juste en robe de chambre et en pantoufle, vous ne devez pas avoir très chaud. »
« Non, effectivement, ce n'est pas très chaud. »
Je me retrouve dans le vestibule avec l'homme.
« Voulez-vous retirer vos bottes. »
« Certainement. »
J'enlève mes bottes.
« Enlevez votre casque et votre parka.
J'enlève mes vêtements.
L'homme me tend un cintre.
Je pends mon linge à un des crochets qui sont fixés au mur. Je replace mes cheveux devant un miroir qui est accroché au mur dans le
vestibule
L'homme ouvre la seconde porte et il me dit:
« Entrez! »
La seconde porte donne dans le salon.
Je passe du vestibule au salon.
« Venez vous asseoir. »
L'homme m'indique un divan
« Prenez place. »
J'obtempère à l'invitation et je m'assois sur un bout du divan.
L'homme s'assied dans un fauteuil légèrement décalé du divan.
« Voulez-vous que je vous présente mon épouse? »
« Avec plaisir! »
« Hélène! »
« Oui, chérie! »
« Tu sais, l'homme qui passe fréquemment devant chez nous et dont nous avons parlé l'autre jour? »
« Oui! »
« Je viens de le faire entrer et nous sommes dans le salon. Viens que je te le présente. »
« Donne-moi quelques minutes pour que je me pomponne un peu et j'arrive. »
« Chérie, ne te mets pas trop belle. »
« Mon amour, tu sais que je t'aime et que je ne voudrais surtout pas te décevoir devant ce monsieur. »
« Prends le temps qu'il te faut, je vais faire plus ample connaissance avec lui. »
« J'arrive dans quelques minutes! »
L'homme s'adresse à moi:
« Pourrais-je connaître votre prénom? »
« Bien sur! C'est Claude. »
« Le mien, c'est Richard. Vous ne devez pas demeurer très loin d'ici? »
« À une dizaine de minutes à pied. »
« Vous avez quel âge? »
« J'ai soixante dix ans. »
« Vous ne le paraissez pas? »
« Merci! Vous, vous êtes beaucoup plus jeune que moi. »
« J'ai cinquante neuf ans. »
« Pourquoi vous intéressez-vous à moi? »
« C'est surtout mon épouse qui s'intéresse à vous. »
« Pourquoi? »
« Je vais lui laisser le soin de vous l'expliquer. »
« Vous êtes marié? »
« Oui, depuis quarante six ans! »
« Excusez ma franchise, mais faites-vous toujours l'amour avec votre femme? »
« Vous êtes vraiment indiscret? »
« Soyez bien à l'aise de me répondre ou non? »
« Non, je ne fais plus l'amour avec ma femme. »
« Votre femme ne vous excite plus? »
« Richard, vous voulez que je sois franc avec vous? »
« Oui, en contrepartie, Claude, je vous assure de ma plus stricte confidentialité. »
« J'ai eu toutes sortes d'expériences sexuelles non conventionnelles depuis que 'ai déménagé dans le sud pour mon travail. Faire l'amour avec
mon épouse ne m'excitait plus. »
« Vous avez eu des expériences sexuelles non conventionnelles avec d'autres femmes? »
« Oui, je me suis lié d'amitié avec une prostituée que j'ai fréquentée pendant plus d'un an! »
« Vous avez fait l'amour avec cette femme? »
« Non. c'était une relation purement sadomasochiste. Elle me faisait souffrir et jouir. »
«Où vous rencontriez-vous? »
« Dans différentes chambres d'hôtel. »
« Pourquoi avez-vous cessé de la fréquenter? »
« Ça m'avait coûté une petite fortune. »
« Qu'avez-vous fait par la suite pour continuer à satisfaire vos fantasmes? »
« J'ai rencontré à l'occasion des Maitresses, mais encore là l'argent était en cause. Je me suis donc dirigé vers des cinémas pornos. »
« Il n'y a que des hommes dans ces salles de cinémas, non ? »
«Exact! »
« Ne rougissez pas de ce que vous avez pu faire: vous avez eu des relations sexuelles avec des hommes? »
« Oui, à quelques reprises. »
« Vous considérez-vous comme homosexuel? »
« Non, plutôt comme bisexuel. »
« Quelles sortes de relations sexuelles avez-vous eues avec des hommes? »
« Je me suis laissé toucher par des hommes, je me suis laisser masturber, je me suis même laisser sucer jusqu'à l'éjaculation. »
« Vous vous êtes toujours laissé faire par des hommes ou si vous avez pris certaines initiatives? »
« Je me suis toujours laissé faire et c'est ce que j'aimais »
« Vous n'avez jamais eu de relations sexuelles complètes avec des hommes? »
« Que voulez-vous dire par relations sexuelles complètes? »
« Vous n'avez jamais été sodomisé par des hommes? »
« Non! »
« Vous n'avez jamais été sodomisé? »
« J'ai été sodomisé quelquefois avec un strap-on dildo par la prostituée que je fréquentais. »
« Accepteriez qu'un homme vous sodomise? »
Les propos tenus lors de notre conversation commence vraiment à nous exciter.
Je passe, le plus discrètement possible, une main sur la braguette de mon pantalon pour toucher à mon pénis qui commence à bander.
« Notre conversation vous excite? »
« Tout comme vous! »
Richard ne se cache même pas pour glisser de plus en plus fréquemment, une main sous les pans de sa robe de chambre pour toucher à son
pénis.
Nos regards se croisent: je n'ose pas l'affronter: je baisse les yeux.
« J'accepterais qu'un homme me sodomise dans un endroit propice à une telle relation sexuelle mais à condition que cet homme m'excite préalablement
par des caresses
« Qu'est-ce que vous considérez comme un endroit propice? »
« Une chambre d'hôtel ou encore un endroit dans la maison d'un homme qui m'aurait invité chez lui sous un prétexte quelconque. »
« Quels seraient les endroits que vous jugeriez non propices? »
« Par exemple, dans la salle de visionnement ou dans les toilettes d'un cinéma porno ou encore dans une cabine de PeepShow. »
« Et si c'était la femme de l'homme qui veux vous sodomiser qui vous préparait à l'acte sexuel? »
« Elle est belle? »
« C'est une très belle femme de cinquante et un ans qui aime se faire sodomiser par des amants inconnus »
« Par une femme qui se prénomme Hélène? »
Au moment où je termine cette phrase, une magnifique femme fait son entrée au salon.
Elle est bien coiffée, maquillée et vêtue d'une longue robe de chambre en velours bleu foncé.
Elle doit mesurer environ 1, 70m et pour moins de 60kg.
Elle porte des mules dont le dessus est tressé de fin fil de soie or et qui laissent voir la beauté de ses pieds et de ses orteils graciles dont les
ongles sont couvert de vernis bleu foncé.
« Comme tu es belle, ma chérie! »
« Madame, vous êtes magnifique! »
« Chérie, il s'appelle Claude: c'est l'homme qui est passé devant la maison à quelques reprises et dont nous avons parlé. »
« Claude, soyez le bienvenu! »
Hélène s'assied sur le divan, à coté de moi.
« En me basant sur les dires de votre mari, ce n'est pas par hasard que vous m'avez invité à entrer chez vous? »
« Nous vous avons regardé passer devant chez nous à quelques reprises.
Nous avons trouvé que vous sembliez être un bel homme et nous avons jugé qu'il pouvait être intéressant de vous inviter chez nous pour......
»
« D'après les propos de votre mari, je commence à me douter du pourquoi..... de cette invitation. »
«J'ai entendu la conversation que vous venez d'avoir avec mon mari et je constate que votre vie sexuelle a été bien remplie.
Vous aimez que les femmes vous fassent souffrir, vous acceptez qu'elles vous sodomisent avec un membre artificiel.
Vous acceptez également que les hommes se servent de vous pour assouvir leurs besoins sexuels mais aucun ne vous a encore sodomisé. »
« C'est exact madame. »
« Vous voulez m'appeler Hélène? Je vais t'appeler Claude »
« Bien sur, Hélène, que je le veux! »
« Tu as également mentionné à mon mari que tu accepterais de te faire sodomiser par un homme dans un endroit propice à condition que cet homme te
prépare à la sodomie ou encore que ce soit une belle femme qui te prépare à cet acte sexuel. »
« C'est vrai! »
« Me trouves-tu assez belle pour que je te prépare à te faire enculer par mon mari? »
« Oui! »
« Tu accepterais de partager notre chambre à coucher? »
« Bien sur! »
« Claude, j'ai un fantasme très particulier: j'aime me faire sodomiser par un homme pendant que cet homme se fait enculer par mon mari: tu
accepterais de satisfaire mon fantasme? »
« Je voudrais tellement satisfaire ton fantasme, mais mon pénis ne devient pas assez rigide pour pouvoir te sodomiser. »
« Je possède tout ce qu'il faut pour que ton pénis devienne rigide comme une barre de fer. »
« J'ai déjà essayé le Viagra et même le Cialis pour bander, mais sans succès. »
« As-tu déjà eu une injection pour dilater les veines de ton pénis? »
« Oui, lors d'un examen médical. »
« Et? »
« C'est vrai, cette fois là, j'ai bandé comme jamais. »
« C'est ce genre d'injection que mon mari va te faire parce que lui, il veux que tu satisfasses son fantasme. »
« Quel est le fantasme de ton mari? »
« C'est d'enculer le plus profondément et le plus douloureusement possible l'homme pendant qu'il me sodomise et de l'entendre se lamenter avant
qu'il éjacule dans ses entrailles. Tu pourrais être cet homme? »
« Oui. je vais lui permettre d'assouvir son fantasme »
« J'espère que cette injection dans mon pénis va permettre de le faire durcir assez pour que je puisse le pointer sur la rosace de ton cul et
le faire pénétrer très lentement mais très profondément à l'intérieur de tes intestins.»
« Tu n'es pas attendu chez toi avant quelques heures? »
« J'ai tout mon temps. »
« Avant de passer à notre chambre, je voudrais tout de même que tu passes par la salle de bains. Je veux que tu te donnes un Fleet* : tu connais ça?
»
« Oui, je connais ça pour en avoir déjà utilisé à quelques occasions. »
« Tu prendras ensuite une douche, tu mettras le caleçon propre de mon mari qui j'y ai déposé et tu revêtiras sa seconde robe de chambre que j'ai
accroché derrière la porte de la salle de bains. Tu viendras ensuite nous rejoindre dans notre chambre à coucher. Ça te va? »
« C'est parfait! »
« Chérie, pendant que Claude va passer par la salle de bain afin de se mettre en condition pour nous satisfaire, si tu allais dans la chambre à
coucher pour faire le nécessaire ....
- ah, viens Claude : notre chambre à coucher est juste en face. »
« Je te suis. »
2e partie
Hélène me guide jusqu'à la salle de bains.
Une fois à l'intérieur, Hélène se glisse derrière moi et referme la
porte.
« Claude, tu m'excites! Baisse ton pantalon. »
« Tu es sérieuse? »
« Je ne te le dirai pas deux fois. »
Je détache la ceinture de mon pantalon, je déboutonne le bouton du haut, je baisse le fermoir éclair de ma braguette et je maintien mon pantalon en
place avec une main.
Nos regards se croisent: le désir, la passion se lisent dans nos yeux.
Hélène sourit: elle me fait « Oui » de la tête.
Je laisse choir mon pantalon par terre.
Le désir que j'éprouve pour cette femme est évident: une bosse est prédominante dans le devant de mon caleçon.
Hélène passe le revers de sa main gauche contre cette bosse prédominante.
Je la prends par les épaules: je tente de coller mes lèvres contre les siennes, mais elle esquive mon geste.
« Claude, pas si vite, pas trop vite ! »
Du revers de sa main gauche, elle augmente la pression contre le devant de mon caleçon »
« Hélène, je te désire. »
« Claude, je sais que tu me désires et je te désire aussi. Je veux que tu le fasses pénétrer dans mon cul et que ça atteigne le fond de mes
entrailles. »
« Ah, Hélène, Hélène! »
« Je veux que tu saches une chose : Richard aussi te désire et je sais
très bien qu'en ce moment, il est en train de se masturber en imaginant ce qui va se passer, un peu plus tard, dans notre chambre à coucher. »
« Je sais qu'il va me sodomiser mais laisse-moi t'embrasser »
« Il n'y a que mon mari qui m'embrasse sur la bouche et personne d'autre. »
« Juste un bisou ! »
« Plus tard Claude, pendant le temps des préparatifs et le temps que Richard va prendre pour t'injecter un liquide dans le pénis afin qu'il soit
assez rigide pour me sodomiser, tu pourras m'embrasser faire tout ce que tu veux avec tout mon corps : mes orteils, mes pieds, mes jambes.... »
« Tes seins? »
Hélène glisse sa main sous le bord de mon caleçon et elle prend mon pénis et le serre.
« Viens près du bain. »
« Retire ton pantalon. »
Hélène prend mon pantalon et va le pendre au même crochet que la robe
de chambre de Richard que je dois porter après ma douche.
Hélène revient se placer face à moi.
« Agenouille-toi ! »
Je m'exécute.
Hélène s'avance très près de moi.
Elle pose le bout de son pied gauche sur le bord du bain.
Je pose ma main droite sur son pied.
« Enlève ta main: je ne veux pas que tu me touches sans qu'auparavant, je t'en aie donné l'autorisation. »
« Hélène! »
« Enlève ta main. »
Fixant du regard ses orteils graciles et vernis d'un bleu foncé, je porte
sa mule à mon nez pour en humer l'odeur:
«Comme ça sent bon, Hélène! »
« Pose immédiatement ma mule par terre: ton geste mérite une punition. »
« Excuse-moi, mais ton corps m'excite tellement! »
« Tu dois apprendre à te contrôler sinon.... »
« Je vais essayer de me contrôler mais.... »
« C'est Richard qui va se charger de te punir quand tu seras dans notre chambre à coucher. »
« Je me soumettrai à la punition que mon geste mérite. »
Je redirige ensuite mon regard vers les orteils qui m'excitent tant.
Hélène se penche vers l'avant: elle est presque au-dessus de moi.
« Ton pénis, il est en érection?»
« Oui »
« Baisse le devant de ton caleçon que je puisse le voir. »
Je baisse le devant de mon caleçon: mon pénis en érection pointe vers Hélène.
« Tu as une bonne érection, mais elle ne serait pas suffisante pour m'enculer: par contre, j'aime que ton pénis soit circoncis. »
Je passe ma main droite autour de mon pénis pour en sentitr l'érection.
« Tu veux te masturber?»
« Puisque tu ne veux pas que je te touche, j'aimerais que tu me permettes de me masturber. »
« Masturbe-toi, mais, il ne faudrait surtout pas que tu te fasses éjaculer. »
Je commence très lentement à me masturber.
Je me masturbe un peu plus vite.
« Contrôle-toi svp »
Je réduis la cadence.
Elle continue à monter tranquillement le bas de sa robe de chambre: mon regard suit son mouvement.
Elle dégage sa jambe, le coté de son mollet, son genou, le bas de sa cuisse et finalement le haut de sa cuisse sans toutefois me permettre
d'entrevoir son triangle d'amour.
« Maintenant, cesse de te masturber: je ne veux surtout pas que tu éjacules. »
« Ferme les yeux. »
Je ferme les yeux.
J'entends des froissements de matériel.
Je sens qu'Hélène modifie sa position.
« Relève un peu ta tête. »
Je relève ma tête.
Du matériel frôle les deux cotés de ma tête.
J'imagine que c'est sa robe de chambre qui me frôle.
Je commence à sentir une odeur légèrement enivrante.
Cette odeur se fait de plus en plus précise et enivrante.
« Relève un peu ta tête. »
Je relève ma tête.
Des chairs humides touchent les deux cotés du bout de mon nez.
Je n'ose imaginer que ce sont l'intérieur de ses lèvres vaginales qui me touchent.
« Ne bouges pas tes mains et n'ouvre pas les yeux. »
« Hélène, tu es sans pitié! »
« Respire par le nez: c'est ça, respire l'odeur de mes parties les plus intimes. »
« Hélène, l'odeur de tes parties intimes hummmmmmmmhhhhh. »
Je sens que mon nez glisse de plus en plus profondément entre ses lèvres vaginales. Il est rendu à un point tel que je doive respirer par la
bouche.
Entre deux respirations je demande à Hélène:
« Permets-moi de poser mes mains sur tes fesses! »
« Il n'en n'est pas question: montre-moi que je peux te pousser à bout sans que tu perdes le contrôle de tes sens. »
« Comment veux-tu que je ne perde pas le contrôle de mes sens quand je devine très bien ce que tu me fais subir? »
« Tu veux que je cesse? »
« Non, Hélène! »
Je sens que mon nez quitte tranquillement son étau.
Elle pose son pied gauche par terre et elle se dégage de moi.
Elle laisse sa robe de chambre reprendre sa position normale.
Mes genoux me font mal. Je n'aime pas ce rappel de mon âge !
Je m'aide à me relever en m'appuyant sur le bord du bain.
Hélène me sourit.
Je vais aller retrouver mon mari et l'aider un peu avant qu'on aille dans la chambre.
Quand tu le verras, ne soit pas gêné: il est parfaitement au courant de ce que je fais dans la salle de bains quand j'accompagne un
visiteur.
« A tout de suite, n'attends pas qu'on vienne te chercher. Le Fleet est sur le bord du lavabo:
C'est pour toi, tu l'utilises. »
« Merci! »
« Après le Fleet, tu prends une douche ou un bain selon ton désir puis tu vas voir sur le même meuble que j'y ai placé un caleçon propre de
mon mari.
Il va t'aller, mais il est spécial.
Tu vas remarquer qu'il y a un trou rond sur le devant: tu dois absolument y passer ton pénis.
Prends tout ton temps puis tu viens nous rejoindre dans notre chambre à coucher.
Nous t'y attendrons . À tout à l'heure. »
Hélène me donne un rapide baiser sur les lèvres puis elle quitte la salle de bains.
j'aime que ton pénis soit circoncis. »
Et là...
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