simple solidarité : tous les moyens sont bons
pour le retrouver
Lucas, il y aura bientôt 1 an à Bagnols sur Cèze...
PAGE EFFACEE MERCI DE COMPRENDRE
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simple solidarité : tous les moyens sont bons
pour le retrouver
Lucas, il y aura bientôt 1 an à Bagnols sur Cèze...
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bon à savoir (si c'est vrai)
richard descoings suicidé ?
oui, mais par qui ? -lol-
RICHARD DESCOINGS, UNE MORT GAY
La mort d’un homme est toujours une chose triste (je fais des exceptions pour des êtres tels que Mohamed Merah, Oussama Ben Laden et Saddam Hussein, bien sûr). Parfois cette mort est porteuse d’une terrible logique qu’il n’est pas possible d’ignorer. Avec la mort de Richard Descoings à New York, on a assisté à un étalage d’ignorance volontaire consternant. A lire la presse française, on aurait pu penser que Richard Descoings était un grand réformateur de Sciences Po dans la direction de la tolérance et de l’ouverture. Et on aurait pu penser que sa mort était inexplicable.
Richard Descoings a, en réalité, introduit à Sciences Po le politiquement correct à doses intensives. Il y a fait entrer la « discrimination positive », qui est l’envers de la méritocratie, puisqu’elle vient récompenser davantage l’origine sociale ou ethnique que le mérite personnel. Il y a supprimé l’épreuve de culture générale, autre signe de nivèlement par le bas. Il y a fait pénétrer davantage encore le relativisme, et y a installé l’enseignement, entre autres, de la théorie du genre, destinée à redéfinir le sexe comme étant non pas biologique, mais l’effet d’une « construction sociale » imposée dont il s’agit de se « libérer » (découle de cette « théorie » une mise sur le même plan de la parentalité et de l’homoparentalité, des familles homosexuelles et des familles hétérosexuelles ou bisexuelles ; l’objectif des défenseurs de la théorie du genre étant de détruire l’ordre social occidental existant, considéré comme « oppresseur ».
Joignant les gestes à la parole, Richard Descoing a, par ailleurs, fait du prosélytisme homosexuel à Sciences Po (il se proclamait « premier pédé de sciences po ») et s’est affirmé gay, jusqu’à une période récente. Il fréquentait les établissements gay de Paris et du reste du monde, et pouvait y danser nu sur les tables, comme le notait un article du Point en 2006 (http://www.lepoint.fr/). Il ne détestait pas les soirées ressemblant à celles qu’affectionnait Dominique Strauss-Kahn, avec des hommes occupant le rôle des femmes. Disons que des pratiques dites « à risque » impliquent des risques, comme leur nom l’indique.
La police newyorkaise a constaté un grand désordre dans la chambre de Richard Descoings, la présence de grandes quantités d’alcool, et de substances diverses. Elle a constaté que l’ordinateur de Richard Descoings, jeté par la fenêtre, était resté ouvert sur plusieurs pages de sites de rencontres gay, certaines tarifées. Elle recherche deux hommes jeunes qui ont quitté la chambre avec précipitation le matin du décès de Richard Descoings.
La presse américaine (cf. par exemple, http://www.nypost.com/gay_hookup_
Quelques mois après l’affaire du Sofitel, cela constitue l’affaire du Michelangelo, et cela donne à la France, outre Atlantique, une certaine réputation.
Les Français n’ont eu droit qu’à la version officielle. On ne cesse de leur vanter les vertus de la vie gay. Alors qu’une occasion de parler de ces vertus se présente, on laisse passer l’occasion. C’est regrettable.
Lors de la prochaine gay pride, j’espère que les organisateurs sauront rendre justice à un homme qui a incarné la fierté homosexuelle, et dire toute la vérité. L’ignorance volontaire disséminé sur le sujet viendrait-elle d’une attitude homophobe des grands médias ? Comment le croire ?
Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
PS: Le site Rue 89 a publié un texte de Patrick Thévenin, du magazine Têtu, appelé « Descoings, homo pour les puissants, hétéro pour les autres ». On y lit, et je me contente de citer : Richard Descoings a eu « le parcours d’un pédé qui avait roulé plutôt à gauche jusque-là, vivait en couple avec un grand ponte de l’industrie, avant de s’inventer une virginité hétérosexuelle ». Puis : « Je me fous de savoir la manière dont Descoings est mort, si les causes sont naturelles ou non, s’il était partouzeur ou pas, si des escorts sont montés dans sa chambre d’hôtel. Ce qui me terrifie le plus est de constater que les plus fidèles défenseurs de la vie prétendûment privée de Descoings sont eux-mêmes des pédés blancs, bourgeois, friqués, bien installés, qui vont voter à gauche ».
en visite dans un lycée de Gennevilliers
Le chef de l'Etat a annoncé le lancement d'une mission sur le lycée afin de mener à bien la réforme, reportée à la rentrée 2010 après les importantes manifestations à la fin de l'année dernière. Elle sera dirigée par Richard Descoings, directeur de l'Institut des études politiques (IEP) de Paris et connu pour sa politique d'élargissement de l'accès à "Sciences Po" à des lycéens de ZEP. - Pascal Pavani AFP/Archives
20 mn
Moi, c'est Michel, 41 ans. À l'époque de mes débuts comme routier, je comptais environ 31 ans. 1m88 pour 81 kg,
corps massif, yeux bleus presque gris que l'on qualifie d'envoûtants, moustache fine, brun de la tête au pied. Système pileux non négligeable dans lequel les doigts masculins furètent à loisir. Toujours de bonne humeur sauf quand j'ai la rogne. À noter mon côté soupe au lait. De l'opinion générale, à savoir celle de mes proches, je suis un mec viril, pas pourri du tout.
1.DES COMBLES !
Je gueule:
<< - Et moi alors? Je suis qu'un trou à boucher, c'est ça? J'ai pas le droit de jouir?
- Qu'est-ce tu veux que je fasse? Je vais pas te branler quand même? Je suis pas pédé, moi! >>
http://www.histoires-de-sexe.net/entre-hommes/histoires/histoire-lire.php?histoire=10234
2. IL ENCHAINE LES PERLES avec une suite d'aventures bandantes, y compris les déceptions traitées avec humour :
http://www.histoires-de-sexe.net/entre-hommes/histoires/histoire-lire.php?histoire=10249
EXTRAIT:
"Juan demande:
<< - Tu restes dans le coin un moment?
- Non, je charge dès 9 heures et je livre avant de rentrer.
- Dommage! J'aurais aimé passer au moins une nuit avec toi. J'ai plus beaucoup l'occasion de me faire un mec. Avant, y avait le jeune, un mécano.
Mais il est marié et veut plus baiser avec un mec.
- T'es marié toi?
- Divorcé. Madame Ex s'est aperçue de mon attirance pour les gros julots. Elle a pas apprécié. >>
Moi aussi j'aurais aimé passer quelques temps en sa compagnie. Je le lui dis:
<< - On va se revoir, t'inquiète. J'ai quelques jours de congé en fin de semaine. Promis, je viens les passer ici. Ça te va?
- Le pied! Je t'attends avec impatience. >>
Comme annoncé, une fois le congé venu, je retourne voir Juan, tout heureux de forniquer avec lui durant plusieurs jours. Je me pointe, gare ma
bagnole sur le parking que je connais bien maintenant. Frétillant de la croupe et du reste, je cours frapper à la porte du garage. Un pépère goguenard ouvre, s'enquiert:
<< - C'est pourquoi?
- Juan est là, s'il vous plaît?
- Juan? Connais pas.
- Si, c'est le patron. Il m'a dépanné lundi matin dernier.
- Ah vous parlez du voleur, le Paulo! Le patron ici, c'est moi. Qu'est-ce qu'il a encore fait cette fripouille?
- Rien. Je lui avais promis de passer, c'est tout.
- Eh bien, c'est fait! Vous êtes passé. Je veux pas de malhonnêtetés chez moi! Bien le bonjour! >>
Le bonhomme s'enfonce dans le garage sans plus d'explication. Penaud, je monte dans ma voiture ne sachant trop où aller. Je repense à l'auberge. Dix
minutes plus tard j'apprends que le fameux Juan était employé dans ce garage où il s'est rendu coupable de plusieurs magouilles. Le patron l'a viré hier avec pertes et fracas, le menaçant des
foudres judiciaires."
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