L'esprit populaire est sévère et redoutable lorsqu'il s'exprime en chanson : ce fut le cas à la mort de
Jean-Baptiste Lully. Ce quatrain montre bien que l'opinion publique savait être féroce pour les homosexuels, même s'ils avaient du génie : « Il sera sourd à la trompette / Lully, au jour du jugement / Il faudra qu'un bel ange pète / Pour le tirer du monument. »
un ado de 14 ans adopté à la cour de France ...sa montée et sa chute...1632-1687
«Si vous trouvez un italien joli, ramenez-le-moi pour que je puisse parler avec lui et apprendre la langue italienne. » Telle est la prière que la
duchesse de Montpensier, cousine de Louis XIV, que l'on appelait la Grande Mademoiselle, faisait à son oncle le chevalier de Guise, en ce début de l'année 1646. Le chevalier, de passage à Florence, choisit Giovanni Battista Lulli, le fils d'un meunier qu'on lui présente comme valet de chambre. À 14 ans,
Lulli n'est pas très joli garçon, plutôt petit et malingre, le nez fort, de grosses lèvres, mais il est très gai, vif, et spirituel. Très jeune, Lulli avait appris à jouer de la guitare,
Mademoiselle encourage ses talents de musicien en lui faisant apprendre le violon et la composition. À 18 ans, il compose déjà des airs pour la Cour, et, son violon sous le bras, part à la conquête de Paris. Le 23 février 1653, Louis 14 y fête sa
victoire sur la Fronde, par la création d'un ballet, dont la musique est signée d'un certain Gian-Battista Lulli. Remarqué par le souverain, le compositeur se voit nommer quinze jours plus tard à
la tête de la Musique du Roi. Le roi Soleil avait une remarquable intuition pour découvrir des artistes de talent, en outre Lulli l'amuse. Le roi n'a que 15 ans, Lulli 21. Il
existe entre les deux jeunes gens, une complicité artistique. Le roi aime danser et il veut Lulli à ses côtés, car l'Italien, improvisateur habile, sait mettre en valeur son royal partenaire. Le
musicien est maintenant assuré de la faveur du roi, qui le nomme en 1661 surintendant de la Musique et lui donne la nationalité française. Lulli avait déjà corrigé l'orthographe de son nom et
signait désormais Jean-Baptiste Lully.
À la fin de 1662, la rumeur court qu'un certain Chausson offre des « fêtes romaines », c'est à dire des orgies avec de jeunes garçons, à ses amis,
dont Lully. Le clan des dévots réclame au roi un châtiment exemplaire. Louis 14 déteste les homosexuels, mais il est embarrassé par son frère, qui affiche ses nombreux amants, au vu de sa femme,
la princesse Palatine, et au su de toute la Cour. Pressé par les dévots, le roi veut faire un exemple. La police effectue un flagrant délit. Chausson est surpris au lit avec un jeune noble, page
du prince de Conti. Le page est emprisonné et fouetté, Chausson est brûlé en place de Grève, à l'âge de 20 ans ! Une chanson court Paris : « Je suis ce pauvre garçon / Nommé Chausson / Si l'on m'a rôti / À la fleur de mon âge / C'est pour l'amour d'un page / Du prince de Conti.
Lully apprécie le charme des jeunes castrats, titulaires des rôles féminins dans ses opéras. Cela permet à Charles de Brosses, magistrat et
historien, de noter dans son Journal : « Habillés en filles, avec des hanches, de la croupe, de la gorge, le cou rond et potelé, on prendrait les castrats pour de véritables filles... on
prétend même que Baptiste s'y trompe ! » Cette allusion ne fait que traduire une opinion courante, et les chansons qui courent les rues sont beaucoup plus méchantes. Lully avait pour amis
d'Assoucy et des Barreaux, connus dans les milieux intellectuels pour leur homosexualité et qui faisaient partie des « poètes libertins ». Il fréquentait aussi, le plus discrètement possible, les
homosexuels de la Cour ,qui comptaient dans leurs rangs Monsieur le frère du roi, Philippe d'Orléans, Louis et Philippe de Vendôme, les demi-frères de Louis 13, et bien d'autres... »
Lully juge prudent de faire taire les rumeurs qui courent sur son compte. Après tout il n'est qu'un roturier, pas assuré de la protection du roi,
comme les grands seigneurs qui eux sont intouchables. Il se décide à donner le change, et le 24 juillet 1662, épouse Madeleine Lambert, fille du maître de la Musique de Chambre. La femme de Lully
est très amoureuse, et, au début de leur mariage elle se montre fort jalouse des amours masculines de son mari. Lully lui fait trois garçons et trois filles... alors seulement, elle se résigne.
Ensuite peu assidu auprès de sa femme, Lully s'affiche avec une fausse maîtresse : la claveciniste Mademoiselle Certain.
La mère de cette jeune fille était une véritable maquerelle qui exigeait sans cesse des sommes d'argent en échange de son silence. Après une
dispute, elle écrit au roi pour dénoncer Lully. Elle affirme avoir vu le compositeur au lit avec un jeune page nommé Brunet qui loge chez lui et auquel il témoigne « une grande affection », sans
se cacher de sa femme et de ses enfants. Le roi envoie sa police chez Lully. Un instant le compositeur se croit perdu, mais les deux sergents ont seulement l'ordre d'emprisonner le jeune Brunet.
Craignant la torture, le jeune garçon avoue tout : il raconte les « orgies romaines », nomme les grands seigneurs qu'il y a rencontrés, dont le propre fils du lieutenant de Police, M. de
Seignelay. C'est ce qui sauve Lully. Le scandale est trop grand, il éclabousserait trop de monde à la Cour, Le roi décide d'étouffer l'affaire, mais, en privé il admoneste Lully, avant
de lui promettre d'oublier. En effet la faveur du roi ne va pas cesser de grandir. Jusqu'en 1671, il écrit la musique, règles les danses des comédiens dans les comédies-ballets de Molière. Il
collabore à Psyché, spectacle fabuleux à la mise en scène fastueuse, qui marque la fin du travail em commun avec Molière et leur brouille définitive. Pour sa dernière comédie-ballet Le Malade
Imaginaire Molière fera appel à Marc-Antoine Charpentier, qui, coïncidence, est homosexuel, comme son rival Lully !
En 1672, Lully se voit accorder le privilège de « tout théâtre mis en musique », devient le véritable dictateur de l'opéra en France : il est
interdit de chanter une oeuvre musicale sans sa permission écrite, et tout théâtre utilisant plus de deux musiciens doit lui payer une redevance ! Privilège qui paraît exorbitant, mais qui, dans
l'esprit du roi devait développer la qualité de la musique française. Lully, en rejetant les fioritures de l'opéra italien, a véritablement créé l'opéra classique français. Il enrichit
l'orchestre innove au point que son oeuvre – considérable – paraît quelquefois révolutionnaire. Mais Louis 14 a l'intelligence de le soutenir, parfois même contre le goût du public conservateur.
À cette époque les chefs d'orchestre ne dirigeaient pas avec une baguette, mais ils battaient la mesure en frappant le sol avec une lourde canne.
Le 8 janvier 1687, Lully dirige un Te deum composé spécialement pour la guérison de Louis 14. Il frappe par inadvertance son gros orteil. La
blessure s'envenime, la gangrène gagne toute la jambe, et Lully meurt le 22 mars. Quelques années avant sa mort, il commençait à souffrir de surdité. L'esprit populaire est sévère lorsqu'il
s'exprime en chanson : ce fut le cas à la mort de Jean-Baptiste Lully. Ce quatrain montre bien que l'opinion publique savait être féroce pour les homosexuels, même s'ils avaient du génie
: « Il sera sourd à la trompette / Lully, au jour du jugement / Il faudra qu'un bel ange pète / Pour le tirer du monument. » Michel LARIVIERE, Historien. On vous l'a caché à l'école extrait de Têtu
J'avais 15 ansLe lycée était situé à 20 minutes à pied de chez moi. Fort heureusement, une ligne de bus me permettait de faire
le trajet en un peu plus de 5 minutes. Un peu fatigué par ma journée, je choisissais cette dernière option pour rentrer chez moi. Alors que j’avais le nez sur mon téléphone, je me
redressai un peu précipitamment suite au freinage brutal du chauffeur devant un arrêt de bus. Alors que je m’apprêtais à poser à nouveau mon regard sur mon téléphone, je fus frappé
par la beauté du garçon qui venait d’entrer dans le bus. Celui-ci, qui devait avoir à peu près mon âge, avait les cheveux châtains, une coupe à la Justin Bieber (lors de ses débuts,
avec la mèche comme j’aime), était mince, assez grand, et dégageait une grâce que je ne manquai pas d’apprécier. Assis sur mon siège, je priai pour que ce garçon remarque la place
assise qui était disponible à côté de moi. Mais malheureusement cet idiot alla s’installer sur le devant du bus, loin de mon regard. C’est donc déçu que je quittai le
bus,,,
Malgré |la] chance
d’avoir une famille [,,,] ouverte, je n’ai jamais eu de copain. Mais j’avais bien décidé que cette année cela changerait, car mes hormones me travaillaient de plus en
plus. Et heureusement pour moi, même si je ne le savais pas encore, cette année sera celle de toutes les découvertes !
,,,L’image de ce garçon ne pouvait disparaître de ma tête ...
je me rendis au lycée en bus dans l’espoir de voir mon bel inconnu.
Malheureusement pour moi, le bus était tellement rempli, que je ne pouvais [distinguer des autres] la moindre personne[...]
je me rendis avec ma mère à l’académie de danse pour m’y inscrire. Souhaitez-vous également que je vous inscrive aux cours de
techniques spécifiques garçons du samedi matin ? -Euh... oui !
l’académie de danse
Je me renseignai auprès de la dame à l’accueil pour savoir où était située la salle de cours ainsi que les vestiaires. Arrivé devant ceux-ci,
j’ouvris la porte et restai figé un moment, devant ce que je n’osais imaginer.
Voyant mon trouble, qui devait se voir comme un éléphant dans une baignoire, le bel apollon se rapprocha de moi pour me serrer la main.
— Salut, moi c’est Colin, tu es nouveau ici ?
— Euh, oui répondis-je en balbutiant comme un abruti.
— Et tu t’appelles comment ?
— A… A… A… Alexander (putain, je fais quoi là ?).
— Et bien enchanté Alexander, je suis content de te connaitre.
— Moi… Moi aussi.
Colin avait l’air de s’amuser de mon trouble mais le pire c’est qu’il continuait à me sourire. Et ça me déstabilisait à un point… Si là je ne suis
pas grillé…
— Je te conseille de te dépêcher de te changer car le cours commence dans 5 minutes, reprit-il.
Ah oui, j’ai oublié de vous dire, celui qui se tenait là, devant moi était le bel inconnu du bus. Alors que je n’avais pu l’apercevoir que de loin
auparavant, j’eus tout le temps de contempler la beauté de Colin. Son visage, ses cheveux, ses yeux, tout était magnifique. Son corps svelte était mis en valeur par des collants gris, moulant à
perfection ses jambes, et mettant bien en valeur de jolies fesses musclées. La forme de son entrejambe visible ne manqua pas de me troubler encore plus. Ne pas bander devenait mission impossible,
mais heureusement pour moi, Colin alla rejoindre la salle de danse, me laissant seul pour me changer et débander.
Une fois la même tenue enfilée, je gagnai la salle de danse ou je remarquai la présence de Laureen qui me souriait, surprise de me voir ici. Le
cours se déroula très bien pour moi alors que je tenais la vedette, étant nouveau. Je m’efforçais de ne pas regarder Colin et de me concentrer sur le cours, et heureusement pour moi, cela
fonctionnait. La première heure passée à la barre permit à la professeure de danse d’apprécier ma tenue droite, ma grâce, mon élégance ainsi qu’une certaine aisance et rapidité à exécuter les
enchaînements (c’est elle qui m’a dit tout ça, je ne me vante pas bien sûr). Je me débrouillais apparemment si bien qu’on ne voyait pas une grande différence de niveau avec Colin. La dernière
demi-heure au sol fut dédiée aux pirouettes et aux différents sauts du répertoire. À ce niveau, j’étais clairement moins bon même si je m’en sortais déjà très bien. C’est donc très satisfait que
je quittai le cours sous les félicitations de ma professeure :
— Vous vous en sortez très bien jeune homme, vous avez un bon potentiel et je vais vous garder dans ce cours. Je pense que vous pourrez facilement
rattraper le retard pris par rapport à Monsieur Linden.
— Merci madame, repris-je en prenant la direction des vestiaires.
— Elle a raison t’es plutôt bon, renchérit Colin.
— Ouais mais pas aussi beau que toi (merde je viens de dire quoi là ?).
— Aussi beau si, mais aussi bon non, rigola Colin en voyant mon trouble. Mais quelle connerie je venais de dire (enfin, non ce n’est pas une
connerie).
Après cet épisode je regagnai le vestiaire et je ne pouvais m’empêcher de fixer les fesses de mon camarade qui me précédait, et cela ne tarda pas à
déclencher une énorme érection qui devenait difficile à cacher tant elle prenait forme dans mon collant. En solution d’urgence, je décidai donc de me replier dans un coin du vestiaire pour me
changer.
Alors que je commençais à enlever mon t-shirt, je sentis quelque chose d’étrange se poser au niveau de mon sexe. Quand je baissai mon regard, je pus
apercevoir une main qui commençait à caresser délicatement mon érection. Bientôt, je sentis un souffle chaud au niveau de mon oreille:
— Pourquoi tu te caches, murmura Colin ?
— Je, je…
— Tu n’as rien à me cacher, je suis comme toi, reprit-il en se serrant contre mon corps. Je pouvais maintenant sentir son sexe bandé contre mes
fesses.
— C’est que je n’ai jamais rien fait, répondis-je difficilement
Je ne savais plus où me mettre et Colin savait en jouer. J’étais pris entre une incroyable envie de céder à mon désir le plus fou, mais je
ressentais comme une appréhension pour ce qui allait peut-être être ma première fois. Pendant que je me torturais l’esprit, Colin continuait de me malaxer le sexe bandé au travers de mon collant
tout en m’embrassant dans le cou et en frottant énergiquement son sexe contre mes fesses.
— J’ai envie de toi beau blond,
Ne voyant pas de réaction de ma part, il reprit :
— Ne t’inquiète pas on ne fera rien dont tu n’as pas envie.
Ne voyant pas de réaction de ma part, Colin me retourna et posa ses lèvres sur les miennes. Bientôt sa langue chercha à entrer dans ma bouche et il
commença à m’embrasser langoureusement. C’était la première fois que j’embrassais un garçon et ce moment était vraiment magique. Ce baiser dura plusieurs minutes et traduisait un profond désir
réciproque entre nous deux. Durant cette embrassade nos corps se frottaient l’un contre l’autre, nos mains parcouraient avec envie nos corps encore recouverts de nos vêtements. À cet instant,
Colin prit l’initiative de retirer mon t-shirt et commença à couvrir mon torse de baisers pour enfin arriver au niveau de mon nombril. J’étais au paradis, et quand il commença à baisser mon
collant suivi de ma coquille, libérant ainsi mon sexe qui n’avait jamais été aussi dur, je compris que c’était le moment.
Avec sa langue, il commença par recueillir le liquide séminal qui dégoulinait le long de mon sexe. La sensation de sa langue sur ma bite m’arracha
un petit cri. Puis, après avoir passé quelques minutes à jouer avec mon gland, en le léchant, en le suçant, en le caressant délicatement avec sa langue, Colin entreprit des va-et-vient, arrivant
même à gober en entier les 15 cm de mon membre qui se dressait devant lui. J’étais aux anges et avais beaucoup de mal à ne pas laisser échapper quelques cris. Sentant ma jouissance venir Colin se
redressa et se déshabilla en moins de 30 secondes. Après m’avoir embrassé tendrement, il me fit comprendre en appuyant de ses mains sur ma tête, qu’il attendait la même chose. Cependant, il me
dit :
— Si tu n’en n’as pas envie, dis le moi.
— Si... c’est juste que je l’ai jamais fait avant.
— T’inquiète pas cela sera forcément très bien.
Je commençai à rapprocher mon visage de son bassin. Après lui avoir embrassé les tétons, le nombril, ma langue commença à jouer avec son gland, en
essayant de reproduire ce qu’il m’avait fait. Je n’arrivais pas à le croire, pour la première fois, j’étais à genoux en train de sucer un magnifique garçon que je connaissais à peine. Après
quelques délicates succions, Colin décida d’imprimer un rythme élevé en me tenant les cheveux. Son sexe allait et venait dans ma bouche et plus il venait, plus son sexe s’enfonçait. Je commençais
à apprécier cet exercice et lui aussi au vue de l’expression de son visage et des gémissements qui sortaient de sa bouche. Sentant sa jouissance venir, Colin se retira et se dirigea vers son sac
pour y prendre un tube de gel ainsi qu’un préservatif. Voyant cela je fus un peu paniqué et dit :
— Je ne sais pas si je suis prêt pour ça.
— Ne t’inquiète pas je ne te forcerai à rien, j’avais juste envie de te sentir en moi, si cela ne te gêne pas dans ce sens-là ?
— Non, répondis-je rassuré.
Colin enfila le préservatif le long de mon sexe et mit un peu de gel sur celui-ci. Il alla ensuite se positionner au-dessus de moi. Et à ma grande
surprise, et sans aucune préparation, il s’empala sec sur ma bite. Une sensation de chaleur m’envahit. C’était à la fois étrange et agréable mais, très vite, au fur et à mesure que Colin
allait et venait sur ma bite bandée, je ressentis un plaisir intense. Il n’avait pas tardé à remuer ses fesses sur mon sexe qui apparaissait et disparaissait entièrement au rythme que Colin
imprimait. Très passif au début je commençai à prendre l’initiative et à remuer mon bassin. Ce qui ne manqua pas de faire crier Colin :
— Vas-y mon amour viens en moi, oh oui vas-y plus vite.
J’imprimais maintenant un rythme effréné, et sous les cris étouffés de mon partenaire je ne tardai pas à éjaculer une quantité impressionnante de
sperme. C’est donc vidé que je me retirai de ses fesses. Colin était, à son tour, sur le point de jouir. Afin de le soulager au plus vite, je m’accroupis et terminai le travail dont le fruit alla
se loger en partie au fond de ma gorge et sur mon visage.
La difficile pratique de la danse classique pour un garçon : discriminations...moqueries, insultes .
Il est difficile encore aujourd'hui pour un garçon de pratiquer la danse classique aussi bien en discipline de loisirs que pour
envisager un avenir professionnel. Il paraitrait que les garçons la pratiquant sont des mauviettes. C'est un préjugé car pour faire du ballet classique il faut au contraire avoir
du caractère, de l'endurance et de la force physique.
On peut dire que la société influe sur nos comportements et nous programme pour faire des choix en fonction de notre sexe. Les
filles jouent à la poupée, les garçons aux voitures et trains électriques. Cela se retrouve dans le monde du travail comme par exemple le secteur des sages- femmes où on trouve
très peu d'hommes.
On constate que le garçon qui veut danser va devoir se confronter à l'opposition de ses parents et à la moquerie des copains.
Les écoles de danses sont désertées par les garçons. Souvent lorqu'ils s'inscrivent ils le font très souvent en cachette.Ils
arrêtent la pratique en cours de route.Pour attirer les éléments masculins certaines proposent des bourses d'études.
Certains attendront de passer l'adolescence et d'avoir la maturité nécessaire pour enjamber et ne prêter aucune attention aux
moqueries.
On voit aussi pour les garçons issus de l'immigration une difficulté supplémentaire car de par leur culture un garçon ne doit
pas danser que ce soit du classique ou autre.Kamel OUALI , par exemple, a été inscrit dans un cours de danse par sa mère, mais en cachette de son père.
Le monde de la danse masculine est largement associé à l'homosexualité.
Le sociologue Pierre-Emmanuel Sorignet souligne les dimensions sexuées et sexuelles du métier (la danse c'est pour les filles
et les "pédés") qui prend pour point de départ le caractère féminin du métier et le lieu commun de l'homosexualité. La danse permet peut-être à certains homosexuels masculins
de vivre leur sexualité de manière plus sereine que dans d'autres milieux professionnels. On peut avancer que l'engagement dans le métier de danseur peut-être l'affirmation d'une
identité masculine homosexuelle, l'appropriation de dispositions féminines.
Malgré tout il ne faut pas en faire une généralité, certains garçons venant aussi à la danse pour rencontrer les
filles.
L' enseignement du danseur a évolué. On le forme pour devenir un véritable athlète. Didier Chirpaz, directeur de l' Ecole
Supérieure de Danse du Québec (mais il en est de même dans les écoles françaises), valorise le travail physique car pour faire des spectacles de trois heures et porter des
femmes à bout de bras il faut être extrèmement puissant.Ils sont assimilés à des sportifs de haut niveau par la technique et la performance.
Bannour J, un garçon qui aurait voulu s'inscrire à un cours de danse classique :
-Aimes-tu vraiment la danse,tsi oui pourquoi ? Oui, j'aimerais en faire surtout pour devenir souple.
-Pourquoi tu ne peux pas en faire ? Mes parents ne veulent vraiment pas, ils disent que c'est pour les filles et ne veulent pas que je
devienne un tapette (ce qui est mal vu dans ma religion). Je pense qu'ils auraient honte de dire qu'ils ont un fils qui danse.
-Que pensent tes parents du métier de danseur ?: Ils disent que c'est seulement réservé aux filles et pensent que tous les garçons qui en font sont
forcément des PD.
-A quoi est-ce dû ? : Principalement à ma religion, qui est contre l'homosexualité.
-Tu voulais t'inscrire à la danse, en aurais-tu parlé autour de toi, pourquoi? : J'en aurais parlé seulement à mes amis proches. J'aurais trop peur
de perdre des amis et qu'on m'insulte.
-Penses tu qu'un danseur est nécessairement gay? : Non il sont loin d'être tous gay.
-Penses-tu qu'un jour tu pourras danser: Oui mais en cachette.
En s'appuyant sur les axes prédemment traités, on peut dire qu' au départ la danse masculine avait sa place et était reconnue par la société. On
peut remarquer que son image s'est ternie avec l'avènement du ballet romantique qui a donné une importance énorme à la ballerine, le danseur n'étant là que pour la mettre en valeur. Le romantisme
a féminisé le monde de la danse. Depuis le danseur essaie de retrouver sa place. On peut considérer qu'il y réussit sur scène grâce aux nouvelles techniques de danse et aux chorégraphes
mais il n'est pas encore arrivé à changer son image.
Il est à souhaiter que dans l'avenir les garçons puissent pratiquer l'art de la danse librement sans être importunés par des idées toutes
faites
Petit poisson deviendra grand : Jamie Bell qui, dans le film Billy Elliott, evoquait un jeune danseur en proie aux prejuges
homophobes habituels a fait carrière dans le cinema :
jeunes danseurs devenus
grands avec des talons du talent
la drague c'etait pour son fils l'honneur est sauf ! 1947 !!!
Vous avez reconnu la voix de Suzy Solidor ??? dans la chanson Le Petit rat, qui date de 1947, et qui nous apprend qu’on dit Un Petit rat, au
masculin, alors que c’est pourtant une jeune fille. Les "petits rats" sont les élèves de l’Ecole de danse de l’Opéra, et la moitié sont des filles, et l'autre moitié des garçons. Pourquoi cette
appellation antinomique ? (danseu(r)se.s -> animaux !) -
Dysney's rats dancing !
Alors que l’opéra abrite l’élégance, la légèreté, la féminité, le tutu rose et ballerines assorties, le rat pourrait évoquer la noirceur, la fange,
les égouts, l’avarice, le cynisme, en un mot, la peste. moi ?mais qui ??? moi ?
On trouve la première trace de cette expression au XIXe siècle, sous la plume de Nestor Roqueplan, un journaliste pétri de sens de l’humour. L’usage
vient, selon lui, de ce que les petits danseurs -et danseuses- adoptaient des comportements faisant penser à un groupe de jeunes rongeurs.
Les représentations avaient lieu dans différents théâtres parisiens. On pouvait voir dans les couloirs de ces lieux, des enfants de moins de 14
ans, souvent petits et maigrichons, courir à droite et à gauche pour grappiller de la nourriture.
Les rats n’ont pas quitté le navire, mais l'École de danse de l’Opéra se situe maintenant à Nanterre, et non plus dans les murs de l’Opéra
Garnier.
Tout se perd, ma bonne dame, tout se perd!
Jusqu’à preuve du contraire...fresque :
commentaire :
fresque :
Melvin de Toulouse
"Je n'ai jamais marché, j'ai directement dansé !", s'amuse-t-il. "Quand je danse, je danse surtout pour moi, mais aussi pour les gens qui me soutiennent, et notamment pour mes
parents qui, eux, ne peuvent pas marcher", ajoute-t-il, alors que son père et sa mère, tous deux en fauteuil roulant, étaient présents dans le public.
Rudolf Noureev a laisse une marque indelebile sur l'art masculin de la danse
putain le boulot ! les "petits rats" sont des geants !!! l’équipe enseignante avait opté pour le fameux « Lac des
Cygnes »
les métamorphoses...avant, avant
...
oui, avant l'insecte parfait
Fiction Gay: Célian et Gabriel comme le Yin et le Yang
Dans le Lac des Cygnes, nous sommes les héritiers de Rudolf Noureev, homosexuel, qui a servi, magnifié et transformé
l'oeuvre de Piotr Illitch Tchaïkovski, homosexuel lui aussi. À 19h00, la musique classique de
Tchaïkovski résonnait encore dans le studio de danse. Avec justesse et concentration, Célian et Gabriel s’appliquaient à réaliser différents exercices à la barre. Doryann, leur exigeant
professeur, ne laissait rien passer. Avec sa baguette, il n’hésitait pas à recadrer les jeunes danseurs quand l’exécution des mouvements ne lui convenait pas, quitte à donner de petits coups de
bâton sur leurs belles cuisses en action.
Célian et Gabriel fréquentaient la prestigieuse école de danse de l’Opéra de Paris. Le spectacle de fin d’année, qui clôturerait leur scolarité,
approchait à grands pas. Pour cette nouvelle promotion de petits rats, l’équipe enseignante avait opté pour le fameux « Lac des Cygnes », grand ballet du répertoire. Si la distribution
était quasiment finalisée, le rôle principal du Prince Siegfried, n’avait toujours pas été attribué. Bien que les deux jeunes hommes étaient fortement pressentis pour obtenir le rôle, aucun ne
pouvait dire qui allait l’emporter.
Célian, avec son allure juvénile et son visage angélique, avait le physique parfait. Beau blond de 1m77, fin et gracieux, il ressemblait typiquement
à ces princes Disney qui faisaient tant fantasmer dans les chaumières. Malheureusement pour lui, il possédait un peu moins de technique que Gabriel, plus physique et sportif. C’est ce qui
permettait au beau brun de 1m85 de rester encore dans la course. Si les garçons s’appréciaient beaucoup au quotidien, aucun des deux ne comptait laisser passer sa chance. Une porte d’entrée dans
le corps de Ballet de l’Opéra de Paris ne se refusait pas, même pour un ami.
Pliés, demi-pliés, dégagés, les exercices s’enchaînaient dans le studio. Pour obtenir les faveurs de leur professeur, les deux petits rats se
donnaient corps et âmes à la tâche. On pouvait facilement voir leurs muscles travailler à travers leurs vêtements. En effet, Célian et Gabriel portaient la tenue traditionnelle du danseur
classique de l’Opéra. Un t-shirt blanc, à col rond ouvert, épousait parfaitement la forme de leur torse. Leurs belles jambes, quant à elles, étaient mises en valeur par un collant gris ultra
moulant, partant de la taille pour se terminer au niveau de la pointe de leurs orteils. Enfin pour terminer l'ensemble, les garçons avaient enfilé des chaussons de danse gris, assorti à leur
collant.
Si cette tenue était avant tout imposée pour optimiser la pratique de la danse, elle avait le mérite de les rendre très désirables. Il faut dire
qu’elle dévoilait absolument toutes leurs formes, tout en dissimulant, avec érotisme, leur douce peau. Ainsi, nombreux étaient les hommes gay qui, à l’Opéra, passaient plus de temps à reluquer
avec leurs jumelles les beaux paquets et les beaux culs des jeunes danseurs , plutôt que de s’intéresser à la performance artistique. L’homosexualité étant monnaie courante dans le milieu, il
n’était pas rare de voir un danseur traîner son cul dans un bar gay du Marais parisien.
À présent Célian et Gabriel avaient posé une jambe sur la barre pour accomplir quelques exercices d’assouplissement. Dos à leur professeur, on
pouvait aisément admirer leurs belles fesses musclées, bien mises en valeur par le collant. D'autant plus que les garçons ne portaient aucun sous-vêtement. Doryann n’était pas insensible à ce
spectacle. On pouvait même dire qu’il se rinçait l’œil tant son regard se baladait entre le petit cul sexy de Célian et les belles fesses musclées de Gabriel. D’ailleurs, sa bite commençait déjà
à se redresser. Discrètement, il posa sa main sur son paquet et le malaxa avec envie à travers son collant noir. Très vite c’est un véritable gourdin que l’on pouvait deviner au travers du
tissu.
— C’est bien les garçons, continuez comme ça, c’est très bien, lança le professeur qui se voyait déjà jouer avec leur cul.
Célian et Gabriel étaient contents de recevoir un compliment de la part du grand Monsieur Marguet. C’était si rare ! En se regardant dans les
yeux pour se congratuler mutuellement, ils virent à travers le miroir de la salle, Doryann qui prenait beaucoup de plaisir à caresser son entrejambe, une immense entrejambe. Si cette vision les
déconcentra, elle réveilla également en eux le désir qu’ils avaient envers leur beau professeur de danse. Célian se mordait déjà les lèvres en rêvant de cette belle queue lui perforant l’anus.
Qu’elle devait faire du bien… Gabriel, lui, s’imaginait déjà négocier le rôle du prince à coups de langue ravageur.
Voyant qu’il avait été pris en flagrant délit de caresses, Doryann se rapprocha de Célian. Prétextant un faux mouvement de son élève, il se
positionna derrière lui pour le corriger et lui expliquer le bon placement. En réalité, son objectif était surtout de coller sa bite contre le cul du jeune blondinet. Le garçon ne manqua pas de
sentir l’immense braquemard se pointer au creux de ses fesses. Il put également sentir les mains de son professeur se poser sensuellement sur ses jambes. Une fois bien en place Doryann lui
souffla à l’oreille :
— C’est bien Célian, n’oublie pas ta pointe de pied et maintenant glisse ta jambe sur la barre. Tu dois sentir une flexion de la cuisse.
L’élève s’exécuta alors que son professeur commençait à frotter doucement sa belle bosse contre le cul du jeune danseur.
— Alors, tu la sens bien ?
— Oui, je la sens très bien, répondit Célian en ne pensant pas du tout à une quelconque flexion de sa jambe mais plutôt...à autre chose...
— C’est bien, mais attention à tes cuisses ! Regarde, ça doit être bien ferme.
Joignant les gestes à la parole, Monsieur Marguet posa ses mains sur les cuisses du blondinet pour remonter délicatement vers les couilles et la
bite de son élève. Il constata avec joie que celle-ci était déjà bien dure :
— C’est bien Célian, c’est ça, c’est bien ferme, reprit-il en malaxant la queue du blondinet. Si tu continues dans cette voie, tu as tous les
arguments pour obtenir le rôle.
— Moi aussi Professeur c'est bien ferme, lança Gabriel en montrant son paquet, inquiet de l’avantage que venait de prendre son camarade.
Doryann, plus que bandé, se positionna derrière son autre élève et recommença la même manipulation avec beaucoup moins de retenue que précédemment.
Il en était presque à mimer la sodomie. Ayant une autre idée en tête, le professeur s’interrompit au bout de quelques instants et demanda à ses deux élèves de venir se positionner au milieu de la
salle. Comme il avait pu le sentir, les deux garçons avaient une belle bosse qui se dessinait au travers de leur collant gris.
— Comme vous le savez, un des moments déterminants dans le lac des cygnes est le baiser du Prince à la Princesse. Pour avoir une idée plus précise
de qui je vais choisir, je voudrais que vous me montriez comment vous allez savoir mettre en scène ce baiser.
— Tous les deux ? demanda Gabriel
— Oui, tous les deux. À moins que tu préfères ne pas avoir le rôle ?
Les deux jeunes danseurs semblèrent étonnés par la demande mais ne se démontèrent pas pour autant. Au contraire, gay tous les deux, ils se faisaient
une joie de pouvoir se distraire un peu pendant le cours. C’est Gabriel qui se rapprocha de Célian pour lui déposer un doux baiser sur les lèvres.
— Je vous ai demandé un vrai baiser d’amour, pas un petit bisou de coincé ! s’exclama Doryann. Allez, plus de conviction, je veux voir de la
passion, je veux ressentir du désir, un amour vrai !
Sur ces paroles, les deux garçons se rapprochèrent à nouveau, en enlaçant leurs bras autour de la taille du partenaire. Les bites en érection
étaient plaquées l’une contre l’autre. Célian et Gabriel se regardaient droit dans les yeux, brûlants de désir. Le blondinet lança les ébats en posant ses lèvres sur celles du beau brun. Très
vite, les langues commencèrent à danser un ballet passionné. Les mains devinrent baladeuses, malaxant sensuellement et avec envie les fesses du partenaire. Les queues se frottaient l’une contre
l’autre à travers le tissu du collant, de gauche à droite, puis de droite à gauche. Les deux jeunes danseurs commençaient à haleter alors que le professeur avait passé sa main sous son collant
pour se masturber en les regardant :
— C’est bien ça, c’est exactement ce que j’attends d’un danseur !
Encouragé par la remarque de Monsieur Marguet, Gabriel se positionna derrière son camarade. Tout en frottant furieusement sa bite contre le cul de
Célian, il plaqua sa main contre la protubérance du blondinet en n’arrêtant pas de l’embrasser. Il entreprit alors de douces caresses avant de saisir plus franchement son chibre et le masturber à
travers le tissu. S’il ne la touchait pas encore directement, Gabriel lui faisait malgré tout énormément de bien. La scène était très érotique et les corps brûlaient de désir. Bientôt Doryann se
rapprocha de ses deux apprentis. Il attrapa une main de Célian et une de Gabriel pour les poser directement sur sa bosse. Pendant que les deux jeunes danseurs lui malaxaient le chibre, le
professeur enleva son haut pour dévoiler un magnifique torse musclé et poilu. Le blondinet et le beau brun se ruèrent dessus et commencèrent à léchouiller chacun un téton avant de redescendre
plus bas vers une forme très imposante.
N’en pouvant plus, les deux élèves baissèrent son collant au sol pour dévoiler une bite à la dimension très avantageuse : 18 centimètres de
bonheur, pour être plus précis. Célian ne laissa pas le temps à son camarade de réagir. Il aspira quasi instantanément le gros gland qui se présentait devant lui. Ne voulant pas rester inactif,
Gabriel se redressa pour aller rouler une pelle à son professeur et lui démontrer ses qualités en la matière. Mais très vite, attiré par la queue, il retourna se mettre à genoux pour accompagner
la fellation que prodiguait son camarade. Doryann pouvait maintenant profiter pleinement de la bouche de ses deux petits rats. Chacun de leur côté, les garçons parcouraient le sexe de leur
professeur en léchant et suçant chaque centimètre carré, des couilles jusqu’au gland. Ce dernier savourait et ne pouvait s’empêcher de gémir :
— Humm oui, c’est bien les garçons, continuez comme ça, sucez-moi la bite. Celui qui en avalera le plus, prendra un avantage pour le
rôle !
Le professeur empoigna alors sa bite et la dirigea, à tour de rôle, entre la bouche de Célian et celle de Gabriel. Il ne manqua pas de leur coller
quelques bifles au passage. Les deux jeunes danseurs se donnaient beaucoup de mal pour obtenir le titre de meilleur suceur. Et à ce petit jeu, c’est Célian qui réussit à enfourner le plus gros
morceau au fond de sa gorge, arrivant presque à coller les couilles de Doryann contre son menton. Pendant que le blondinet continuait seul la fellation, le professeur retira le t-shirt de Gabriel
avant de l’embrasser goulûment. Puis ce fut au tour du blondinet de tomber le haut, si bien que l’on pouvait maintenant admirer les magnifiques torses imberbes de deux jeunes minets.
Ne voulant pas jouir trop vite, Monsieur Marguet proposa d’allier plaisir et exercices techniques en demandant aux deux jeunes danseurs de le
masturber avec leurs pieds. Après avoir installé un tapis au sol, les trois protagonistes s’installèrent dessus. Si les deux élèves avaient retiré leurs chaussons de danse pour l’occasion, ils
étaient toujours bien moulés par leurs collants gris. Chacun de leur côté, ils s’appliquaient à donner du plaisir au professeur qui semblait vraiment apprécier le contact doux du tissu
enveloppant les 4 pieds qui le branlaient ainsi :
— Humm oui, ça c’est des pieds bien entraînés. Faites-les danser sur ma bite !
Les garçons s’exécutèrent encore quelques instants, puis, Gabriel, ne pouvant plus se contenter de donner du plaisir, se redressa. Voulant lui aussi
qu’on s’occupe de sa bite, il alla se placer devant Célian. Ce dernier comprit immédiatement ce que souhaitait son camarade. Sans attendre qu’il lui demande, il baissa son collant à mi-cuisse et
avala sa grosse queue bien baveuse. C’était aussi un très gros calibre, puisqu’elle ne mesurait pas moins de 20cm. Le blondinet se régalait littéralement et ça se voyait !
— Oh oui Célian, bouffe-lui la bite, lança le professeur en se rapprochant de l’action.
— Humm oh oui c’est bon, tu l’aimes ma grosse queue ! gémit Gabriel.
Très vite, le jeune minet se retrouva à sucer deux beaux pénis à tour de rôle. À genoux sur le tapis, sa tête était baladée de main en main et sa
bouche de bite en bite. Debout et à sa gauche, Doryann faisait valoir toute sa puissance en lui baisant la bouche. À sa droite, Gabriel était plus doux mais tout aussi excité. Complètement
dominé, Célian alternait entre coup de langue sensuel et va-et-vient ravageurs. Au vu des gémissements que poussaient ses amants du moment, il savait vraiment s’y prendre : un véritable
expert de la fellation !
Après lui avoir bien baisé la bouche, Monsieur Marguet voulut passer à l’étape supérieure. Il alla chercher dans son sac un tube de gel lubrifiant
et un préservatif. En revenant sur le lieu de l’action, il attrapa Célian avec autorité, lui faisant stopper la pipe qu’il prodiguait toujours à Gabriel. Positionné derrière son élève, Doryann
passa la main sous le collant du blondinet pour lui pétrir les fesses. Puis sa main se dirigea vers le sexe en érection du minet qui frissonnait de désir en sentant les doigts de son professeur
empoigner sa belle tige. Tout en le masturbant, il commença à frotter sa queue contre le cul du jeune danseur. Puis n’y tenant plus il lui baissa son collant et le positionna à 4 pattes sur le
tapis. Il enfila la capote et se lubrifia la bite. Trop excité, Doryann ne prit pas la peine de préparer plus que ça son élève. Il positionna son gland contre l’anus imberbe de Célian qui
soupirait déjà d’impatience de sentir cette grosse bite lui ramoner les intestins.
— Tu la veux ma bite Célian, hein tu la veux ?
— Oh Oui Monsieur Marguet, défoncez-moi la chatte.
Sans plus attendre, le beau barbu pénétra à l’intérieur de son élève. Son gland poussa devant l’entrée du petit trou et se fraya un passage à
l’intérieur de ses fesses, malgré la résistance des sphincters. Doryann lui tenait fermement les cuisses. Une fois complètement à l’intérieur, il commença à remuer le bassin, d’abord lentement,
ne faisant sortir et entrer que quelques centimètres de sa bite, puis de plus en plus franchement. Célian gémissait de bonheur en sentant cette belle matraque lui perforer et remplir le cul.
La baise était vraiment torride. Les couilles de Doryann claquaient fortement contre les fesses du blondinet et ce bruit venait se mêler à ses râles et ses gémissements :
— Humm, oh oui, baise-mon cul !
Gabriel n’était pas en reste et continuait de se faire sucer par son camarade enculé. La fellation était rythmée par les nombreux coups de boutoir
que se prenait le blondinet. Son corps était littéralement projeté en avant à chaque coup de bite. Pour varier les plaisirs, Doryann se retira du cul du jeune danseur et alla s'asseoir sur une
chaise. Célian ne mit pas beaucoup de temps à comprendre et il chevaucha son professeur avec vigueur, s’empalant et se désempalant de sa bite à un rythme très soutenu. Très vite, Gabriel prit sa
place pour se faire à son tour démonter par le beau monsieur Marguet. Le tableau de ce ballet pour jeunes homos était absolument orgiaque. Les petits culs en chaleur des deux élèves
dansaient sur la grosse bite bien dure de Doryann. La symphonie de gémissements qui retentissaient rythmait les pas de baise. Le professeur, chef d’orchestre, jouissait du cul des deux jeunes
danseurs à tour de rôle.
C’est le jeune brun qui fut le premier à lâcher la sauce. Alors qu’il se faisait vaillamment défoncer, il éjacula une bonne ration de sperme dans la
bouche gourmande de Célian qui le suçait en se délectant de sa queue. Puis les rôles furent inversés et c’est le blondinet qui éjacula dans la bouche de Gabriel, tout en se faisant littéralement
défoncer le cul. Avant d’éjaculer à son tour, Doryann se retira du cul de Célian. Toujours assis sur la chaise, il balança la capote au sol. Les deux danseurs se ruèrent chacun d’un côté de leur
professeur. A genoux, ils s’embrassèrent langoureusement autour de son gland. Monsieur Marguet ne put se retenir plus longtemps, et alors qu’il masturbait la base de sa bite, il déchargea un flot
de foutre impressionnant qui vint se mélanger dans les bouches de ces jeunes élèves. Ces derniers n’en perdirent pas une goutte, léchant les moindres recoins du gland humide. Une fois la bite
bien nettoyée, les garçons se relevèrent et s’embrassèrent langoureusement. Fiers de leur performance. Doryann les regarda et lança :
— Puisque vous m’avez fait jouir tous les deux, vous avez encore toutes vos chances pour le rôle du Prince du lac des cygnes. Mais sachez que vous
avez déjà obtenu celui du prince du lac de sperme de ma pine !
À la fenêtre, Jonathan Garnier n’avait rien raté de la scène. Son collant gris était recouvert de sperme, preuve irréfutable du plaisir qu’il avait
pris devant ce spectacle. Il tenait peut-être une occasion de se remettre dans la course très disputée du rôle principal du Prince...
commentaire :
Jungle :
notes
Sergei Polunin, “Take Me to Church” by Hozier, Directed by David LaChapelle
:
BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...
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