Mercredi 7 février 3 07 /02 /Fév 05:43

  se couper des croyances et des religions, des politiques aussi qui veulent tout contrôler à leur propre  profit, depuis l'argent jusqu'aux sentiments et à la baise  

 

 

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un anar' qui brûle les bateaux qui l'ont mene si loin ... il ne supportait plus le poids de l'Histoire, en particulier espagnole et son coeur saignait. 

  LA CHANSON : "Y'en a pas un sur cent et pourtant ils existent
La plupart Espagnols allez savoir pourquoi
Faut croire qu'en Espagne on ne les comprend pas
Les anarchistes
Ils ont tout ramassé
Des beignes et des pavés
Ils ont gueulé si fort
Qu'ils peuv'nt gueuler encore
Ils ont le cœur devant
Et leurs rêves au mitan
Et puis l'âme toute rongée
Par des foutues idées
Y'en a pas un sur cent et pourtant ils existent
La plupart fils de rien ou bien fils de si peu
Qu'on ne les voit jamais que lorsqu'on a peur d'eux
Les anarchistes
Ils sont morts cent dix fois
Pour que dalle et pour quoi ?
Avec l'amour au poing
Sur la table ou sur rien
Avec l'air entêté
Qui fait le sang versé
Ils ont frappé si fort
Qu'ils peuvent frapper encor
Y'en a pas un sur cent et pourtant ils existent
Et s'il faut commencer par les coups d'pied au cul
Faudrait pas oublier qu'ça descend dans la rue
Les anarchistes
Ils ont un drapeau noir
En berne sur l'Espoir
Et la mélancolie
Pour traîner dans la vie
Des couteaux pour trancher
Le pain de l'Amitié
Et des armes rouillées
Pour ne pas oublier
Qu'y'en a pas un sur cent et pourtant ils existent
Et qu'ils se tiennent bien le bras dessus bras dessous
Joyeux, et c'est pour ça qu'ils sont toujours debout
Les anarchistes" 

  "Léo Ferré ne voulait plus chanter Les Anarchistes parce qu'il pensait que le drapeau noir c'est encore un drapeau"


 

 

 

         

 

Par LEO FERRE - Publié dans : LUTTES HISTOIRE & REVOLTES DES GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 6 février 2 06 /02 /Fév 17:32

  la stratégie d'un choix ouvert pour déterminer quelqu'un qui ne se décide pas ....essaye tu verras !  

dadpigslut: “slaveexchangenola: “ Kyle had always hated his cousin. Lucas had always been a bully and had made Kyle’s life miserable from a very early age. Every time Kyle heard his aunt and uncle were coming for the weekend, he would find ways to...

     si tu te la prends aujourd'hui je te jure que je t'embêterai plus jamais !

     OBTENIR LE CONSENTEMENT  Kyle avait toujours détesté son cousin. Lucas avait toujours été un tyran et lui avait pourri la vie dès son plus jeune âge. Chaque fois que Kyle entendait que sa tante et son oncle projetaient de venir pour le week-end, il trouvait des moyens de sortir de la maison pour se libérer de la torture de Lucas. Cela faisait quatre ans la dernière fois qu'il avait dû réellement vivre dans la même maison que Lucas. Maintenant c'était différent, il aurait dû pouvoir mais ses parents ne l'autorisaient tout simplement pas.


Étant beaucoup plus âgé que la dernière fois qu'ils s'étaient rencontrés, Lucas avait découvert les joies de sa queue et de la bouche et des culs d'un autre garçon. Il a également découvert qu'il aimait le sexe quand l'autre garçon qu'il forçait n'avait pas le choix.
 

Quand les parents furent tous partis pour une nuit en ville, Lucas se glissa dans la chambre de son cousin. Tombant sur Kyle, il le maintaint et lui mit la main sur la bouche. "Ne crois pas que tu vas m'échapper cette fois," dit Lucas d'une voix sensiblement plus autoritaire et menaçante que Kyle l'attendait. Lucas commença à se tourner hanches contre fesses du garçon. "J'ai trouvé de nouveaux jeux pour nous", a déclaré Lucas. "Laisse-moi te dire comment ça marche. Je vais baisser ton pantalon et je vais fourrer ma queue si loin dans ton cul que tu la sentiras frapper tes amygdales. Le jeu consiste à savoir combien de fois tu pourras répéter "ça me plaît" avant que je ne t'oblige à commencer à me supplier d'arrêter. Juste pour que ce soit plus intéressant, si tu peux supporter de le faire jusqu'à ce que je te largue ma charge au fond de ton trou, je te promets de ne plus jamais essayer de te baiser. Mais si tu n'y arrives pas, je te baiserai au moins trois fois avant de partir. Par ce moyen d'un soi disant choix, Lucas s'était assuré du consentement de Kyle car ce dernier, sans se méfier hocha la tête pour indiquer, ok,  qu'il tiendrait. Il sentit Lucas, de ses mains,faire glisser son pantalon  et, comme Kyle avait accepté, attirer les hanches du garçon les fesses exposées à la bite dure de Lucas.


Kyle fit de son mieux pour réprimer le cri qui montait dans sa gorge alors que la queue du grand se frayait un chemin dans son cul vierge. Lucas savait parfaitement qu'il faisait mal au garçon. Il sourit simplement alors qu'il poussait sa bite plus loin dans le jeune garçon alors que ce dernier retenait ses larmes. "Viens sur la bite, ça ne te fera pas mal. Pas encore, attends. Kyle essaya de supporter son viol de son mieux, mais il aurait dû savoir mieux le faire...et, sur un coup de reins plus violent, il hurla. LE PACTE DU SILENCE ETAIT ROMPU.  Lucas était un sadique. Il n'y avait eu aucun moyen pour Kyle de passer cette première fois sans montrer sa douleur, et, même s'il y avait réussi, Lucas n'aurait jamais tenu sa promesse et ainsi il y passa encore trois fois pendant le séjour de Lucas et plusieurs fois à chaque nouvelle visite. Mais vous savez ce que disent les psy : le plaisir naît de la répétition. Ainsi malgré lui il y prit gôut et son orientation sexuelle en fut changée alors que Lucas continua longtemps à se persuader qu'il lui faisait mal. Un mal pour un bien : Lucas ne pouvait savoir à quel point il donnait du plaisir à son cousin. Et il valait mieux qu'il ne le sût pas  car le sadique Lucas n'aurait pas apprécié de plaire....

 


commentaire :

Mon cher Claudio, Jonas a bien raison avec cette histoire de CHOIX OUVERT  et je l'ai fait plusieurs fois :  dans mon sac j'ai toujours plusieurs godes differents les uns des autres. Quand, sur la drague ou ailleurs,  je veux goder quelqu'un d'hésitant, indécis à se faire goder voire enculer, je lui en montre trois : un gros, un moyen, un petit. Je les lui fais palper, en  éprouver la texture, la souplesse, la douceur au toucher etc...et je lui dis : "lequel des trois choisis-tu ? "   Ne vous étonnez pas qu'il en garde un en main pour que vous le lui mettiez. Ne vous étonnez pas non plus qu'il ait retenu le plus petit,surtout s'il ne l'a jamais fait...et c'est GAGNE ! Si vous ne lui aviez pas donné ce choix il aurait continué dans son entêtement à ne pas vouloir être pénétré.

  Image associée  Soyez content de ce succès !  Il est loin d'être dit qu'après il ne voudra pas en essayer un autre et, qui sait, votre bite !  (amicalement herald et merci pour ton blog si excitant ! )   

 

 

Mets-toi debout, maintenant, je voudrais te goûter.

Claude m’aide un peu brusquement à me lever et me voilà debout face à lui.

 

  • — Déshabille-toi ! me dit-il sèchement, tout en attrapant son verre de vin.

 

J’enlève donc doucement mes quelques vêtements. Il me dévore des yeux. J’ai cette sensation bizarre de n’être pas plus qu’un morceau de viande à ses yeux, c’est embarrassant mais très excitant à la fois. Me voilà nu comme un ver face à mon dominateur. Il ne me regarde pas en parlant :

 

  • — En voilà une jolie bite, et tu bandes déjà, mon salaud ! Je savais que tu aimerais me sucer. À moi, maintenant.

 

Claude pose son verre, se met à genoux face à moi et gobe ma queue d’un seul coup. Il suce vraiment très bien, je gémis déjà sous ses coups de langue, mon plaisir monte très vite, la fellation continue un peu et je ne tarde pas à exploser. Claude s’est dégagé juste avant et me fait éjaculer dans sa main. Mon sperme fourni en abondance coule entre ses doigts, mais il en garde un maximum dans le creux de son immense main.

 

  • — Tu as bien fait de juter autant, ça va pouvoir me servir de lubrifiant, me dit-il en souriant.
  • — Comment ça ?
  • — Eh bien pour te baiser, bien sûr !
  • — Je pensais attendre le retour de Marc pour aller plus loin ! En fait, on en a déjà fait beaucoup, là.
  • — Ecoute, dans tous les cas, je vais te baiser ce soir, avec Marc. Je veux t’essayer avant, pour connaître un peu ton corps et tes réactions. Tu dois être gentil avec moi et je n’aime pas qu’on me dise non. Alors va dans la chambre et attends. Je prends une capote et j’arrive.

 

Claude est très directif. Comme l’objet sexuel qu’il m’a fait devenir en si peu de temps, je fais ce qu’il me dit ou plutôt m’ordonne.

Je suis assis sur le lit, quand Claude arrive, complètement nu, une petite sacoche à la main.

 

  • — C’est toutes tes capotes, ça ?
  • — Tais-toi ! Pourquoi es-tu assis ? Mets-toi à quatre pattes tout de suite, montre-moi ton trou de balle.

 

Je m’exécute dans le plus grand silence, j’espère qu’il ne sera pas trop brutal, quand même, mon petit cul a besoin de douceur aussi.

Claude me regarde en cette position de totale soumission. Il a toujours mon sperme dans la main. À l’aide de deux doigts, il en étale sur mon anus. Très vite un doigt me pénètre, puis un deuxième. J’ai affaire à un expert, mon trou est bien lubrifié, dilaté progressivement et j’ai déjà envie d’y sentir cette belle bite noire, même si sa largeur me fait un peu peur.

Claude se penche au-dessus de moi, en enfonçant ses doigts bien au fond de mon cul.

 

  • — Ça y est, ma chérie, tu es prête à me recevoir, me dit-il à l’oreille.

 

Je suis comme une poupée gonflable pour lui. À aucun moment il ne se soucie de mon avis, il me baise comme il en a envie et je dois me laisser faire.

Claude se redresse, sort ses doigts de mon intimité et attrape une capote. Je reste là, le visage contre le lit, les bras le long du corps, de mon anus coule mon propre sperme. Je me sens flotter, comme dans un monde parallèle. J’attends mon sort, les fesses en l’air, pendant que Claude enfile une capote.

 

  • — Vas-y doucement, lui dis-je.
  • — Non, je ferai comme j’ai envie et tu vas aimer ça, c’est compris ?

 

Je ne réponds pas et m’attends à le recevoir brutalement, d’un instant à l’autre. À ma grande surprise, Claude s’approche assez doucement de moi, pose son gland sur mon trou et le rentre lentement par mon anus. Je suis un peu soulagé, le gland me paraît énorme, mais il arrive à entrer complètement, sans vraie douleur. Mon plaisir monte doucement. Quand Claude pousse d’un coup sec sa queue dans mes entrailles, j’en ai le souffle coupé. En moi jusqu’à la garde, il commence des va-et-vient de plus en plus prononcés. Que c’est bon ! Sa bite énorme me remplit complètement, ses testicules battent les miens en rythme et je hurle mon plaisir à chaque coup de reins.

 

Claude me tient fermement par les hanches. Je n’en peux plus, je me redresse sur mes bras pour sentir encore mieux sa bite, quand il m’attrape les cheveux et me tire en arrière contre lui. Mes bras ne touchent plus le lit, Claude passe son autre main sous mon ventre pour me maintenir dans cette position. Sa bouche est maintenant contre mon oreille.

 

  • — T’es vraiment un bon coup, toi. Là, c’est juste pour t’essayer, mais tu vas voir ce soir, ce que je vais lui mettre, à ton joli petit cul.

 

Je suis une poupée de chiffons entre ses mains, il me place comme il veut ; car en plus d’être plus grand et plus fort que moi, sa bite ancrée au plus profond de moi me soumet totalement au plaisir qui m’envahit. La main sur mon ventre descend sur ma queue prête à exploser et la branle vigoureusement. J’éjacule sur le lit et sur la main de Claude. Il l’essuie sur ma bouche pour se nettoyer.

 

  • — Tiens, goûte ton sperme, petit cochon, il est bon, hein ? Bon, tu vas goûter le mien et j’en aurais fini avec toi.

 

Claude se retire et me pousse dédaigneusement sur le lit. Je me relève pour m’asseoir. Je vois Claude se branler. Il place sa queue juste devant ma bouche en s’astiquant de plus en plus. Je lui lance un regard implorant et ouvre timidement la bouche. Une giclée de sperme me recouvre presque la moitié du visage, Claude tient ma tête d’une main et plonge sa queue dans ma bouche pour y déverser le reste de sa semence, dans un grognement. Ma bouche est remplie, je ne réfléchis pas trop et avale ce sperme tout chaud, pour pouvoir aisément nettoyer cette bite gluante et source d’autant de plaisir.

 

Je suis encore en train de sucer Claude, quand on entend la porte d’entrée s’ouvrir. Marc est de retour.

 

 

 

Par JONAS - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 6 février 2 06 /02 /Fév 16:41

Oui, ma vedette, c'est toujours toi. Pour te dire que je t'aime, rien à faire, je flanche: J'ai du cœur mais pas d'estomac. C'est pourquoi je prends ma revanche. Sur l'écran noir de mes nuits blanches... (Claude Nougaro) 

 

xxxfamilyfun: “ I could tell from the way my Uncle Matt was staring at me all through dinner that he wanted to fuck me. He and Aunt Karen were visiting with their six-year old son Trevor. I’ve had a crush on the guy since I was very young. However,...

 

Je pourrais dire de la façon dont mon oncle Matt me regardait pendant tout le dîner qu'il voulait me baiser. Lui et tante Karen rendaient visite à leur fils de six ans, Trevor. J'avais le béguin pour le gars depuis que j'étais très jeune. Cependant, l'oncle Matt avait une énorme bite effrayante. Je l'ai vue une fois quand nous étions en train de changer nos maillots de bain quand j'étais petit.

-"Chérie, pourquoi ne t'assieds-tu pas avec maman pendant un moment," dit l'oncle Matt en tendant Trevor à tante Karen. "Brandon a dit qu'il voulait me montrer ses trophées de football. Pas vrai, Brandon?

     
Devant ce mensonge qui faisait appel à ma tacite complicité, mon cœur se mit à tambouriner dans ma poitrine, avec toutes les difficultés du monde pour parler, j'eus soudain la bouche sèche comme le sable du désert, je répondis :"Ok, oncle Matt !"
Sans que nous ayons JAMAIS rien échangé sur ce sujet -le sujet de mon viol consenti- programmé sûrement dans nos têtes, nous savions tous deux ce qui allait se passer. 
Dès que nous sommes entrés dans ma chambre, en quelques secondes l'oncle Matt jaillit hors de ses vêtements  et il m'arracha au sol.

"Nous n'avons pas longtemps",  dit-il.


En l'espace de quelques instants, oncle Matt s poussait sa queue lisse en moi. Je ne sais pas quand il l'avait lubrifiée, mais il devait avoir pommadé sa queue pour pouvoir rentrer son monstre à l'intérieur de moi. Il a poussé fort, couvrant ma bouche de sa grande paume.

"Prends-la, gamin," murmura-t-il d'une voix rauque. "Détends-toi et prends-la. Je sais que tu la veux. Depuis toujours ! "

Il m'a biflé dur sur mon petit cul ferme et a EN MEME TEMPS
-lol-pressé plus fort. Dieu merci, sa main était sur ma bouche, sinon tout le monde m'aurait entendu crier. Il m'a fallu une minute , mais, plein de savoir-faire, mon oncle m'a laissé m'habituer à son énorme bite en moi.

"Ok, gamin, accroche-toi," grogna-t-il.


L'oncle Matt a commencé à me baiser plus intensément, enfonçant sa bite tout au fond de moi. Je jure que je pensais m'évanouir. Nos corps étaient couverts de sueur alors que nous nous empressions de donner tout son sens à cette première rencontre dans ma chambre. Parlons de MOI : J'étais, après des douleurs semlables à celles de l'enfantement, j'étais... sur un nuage! J'avais en moi ce que -je crois- j'avais toujours voulu.
Parlons de LUI :   J'entendais mon oncle respirer profondément et je savais qu'il était sur le point de jouir en moi. De toutes façons nous ne disposions d'aucun temps et j'avais peur que, de manière condescendante ma tante vînt nous rejoindre pour admirer "mes trophées de football" (ce dont je me foutais, là !)-lol-. 

"Oh ... oh putain ..." dit-il, s'effondrant pratiquement sur moi alors qu'il remplissait mon rectum de son sperme aussi chéri pour moi que sa bite.

Il décula rapidement et attrapa une serviette pour s'essuyer. Il se remit rapidement dans ses vêtements et fonça directement en bas avant que quiconque puisse soupçonner ce que nous faisions. Je me suis allongé dans mon lit et je me suis bricolé, pensant à quand nous nous retrouverions dans un scénario de moindre urgence.
 Car c'était fait : nous avions concentré EN MEME TEMPS
-lol- les joies d'un flirt propitiatoire et des approches en usage chez-nous les ...PD ! Nous avions soudain  LA VIE DEVANT NOUS !      
 
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jungle :
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Par BRANDON - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 5 février 1 05 /02 /Fév 08:54

  L'IMAM LEUR DIT : Ne regardez pas la télévision, même pour regarder des nouvelles ou des sports. Évitez de surfer sur Internet si vous n'en avez pas besoin, surtout lorsque vous êtes seul. Si vous le devez, essayez d'utiliser Internet dans un lieu public ou lorsque les membres de votre famille sont autour de vous. En particulier, évitez YouTube et d'autres sites du même type où il y a un plus grand risque de voir quelque chose haram.   

 Soyez toujours entouré par les membres de la famille et les autres; essayez de ne pas être seul, sauf si nécessaire. Ne dormez pas seul dans votre chambre et évitez d'avoir une télévision ou Internet.
 
 Évitez la mauvaise compagnie et efforcez-vous de rester parmi les pieux et les vertueux, allez à la mosquée et profitez autant que possible de la présence des 'Ulama.

 Rapide autant que possible et généralement manger moins, en particulier les aliments qui peuvent stimuler votre désir sexuel comme la viande et les produits laitiers.
 
Demandez continuellement à Allah, surtout après les prières obligatoires (Fard), qu'il vous délivrera de cette habitude.

S'impliquer davantage dans les actes d'adoration, tels que la récitation du Coran, le Dhikr et les invocations de bénédictions sur le Prophète saws.gif (Salawat).
 
 Pense au mariage. Les juristes (fuqahâ) affirment que si l'on est submergé par le désir sexuel dans la mesure où l'on craint de commettre un péché, le mariage devient alors obligatoire. Parlez à vos parents et commencez à chercher un conjoint convenable avec lequel vous pouvez satisfaire vos désirs de façon légale (Halal).

 

Ne regardez pas la télévision, même pour regarder des nouvelles ou des sports. Évitez de surfer sur Internet si vous n'en avez pas besoin, surtout lorsque vous êtes seul. Si vous le devez, essayez d'utiliser Internet dans un lieu public ou lorsque les membres de votre famille sont autour de vous. En particulier, évitez YouTube et d'autres sites du même type où il y a un plus grand risque de voir quelque chose haram. 

 Soyez toujours entouré par les membres de la famille et les autres; essayez de ne pas être seul, sauf si nécessaire. Ne dormez pas seul dans votre chambre et évitez d'avoir une télévision ou Internet.
 
 Évitez la mauvaise compagnie et efforcez-vous de rester parmi les pieux et les vertueux, allez à la mosquée et profitez autant que possible de la présence des 'Ulama.

 Rapide autant que possible et généralement manger moins, en particulier les aliments qui peuvent stimuler votre désir sexuel comme la viande et les produits laitiers.
 
Demandez continuellement à Allah, surtout après les prières obligatoires (Fard), qu'il vous délivrera de cette habitude.

S'impliquer davantage dans les actes d'adoration, tels que la récitation du Coran, le Dhikr et les invocations de bénédictions sur le Prophète saws.gif (Salawat).
 
 Pense au mariage. Les juristes (fuqahâ) affirment que si l'on est submergé par le désir sexuel dans la mesure où l'on craint de commettre un péché, le mariage devient alors obligatoire. Parlez à vos parents et commencez à chercher un conjoint convenable avec lequel vous pouvez satisfaire vos désirs de façon légale (Halal).

 

LE PASTEUR LEUR DIT : Eh NON  ! ce n'est pas mieux, la sturb', chez les evangelistes Dans un article intitule "Comprendre le mystère et la signification de la masturbation" un blog evangeliste expose sa position (retrograde il faut le dire !) 

 

Understanding The Mystery And Meaning Of MasturbationMasturbating is an act of having sex with demons.

 Une victime se masturbe habituellement dans cet acte terrible à l'aide d'un ami, magazine érotique, vidéo porno, des images, un programme de télévision ou une voix démoniaque diabolique. Se masturber est un acte de souillure de soi-même par lequel diverses sortes de malédictions spirituelles sont injectées dans la victime. La masturbation donne racine aux problèmes démoniaques et ouvre la porte de la fondation à la stagnation et à l'échec avec des conséquences spirituelles et physiques sérieuses et une attaque contre son destin.

Bien que la victime puisse avoir tendance à appliquer l'idéologie humaine et le principe de la volonté de soi pour rompre, mais après plusieurs jours, mois ou années, l'envie de se masturber peut refaire surface. C'est parce que, l'ancien démon impliqué dans cet horrible désordre ne peut pas simplement quitter ou abandonner sa victime. Il continuera à venir et à demander plus de plaisir en raison de l'affectation projetée de la REINE HORTENSE COMME DISAIT RIMBAUD
   ¤

 

Par DOLU - Publié dans : LUTTES HISTOIRE & REVOLTES DES GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 5 février 1 05 /02 /Fév 07:43

  Frédéric. CHOPIN : Des amitiés si particulières …  

du fait de la malédiction qui s'est acharnée et s'acharne encore contre les homos, historiens et  biographes sont à la remorque des "fouille-merde", fouisseurs de correspondances privées et autres renverseurs de poubelles de célébrités.

Publié le 29 Novembre 2014

 Frédéric. CHOPIN : Des amitiés si particulières …

« C’est en vain, je le sais, que je t’aime. Pourtant je voudrais que tu m’aimes toujours davantage.»

En manière de devinette, on pourrait s’interroger sur l’auteur (ou l’auteure) de ces quelques mots empreints d’une extrême passion.

Et surtout déterminer l’identité de ceux ou celles à qui ils s’adressent.

De la même façon, sur cette autre déclaration, au demeurant sans ambiguïté, quant aux sentiments amoureux de celui (ou celle) qui les écrits :

« Je raconte au piano ce qu’il m’arrive de te confier. Mon véritable amour est malheureusement impossible à déclarer ; je t’aime à la folie, j’aimerais te dorloter et l’être par toi. Reçois mes plus sincères étreintes, car je n’ai que toi. »

Eh oui, ces véritables et touchantes déclarations d’amour émanent bien de celui dont le répertoire figure aujourd’hui au Panthéon de la musique mondiale aux côtés des plus grands et étonnamment ne sont pas destinées à une personne du sexe opposé comme le chantait à sa façon singulière Guy Béart.

ANTIPATHIQUE MANTE RELIGIEUSE

Pour Frédéric Chopin – car c’est de lui dont il est question - ce n’est pas encore la période Georges Sand dont on comprendra vite que cette « antipathique mante religieuse » comme on la qualifiait, fumant le cigare et d’apparence masculine, n’était en aucun cas en mesure de séduire le délicat Chopin. Et pour cause !

CONSTANCE :

 Alors que Frédéric commence de s’installer au sommet de son art et en retire honneurs et avantages multiples, sa rencontre avec la cantatrice Constance Gladkowska aurait pu être un déclencheur sentimental justifié au vu de l’aura et de la beauté juvénile de la jeune artiste en plein épanouissement de son art.          

A ce titre, Constance est pour Chopin une source d’inspiration. Mais pour ce qui est du grand amour, c’est une autre histoire. Tout comme le fait d’avoir dédicacé bon nombre d’œuvres à des personnalités féminines.

En filigrane, Chopin porte ailleurs ses désirs secrets.

Son étude N°12 en Ut mineur tout comme l’Impromptu Opus 29 témoignent certes et admirablement de l’inspiration provoquée par Constance tout en réservant la meilleure part de ces bijoux musicaux pour quelqu’un d’autre:

« Je confie à mon piano ce que je voudrais confier à toi seul. Je t’aime. »

TYTUS WOJCIECHOWSKI :

En filigrane de cette confidence, ce n’est pas de Constance dont il s’agit mais bien de Tytus, le beau et ténébreux Tytus, le véritable et cher ami !

INTOLERANCE HOMOPHOBE :

Certains observateurs et historiens pour quelques uns chatouillés par le démon insupportable de l’homophobie s’emploient à surfer sur la vague de ce qu’ils estiment constituer le seul et véritable sentiment amoureux, celui qui, selon eux, ne peut se manifester qu’entre deux personnes de sexe opposé.

            ll n’était pas de bon ton d’afficher ses préférences sexuelles surtout homosexuelles … depuis, les mentalités ont à peine évolué mais certains pays condamnent encore, conduits par une hypocrisie, une imbécillité manifeste et ce qui est plus grave, une intolérance sans réserve.

Dans une de ses correspondances Frédéric Chopin donnait la mesure de cette discrétion volontaire dictée par des valeurs héritées de son milieu familial. Sans compter avec la notion de « qu'en dira t-on » qui a traversé les siècles et n’a pas fini de le faire :

« Il faut être prudent et respecter le manteau des sentiments cachés. » recommandait Frédéric à Tytus.

Au-delà d’une amitié qui n’était pas banale que faut-il encore pour justifier un amour considéré – allez donc savoir pourquoi - comme interdit ?

Au lycée de Varsovie, l’adolescent s’était déjà nourri, sinon délecté, de l’amitié pour le moins équivoque de deux de ses amis à la beauté insolente :

Le fameux Tytus Wojciechowski , bien sûr, qu’il préfèrera d’ailleurs à Jan Matuszinski auquel il enverra quand même ces quelques mots qui ne sont pas sans trahir ses penchants :

« Mon âme, mon chéri, mon Jeannot bien-aimé, je te baise cordialement la bouche. Aime moi, mon bien-aimé, tends tes lèvres à ton ami. Je n’aime que toi, donne-moi ta bouche. »

 CHOPINETTE COMME AVEC UNE VIERGE

Manifestement, les deux beaux garçons jouent simultanément de leurs charmes pour séduire le jeune et sensible Frédéric qui, musicalement, a rendez-vous avec un succès grandissant sur les scènes internationales. [cela a-t-il freine les ardeurs homo de Chopin ?]

La séquence Georges Sand qui ne fut pas un long fleuve d’amour tranquille est cependant engagée :

George Sand dont Chopin lui-même posait la question de savoir si c’était bien une femme.

Un personnage maternel et protecteur sur lequel Balzac, qui la connaissait bien, confiait :

« Qu’elle n’était pas aimable, condamnant le mariage et l’amour tout en étant une artiste généreuse, dévouée et Chaste.»

George Sand qui ajoutera à son dépit en révélant de façon fort désagréable combien Chopin avait de la répugnance pour le corps féminin.

En rajoutant plus tard une couche au terme de la présence de Chopin à ses côtés et notamment dans le cadre du château de Nohant qui fut toutefois pour le musicien un lieu de paix et d’inspiration en déclarant spontanément:

« Il y a sept ans que je vis avec Chopette comme avec une vierge ! ».

COMING-OUT

Ceux qui, à tort ou à raison, ont à dessein occulté la personnalité  particulière de Chopin en lui attribuant des relations féminines de circonstance ont peut-être, volontairement ou pas, cédé à la facilité. Ils ont aussi et peut-être considéré qu’un tel génie ne pouvait pas endosser une pareille réputation alors qu’un décryptage de sa correspondance aurait en partie forcé le mystère.

C’était faire l’impasse sur d’autres génies, et non des moindres, qui sans pour autant faire leur « coming-out », comme cela se pratique aujourd’hui et qui avaient en leur temps éprouvé une irrépressible attirance pour les personnes du même sexe.

Un état qui ne retirait rien à son génie et qui sait peut-être même pourrait l’expliquer.

Frédéric Chopin avait cependant pleine conscience de la protection obligée de ses relations particulières lorsqu’il confessait à son ami     Tytus Wojciechowski :

« Tytus, mon chéri, je cache tes lettres comme le ruban d’une amante. Ecris-moi et nous nous dorloterons de nouveau dans une semaine. » ¤

Bernard VADON

Dans son livre « Un amour impossible » chez Michel Lafon, Eve Ruggieri, sur la foi de trois volumes de correspondance, conforte cette analyse d’un Chopin qui n’était pas le moins du monde attiré par les femmes. En tout cas sur le plan physique. Ce qui, bien entendu, met à mal la thèse de ses amours passionnés notamment avec Georges Sand qui en réalité ne fit office que de maman- infirmière et attentionnée pour son hôte illustre.

 Frédéric. CHOPIN : Des amitiés si particulières …  Frédéric. CHOPIN : Des amitiés si particulières …
 Frédéric. CHOPIN : Des amitiés si particulières …  Frédéric. CHOPIN : Des amitiés si particulières …
 Frédéric. CHOPIN : Des amitiés si particulières …  Frédéric. CHOPIN : Des amitiés si particulières …

Rédigé par Bernard Vadon

 

Par BERNARD VADON - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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