Mardi 6 février 2 06 /02 /Fév 17:32

  la stratégie d'un choix ouvert pour déterminer quelqu'un qui ne se décide pas ....essaye tu verras !  

dadpigslut: “slaveexchangenola: “ Kyle had always hated his cousin. Lucas had always been a bully and had made Kyle’s life miserable from a very early age. Every time Kyle heard his aunt and uncle were coming for the weekend, he would find ways to...

     si tu te la prends aujourd'hui je te jure que je t'embêterai plus jamais !

     OBTENIR LE CONSENTEMENT  Kyle avait toujours détesté son cousin. Lucas avait toujours été un tyran et lui avait pourri la vie dès son plus jeune âge. Chaque fois que Kyle entendait que sa tante et son oncle projetaient de venir pour le week-end, il trouvait des moyens de sortir de la maison pour se libérer de la torture de Lucas. Cela faisait quatre ans la dernière fois qu'il avait dû réellement vivre dans la même maison que Lucas. Maintenant c'était différent, il aurait dû pouvoir mais ses parents ne l'autorisaient tout simplement pas.


Étant beaucoup plus âgé que la dernière fois qu'ils s'étaient rencontrés, Lucas avait découvert les joies de sa queue et de la bouche et des culs d'un autre garçon. Il a également découvert qu'il aimait le sexe quand l'autre garçon qu'il forçait n'avait pas le choix.
 

Quand les parents furent tous partis pour une nuit en ville, Lucas se glissa dans la chambre de son cousin. Tombant sur Kyle, il le maintaint et lui mit la main sur la bouche. "Ne crois pas que tu vas m'échapper cette fois," dit Lucas d'une voix sensiblement plus autoritaire et menaçante que Kyle l'attendait. Lucas commença à se tourner hanches contre fesses du garçon. "J'ai trouvé de nouveaux jeux pour nous", a déclaré Lucas. "Laisse-moi te dire comment ça marche. Je vais baisser ton pantalon et je vais fourrer ma queue si loin dans ton cul que tu la sentiras frapper tes amygdales. Le jeu consiste à savoir combien de fois tu pourras répéter "ça me plaît" avant que je ne t'oblige à commencer à me supplier d'arrêter. Juste pour que ce soit plus intéressant, si tu peux supporter de le faire jusqu'à ce que je te largue ma charge au fond de ton trou, je te promets de ne plus jamais essayer de te baiser. Mais si tu n'y arrives pas, je te baiserai au moins trois fois avant de partir. Par ce moyen d'un soi disant choix, Lucas s'était assuré du consentement de Kyle car ce dernier, sans se méfier hocha la tête pour indiquer, ok,  qu'il tiendrait. Il sentit Lucas, de ses mains,faire glisser son pantalon  et, comme Kyle avait accepté, attirer les hanches du garçon les fesses exposées à la bite dure de Lucas.


Kyle fit de son mieux pour réprimer le cri qui montait dans sa gorge alors que la queue du grand se frayait un chemin dans son cul vierge. Lucas savait parfaitement qu'il faisait mal au garçon. Il sourit simplement alors qu'il poussait sa bite plus loin dans le jeune garçon alors que ce dernier retenait ses larmes. "Viens sur la bite, ça ne te fera pas mal. Pas encore, attends. Kyle essaya de supporter son viol de son mieux, mais il aurait dû savoir mieux le faire...et, sur un coup de reins plus violent, il hurla. LE PACTE DU SILENCE ETAIT ROMPU.  Lucas était un sadique. Il n'y avait eu aucun moyen pour Kyle de passer cette première fois sans montrer sa douleur, et, même s'il y avait réussi, Lucas n'aurait jamais tenu sa promesse et ainsi il y passa encore trois fois pendant le séjour de Lucas et plusieurs fois à chaque nouvelle visite. Mais vous savez ce que disent les psy : le plaisir naît de la répétition. Ainsi malgré lui il y prit gôut et son orientation sexuelle en fut changée alors que Lucas continua longtemps à se persuader qu'il lui faisait mal. Un mal pour un bien : Lucas ne pouvait savoir à quel point il donnait du plaisir à son cousin. Et il valait mieux qu'il ne le sût pas  car le sadique Lucas n'aurait pas apprécié de plaire....

 


commentaire :

Mon cher Claudio, Jonas a bien raison avec cette histoire de CHOIX OUVERT  et je l'ai fait plusieurs fois :  dans mon sac j'ai toujours plusieurs godes differents les uns des autres. Quand, sur la drague ou ailleurs,  je veux goder quelqu'un d'hésitant, indécis à se faire goder voire enculer, je lui en montre trois : un gros, un moyen, un petit. Je les lui fais palper, en  éprouver la texture, la souplesse, la douceur au toucher etc...et je lui dis : "lequel des trois choisis-tu ? "   Ne vous étonnez pas qu'il en garde un en main pour que vous le lui mettiez. Ne vous étonnez pas non plus qu'il ait retenu le plus petit,surtout s'il ne l'a jamais fait...et c'est GAGNE ! Si vous ne lui aviez pas donné ce choix il aurait continué dans son entêtement à ne pas vouloir être pénétré.

  Image associée  Soyez content de ce succès !  Il est loin d'être dit qu'après il ne voudra pas en essayer un autre et, qui sait, votre bite !  (amicalement herald et merci pour ton blog si excitant ! )   

 

 

Mets-toi debout, maintenant, je voudrais te goûter.

Claude m’aide un peu brusquement à me lever et me voilà debout face à lui.

 

  • — Déshabille-toi ! me dit-il sèchement, tout en attrapant son verre de vin.

 

J’enlève donc doucement mes quelques vêtements. Il me dévore des yeux. J’ai cette sensation bizarre de n’être pas plus qu’un morceau de viande à ses yeux, c’est embarrassant mais très excitant à la fois. Me voilà nu comme un ver face à mon dominateur. Il ne me regarde pas en parlant :

 

  • — En voilà une jolie bite, et tu bandes déjà, mon salaud ! Je savais que tu aimerais me sucer. À moi, maintenant.

 

Claude pose son verre, se met à genoux face à moi et gobe ma queue d’un seul coup. Il suce vraiment très bien, je gémis déjà sous ses coups de langue, mon plaisir monte très vite, la fellation continue un peu et je ne tarde pas à exploser. Claude s’est dégagé juste avant et me fait éjaculer dans sa main. Mon sperme fourni en abondance coule entre ses doigts, mais il en garde un maximum dans le creux de son immense main.

 

  • — Tu as bien fait de juter autant, ça va pouvoir me servir de lubrifiant, me dit-il en souriant.
  • — Comment ça ?
  • — Eh bien pour te baiser, bien sûr !
  • — Je pensais attendre le retour de Marc pour aller plus loin ! En fait, on en a déjà fait beaucoup, là.
  • — Ecoute, dans tous les cas, je vais te baiser ce soir, avec Marc. Je veux t’essayer avant, pour connaître un peu ton corps et tes réactions. Tu dois être gentil avec moi et je n’aime pas qu’on me dise non. Alors va dans la chambre et attends. Je prends une capote et j’arrive.

 

Claude est très directif. Comme l’objet sexuel qu’il m’a fait devenir en si peu de temps, je fais ce qu’il me dit ou plutôt m’ordonne.

Je suis assis sur le lit, quand Claude arrive, complètement nu, une petite sacoche à la main.

 

  • — C’est toutes tes capotes, ça ?
  • — Tais-toi ! Pourquoi es-tu assis ? Mets-toi à quatre pattes tout de suite, montre-moi ton trou de balle.

 

Je m’exécute dans le plus grand silence, j’espère qu’il ne sera pas trop brutal, quand même, mon petit cul a besoin de douceur aussi.

Claude me regarde en cette position de totale soumission. Il a toujours mon sperme dans la main. À l’aide de deux doigts, il en étale sur mon anus. Très vite un doigt me pénètre, puis un deuxième. J’ai affaire à un expert, mon trou est bien lubrifié, dilaté progressivement et j’ai déjà envie d’y sentir cette belle bite noire, même si sa largeur me fait un peu peur.

Claude se penche au-dessus de moi, en enfonçant ses doigts bien au fond de mon cul.

 

  • — Ça y est, ma chérie, tu es prête à me recevoir, me dit-il à l’oreille.

 

Je suis comme une poupée gonflable pour lui. À aucun moment il ne se soucie de mon avis, il me baise comme il en a envie et je dois me laisser faire.

Claude se redresse, sort ses doigts de mon intimité et attrape une capote. Je reste là, le visage contre le lit, les bras le long du corps, de mon anus coule mon propre sperme. Je me sens flotter, comme dans un monde parallèle. J’attends mon sort, les fesses en l’air, pendant que Claude enfile une capote.

 

  • — Vas-y doucement, lui dis-je.
  • — Non, je ferai comme j’ai envie et tu vas aimer ça, c’est compris ?

 

Je ne réponds pas et m’attends à le recevoir brutalement, d’un instant à l’autre. À ma grande surprise, Claude s’approche assez doucement de moi, pose son gland sur mon trou et le rentre lentement par mon anus. Je suis un peu soulagé, le gland me paraît énorme, mais il arrive à entrer complètement, sans vraie douleur. Mon plaisir monte doucement. Quand Claude pousse d’un coup sec sa queue dans mes entrailles, j’en ai le souffle coupé. En moi jusqu’à la garde, il commence des va-et-vient de plus en plus prononcés. Que c’est bon ! Sa bite énorme me remplit complètement, ses testicules battent les miens en rythme et je hurle mon plaisir à chaque coup de reins.

 

Claude me tient fermement par les hanches. Je n’en peux plus, je me redresse sur mes bras pour sentir encore mieux sa bite, quand il m’attrape les cheveux et me tire en arrière contre lui. Mes bras ne touchent plus le lit, Claude passe son autre main sous mon ventre pour me maintenir dans cette position. Sa bouche est maintenant contre mon oreille.

 

  • — T’es vraiment un bon coup, toi. Là, c’est juste pour t’essayer, mais tu vas voir ce soir, ce que je vais lui mettre, à ton joli petit cul.

 

Je suis une poupée de chiffons entre ses mains, il me place comme il veut ; car en plus d’être plus grand et plus fort que moi, sa bite ancrée au plus profond de moi me soumet totalement au plaisir qui m’envahit. La main sur mon ventre descend sur ma queue prête à exploser et la branle vigoureusement. J’éjacule sur le lit et sur la main de Claude. Il l’essuie sur ma bouche pour se nettoyer.

 

  • — Tiens, goûte ton sperme, petit cochon, il est bon, hein ? Bon, tu vas goûter le mien et j’en aurais fini avec toi.

 

Claude se retire et me pousse dédaigneusement sur le lit. Je me relève pour m’asseoir. Je vois Claude se branler. Il place sa queue juste devant ma bouche en s’astiquant de plus en plus. Je lui lance un regard implorant et ouvre timidement la bouche. Une giclée de sperme me recouvre presque la moitié du visage, Claude tient ma tête d’une main et plonge sa queue dans ma bouche pour y déverser le reste de sa semence, dans un grognement. Ma bouche est remplie, je ne réfléchis pas trop et avale ce sperme tout chaud, pour pouvoir aisément nettoyer cette bite gluante et source d’autant de plaisir.

 

Je suis encore en train de sucer Claude, quand on entend la porte d’entrée s’ouvrir. Marc est de retour.

 

 

 

Par JONAS - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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