Mardi 6 février
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16:41
Oui, ma vedette, c'est toujours toi. Pour te dire que je t'aime, rien à faire, je flanche: J'ai du cœur mais pas d'estomac.
C'est pourquoi je prends ma revanche. Sur l'écran noir de mes nuits blanches... (Claude Nougaro)
Je pourrais dire de la façon dont mon oncle Matt me regardait pendant tout le dîner qu'il
voulait me baiser. Lui et tante Karen rendaient visite à leur fils de six ans, Trevor. J'avais le béguin pour le gars depuis que j'étais très jeune. Cependant, l'oncle Matt avait une énorme bite effrayante. Je l'ai vue une fois quand nous étions en train de changer nos maillots de bain quand j'étais petit.
-"Chérie, pourquoi ne t'assieds-tu pas avec maman pendant un
moment," dit l'oncle Matt en tendant Trevor à tante Karen. "Brandon a dit qu'il voulait me montrer ses trophées de
football. Pas vrai, Brandon?
Devant ce mensonge qui faisait appel à ma tacite complicité,
mon cœur se mit à tambouriner dans ma poitrine, avec toutes les difficultés du monde pour parler, j'eus soudain la bouche sèche comme le sable du désert,
je répondis :"Ok, oncle Matt !"
Sans que nous ayons JAMAIS rien échangé sur ce sujet -le sujet de mon viol consenti- programmé sûrement dans nos têtes, nous savions tous deux ce qui allait se
passer.
Dès que nous sommes entrés dans ma
chambre, en quelques secondes l'oncle Matt jaillit hors de ses vêtements et il m'arracha au sol.
"Nous n'avons pas longtemps", dit-il.
En l'espace de quelques instants, oncle Matt s poussait sa queue lisse en moi.
Je ne sais pas quand il l'avait lubrifiée, mais il devait avoir pommadé
sa queue pour pouvoir rentrer son monstre à l'intérieur de moi. Il a poussé fort, couvrant ma bouche de sa grande
paume.
"Prends-la, gamin," murmura-t-il d'une voix rauque. "Détends-toi et prends-la. Je sais
que tu la veux. Depuis toujours ! "
Il m'a biflé dur sur mon petit cul ferme et a EN MEME TEMPS -lol-pressé plus fort. Dieu merci, sa main
était sur ma bouche, sinon tout le monde m'aurait entendu crier. Il m'a fallu une minute , mais, plein de savoir-faire, mon oncle m'a laissé
m'habituer à son énorme bite en moi.
"Ok, gamin, accroche-toi," grogna-t-il.
L'oncle Matt a commencé à me baiser plus intensément, enfonçant sa bite tout au
fond de moi. Je jure que je pensais m'évanouir. Nos corps étaient couverts de sueur alors que nous nous empressions de donner tout son sens à cette
première rencontre dans ma chambre. Parlons de MOI : J'étais, après des douleurs semlables
à celles de l'enfantement, j'étais... sur un nuage! J'avais en moi ce que -je crois- j'avais toujours voulu.
Parlons
de LUI : J'entendais mon oncle respirer profondément et
je savais qu'il était sur le point de jouir en moi. De toutes façons nous ne disposions d'aucun temps et j'avais peur que, de manière condescendante ma tante vînt nous rejoindre pour admirer "mes
trophées de football" (ce dont je me
foutais, là !)-lol-.
"Oh ... oh putain ..." dit-il, s'effondrant pratiquement sur moi alors
qu'il remplissait mon rectum de son sperme aussi chéri pour moi que sa bite.
Il décula rapidement et attrapa une serviette pour s'essuyer.
Il se remit rapidement dans ses vêtements et fonça
directement en bas avant que quiconque puisse soupçonner ce que nous faisions. Je me suis allongé dans mon lit et je me suis bricolé, pensant à quand nous
nous retrouverions dans un scénario de moindre urgence.
jungle :
Cher Oncle Matt...et si on....
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