Jeudi 15 février 4 15 /02 /Fév 14:13

Rod Jackson, son ex, frappa à la porte. Bob Paris invite alors Rod à prendre un verre...

    1.Bob Paris était assis dans son appartement quand la sonnette  retentit. Il ouvrit la porte et resta bouche bée devant ce qu' il voyait ... Rod Jackson, son ancien petit ami, son "EX". Rod avait travailléson corps  et les résultats étaient tangibles. Bob est immédiatement impressionné par le physique de Rod. Rod sourit et demande si Bob est seul à quoi Bob répond oui. Bob Paris invite alors Rod à prendre un verre et à découvrir ce qui est nouveau dans sa vie. Mais ce qui était nouveau c'était que les démons l'avaient pris : Image associée 

 

Bob avait un passé d'athlète pacifique

    Image associée  ->Image associée un bel ange 

 

Alors que Bob fermait la porte et se retournait, il fut surpris de voir Rod se déshabiller et se retrouver en speedo rouge et en bottes de lutte : une ridicule tenue de catcheur. Rod prit alors une pose de lutteur mettant en valeur ses muscles. Bob était impressionné. Sans cesser de fixer Bob dans les yeux Rod s'est dirigé vers lui jusqu'à se trouver nez à nez avec Bob qui semblait être hypnotisé par le physique de Rod et c'est alors que tout l'enfer se déchaîna.
   
Image associée surpris, certes !
Sans avertir, Rod décocha une droite sur le menton de Bob qui s'écroula sur le sol et, surpris, anéanti, le regard brouillé se mit à considérer son ancien amant avec une douleur à la fois physique et morale. Soudain tombé sous le pouvoir de Rod il ne savait vraiment pas pourquoi il venait d'être frappé. Alors qu'il se relevait, Rod devança ses questions : Rod lui dit dans un grondement sourd qu'il avait travaillé avec un de ses amis lutteurs et qu'il allait montrer à Bob qu'il n'était rien d'autre qu'un raté. Bob Paris était stupéfait mais il n'était pas pressé ... si Rod voulait se battre, il se battrait. Après tout, dans leur relation précédente, Bob avait toujours été le plus fort des deux et il allait rapidement le rappeler à Rod.

Ils commencèrent à se tourner autour en cercle, cherchant tous les deux une ouverture. Sans avertissement, Rod plaqua Bob à genoux en repliant les puissantes jambes de l'ancien M. Univers sous lui. Rod chevaucha Bob et verrouilla ses bras sur le sol avec ses genoux. Puis Rod a commencé à frapper les pecs de Bob avec coup après coup. Les premiers coups firent peu de dégâts mais après un moment, les pectoraux de Bob commencèrent à se ramollir. Bob réalisa que ce combat allait être plus difficile, puis il se demanda avec qui Rod s'était entraîné. Bob fut ramené à la réalité quand il a senti sa chemise arrachée. Bob utilisa toute sa force et attira Rod sur lui , et comme il se levait, il enleva complètement les derniers restes de sa chemise déchirée.

Rod le regarda et sourit d'un sourire diabolique qui fit frissonner Bob. Bob a décidé d'aller à l'offensive et de donner une leçon à ce punk. Il chargea Rod, mais Rod était prêt et utilisa le propre élan de Bob pour claquer sa tête contre le mur. Bob sentit le mur craquer et s'effondra sur le sol à quatre pattes. Rod chevaucha le dos de Bob et utilisa la propre chemise déchirée de Bob pour l'étrangler. Bob sentit le resserrement 
autour de sa gorge alors que Rod utilisait la chemise comme une laisse et forçait Bob à se relever. Il a conduit Bob au milieu de la pièce et là Bob a commencé à paniquer. Il commença à craindre que Rod l'étouffe et puis Dieu sait quoi. Rod se pencha près de l'oreille de Bob et murmura qu'avant que ce soit fini, Bob demanderait grâce. Une fois de plus, Bob utilisa sa force pour déstabiliser Rod et le forcer à relâcher sa prise. A demi étranglé, Bob essaya de reprendre son souffle et de monter une attaque.

Bob eut l'ouverture dont il avait besoin 
Rod .surpris que Bob fut toujours capable de se défendre.  Mais le combat était sans merci. Il lança un coup de poing sur Rod qui le projeta  contre le mur. Sans attendre, il souleva son genou et enfonça la tête de Rod jusqu'à ce qu'il commence à voir du sang dégouliner du nez et du front de Rod. À ce moment, Rod était stupéfait et quelque peu sans défense. Bob, quant à lui, était encore sous le coup de l'assaut précédent de Rod, mais chargé de l'adrénaline qui lui traversait le corps. Il était furieux que Rod l'ait attaqué sans avertissement. Il avait l'intention de s'assurer que lorsque Rod partirait, ce serait en ambulance!

 
Quand Bob se tourna vers Rod, il vit que Rod était à quatre pattes, visiblement encore sous l'effet de l'attaque que Bob venait de lui infliger. Bob s'approcha de Rod avec l'intention de lui donner un classique coup de jambe sur la nuque. Alors que Bob descendait sa jambe, Rod s'éloigna au tout dernier moment. Bob fut stupéfait, mais il se remit debout juste à temps pour se faire coiffer par l'avant-bras de Rod. Bob, de nouveau plaqué au sol fut le destinataire d'une jambe vicieuse tombée sur sa tête. La jambe massive de Rod se resserra sur le visage de Bob jusqu'à ce que celui-ci arrête de bouger. Bob était plus qu'abasourdi, il était sur le point de s'évanouir. Rod avait cependant d'autres projets et saloperies pour son ancien petit ami.

Soudain 
Rod arracha les jeans de Bob, laissant Bob vêtu seulement de son Calvin Klein. Bob haletait, gémissant de douleur sur le sol. Il était complètement sans défense et, au nom de leurs amours passées supplia Rod d'avoir pitié de lui. Rod a juste souri ... la pitié n'était pas dans ses projets pour Bob. Il est dans les projets  de tout combattant d'anéantir la résistance de l'adversaire. Rod attrapa Bob par les cheveux et le tira jusqu'à ses genoux et attrapa les pectoraux de Bob dans ses mains et commença à serrer. La douleur ramena complètement Bob à la réalité et à un nouveau niveau de douleur. Les cris de Bob exprimaient ce qui se passait, et sur le visage de Bob on pouvait lire come une carte de douleur meurtrie. Après quelques minutes de torture donna quelques coups de poing aux bijoux de famille de Bob. Les hurlements de douleur de Bob étaient bruyants et pitoyables. Puis Rod a commencé à utiliser Bob comme sac de boxe jusqu'à ce qu'il n'y ait aucune partie du haut du corps de Bob qui ne présentât pas d'enflure, d'ecchymoses ou les deux.
 

Bob ne pouvait pas croire que cela se produisait, comment Rod aurait-il pu devenir si fort et méchant depuis qu'il l'avait vu pour la dernière fois ? Rod a ensuite étendu Bob sur le sol et a tendu son bras gauche jusqu'à ce qu'il soit perpendiculaire à son torse. Il martela de son genou le biceps de son ex jusqu'à pouvoir s'assurer que c'était inutile. Définitivement vaincu Bob demandait grâce : il n'en pouvait plus. Bob râlait et essayait de ramener son bras à son corps mais il était complètement engourdi et inutile. Rod fit alors la même chose à son bras droit en MEME TEMPS QUE  Bob émettait des gargouillis inintelligibles. Bob fut ensuite  retourné sur le ventre, Rod souleva ses jambes et les  écarta. Les yeux de Bob s'élargirent de peur et Rod commença à écraser ses couilles avec son pied. Le cri aigu de Bob en disait assez long sur son immense souffrance. s'est Alors fatigué d'abuser des boules de son ancien ami, Rod  a ensuite décidé de passer à un nouveau territoire. Il a traîné Bob dans le couloir où Bob avait installé un bar assez haut près de la porte de sa chambre.

 
Bob a été ligoté au bar et pendait au meuble, impuissant. Rod s'approcha et commença à marteler Bob jusqu'à ce que Bob fut visiblement inconscient. Bob était dans un désordre complet, ensanglanté et meurtri, tel un morceau de viande, il n'avait plus rien de la superstar que la plupart des gens connaissaient. Rod regarda le résultat de son bricolage et sourit ... il avait accompli ce qu'il voulait et attendait que Bob reprenne conscience.

 
Bob s'est réveillé et s'est rendu compte qu'il était ligoté et impuissant. Sa force avait disparu et il était sûr que quelques dents lui manquaient aussi. Alors que de ses yeux il parcourait son propre appartement il arrêta son regard sur Rod. Rod s'approcha de lui et sourit, le saisit par les cheveux le forçant à le regarder dans les yeux. Lui parlant dans le nez il lui dit que son entraîneur de catch allait passer et faire quelques tours avec Bob. La porte s'ouvrit et Bob ne put croire de qui il s'agissait.  C'était KARIM qui entrait, regarda Bob et, sans rien dire, sourit. Le "Playtime"2ème round venait de commencer ...
...QUAND ON ARRIVE EN VILLE l'arrivée des Zonards ou "les méchants ne sont pas ceux qu'on croit..."LE MAL(e) QUI FAIT DU BIEN :  
cover youtube

 

être heureux avant d'ê't vieux !
 
 2. UNE "HAPPY  END EN VUE " 

 

      Et là c'est Bob qui raconte :

                       KARIM ? je le connaissais vaguement...je ne savais rien de lui. Ni même qu'il entraînait Rod. Mais entraîner à quoi, à être méchant sans raison ?
Rod avait l'air de sous-entendre qu'avec Karim ce serait pire que ce que j'avais enduré. Je me voyais mort, coupé en menus morceaux. De fait je ne valais guère mieux vu l'état où Rod m'avait laissé. 

  Rod  s'éclipsa, Karim s'avança. Il me releva et me porta plus qu'il me traîna à la salle de bains. J'étais resté nu. Il me lava et me sécha puis soigna mes ecchymoses avec un baume apaisant. Dans ses bras je gémissais doucement, tantôt de plaisir et reconnaissance tantôt à cause du réveil de mes douleurs.

 

Karim adoptait la méthode des interrogatoires des policiers : après un violent arrive un gentil qui, par sympathie, faiblesse vous arrache vos aveux. Karim me cachait quelque chose, sûrement la suite du plan que Rod lui avait demandé pour se venger de sa passivité et soummission (à moi) passées. Karim n'était pas venu seul mais avait emmené avec lui un commando punitif de six beurs de ses copains dont je craignis la violence. Mais je me trompais. Il prit sa voix la plus douce pour m'annoncer :   

"T'as le choix," me dit tranquillement Karim. "Tu te laisses faire, on te baise et tu suces tant que nous n'aurons pas les couilles vides et après on s'en va sans te tabasser, sinon on te cogne, éventuellement on te découpe un peu; tiens on pourrait te circoncire !" Et il m'attrapa la bite par le bout, tira la peau qui recouvrait mon prépuce, sortit son couteau et le posa sur ma peau. "Alors, on coupe?" me demanda-t-il. "Non!" dis-je de ma voix faible. "Je ferai ce que vous voulez." "Voilà qui est raisonnable," dit Karim. "Car consentant ou non on t'aurait toujours tiré. Allez à quatre pattes!" me dit-il. Allez comprendre, mon corps réagissait à une  douceur relative qui contrastait avec la maltraitance qui précédait et je bandais.[Je ressentais là un besoin d'affection, de tendresse incommensurables]

"Rod veut que quand on te quittera tu sois devenu une vraie salope soumise". "Je suis un mec sympa," me dit Karim. "Je suis sûr que tu vas aimer sucer ma grosse queue pour commencer et tout ce qu'on va te faire et quand je l'aurai encore plus raide, je te défonce le cul." Rachid qui me regardait dit à Karim: "Tu vas pas baiser un mec qui bande non?"[la question me parut absurde] "T'as raison Rachid." Puis s'adressant à moi il m'ordonna: "Branle-toi et vide tes couilles. D'ailleurs ça te fera du bien" ajouta-t-il.

Je m'exécutai donc. Mais je ne voulais pas être en reste et je les provoquais un peu me masturbant d'une main et me caressant de l'autre les seins et les fesses meurtris. Pendant ce temps, les six garçons s'étaient mis à l'aise. Karim et Rachid avaient débraguetté leur jeans et sorti leur bite. Karim avait la plus longue (au moins 20 cm) et assez large. Quant à Rachid elle était un peu moins longue mais très large. Comme tous les arabes, ils étaient circoncis. Les quatre autres avaient retiré le bas de leur survêtement et leur slip pour être plus à l'aise. En tout cas, ils bandaient tous et cela m'excitait beaucoup. Quelques instants plus tard [moi-même étonné] je balançais de longues giclées de foutre blanc.

Karim me poussa à ses pieds et me dit: "Suce salope!"oubliant sa "tendresse". Il retira l'élastique qui tenait mes longs cheveux et me dit: "Tiens, comme ça tu auras plus l'air d'une fille comme si c'était nécessaire : ces gars-là auraient aussi bien baisé une chèvre, un chien ou un meuble  ! ." Et mes cheveux blonds couvrirent une partie de mes épaules. La "salope" ouvrit la bouche et avala le membre chaud. L'engin de Karim sentait bon le jeune mâle et j'avais beaucoup de plaisir surtout qu'il semblait bien apprécier ma langue et mes lèvres. "Arrête!" me dit-il. "À quatre pattes, montre ton cul!" J'eus un peu peur et lui dis d'un ton demandeur et interrogatif "Vous mettez des capotes?"

Ils se mirent tous à rire et Karim me dit: "On te viole mon petit bourge, les violeurs ne mettent pas de capote, on va te remplir le cul!" et puis, plus rassurant, il ajouta: "T'inquiète pas on s'est jamais fait baiser et c'est la première fois qu'on va fourrer un mec." Je n'étais pas pour autant rassuré car ils me racontaient ce qu'ils voulaient [comment les croire"puceaux ?] , mais l'idée de me faire baiser sans capote et de ne pas avoir le choix m'excitait beaucoup. Je n'avais fait cela qu'une fois sans capote, je jour de mon dépucelage avec un mec aussi puceau que moi.

Karim se positionna derrière moi et je pensais qu'il allait m'enculer à sec et j'avais peur d'avoir très mal. Mais à ma grande surprise, il me cracha plusieurs fois dans la raie des fesses et sur la rondelle. Puis il mit un doigt puis deux pour faire entrer un peu de salive. "Tu vois on n'est pas des salauds, on veut pas t'esquinter, juste prendre un bon pied!" "Moi je t'aurais enculé à sec," dit Rachid.

Mais les bonnes manières étaient terminées et Karim s'enfonça d'un seul coup dans mon cul. Ouah! le morceau. Il me ramona vivement et je prenais un pied d'enfer avec mon cul et je me mis à bander de nouveau. Rachid passa devant moi poussa sa bite bandée dans ma bouche et me dit: "Suce, salope!" Il essayait de me la mettre au plus profond.

Karim et Rachid jouirent en même temps en criant leur plaisir. Rachid m'avait tenu par les oreilles pour me forcer à avaler. Il n'en finissait pas de jouir et j'ai failli m'étouffer. Karim lui se déversait dans mon cul et j'ai senti ses jets de foutre chaud dans mon ventre. J'étais tellement excité que je me mis à juter alors que je ne m'étais même pas touché.

Quelques instants de répit et les quatre autres qui sans doute avaient été bien excités de la scène s'approchèrent. Je dus sucer deux bites en même temps et dans mon cul les deux autres mecs se relayaient. Je ne ressentais rien que du plaisir car la taille de la bite de Karim et son foutre avaient bien préparé le terrain. En l'espace d'un quart d'heure, les couilles s'étaient vidées plusieurs fois dans ma bouche ou dans mon cul. Je ne pouvais plus compter ni savoir qui faisait qui ou quoi. J'avais mal à la mâchoire et le foutre débordait de mon cul.

Je pensais que c'était fini et qu'ils allaient partir mais Rachid et Karim s'approchèrent de moi. J'étais toujours à 4 pattes offrant mon cul à leurs désirs. Rachid me mit un doigt dans le cul et dit "Ah merde, il est plein!" et je lui dis: "Tu vois, ça sert au moins à ça les capotes." Rachid était fou de rage et me donna un coup de pied dans le ventre qui me fit tomber sur le côté. Mais Karim le retint et lui dit: "Prends pas la mouche et encule-le." Mais Rachid ne l'entendait pas comme ça et dit à Karim: "Il mérite quand même une punition, je vais le corriger," et il ajouta "qui c'est le mâle ici ?". Il me dit à "quatre pattes." Puis, je le vis défaire la ceinture de son jeans. Avec sa ceinture il me fouetta avec rage et violence. J'avais le cul en feu mais pas pour la bonne cause. Mais Karim qui était bien le chef de la bande lui dit "Arrête Rachid ça suffit."

Rachid qui s'était calmé lui obéit aussitôt. Puis il m'entraîna vers la table de bois   et me fit allonger dessus, les fesses sur le bord. "Relève les jambes," me dit-il et il m'empala d'un seul coup de sa bite bien large. Heureusement cinq bites m'avaient déjà pénétré et m'avaient bien élargi le cul et le foutre qui continuait de couler de mon trou constituait un bon lubrifiant. Rachid me baisa violemment.

Karim vint nous rejoindre et je fus surpris de le voir tranquillement retirer son jeans et son boxer. Il monta sur le banc pour se mettre à califourchon sur moi. Je comprenais maintenant pourquoi il s'était ainsi déculotté, c'était pour être plus à l'aise. Mais qu'il était beau mon violeur-en-chef  ! de belles jambes peu poilues et bien musclées. J'eus même le temps de voir ses fesses bien rondes et imberbes. Son pénis dépassait ce que j'avais imaginé...

Il s'installa donc sur ma poitrine, sa bite bandée à quelques centimètres de ma bouche,"- dis-moi si je te fais mal". [Malgré mon corps tout endolori je lui fis signe que non] je le regardais dans les yeux et passais ma langue sur mes lèvres pour l'exciter. Il ne disait rien, alors j'ouvris la bouche et il y introduisit son pénis. Je me mis à le lécher, le sucer, ma langue tournait autour de son gland. D'une main, je le branlais doucement. Je glissai mon autre main sous ses couilles. Il soupirait d'aise, mon doigt continua et atteignit son petit trou. Il me dit: "Touche pas ça!" mais il ne fit rien pour se dégager. Aussi tout en continuant à le pomper et lui caresser les couilles, j'entrai juste le bout de mon index dans son cul. Cette fois-ci, il ne dit rien et continua à râler doucement de plaisir.

Rachid continuait à me bourrer et pourtant je l'avais presque oublié alors que je jouissais du cul. Mon sexe était raide à nouveau et j'ai eu la surprise de sentir une bouche chaude et humide sur mon gland. Je me penchais un peu et vis que c'était Momo, le plus jeune des mecs qui me pompait. Il me caressait les couilles et le ventre et me branlait doucement. Je ne savais plus du tout où était mon plaisir, dans mon cul, autour de ma bite ou dans ma bouche, mais je crois que c'était le plaisir que je donnais à Karim qui m'apportait le plus de bonheur.

Et presque en même temps -lol-, ce fut l'explosion: Karim se vidait au fond de ma bouche et j'eus l'impression d'avaler des litres de foutre et que sa jouissance ne s'arrêterait pas. Je me mis à juter dans la bouche de Momo qui à ma surprise avala tout mon foutre. Enfin Rachid se mit à hurler et je sentis à nouveau dans mon cul de nombreux jets de sperme. Karim se releva après que je lui aie rendu une bite bien propre. Rachid se retira et j'eus une sensation de vide dans le cul. Je me relevai de la table et quand je fus debout, le sperme coulait sur mes jambes s'échappant de mon cul qui semblait ne plus vouloir se refermer.

Mes six "amants" se rhabillaient lentement, ils semblaient un peu fatigués. Je retrouvai mon t-shirt déchiré et mon jeans sans bouton que je renfilais moi aussi doucement. Le soleil se levait et les six beurs partirent rejoindre leur voiture sans se retourner sur moi. J'étais à la fois honteux d'avoir pris du plaisir à subir ainsi six mecs en chaleur, satisfait d'avoir tant pris mon pied et déçu de voir partir Karim sans un regard. Je m'apprêtais à aller me doucher quand je vis Karim revenir vers moi. Il s'arrêta devant moi et me dit: "Tiens, voilà ta carte d'identité, je l'avais mise dans ma poche pendant la fouille." Puis il posa un rapide et bref bisou sur mes lèvres, se retourna et partit en courant.

Je regardai ma carte d'identité. Un numéro de téléphone y était inscrit au crayon...[mon violeur-en-chef espérait que je le rappelle ! ]

C'est qu'il y a du vrai dans l'amour sans amour :

Alors je pensai à Jean Genet qui disait que celui qui encule aime celui qu'il baise ne serait-ce que quelques instants et je suis parti à pleurer mais plein d'espoir.


commentaire :       

 


NOTES & IDEES : 

 cavaillongay a traduit  http://eroticstories.menonthenet.com/index.cfm?m=article&ArticleRecId=289143 SM NON CONSENTI->"Rod s'en prit aux bijoux de famille de Bob. Ses hurlements de douleur étaient pitoyables. Puis Bob devint un "punching bag"et ne fut plus qu'enflure ou ecchymose

Un extrait de "baise par des beurs"http://www.gai-eros.org/w/index.php/Bais%C3%A9_par_des_beurs

si vous pouviez imaginer ce qu'a ete le commando contre moi avec Karim ! 

SD 

 

Je ne manquais pas d'imaginer de douces suites avec Karim

capture d'image du clip :

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le clip

 

 

 

 

Par DREARYTURN - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 14 février 3 14 /02 /Fév 23:39

 

Yaoi Animation by Resfrio

 

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Pumping cum deep inside

 

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allez les bleus !

 

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Tu es si mignon quand tu te fâches ... Mais tu dois aussi comprendre, je passais un bon moment maintenant et je dois vraiment relâcher une partie de la pression - - Voici ce que nous pouvons faire: Tu me prêtes un coup de main, mais  très vite !
  
Tu me prêtes un coup de main, mais  très vite !
Je pourrais dire qu'il était chargé. Malgre qu'il soit "pris" - et au cours de l'argumentation -sa queue était encore entièrement érigée et palpitante. Je pensais à sa suggestion plus j'y pensais. Pas moins parce qu'un certain truc me vint à l'esprit:emission

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Par QLINE - Publié dans : RELAIS - ZAPPINGS- PARTAGES photo expo - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 14 février 3 14 /02 /Fév 14:05

un plan à trois qui tourne en coup monté - un bon coup par ailleurs -c'est un grand pas de franchi : je me donne à un autre que Marc

 

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      Résultat de recherche d'images pour "gay porn let me see :gif undress" nous étions deux amis, deux minets,  et Marc et moi nous aimons.   Image associéeAvec ce qu'il me donne, je peux me considérer comme très favorisé.C'est déjà toute une histoire ! Mais les fantasmes aidant, je...

Marc et moi nous entendons très bien. On ne prétend pas être ensemble, mais nous sommes amants depuis environ trois mois et tout se passe bien. Nos relations sexuelles sont extraordinaires, nous inversons souvent nos rôles et personne ne sait qui finira dominant ou dominé. Certes, à ce petit jeu, Marc est très fort : il est mon dépuceleur et nos expériences n’ont rien de comparable, mais j’apprends vite et ne manque pas de le lui prouver dès que j’en ai l’occasion.  

 

 

Nous aimons beaucoup discuter, surtout après une nuit mouvementée. Nous parlons forcément de sexe, c’est un sujet inépuisable et j’aime tellement ça…

La discussion s’oriente tout naturellement vers nos phantasmes. Je suis allongé sur le côté, je regarde Marc en fumant ma cigarette. Je me remémore mes premiers phantasmes homos…

 

— J’aime bien m’imaginer complètement soumis à un homme, lui dis-je.

— C’est un classique, mais on l’a réalisé plusieurs fois, celui-là !

— Oui, mais c’est un jeu, tu ne me forces pas vraiment… heureusement d’ailleurs ! En fait, plus jeune, j’imaginais ça en me branlant. Cette sensation d’être un jouet, soumis complètement au désir d’un inconnu, forcé de se laisser donner un plaisir brutal. J’imagine ça très jouissif, rien de vraiment désagréable bien sûr.

— Hum, très bon phantasme, en effet, et avec un joli petit cul comme le tien, ça ne doit pas être trop dur à trouver, un inconnu qui ait envie de te baiser.

— Pourquoi dis-tu ça ?

— Si un jour tu veux réaliser ce phantasme, je dois pouvoir trouver d’anciennes relations qui pourraient t’aider, voilà tout.

— Je n’en suis pas encore là, dis-je, un peu surpris. Mais j’y penserai. À toi, maintenant : qu’est-ce qui plairait à un petit pervers comme toi ?

— J’aimerais faire l’amour à trois… et voir un autre que moi te baiser, mais ça en fait un peu partie.

— C’est un classique aussi, mais je reconnais bien ta petite touche personnelle de mateur.

— D’ailleurs, si tu ne sais pas quoi m’offrir pour mon anniversaire…

— Eh bien voyons ! C’est dans deux semaines, je ne sais pas encore si j’ai envie de faire ça, tu sais.

— Allez, s’il te plaît, pour me faire plaisir…

 

Une main a déjà rejoint mon sexe et commence à l’exciter. Marc me lance un regard empreint de douceur, presque suppliant. Ma queue est maintenant toute dure et se fait branler franchement.

Marc en approche ses lèvres, lui donne quelques coups de langue et la prend à pleine bouche.

Il s’applique vraiment beaucoup pour me faire l’une des meilleures pipes de ma vie. Une main masse délicatement mes boules pendant que l’autre astique ma verge juste comme il faut. Je sens que je vais déjà éjaculer et Marc aspire ma bite encore plus fort. Il l’enfonce au plus profond de sa gorge quand il me sent venir et j’éjacule abondamment dans sa bouche.

Marc se redresse, avale mon sperme en me regardant (il avale rarement) et, avec un petit sourire en coin, me demande si je me suis décidé.

Que voulez-vous que je lui réponde ? Je n’ai jamais autant joui avec une simple pipe. Je redescends doucement, je lui réponds que c’était merveilleux et que c’est d’accord pour son cadeau d’anniversaire.



Le plan à trois : Marc a tout organisé : nous serons avec un certain Claude, sûrement un ancien amant, quelqu’un de parfait pour un trio, m’a-t-il dit. Je n’en sais pas plus, mais je fais confiance à mon chéri pour tout organiser parfaitement.

Nous avons choisi le week-end du 14 Juillet pour faire ce « goûter d’anniversaire ».

 

[Ratage ?] Nous attendons l’arrivée de Claude, quand Marc reçoit un coup de téléphone. Il me dit devoir s’absenter une petite heure à cause d’une urgence à son travail ou quelque chose comme ça.

Claude arrive à ce moment. Il est impressionnant, black, 1m90 minimum, musclé et en plus avec une belle gueule.

Marc l’embrasse, lui explique qu’il doit partir pour une urgence mais qu’il revient très vite, puis s’adresse à moi :

 

— Claude est un très vieil ami, tu vas voir, il est vraiment très bien… Faites connaissance, mais essayez de m’attendre pour commencer les festivités, je fais vite. (Il claque la porte)

— Qu’est-ce que tu bois Claude ?

— Comme toi.

— Bon, deux verres de vin, alors !

 

Nous nous installons tous les deux dans le canapé, en nous détaillant de la tête aux pieds.

 

— Alors je te plais ? me lance Claude.

— Heu… oui, je te trouve très beau et bien fait, c’est vrai.

— Et encore tu n’as pas vu mon engin, tu vas l’adorer.

 

Pour un premier contact, c’est un peu cru à mon goût, mais je ne dis rien, c’est l'ami de Marc, et ce n’est pas bien grave non plus.

 

— Et toi, comment t’es foutu ? Fais voir !

— Attends, chaque chose en son temps ! On pourrait discuter un peu avant, apprendre à se connaître un minimum, non ?

— C’est inutile, Marc t’a bien dit d’être gentil avec moi, non ? Allez, viens à côté de moi.

 

Claude me tire à lui, il caresse mon visage et embrasse mon cou. Je suis bien obligé de me laisser faire : il est là pour ça, après tout, et je ne veux pas décevoir mon chéri non plus.

Claude déboutonne son pantalon et en sort une belle bite noire d’une bonne vingtaine de centimètres. Elle est encore en train de gonfler.

Il chuchote à mon oreille :

 

— Tu as vu ce que j’ai pour toi ? Suce-moi, maintenant.

 

Sa main passe derrière ma nuque, il me tient fermement tout en dirigeant ma tête vers son sexe. Je ne peux pas résister, et même si je le voulais, Claude est beaucoup trop fort pour moi. Je pose mes mains sur sa cuisse.

 

— Attends, attends… Je vais te sucer, mais laisse-moi prendre mon temps, s’il te plaît.

— Bon, d’accord, vas-y, je te regarde.

 

Claude a lâché ma nuque. Je me saisis de son membre qui semble bien large. Je commence des va-et-vient avec ma main, tout en approchant ma bouche du gland. Je le saisis avec les lèvres, puis le fais glisser entièrement dans la bouche ; je lèche, je pompe, j’aspire…

Claude m’attrape par les cheveux pour que je lâche prise, je laisse donc échapper sa queue et il tire ma tête vers le haut, me tourne face à lui et écrase ses lèvres sur les miennes.

 

— C’est un bon début, tu es doué, petit. Mets-toi debout, maintenant, je voudrais te goûter.

 

Claude m’aide un peu brusquement à me lever et me voilà debout face à lui.

 

— Déshabille-toi ! me dit-il sèchement, tout en attrapant son verre de vin.

 

 my dream !" putain ! fais-toii voir dit Claude, toujours aussi cash.   

J’enlève donc doucement mes quelques vêtements. Il me dévore des yeux. J’ai cette sensation bizarre de n’être pas plus qu’un morceau de viande à ses yeux, c’est embarrassant mais très excitant EN MEME TEMPS. Me voilà nu comme un ver face à mon dominateur. Il ne me regarde pas en parlant :

 

— En voilà une jolie bite, et tu bandes déjà, mon salaud ! Je savais que tu aimerais me sucer. À moi, maintenant.

 

Claude pose son verre, se met à genoux face à moi et gobe ma queue d’un seul coup. Il suce vraiment très bien, je gémis déjà sous ses coups de langue, mon plaisir monte très vite, la fellation continue un peu et je ne tarde pas à exploser. Claude s’est dégagé juste avant et me fait éjaculer dans sa main. Mon sperme fourni en abondance coule entre ses doigts, mais il en garde un maximum dans le creux de son immense main.

 

— Tu as bien fait de juter autant, ça va pouvoir me servir de lubrifiant, me dit-il en souriant.

— Comment ça ?

— Eh bien pour te baiser, bien sûr !

— Je pensais attendre le retour de Marc pour aller plus loin ! En fait, on en a déjà fait beaucoup, là.

— Ecoute, dans tous les cas, je vais te baiser ce soir, avec Marc. Je veux t’essayer avant, pour connaître un peu ton corps et tes réactions. Tu dois être gentil avec moi et je n’aime pas qu’on me dise non. Alors va dans la chambre et attends. Je prends une capote et j’arrive.

 

Claude est très directif. Comme l’objet sexuel qu’il m’a fait devenir en si peu de temps, je fais ce qu’il me dit ou plutôt m’ordonne.

Je suis assis sur le lit, quand Claude arrive, complètement nu, une petite sacoche à la main.

 

— C’est toutes tes capotes, ça ?

— Tais-toi ! Pourquoi es-tu assis ? Mets-toi à quatre pattes.

 

Je m’exécute dans le plus grand silence, j’espère qu’il ne sera pas trop brutal, quand même, mon petit cul a besoin de douceur aussi.

 

Claude me regarde en cette position de totale soumission. Il a toujours mon sperme dans la main. À l’aide de deux doigts, il en étale sur mon anus. Très vite un doigt me pénètre, puis un deuxième. J’ai affaire à un expert, mon trou est bien lubrifié, dilaté progressivement et j’ai déjà envie d’y sentir cette belle bite noire, même si sa largeur me fait un peu peur.

 

Claude se penche au-dessus de moi, en enfonçant ses doigts bien au fond de mon cul.    

— Ça y est, ma chérie, tu es prête à me recevoir, me dit-il à l’oreille.

 

  Je suis comme une poupée gonflable pour lui. À aucun moment il ne se soucie de mon avis, il me baise comme il en a envie et je dois me laisser faire.  

 

Claude se redresse, sort ses doigts de mon intimité et attrape une capote. Je reste là, le visage contre le lit, les bras le long du corps, de mon anus coule mon propre sperme. Je me sens flotter, comme dans un monde parallèle. J’attends mon sort, les fesses en l’air, pendant que Claude enfile une capote.

  — Vas-y doucement, lui dis-je.  

— Non, je ferai comme j’ai envie et tu vas aimer ça, c’est compris ? tout de suite, montre-moi ton trou de balle.    

 

 

Je ne réponds pas et m’attends à le recevoir brutalement, d’un instant à l’autre. À ma grande surprise, Claude s’approche assez doucement de moi, pose son gland sur mon trou et le rentre lentement par mon anus. Je suis un peu soulagé, le gland me paraît énorme, mais il arrive à entrer complètement, sans vraie douleur. Mon plaisir monte doucement. Quand Claude pousse d’un coup sec sa queue dans mes entrailles, j’en ai le souffle coupé. En moi jusqu’à la garde, il commence des va-et-vient de plus en plus prononcés. Que c’est bon ! Sa bite énorme me remplit complètement, ses testicules battent les miens en rythme et je hurle mon plaisir à chaque coup de reins.

 

Claude me tient fermement par les hanches. Je n’en peux plus, je me redresse sur mes bras pour sentir encore mieux sa bite, quand il m’attrape les cheveux et me tire en arrière contre lui. Mes bras ne touchent plus le lit, Claude passe son autre main sous mon ventre pour me maintenir dans cette position. Sa bouche est maintenant contre mon oreille.

  Image associée 

— T’es vraiment un bon coup, toi. Là, c’est juste pour t’essayer, mais tu vas voir ce soir, ce que je vais lui mettre, à ton joli petit cul.

 

Je suis une poupée de chiffons entre ses mains, il me place comme il veut ; car en plus d’être plus grand et plus fort que moi, sa bite ancrée au plus profond de moi me soumet totalement au plaisir qui m’envahit. La main sur mon ventre descend sur ma queue prête à exploser et la branle vigoureusement. J’éjacule sur le lit et sur la main de Claude. Il l’essuie sur ma bouche pour se nettoyer.

 

— Tiens, goûte ton sperme, petit cochon, il est bon, hein ? Bon, tu vas goûter le mien et j’en aurais fini avec toi.

 

Claude se retire et me pousse dédaigneusement sur le lit. Je me relève pour m’asseoir. Je vois Claude se branler. Il place sa queue juste devant ma bouche en s’astiquant de plus en plus. Je lui lance un regard implorant et ouvre timidement la bouche. Une giclée de sperme me recouvre presque la moitié du visage, Claude tient ma tête d’une main et plonge sa queue dans ma bouche pour y déverser le reste de sa semence, dans un grognement. Ma bouche est remplie, je ne réfléchis pas trop et avale ce sperme tout chaud, pour pouvoir aisément nettoyer cette bite gluante et source d’autant de plaisir.

  Marc est de retour.  

Je suis encore en train de sucer Claude, quand on entend la porte d’entrée s’ouvrir.      

— On est ici, dit Claude.    

Je suis gêné que Marc me retrouve ainsi, visiblement soumis à son ami, comme une petite chose fragile et faible qui vient de se faire enculer.

  — Vous avez fait connaissance, à ce que je vois.  

— Je suis désolé, je voulais t’attendre, mais Claude a insisté…

— Ce n’est rien, et connaissant Claude, tu n’as pas dû avoir tellement le choix non plus, n’est-ce pas ?

— Heu… oui, il m’a un peu forcé au début, mais j’ai bien aimé en fait, ça a accentué mon plaisir, je crois.

 

Marc me regarde malicieusement

 

— J’espère bien ! C’était ton phantasme, quand même !

— Quoi ! Heu… oui, c’est vrai, mais…

— Ne dis rien : j’avais demandé à Claude de faire comme ça. Tu ne m’en veux pas, j’espère ?

— Non, pas du tout, j’ai adoré et il ne m’a rien fait de désagréable, c’était vraiment super !

— C’est vrai ? me demande Claude. Je n’y ai pas été trop fort ?

— J’ai été très surpris, mais je pense que c’est à peu près comme ça que j’imaginais la chose. Bon, je vais me laver, parce que tu m’en as mis partout, et je vous rejoins au salon.

— Attends, je t’accompagne !

 

Claude se joint à moi pour cette douche plus que nécessaire. Nous discutons un peu et il me dit avoir adoré « jouer » avec moi, qu’il est plus passif, d’habitude. Cette remarque m’amuse, car il est vraiment très convaincant, en actif dominateur… mais ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd.

 

Nous finissons de nous laver mutuellement et allons terminer nos verres de vin. L’heure avancée et ces exercices nous ont ouvert l’appétit. Marc n’a pas mangé non plus. Nous sortons donc dîner tous ensemble.

 

Il faut prendre des forces : ce n’est que le début de la soirée et Marc n’a pas encore eu son plan à trois en cadeau… Encore une chaude soirée en perspective !

 


NOTES : http://revebebe.free.fr/histoires/rvb095/reve09587.html 

Par PHOLIUS revebebe - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 14 février 3 14 /02 /Fév 08:57

sans trop la possibilite de te le prouver ! Un petit poisson, un petit oiseau S'aimaient d'amour tendre Mais comment s'y prendre [Quand on est trop grosse] Juliette Greco

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Ne t'arrête- pas :

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Image associéeTous les charmes n'agissent pas  !

Les couilles de mon grand père sont pendues dans l'escalier et ...

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Par MARCEL&MAGGY - Publié dans : ELLES ET NOUS & VIDEOS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 13 février 2 13 /02 /Fév 23:18
Pas de bisous gay au lycée. C'est ce que demande Trevor à son petit ami. Il ne veut pas être étiqueté comme gay en public. Mais quand son petit ami essaie de le convaincre d'assister ensemble à un cours de danse, la relation entre eux s'aggrave de vrais artistes, très beaux


queerblick e.V. D'Allemagne, une ONG à but non lucratif a eu la chance de montrer ce film afin d'autonomiser les jeunes LGBT *. Un grand merci à Luis Fernando Midence, directeur du film


commentaire  :

 


Par NAÎVE - Publié dans : LUTTES HISTOIRE & REVOLTES DES GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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