Bien "couillu" et bien "bitu"bien
"foutu"aussi PAS QU'UN BAISEUR DOUE, UN ARTISTE ! Oui, c'est une histoire sordide. Un mort, un détenu.C'est l'argent qui a rapproché ces deux hommes.
la victime et son meurtrier présumé photo de la police
Arrestation: John Snavely,dit Champ, strip-teaseuret star du porno Nous ce n'est ni la
vénalité, ni l'écart des âges des protagonistes qui nous arrêtent, mais le fait que le différend ait pu naître de la rémunération de l'escort. A moins que la baise n'ait pas fait
partie des accords et Sam devait avoir des moyens de persuasion genre gardes du corps musclés. John avait dû placer la "barre" un peu trop haut et si Sam Del Brocco s'était fait riche, ce
n'était certainement pas parce qu'il était généreux ! ça semble être un personnage à la Trump prêt à humilier l'escort juste pour le sport d'une bonne négociation marchande ! Maintenant que les
choses en sont là, l'un est mort, l'autre passera des années derrière les barreaux. Je ne sais pas ce que vous en pensez mais on dirait que l'un ou l'autre ou les deux en même temps auraient dû
"lâcher du lest".
Bien "couillu", bien "bitu"et bien foutu !
Côté valeur humaine je ne peux savoir les efforts que ça acoûté à Sam de devenir aussi riche. Beaucoup sûrement. Et le succès de John Snavely a
certainement demandé des efforts considérables si sa préférence sexuelle est hétéro. Il avait commencé avec le porno gay mais a rapidement gravi les échelons du porno hétéro. Il a
également travaillé dans des clubs de strip-tease et des amis ont dit qu'il était accro à la vie de groupe et aux drogues, autant que le travail le lui permettait. Comme des affaires
criminelles franco-françaises, ce n'est que longtemps après que l'ADN "parle". 3 ans quand même. Là, on suppose que le criminel a essayé de vivre à toute vitesse le temps de liberté qui
lui restait
John Snavely "a rencontré Sam Del Brocco en septembre 2010 et est retourné chez lui où ils se sont disputés au sujet
du prix de la prestation.
Snavely aurait 'brutalement poignardé Del Brocco plusieurs fois dans la poitrine'
Mais il a évité la suspicion pendant 3 ans jusqu'à ce qu'il soit arrêté pour consommation de drogue et "un échantillon d'ADN correspondait à celui trouvé sur un joint dans la maison de Del
Brocco"
Au cours de ces 3 années, Snavely a gravi les échelons de l'industrie du porno en Floride et s'est adonné à un style de vie difficile et agité.
John Snavely, 26 ans, aurait poignardé Sam Del Brocco une douzaine de fois dans
la poitrine suite à une bagarre sur l'argent en septembre 2010 - mais il a évité les soupçons pendant près de trois ans et a continué à utiliser de la drogue et a rejoint
les rangs de l'industrie du porno de la Floride.
Snavely a finalement été arrêté et accusé de meurtre en août lorsque son ADN, qui avait été relevé lors d'une arrestation pour drogue à Miami, correspondait à de l'ADN sur un mégot de
joint et une canette de Coca-Cola sur le lieu du crime.
Maintenant, le Miami New Times a révélé des détails sordides entourant le meurtre macabre, détaillant les dernières heures de Del Brocco et démêler l'enfance troublée de Snavely et ses
dépendances à l'argent et à la drogue. On lit ça la mort dans l'âme. d
la victime et son meurtrier présumé photo de la police
Arrestation: John Snavely, strip-teaseuret star du porno, à
gauche, aurait poignardé Sam Del Brocco, directeur du marketing millionnaire, à mort dans sa maison de plage en Floride en septembre 2010 après leur rencontre dans un club
gay
Le journaliste, Michael Miller, a parlé à Snavely, qui a interprété à la
fois du porno gay et hétérosexuel sous le nom de «Champ», en prison à Fort Lauderdale, où il a protesté de son innocence.
«Tout le monde pense que je suis un tueur juste parce que ma vie est un tabou pour les gens de la 'bonne société' », a-t-il dit. Tout ce que j'ai à dire, c'est que je suis innocent.
Les détectives du shérif du comté de Broward croient que Del Brocco, un directeur du marketing d'Alexandria, Virginie qui a travaillé à Washington D.C., pris un avion pour la Floride et a
acheté de la cocaïne et de la marijuana avant de visiter ses clubs de strip-tease préférés.
Il a été présenté à Snavely dans un club appelé Boardwalk, où Snavely a joué comme appât, et la paire a
sauté dans la Porsche de Del Brocco et est allée à sa maison de ville à Pompano Beach.
Les enquêteurs pensent que Del Brocco a drogué le jeune homme pour en faire ce qu'il voulait, puis Snavely a exigé 500 $ en liquide avant que Del Brocco ne demande à ce qu'il danse en
stripper pour lui, a rapporté le New Times.
Mais une dispute s'est ensuivie - le journaliste a suggéré que Del Brocco était trop sensible ou que Snavely a écourté sa performance - et Snavely l'a pris d'assaut.
Snavely en
flic...
Snavely fait pour baiser
La vie dans la voie la plus facile : Snavely a évité la suspicion pendant trois ans - profitant des drogues, de l'argent
et du sexe alors qu'il gagnait jusqu'à 4 000 dollars par semaine en faisant du porno et en se déshabillant dans des clubs gay. Mais les amis ont dit qu'il avait aussi "un caractère"pas facile du
tout.
Plutôt que de
simplement laisser la colère s'apaiser, il a atteint la cuisine et a eu des doutes - et a ouvert un tiroir et a trouvé un long couteau de boucher, le journal a rapporté. Il aurait alors
regagné la chambre à coucher et poignardé à plusieurs reprises le vieil homme avant de fuir la scène sanglante - et de laisser une trace d'empreintes ensanglantées de ses chaussures
Nike. Dans la cuisine, il aurait essuyé le couteau avant de le jeter sous un
tapis et de partir.Il aurait également laissé de l'ADN sur le joint et
la canette et les empreintes digitales sur la voiture de Del Brocco. La police a visité la maison le jour
suivant pour effectuer un contrôle de bien-être après que des amis à Washington aient été incapables de le contacter au téléphone.L'enquête a porté sur la preuve ADN. Avant
que Snavely soit lié au crime, il a gravi les échelons de l'industrie du porno en Floride - gagnant jusqu'à 4000 $ par semaine en filmant plusieurs scènes de sexe et en se
déshabillant. Il
a vécu une enfance troublée avec un père absent, une mère criminelle et ses propres arrestations pour de petits crimes avant de se faire du srtip' dans des clubs gays à San
Antonio, Texas - il a insisté sur le fait qu'il était hétéro mais que les clubs gay payaient mieux.
Triste, triste !
JUNGLE : ci-dessous(peut-être le porno gay payait-il plus, mais
l'hétéro ne présentait rien de moche !)->
Juste pour vous montrer la taille réelle de la bite de Snavely(alias 'champ') comparée à elle d'un autre pourtant pasQuand est-ce que la dernière fois
que vous avez eu le plaisir de profiter d'un double creampie? Eh bien aujourd'hui c'est ce jour où nous avons pour vous une superbe domination de chatte aujourd'hui,
Champ et Buddy se relaient pour donner à cette fille leurs jeunes et fortes bites et la bourre
de sa vie. Elle ne néglige aucun de ses deux trous et adore coucher et se faire foutre par les deux bites, devant et derrière et qu'on la regarde se faire bourrer ses deux trous en même
temps. Le spectacle est tout simplement magique. Cette mise en scène provoque une éjaculation maximale partout, j'espère que vous apprécierez tous.
et surtout qu'on la les regarde :
la star du porno, 26 ans, John Snavely' aurait poignardé à mort un millionnaire marié de 60 ans, après avoir séjourné dans à sa maison au
bord de la mer en Floride pour lui donner une séance privée de strip-tease"
la justice instrumentalisée : toutes les denonciations calomnieuses que l'on constate aujourd'hui. La délation ? Cela fait
horreur à Elisabeth Badinter : c'est le retour à la France de Pétain, 1940.
N'allez pas croire que je sois pour ou contre l'adultère. Ca vous regarde. Il y a plusieurs façons de tromper
Il a été constaté que pour certain(e)s conjoint(e)s ça commence par toute masturbation en dehors du couple
Ensuite on peut être bisex, et là on ne peut que tromper puisque...
Ensuite avoir une, des aventure(s) avec une personne du sexe opposé
Enfin avec une personne de même sexe, c'est toujours tromper
Bonjour mesdames, je vous attends pour des après midi ou soirée sensuelle et câline dans le plus grand respect, j'adore manger le minou d'une femme avec
ma langue langoureuse, exciter son clito pour une extase de l'orgasme, faire glisser mes mains douces sur le corps d'une femme, trouver ses points érogène, j'adore masser les fesses
et plus si vous le souhaitez. A votre écoute et de vos scénarios. j'attends de vos nouvelles. Après premier mail, je vous communique mon numéro de portable pour un échange téléphonique ou SMS, j'accepte les appels
masqués. A bientôt
annonces de sites de rencontres :
L'usure fatale des couples :
Cela fait des années que la sociologue Charlotte Le Van essaye de comprendre pourquoi des hommes et des femmes qui vivent en couple finissent par
aller «voir ailleurs», à l’insu de leur conjoint. La réponse n’est pas si évidente. Les «infidèles» essayent toujours de rationaliser leur comportement, sans avoir forcément assez de distance
pour comprendre la logique de leurs actes.
Le mariage, une institution révolue ! et les français dans la contradiction avec eux-mêmes.
Dans un article récemment publié dans un numéro spécial «Sexualités, normativités» de la revue RAISON, Charlotte le Van, sociologue à l’Université
de Caen, souligne le paradoxe : alors que les Français sont de plus en plus tolérants en matière d’échangisme, de prostitution ou d’homosexualité, ils le sont de moins en moins en matière de
fidélité. «Considérée comme le premier facteur de réussite d’un couple, la fidélité est estimée comme «très importante pour contribuer au succès d’un mariage» par 84 % des personnes
interrogées en France (contre 72 % en 1981).» Autrement dit, l’adultère c’est de plus en plus mal vu. Et surtout mal vécu.
Rongé(e)s par la culpabilité, beaucoup d’hommes et de femmes se raccrochent à toutes sortes de discours pour légitimer leur acte. Si nous vivions
dans une société moins normative en matière d’amour, il y aurait certainement moins besoin d’excuses. Mais voilà, l’adultère relève du tabou. On en fait tout un drame. Il faut que ça reste
secret. Selon la dernière grande enquête nationale sur la sexualité des Français (Bajos, Bozon), menée en 2006, seuls 1,7 % des femmes et 3,6 % des hommes qui vivent en couple déclarent avoir eu
un autre partenaire sexuel que leur conjoint(e) dans les 12 derniers mois. Impossible d’avoir les chiffres véritables bien sûr. L’adultère est par nature une activité illicite et le fait qu’elle
reste cachée, marginalisée, conforte les gens dans l’idée qu’il s’agit d’une déviance par rapport à la norme… Si nous avions les vrais chiffres, nous nous rendrions peut-être compte que la
fidélité n’existe pas ?
Mais peu importe que la monogamie relève de l’utopie ou d’un modèle religieux antinomique avec le bonheur… Dans le contexte idéologique actuel, les
couples restent profondément attachés à l’idée du contrat de confiance : «Si on s’aime, on ne se trompe pas», point barre. Les «infidèles» se sentent en faute, mais continuent à être des
infidèles .
1.Fred me disait que je pouvais même plaire aux heteros....le jeune prof de
physique que je désire comme un fou...me questionne ...
Non, mais le souci ! il y a un con qui ma piqué ma clé USB et ma sextape va aller dans toutes les mains et même sur le net...
la vie peu ordinaire d'un lycéen +18 en ...2018
ils sont nés en 2000
my dream !" putain ! fais-toii voir dit le prof, toujoursd aussi cash.
11h10… Arrivée remarquée en cours de physique chimie…
UNE BITURE DOUBLEMENT MEMORABLE...
-“Tu as ton mot d'excuse Axel ? -Promis demain monsieur…. -va t'asseoir on commence !”
"Ca c'est la cl USB camoufléen gomme qu'on m'a piquée.
Elle contient un petit gif que j'ai fait moi même, tiré d'une de mes sextapes. Une meuf etait fan des culs de mecs quand ils baisent. Du coup
j'me suis filmé de dos pendant que je faisais semblant de baiser (j'avais coincé ma queue entre deux coussins). Je sais que j'ai un bon cul musclé mais je pensais pas que voir apparaître et
disparaître les fossettes au niveau de mes lobes pouvait la rendre aussi folle de moi. Et pas que...” Ces cons avaient subrepsticement branché ma clé sur le portable du prof...et tandis que
défilaient les images, tous les élèves* regardaient vers moi, pleins de questions...je devais être rouge...j'avais chaud aux joues.
Je le vois me lancer des regards noirs et interrogateurs durant tout le cours. Hyper difficile pour moi de suivre le cours… Et je ne sais pas trop
ce qu'on eu comme effet les doigts [FRUSTRANTS] de Fred à l'intérieur de moi… Au lieu de les satisfaire, ça a, semble t-il, décuplé mes envies sexuelles. Je m'excite à m'imaginer avec le
prof à me laisser doigter pendant que je le pompe à fond. Avec un plaisir sadique il découvrirait que plus il met de doigts, et plus il les enfonce rapidement et profondément, et plus sa
bite,dans mon fantasme) finit au fond de ma gorge. Il s'autorise de bonnes tapes sur mes fesses… Impossible de suivre le cours dans de telles conditions… En plus j'ai des nausées… Mais si je
vais à l'infirmerie l'infirmière va me sentir alcoolisé… Je suis dans l'impasse… Je dois subir l'assaut incessant de mes pensées perverses. Par moment, imaginant sa barbe dense et noire
frotter mon anus à chacun de ses coups de langue, par moment j'imagine aussi juste lui pomper sa grosse queue sous le bureau lors d'une réunion parent- prof… Avec lui jamais de chantage, je
n'ai jamais dû sucer pour augmenter mes notes… Mais plutôt, en récompense ce serait plutôt mes bonnes notes qui m'autorisent à lui ouvrir le jean pour le pomper longuement et si je dépasse les
15/20 je suis autorisé à recevoir ses magnifiques éjacs faciales… Bref mes fantasmes me font gonfler la bite, une violente douleur parcourt mon jean trois fois trop serré… Je me déteste dans cette situation… Je ne
suis qu'un pervers fantasmant sur un prof inaccessible…
“Si mon cours t'emmerde Axel, tu me le dis. La porte est là !”
Le côté cash de ce prof m'étonnera toujours. L'élève à côté de moi… Toujours le même que je ne supporte pas et qui me déteste se réjouit de lancer
devant toute la classe :
“Msieur ! Axel pue l'alcool à plein nez ! J'ai l'impression d,'être bourré rien qu'être à côté de lui !-en tout cas, toi, c'est sûr que ton cerveau est loin d'être bourr d'idées lumineuses. -"Axel tu resteras après le cours”
J'admire la répartie de ce prof… Tout le monde était mort de rire, tout le monde à part moi… Mort de honte que tout le monde soit au courant de ma
biture… Et en plus le prof qui veut me voir… N'oubliez pas de me faire penser à envoyer à ce connard d'élève un des potes de mon grand frère qui se fera un plaisir de lui faire la peur de sa
vie. Si, en prime, il pouvait baiser son trou jusqu'au sang j'en serais ravi… Mes ennemis ? Je n'ai aucune pitié pour eux… Plus maintenant :-(
Quand la cloche retentit enfin, un moment pénible va arriver… Tout le monde sort, l'élève que je déteste me nargue (vous savez vous ? Je le déteste
tellement que je refuse de donner un prénom à ce trou-du-cul) en attendant que tout le monde sorte et que le prof s'approche de moi j'envoie un texto à Nassim et Enzo pour leur demander
s'ils peuvent venir me chercher à cause d'un élève qui me fait chier et dont je voudrais juste qu'ils l'intimident. Du tac au tac ils me répondent sans problème. Le prof s'avance enfin vers moi, pose ses deux mains sur ma paillasse laissant apparaître ses bras couverts de veines saillantes. Je ne parle même
pas de son jean moulant dans lequel il rentre une chemise cintrée qui permet de bien mettre en valeur que son dos est creux, qu'il a un bon cul musclé et des pecs tellement gonflés et à l'étroit
que la chemise laisse apparaitre son torse entre chaque bouton…
“Laisse moi deviner… Vodka ?”
J'acquiesce d'un petit mouvement de tête, sans dire un mot…
“Une demi bouteille ?”
Je monte mon pouce vers le haut pour indiquer plus…
“Axel…. Je ne te fais pas l'affront de te rappeler les dangers liés à la consommation d'alcool…. - ... - tu veux en parler ? - rien de grave je vous assure. - si c'est grave ! On ne se détruit pas pour rien. Un petit mec comme toi qui a tout pour réussir… Ca me fait mal au coeur de te voir comme ça… Tu
veux qu'on aille voir l'infirmière.”
Ca va trop loin là ! Je me lève pour m'énerver et lui interdire d'aller la voir, malheureusement mon geste fut tellement brutal que ma tête se met à
tourner je vois tout blanc et je tombe au sol dans ses bras… Avec une voix faible et douce je lui dis :
-je vous en supplie ne faites pas ça, j'ai fait une bêtise mais je ne recommencerai pas… S'il vous plaît je suis prêt à tout pour votre
silence.
Soudain le démon qui contrôle mes pensées refait surface… Et je poursuis mon discours avec une voix beaucoup plus provocante :
“S'il faut, vous pouvez me demander quoi que ce soit et je le ferai. Vous pouvez décider du prix de votre silence. Je saurai être discret et vous
obéir au doigt et à l'oeil…”
Je me sens mal à l'aise surtout qu'il me tient toujours dans ses bras. J'ose même poser une main sur son pec droit. Il est brûlant et le contact de
ma main gelée fait pointer son téton. Il m'attrape le poignet pour me retirer de contre lui. Je percois qu'il est déstabilisé mais étant dans son univers pro' il n'avait pas trop d'options au cas
où quelqu'un rentre. Pourtant je sens que mes mots ont eu de l'effet. Je commence à comprendre quel type d'homme je peux amadouer : tous ceux qui aiment que leur virilité soit mise en avant
et donc que leur partenaire soit soumis(et obéissant et s'offre complètement à lui. C'est pour ça que Fred me disait que je pouvais même plaire aux hétéros. Il se ressaisit et me dit avec autorité :
“Je fais comme si je n'avais rien entendu et je mets ça sur le compte de l'alcool mais que ça ne se reproduise pas Axel.”
[sur l'ordi ...mes potes m'avaient tous envoyé des pics de leurs queues dans tous leurs états dans l'espoir que je leur arrange le coup avec
une meuf de mon invention . La fin de soirée fut alors un festival de sextos et de photos provenant de Fred, Enzo et Nassim. Je n’avais plus assez de mains pour répondre aux sextos, me
branler et me doigter. Par moment ça devenait presque insupportable de savoir que je me faisais autant de bien en touchant ma queue ou ma rondelle qu’en répondant aux profondes envies de Fred, de
complimenter et flatter l’ego d’Enzo concernant chaque partie de son corps, d’inventer une conversation entre Nassim et la fille fictive pour qu’il m’en montre plus en m’en dise plus sur ce qu’il
compte lui faire…
Le soir venu c'est avec stress que je me connecte sur skype… Le prof est déjà là…
“-Bsr. -Bsr. -je suis vraiment désolé pour le malentendu de tout à l'heure…
- [il s'inquiète pour mes fréquentations (Nassim, Enzo...)]
-Oui [...] ton frère est absent alors méfie toi ! -Comment savez vous que mon frère est absent ??? »
J’ai dû renvoyer des lignes et des lignes de points d’interrogation avant de recevoir un simple « je t’ai entendu en parler dans la cour. Je te
laisse j’ai des copies à corriger » Argument absolument irrecevable !! je ne le crois pas du tout ! Je suis quasiment sûr de ne jamais en avoir parlé !! Ce problème avec mon frère est
une douleur interne qui me ronge depuis que j’ai découvert ce qu’était le sexe et l’amour, personne au bahut n’est au courant ! à part Fred… Mon prof vient de s’être fait prendre la main dans le sac, toutefois je ne sais absolument ce qu’il sait, ce
qu’il fait et ce qu’il veut…
En parallèle je reçois un SMS d’Enzo me disant « Travail effectué - plus d’inquiétude à avoir - autres missions ? » Il me fait bien rire
celui là. Il trouve toujours le petit truc qui me fait rire… Je pense néanmoins qu’il était content que je sollicite leur aide pour corriger le mec qui me faisait chier … J’avoue être un peu
chaud ce soir et avant même de tourner mille fois mes pouces avant de répondre, je lui envoie : « Ma prochaine mission n’a rien à voir, mais est tout aussi importante. Jusqu’où est tu prêt à
aller pour m’aider ? » Sa réponse fut brève, presque automatique : « j’irai au même endroit où ton frère irait en ne déviant jamais de mes promesses »
Si seulement tous les hommes pouvaient être comme lui…
je me suis follement amusé à lire, vous faire goûter et illustrer le début de cette longue histoire gay vous ai-je mis l'eau à la bouche
(et pas que, -lol-) ? ...Axel va-t-il réussir ?
- 1 à séduire le prof de physique (ça, à mon avis c'est dans la poche !) ?
- 2 à conclure...?
Pour patienter, écoutons ce merveilleux petit intermède :
oh my love, my darling - I hunger for your touch Tentez le changement, mais je trouve que cette interpretation (originale) est meilleure que cell d'Elvis...
enjoy !
2. CINQ ANS PLUS TARD ...une partie de
flipper :
J'entre dans un café en plein centre-ville et commande un demi au comptoir. Le troquet était presque vide, à l'exception d'un couple
d'amoureux assis dans un coin isolé et d'un jeune noir d'environ 18 ans légèrement vêtu d'un short en jean et d'un tee-shirt, en train de torturer un flipper au fond de la salle. Ma chope à la
main, je me dirige vers lui et m'attable juste à côté. Absorbé dans mes pensées, je le regarde à peine. Au bout de cinq minutes, sa partie terminée, il s'approche de moi et me dit:
— Ça vous dirait une partie de flipper?
Un peu interloqué, je m'apprête à l'envoyer paître mais, voyant son beau visage aux traits fins et ses yeux rieurs, je lui réponds en
souriant:
— Avec plaisir! Mais ça va bien faire 3 ans que je n'en ai pas fait. J'espère ne pas avoir trop l'air ridicule...
— Vous en faites pas! Il est plutôt facile celui-là!
Effectivement, après quelques instants, j'arrive à me débrouiller sans trop de honte, et d'autant plus facilement que mon adversaire compatissant
m'aide à jouer. Il est à côté de moi devant le flipper et, par moment, son bras passe devant moi pour prendre les commandes. Au début un peu agacé par son manège, je commence à trouver la
situation un peu bizarre, d'autant plus que, à chaque fois, comme par hasard, il se glisse entre moi et le flipperet se débrouille por me coller.
Au bout de quelques instants de ce manège, je sens malgré moi une excitation m'envahir. Impossible qu'il ne s'en rende pas compte car mon pantalon
de toile légère ne peut cacher mon émoi. Le jeune garçon, tout en martyrisant son flipper, se serre de plus en plus contre moi. Son petit cul bien moulé dans son short se trouve juste à hauteur
de ma bosse. Régulièrement, ses fesses cognent ma verge dont la raideur augmente rapidement. Soudain, la partie se termine. Il se retourne vers moi et, avec un sourire charmeur, me dit:
— J'ai l'impression que vous n'êtes pas très branché flipper... Vous pensez à autre chose, pas vrai? Ça se voit...
Je suis tellement embarrassé que je ne sais pas quoi répondre. J'ai l'impression d'être complètement écarlate.
— Soyez pas gêné. Si ça peut vous rassurer, j'pense à la même chose que vous. On s'casse?
— OK, mais où?
— Suivez moi, j'connais un coin tranquille pas loin.
Complètement subjugué, je marche à son côté. Il m'emmène dans un immeuble dans une rue voisine. Pas un chat! Manifestement, il connaît l'endroit
car, sans hésiter, il se dirige vers le fond du hall et, derrière une porte, descend un escalier. La lumière éclaire très peu, je le vois à peine.
Après quelques détours dans le dédale de couloirs, nous arrivons dans un local fermé par une porte à claire-voie, à peine éclairé par une ouverture
en hauteur donnant au ras du trottoir. Une cave d'immeuble quoi ! Il me fait entrer, referme la porte, se colle contre moi et me gratifie d'un super patin tout en mettant sa main sur mon
entrejambe. Ses lèvres fraîches et douces m'électrisent. Le contact de ce jeune corps souple contre le mien, celui de cette main sur mon sexe, tout concourt à me faire perdre la tête... Mes mains
le caressent en tremblant. J'ai les réactions d'un jeune adolescent qui fait l'amour pour la première fois.
Paradoxalement, c'est le jeune garçon qui joue les initiateurs. Manifestement il n'est pas novice. Il déboutonne ma chemise et se met à me lécher le
torse. Ses mains, en me caressant la poitrine, déclenchent une réaction immédiate: mes tétons se dressent, une sensation de plaisir intense m'envahit. Je suis à sa merci... Pendant que j'enlève
ma chemise, il dégrafe mon pantalon, le baisse et saisit ma verge complètement tendue par l'excitation. Il s'agenouille devant moi et commence à me lécher le gland à petits coups, comme si
c'était une glace... Puis, avec la pointe de sa langue, il lèche ma queue tout du long, remontant vers mes couilles gonflées et durcies par l'envie, en m'arrachant un râle de plaisir. D'une main,
il saisit mes couilles et leur inflige une pression délicieusement douloureuse. De l'autre, il me masse la queue qu'enfin il avale en entier. Fasciné par la vue de ce jeune adolescent dont les
lèvres épaisses entourent ma queue gonflée, je perds toute notion de la réalité. À chaque aller-retour, sa langue masse ma bite dans une longue caresse.
Soudain, je sens dans mon cou un souffle chaud. Deux mains puissantes se posent sur mes pectoraux et un corps musclé se colle contre mon dos. Le
jeune garçon abandonne un instant ma queue vibrante et complètement ensalivée:
— Ah! Te voilà enfin Ahmed! Tu vas voir, une vraie salope ce mec... Marié, mais prêt à tout.
— T'inquiète pas, Éric, il va être servi...
— Oh oui, j'ai envie d'être baisé à fond... Prends-moi. Encule-moi. J'aime ça...
Pendant que le jeune adolescent reprend son ouvrage, je sens une main s'introduire entre mes fesses moites de sueur et d'excitation. Complètement
prisonnier, je ne peux absolument rien faire. Je réussis en tournant la tête à regarder derrière moi. À ma grande surprise, le mec est à peine plus âgé que l'ado en train de me pomper. Il a
environ 18 ans, un corps d'athlète et un visage superbe. Son torse, légèrement poilu, est magnifiquement musclé. En passant une main sur son bas-ventre, je trouve un pal de chair chaude, vibrante
et dure, d'une taille telle que je n'en avais encore jamais rêvée. Il repousse ma main et, d'un mouvement puissant, introduit son chibre entre mes deux fesses. Instinctivement, je me cambre pour
lui faciliter la tâche. Son gland énorme se pose sur ma rosette, à moitié ouverte par l'excitation. D'un mouvement puissant, lent mais régulier, il me pénètre à moitié. Sous la poussée, mes reins
se trouvent projetés en avant, ma queue s'enfonce entièrement dans la bouche du jeune éphèbe qui l'avale goulûment.
Son corps complètement collé contre le mien dégage une chaleur et une force peu communes. Je sens mon cul mouler sa queue longue et raide.
Lentement, il se retire en déclenchant une vague de plaisir inouïe. Puis il entame des mouvements de va-et-vient réguliers. Je l'accompagne en remuant mon cul autour de la base de sa bite énorme
dont je fais à plusieurs reprises le tour avec mon index. Son souffle devient rauque. Il gémit:
— Oui... Vas-y... Remue ton p'tit cul de salope...
À chacun de ses coups, je me trouve projeté contre le visage fin du jeune adolescent. La sensation procurée par la douceur de sa peau se frottant
contre mes cuisses contraste délicieusement avec la belle brutalité du mec qui m'encule... Le jeune ado me suce avec fougue, s'aidant de ses mains pour caresser mes couilles, augmentant ainsi la
sensation de plaisir offerte par sa langue qui enserre ma queue comme une main chaude et humide.
Au bout de dix minutes de son manège, Ahmed se raidit et, dans un râle de jouissance, décharge son foutre à longs traits dans mon corps. Sous
l'effet du plaisir, je gicle à mon tour dans la gueule de l'adolescent qui, à son tour, lâche son jus sur le sol.
Quelques instants après, honteux d'avoir tant apprécié d'avoir baisé avec ces deux mecs, je me rhabille rapidement. Ahmed me lance alors:
— Super ton cul! Reviens quand tu veux, tu sais où nous trouver!
Tout en m'enfuyant comme un voleur, je me dis que j'aimerais bien pouvoir bientôt recommencer
Je suis heureuse de son coup de fil car il me présente souvent des partenaires BCBG, très féminines qui partagent mes goûts —
Merci, Steve, j’arrive le plus vite possible, lui dis-je en raccrochant.
Très vite, je ressens l’excitation particulière du premier rendez-vous car je sais que dans ces étreintes sans lendemain, je peux vivre mes
fantasmes les plus intimes avec comme seul but de prendre et de donner du plaisir.
vite !
J’agrafe avec fébrilité ma guêpière en plaçant avec soin mes prothèses en silicone dans mes bonnets 105 C. Puis, j’enfile un adorable slip ouvert et
des bas à couture que je fixe à quatre paires de jarretelles. Sortant d’un tiroir un préservatif féminin, je m’étends sur le lit pour l’installer. Je le glisse dans mon fourreau en prenant soin
de déployer la corolle en latex autour de ma rosette. J’aime utiliser cette protection qui me donne davantage l’impression d’être une femme. Elle est aussi très pratique car je peux la garder
toute la journée en étant prête à chaque instant à faire l’amour sans devoir la changer entre deux rapports. Je passe autour de ma taille une jupe marron foncé que j’assortis à un corsage plus
clair. Devant la coiffeuse, je pose mes faux cils et une perruque blonde coupée au carré. Je termine en donnant une légère retouche à mon maquillage.
Enfin prête, je quitte mon appartement d’un pas rapide juchée sur mes hauts talons.
Arrivée au club, j’interpelle Steve en montant l’escalier.
— Envoie-moi ta première protégée dans la chambre Chevalier d’Éon et demande-lui, pour gagner du temps, de ne garder que ses dessous.
J’ai à peine le temps de m’allonger sur le lit que Betty apparaît dans l’embrasure de la porte. C’est une ravissante blonde visiblement débutante et
timide qui reste figée sur place. Elle porte une nuisette transparente et un collant moule son sexe, qui la rend provocante malgré elle. Son maquillage excessif et son rouge à lèvres peu discret
témoignent de son inexpérience. C’est donc avec amusement que je me vois assumer le rôle d’initiatrice dans cette rencontre.
— Approche-toi, ma belle, lui dis-je d’un ton rassurant.
Je retire mon corsage et ma jupe en ne gardant que ma guêpière. Elle s’avance d’un pas hésitant jusqu’à moi et me laisse mordiller sa queue à
travers le nylon. Je continue à l’exciter en la masturbant lentement.
Puis, je frotte son gland sur les fibres nylon de son collant pour la faire bander rapidement. Je vois qu’elle ne pourra pas se retenir très
longtemps, aussi je décide d’agir.
— Enlève ton collant, ma chérie.
Dans le même temps, j’écarte lentement mes cuisses en la défiant du regard. Betty, le rouge aux joues, fixe la fente de mon slip en voyant mon
œillet s’ouvrir peu à peu. Pendant que je la fais attendre en me caressant, elle s’agite nerveusement.
— Viens maintenant, lui dis-je finalement d’une voix chaude.
À ces mots, elle se jette sur moi comme un chien fou en me donnant à peine le temps de saisir sa queue pour l’engager dans mon fourreau.
Elle m’embroche avec fougue dans un rythme effréné pendant que je me presse contre elle. Quand ses gémissements m’annoncent l’imminence de son
orgasme, je croise mes jambes dans son dos et lui enfonce mon majeur dans l’anus. Elle se tétanise un instant. Puis, elle jouit par saccades, en m’inondant du flot de sperme de ses vingt
ans.
Stimulée par ce spectacle, je l’allonge sur le ventre et lui écarte les fesses à deux mains. En forçant son passage, je me rends compte qu’elle est
très étroite et qu’elle n’a certainement pas dû connaître beaucoup de partenaires. Cette pensée, associée à la pression sur mon sexe, me fait rapidement exploser en elle. Après nous être
caressées un moment, elle me quitte à regret.
Tout de suite après son départ, je vois entrer Claudia, une superbe rousse transsexuelle. Elle porte un corset et des cuissardes de couleur rouge et
noire qui m’indiquent clairement ses penchants de dominatrice. Je rentre immédiatement dans son jeu en prenant un air effarouché et en rabattant craintivement ma jupe sur mes cuisses, comme pour
me protéger.
— N’aie pas peur, ma belle, me dit-elle en libérant sa queue massive par l’échancrure de son slip brésilien.
Je remarque avec satisfaction qu’elle a un sexe marteau. C’est-à-dire un gland épais que l’on sent toujours mieux lors des rapports. Elle glisse ses
mains sous ma jupe en la remontant sur mon ventre. Pendant ce temps, je ne me lasse pas de contempler ses seins sublimes qui me donnent une érection spectaculaire. Elle se montre d’ailleurs
surprise par la taille de mon sexe. Ses doigts inquisiteurs fouillent l’intérieur de mes cuisses sans vergogne en se posant sur ma corolle en latex.
— Retire cela immédiatement, me dit-elle d’un ton autoritaire.
— Laisse-moi le garder, c’est un préservatif nervuré ayant des picots à l’intérieur qui vont amplifier ton plaisir, lui dis-je en l’implorant du
regard.
La voyant hésiter, je la masturbe d’une main experte en la faisant fléchir.
— Je veux bien essayer, me répond-elle finalement en s’allongeant entre mes jambes.
Je l’aide de mon mieux lorsqu’elle force mon anneau avec son gland turgescent.
— Pousse, ma chérie, cela va m’aider à t’enfiler.
Ayant passé mes sphincters, elle entame des va-et-vient de plus en plus puissants. Je suis très excitée par le bruit caractéristique de sa queue qui
s’active en moi et par ses bourses qui me fouettent l’intérieur des cuisses quand elle plonge dans mes reins. Claudia se rend compte de mon état et serre la base de mon sexe pour m’empêcher de
jouir. Soudain, elle explose en moi pendant que je contracte mes muscles intimes pour finir de la vider. Se rajustant, elle me quitte rapidement et sort de la chambre en me laissant dans un état
d’excitation intense.
Heureusement, deux ensorcelantes brunettes lui succèdent. Natacha et Sabrina portent la même adorable guêpière gris perle ornée de dentelle rose.
Elles viennent vers moi en souriant et nous faisons très vite connaissance. Tout en jetant un regard intéressé sur mon sexe en érection, elles m’expliquent qu’elles sont venues au club pour
réaliser l’un de leur fantasme, qui est de me pénétrer toutes les deux en même temps. Les sens mis en ébullition par Claudia, j’accepte leur proposition en les masturbant jusqu’à ce que leurs
queues atteignent une taille respectable.
— Maintenant, allonge-toi, dis-je à Natacha.
Je m’accroupis en lui tournant le dos et m’abaisse en faisant entrer son sexe peu à peu dans mon fourreau. Puis, je m’étends sur elle en écartant
les jambes pour inviter Sabrina à venir me baiser.
— Je t’attends, ma chérie, lui dis-je en la provoquant du regard.
Elle reste figée devant ce spectacle et ne peut détacher ses yeux du sexe de Natacha qui va-et-vient en moi. Elle finit par se mettre à genoux entre
mes cuisses. Très souple, elle m’enfile en se penchant en même temps sur moi pour me faire une fellation d’enfer. Sodomisée et pompée à la fois, je sens la sève monter rapidement dans mes reins.
Je ne résiste pas longtemps et me répands dans sa bouche en gémissant de plaisir.
Retrouvant mes esprits, je décide de prendre l’initiative. Déclenchant de puissantes bascules du bassin d’avant en arrière, je me trémousse sur
Natacha. Qui ne tarde pas à se vider dans mes fesses. Sabrina, le souffle court, me lime maintenant sans s’arrêter, excitée de frotter son gland sur celui de son amie. Elle regarde mes jambes
gainées de nylon brasser désespérément l’air, ce qui témoigne de mon émotion lorsqu’elle m’empale.
Le moment venu, je la fais se coucher sur moi et croise mes jambes dans son dos en éperonnant sa croupe avec mes talons aiguilles pour l’exciter
davantage. Telle une mante religieuse, je resserre mon étreinte pour mieux lui dévorer le sexe. Saisissant un gode caché sous l’oreiller, je le vrille sournoisement dans ses reins en le tournant
de droite à gauche pour l’embrocher plus vite. Surprise, elle se redresse en me regardant d’un air étonné. Je m’active de plus belle jusqu’à ce qu’elle explose dans une succession de spasmes.
Lorsqu’elle se retire, elle laisse échapper une dernière coulée de sperme qui dessine une arabesque blanchâtre sur mes bas noirs.
Souhaitant conserver pour la journée la semence de mes partenaires, je m’enfonce un plug dans l’œillet.¤
mais Mirella m’attend chez elle. C’est une transsexuelle de la Jamaïque, arrivée à Paris depuis deux ans, que je vois chaque semaine
Restée seule, j’agrafe rapidement ma jupe pour aller rejoindre . Elle m’ouvre la porte dans un superbe déshabillé ivoire qui fait ressortir la
couleur de sa peau. Lorsque je m’assois prés d’elle, son regard se pose sur la tache blanchâtre qui macule mon bas. Soupçonneuse, elle glisse sa main sous ma jupe, en s’apercevant tout de suite
de la présence de mon préservatif.
— Suis-moi, que je t’examine de plus près, me dit-elle.
Je m’allonge sur la table médicale en posant mes escarpins dans les étriers. Mirella se place entre mes cuisses pour m’enlever le plug et ma
protection féminine.
— Je vois que tu ne t’es pas ennuyée, siffle-t-elle en agitant le latex devant mes yeux. Il contient encore au moins vingt centilitres de sperme,
ajoute-t-elle, scandalisée.
Je souris en pensant que certaines fois, je rentre chez moi avec ma protection pleine de foutre. Elle enfonce un spéculum dans mon fourreau et
l’écarte pour me lubrifier. Puis, m’aidant à me lever, elle m’entraîne dans la pièce voisine en me faisant découvrir son dernier achat. Je découvre un objet étrange ayant l’apparence d’un cheval
d’arçons.
— Mets-toi en selle, me dit-elle avec un sourire narquois.
Elle règle la hauteur pour que j’aie les jambes tendues et les pieds bloqués au sol dans des attaches spéciales. Je suis totalement immobilisée et
incapable de me soulever. Elle appuie sur un bouton et je sens une trappe s’ouvrir sous moi.
— Tu as un plug de vingt-cinq centimètres sur neuf de diamètre placé sous tes fesses, qui va t’assouplir l’anneau, ma chérie. Je vais t’empaler
lentement pour que cela se fasse sans douleur. Je me sers également de cet appareil pour des séances sado-maso, en utilisant des diamètres plus gros pour ceux qui aiment souffrir.
Mirella appuie sur un bouton et le plug commence à s’enfoncer imperceptiblement dans mon anneau. Je suis surprise de ressentir du plaisir quand mes
chairs se distendent. Vingt minutes plus tard, je suis embrochée jusqu’à la garde, la queue dressée prête à exploser.
— J’ai incliné le pal vers l’avant pour qu’il masse ton point G, m’explique-t-elle. C’est cela qui te fait bander, ajoute-t-elle en souriant. Tu es
maintenant bien ouverte. Ton anneau a le diamètre d’une bouteille de champagne, me dit-elle avec une lueur sadique dans le regard.
Cette comparaison me trouble et j’ai du mal à la croire.
— Je vais maintenant te récompenser, ma belle.
Elle me lèche la queue pendant que le pieu plongé dans mes reins se met à vibrer avec intensité. Je craque, surtout lorsqu’elle fait glisser son
ongle sur toute la longueur de mon frein, en me donnant des sensations extraordinaires.
— Contracte-toi sur le plug pour avoir un orgasme anal, me chuchote-t-elle à l’oreille.
Soudain, je vois les premières gouttes de sperme perler à la surface de mon gland. Je gémis doucement lorsqu’une coulée épaisse et régulière sort
lentement de ma verge en se déversant dans sa gorge. Je ressens un plaisir intense lors de cette éjaculation continue qui me donne un bonheur sans égal. Complètement sonnée, je regarde le mince
filet de sève qui s’échappe encore de mon sexe. Mirella finit par me détacher en me faisant passer une séduisante combinaison en satin rouge et noir par-dessus ma guêpière.
— Va m’attendre dans la chambre pendant que je me prépare.
Je me dirige vers son lit, troublée de sentir la tension de mes bas et d’entendre le crissement des fibres de nylon qui se frottent sur mes cuisses
à chacun de mes pas. Mirella me rejoint rapidement. En plus de son déshabillé, elle porte à la taille un impressionnant gode-ceinture. Je m’aperçois avec surprise que son sexe est à
l’intérieur.
— J’espère que ce jouet te comblera, ma chérie, me dit-elle en le tenant à deux mains.
Il a des dimensions comparables au plug et je comprends mieux la raison de mon initiation précédente. Mirella se penche pour m’embrasser à pleine
bouche en plaquant ses seins magnifiques contre moi. Puis, me mettant sur le dos, elle place deux coussins sous ma croupe pour me mettre à la hauteur du pal qui se balance lourdement entre ses
cuisses.
— Remonte ta combinaison, ma belle.
Je la retrousse fébrilement sur mes hanches, en dévoilant mes bas et mes jarretelles tendus à craquer. Elle m’écarte les cuisses et contemple ma
rosette qui s’ouvre comme une fleur. Contrôlant mal mon émotion, ma queue jaillit d’un coup par la fente de mon slip ouvert. Mais, Mirella ne se laisse pas distraire et poursuit, en faisant
semblant d’ignorer mon état. Elle m’enfonce son majeur dans les fesses en le recourbant vers le haut pour masser mon point G. Elle regarde avec fascination mes sphincters se contracter sur son
doigt, ce qui lui prouve que je ne reste pas insensible à cette caresse. Elle me masturbe également d’une main experte pour m’étourdir de plaisir.
— Je crois que tu es maintenant suffisamment ouverte, ma chérie, me dit-elle en engageant l’énorme dard entre mes cuisses.
Pointant le gode à l’entrée de ma grotte, elle le rentre par petites pressions successives.
— Tu vas prendre un sexe de sept cents grammes dans les reins, me dit-elle vicieusement.
Puis, elle le plonge dans ma croupe, en me regardant droit dans les yeux. Haletante, la poitrine palpitante, je me laisse prendre sans résister.
Elle me cloue sur le lit comme un papillon, en s’aidant de ses mains agrippées à ma taille pour finir de m’empaler sur le gode.
— Il est maintenant planté jusqu’à la garde, me souffle-t-elle à l’oreille.
Soudée à moi, elle me travaille l’œillet sans faiblir, avec une habileté diabolique. Ne pouvant plus résister, je finis par exploser en déchargeant
un flot de sperme sur ma guêpière. Peu après, elle retire son gode-ceinture et réajuste ses jarretelles en prenant des poses lascives pour m’exciter à nouveau. Puis, sortant son sexe d’une taille
impressionnante, elle se masturbe avec un érotisme torride en me rejoignant sur le lit.
Elle aime lorsque qu’avec l’aide de mes pieds, je décalotte son gland en le frottant sur les fibres satinées de mes bas. Mais elle craque
littéralement quand je lui enfonce lentement mon orteil dans l’anus. La voyant trembler de désir, je décide de passer à l’action. Lui faisant face en la laissant allongée sur le dos, je m’assois
sur elle et pousse une à une des boules anales dans son intimité en l’entendant soupirer d’aise. Ensuite, je guide son sexe dans ma grotte restée largement ouverte. Sapant sa résistance, je
bascule en rythme mon bassin d’avant en arrière. Puis, je tourne lentement mes fesses autour de ce pivot de chair, en contractant mes muscles intimes. Je suis sur son visage l’irrésistible montée
de son orgasme. Quand je l’entends gémir, je me trémousse de plus belle en la faisant succomber rapidement à mon massage fessier.
Elle explose en moi dans de nombreux spasmes. Dans le même temps, je tire sur le fil qui pend entre ses cuisses en sortant d’un coup sec les boules
anales de son conduit. Elle pousse un cri en ayant un dernier sursaut avant de s’immobiliser, étourdie de plaisir. Totalement comblées et épuisées, nous ne tardons pas à nous endormir dans les
bras l’une de l’autre".¤
(Souhaitant conserver pour la journée la semence de mes partenaires, je m’enfonce un plug dans l’œillet. Ensuite, je me lève et les raccompagne à la porte pendant que Sabrina me suggère d’autres
jeux en prévision d’une prochaine rencontre).
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BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...
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