Lundi 5 février 1 05 /02 /Fév 00:15

il faut un début à tout

 

 

le bel inconnu du bus :

Students from The Rock School

La classe à l’académie de danse

 

      J'avais 15 ans Le lycée était situé à 20 minutes à pied de chez moi. Fort heureusement, une ligne de bus me permettait de faire le trajet en un peu plus de 5 minutes. Un peu fatigué par ma journée, je choisissais cette dernière option pour rentrer chez moi. Alors que j’avais le nez sur mon téléphone, je me redressai un peu précipitamment suite au freinage brutal du chauffeur devant un arrêt de bus. Alors que je m’apprêtais à poser à nouveau mon regard sur mon téléphone, je fus frappé par la beauté du garçon qui venait d’entrer dans le bus. Celui-ci, qui devait avoir à peu près mon âge, avait les cheveux châtains, une coupe à la Justin Bieber (lors de ses débuts, avec la mèche comme j’aime), était mince, assez grand, et dégageait une grâce que je ne manquai pas d’apprécier. Assis sur mon siège, je priai pour que ce garçon remarque la place assise qui était disponible à côté de moi. Mais malheureusement cet idiot alla s’installer sur le devant du bus, loin de mon regard. C’est donc déçu que je quittai le bus,,,

Malgré |la] chance d’avoir une famille [,,,] ouverte, je n’ai jamais eu de copain. Mais j’avais bien décidé que cette année cela changerait, car mes hormones me travaillaient de plus en plus. Et heureusement pour moi, même si je ne le savais pas encore, cette année sera celle de toutes les découvertes !

,,,L’image de ce garçon ne pouvait disparaître de ma tête ...

je me rendis au lycée en bus dans l’espoir de voir mon bel inconnu. Malheureusement pour moi, le bus était tellement rempli, que je ne pouvais [distinguer des autres] la moindre personne[...]

je me rendis avec ma mère à l’académie de danse pour m’y inscrire. Souhaitez-vous également que je vous inscrive aux cours de techniques spécifiques garçons du samedi matin ? -Euh... oui !

 

l’académie de danse

balletboys1: Gonzalo Garcia New York City Ballet

 

 

Je me renseignai auprès de la dame à l’accueil pour savoir où était située la salle de cours ainsi que les vestiaires. Arrivé devant ceux-ci, j’ouvris la porte et restai figé un moment, devant ce que je n’osais imaginer.

Voyant mon trouble, qui devait se voir comme un éléphant dans une baignoire, le bel apollon se rapprocha de moi pour me serrer la main.

— Salut, moi c’est Colin, tu es nouveau ici ?

— Euh, oui répondis-je en balbutiant comme un abruti.

— Et tu t’appelles comment ?

— A… A… A… Alexander (putain, je fais quoi là ?).

— Et bien enchanté Alexander, je suis content de te connaitre.

— Moi… Moi aussi.

Colin avait l’air de s’amuser de mon trouble mais le pire c’est qu’il continuait à me sourire. Et ça me déstabilisait à un point… Si là je ne suis pas grillé…

— Je te conseille de te dépêcher de te changer car le cours commence dans 5 minutes, reprit-il.

Ah oui, j’ai oublié de vous dire, celui qui se tenait là, devant moi était le bel inconnu du bus. Alors que je n’avais pu l’apercevoir que de loin auparavant, j’eus tout le temps de contempler la beauté de Colin. Son visage, ses cheveux, ses yeux, tout était magnifique. Son corps svelte était mis en valeur par des collants gris, moulant à perfection ses jambes, et mettant bien en valeur de jolies fesses musclées. La forme de son entrejambe visible ne manqua pas de me troubler encore plus. Ne pas bander devenait mission impossible, mais heureusement pour moi, Colin alla rejoindre la salle de danse, me laissant seul pour me changer et débander.

Une fois la même tenue enfilée, je gagnai la salle de danse ou je remarquai la présence de Laureen qui me souriait, surprise de me voir ici. Le cours se déroula très bien pour moi alors que je tenais la vedette, étant nouveau. Je m’efforçais de ne pas regarder Colin et de me concentrer sur le cours, et heureusement pour moi, cela fonctionnait. La première heure passée à la barre permit à la professeure de danse d’apprécier ma tenue droite, ma grâce, mon élégance ainsi qu’une certaine aisance et rapidité à exécuter les enchaînements (c’est elle qui m’a dit tout ça, je ne me vante pas bien sûr). Je me débrouillais apparemment si bien qu’on ne voyait pas une grande différence de niveau avec Colin. La dernière demi-heure au sol fut dédiée aux pirouettes et aux différents sauts du répertoire. À ce niveau, j’étais clairement moins bon même si je m’en sortais déjà très bien. C’est donc très satisfait que je quittai le cours sous les félicitations de ma professeure :

— Vous vous en sortez très bien jeune homme, vous avez un bon potentiel et je vais vous garder dans ce cours. Je pense que vous pourrez facilement rattraper le retard pris par rapport à Monsieur Linden.

— Merci madame, repris-je en prenant la direction des vestiaires.

— Elle a raison t’es plutôt bon, renchérit Colin.

— Ouais mais pas aussi beau que toi (merde je viens de dire quoi là ?).

— Aussi beau si, mais aussi bon non, rigola Colin en voyant mon trouble. Mais quelle connerie je venais de dire (enfin, non ce n’est pas une connerie).

Après cet épisode je regagnai le vestiaire et je ne pouvais m’empêcher de fixer les fesses de mon camarade qui me précédait, et cela ne tarda pas à déclencher une énorme érection qui devenait difficile à cacher tant elle prenait forme dans mon collant. En solution d’urgence, je décidai donc de me replier dans un coin du vestiaire pour me changer.

Alors que je commençais à enlever mon t-shirt, je sentis quelque chose d’étrange se poser au niveau de mon sexe. Quand je baissai mon regard, je pus apercevoir une main qui commençait à caresser délicatement mon érection. Bientôt, je sentis un souffle chaud au niveau de mon oreille:

— Pourquoi tu te caches, murmura Colin ?

— Je, je…

— Tu n’as rien à me cacher, je suis comme toi, reprit-il en se serrant contre mon corps. Je pouvais maintenant sentir son sexe bandé contre mes fesses.

— C’est que je n’ai jamais rien fait, répondis-je difficilement

Je ne savais plus où me mettre et Colin savait en jouer. J’étais pris entre une incroyable envie de céder à mon désir le plus fou, mais je ressentais comme une appréhension pour ce qui allait peut-être être ma première fois. Pendant que je me torturais l’esprit, Colin continuait de me malaxer le sexe bandé au travers de mon collant tout en m’embrassant dans le cou et en frottant énergiquement son sexe contre mes fesses.

— J’ai envie de toi beau blond,

Ne voyant pas de réaction de ma part, il reprit :

— Ne t’inquiète pas on ne fera rien dont tu n’as pas envie.

Ne voyant pas de réaction de ma part, Colin me retourna et posa ses lèvres sur les miennes. Bientôt sa langue chercha à entrer dans ma bouche et il commença à m’embrasser langoureusement. C’était la première fois que j’embrassais un garçon et ce moment était vraiment magique. Ce baiser dura plusieurs minutes et traduisait un profond désir réciproque entre nous deux. Durant cette embrassade nos corps se frottaient l’un contre l’autre, nos mains parcouraient avec envie nos corps encore recouverts de nos vêtements. À cet instant, Colin prit l’initiative de retirer mon t-shirt et commença à couvrir mon torse de baisers pour enfin arriver au niveau de mon nombril. J’étais au paradis, et quand il commença à baisser mon collant suivi de ma coquille, libérant ainsi mon sexe qui n’avait jamais été aussi dur, je compris que c’était le moment.

Avec sa langue, il commença par recueillir le liquide séminal qui dégoulinait le long de mon sexe. La sensation de sa langue sur ma bite m’arracha un petit cri. Puis, après avoir passé quelques minutes à jouer avec mon gland, en le léchant, en le suçant, en le caressant délicatement avec sa langue, Colin entreprit des va-et-vient, arrivant même à gober en entier les 15 cm de mon membre qui se dressait devant lui. J’étais aux anges et avais beaucoup de mal à ne pas laisser échapper quelques cris. Sentant ma jouissance venir Colin se redressa et se déshabilla en moins de 30 secondes. Après m’avoir embrassé tendrement, il me fit comprendre en appuyant de ses mains sur ma tête, qu’il attendait la même chose. Cependant, il me dit :

— Si tu n’en n’as pas envie, dis le moi.

— Si... c’est juste que je l’ai jamais fait avant.

— T’inquiète pas cela sera forcément très bien.

Je commençai à rapprocher mon visage de son bassin. Après lui avoir embrassé les tétons, le nombril, ma langue commença à jouer avec son gland, en essayant de reproduire ce qu’il m’avait fait. Je n’arrivais pas à le croire, pour la première fois, j’étais à genoux en train de sucer un magnifique garçon que je connaissais à peine. Après quelques délicates succions, Colin décida d’imprimer un rythme élevé en me tenant les cheveux. Son sexe allait et venait dans ma bouche et plus il venait, plus son sexe s’enfonçait. Je commençais à apprécier cet exercice et lui aussi au vue de l’expression de son visage et des gémissements qui sortaient de sa bouche. Sentant sa jouissance venir, Colin se retira et se dirigea vers son sac pour y prendre un tube de gel ainsi qu’un préservatif. Voyant cela je fus un peu paniqué et dit :

— Je ne sais pas si je suis prêt pour ça.

— Ne t’inquiète pas je ne te forcerai à rien, j’avais juste envie de te sentir en moi, si cela ne te gêne pas dans ce sens-là ?

— Non, répondis-je rassuré.

Colin enfila le préservatif le long de mon sexe et mit un peu de gel sur celui-ci. Il alla ensuite se positionner au-dessus de moi. Et à ma grande surprise, et sans aucune préparation, il s’empala sec sur ma bite. Une sensation de chaleur m’envahit. C’était à la fois étrange et agréable mais, très vite, au fur et à mesure que Colin allait et venait sur ma bite bandée, je ressentis un plaisir intense. Il n’avait pas tardé à remuer ses fesses sur mon sexe qui apparaissait et disparaissait entièrement au rythme que Colin imprimait. Très passif au début je commençai à prendre l’initiative et à remuer mon bassin. Ce qui ne manqua pas de faire crier Colin :

— Vas-y mon amour viens en moi, oh oui vas-y plus vite.

J’imprimais maintenant un rythme effréné, et sous les cris étouffés de mon partenaire je ne tardai pas à éjaculer une quantité impressionnante de sperme. C’est donc vidé que je me retirai de ses fesses. Colin était, à son tour, sur le point de jouir. Afin de le soulager au plus vite, je m’accroupis et terminai le travail dont le fruit alla se loger en partie au fond de ma gorge et sur mon visage.

J’étais vidé mais épanoui de cette première fois.

http://www.gai-eros.org/w/index.php/Pas_de_deux_(02

                     

 

 

Par ALEXANDER - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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