Mercredi 31 janvier 3 31 /01 /Jan 06:40

"53 ans après les habitants de Palerme me reconnaissent dans la rue...c'est stupefiant! "

 

envie d'avoir envie !

Ajoutée le 29 sept. 2016 PLUS D' UN AN PASSE DEJA /

Stupéfiant! a fait un rêve : revoir Alain Delon dans le palais du Guépard, l’un des plus grands films de l’histoire du cinéma. 53 ans après, l'acteur a accepté de retourner au Palais Gangi à Palerme, là où Luchino Visconti a tourné la mythique scène du bal.

«Stupéfiant !», le magazine culturel présenté par Léa Salamé.
Mercredi à 22.40 sur France 2

Depuis il a fait une interview dans laquelle il dit son degoût pour le monde actuel.

Par FRANCE 2 SALAME DELON - Publié dans : L'ART DE /erotic music ciné danse peintur litter.. - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 30 janvier 2 30 /01 /Jan 22:09

autre question, dans certaines scènes, qui, de la femme ou de l'homme, possède l'autre ?  

Par SANSEVERIO - Publié dans : ELLES ET NOUS & VIDEOS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 30 janvier 2 30 /01 /Jan 11:45

      Comment les hétérosexuels qui ont des rapports sexuels avec des hommes expliquent-ils leurs rencontres ? Par Jesse Singal 

 

 

Photo: Emma Innocenti/Getty Images -"je n'y suis jamais parvenu mais je souhaitais qu'un amant à moi soit reçu à la maison comme un ami et seulement comme tel, sans que je ne courre aucun risque de me voir supplanté dans mon ménage par un gars qui serait comme moi".     

  é   

       ll est fascinant de constater que des hétérosexuels ont des relations sexuelles avec d'autres hommes, car cela met en lumière des façons personnelles extrêmement originales de vivre son identité sexuelle et la façon dont chacun se situe au sein de la société.
C'est pourquoi certains sociologues et autres chercheurs ont été très désireux de rechercher de tels hommes pour les entendre expliquer comment ils arrivent à inclure leur activité sexuelle de même sexe dans leur vie d'hétérosexuels. 
Dans l'espoir de mieux comprendre cette population Hector Carrillo et Amanda Hoffman de la Northwestern University(USA) ont mené 100 entrevues, avec des hommes qui s'identifiaient comme hétérosexuels mais qui cherchaient à avoir des rapports sexuels occasionnels avec des hommes qu'ils rencontraient, en ligne, par le biais du NET. Ces entrevues, ont été principalement menées en ligne par trois chercheuses, et, à la fin, Carillo et Hoffman ont résumé ce qu'ils ont trouvé:
   Pourquoi les hommes hétérosexuels ont-ils des rapports sexuels entre eux
      
Ils expliquent qu'ils sont exclusivement ou principalement attirés par les femmes, et beaucoup concluent également qu'ils n'ont aucune attirance sexuelle pour les hommes malgré leur désir d'avoir des rapports sexuels avec des hommes. Ils définissent l'attraction sexuelle comme une combinaison d'attraction physique et émotionnelle, et ils évaluent que leur intérêt pour les femmes inclut les deux, alors que leur intérêt pour les hommes est purement ou principalement sexuel, pas romantique ou émotionnel.
De plus, certains perçoivent qu'ils ne sont pas attirés vers les corps masculins de la même manière qu'ils sont attirés par les corps féminins, et certains observent que la seule partie physique d'un homme qui les intéresse est son pénis. Les hommes de ce type ne trouvent pas les hommes beaux ou attirants, mais ils trouvent les pénis attirants, et ils voient ainsi les pénis comme des «godes vivants» ou, en d'autres termes, des objets désincarnés du désir qui fournissent une source de plaisir sexuel. -"ce que je fais avec une femme est bien différent de ce que je peux faire avec un homme !"       Leur intérêt sexuel pour les femmes est plus grand et plus intense que leur intérêt pour les hommes, ils limitent parfois leurs répertoires de pratiques homosexuelles à la fellation et/ou à la sodomie pas toujours réciproque  ,et le plus souvent,  les interprètent comme moins importantes que leurs pratiques sexuelles avec les femmes. De cette façon, ils peuvent se dire que leur intérêt sexuel et émotionnel pour les femmes est illimité, alors que leur intérêt sexuel pour les hommes se limite à ce qui vient d'être dit.

Tout ceci contribue à leur sentiment d'être qualifiables d'hétérosexuels, même si certains reconnaissent aussi que leurs sexualités diffèrent en effet de l'hétérosexualité exclusive qui ne se veut pas "PD", ce qui les conduit à adopter des dé
finitions plus complexes de leurs identités sexuelles. Comme indiqué par la variété des termes qu'ils ont utilisés, ces descriptions renforcent souvent la perception selon laquelle, en tant qu'orientation sexuelle, l'hétérosexualité est élastique plutôt que rigide - qu'un certain degré de désir et de comportement ne doit pas automatiquement pousser un individu hors de l'hétérosexualité. 
   Et bien que certains hommes soient prêts à reconnaître que leurs comportements sexuels pourraient être qualifiés de bisexuels - et qu'il leur arrive, en privé, de s'identifier à cette étiquette - ils estiment qu'il n'y a aucune contradiction entre la conscience privée d'être bisexuel et s'affirmer en tant que personnage public hétérosexuel. Encore une fois, cette conclusion est renforcée par le manque de volonté des gens d'adopter l'identité bisexuelle. Il est intéressant de garder cette interprétation à l'esprit lorsque vous lisez des extraits d'entrevues. Prenons, par exemple, les hommes qui ont cherché à faire comprendre très clairement que, même s'ils s'entendaient parfois très bien avec des hommes, ils aimaient vraiment les femmes:

-"Je sais ce que j'aime. J'aime la chatte. J'aime les femmes ... il y en a mieux c'est. EN AUCUN CAS je peux embrasser un homme, sinon à peine un bisou"  ..." J'ai une imagination sexuelle saine et je m'interroge sur d'autres choses que je n'ai jamais faites dans le domaine sexuel ... Parfois, je deviens méchant et j'explore ... C'est comme ça que je le vois". [Reggie, 28ans]

"Les femmes sont chaudes ... Je peux voir une belle femme marcher dans la rue et je peux instantanément m'exciter et bander. Je ne pense pas avoir jamais vu un gars passer et me faire cet effet-là. Aussi, je ne voudrais pas embrasser ou fairema vie avec eux ou les aimer. Ils ressemblent plus à une expérience sexuelle". [Charlie, 32 ans]



Dans notre enquête certains hommes pensaient que leur comportement les qualifiait peut-être de bisexuels, mais ne voulaient pas vraiment prendre la décision de s'identifier comme tels:

"Je pense que tout le monde est un peu bi. N'est-ce pas la raison de cette recherche? Il y a l'échelle de Kinsey qui lui-même l'était... Ce n'est pas comme si Trump disait que ou bien vous êtes avec nous ou bien avec les terroristes, soit ou homo ou hétéro, point barre. Je pense que je suis probablement bi mais ce que je présente au monde est un homme hétérosexuel. En interne, pour moi, je suis bi, mais ce n'est pas quelque chose que les gens savent (excepté mes partenaires -lol-). Je n'ai pas honte, mais la majorité des gens sont ignorants et fermés et pas capables de tolérance" . [Simon, 27ans]

-"Je ne suis pas ouvertement bisexuel en société sauf dans les situations sexuelles ... Je n'ai pas de relations avec les hommes; Je suis en relation avec ma femme et je l'aime seulement. [Je suis bisexuel] seulement avec des hommes derrière des portes closes". [Dustin, 28 ans]

      Carrillo et Hoffman, les auteurs de l'enquête, notent que beaucoup de leurs interviewés ne voient "aucun réel avantage personnel ou social à se déclarer bisexuel"     Dans de nombreux cas, il n'est peut-être pas dans leur intérêt de le faire - d'où la compartimentation de leurs rencontres entre personnes de même sexe.

Une autre raison d'une telle compartimentation est qu'elle permet à certains hommes d'explorer des parties de leur identité qu'ils pensent ne pas pouvoir utiliser en toute sécurité dans des contextes hétérosexuels:

 " Pendant la majeure partie de ma vie sexuelle, je contrôle les choses. Je ne suis plus un patron au travail mais j'ai été dans des situations où j'ai géré une centaine de personnes à la fois. Je prends soin de ma famille. Je prends soin de mes enfants. Je suis un bon père. Je suis un bon mari en fournissant des choses matérielles pour ma femme ... Je suis en charge dans beaucoup d'endroits (famille, associations etc) ... Il y a des moments où je ne veux pas être en charge et je veux que quelqu'un soit en charge de moi ... c'est ce que m'amène chez les bisexuels ... c'est en quelque sorte me soumettre à un autre gars ou être utilisé par un autre gars". [Russell, 54]

«Intéressant», écrivent Carrillo et Hoffman, «être dominé par un homo occasionnel leur semble moins menaçant que d'être dominé par un partenaire stable, peut-être parce qu'il peut être interprét comme un fantasme temporaire, au lieu de signifier un changement permanent et définitif dans la partie de leur sexualité vécue au 'grand jour'. "

      Dans une  dernière étude sur ce sujet que je couvrais pour ma thèse, cette même dynamique a fait surface - l'idée que les hommes "retirent" du sexe quelque chose  que les femmes ne comprennent pas, et parce qu'il y a une incompréhension de ce qui se passe qui n'est juste que du sexe, point barre et ne représente pas la vérité, l'intégralité de ce type d'homme et doit être mis à part loin du reste de son identité (hétérosexuelle). Vous pouvez être un «bon père», ce que beaucoup d'hommes entendent par être un homme fort et droit, tout en s'amusant avec les hommes à côté. Du point de vue de ces hommes, ils peuvent avoir les deux - les privilèges de l'identification comme droite et le plaisir et l'excitation des relations de même sexe sur le côté - sans que leur identité soit menacée.   
   

  Et bien que certains hommes soient prêts à reconnaître que leurs comportements sexuels pourraient qualifier leur être appelé bisexuel - et ils peuvent s'identifier en privé à cette étiquette - ils estiment qu'il n'y a aucune contradiction entre la conscience privée d'être bisexuel et un personnage public hétérosexuel. Encore une fois, cette conclusion est renforcée par le manque d'incitations sociales à adopter des identités bisexuelles. Il est intéressant de garder cette interprétation à l'esprit lorsque vous lisez les extraits d'entrevues. Prenons, par exemple, les hommes qui ont cherché à faire comprendre très clairement que, même s'ils s'entendaient parfois avec des hommes, ils aimaient vraiment les femmes:

"Je sais ce que j'aime. J'aime la chatte. J'aime les femmes ... plus on est de fous ... J'embrasse une femme. NULLE PART je peux à peine embrasser un homme ... J'ai une imagination sexuelle normale et je m'interroge sur d'autres choses dans le domaine sexuel que je n'ai jamais fait ... Parfois, je deviens pervers et j'explore ... C'est comme ça que je le vois". [Reggie, 28]¤

 

 

 

 

Par Carrillo et Hoffman - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 30 janvier 2 30 /01 /Jan 08:46

FUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU!!!...

fuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuck !!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par FUNYFUK - Publié dans : FOUS RIRES DECONNE (HUMOUR, FUN) - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 30 janvier 2 30 /01 /Jan 07:22

Tout en embrassant une fille, j’en baisais une autre, qu’une troisième embrassait et une quatrième branlait...Nous étions six si je compte bien. Je ne pensais plus du tout à notre conducteur, parti se consoler avec une bouteille. À tel point que quand j’ai senti une main qui s’insinuait entre mes fesses...

 

Nous avons déposé nos provisions et nous sommes installés autour de la table pour pique-niquer (« Avant de niquer tout court » me suis-je dit tout bas). Vu le nombre insuffisant de chaises, Toinette s’est installée de nouveau sur mes genoux, sagement, en amazone. Mado, Michel, et Nicole ont pris les trois autres, et Julie s’est perchée sur le bord de la table, un peu tournée vers moi, la jambe gauche étendue, la cuisse droite reposant sur la table, le pied pendant dans le vide. La pose faisait remonter sa petite jupe, ce qui était manifestement son intention. Elle mangeait goulûment et ses yeux plantés dans les miens étaient gourmands aussi. Sa première faim calmée, Toinette s’est tournée et à califourchon sur mes cuisses, elle m’a embrassé. J’ai posé mes mains sur ses genoux et doucement je les ai fait glisser sur ses cuisses, remontant sa jupe jusqu’aux hanches. Notre baiser se prolongeait, mélangeant notre salive et nos miettes. Je tenais Toinette par les hanches et avec les deux pouces je tirais doucement les coins de son triangle de poils; le mouvement devait taquiner son clitoris et elle a frissonné en se plaquant contre moi. Puis elle s’est écartée pour s’activer sur ma ceinture et la fermeture de mon jean. J’ai empoigné ses fesses et j’ai soulevé les miennes de la chaise avec l’espoir de faire tomber mon fut et le slip. Bonne fille, Julie est venue m’aider : elle a brusquement déplacé la chaise avant d’attraper mes vêtements à deux mains pour les descendre sur mes chevilles. Je me suis retrouvé penaud, les pieds entravés et une fille sur les bras ; Toinette n’était pas bien lourde, mais j’étais encombré, ne sachant pas très bien comment faire avancer la situation et craignant de tomber. C’est encore Julie qui nous a tirés d’affaire. Elle s’est saisie de ma bitte pour la guider vers le con de sa copine. De son autre main elle a ouvert le vagin et j’ai senti ma bitte glisser entre ses doigts puis entre les nymphes de Toinette.

 

Je me trouvais donc debout, les genoux fléchis, les bras de Toinette noués autour de mon cou, sa tête contre ma poitrine et ses talons sur mes reins ; je tenais ses fesses dans mes mains et j’avais ma bitte au fond de son ventre. Toujours aussi serviable, Julie nous étayait pour que nous ne perdions pas l’équilibre. Elle a saisi mes bourses : augmentant la pression, elle a susurré, espiègle,

 

— C’est pour pas que tu gicles trop vite. Je voudrais qu’il en reste pour moi.

 

Bien calé par Julie et même aidé un peu par son avant-bras qui écartait et poussait mes fesses, je travaillais des genoux et des cuisses pour faire coulisser mon sexe dans le con de Toinette. Elle y mettait du sien, tirant des mains, poussant des pieds, et nos mouvements étaient rythmés par ses halètements et par le léger clapotis de sa cyprine qui coulait avec abondance. Julie participait de son mieux à nos ébats. Lâchant de temps en temps mes couilles, elle étalait la cyprine qui coulait, venait fouiller entre mes fesses de la main droite tandis que la gauche tantôt caressait le clitoris de Toinette, tantôt passait derrière pour lui pénétrer l’anus. Par moments, nous nous trouvions tous les deux sodomisés par les doigts de Julie. Cela me faisait pousser plus loin dans le con qui me serrait convulsivement au rythme de mes coups. Toinette haletait de plus en plus fort, ses fesses et son con se contractaient de plus en plus vite. La tête renversée, elle a commencé à crier, puis elle m’a serré à m’étouffer. J’ai cru sentir contre ma verge le doigt de Julie dans le rectum de ma partenaire et j’ai joui à mon tour. Mes mains crispées sur les petites fesses dures, je cognais du bassin en giclant de longs jets brûlants.

 

Vidé, épuisé, j’ai senti que Toinette relâchait l’étreinte de ses jambes ; je l’ai posée en douceur et nous sommes restés enlacés tous les trois, Toinette et moi chancelants, flageolants, Julie toujours fraîche. Elle gardait encore mes bourses dans le creux de sa paume, et plaquée contre moi elle a léché la sueur qui coulait sur ma poitrine avant de tourner la tête vers sa copine : les deux filles se sont roulé une super-pelle. Malgré le coup que je venais de tirer, je trouvais la situation excitante. J’étais trempé de sueur, les seins de Toinette collaient à ma peau, j’avais la bitte poisseuse, et Julie jouait avec mes couilles. Mais mes réactions n’étaient tout de même pas assez rapides au goût de Julie.

 

— Allonge-toi par terre, me dit-elle. Je ne vais pas attendre cent-sept ans que tu rebandes. On va voir ça d’un peu plus près.

 

Me voilà donc allongé sur le dos. Toinette et Julie se sont activées chacun sur un de mes mamelons, mordillant et suçant pendant que leurs mains s’unissaient autour de ma bitte.

 

— Je crois que ça va viendre, dit Julie. Tu prends le haut, je vais finir de mettre le bas en état.

 

Ce disant, elle s’est penchée sur mon bas-ventre. J’ai senti son souffle sur ma bitte encore luisante de la mouille de Toinette, puis elle l’a prise dans sa bouche. Au même moment, Toinette m’a pris les lèvres pour un long baiser. Le mimétisme a joué : j’ai commencé à faire avec ma langue dans la bouche de Toinette ce que ma bitte voulait faire dans la bouche de Julie. À l’époque j’étais jeune, et puis j’avais deux jeunes femmes qui s’occupaient activement et énergiquement de ma personne. Ça n’a pas été excessivement long. Avec un « voilà ! » D’autosatisfaction, Julie a sorti ma bitte de sa bouche pour se mettre à genoux au-dessus de moi et se l’enfourner par l’autre bout. Lentement, elle a commencé à monter et descendre sur mon sexe tendu, tout en se frottant le ventre des deux mains. Toinette a cessé de m’embrasser pour s’installer face à sa copine. Pendant que Julie se caressait le ventre, Toinette a tendu les mains vers sa poitrine. Elle a pris les seins de Julie, taquinant la pointe de son pouce. Puis les filles ont recommencé à s’embrasser. Au-dessus de ma figure, je voyais les fesses et la fente de Toinette, et malgré l’odeur un peu repoussante de sa cyprine mélangée avec mon foutre, j’ai saisi les fesses de mes deux mains et je me suis mis à lécher. Bientôt j’étais emporté ; c’était le même mimétisme que tout à l’heure, sauf que maintenant ma langue et ma bitte n’étaient plus dans la bouche de la fille, mais dans son vagin. Grâce aux bons offices de Julie, je n’avais pas eu trop de mal à rebander, mais j’avais quand même déjà joui, et cette deuxième fois, le plaisir s’est fait attendre. Ça n’a pas déplu aux filles : son premier orgasme atteint, Julie a continué à s’activer sur ma bitte, tout en embrassant sa copine, jusqu’à ce qu’elles jouissent encore ensemble. Avec un peu de retard, j’y suis allé moi-même de mon jet de foutre, la figure enfoncée entre les fesses de l’une, donnant de furieux coups de verge dans le con de l’autre, avant que nous roulions tous les trois sur le côté, ruisselants et épuisés.

 

Sur le sofa, assis en rang d’oignons, les trois autres nous regardaient. Michel entre Mado et Nicole, le pantalon et le slip baissés sur ses chevilles, la bitte reposant bien sagement sur ses couilles et les bras croisés. Mado et Nicole, vêtues encore correctement, avaient aussi les bras croisés, et tous les trois arboraient un air plutôt ennuyé.

 

— Y en a, dit Mado, qui s’amusent. Alors que nous autres… Tendant le bras, elle saisit le prépuce de Michel entre le pouce et l’index, soulève la bitte flasque et la laisse retomber. Faut croire qu’on l’inspire pas plus que ça. Michel a haussé les épaules, puis il s’est levé pour aller chercher un litron sur la table.

— Je me console, dit-il.

— Et çui-là, dit Mado, vous croyez qu’il pourrait encore consoler ?

 

Julie pouffe.

 

— Ben, il nous a consolées, nous deux.

— Et on dit jamais deux sans trois. Reste à savoir si ça pourrait être vrai. Parce que les garçons, c’est souvent, « Je rentre, je sors, Bon soir, je m’endors. »

 

Je ne savais pas trop quelle contenance prendre. Et surtout, je ne savais pas à quel point on pouvait compter sur mes performances. Jusque là, mes coucheries faciles ne s’étaient pas souvent produites dans des circonstances où on avait les loisirs de remettre le couvert. Des folies d’un soir, des filles de rencontre, oui, mais jamais très longtemps une petite amie attitrée avec qui je pouvais passer la nuit tranquille.

 

Je me suis étiré, j’ai bâillé, et j’ai regardé Mado avec une moue dubitative. De fait, je me sentais un peu flagada. Mais Mado n’était pas fille à se décourager. Puisqu’avec Michel, ça ne marchait pas, elle allait se débrouiller autrement. Me regardant droit dans les yeux avec un sourire malicieux, elle a défait sa ceinture, et dans un mouvement sinueux, elle a soulevé les fesses et fait glisser jean et culotte, secouant un pied puis l’autre pour se débarrasser de ses tennis, puis elle a balancé son jean derrière elle. Puis, les genoux écartés et son sexe roux et poilu au bord du coussin, elle m’a lancé son défi.

 

— Viens-y donc, me dit-elle, viens goûter de la rouquine. Si ta petite queue n’a plus la force, viens travailler de la langue.

 

C’était de l’ordre des choses possibles. À quatre pattes je me suis approché lentement, souriant à mon tour, amusé, émoustillé, par la lueur coquine de ses yeux verts. J’ai donné un petit coup de langue pour écarter les poils, puis j’ai insisté un peu sur le clitoris, avant de lécher un grand coup, remontant sur les grandes lèvres pour finir encore sur le clitoris. Mado a respiré fort, puis poussé un soupir bruyant. J’ai placé mes mains sur ses cuisses, et je me suis mis sérieusement au travail. Mado m’encourageait de la voix et de ses mains sur ma tête. Je me suis rendu compte qu’elle faisait des mouvements désordonnés pour quitter sa chemise, aidée par Nicole, et tout en continuant de la lécher, je me suis mis à lui caresser le corps, glissant mes mains partout, remontant pour lui prendre les seins, glissant sur ses côtes en descendant. Mado frissonnait et roucoulait de plaisir.

 

Faire minette, ça m’excite. C’est le contact d’un sexe à l’état cru. Maintenant que je suis vieux et que je ne bande plus aussi facilement qu’en ces temps lointains de ma folle jeunesse, c’est en léchant soigneusement la chatte de ma partenaire que je la fais patienter et que je m’amène à une grosseur et une raideur convenables. Là, la langue dans les poils et le nez plein de son odeur de rousse, je sentais grossir mon sexe. De plus en plus excitée, Mado remuait des fesses et grognait. J’en étais à embrasser son sexe baveux à pleine bouche, enfonçant ma langue dedans, à mordiller son clito. J’ai senti qu’une des filles posait un bras sur mes épaules : elle s’est mise à genoux à côté de moi, et une main curieuse a tâté ma verge. J’ai reconnu la voix de Julie.

 

— Je crois qu’il est presque à point.

 

Elle a plaqué un baiser sur ma joue, avant de s’élancer pour étreindre le buste de Mado et lui dire à l’oreille, mais pas trop bas,

 

— Il a pas une bitte bien grande, mais il tient la distance avec.

 

Mado lui a attrapé la tête pour lui rouler une pelle fougueuse. Abandonnant la cramouille baveuse, j’ai pris les deux filles dans mes bras et nous avons fait un patin à trois, passant de la bouche à Mado à celle de Julie, puis me retrouvant avec deux langues fouillant ma bouche à moi. Mado m’a saisi la bitte, et m’a décerné un satisfecit en fourrant sa langue dans mon oreille avant de me susurrer « Viens, viens en moi ». Elle s’est tournée pour se coucher, la tête sur les coussins défoncés du sofa, les fesses remontées sur l’accoudoir et les jambes pendantes. Debout, la bitte à l’horizontale, j’ai attrapé ses cuisses et je me suis penché pour l’enfiler. Elle n’avait pas le con étroit, Mado, et grâce à mes efforts, elle était bien mouillée aussi. Je glissais doucement en elle, m’enfonçant jusqu’aux couilles pour ressortir lentement, savourant sur la couronne de mon gland la légère friction de son vagin et la fraîcheur du soir sur ma bitte humide. Je profitais aussi du plaisir visuel, de voir ses lèvres vaginales, rouges et gonflées, écartées par ma bitte, de voir apparaître sous le bouton de son clitoris le bord de mon gland, puis, en replongeant dans l’antre humide, de voir se mélanger nos poils noirs et roux.

 

A ce rythme-là, je pensais que je pouvais assurer longtemps, et je me promis d’attendre la montée de la passion chez Mado avant d’accélérer. De son côté, elle accueillait mes coups de bitte, soulevant son bassin à la même cadence. Assise par terre près d’elle, Julie lui caressait les seins, et de temps en temps les deux filles se roulaient un patin langoureux. Jusque là, Nicole était restée en dehors des ébats, la tentative infructueuse avec Michel ne pouvant pas être prise en compte. Là, debout derrière le sofa, elle paraissait se contenter de regarder. Ne voulant pas être en reste, Toinette s’était approchée. Pendant que Julie embrassait et caressait Mado par le haut et que moi je la besognais par le bas, Toinette s’est collée contre Nicole, un bras passé autour de ses épaules. Joue contre joue, les deux filles se sont approchées. Prenant la main de Nicole, Toinette l’a placée sur le ventre de Mado, puis l’a poussée, vers le bas, vers la toison rousse bien fournie. Timidement, Nicole a commencé a titiller le clitoris de la grande. Voyant qu’elle allait continuer, Toinette s’est penchée pour m’embrasser.

 

Dans ma tête, avec un reste de lucidité, j’analysais le tableau. Tout en embrassant une fille, j’en baisais une autre, qu’une troisième embrassait et une quatrième branlait. Les attouchements de Nicole augmentaient les sensations que j’éprouvais dans le con de Mado, et je ne pensais plus du tout à notre conducteur, parti se consoler avec une bouteille. À tel point que quand j’ai senti une main qui s’insinuait entre mes fesses, j’ai d’abord pensé que c’était Toinette qui me taquinait. Une joue râpeuse sur mon épaule m’a détrompé. La main se faisait plus insistante, et une autre main faisait pression sur ma nuque, m’obligeant à me pencher plus en avant.

 

— Laisse-toi faire, j’ai du gel.

 

La voix de Michel était rauque. J’ai senti quelque chose de froid entre mes fesses, Michel s’est mis me lubrifier l’anus avec le gel, frottant tout autour, appuyant, rentrant un doigt, le retirant, remettant du produit, enfonçant le doigt plus loin, le tournant, écartant, élargissant l’ouverture.

 

J’avais eu des curiosités, mais à part lorgner sournoisement le sexe des autres garçons aux vestiaires du lycée ou, plus discrètement, dans les toilettes publiques, je n’avais jamais envisagé un rapport homosexuel. Là, je ne voyais pas comment refuser. J’avais baisé deux filles, j’étais en train de m’en payer une troisième que je ne voulais pas laisser en plan. Ma fierté m’empêchait de protester. Et puis, sous l’effet de ce doigt dans mon cul, je donnais des coups de bitte plus forts. Une doigt, puis un deuxième, puis j’ai senti autre chose contre mon trou. C’était doux mais ferme. Michel a posé soigneusement son gland contre mon anus, puis il a écarté mes fesses de ses deux mains, et il a poussé. J’ai dû rester sans bouger, le buste penché en avant, les fesses écartées. Je me suis rendu compte que les autres regardaient. Tous, on restait figé. Lentement, doucement, la verge de Michel est rentrée dans mon cul. Il n’avait pas pleuré le gel lubrifiant, et comme il m’avait préparé, je n’ai pas eu mal. Un soupir contre mon oreille, le contact de son ventre, m’ont averti qu’il avait réussi à glisser toute la longueur en moi. Puis, ensemble, nous avons commencé à bouger. Doucement encore, comme avant. Toinette me couvrait la figure de petits baisers, Mado me regardait, les yeux grands ouverts. Julie lui pétrissait les seins et l’embrassait longuement dans le cou. Les doigts de Nicole allaient et venaient dans la toison rousse. Je commençais à sentir le gland de Michel buter contre ma prostate, poussant ma bitte à moi dans le ventre de Mado, et j’avais l’impression étrange d’être traversé, comme si avec une bitte d’une longueur inhabituelle, Michel me transperçait pour baiser Mado. Il me parlait.

 

— J’en avais envie. Je t’ai embarqué parce que je te trouvais beau, j’avais envie de toi. T’as un joli cul, tu sais, je suis bien en toi.

 

Michel me tenait les hanches, c’était maintenant lui qui imposait le rythme. Petit à petit, on accélérait, les coups étaient plus forts, je tapais plus loin dans le ventre de Mado. Dans mon dos, Michel soufflait plus fort. Le vieux sofa couinait, puis, tout à coup, Michel a poussé un cri. J’ai senti que j’avais le cul plein de liquide, que ça coulait, pompé par les coups de boutoir de mon enculeur. Je donnais des coups rageurs en Mado, tirant ses cuisses. Au même moment, j’ai senti que Nicole lui pinçait le clitoris. Elle s’est raidie en un spasme tétanique, les fesses soulevées, le dos arc-bouté. Toinette a cherché ma bouche, me serrant dans ses bras, et j’ai éjaculé. Une puissante brûlure, une secousse qui a arraché de mes testicules les dernières gouttes de sperme.

 

Michel s’est dégagé doucement, me quittant avec un petit câlin sur la fesse et un baiser su l’épaule.

 

— Merci, mec, t’étais super.

 

La bitte flasque et le cul poisseux, je me suis retiré de Mado. Je suis resté un moment à l’admirer, impudique et offerte, les fesses relevées, les cuisses écartées, une touffe de poils roux couronnant une fente humide, les lèvres rouges et gonflées, d’où coulait un tout petit filet de sperme. Elle subissait toujours les délicates attentions de Julie, mais elle a tourné la tête pour me sourire. Pris d’un soudain accès de tendresse, je me suis penché pour lui embrasser le clitoris, le titillant avec ma langue. Goût de cyprine et de sperme sur ma langue, du sperme et sans doute de la merde dégoulinant de mes fesses. Quelle soirée.

 

Bon prince, Michel, en maître de maison sachant recevoir, avait déniché dans un bahut une pile de serviettes. Elles sentaient un peu le renfermé, mais j’ai tout de même été sacrément content d’en attraper une et qu’il me lance, avec un sourire,

 

— Je pense que t’as largement gagné le droit de passer le premier sous la douche.

— Tu parles, Charles, présent à l’appel, Michel.

  Image associée 

 

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  • : 15/12/2012

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