Partager l'article ! "PRIS" en autostop...partouze tous sexes. Michel fait le plein de filles de sa bagnole et m'embarque aussi...Il a ses raisons !: Tout en embrassa ...
Tout en embrassant une fille, j’en baisais une autre, qu’une troisième embrassait et une quatrième branlait...Nous étions six si je compte bien. Je ne pensais plus du tout à notre conducteur, parti se consoler avec une bouteille. À tel point que quand j’ai senti une main qui s’insinuait entre mes fesses...
Nous avons déposé nos provisions et nous sommes installés autour de la table pour pique-niquer (« Avant de niquer tout court » me suis-je dit tout bas). Vu le nombre insuffisant de chaises, Toinette s’est installée de nouveau sur mes genoux, sagement, en amazone. Mado, Michel, et Nicole ont pris les trois autres, et Julie s’est perchée sur le bord de la table, un peu tournée vers moi, la jambe gauche étendue, la cuisse droite reposant sur la table, le pied pendant dans le vide. La pose faisait remonter sa petite jupe, ce qui était manifestement son intention. Elle mangeait goulûment et ses yeux plantés dans les miens étaient gourmands aussi. Sa première faim calmée, Toinette s’est tournée et à califourchon sur mes cuisses, elle m’a embrassé. J’ai posé mes mains sur ses genoux et doucement je les ai fait glisser sur ses cuisses, remontant sa jupe jusqu’aux hanches. Notre baiser se prolongeait, mélangeant notre salive et nos miettes. Je tenais Toinette par les hanches et avec les deux pouces je tirais doucement les coins de son triangle de poils; le mouvement devait taquiner son clitoris et elle a frissonné en se plaquant contre moi. Puis elle s’est écartée pour s’activer sur ma ceinture et la fermeture de mon jean. J’ai empoigné ses fesses et j’ai soulevé les miennes de la chaise avec l’espoir de faire tomber mon fut et le slip. Bonne fille, Julie est venue m’aider : elle a brusquement déplacé la chaise avant d’attraper mes vêtements à deux mains pour les descendre sur mes chevilles. Je me suis retrouvé penaud, les pieds entravés et une fille sur les bras ; Toinette n’était pas bien lourde, mais j’étais encombré, ne sachant pas très bien comment faire avancer la situation et craignant de tomber. C’est encore Julie qui nous a tirés d’affaire. Elle s’est saisie de ma bitte pour la guider vers le con de sa copine. De son autre main elle a ouvert le vagin et j’ai senti ma bitte glisser entre ses doigts puis entre les nymphes de Toinette.
Je me trouvais donc debout, les genoux fléchis, les bras de Toinette noués autour de mon cou, sa tête contre ma poitrine et ses talons sur mes reins ; je tenais ses fesses dans mes mains et j’avais ma bitte au fond de son ventre. Toujours aussi serviable, Julie nous étayait pour que nous ne perdions pas l’équilibre. Elle a saisi mes bourses : augmentant la pression, elle a susurré, espiègle,
— C’est pour pas que tu gicles trop vite. Je voudrais qu’il en reste pour moi.
Bien calé par Julie et même aidé un peu par son avant-bras qui écartait et poussait mes fesses, je travaillais des genoux et des cuisses pour faire coulisser mon sexe dans le con de Toinette. Elle y mettait du sien, tirant des mains, poussant des pieds, et nos mouvements étaient rythmés par ses halètements et par le léger clapotis de sa cyprine qui coulait avec abondance. Julie participait de son mieux à nos ébats. Lâchant de temps en temps mes couilles, elle étalait la cyprine qui coulait, venait fouiller entre mes fesses de la main droite tandis que la gauche tantôt caressait le clitoris de Toinette, tantôt passait derrière pour lui pénétrer l’anus. Par moments, nous nous trouvions tous les deux sodomisés par les doigts de Julie. Cela me faisait pousser plus loin dans le con qui me serrait convulsivement au rythme de mes coups. Toinette haletait de plus en plus fort, ses fesses et son con se contractaient de plus en plus vite. La tête renversée, elle a commencé à crier, puis elle m’a serré à m’étouffer. J’ai cru sentir contre ma verge le doigt de Julie dans le rectum de ma partenaire et j’ai joui à mon tour. Mes mains crispées sur les petites fesses dures, je cognais du bassin en giclant de longs jets brûlants.
Vidé, épuisé, j’ai senti que Toinette relâchait l’étreinte de ses jambes ; je l’ai posée en douceur et nous sommes restés enlacés tous les trois, Toinette et moi chancelants, flageolants, Julie toujours fraîche. Elle gardait encore mes bourses dans le creux de sa paume, et plaquée contre moi elle a léché la sueur qui coulait sur ma poitrine avant de tourner la tête vers sa copine : les deux filles se sont roulé une super-pelle. Malgré le coup que je venais de tirer, je trouvais la situation excitante. J’étais trempé de sueur, les seins de Toinette collaient à ma peau, j’avais la bitte poisseuse, et Julie jouait avec mes couilles. Mais mes réactions n’étaient tout de même pas assez rapides au goût de Julie.
— Allonge-toi par terre, me dit-elle. Je ne vais pas attendre cent-sept ans que tu rebandes. On va voir ça d’un peu plus près.
Me voilà donc allongé sur le dos. Toinette et Julie se sont activées chacun sur un de mes mamelons, mordillant et suçant pendant que leurs mains s’unissaient autour de ma bitte.
— Je crois que ça va viendre, dit Julie. Tu prends le haut, je vais finir de mettre le bas en état.
Ce disant, elle s’est penchée sur mon bas-ventre. J’ai senti son souffle sur ma bitte encore luisante de la mouille de Toinette, puis elle l’a prise dans sa bouche. Au même moment, Toinette m’a pris les lèvres pour un long baiser. Le mimétisme a joué : j’ai commencé à faire avec ma langue dans la bouche de Toinette ce que ma bitte voulait faire dans la bouche de Julie. À l’époque j’étais jeune, et puis j’avais deux jeunes femmes qui s’occupaient activement et énergiquement de ma personne. Ça n’a pas été excessivement long. Avec un « voilà ! » D’autosatisfaction, Julie a sorti ma bitte de sa bouche pour se mettre à genoux au-dessus de moi et se l’enfourner par l’autre bout. Lentement, elle a commencé à monter et descendre sur mon sexe tendu, tout en se frottant le ventre des deux mains. Toinette a cessé de m’embrasser pour s’installer face à sa copine. Pendant que Julie se caressait le ventre, Toinette a tendu les mains vers sa poitrine. Elle a pris les seins de Julie, taquinant la pointe de son pouce. Puis les filles ont recommencé à s’embrasser. Au-dessus de ma figure, je voyais les fesses et la fente de Toinette, et malgré l’odeur un peu repoussante de sa cyprine mélangée avec mon foutre, j’ai saisi les fesses de mes deux mains et je me suis mis à lécher. Bientôt j’étais emporté ; c’était le même mimétisme que tout à l’heure, sauf que maintenant ma langue et ma bitte n’étaient plus dans la bouche de la fille, mais dans son vagin. Grâce aux bons offices de Julie, je n’avais pas eu trop de mal à rebander, mais j’avais quand même déjà joui, et cette deuxième fois, le plaisir s’est fait attendre. Ça n’a pas déplu aux filles : son premier orgasme atteint, Julie a continué à s’activer sur ma bitte, tout en embrassant sa copine, jusqu’à ce qu’elles jouissent encore ensemble. Avec un peu de retard, j’y suis allé moi-même de mon jet de foutre, la figure enfoncée entre les fesses de l’une, donnant de furieux coups de verge dans le con de l’autre, avant que nous roulions tous les trois sur le côté, ruisselants et épuisés.
Sur le sofa, assis en rang d’oignons, les trois autres nous regardaient. Michel entre Mado et Nicole, le pantalon et le slip baissés sur ses chevilles, la bitte reposant bien sagement sur ses couilles et les bras croisés. Mado et Nicole, vêtues encore correctement, avaient aussi les bras croisés, et tous les trois arboraient un air plutôt ennuyé.
— Y en a, dit Mado, qui s’amusent. Alors que nous autres… Tendant le bras, elle saisit le prépuce de Michel entre le pouce et l’index, soulève la bitte flasque et la laisse retomber. Faut croire qu’on l’inspire pas plus que ça. Michel a haussé les épaules, puis il s’est levé pour aller chercher un litron sur la table.
— Je me console, dit-il.
— Et çui-là, dit Mado, vous croyez qu’il pourrait encore consoler ?
Julie pouffe.
— Ben, il nous a consolées, nous deux.
— Et on dit jamais deux sans trois. Reste à savoir si ça pourrait être vrai. Parce que les garçons, c’est souvent, « Je rentre, je sors, Bon soir, je m’endors. »
Je ne savais pas trop quelle contenance prendre. Et surtout, je ne savais pas à quel point on pouvait compter sur mes performances. Jusque là, mes coucheries faciles ne s’étaient pas souvent produites dans des circonstances où on avait les loisirs de remettre le couvert. Des folies d’un soir, des filles de rencontre, oui, mais jamais très longtemps une petite amie attitrée avec qui je pouvais passer la nuit tranquille.
Je me suis étiré, j’ai bâillé, et j’ai regardé Mado avec une moue dubitative. De fait, je me sentais un peu flagada. Mais Mado n’était pas fille à se décourager. Puisqu’avec Michel, ça ne marchait pas, elle allait se débrouiller autrement. Me regardant droit dans les yeux avec un sourire malicieux, elle a défait sa ceinture, et dans un mouvement sinueux, elle a soulevé les fesses et fait glisser jean et culotte, secouant un pied puis l’autre pour se débarrasser de ses tennis, puis elle a balancé son jean derrière elle. Puis, les genoux écartés et son sexe roux et poilu au bord du coussin, elle m’a lancé son défi.
— Viens-y donc, me dit-elle, viens goûter de la rouquine. Si ta petite queue n’a plus la force, viens travailler de la langue.
C’était de l’ordre des choses possibles. À quatre pattes je me suis approché lentement, souriant à mon tour, amusé, émoustillé, par la lueur coquine de ses yeux verts. J’ai donné un petit coup de langue pour écarter les poils, puis j’ai insisté un peu sur le clitoris, avant de lécher un grand coup, remontant sur les grandes lèvres pour finir encore sur le clitoris. Mado a respiré fort, puis poussé un soupir bruyant. J’ai placé mes mains sur ses cuisses, et je me suis mis sérieusement au travail. Mado m’encourageait de la voix et de ses mains sur ma tête. Je me suis rendu compte qu’elle faisait des mouvements désordonnés pour quitter sa chemise, aidée par Nicole, et tout en continuant de la lécher, je me suis mis à lui caresser le corps, glissant mes mains partout, remontant pour lui prendre les seins, glissant sur ses côtes en descendant. Mado frissonnait et roucoulait de plaisir.
Faire minette, ça m’excite. C’est le contact d’un sexe à l’état cru. Maintenant que je suis vieux et que je ne bande plus aussi facilement qu’en ces temps lointains de ma folle jeunesse, c’est en léchant soigneusement la chatte de ma partenaire que je la fais patienter et que je m’amène à une grosseur et une raideur convenables. Là, la langue dans les poils et le nez plein de son odeur de rousse, je sentais grossir mon sexe. De plus en plus excitée, Mado remuait des fesses et grognait. J’en étais à embrasser son sexe baveux à pleine bouche, enfonçant ma langue dedans, à mordiller son clito. J’ai senti qu’une des filles posait un bras sur mes épaules : elle s’est mise à genoux à côté de moi, et une main curieuse a tâté ma verge. J’ai reconnu la voix de Julie.
— Je crois qu’il est presque à point.
Elle a plaqué un baiser sur ma joue, avant de s’élancer pour étreindre le buste de Mado et lui dire à l’oreille, mais pas trop bas,
— Il a pas une bitte bien grande, mais il tient la distance avec.
Mado lui a attrapé la tête pour lui rouler une pelle fougueuse. Abandonnant la cramouille baveuse, j’ai pris les deux filles dans mes bras et nous avons fait un patin à trois, passant de la bouche à Mado à celle de Julie, puis me retrouvant avec deux langues fouillant ma bouche à moi. Mado m’a saisi la bitte, et m’a décerné un satisfecit en fourrant sa langue dans mon oreille avant de me susurrer « Viens, viens en moi ». Elle s’est tournée pour se coucher, la tête sur les coussins défoncés du sofa, les fesses remontées sur l’accoudoir et les jambes pendantes. Debout, la bitte à l’horizontale, j’ai attrapé ses cuisses et je me suis penché pour l’enfiler. Elle n’avait pas le con étroit, Mado, et grâce à mes efforts, elle était bien mouillée aussi. Je glissais doucement en elle, m’enfonçant jusqu’aux couilles pour ressortir lentement, savourant sur la couronne de mon gland la légère friction de son vagin et la fraîcheur du soir sur ma bitte humide. Je profitais aussi du plaisir visuel, de voir ses lèvres vaginales, rouges et gonflées, écartées par ma bitte, de voir apparaître sous le bouton de son clitoris le bord de mon gland, puis, en replongeant dans l’antre humide, de voir se mélanger nos poils noirs et roux.
A ce rythme-là, je pensais que je pouvais assurer longtemps, et je me promis d’attendre la montée de la passion chez Mado avant d’accélérer. De son côté, elle accueillait mes coups de bitte, soulevant son bassin à la même cadence. Assise par terre près d’elle, Julie lui caressait les seins, et de temps en temps les deux filles se roulaient un patin langoureux. Jusque là, Nicole était restée en dehors des ébats, la tentative infructueuse avec Michel ne pouvant pas être prise en compte. Là, debout derrière le sofa, elle paraissait se contenter de regarder. Ne voulant pas être en reste, Toinette s’était approchée. Pendant que Julie embrassait et caressait Mado par le haut et que moi je la besognais par le bas, Toinette s’est collée contre Nicole, un bras passé autour de ses épaules. Joue contre joue, les deux filles se sont approchées. Prenant la main de Nicole, Toinette l’a placée sur le ventre de Mado, puis l’a poussée, vers le bas, vers la toison rousse bien fournie. Timidement, Nicole a commencé a titiller le clitoris de la grande. Voyant qu’elle allait continuer, Toinette s’est penchée pour m’embrasser.
Dans ma tête, avec un reste de lucidité, j’analysais le tableau. Tout en embrassant une fille, j’en baisais une autre, qu’une troisième embrassait et une quatrième branlait. Les attouchements de Nicole augmentaient les sensations que j’éprouvais dans le con de Mado, et je ne pensais plus du tout à notre conducteur, parti se consoler avec une bouteille. À tel point que quand j’ai senti une main qui s’insinuait entre mes fesses, j’ai d’abord pensé que c’était Toinette qui me taquinait. Une joue râpeuse sur mon épaule m’a détrompé. La main se faisait plus insistante, et une autre main faisait pression sur ma nuque, m’obligeant à me pencher plus en avant.
— Laisse-toi faire, j’ai du gel.
La voix de Michel était rauque. J’ai senti quelque chose de froid entre mes fesses, Michel s’est mis me lubrifier l’anus avec le gel, frottant tout autour, appuyant, rentrant un doigt, le retirant, remettant du produit, enfonçant le doigt plus loin, le tournant, écartant, élargissant l’ouverture.
J’avais eu des curiosités, mais à part lorgner sournoisement le sexe des autres garçons aux vestiaires du lycée ou, plus discrètement, dans les toilettes publiques, je n’avais jamais envisagé un rapport homosexuel. Là, je ne voyais pas comment refuser. J’avais baisé deux filles, j’étais en train de m’en payer une troisième que je ne voulais pas laisser en plan. Ma fierté m’empêchait de protester. Et puis, sous l’effet de ce doigt dans mon cul, je donnais des coups de bitte plus forts. Une doigt, puis un deuxième, puis j’ai senti autre chose contre mon trou. C’était doux mais ferme. Michel a posé soigneusement son gland contre mon anus, puis il a écarté mes fesses de ses deux mains, et il a poussé. J’ai dû rester sans bouger, le buste penché en avant, les fesses écartées. Je me suis rendu compte que les autres regardaient. Tous, on restait figé. Lentement, doucement, la verge de Michel est rentrée dans mon cul. Il n’avait pas pleuré le gel lubrifiant, et comme il m’avait préparé, je n’ai pas eu mal. Un soupir contre mon oreille, le contact de son ventre, m’ont averti qu’il avait réussi à glisser toute la longueur en moi. Puis, ensemble, nous avons commencé à bouger. Doucement encore, comme avant. Toinette me couvrait la figure de petits baisers, Mado me regardait, les yeux grands ouverts. Julie lui pétrissait les seins et l’embrassait longuement dans le cou. Les doigts de Nicole allaient et venaient dans la toison rousse. Je commençais à sentir le gland de Michel buter contre ma prostate, poussant ma bitte à moi dans le ventre de Mado, et j’avais l’impression étrange d’être traversé, comme si avec une bitte d’une longueur inhabituelle, Michel me transperçait pour baiser Mado. Il me parlait.
— J’en avais envie. Je t’ai embarqué parce que je te trouvais beau, j’avais envie de toi. T’as un joli cul, tu sais, je suis bien en toi.
Michel me tenait les hanches, c’était maintenant lui qui imposait le rythme. Petit à petit, on accélérait, les coups étaient plus forts, je tapais plus loin dans le ventre de Mado. Dans mon dos, Michel soufflait plus fort. Le vieux sofa couinait, puis, tout à coup, Michel a poussé un cri. J’ai senti que j’avais le cul plein de liquide, que ça coulait, pompé par les coups de boutoir de mon enculeur. Je donnais des coups rageurs en Mado, tirant ses cuisses. Au même moment, j’ai senti que Nicole lui pinçait le clitoris. Elle s’est raidie en un spasme tétanique, les fesses soulevées, le dos arc-bouté. Toinette a cherché ma bouche, me serrant dans ses bras, et j’ai éjaculé. Une puissante brûlure, une secousse qui a arraché de mes testicules les dernières gouttes de sperme.
Michel s’est dégagé doucement, me quittant avec un petit câlin sur la fesse et un baiser su l’épaule.
— Merci, mec, t’étais super.
La bitte flasque et le cul poisseux, je me suis retiré de Mado. Je suis resté un moment à l’admirer, impudique et offerte, les fesses relevées, les cuisses écartées, une touffe de poils roux couronnant une fente humide, les lèvres rouges et gonflées, d’où coulait un tout petit filet de sperme. Elle subissait toujours les délicates attentions de Julie, mais elle a tourné la tête pour me sourire. Pris d’un soudain accès de tendresse, je me suis penché pour lui embrasser le clitoris, le titillant avec ma langue. Goût de cyprine et de sperme sur ma langue, du sperme et sans doute de la merde dégoulinant de mes fesses. Quelle soirée.
Bon prince, Michel, en maître de maison sachant recevoir, avait déniché dans un bahut une pile de serviettes. Elles sentaient un peu le renfermé, mais j’ai tout de même été sacrément content d’en attraper une et qu’il me lance, avec un sourire,
— Je pense que t’as largement gagné le droit de passer le premier sous la douche.
— Tu parles, Charles, présent à l’appel, Michel.
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