Mercredi 27 novembre 3 27 /11 /Nov 18:36

classé ans SOUMISSION & DOUCES VIOLENCES (28)  

 

   

 

   

 

 Template-Attention.png Le texte qui suit contient de la violence et des actes ou des images qui pourraient ne pas convenir à tous. Nous préférons vous en aviser et vous conseillons de regarder les catégories concernées colonne de gauche avant de persister et faire votre choix définitif.

 

 1. Le kidnapping  de Jean  

 

Encore quelques minutes de cours, et la sonnerie va retentir. J'en ai un peu marre. Vivement 17h et la fin des cours. Dring, ça sonne. Toute la classe se lève et se précipite vers la porte.

— Jean, attends s'il te plaît, me demande le prof.

Jean, c'est moi!

— Quoi, pourquoi?

— Rien de grave, tu sais, à propos de ton exposé, pour jeudi...

— Oui?

— Eh bien...

Maintenant toute la classe est sortie. Il ne reste que le prof et moi.

— Eh bien... ton exposé, il faut que je te montre un document que j'ai trouvé.

— Ah oui, bon ok, mais vite alors, j'ai un car à prendre!

— OK. Une minute maximum. Viens, suis moi.

Il se dirige alors vers le petit bureau, à coté de salle, où se trouvent un ordinateur et son bureau. Je le suis. Si j'avais su... Il se penche sur son ordinateur, réactive l'écran en veille.

— Là, regarde.

Je me penche sur l'écran, et... Bong! Le coup résonne dans mon crâne! La douleur est insupportable. Je me sens partir et vaciller... Bong! Le deuxième coup me rend inconscient. Je tombe par terre.

Aïe Aïe... La douleur me vrille la tête. Je me réveille doucement. Mais que s'est-il passé? Mes bras? Mes bras sont menottés dans mon dos. Je suis allongé sur un lit. Je ne connais pas cette pièce. Mais où suis-je? Et pourquoi je suis là? Je reprends mes esprits doucement. La douleur s'estompe peu à peu. Ça va mieux. J'essaie de faire le point. Je me rappelle le bureau, l'écran, et les deux coups!

Une rançon. Immédiatement, je pense à un kidnapping. Le prof va demander une rançon à mes parents. Mon père est médecin, il est riche, il peut payer! Putain de prof! Me kidnapper moi! J'ai plus qu'à attendre quelques heures ou quelques jours et je devrais me sortir de cette galère sans mal. C'est alors ce que je pense...

J'ai maintenant retrouvé tous mes esprits. Je n'ai plus mal à la tête. Je reprends l'exploration du regard de la pièce. Je me retourne, couché sur le lit. Merde! Je suis enchaîné: les menottes qui relient mes poignets sont elles mêmes reliées à une chaîne fixée sur le mur, à côté du lit. 50 cm de long. Je ne peux quitter le lit!

Je parcours alors la pièce des yeux. Outre le lit, il y a une douche ouverte, un WC, et plus loin... oh mon Dieu! Mais c'est quoi ce truc? J'ai déjà vu, mais qu'en photo! Je reconnais un lit genre lit gynécologique avec des étriers devant.  Mais c'est pour accoucher, ce genre de lit! Pourquoi y a ça ici ?! Je commence à prendre peur. C'est pas normal ça. Pourquoi un tel lit pour attendre une rançon? Je vois aussi que la pièce ne comporte pas de fenêtre, juste une porte en fer et... des crochets et des anneaux au plafond! Merde! C'est une salle de torture ou quoi? Mais qu'est-ce que je fais ici? Je panique! Mes mains se mettent à trembler...

Du calme! Il faut que je me calme! Pour le moment, tout va bien. Je suis con ! C'est juste que je dois être enfermé dans un cabinet médical ; mais y'a pas de douche normalement dans un cabinet médical ! J'essaie alors de réfléchir calmement. Et si c'était pas pour le fric que je suis là? Mais pourquoi alors? J'ai 18 ans, j'ai rien moi, je suis juste étudiant. J'ai même pas encore le bac!

Un pervers? Mon prof serait un pervers? Et s'il m'avait kidnappé pour mon corps? Faut dire que je suis pas mal d'après mes copines du lycée: assez mince, un peu sportif, 1m75, 65 kg. Coiffure en brosse. On me dit mignon... Je continue à trembler; de froid ou de peur, je ne sais plus. Je me recroqueville sur le lit. Les heures passent. J'ai perdu la notion du temps. J'ai pas de montre, la pièce n'a pas de fenêtre. Y'a que la lampe qui brille au plafond.

Soudain, j'entends un bruit de pas. La porte de métal s'ouvre... Un homme masqué avec une cagoule entre et se dirige vers moi. Il tient une matraque à la main! Il se place devant le lit.

— Tu es réveillé?

Je ne reconnais pas sa voix. C'est pas mon prof! Il est plus grand, plus musclé.

— Oui vous voyez bien ! Libérez-moi!

Aïe! La matraque tombe sur mes côtes, violement! Je hurle!

— Silence! Tu es prisonnier. Tu réponds à mes questions et c'est tout! COMPRIS?

Je veux pas reprendre un coup de matraque.

— Oui, répondis-je.

— Bien! Si tu restes sage, je ne serai pas violent avec toi. OK?

Il me montre la matraque...

— Ok, ok!

Merde! C'est quoi ce cinglé! Mais je ne peux rien faire. Je suis enchaîné, à sa merci... Alors autant éviter les coups pour le moment.

— Bien, tu vas te mettre à poil, complètement.

— Hors de question! Allez vous faire foutre!

Aïe! Aïe! Il me redonne un coup de matraque au même endroit! Je hurle et me tords de douleur. Les larmes coulent de mes yeux. J'ai du mal à respirer! Puis tout doucement, la douleur s'atténue...

— T'as compris cette fois? Tu dis RIEN, tu OBÉIS! OK?

— Oui... oui... pitié... l'implorai-je. Plus de coups... pitié...

— Je vais enlever tes vêtements. Tu vas rester attaché et te laisser faire.

Il commence par enlever mes baskets et mes chaussettes. Il déboucle la ceinture de mon jean.

— Lève les fesses, laisse passer ton fut!

Je m'exécute, sans broncher. Inutile de recevoir encore un coup. Il tire mon jean complètement.

— Bien, le haut maintenant.

Je le vois alors sortir une paire de ciseaux de sa poche arrière.

— Bouge pas! Je veux pas te blesser!

Je bouge pas. Je suis terrifié. Je me laisse faire. Il découpe les manches de mon sweat et finit par me l'arracher. Mon maillot finit de même. Je suis maintenant torse nu. Il ne me reste que mon boxer.

— Allez on termine!

— Non! Pitié! Pas le boxer!

— Silence!

Il reprend sa matraque, posée au pied du lit!

— Ok ok...

Ma voix est faible...j'ai peur... Il met alors ses deux mains de chaque côté se mon boxer.

— Lève les fesses!

Je lève les fesses. Que puis je faire d'autre? Mon boxer rejoint alors mes autres vêtements au pied du lit. Je suis nu devant lui...

— Bien! Tu vois, si tu coopères, je te frappe pas! OK?

— Oui... oui...

Je ne peux rien dire d'autre!

— Bien. Reste sage et tout ira bien entre nous.

Le salaud! Comme si j'avais le choix!

— Bien, je vais t'examiner. N'aie crainte, je ne te ferai pas mal... si t'es coopératif. Allonge-toi bien.

Je m'allonge sur le dos, écrasant mes poignets. Heureusement, le lit est mou. La douleur n'est pas grande.

— Écarte les jambes. Attention! Pas de coup de pied!

Docilement, j'écarte les jambes. Mon sexe est alors mis en évidence. Il regarde alors ma toison. Il faut dire que je suis peu poilu pour 18 ans. Parfois, cela m'a d'ailleurs valu des moqueries de mes camarades dans les vestiaires du foot. J'ai une petite touffe de poil sur le sexe mais rien sur le torse, ni sous le nombril. Ma bite est de taille normale. Je l'ai bien vu en comparant avec les copains aux vestiaires. Mais là, avec la peur, elle est toute petite.

— Je vais te palper. Bouge pas! Sinon... S'il était médecin il n'aurait pas besoin de menacer !

La menace est claire : si je bouge, il frappe! Il prend alors ma bite dans sa main. Il la tire doucement. Ses gestes sont doux, mais précis. Mon prépuce recouvre entièrement mon gland. Il le retire doucement. Il me décalotte. Il prend son temps. Je suis rouge de honte mais je ne peux que subir!

— Bien, joli gland. Bien rouge, propre. C'est bien.

J'ai l'impression d'être un animal qu'on examine. Mais c'est quoi ce fou?! Il passe alors à mes testicules. Il les palpe doucement. Les deux. Tout doucement, il les roule entre ses doigts...  

— Tu vois... si je veux... je te les écrase!

Je ne dis rien. Je suis terrifié.

— Non... non... J'obéis... pitié...

— Ok ok, calme toi! Tu obéis, oui. C'est bien. Écarte un peu plus les jambes.

J'écarte davantage les jambes... Il y a bien plus d'un mètre entre mes pieds. Je ne peux faire mieux.

— Bien, très bien.

Il glisse alors un doigt vers mon anus et le positionne à l'entrée de mon intimité la plus grande. Instinctivement, je serre les fesses. Jamais personne ne m'a touché là!

— Bon. Ok.

Il retire sa main. Je suis surpris.

— Bien. Encore quelques explications. Je vois que tu n'as pas TOUT compris!

Il reprend sa matraque. Je serre les jambes et me recroqueville sur le lit. Je tremble à nouveau.  

— Je te rappelle que tu dois coopérer, dit-il en agitant la matraque. Soit tu coopères et je fais attention à ne pas te faire mal, soit tu joues au con et tant pis. T'assumes les coups. Tu choisis quoi ?

Je ne réfléchis pas vraiment. Je suis sous son pouvoir, nu et attaché sur ce putain de lit ! Je ne peux pas m'empêcher de penser à la famille, le cercle étroit de mes amis. Je les vois m'enterrer comme vict ime d'un mniaque...

— Ok je coopère.

— Bien. Tu es un garçon raisonnable. Reste le.

Il pose la matraque à terre. Ouf!

— Bon on reprend: écarte à fond les jambes.

J'obéis. Je suis vaincu. Humilié. Je veux plus être frappé.

Sa main se dirige à nouveau vers ma raie et mon anus. Son doigt est de nouveau de nouveau à son entrée.

— Tu vois: c'est pas si terrible.

Il essaie alors, sans forcer, d'entrer son doigt en moi. Je lutte pour ne pas résister. La menace des coups est trop forte. Mais je suis sur le dos. La position n'est pas idéale. Mon anus est sec. Ça ne veut pas vraiment rentrer...

— Ça va pas! Retourne-toi sur le ventre.

Encore une fois, j'exécute son ordre de suite.

— Les jambes!

J'ai compris. J'écarte au maximum les jambes.

— Lève le ventre.

Il me glisse alors un oreiller sous le ventre; j'ai le cul bien relevé, les jambes bien écartées, la tête à 90°. Ecrasé sur le matelas, les mains menottées dans le dos je suis à sa merci. Complètement à sa merci! Sa vue sur ma raie presque imberbe et mon anus est imprenable.  

— Joli cul. Tu a vraiment de belles fesses bien rondes et fermes.

Il me palpe les fesses, fait rouler les muscles. J'ai vraiment le sentiment d'être un morceau de viande! À nouveau, ses doigts se rapprochent de mon trou.

— Je vais m'en occuper...

De sous le lit, il sort alors une bombe de gel lubrifiant. Il en dépose une noisette sur mon anus.

— Ça te fera moins mal avec ça...

Et il enfonce son doigt dans mon fondement. Doucement. Je le sens bien. Son doigt entre lentement en moi, je n'ai pas mal. Si ! J'en ai mal de honte ! Il fait tourner son doigt en moi, doucement. Il le remue légèrement dans mon intérieur. Je sens chacun de ses mouvements. Je suis interloqué. C'est presque agréable.

— Bien, parfait. Tu es un bon garçon.

Il retire son doigt. J'ai pas plus mal qu'à l'aller.

— Bien. Étape suivante: le jeu de la vérité.

Quoi ? Quel jeu de la vérité ? J'ai déjà joué à ce jeu avec des copains, en colonie. Il y a longtemps. S'il croit que je vais lui dire mes secrets !

Il quitte la pièce et revient de suite avec trois sangles. Il m'attache les deux jambes pour qu elles restent bien écartées. Il me met aussi une sangle autour du cou et l'attache sous le lit. Je suis vraiment ligoté! Si je bouge, je m'étouffe!

— Faut pas bouger. Reste calme et tout ira bien.

Il sort alors une ficelle. Et fait le tour de la base de mon sexe avec. Mes boules et ma verge sont alors saillantes. Je n'ose plus bouger! Il passe la ficelle dans un anneau situé au plafond et tient l'autre bout de la ficelle.

— Tu vois, si je tire, ça fait très mal.

Et il tire d'un coup sec! Aïe! La douleur est vive. Je ne peux m'empêcher de relever le bassin vers le haut! La ficelle me sectionne mes organes génitaux! Il la relâche de suite.

— Tu as vu? Je vais te poser des questions. Tu me diras la vérité. Si je pense que tu mens, je tire! Tu as compris?

— Oui, j'ai compris.

Je ne peux rien dire d'autre. Je vais lui dire la vérité. Mais quelle vérité? Que veut-il savoir?

— Je commence. Est tu hétéro, bi ou gay?

— Hétéro.

— As-tu une copine?

— Oui.

— Tu l'a déjà sauté?

— Bien sûr!

— C'était quand la dernière fois?

— Le weekend dernier, chez moi. On se voit que le weekend. Elle est étudiante.

— As-tu déjà eu une expérience homosexuelle?

— NON!

Aïe! Je hurle! Il a tiré la ficelle! Je me cambre!

— Tu mens!

— Non, je vous jure!

— Menteur!

Et il tire de plus belle. Il va m'arracher le sexe! Merde! Comment sait il? Car oui, j'ai déjà eu une telle expérience. Je craque. La douleur est intenable!

— Ok ok, oui, j'ai déjà eu.

Tout de suite, la ficelle se détend. La douleur diminue. Il détend la ficelle autour de mon sexe, juste pour que je n'aie plus mal.

— Tu vas tout me dire maintenant.

— Oui.

— Vas-y!

Je vais tout lui dire. J'ai pas le choix.

— C'était il y a quatre jours, avec Marc, un copain de ma classe. Il était passé chez moi pour réviser mais à son arrivée, je regardais des sites de cul sur le net.

— Des sites gays?

— Oui! Mais je suis pas gay! C'était juste pour voir!

— Continue!

— Dès qu il a sonné, j'ai vite fermé le navigateur. Il n'a rien vu. Et puis on a commencé à réviser. Mais plus tard, il a voulu utiliser Google pour chercher un truc, une formule de math. Il a utilisé Google et a vu l'historique du navigateur.

— Et?

— Il m'a regardé bizarrement: "T'es gay? Jean? T'es gay?"

— "Non, non! je t'assure! C'est juste pour voir." Mais il m'a pas cru.

— Et ensuite?

—"Jean, moi non plus je suis pas gay. Mais comme toi, j'ai déjà regardé sur le net. J'aimerais essayer, juste pour voir." J'ai été surpris! Quoi, Marc voulait essayer? Avec moi? Après tout, pourquoi pas? Moi aussi cette pensée m'avait bien effleuré l'esprit. Je l'ai fixé droit dans les yeux: "OK, mais juste une fois. Ce sera notre secret, hein?"

— Et il a été d'accord?

— Oui. On s'est déshabillé. Il m'a sucé. Je l'ai sucé. On a fait un 69. C'était bizarre. Je suçais un mec. Je n'en revenais pas!

— T'as aimé?

— Pas aimé, mais pas détesté. En fait, je pense que je préfère vraiment les filles.

— Et lui, tu penses qu'il a aimé?

— Oui. Il soupirait. Il passait sa main sur tout mon corps. Il a juté très fort!

— Et comment tout cela s'est-il fini?

— On n'a pas voulu se sodomiser. Enfin, lui aurait voulu, mais moi j'ai refusé. Il a dit "OK" mais il semblait déçu.

— Termine!

— On a arrêté. Il s'est rhabillé et est vite parti. Il a rien dit.

— Et ensuite?!

— Je sais pas. Je l'ai pas revu depuis.

— Tu sais pas! Enfoiré! Tu SAIS pas!

Aïe! Il tire la ficelle! Je me cambre! Je hurle!

— Mais j'ai rien fait!

La ficelle se détend. Je retombe sur l'oreiller.

— Si... tu as fait!

— QUOI?

Et si tu ne l'as pas revu depuis, c'est qu'il est MORT! Tu entends: MORT!

— Marc? Mort?! C'est pas vrai?!

— Si, il s'est jeté sous un train il y a deux jours. Il s'est suicidé.

Merde! Marc, suicidé! Cette nouvelle me choqua fortement. Marc, un super copain!

— Mais pourquoi?!

— À cause de toi! À cause de toi, petit con! Il n'a pas supporté ton refus d'aller plus loin.

— Mais non! C'est impossible!

— Si! Il a laissé une lettre. Il a tout raconté. Et c'est pour cela que tu es ici: pour payer.

Glaciale. Sa voix est devenue glaciale. Il poursuit, lentement:

— Tu vas payer. Tu n'as pas voulu que Marc t'aime et il n'a pas supporté. Tu vas donc payer.

— Mais je suis pas gay. Je voulais pas me faire sodomiser!

— Peu importe. Tu ne voulais pas. Maintenant, tu vas vouloir.

  Il y a une suite.

 

 

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Par claudio - Publié dans : CHRO-NIQUES & INVITES (GAYS BI HET... ETC) I - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 27 novembre 3 27 /11 /Nov 01:22

2003---> 2013...

 

 

Ça fait longtemps que tu t'astiques en nous regardant ?

 

 

Voilà c’est fait : j’ai franchi le pas. J’ai réussi à écrire un des événements majeurs de ma vie sexuelle. Cela a été difficile mais combien libérateur. Je me sens enfin en mesure de raconter comment tout cela a commencé, il y a treize ans.

À l’époque, j’avais 32 ans, heureusement marié depuis 7 ans. Je ne m’étais jamais caché mon intérêt pour les garçons mais il était clair que cela resterait au stade des fantasmes. Quelques coups d’œil dans la rue, les débuts d’internet et des sites spécialisés, quelques revues achetées discrètement. Tout cela me suffisait à vivre ce que j’appelais ma « tendance ». Ma vie de couple était belle et mon hétérosexualité épanouie. Jusqu’à ce week-end de mai 2000.

Ma femme était en voyage d’affaires en Asie et je participais à un séminaire de formation de mon entreprise en Bretagne. Quelques jours ennuyeux dans un endroit magnifique dont je ne pouvais guère profiter en raison du travail. À la fin du séminaire, le samedi matin, je décidai de rester le week-end, n’étant pas pressé de rentrer chez moi puisque ma femme était absente. Je louai donc une chambre dans un petit hôtel, avec l’idée de découvrir les beautés de la côte.

Pique-nique dans mon sac, je partis à la découverte des chemins côtiers. Les genêts bordaient le chemin qui me menait de plus en plus loin, surplombant la mer. J’étais subjugué par ce spectacle et le sentiment de liberté qu’il me procurait. Je décidai de profiter de la première opportunité qui se présenterait pour descendre vers la mer. Il me fallut attendre une bonne demi-heure pour finalement trouver un sentier qui descendait vers une petite crique déserte. Après une marche assez délicate sur ce chemin caillouteux, je parvins au bas de la falaise. S’offrait à ma vue une forte végétation qui protégeait la plage et, au fond, la mer d’un bleu profond.

Alors que je descendais encore le chemin, largement enfoui dans la végétation, je vis des personnes au loin dans la mer. Il me fallut un certain temps pour comprendre ce que je voyais. Les deux nageurs étaient deux jeunes hommes qui riaient et qui, en train de sortir de l’eau, se battaient par jeu. À mon étonnement, ils étaient tous deux nus, laissant voir sans gêne leur bite qui émergeait juste de l’eau. J’ignorais que le naturisme se pratiquait dans la région mais je mis la liberté que ces deux nageurs avaient prise sur le caractère très isolé de cette crique.

Le spectacle changea cependant brusquement de sens lorsque je les vis s’embrasser sur la bouche, tout en se tenant l’un l’autre par l’épaule et en remontant tranquillement sur le sable. Sous le coup de ma surprise, je me jetais à terre pour ne pas être vu. Abrité derrière la végétation, je les regardais de loin, parvenus sur la plage, se sécher, chacun frottant l’autre avec un linge, s’arrêtant avec insistance sur leur entrejambe respectif en riant aux éclats. J’étais stupéfait et sentais ma bite grossir. Elle trouva en quelques secondes sa taille maximum en me faisant souffrir dans mon jeans. J’avais le cœur qui battait et la tête qui tournait légèrement. Je n’avais jamais vu deux hommes s’aimer en réalité : cette présence physique si proche me procurait une sensation sans commune mesure avec celle que les quelques vidéos que j’avais pu voir m’avaient donnée.

Sans être des canons absolus de beauté, ces deux types étaient incroyablement séduisants et sexy. Le premier, noiraud, grand et élancé, le corps bien musclé et le torse légèrement velu. Son sexe, long et fin, était maintenant dressé au milieu d’une belle touffe foncée, surmontant de couilles pendantes sur lesquelles mes yeux étaient littéralement aimantés. L’autre, presque blond, était plus petit et plus rond et râblé, me montrant de très belles fesses rebondies et fermes. J’avais entre-aperçu son sexe plus court et plus gros que celui de son compagnon mais tout aussi dur. De loin, j’avais mal vu sa toison qui, blonde, semblait plus discrète. Ses couilles m’étaient furtivement apparues grosses et toute nichées sous la bite.

J’étais encore loin d’eux et j’aurais rêvé de m’approcher ; il était toutefois exclu de prendre un tel risque. Je me contentais donc de ce spectacle lointain. Ils roulèrent par terre en s’enlaçant et en s’embrassant. Le blond fit coucher son compagnon sur le dos et, le surmontant, il s’installa tête-bêche. Ils se sucèrent l’un l’autre, avec délectation, avalant réciproquement leurs bites. Je ne voyais que mal les détails en raison de la distance, mais je pouvais apprécier qu’ils alternaient de délicats baisers sur leur gland, avec des pénétrations presque complètes du sexe de leur partenaire au fond de leur bouche. J’étais complètement hors de moi, le souffle court et le front transpirant, rêvant de courir vers eux et de me joindre à leur jeu. Mon sexe était devenu incroyablement douloureux, prisonnier de mon slip et de mon jeans. J’ouvris ce dernier aussi fébrilement que maladroitement. Ma bite surgit littéralement de mon slip et je commençai à me masturber presque avec violence. Resté couché par terre, pour être abrité tout en regardant, me faisait garder une position peu confortable dont je décidai de me contenter pour ne pas risquer de mettre en péril ma cachette. Je tentai de calmer ma masturbation pour éviter d’éjaculer trop vite, ma bite suintant déjà sous l’effet de l’incroyable érotisme de la situation.

Sur la plage, les deux hommes étaient au paroxysme de leur 69. J’entendais dans le loin leurs gémissements et leurs râles, parfois entrecoupés par le bruit de la mer. Soudainement, l’amant du dessus fut secoué de spasmes et, de toute évidence, se vida en plusieurs jets dans la bouche de son compagnon. Aussitôt, il changea de position et fondit bouche ouverte sur le sexe de son amant qu’il amena très rapidement à l’orgasme. Il avala goulûment le sperme qui sortait de la bite tendue qu’il avait engloutie.

Face à ce spectacle, un seul bref contact de main sur mon sexe suffit pour me conduire à l’explosion. J’eu besoin de tout mon self-control pour ne pas hurler en éjaculant, tant la violence des spasmes qui m’agitèrent fut intense. Je n’avais de ma vie connu une telle sensation. Vu ma position et mon pantalon baissé sur les cuisses, j’avais du sperme un peu partout et tentais de reprendre aussi bien mes esprits que mon souffle. Je ne savais plus quoi faire. Couché à terre, j’avais envie de fuir, honteux de cette folie, avec, en même temps, le désir qui me collait au ventre de courir vers ces deux hommes. Pour le dire quoi ? Pour faire quoi ? Ma tête tournait et les idées les plus contradictoires s’y entrechoquaient. De temps à autre, je guignais furtivement du côté des deux amants qui, couchés sur le sable, discutaient tranquillement.

Un long moment passa. Je décidai de me retirer doucement pour ne pas poursuivre cette expérience qui me brûlait les entrailles. À mon désespoir, ma raison reprenait le dessus. Rester, c’était se damner, tenter une expérience sans avenir et dont je ne que pouvais qu’ignorer l’issue. C’est à ce moment que le blond se mit sur les genoux et approcha sa main du sexe de son ami. Il le prit dans la main et le caressa. Les deux hommes se mirent à rire et échangèrent quelques mots. L’homme à genoux se leva et alla prendre quelque chose dans un sac, sans que je ne puisse voir ce que c’était. Je vis en revanche que son sexe était déjà presque à nouveau complètement dressé. Je vis finalement que ce qu’il avait sorti du sac était un tube. Il pressa dessus et versa une partie de son contenu sur son sexe qu’il frotta ensuite doucement. Il se badigeonna également les doigts de la main droite. Du gel ! De toute évidence, il allait enculer son ami. Mes projets de départ s’évanouirent en un instant, ma bite remonta en position verticale en quelques secondes et mon cœur se mit à battre plus fort encore qu’auparavant.

Le noiraud se mit à genoux par terre, coudes à terre, le cul exhibé et ouvert, alors que son ami se mit derrière lui. Le blond commença à lui lécher longuement le cul. Cette pratique m’avait toujours dégoûté dans les films que j’avais vus, mais cette fois-ci j’étais complètement sidéré par ce que je voyais. Il était hors de question que je reste si loin car je ne distinguais que mal ce qui se passait. Je décidai donc de ramper le plus lentement possible jusqu’à la lisière de la végétation, ce qui me mettrait à quelques 7 ou 8 mètres des deux hommes. Je parvins à mes fins et décidai d’être raisonnable et ne pas jouer avec le feu. Je restai donc dans cette position juste encore couverte. Je voyais ainsi beaucoup mieux la langue entrer dans le cul du noiraud, le flatter, le chatouiller, le faire jouir. Le blond y introduisit ensuite un doigt, puis un deuxième et enfin un troisième. Lentement et de manière experte, il pénétrait le trou de son ami à qui il arrachait de longs gémissements de satisfaction. La bite du blond semblait sur le point d’exploser. La mienne aussi d’ailleurs. Ce qui me fit à nouveau ouvrir mon jeans, l’opération étant cependant beaucoup compliquée que précédemment, puisque je j’osais presque plus bouger en raison de ma proximité avec les deux hommes. Je parvins toutefois à mes fins et fis jaillir ma bite, en baissant mon pantalon et mon slip sur mes cuisses.

Je voyais le blond alterner la langue et les doigts dans le cul de son ami, tout en lui saisissant les couilles qui pendaient de manière sublimement obscènes sous ces fesses poilues. De nouveau, un sentiment de délire me prenait, ne sachant plus réellement à quoi j’assistais, voire participais indirectement. Le blond s’interrompit et reprit le tube de gel qu’il avait laissé à côté de lui. Il s’enduisit consciencieusement la bite et s’approcha du trou qu’il avait si bien préparé. Je ne voulais pas manquer une miette de ce qui allait suivre et me poussai encore un peu en avant pour mieux encore profiter du spectacle. Les deux hommes étaient de toute manière tellement pris par leur étreinte qu’il était hors de question qu’ils m’aperçoivent. Cependant, en rampant en avant, je plongeai mon nez dans les fleurs qui bordaient la petite dune. L’une d’entre elles provoqua un brusque chatouillement et, de manière irrépressible, un éternuement de ma part. J’étais trop près pour que le bruit passe inaperçu des deux hommes qui s’interrompirent immédiatement en sursautant. Le blond sauta sur ses pieds et se mit à courir dans ma direction. Il était vain de vouloir fuir, mon pantalon sur les cuisses m’empêchant tout mouvement rapide. En quelques secondes, le blond fut vers moi. Il était plus massif et musclé que je l’avais imaginé. Il me saisit le bras avec force et m’obligea à me lever. Dévisageant avec dédain mon torse souillé de sperme, mon pantalon sur les genoux et ma bite qui était en pleine décroissance, il me gueula dessus :

— Alors connard, tu viens te rincer l’œil ! Tu as pris des photos ?

— Non… je m’excuse...

— Passe-moi ton appareil !

— Mais j’en ai pas !

— T’as bien un iPhone !

— Oui oui, prenez-le, vous verrez qu’il n’y a rien dedans.

Il fouilla mon sac rageusement, y trouva mon portable et vérifia qu’il n’y avait pas de photos. Je ne pouvais, malgré le mauvais pas dans lequel je m’étais mis, qu’admirer et être troublé par ce mec nu à quelques centimètres de moi et dont la bite n’était de loin pas encore revenue à sa taille normale. Son corps était puissant et viril et ses tétons dressés attiraient mon regard. Rasséréné par le constat que je n’avais pas fait de photos, il adopta un ton plus calme.

— Rhabille-toi, t’as l’air un peu con comme ça.

Je remontais mon pantalon comme un petit garçon pris en faute alors que finalement j’aurais pu l’envoyer promener. C’est quand même lui qui avait décidé de faire l’amour dans un lieu public ! Regardant les traces de sperme sur mon torse, il me dit :

— Ca fait longtemps que tu t’astiques en nous regardant ?

— Heuh… Depuis que vous êtes sortis de l’eau.

— T’as personne que tu peux baiser ? Pourtant, t’es mignon. Va sur Internet et tente ta chance.

— Comment dire, c’est un peu compliqué…

À ma surprise, il m’invita à le suivre et à rejoindre son ami qui était resté debout, nu, à assister au loin à notre discussion. Ils se présentèrent : David, 28 ans, pour le blond et Adrien, 30 ans, pour le noiraud.

— Bon alors à quoi tu joues, en nous regardant tout en te branlant ?

Je me sentais pas très à l’aise, moi habillé et les deux nus, assis devant moi, tranquillement les couilles pendant dans le sable. Je leur expliquai ma vie, ma situation, ma promenade et… ma découverte.

— Ah, un petit hétéro qui découvre qu’il ne l’est pas autant qu’il croyait. Ou qu’il le disait…

Il avait fait cette remarque avec humour et gentillesse. Il avait presque l’air de me prendre en pitié. En tout cas, la discussion était sympathique et détendue, loin de la crise survenue au moment où j’avais été découvert. Adrien qui était resté silencieux intervint : il était 14 heures et il avait faim. Il suggéra, avec l’approbation de David, que cette discussion continue chez eux. De plus en plus mal à l’aise, ne sachant comment refuser alors que maintenant je n’avais qu’une envie : me cacher au fond de mon hôtel. Je me vis donc contraint d’accepter leur aimable et inattendue invitation.

Nous remontâmes la falaise et après une assez longue marche, nous arrivâmes à leur voiture. Ils me posèrent à la mienne garée à quelques centaines de mètres. Après une demi-heure de route, nous atteignîmes leur villa. Simple mais très sympa. Pendant que David s’occupait des grillades, Adrien me dit que j’avais eu de la chance que son ami ne me casse pas la g... . Il pouvait être, selon lui, aussi colérique que combattif. Il se déclara content que cet incident trouve une conclusion plus calme et s’activa à ouvrir des bouteilles.

Le repas fut très gai et nous sympathisâmes. Mes hôtes étaient charmants, cultivés et drôles. Nous mangeâmes et bûmes tout l’après-midi. Vers 18 heures nous étions éméchés et vidés. Je me levais pour remercier mes nouveaux amis et prendre congé d’eux, tout en les remerciant chaleureusement de l’accueil, d’autant plus appréciable vu les circonstances initiales de notre rencontre. Mes nouveaux amis s’exclamèrent ensemble que vu mon état d’alcoolémie, il était hors de question que je prenne ma voiture pour conduire sur la distance qui me séparait de mon hôtel.

— Nous avons une petite chambre d’amis, tu peux dormir, me dit Adrien.

Devant mon air hésitant, David ajouta :

— Tu as peur de dormir chez des pédés ?

Je rigolais bêtement.

— Ou au contraire ça te trouble ?

C’est cette dernière question volontairement grinçante et provocante de David qui fut à l'origine du renversement final. Je devins tout rouge et balbutiai quelques mots. J’avais senti ma bite tressaillir. Je dois dire que dormir dans la même maison que ces deux mecs, à quelques mètres de leur chambre, en les imaginant nus, faisant l’amour me troublait profondément. David éclata de rire :

— Mais on dirait que c’est bien vrai ! Notre nouvel ami est tout troublé !

Ajoutant le geste à la parole, il me mit la main sur le bas-ventre et me donna un long baiser fougueux, fourrant sa langue dans ma bouche. Adrien ricanait doucement en assistant à ce spectaclesans aucune jalousie apparente. La main de David reposait maintenant sur mon jeans tendu à mort par l’érection qu’il avait déclenchée en me provoquant.

— Bien, qu’est-ce qu’on fait maintenant ? dit David.

— On attend que Monsieur veuille bien nous montrer comment il est fait, répondit Adrien.

Sans que j’aie le temps de répondre, Adrien défit, avec une infinie sensualité la boucle de ma ceinture, le bouton de mon jeans et le zip. Mon pantalon tomba sur mes chevilles, seul mon slip déformé protégeait encore tant bien que mal ma pudeur. C’est Adrien qui vint s’y attaquer en glissant sa main sous l’élastique et en faisant lentement le slip rejoindre le pantalon. Mes deux aimables tourmenteurs sifflèrent d’une admiration forcée :

— Ouah, pas mal le mec !

— Tout à fait baisable !

— Qui commence ?

Adrien avait saisi mes couilles qu’il malaxait doucement alors que David s’en prenait à mes fesses puis à mes tétons.

— Bon, on se calme, déclara Adrien qui prenait pour acquis que j’avais donné un consentement définitif à la suite des événements. D’abord, il faut préparer notre ami.

Je n’étais pas certain de bien comprendre. Après m’avoir débarrassé de mon jeans et de mon slip, ils me firent passer à la salle de bain. Là, ils me firent m’agenouiller dans la douche, ce que j’acceptai docilement, sans vraiment réfléchir et comprendre ce qui allait se passer. David me dit :

— On va te faire un lavement.

À ce mot, je me redressai vivement.

— Eh! calme, mec. C’est pour le confort de tout le monde. Et si on le fait bien, c’est déjà un jeu érotique marrant.

Je me laissai faire, encore totalement crispé. Mais il est vrai que l’introduction de la poire à lavement dans mon trou ne me laissa pas indifférent... Quand je fus prêt, nous retournâmes au salon, où ils se déshabillèrent tous les deux. Adrien me tendit alors une pilule et un verre d’eau :

— Prends ça, la nuit va être longue !

Devant mon air hésitant, il ajouta :

— si tu veux bander pendant des heures, il n’y a pas quinze méthodes…

Adrien ajouta enfin :

— On pose les règles. D’abord, David et moi sommes clean. En plus, on fait des tests réguliers. Donc pas d’angoisse à avoir. Deuxièmement, tu suis nos instructions et tu ne dis non à rien. On te promet de ne rien te faire d’horrible !

Il éclata de rire et me dit « D’accord ? » J’acquiesçai. J’étais complètement surexcité. Je me sentais comme lors de ma première baise d’adolescent. Comme sur la plage, mon cœur tapait et une boule bloquait ma gorge. Je regardais mes initiateurs, nus à quelques centimètres de moi, prêts à un amour que je n’avais encore jamais connu. Je regardais avec avidité le torse poilu d’Adrien, la toison de laquelle émergeait sa bite déjà presque tendue, la ligne de poils qui y conduisait depuis le nombril, ses cuisses et ses mollets virilement poilus. Je passais au corps puissant de David, la beauté de ses muscles, la vigueur de sa bite, ses tétons appétissants et, plus que tout, ses fesses rondes et fermes, à damner un saint !

Là, je ne sais plus comment continuer dans mon récit, tant les choses se mélangent dans ma tête. Se tenant debout devant moi, ils me firent tour à tour les lécher, des pieds – un délice des plus inattendus ! – jusqu’aux tétons, en passant par l’intérieur des cuisses, les couilles et la bite. Ma première bite dans ma bouche ! Ce fut celle d’Adrien, longue et délicate. Douce sur mes lèvres, brûlante dans ma bouche. Puis celle de David, solide, ronde et plus invasive au fond de ma bouche, allant jusqu’à ma gorge, me provoquant des spasmes qui, par la soumission qu’ils exprimaient par rapport à lui, aux genoux duquel j’étais, me menèrent presque à l’orgasme. Je découvrais mon goût pour la domination, moi qui étais plutôt du genre directif dans la vie active !

La situation devint plus délicate quand David me fit comprendre que je devais lui lécher le cul. Là, je ne pouvais. J’étais vraiment dégoûté. J’étais évidemment fasciné par le trou qu’il exhibait et qui ornait ces fesses que je trouvais si belles. Mais y mettre ma langue, non ! Adrien vint alors doucement vers moi :

— Tu n’as pas le choix ; tu nous avais promis que tu suivrais nos instructions. Non ? Viens, je vais te montrer.

Il s’agenouilla devant le cul de son ami et introduisit doucement sa langue dans le trou arrachant un grognement de contentement de David. Une fois le cul bien humidifié, il me dit : « Va-s-y ! » Je m’approchai doucement du trou, fasciné d’être littéralement dans les fesses de David et de voir ses couilles juste sous mon nez. Je tendis la langue plus que timidement et léchai le trou de David qui poussa un grognement de plaisir. Cette réaction m’encouragea et je continuai la tâche imposée. Je ne l’aurais jamais imaginé, mais en quelques minutes, ce devoir se transforma en une véritable frénésie. J’aurais pu bouffer le cul de David. Mon seul regret était que ma langue ne pouvait aller plus profond. Accroché à ses couilles par ma main gauche, je décidai alors de mettre un doigt puis un deuxième dans son trou, comme j’avais vu les deux mecs faire sur la plage. Adrien s’exclama :

— Bien ! Tu deviens inventif et tu prends des initiatives. Tu es un bon élève !

J’alternai pendant de longues minutes les doigts – jusqu’à trois – et la langue. Incroyable impression que d’explorer l’intimité chaude d’un mec, de sentir au bout de ses doigts l’instrument immédiat de son plaisir. Soudainement, David m’interrompit et me fit me mettre à quatre pattes. Mes deux amis me dirent qu’ils allaient passer à la leçon essentielle de la soirée : ils allaient s’occuper de mon cul. Comme à chaque étape de cette découverte, j’accueillis la nouvelle avec appréhension. Appréhension de passer cette dernière étape symbolique, de devenir un vrai pédé, d’avoir mal… Une fois de plus, j’avais bien tort d’avoir peur. Langues, doigts, plugs et godes lubrifiés de succédèrent pour préparer le chemin, avec douceur, raffinement et lascivité. Le plus gros des plugs et le gode me firent un peu mal à leur passage, avant cependant de laisser rapidement la place au pur bonheur d'être pénétré. Quand David me jugea en état, il approcha sa bite de mon cul et y entra tout en douceur. Sa bite était plus large que le gode, mais se fraya un chemin sans trop de difficulté. David avançait avec douceur. Une fois que je fus habitué à la merveilleuse présence au fond de mon ventre de l’organe de David, ce dernier commença à se déchaîner et à me ramoner comme un fou. Il me pénétrait jusqu’à la garde et je sentais ses couilles venir battre mon cul.

Adrien vint alors se mettre à genoux face à moi et me tendit sa bite à avaler. Il me prit la tête et appuya sur elle pour que j’avale sa bite le plus profond possible. Il avait déjà pu voir auparavant que je supportais et aimais les gorges profondes – à ma plus grande surprise d’ailleurs – de sorte qu’il n’eut pas d’hésitation à me pousser le plus loin possible. Je perdais le souffle, au bord du vomissement et, surtout, au bord des larmes de plaisir. Je voyais que David et Adrien avaient l’habitude de ce genre de pratique commune. Ils savaient parfaitement alterner leurs gestes : tantôt la bite d’Adrien me traversait la gorge alors que David ne bougeait pratiquement plus dans mon cul. Tantôt David me traversait presque le ventre en m’écrasant ses couilles sur mes fesses alors qu’Adrien ressortait presque sa bite de ma bouche pour me laisser profiter de la verge qui me pénétrait les entrailles. À d’autres moments, ils se déchaînaient ensemble, me donnant l’impression d’être cloué par une bite à l’avant et l’autre à l’arrière. Parfois, ils s’arrêtaient presque tous les deux, pour me laisser le temps de reprendre mes esprits et goûter les sensations qu’ils me procuraient.

Soudainement, David poussa un hurlement, s’arqua sur mon cul et, dans une série de grognements et de spasmes, éjacula longuement dans mon cul. Il resta quelques instants immobile, Adrien ne bougeant plus non plus comme pour laisser le silence commun saluer ce premier dénouement. Après un moment, David se mit sur le dos et se glissa sous moi de façon à pouvoir prendre ma bite dans sa bouche. Le signal de la fin était donné : je fondis sur la bite d’Adrien, alors que David s’occupait de la mienne. J’étais tellement excité qu’il ne me fallut que quelques secondes du traitement de mon suceur pour que j’explose. David avala mon sperme en ayant l’air d’y prendre un réel plaisir. Cette longue et presque douloureuse éjaculation m’avait fait me désintéresser de la bite d’Adrien. Il la caressa à quelques reprises et ce fut son tour d’exploser sur mon visage et mon cou.

Nous tombâmes tous trois par terre, ivres d’épuisement et de bonheur. La nuit entière se poursuivit de la sorte. Les mains, les bouches, les bites, les couilles et les culs se rencontrant, s’unissant, se séparant, se pénétrant dans tous les ordres possibles.

Jamais plus, ma vie ne fut comme avant cette nuit. David et Adrien sont devenus de très chers amis – nous ne pratiquons cependant qu’assez rarement le sexe entre nous – mais mon mariage n’a pas résisté.  Ma femme a, avec grande tristesse et réticence, accepté cette modification irrépressible de ma vie. Par bonheurnous n'avions pas d'enfant. De mon côté, j’ai reconstruit une nouvelle vie qui n’a pas été comprise de tous les membres de mon entourage mais qui est celle de ma véritable nature..

 

gay-plage

 

 Homme libre toujours tu chériras la mer... Charles Baudelaire.

     

 

 

Par claudio - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 27 novembre 3 27 /11 /Nov 00:32

 

 

Juin 2023

 

Ceci est une photo souvenir de juin 2013 à la Gay Pride où nos deux papas et nos deux mamans

nous avaient emmenés. Depuis nous formons deux foyers et une seule famille.

 

Par claudio - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 26 novembre 2 26 /11 /Nov 15:51

 


  Durant l'été nous allions nager en bande presque chaque jour. Nous nous y rendions pour passer l'après-midi à poil et c'est là qu'après une ou deux heures de batailles nautiques et de conneries d'ados, nous couronnions nos activités du jour par une branlette en groupe qui pouvait se métamorphoser en séance de pipes et de baise, suivant le type de participants...
"Inutile de préciser que la plupart des gars ont depuis lors choisi de s'enfermer dans un mariage hétéro, avec éducation des enfants et participation active à la vie de assos, églises et autres. Ils habitent toujours la ville où ils ont grandi.
"C'est plutôt triste. Parce que certains de ces garçons étaient si bien foutus qu'ils auraient pu devenir des superstars Bon! pas tous des superstars, mais au moins des étoiles du porno !.''
"Je me console en me disant que j'en ai croqué un morceau avant qu'ils ne s'installent dans leur vie de désespérance muette, avec une épouse et des mômes turbulents et bobos consanguins scénario classique chez nous les gays: l'histoire d'hétéros malheureux parce qu'ils sont en fait bisexuels. Il en existe, pour sûr, et ils souffrent tout en respectant leurs engagements. Mais de l'autre côté de la barrière, ils sont nombreux aussi à éprouver des regrets. Par exemple de ne pas avoir pu fonder une famille avec des enfants turbulents. Ou d'avoir raté leur carrière de superstar... Pour revenir à des souvenirs de jeunesse au bord de l'eau -- voici quelqu'un que personne ne peut renier : Charles Trenet,  PD de renom,

des "Jeunes  Années" à

"Ce soir le vent qui frappe à ma porte
Me parle des amours mortes
Devant le feu qui s' éteint
Ce soir c'est une chanson d' automne
Dans la maison qui frissonne
Et je pense aux jours lointains

{Refrain:}
Que reste-t-il de nos amours
Que reste-t-il de ces beaux jours
Une photo, vieille photo
De ma jeunesse
Que reste-t-il des billets doux
Des mois d' avril, des rendez-vous
Un souvenir qui me poursuit
Sans cesse
+
Bonheur fané, cheveux au vent
Baisers volés, rêves mouvants
Que reste-t-il de tout cela
Dites-le-moi
+
Un petit village, un vieux clocher
Un paysage si bien caché
Et dans un nuage le cher visage
De mon passé

Les mots les mots tendres qu'on murmure
Les caresses les plus pures
Les serments au fond des bois
Les fleurs qu'on retrouve dans un livre
Dont le parfum vous enivre
Se sont envolés pourquoi? "

-----------------------------------------------------------------------------------------

un avant goût du prochain article : 

Prochain article : encore BISEX !

Ça fait longtemps que tu t'astiques en nous regardant ?

Voilà c’est fait : j’ai franchi le pas. J’ai réussi à écrire un des événements majeurs de ma vie sexuelle (« Une étrange leçon»). Cela a été difficile mais combien libérateur. Je me sens enfin en mesure de raconter comment tout cela a commencé, il y a treize ans.

À l’époque, j’avais 32 ans, heureusement marié depuis 7 ans. Je ne m’étais jamais caché mon intérêt pour les garçons mais ...

 

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 26 novembre 2 26 /11 /Nov 01:42

 

 

Xav'

 

 

 

 

br0wn2: smajke60: Oh boy Wow. Where’s a pic of that monster hard?

comment voudriez-vous vous emmerder avec des potes comme mes miens ?

 

bentaylor0: He was always working out, trying to get every muscle in his body to pop so he can exuberantly show off his body at every keg party and fraternity party he was able to attend. Girls and guys around campus would always request to see him flex all his muscles, and he would go all out for a good show…

 

 

 

edcapitola: whentheprecioustimesstarts: Omfg! Fuckin’ Hot! (: Follow me at http://edcapitola.tumblr.com

 

 

 

 

cum-enjoy: cum-enjoy.tumblr.com

 

 

brotherbro: erotic-co: Like Erotic-co on facebook: www.facebook.com/EroticCo http://brotherbro.tumblr.com/

 

 

 

 

 

 

 

 

je sens le bout de ta tige sur mon trou...

Ta queue n'a quà se glisser dedans. Trop bon !

   

    

 

cheekyboy44stuff: loving that cock!

 

brazen68: upcloseandsexual: Taking you so close you can actually taste it, smell it, feel it, fuck it, suck it, swallow it… —- Come hang with Bi-Top Married Dad: Links to my blog

 

 

hunternprey: just don;t stop

 

La

drogue d'amour...

 

 Xav'

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : RELAIS - ZAPPINGS- PARTAGES photo expo - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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