Mercredi 27 novembre 3 27 /11 /Nov 18:36

classé ans SOUMISSION & DOUCES VIOLENCES (28)  

 

   

 

   

 

 Template-Attention.png Le texte qui suit contient de la violence et des actes ou des images qui pourraient ne pas convenir à tous. Nous préférons vous en aviser et vous conseillons de regarder les catégories concernées colonne de gauche avant de persister et faire votre choix définitif.

 

 1. Le kidnapping  de Jean  

 

Encore quelques minutes de cours, et la sonnerie va retentir. J'en ai un peu marre. Vivement 17h et la fin des cours. Dring, ça sonne. Toute la classe se lève et se précipite vers la porte.

— Jean, attends s'il te plaît, me demande le prof.

Jean, c'est moi!

— Quoi, pourquoi?

— Rien de grave, tu sais, à propos de ton exposé, pour jeudi...

— Oui?

— Eh bien...

Maintenant toute la classe est sortie. Il ne reste que le prof et moi.

— Eh bien... ton exposé, il faut que je te montre un document que j'ai trouvé.

— Ah oui, bon ok, mais vite alors, j'ai un car à prendre!

— OK. Une minute maximum. Viens, suis moi.

Il se dirige alors vers le petit bureau, à coté de salle, où se trouvent un ordinateur et son bureau. Je le suis. Si j'avais su... Il se penche sur son ordinateur, réactive l'écran en veille.

— Là, regarde.

Je me penche sur l'écran, et... Bong! Le coup résonne dans mon crâne! La douleur est insupportable. Je me sens partir et vaciller... Bong! Le deuxième coup me rend inconscient. Je tombe par terre.

Aïe Aïe... La douleur me vrille la tête. Je me réveille doucement. Mais que s'est-il passé? Mes bras? Mes bras sont menottés dans mon dos. Je suis allongé sur un lit. Je ne connais pas cette pièce. Mais où suis-je? Et pourquoi je suis là? Je reprends mes esprits doucement. La douleur s'estompe peu à peu. Ça va mieux. J'essaie de faire le point. Je me rappelle le bureau, l'écran, et les deux coups!

Une rançon. Immédiatement, je pense à un kidnapping. Le prof va demander une rançon à mes parents. Mon père est médecin, il est riche, il peut payer! Putain de prof! Me kidnapper moi! J'ai plus qu'à attendre quelques heures ou quelques jours et je devrais me sortir de cette galère sans mal. C'est alors ce que je pense...

J'ai maintenant retrouvé tous mes esprits. Je n'ai plus mal à la tête. Je reprends l'exploration du regard de la pièce. Je me retourne, couché sur le lit. Merde! Je suis enchaîné: les menottes qui relient mes poignets sont elles mêmes reliées à une chaîne fixée sur le mur, à côté du lit. 50 cm de long. Je ne peux quitter le lit!

Je parcours alors la pièce des yeux. Outre le lit, il y a une douche ouverte, un WC, et plus loin... oh mon Dieu! Mais c'est quoi ce truc? J'ai déjà vu, mais qu'en photo! Je reconnais un lit genre lit gynécologique avec des étriers devant.  Mais c'est pour accoucher, ce genre de lit! Pourquoi y a ça ici ?! Je commence à prendre peur. C'est pas normal ça. Pourquoi un tel lit pour attendre une rançon? Je vois aussi que la pièce ne comporte pas de fenêtre, juste une porte en fer et... des crochets et des anneaux au plafond! Merde! C'est une salle de torture ou quoi? Mais qu'est-ce que je fais ici? Je panique! Mes mains se mettent à trembler...

Du calme! Il faut que je me calme! Pour le moment, tout va bien. Je suis con ! C'est juste que je dois être enfermé dans un cabinet médical ; mais y'a pas de douche normalement dans un cabinet médical ! J'essaie alors de réfléchir calmement. Et si c'était pas pour le fric que je suis là? Mais pourquoi alors? J'ai 18 ans, j'ai rien moi, je suis juste étudiant. J'ai même pas encore le bac!

Un pervers? Mon prof serait un pervers? Et s'il m'avait kidnappé pour mon corps? Faut dire que je suis pas mal d'après mes copines du lycée: assez mince, un peu sportif, 1m75, 65 kg. Coiffure en brosse. On me dit mignon... Je continue à trembler; de froid ou de peur, je ne sais plus. Je me recroqueville sur le lit. Les heures passent. J'ai perdu la notion du temps. J'ai pas de montre, la pièce n'a pas de fenêtre. Y'a que la lampe qui brille au plafond.

Soudain, j'entends un bruit de pas. La porte de métal s'ouvre... Un homme masqué avec une cagoule entre et se dirige vers moi. Il tient une matraque à la main! Il se place devant le lit.

— Tu es réveillé?

Je ne reconnais pas sa voix. C'est pas mon prof! Il est plus grand, plus musclé.

— Oui vous voyez bien ! Libérez-moi!

Aïe! La matraque tombe sur mes côtes, violement! Je hurle!

— Silence! Tu es prisonnier. Tu réponds à mes questions et c'est tout! COMPRIS?

Je veux pas reprendre un coup de matraque.

— Oui, répondis-je.

— Bien! Si tu restes sage, je ne serai pas violent avec toi. OK?

Il me montre la matraque...

— Ok, ok!

Merde! C'est quoi ce cinglé! Mais je ne peux rien faire. Je suis enchaîné, à sa merci... Alors autant éviter les coups pour le moment.

— Bien, tu vas te mettre à poil, complètement.

— Hors de question! Allez vous faire foutre!

Aïe! Aïe! Il me redonne un coup de matraque au même endroit! Je hurle et me tords de douleur. Les larmes coulent de mes yeux. J'ai du mal à respirer! Puis tout doucement, la douleur s'atténue...

— T'as compris cette fois? Tu dis RIEN, tu OBÉIS! OK?

— Oui... oui... pitié... l'implorai-je. Plus de coups... pitié...

— Je vais enlever tes vêtements. Tu vas rester attaché et te laisser faire.

Il commence par enlever mes baskets et mes chaussettes. Il déboucle la ceinture de mon jean.

— Lève les fesses, laisse passer ton fut!

Je m'exécute, sans broncher. Inutile de recevoir encore un coup. Il tire mon jean complètement.

— Bien, le haut maintenant.

Je le vois alors sortir une paire de ciseaux de sa poche arrière.

— Bouge pas! Je veux pas te blesser!

Je bouge pas. Je suis terrifié. Je me laisse faire. Il découpe les manches de mon sweat et finit par me l'arracher. Mon maillot finit de même. Je suis maintenant torse nu. Il ne me reste que mon boxer.

— Allez on termine!

— Non! Pitié! Pas le boxer!

— Silence!

Il reprend sa matraque, posée au pied du lit!

— Ok ok...

Ma voix est faible...j'ai peur... Il met alors ses deux mains de chaque côté se mon boxer.

— Lève les fesses!

Je lève les fesses. Que puis je faire d'autre? Mon boxer rejoint alors mes autres vêtements au pied du lit. Je suis nu devant lui...

— Bien! Tu vois, si tu coopères, je te frappe pas! OK?

— Oui... oui...

Je ne peux rien dire d'autre!

— Bien. Reste sage et tout ira bien entre nous.

Le salaud! Comme si j'avais le choix!

— Bien, je vais t'examiner. N'aie crainte, je ne te ferai pas mal... si t'es coopératif. Allonge-toi bien.

Je m'allonge sur le dos, écrasant mes poignets. Heureusement, le lit est mou. La douleur n'est pas grande.

— Écarte les jambes. Attention! Pas de coup de pied!

Docilement, j'écarte les jambes. Mon sexe est alors mis en évidence. Il regarde alors ma toison. Il faut dire que je suis peu poilu pour 18 ans. Parfois, cela m'a d'ailleurs valu des moqueries de mes camarades dans les vestiaires du foot. J'ai une petite touffe de poil sur le sexe mais rien sur le torse, ni sous le nombril. Ma bite est de taille normale. Je l'ai bien vu en comparant avec les copains aux vestiaires. Mais là, avec la peur, elle est toute petite.

— Je vais te palper. Bouge pas! Sinon... S'il était médecin il n'aurait pas besoin de menacer !

La menace est claire : si je bouge, il frappe! Il prend alors ma bite dans sa main. Il la tire doucement. Ses gestes sont doux, mais précis. Mon prépuce recouvre entièrement mon gland. Il le retire doucement. Il me décalotte. Il prend son temps. Je suis rouge de honte mais je ne peux que subir!

— Bien, joli gland. Bien rouge, propre. C'est bien.

J'ai l'impression d'être un animal qu'on examine. Mais c'est quoi ce fou?! Il passe alors à mes testicules. Il les palpe doucement. Les deux. Tout doucement, il les roule entre ses doigts...  

— Tu vois... si je veux... je te les écrase!

Je ne dis rien. Je suis terrifié.

— Non... non... J'obéis... pitié...

— Ok ok, calme toi! Tu obéis, oui. C'est bien. Écarte un peu plus les jambes.

J'écarte davantage les jambes... Il y a bien plus d'un mètre entre mes pieds. Je ne peux faire mieux.

— Bien, très bien.

Il glisse alors un doigt vers mon anus et le positionne à l'entrée de mon intimité la plus grande. Instinctivement, je serre les fesses. Jamais personne ne m'a touché là!

— Bon. Ok.

Il retire sa main. Je suis surpris.

— Bien. Encore quelques explications. Je vois que tu n'as pas TOUT compris!

Il reprend sa matraque. Je serre les jambes et me recroqueville sur le lit. Je tremble à nouveau.  

— Je te rappelle que tu dois coopérer, dit-il en agitant la matraque. Soit tu coopères et je fais attention à ne pas te faire mal, soit tu joues au con et tant pis. T'assumes les coups. Tu choisis quoi ?

Je ne réfléchis pas vraiment. Je suis sous son pouvoir, nu et attaché sur ce putain de lit ! Je ne peux pas m'empêcher de penser à la famille, le cercle étroit de mes amis. Je les vois m'enterrer comme vict ime d'un mniaque...

— Ok je coopère.

— Bien. Tu es un garçon raisonnable. Reste le.

Il pose la matraque à terre. Ouf!

— Bon on reprend: écarte à fond les jambes.

J'obéis. Je suis vaincu. Humilié. Je veux plus être frappé.

Sa main se dirige à nouveau vers ma raie et mon anus. Son doigt est de nouveau de nouveau à son entrée.

— Tu vois: c'est pas si terrible.

Il essaie alors, sans forcer, d'entrer son doigt en moi. Je lutte pour ne pas résister. La menace des coups est trop forte. Mais je suis sur le dos. La position n'est pas idéale. Mon anus est sec. Ça ne veut pas vraiment rentrer...

— Ça va pas! Retourne-toi sur le ventre.

Encore une fois, j'exécute son ordre de suite.

— Les jambes!

J'ai compris. J'écarte au maximum les jambes.

— Lève le ventre.

Il me glisse alors un oreiller sous le ventre; j'ai le cul bien relevé, les jambes bien écartées, la tête à 90°. Ecrasé sur le matelas, les mains menottées dans le dos je suis à sa merci. Complètement à sa merci! Sa vue sur ma raie presque imberbe et mon anus est imprenable.  

— Joli cul. Tu a vraiment de belles fesses bien rondes et fermes.

Il me palpe les fesses, fait rouler les muscles. J'ai vraiment le sentiment d'être un morceau de viande! À nouveau, ses doigts se rapprochent de mon trou.

— Je vais m'en occuper...

De sous le lit, il sort alors une bombe de gel lubrifiant. Il en dépose une noisette sur mon anus.

— Ça te fera moins mal avec ça...

Et il enfonce son doigt dans mon fondement. Doucement. Je le sens bien. Son doigt entre lentement en moi, je n'ai pas mal. Si ! J'en ai mal de honte ! Il fait tourner son doigt en moi, doucement. Il le remue légèrement dans mon intérieur. Je sens chacun de ses mouvements. Je suis interloqué. C'est presque agréable.

— Bien, parfait. Tu es un bon garçon.

Il retire son doigt. J'ai pas plus mal qu'à l'aller.

— Bien. Étape suivante: le jeu de la vérité.

Quoi ? Quel jeu de la vérité ? J'ai déjà joué à ce jeu avec des copains, en colonie. Il y a longtemps. S'il croit que je vais lui dire mes secrets !

Il quitte la pièce et revient de suite avec trois sangles. Il m'attache les deux jambes pour qu elles restent bien écartées. Il me met aussi une sangle autour du cou et l'attache sous le lit. Je suis vraiment ligoté! Si je bouge, je m'étouffe!

— Faut pas bouger. Reste calme et tout ira bien.

Il sort alors une ficelle. Et fait le tour de la base de mon sexe avec. Mes boules et ma verge sont alors saillantes. Je n'ose plus bouger! Il passe la ficelle dans un anneau situé au plafond et tient l'autre bout de la ficelle.

— Tu vois, si je tire, ça fait très mal.

Et il tire d'un coup sec! Aïe! La douleur est vive. Je ne peux m'empêcher de relever le bassin vers le haut! La ficelle me sectionne mes organes génitaux! Il la relâche de suite.

— Tu as vu? Je vais te poser des questions. Tu me diras la vérité. Si je pense que tu mens, je tire! Tu as compris?

— Oui, j'ai compris.

Je ne peux rien dire d'autre. Je vais lui dire la vérité. Mais quelle vérité? Que veut-il savoir?

— Je commence. Est tu hétéro, bi ou gay?

— Hétéro.

— As-tu une copine?

— Oui.

— Tu l'a déjà sauté?

— Bien sûr!

— C'était quand la dernière fois?

— Le weekend dernier, chez moi. On se voit que le weekend. Elle est étudiante.

— As-tu déjà eu une expérience homosexuelle?

— NON!

Aïe! Je hurle! Il a tiré la ficelle! Je me cambre!

— Tu mens!

— Non, je vous jure!

— Menteur!

Et il tire de plus belle. Il va m'arracher le sexe! Merde! Comment sait il? Car oui, j'ai déjà eu une telle expérience. Je craque. La douleur est intenable!

— Ok ok, oui, j'ai déjà eu.

Tout de suite, la ficelle se détend. La douleur diminue. Il détend la ficelle autour de mon sexe, juste pour que je n'aie plus mal.

— Tu vas tout me dire maintenant.

— Oui.

— Vas-y!

Je vais tout lui dire. J'ai pas le choix.

— C'était il y a quatre jours, avec Marc, un copain de ma classe. Il était passé chez moi pour réviser mais à son arrivée, je regardais des sites de cul sur le net.

— Des sites gays?

— Oui! Mais je suis pas gay! C'était juste pour voir!

— Continue!

— Dès qu il a sonné, j'ai vite fermé le navigateur. Il n'a rien vu. Et puis on a commencé à réviser. Mais plus tard, il a voulu utiliser Google pour chercher un truc, une formule de math. Il a utilisé Google et a vu l'historique du navigateur.

— Et?

— Il m'a regardé bizarrement: "T'es gay? Jean? T'es gay?"

— "Non, non! je t'assure! C'est juste pour voir." Mais il m'a pas cru.

— Et ensuite?

—"Jean, moi non plus je suis pas gay. Mais comme toi, j'ai déjà regardé sur le net. J'aimerais essayer, juste pour voir." J'ai été surpris! Quoi, Marc voulait essayer? Avec moi? Après tout, pourquoi pas? Moi aussi cette pensée m'avait bien effleuré l'esprit. Je l'ai fixé droit dans les yeux: "OK, mais juste une fois. Ce sera notre secret, hein?"

— Et il a été d'accord?

— Oui. On s'est déshabillé. Il m'a sucé. Je l'ai sucé. On a fait un 69. C'était bizarre. Je suçais un mec. Je n'en revenais pas!

— T'as aimé?

— Pas aimé, mais pas détesté. En fait, je pense que je préfère vraiment les filles.

— Et lui, tu penses qu'il a aimé?

— Oui. Il soupirait. Il passait sa main sur tout mon corps. Il a juté très fort!

— Et comment tout cela s'est-il fini?

— On n'a pas voulu se sodomiser. Enfin, lui aurait voulu, mais moi j'ai refusé. Il a dit "OK" mais il semblait déçu.

— Termine!

— On a arrêté. Il s'est rhabillé et est vite parti. Il a rien dit.

— Et ensuite?!

— Je sais pas. Je l'ai pas revu depuis.

— Tu sais pas! Enfoiré! Tu SAIS pas!

Aïe! Il tire la ficelle! Je me cambre! Je hurle!

— Mais j'ai rien fait!

La ficelle se détend. Je retombe sur l'oreiller.

— Si... tu as fait!

— QUOI?

Et si tu ne l'as pas revu depuis, c'est qu'il est MORT! Tu entends: MORT!

— Marc? Mort?! C'est pas vrai?!

— Si, il s'est jeté sous un train il y a deux jours. Il s'est suicidé.

Merde! Marc, suicidé! Cette nouvelle me choqua fortement. Marc, un super copain!

— Mais pourquoi?!

— À cause de toi! À cause de toi, petit con! Il n'a pas supporté ton refus d'aller plus loin.

— Mais non! C'est impossible!

— Si! Il a laissé une lettre. Il a tout raconté. Et c'est pour cela que tu es ici: pour payer.

Glaciale. Sa voix est devenue glaciale. Il poursuit, lentement:

— Tu vas payer. Tu n'as pas voulu que Marc t'aime et il n'a pas supporté. Tu vas donc payer.

— Mais je suis pas gay. Je voulais pas me faire sodomiser!

— Peu importe. Tu ne voulais pas. Maintenant, tu vas vouloir.

  Il y a une suite.

 

 

GLD2010317359

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : CHRO-NIQUES & INVITES (GAYS BI HET... ETC) I - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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