Partager l'article ! Récit réel : "Deviens ce que tu es" mon histoire bisex: 2003---> 2013... ...
2003---> 2013...
Ça fait longtemps que tu t'astiques en nous regardant ? |
Voilà c’est fait : j’ai franchi le pas. J’ai réussi à écrire un des événements majeurs de ma vie sexuelle. Cela a été difficile mais combien libérateur. Je me sens enfin en mesure de raconter comment tout cela a commencé, il y a treize ans.
À l’époque, j’avais 32 ans, heureusement marié depuis 7 ans. Je ne m’étais jamais caché mon intérêt pour les garçons mais il était clair que cela resterait au stade des fantasmes. Quelques coups d’œil dans la rue, les débuts d’internet et des sites spécialisés, quelques revues achetées discrètement. Tout cela me suffisait à vivre ce que j’appelais ma « tendance ». Ma vie de couple était belle et mon hétérosexualité épanouie. Jusqu’à ce week-end de mai 2000.
Ma femme était en voyage d’affaires en Asie et je participais à un séminaire de formation de mon entreprise en Bretagne. Quelques jours ennuyeux dans un endroit magnifique dont je ne pouvais guère profiter en raison du travail. À la fin du séminaire, le samedi matin, je décidai de rester le week-end, n’étant pas pressé de rentrer chez moi puisque ma femme était absente. Je louai donc une chambre dans un petit hôtel, avec l’idée de découvrir les beautés de la côte.
Pique-nique dans mon sac, je partis à la découverte des chemins côtiers. Les genêts bordaient le chemin qui me menait de plus en plus loin, surplombant la mer. J’étais subjugué par ce spectacle et le sentiment de liberté qu’il me procurait. Je décidai de profiter de la première opportunité qui se présenterait pour descendre vers la mer. Il me fallut attendre une bonne demi-heure pour finalement trouver un sentier qui descendait vers une petite crique déserte. Après une marche assez délicate sur ce chemin caillouteux, je parvins au bas de la falaise. S’offrait à ma vue une forte végétation qui protégeait la plage et, au fond, la mer d’un bleu profond.
Alors que je descendais encore le chemin, largement enfoui dans la végétation, je vis des personnes au loin dans la mer. Il me fallut un certain temps pour comprendre ce que je voyais. Les deux nageurs étaient deux jeunes hommes qui riaient et qui, en train de sortir de l’eau, se battaient par jeu. À mon étonnement, ils étaient tous deux nus, laissant voir sans gêne leur bite qui émergeait juste de l’eau. J’ignorais que le naturisme se pratiquait dans la région mais je mis la liberté que ces deux nageurs avaient prise sur le caractère très isolé de cette crique.
Le spectacle changea cependant brusquement de sens lorsque je les vis s’embrasser sur la bouche, tout en se tenant l’un l’autre par l’épaule et en remontant tranquillement sur le sable. Sous le coup de ma surprise, je me jetais à terre pour ne pas être vu. Abrité derrière la végétation, je les regardais de loin, parvenus sur la plage, se sécher, chacun frottant l’autre avec un linge, s’arrêtant avec insistance sur leur entrejambe respectif en riant aux éclats. J’étais stupéfait et sentais ma bite grossir. Elle trouva en quelques secondes sa taille maximum en me faisant souffrir dans mon jeans. J’avais le cœur qui battait et la tête qui tournait légèrement. Je n’avais jamais vu deux hommes s’aimer en réalité : cette présence physique si proche me procurait une sensation sans commune mesure avec celle que les quelques vidéos que j’avais pu voir m’avaient donnée.
Sans être des canons absolus de beauté, ces deux types étaient incroyablement séduisants et sexy. Le premier, noiraud, grand et élancé, le corps bien musclé et le torse légèrement velu. Son sexe, long et fin, était maintenant dressé au milieu d’une belle touffe foncée, surmontant de couilles pendantes sur lesquelles mes yeux étaient littéralement aimantés. L’autre, presque blond, était plus petit et plus rond et râblé, me montrant de très belles fesses rebondies et fermes. J’avais entre-aperçu son sexe plus court et plus gros que celui de son compagnon mais tout aussi dur. De loin, j’avais mal vu sa toison qui, blonde, semblait plus discrète. Ses couilles m’étaient furtivement apparues grosses et toute nichées sous la bite.
J’étais encore loin d’eux et j’aurais rêvé de m’approcher ; il était toutefois exclu de prendre un tel risque. Je me contentais donc de ce spectacle lointain. Ils roulèrent par terre en s’enlaçant et en s’embrassant. Le blond fit coucher son compagnon sur le dos et, le surmontant, il s’installa tête-bêche. Ils se sucèrent l’un l’autre, avec délectation, avalant réciproquement leurs bites. Je ne voyais que mal les détails en raison de la distance, mais je pouvais apprécier qu’ils alternaient de délicats baisers sur leur gland, avec des pénétrations presque complètes du sexe de leur partenaire au fond de leur bouche. J’étais complètement hors de moi, le souffle court et le front transpirant, rêvant de courir vers eux et de me joindre à leur jeu. Mon sexe était devenu incroyablement douloureux, prisonnier de mon slip et de mon jeans. J’ouvris ce dernier aussi fébrilement que maladroitement. Ma bite surgit littéralement de mon slip et je commençai à me masturber presque avec violence. Resté couché par terre, pour être abrité tout en regardant, me faisait garder une position peu confortable dont je décidai de me contenter pour ne pas risquer de mettre en péril ma cachette. Je tentai de calmer ma masturbation pour éviter d’éjaculer trop vite, ma bite suintant déjà sous l’effet de l’incroyable érotisme de la situation.
Sur la plage, les deux hommes étaient au paroxysme de leur 69. J’entendais dans le loin leurs gémissements et leurs râles, parfois entrecoupés par le bruit de la mer. Soudainement, l’amant du dessus fut secoué de spasmes et, de toute évidence, se vida en plusieurs jets dans la bouche de son compagnon. Aussitôt, il changea de position et fondit bouche ouverte sur le sexe de son amant qu’il amena très rapidement à l’orgasme. Il avala goulûment le sperme qui sortait de la bite tendue qu’il avait engloutie.
Face à ce spectacle, un seul bref contact de main sur mon sexe suffit pour me conduire à l’explosion. J’eu besoin de tout mon self-control pour ne pas hurler en éjaculant, tant la violence des spasmes qui m’agitèrent fut intense. Je n’avais de ma vie connu une telle sensation. Vu ma position et mon pantalon baissé sur les cuisses, j’avais du sperme un peu partout et tentais de reprendre aussi bien mes esprits que mon souffle. Je ne savais plus quoi faire. Couché à terre, j’avais envie de fuir, honteux de cette folie, avec, en même temps, le désir qui me collait au ventre de courir vers ces deux hommes. Pour le dire quoi ? Pour faire quoi ? Ma tête tournait et les idées les plus contradictoires s’y entrechoquaient. De temps à autre, je guignais furtivement du côté des deux amants qui, couchés sur le sable, discutaient tranquillement.
Un long moment passa. Je décidai de me retirer doucement pour ne pas poursuivre cette expérience qui me brûlait les entrailles. À mon désespoir, ma raison reprenait le dessus. Rester, c’était se damner, tenter une expérience sans avenir et dont je ne que pouvais qu’ignorer l’issue. C’est à ce moment que le blond se mit sur les genoux et approcha sa main du sexe de son ami. Il le prit dans la main et le caressa. Les deux hommes se mirent à rire et échangèrent quelques mots. L’homme à genoux se leva et alla prendre quelque chose dans un sac, sans que je ne puisse voir ce que c’était. Je vis en revanche que son sexe était déjà presque à nouveau complètement dressé. Je vis finalement que ce qu’il avait sorti du sac était un tube. Il pressa dessus et versa une partie de son contenu sur son sexe qu’il frotta ensuite doucement. Il se badigeonna également les doigts de la main droite. Du gel ! De toute évidence, il allait enculer son ami. Mes projets de départ s’évanouirent en un instant, ma bite remonta en position verticale en quelques secondes et mon cœur se mit à battre plus fort encore qu’auparavant.
Le noiraud se mit à genoux par terre, coudes à terre, le cul exhibé et ouvert, alors que son ami se mit derrière lui. Le blond commença à lui lécher longuement le cul. Cette pratique m’avait toujours dégoûté dans les films que j’avais vus, mais cette fois-ci j’étais complètement sidéré par ce que je voyais. Il était hors de question que je reste si loin car je ne distinguais que mal ce qui se passait. Je décidai donc de ramper le plus lentement possible jusqu’à la lisière de la végétation, ce qui me mettrait à quelques 7 ou 8 mètres des deux hommes. Je parvins à mes fins et décidai d’être raisonnable et ne pas jouer avec le feu. Je restai donc dans cette position juste encore couverte. Je voyais ainsi beaucoup mieux la langue entrer dans le cul du noiraud, le flatter, le chatouiller, le faire jouir. Le blond y introduisit ensuite un doigt, puis un deuxième et enfin un troisième. Lentement et de manière experte, il pénétrait le trou de son ami à qui il arrachait de longs gémissements de satisfaction. La bite du blond semblait sur le point d’exploser. La mienne aussi d’ailleurs. Ce qui me fit à nouveau ouvrir mon jeans, l’opération étant cependant beaucoup compliquée que précédemment, puisque je j’osais presque plus bouger en raison de ma proximité avec les deux hommes. Je parvins toutefois à mes fins et fis jaillir ma bite, en baissant mon pantalon et mon slip sur mes cuisses.
Je voyais le blond alterner la langue et les doigts dans le cul de son ami, tout en lui saisissant les couilles qui pendaient de manière sublimement obscènes sous ces fesses poilues. De nouveau, un sentiment de délire me prenait, ne sachant plus réellement à quoi j’assistais, voire participais indirectement. Le blond s’interrompit et reprit le tube de gel qu’il avait laissé à côté de lui. Il s’enduisit consciencieusement la bite et s’approcha du trou qu’il avait si bien préparé. Je ne voulais pas manquer une miette de ce qui allait suivre et me poussai encore un peu en avant pour mieux encore profiter du spectacle. Les deux hommes étaient de toute manière tellement pris par leur étreinte qu’il était hors de question qu’ils m’aperçoivent. Cependant, en rampant en avant, je plongeai mon nez dans les fleurs qui bordaient la petite dune. L’une d’entre elles provoqua un brusque chatouillement et, de manière irrépressible, un éternuement de ma part. J’étais trop près pour que le bruit passe inaperçu des deux hommes qui s’interrompirent immédiatement en sursautant. Le blond sauta sur ses pieds et se mit à courir dans ma direction. Il était vain de vouloir fuir, mon pantalon sur les cuisses m’empêchant tout mouvement rapide. En quelques secondes, le blond fut vers moi. Il était plus massif et musclé que je l’avais imaginé. Il me saisit le bras avec force et m’obligea à me lever. Dévisageant avec dédain mon torse souillé de sperme, mon pantalon sur les genoux et ma bite qui était en pleine décroissance, il me gueula dessus :
— Alors connard, tu viens te rincer l’œil ! Tu as pris des photos ?
— Non… je m’excuse...
— Passe-moi ton appareil !
— Mais j’en ai pas !
— T’as bien un iPhone !
— Oui oui, prenez-le, vous verrez qu’il n’y a rien dedans.
Il fouilla mon sac rageusement, y trouva mon portable et vérifia qu’il n’y avait pas de photos. Je ne pouvais, malgré le mauvais pas dans lequel je m’étais mis, qu’admirer et être troublé par ce mec nu à quelques centimètres de moi et dont la bite n’était de loin pas encore revenue à sa taille normale. Son corps était puissant et viril et ses tétons dressés attiraient mon regard. Rasséréné par le constat que je n’avais pas fait de photos, il adopta un ton plus calme.
— Rhabille-toi, t’as l’air un peu con comme ça.
Je remontais mon pantalon comme un petit garçon pris en faute alors que finalement j’aurais pu l’envoyer promener. C’est quand même lui qui avait décidé de faire l’amour dans un lieu public ! Regardant les traces de sperme sur mon torse, il me dit :
— Ca fait longtemps que tu t’astiques en nous regardant ?
— Heuh… Depuis que vous êtes sortis de l’eau.
— T’as personne que tu peux baiser ? Pourtant, t’es mignon. Va sur Internet et tente ta chance.
— Comment dire, c’est un peu compliqué…
À ma surprise, il m’invita à le suivre et à rejoindre son ami qui était resté debout, nu, à assister au loin à notre discussion. Ils se présentèrent : David, 28 ans, pour le blond et Adrien, 30 ans, pour le noiraud.
— Bon alors à quoi tu joues, en nous regardant tout en te branlant ?
Je me sentais pas très à l’aise, moi habillé et les deux nus, assis devant moi, tranquillement les couilles pendant dans le sable. Je leur expliquai ma vie, ma situation, ma promenade et… ma découverte.
— Ah, un petit hétéro qui découvre qu’il ne l’est pas autant qu’il croyait. Ou qu’il le disait…
Il avait fait cette remarque avec humour et gentillesse. Il avait presque l’air de me prendre en pitié. En tout cas, la discussion était sympathique et détendue, loin de la crise survenue au moment où j’avais été découvert. Adrien qui était resté silencieux intervint : il était 14 heures et il avait faim. Il suggéra, avec l’approbation de David, que cette discussion continue chez eux. De plus en plus mal à l’aise, ne sachant comment refuser alors que maintenant je n’avais qu’une envie : me cacher au fond de mon hôtel. Je me vis donc contraint d’accepter leur aimable et inattendue invitation.
Nous remontâmes la falaise et après une assez longue marche, nous arrivâmes à leur voiture. Ils me posèrent à la mienne garée à quelques centaines de mètres. Après une demi-heure de route, nous atteignîmes leur villa. Simple mais très sympa. Pendant que David s’occupait des grillades, Adrien me dit que j’avais eu de la chance que son ami ne me casse pas la g... . Il pouvait être, selon lui, aussi colérique que combattif. Il se déclara content que cet incident trouve une conclusion plus calme et s’activa à ouvrir des bouteilles.
Le repas fut très gai et nous sympathisâmes. Mes hôtes étaient charmants, cultivés et drôles. Nous mangeâmes et bûmes tout l’après-midi. Vers 18 heures nous étions éméchés et vidés. Je me levais pour remercier mes nouveaux amis et prendre congé d’eux, tout en les remerciant chaleureusement de l’accueil, d’autant plus appréciable vu les circonstances initiales de notre rencontre. Mes nouveaux amis s’exclamèrent ensemble que vu mon état d’alcoolémie, il était hors de question que je prenne ma voiture pour conduire sur la distance qui me séparait de mon hôtel.
— Nous avons une petite chambre d’amis, tu peux dormir, me dit Adrien.
Devant mon air hésitant, David ajouta :
— Tu as peur de dormir chez des pédés ?
Je rigolais bêtement.
— Ou au contraire ça te trouble ?
C’est cette dernière question volontairement grinçante et provocante de David qui fut à l'origine du renversement final. Je devins tout rouge et balbutiai quelques mots. J’avais senti ma bite tressaillir. Je dois dire que dormir dans la même maison que ces deux mecs, à quelques mètres de leur chambre, en les imaginant nus, faisant l’amour me troublait profondément. David éclata de rire :
— Mais on dirait que c’est bien vrai ! Notre nouvel ami est tout troublé !
Ajoutant le geste à la parole, il me mit la main sur le bas-ventre et me donna un long baiser fougueux, fourrant sa langue dans ma bouche. Adrien ricanait doucement en assistant à ce spectaclesans aucune jalousie apparente. La main de David reposait maintenant sur mon jeans tendu à mort par l’érection qu’il avait déclenchée en me provoquant.
— Bien, qu’est-ce qu’on fait maintenant ? dit David.
— On attend que Monsieur veuille bien nous montrer comment il est fait, répondit Adrien.
Sans que j’aie le temps de répondre, Adrien défit, avec une infinie sensualité la boucle de ma ceinture, le bouton de mon jeans et le zip. Mon pantalon tomba sur mes chevilles, seul mon slip déformé protégeait encore tant bien que mal ma pudeur. C’est Adrien qui vint s’y attaquer en glissant sa main sous l’élastique et en faisant lentement le slip rejoindre le pantalon. Mes deux aimables tourmenteurs sifflèrent d’une admiration forcée :
— Ouah, pas mal le mec !
— Tout à fait baisable !
— Qui commence ?
Adrien avait saisi mes couilles qu’il malaxait doucement alors que David s’en prenait à mes fesses puis à mes tétons.
— Bon, on se calme, déclara Adrien qui prenait pour acquis que j’avais donné un consentement définitif à la suite des événements. D’abord, il faut préparer notre ami.
Je n’étais pas certain de bien comprendre. Après m’avoir débarrassé de mon jeans et de mon slip, ils me firent passer à la salle de bain. Là, ils me firent m’agenouiller dans la douche, ce que j’acceptai docilement, sans vraiment réfléchir et comprendre ce qui allait se passer. David me dit :
— On va te faire un lavement.
À ce mot, je me redressai vivement.
— Eh! calme, mec. C’est pour le confort de tout le monde. Et si on le fait bien, c’est déjà un jeu érotique marrant.
Je me laissai faire, encore totalement crispé. Mais il est vrai que l’introduction de la poire à lavement dans mon trou ne me laissa pas indifférent... Quand je fus prêt, nous retournâmes au salon, où ils se déshabillèrent tous les deux. Adrien me tendit alors une pilule et un verre d’eau :
— Prends ça, la nuit va être longue !
Devant mon air hésitant, il ajouta :
— si tu veux bander pendant des heures, il n’y a pas quinze méthodes…
Adrien ajouta enfin :
— On pose les règles. D’abord, David et moi sommes clean. En plus, on fait des tests réguliers. Donc pas d’angoisse à avoir. Deuxièmement, tu suis nos instructions et tu ne dis non à rien. On te promet de ne rien te faire d’horrible !
Il éclata de rire et me dit « D’accord ? » J’acquiesçai. J’étais complètement surexcité. Je me sentais comme lors de ma première baise d’adolescent. Comme sur la plage, mon cœur tapait et une boule bloquait ma gorge. Je regardais mes initiateurs, nus à quelques centimètres de moi, prêts à un amour que je n’avais encore jamais connu. Je regardais avec avidité le torse poilu d’Adrien, la toison de laquelle émergeait sa bite déjà presque tendue, la ligne de poils qui y conduisait depuis le nombril, ses cuisses et ses mollets virilement poilus. Je passais au corps puissant de David, la beauté de ses muscles, la vigueur de sa bite, ses tétons appétissants et, plus que tout, ses fesses rondes et fermes, à damner un saint !
Là, je ne sais plus comment continuer dans mon récit, tant les choses se mélangent dans ma tête. Se tenant debout devant moi, ils me firent tour à tour les lécher, des pieds – un délice des plus inattendus ! – jusqu’aux tétons, en passant par l’intérieur des cuisses, les couilles et la bite. Ma première bite dans ma bouche ! Ce fut celle d’Adrien, longue et délicate. Douce sur mes lèvres, brûlante dans ma bouche. Puis celle de David, solide, ronde et plus invasive au fond de ma bouche, allant jusqu’à ma gorge, me provoquant des spasmes qui, par la soumission qu’ils exprimaient par rapport à lui, aux genoux duquel j’étais, me menèrent presque à l’orgasme. Je découvrais mon goût pour la domination, moi qui étais plutôt du genre directif dans la vie active !
La situation devint plus délicate quand David me fit comprendre que je devais lui lécher le cul. Là, je ne pouvais. J’étais vraiment dégoûté. J’étais évidemment fasciné par le trou qu’il exhibait et qui ornait ces fesses que je trouvais si belles. Mais y mettre ma langue, non ! Adrien vint alors doucement vers moi :
— Tu n’as pas le choix ; tu nous avais promis que tu suivrais nos instructions. Non ? Viens, je vais te montrer.
Il s’agenouilla devant le cul de son ami et introduisit doucement sa langue dans le trou arrachant un grognement de contentement de David. Une fois le cul bien humidifié, il me dit : « Va-s-y ! » Je m’approchai doucement du trou, fasciné d’être littéralement dans les fesses de David et de voir ses couilles juste sous mon nez. Je tendis la langue plus que timidement et léchai le trou de David qui poussa un grognement de plaisir. Cette réaction m’encouragea et je continuai la tâche imposée. Je ne l’aurais jamais imaginé, mais en quelques minutes, ce devoir se transforma en une véritable frénésie. J’aurais pu bouffer le cul de David. Mon seul regret était que ma langue ne pouvait aller plus profond. Accroché à ses couilles par ma main gauche, je décidai alors de mettre un doigt puis un deuxième dans son trou, comme j’avais vu les deux mecs faire sur la plage. Adrien s’exclama :
— Bien ! Tu deviens inventif et tu prends des initiatives. Tu es un bon élève !
J’alternai pendant de longues minutes les doigts – jusqu’à trois – et la langue. Incroyable impression que d’explorer l’intimité chaude d’un mec, de sentir au bout de ses doigts l’instrument immédiat de son plaisir. Soudainement, David m’interrompit et me fit me mettre à quatre pattes. Mes deux amis me dirent qu’ils allaient passer à la leçon essentielle de la soirée : ils allaient s’occuper de mon cul. Comme à chaque étape de cette découverte, j’accueillis la nouvelle avec appréhension. Appréhension de passer cette dernière étape symbolique, de devenir un vrai pédé, d’avoir mal… Une fois de plus, j’avais bien tort d’avoir peur. Langues, doigts, plugs et godes lubrifiés de succédèrent pour préparer le chemin, avec douceur, raffinement et lascivité. Le plus gros des plugs et le gode me firent un peu mal à leur passage, avant cependant de laisser rapidement la place au pur bonheur d'être pénétré. Quand David me jugea en état, il approcha sa bite de mon cul et y entra tout en douceur. Sa bite était plus large que le gode, mais se fraya un chemin sans trop de difficulté. David avançait avec douceur. Une fois que je fus habitué à la merveilleuse présence au fond de mon ventre de l’organe de David, ce dernier commença à se déchaîner et à me ramoner comme un fou. Il me pénétrait jusqu’à la garde et je sentais ses couilles venir battre mon cul.
Adrien vint alors se mettre à genoux face à moi et me tendit sa bite à avaler. Il me prit la tête et appuya sur elle pour que j’avale sa bite le plus profond possible. Il avait déjà pu voir auparavant que je supportais et aimais les gorges profondes – à ma plus grande surprise d’ailleurs – de sorte qu’il n’eut pas d’hésitation à me pousser le plus loin possible. Je perdais le souffle, au bord du vomissement et, surtout, au bord des larmes de plaisir. Je voyais que David et Adrien avaient l’habitude de ce genre de pratique commune. Ils savaient parfaitement alterner leurs gestes : tantôt la bite d’Adrien me traversait la gorge alors que David ne bougeait pratiquement plus dans mon cul. Tantôt David me traversait presque le ventre en m’écrasant ses couilles sur mes fesses alors qu’Adrien ressortait presque sa bite de ma bouche pour me laisser profiter de la verge qui me pénétrait les entrailles. À d’autres moments, ils se déchaînaient ensemble, me donnant l’impression d’être cloué par une bite à l’avant et l’autre à l’arrière. Parfois, ils s’arrêtaient presque tous les deux, pour me laisser le temps de reprendre mes esprits et goûter les sensations qu’ils me procuraient.
Soudainement, David poussa un hurlement, s’arqua sur mon cul et, dans une série de grognements et de spasmes, éjacula longuement dans mon cul. Il resta quelques instants immobile, Adrien ne bougeant plus non plus comme pour laisser le silence commun saluer ce premier dénouement. Après un moment, David se mit sur le dos et se glissa sous moi de façon à pouvoir prendre ma bite dans sa bouche. Le signal de la fin était donné : je fondis sur la bite d’Adrien, alors que David s’occupait de la mienne. J’étais tellement excité qu’il ne me fallut que quelques secondes du traitement de mon suceur pour que j’explose. David avala mon sperme en ayant l’air d’y prendre un réel plaisir. Cette longue et presque douloureuse éjaculation m’avait fait me désintéresser de la bite d’Adrien. Il la caressa à quelques reprises et ce fut son tour d’exploser sur mon visage et mon cou.
Nous tombâmes tous trois par terre, ivres d’épuisement et de bonheur. La nuit entière se poursuivit de la sorte. Les mains, les bouches, les bites, les couilles et les culs se rencontrant, s’unissant, se séparant, se pénétrant dans tous les ordres possibles.
Jamais plus, ma vie ne fut comme avant cette nuit. David et Adrien sont devenus de très chers amis – nous ne pratiquons cependant qu’assez rarement le sexe entre nous – mais mon mariage n’a pas résisté. Ma femme a, avec grande tristesse et réticence, accepté cette modification irrépressible de ma vie. Par bonheurnous n'avions pas d'enfant. De mon côté, j’ai reconstruit une nouvelle vie qui n’a pas été comprise de tous les membres de mon entourage mais qui est celle de ma véritable nature..
Homme libre toujours tu chériras la mer... Charles Baudelaire.
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