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classé dans DOCUMENTS
Ne pas oublier les années sombres d'une discrimination répressive
On a longtemps cru ce film perdu. Les archives sont conservées à Munich.
il a été retrouvé et on fera paraître une copie en 2014
Résumé :
Le violoniste virtuose Paul Körner (Conrad Veidt) est victime d’un chantage de la part du prostitué Franz Bollek. Körner refuse de continuer à payer toujours plus au maître-chanteur. Bollek finit par le dénoncer pour infraction au paragraphe 175. Au cours du procès qui s’ensuit, le docteur Magnus Hirschfeld (qui joue son propre rôle), prononce un ardent plaidoyer contre l’intolérance et la discrimination dont sont victimes les homosexuels. Si Bollek est condamné pour extorsion de fonds, Körner l’est lui pour avoir enfreint le paragraphe 175. Sa réputation est ruinée. Il ne supporte pas l’opprobre public et finit par se donner la mort.
Différent des autres (Anders als die Andern) est un film allemand de 1919, réalisé par Richard Oswald et co-écrit avec Magnus Hirschfeld, médecin allemand et cofondateur du mouvement de libération homosexuel, le WHK. Ce film est le premier à défendre la cause des homosexuels en Allemagne. Il dénonce le paragraphe 175 qui pénalisait alors les relations homosexuelles entre hommes consentants en Allemagne.
Interdit par la censure, le film a seulement survécu en tant que fragment d’une courte version retravaillée en 1927 par Magnus Hirschfeld. La reconstruction du film original a été entrepris en 2004 par la cinémathèque de Munich.
Les 2 versions sont présentes dans le DVD.
Réal. Richard Oswald -1919 - 51′ - VO all. - S/T anglais
Inter. : Conrad Veidt, Reinhold Schünzel, Fritz Schulz, Anita Berber, Magnus Hirschfeld
Une édition FILMMUSEUM
Une BD sur une époque très proche de celle du film :
Triangle Rose, par Michel Dufranne, Maza, et Christian Lerolle.
Oneshot, album broché de 144 pages en couleurs et lavis.
Dessinateur de publicité et professeur de dessin, Andreas est homosexuel. Pas une “grande folle” travestie mais un homosexuel discret, joyeux et romantique, dans le Berlin des années 30. Mais la peste brune envahit peu à peu les rues, la cité, les institutions. Des lois sont promulguées. Andreas fait l’expérience de la violence, physique ou morale. On l’envoie en prison du fait de sa préférence sexuelle, puis
dans un camp de concentration. Survivant aux mauvais traitements, la libération et l’après-guerre ne lui apporteront pas plus de repos. Fait prisonnier de droit commun, un nouveau combat s’engage pour sa réhabilitation. Ce combat, qui semble perdu d’avance, se gagnera par la résignation et la trahison de son identité. Comme beaucoup d’autres homosexuels, il travestira son histoire, se dira « triangle rouge » ; se conformera à la société civile en se mariant avec une lesbienne et éduquera l’enfant qu’elle eut (de force) avec un sous-officiers nazis.
Malgré le refoulement nécessaire, en état de survie durant de si longues années, Andreas n’oubliera jamais qu’il fut « l’un des leurs ».
Avril 2013, en plein débat houleux sur le mariage des homosexuels, Triangle Rose reçoit le Prix littéraire des lycéens, apprentis et stagiaires de la formation professionnelle de la Région Ile-de-France - pour le Val de Marne.
classé dans DECONNE HUMOUR
faut pas zieuter c'est pô bien !
concentration
défiance ?
Moi sur le web je détaille les close-ups!
BCBG, même si je vois, même si je kiffe? je garde les yeux baissés sur mon propre urinoir.
Moi je "sévis" sur les plages et dans les bois...
je m'en fous qu'on me regarde. Peut-être, si ça va pas plus loin, je déteste pas qu'on regarde ma bite.
Pensez ce que vous voudrez, moi je regarde
ça c 'est un code de drague...
Il est super hein ! Des fois comme ça dans les WC publics j'ai réalisé de bons coups !
Flatter c'est le succès assuré
Si on pouvait regarder en détail...hihi
Les jeans c'est toujours le zip qui se détraque...jamais personne pour aider...
< Chui hétéro ok, mais les homos sucent bien
Je les drague à tout hasard...>
< La drague dans les Wc publics c'est pour le fun !
< Je peux pas m'empêcher de mater dans les pissotières...
< avec ma coupe à la Nicolas Hulot je n'attire pas les voyeurs.
<J'ose et j'espère que ce sera payant
<J'avais tant envie de pisser que je m'en fous qu'on regarde
< je sais que c'est pas bien de regarder mais c'est beau...JE POURRAI JAMAIS M'EMPËCHER
Je réfléchis à mon problème de maths...je comprends pas les mecs qui regardent...
On dirait pas à me voir...OK, mais c'est les autres qui sont hypocrites !
Regarde-là. Elle est belle...Allez tu suces ?
Mais non c'est pas pour provoquer !
Je fais comme si je déconnais...ça peut tourner à mon avantage ...
Tranquille : chacun fait c'qui lui plaît....
Putain, je suis quand même pas mal !
Tu détournes le regard? Tu fixes ? tu dragues ?
classé dans RECITS FICTIONS (81)
Ci-dessous : Un mec "cho".
Je suis comme vous, dans un rôle ou dans l'autre, je m'y vois en toute autodérision...Mais quand même, lui c'est lui, et moi c'est moi !
(Mais l'huile, c'était de l'huile d'olive au moins ? )
Salut, c'est moi Julien. Vous allez me trouver impudique. Tant pis. Je vais vous raconter une de mes merveilleuses expériences homo.
Je suis gay et j'aime le sexe sous toutes ses formes, surtout les grosses. Mon aventure s'est deroulée l'été dernier il y a à peine 3 mois dans le grand sud. A 25 ans j'aime les hommes plus âgés complètement rasés, c'est plus agréable pour sucer.
J'étais sur la plage et j'ai aperçu un homme de 40 ans qui m'avait l'air seul et bien rasé, en tout cas à l'extérieur de son maillot de bain. J'avais hâte de voir ce que ce bout de tissu pouvait cacher. Je pressentais quelque chose de bien car on pouvait voir la forme d'un long pénis sous ce maillot. Je suis allé vers cet homme et j'ai commencé à lui parler de choses banales, le soleil, les vacances, etc... Je l'ai ensuite dragué un peu et j'ai été super heureux quand j'ai senti qu'il accrochait bien, C'était du pot qu'il soit PD lui aussi. On a été dans l'eau, et là on en a profité pour se toucher. Hummmhhh J'ai plongé sous l'eau et je lui ai baissé son maillot. J'ai alors pu voir son sexe qui était bien long, je l'ai mis dans ma bouche mais j'ai dû le retirer de suite car j'avais avalé de l'eau salée. Je toussais. (rires )
On a alors decidé d'aller chez lui, j'étais terriblement excité et lui aussi. On a dû attendre un peu pour sortir de l'eau afin de débander. Une fois chez lui, je lui ai dit à quel point j'aime les beaux sexes longs et dur comme le siens, il m'a dit que, normalement, j'allais pas être déçu par sa bite. On s'est vite déshabillés et en moins de dix secondes on s'est retrouvés à poil tous les deux pensant à une seule chose : bien s'éclater à fond. J'ai alors repris là où je m'étais arrêté dans l'eau, j'ai pris sa pine et je l'ai sucée, j'ai d'abord bien léché son beau gland tout rose, j'ai mis ma langue toute excitée sur le trou de son gland, ça l'a fait frissonner de plaisir, ensuite j'ai pris tout son sexe, enfin tant que j'en pouvais car il devait faire au moins 22 cm. Je l'ai sucé à fond, faisant des va-et-vient avec son sexe dans ma bouche, j'ai pompé, pompé sa teub jusqu'à sentir sa semence monter. Je lui ai dit de m'asperger tout le visage de son sperme gluant car j'aime avoir le visage recouvert de foutre pendant que je me fais prendre. Ça me donne un air de chien en chaleur qui peut tout accepter pour jouir. J'avais donc tout son sperme sur ma gueule qui coulait le long de mes joues et de mon cou.
Avec ce visage d'homme en chaleur, je me suis mis à quattre pattes, le cul bien dressé en l'air, n'attendant plus qu'une bonne sodomie pour enfin jouir. Il est allé chercher une bouteille d'huile, et il m'a juste dit: "Toi alors, t'es vraiment un bon coup, t'avais envie de te faire un mec plus expérimenté que toi hein, t'aimes ça le sexe d'un beau mec hein t'aimes ça, alors tu vas l'avoir ma queue de 40 balais.
" Il en a pas dit plus, il m'a pris par les fesses, il me les a bien écartées, puis il m'a aspergé l'anus d'huile, il en a mis aussi sur toute sa queue. J'avais le cul qui dégoulinait d'huile, ça coulait de partout. Enfin il a approché sa grosse et longue queue de mon anus tout rose. Et hop, d'un coup, d'un seul, il me l'a enfoncée dans mon trou du cul. Sous le choc, j'ai crié, mais je me suis laissé aller à un râle de plaisir tellement c'était bon d'avoir enfin mon cul rempli par cette grosse bite. Il l'a retirée et a encore mis de l'huile, avant de la rentrer encore plus profondément. Il a commencé son mouvement de sodomie.
Au début, il me bourrait le cul doucement puis il a vite accéléré la manoeuvre jusqu'à aller à une vitesse folle. Jamais, me faire enculer ne m'avait donné autant de plaisir, c'était bon, il avait beau être violent, ça ne me faisait pas mal du tout, c'était que du plaisir. Sa bite glissait sans aucun problème dans mon cul grâce à toute l'huile, il avait même pas besoin de forcer, pourtant elle était grosse sa queue et longue en plus mais elle rentrait en entier. J'avais le cul plein et ça glissait entre mes fesses comme dans du beurre mou. J'avais la bouche ouverte avec la langue pendante et je soufflais tant que je pouvais pour reprendre mon souffle, pendant qu'il me défonçait à grands coups. Il allait tellement vite et profond avec sa bite dans mon cul que ça me chauffait terriblement. Il était très fort ce mec car ça a duré comme ça pendant vingt minutes, et je croyais qu'après ça, jamais mon anus allait arriver à se refermer. Juste au bon moment, quand il s'est retiré pour m'éjaculer encore en pleine figure, je me suis écroulé de fatigue, j'en pouvais plus d'être à quatre pattes à recevoir durant vingt minutes le cul dressé. Je me suis allongé comme une masse, les yeux fermés, et il m'a éjaculé sur tout mon corps qui venait de jouir grâce à lui. J'étais plein de sperme mais il s'est quand même allongé sur moi et m'a tendrement embrassé sur la bouche, je dirais même à pleine bouche, nos langues se mêlaient pendant que je lui enfonçais un doigt dans son petit cul. Il aimait ça, donc comme moi il aimait se faire fourrer le cul. Mais malheureusement il était déjà tard et j'étais obligé de partir.
Je l'ai embrassé une dernière fois une fois sur sa bouche saliveuse et une fois sur sa bite qui m'avait donné tant de plaisir en me pénétrant. J'ai pris une douche et je suis reparti, à une soirée où m'attendaient des amis mâles, on allait encore se payer une bonne orgie à dix ou douze. Mais ça je vous le raconterai dans une autre histoire. ¤
il avait beau être violent, ça ne me faisait pas mal du tout, c'était que du plaisir
DU FUN
j'ai pris tout son sexe, enfin tant que j'en pouvais car il devait faire au moins 22 cm.
Vidéo illustration qui suit : sexy blond boy takes a big dick in his ass
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