la série de photos jointe est sur le même thème, SM, que le récit.
...si tu ne l'as pas revu depuis, c'est qu'il est MORT! Tu entends: MORT!
— Marc? Mort?! C'est pas vrai?!
— Si, il s'est jeté sous un train il y a deux jours. Il s'est suicidé.
Merde! Marc, suicidé! Cette nouvelle me choqua fortement. Marc, un super copain!
— Mais pourquoi?!
— À cause de toi! À cause de toi, petit con! Il n'a pas supporté ton refus d'aller plus loin.
— Mais non! C'est impossible!
— Si! Il a laissé une lettre. Il a tout raconté. Et c'est pour cela que tu es ici: pour payer.
Glaciale. Sa voix est devenue glaciale. Il poursuit, lentement:
— Tu vas payer. Tu n'as pas voulu que Marc t'aime et il n'a pas supporté. Tu vas donc payer.
— Mais je suis pas gay. Je voulais pas me faire sodomiser!
— Peu importe. Tu ne voulais pas. Maintenant, tu vas vouloir. ...
Putain! Il est fou de haine et de vengeance! Il est complètement timbré! Mais je comprends maintenant pourquoi je suis la. Je suis entre les mains d'un homme rendu fou de douleur par la mort de son neveu, doublé d'un pervers!
— Bien, réfléchis à ça. Je reviens dans une heure.
Il quitte la pièce en me laissant attaché sur ce lit, le cul à l'air, les jambes écartées, les fesses ouvertes et les mains menottées. Heureusement, la ficelle qui serre mon sexe n'est plus tenue et est détendue. Je me calme. Je réfléchis. J'ai peur. Il est violent. Que veut-il me faire? Je tremble à nouveau. Veut-il me prostituer après m'avoir soumis et fait de moi un gay comme il dit ? Je suis épuisé nerveusement. Une heure passe. Enfin, je sais pas trop. J'ai perdu toute notion de temps.
À nouveau les pas. La porte s'ouvre. Il entre, il porte toujours la cagoule. À quoi ça sert puisque je sais maintenant qu'il est l'oncle de Marc?
— Bien, t'as pas bougé. Parfait.
Sa voix est froide, posée. Une vraie voix de tortionnaire. J'en frissonne.
Et vlan, il me flanque une grosse gifle sur la joue gauche!
— Ne dis plus rien! C'est inutile. Tu vas payer.
Il reprend le gel lubrifiant. Il en étale une bonne dose sur ma raie, autour de mon anus. Il se penche sous le lit. Il en sort un gode. Un gros gode de 6 cm de diamètre!
— Non pitié! Pas ça! Pitié! je hurle.
— Calmos! Non pas ça. Je vais prendre mon temps, tu va pouvoir apprécier. Voila un gode plus petit.
Et il sort un gode de 4 cm. Il le présente devant mon trou. Comme j'ai les jambes très écartées, je ne peux résister. Le gode entre doucement, d'environ 10 centimètres. Il semble faire attention à ne pas me faire trop mal. Une fois le gode entré, il le tient fermement et le remue légérement.
— Ça va?
Bizarrement, j'ai pas mal. J'aime pas mais j'ai pas mal. La sensation est nouvelle et étrange.
— Oui.
Il l'enfonce encore mais juste de deux centimètres. Enfin, c'est ce que pense sentir, je ne vois rien, étant sur le ventre et avec un oreiller sous le ventre.
— Tu ne vois rien, hein? Attends.
Il sort et revient avec une table roulante. Dessus, une caméra et un ordinateur. Il branche le tout. Et place la table juste à hauteur de mon visage, à côté du lit.
— Voilà, je vais te montrer.
Il positionne la caméra vers mon anus et fait la mise au point. Je vois alors sur l'écran mon cul, mon anus avec le gode dedans. J'en suis horrifié! Mon anus est très dilaté et entoure le gode. J'essaie de sortir le gode en serrant et desserrant les fesses mais je ne peux rien faire. Il ne bouge pas. Seul mon anus frétille. J'ai les jambes vraiment trop écartées!
Il prend alors le gode, le retire doucement. Le sort complètement. Mon anus reste ouvert. Je voudrais ne pas regarder mais curieusement, je suis fasciné. Je ne peux m'empêcher de regarder l'écran. Mon anus se resserre et se referme doucement mais il rentre à nouveau le gode à fond. Maintenant, je vois bien ce mouvement lent. Cet objet qui rentre en moi.
— Je ne veux pas te faire mal. Je veux juste que tu comprennes.
Que je comprenne quoi?! Marc est mort. Il se venge! Mais rien ne peut ramener Marc à la vie!
— Je veux que tu deviennes gay, en mémoire de Marc.
Devenir gay? Que veut-il dire? Je ne comprends pas.
— Tu vas aimer être sodomisé. Tu vas aimer sucer. Et quand tu aimeras, alors je te relâcherai et Marc sera vengé et heureux au ciel.
Quel raisonnement de taré! Je ne comprends rien.
— Tu ne comprends pas? Peu importe. Ça viendra. Tu vas découvrir...
Effectivement, cela allait venir mais j'ignorais alors les dures épreuves que j'allais subir.
Le gode est toujours complètement enfoncé en moi. Il le retire doucement. Je suis fasciné par l'écran. Je ne comprends pas cette fascination; peut-être car c'est mon anus que je vois? Il détache alors mes jambes, enlève l'oreiller sous mon ventre, la sangle autour de mon cou. Je respire mieux.
— Tu vas te mettre sur le dos. Retourne-toi.
Je me retourne docilement sur le lit. Il me tend un verre d'eau. Je relève la tête (je suis toujours menotté, et enchaîné au mur). J'approche mes lèvres...
— Bois. Ça te fera du bien.
Effectivement, ça fait du bien.
— Maintenant, je vais te branler jusqu'à éjaculation.
Me branler?! Fatigué comme je le suis, je ne vois pas comment je pourrais même bander!
— Je ne vais pas y arriver!
— Mais si! Dans le verre d'eau, y'avait du Viagra.
— Du Viagra?!
— Oui! Je veux que tu jouisses fortement!
Il se met alors à me caresser le torse. Je me crispe. Je tremble à nouveau.
— Dans le verre, y'avait aussi un calmant. Tu vas voir, ça va aller.
Il poursuit ses caresses sur mon torse imberbe. Bizarrement, un certain bien-être m'envahit. Le calmant! Je suis épuisé, j'ai envie de dormir...
Les caresses se poursuivent. Il se rapproche de mon sexe, le touche parfois, puis plus souvent. Il fait des aller-retours entre mon torse et mon sexe. La pression de sa main varie selon l'endroit et c'est très sensuel. Je ne suis plus aussi crispé. Le calmant fait son œuvre... le viagra aussi! Je commence à bander. Je frétille de plus en plus malgré mes liens. Il me caresse maintenant uniquement les testicules et ma queue se dresse amplement. Les caresses se poursuivent. Il est délicat et très doux. Je bande maintenant comme un taureau. Mes 18 cm pointent fièrement vers le ciel. Je n'y peux rien. Mais je bande comme jamais.
Il approche alors sa bouche de mon gland. Mon prépuce est complètement rétracté, laissant le gland bien visible et sorti. Un coup de langue. Un autre coup de langue. Il me lèche l'extrémité de la queue. C'est agréable. Je suis détendu. Je ne peux m'empêcher de l'être. On ne lutte pas contre des médicaments! Je gigote de plaisir. J'halète. Mon souffle devient court. Il poursuit son œuvre sur mes organes. Il est très doux. Il sait y faire, ce salaud! La jouissance ultime approche. Redoutant une éventuelle réaction, je le préviens:
— Attention, je vais juter!
J'émets alors quatre jets puissants de sperme qu'il recueille intégralement dans un verre qu'il tenait caché à mon regard.
— Tiens, tu vas boire ton sperme.
— Non!
Mais ma voix est faible et manque de conviction. Je viens de jouir comme jamais, je ne peux lutter. Et puis, je pense encore à la matraque. Il approche le verre de mes lèvres. J'incline la tête en arrière et je bois tout, sans rechigner. Le goût est bizarre, un mélange sucré/salé. C'est tiède aussi. Je n'ai pas le choix.
— C'est bien. Tu vas te reposer maintenant.
Il retire la chaîne liant mes menottes au mur.
— Et les menottes?
— Pas question! Tu les gardes jusqu'à mon retour.
Et sur ce, il quitte la pièce. J'entends le verrou de la porte de métal claquer. Je suis bien toujours prisonnier, nu et menotté. Je reste donc allongé sur le lit, épuisé.
Je repense à tous cela: la mort de Marc, la vengeance, le gode dans mon anus, ma jouissance... Je finis par m'écrouler de fatigue et tombe dans un sommeil agité.
À mon réveil, il est là, assis à côté du lit sur un tabouret qu'il a apporté. Il me regarde. Depuis combien de temps est-il là, assis à me regarder, nu et attaché sur ce lit? J'en suis gêné. Une fois de plus, il a pu examiner mon corps avec force détail. Certes, il a déjà tout vu de moi, y compris mes parties intimes de près mais savoir qu'il m’a maté durant mon sommeil me met mal à l'aise.
— Bonjour, bien dormi?
Je ne réponds rien.
— Tu dis rien? Pas grave! Tu vas te laver et déjeuner. Tu dois avoir faim.
— Mais comment? Je ne peux pas avec ces menottes!
— T'inquiète, je vais t'aider. Laisse-toi faire. Lève-toi.
Je me lève alors et d'un pas hésitant, je me dirige vers la douche. Mais il y a un petit problème: j'ai envie de pisser. Normal et classique le matin. Mais j'ai envie aussi de... chier.
— J'ai envie de pisser, lui dis-je.
— Pas de problème, tu pisseras sous la douche.
— Euh... j'ai envie aussi de... enfin... vous voyez...
— OK, ben assieds-toi sur les WC.
Et il me dirige sans violence vers les WC qui sont simplement contre un mur, sans aucun paravent, à la vue de tous. Enfin, à sa vue surtout! Je m'assois sur le trône.
— Euh... comment je fais après pour m'essuyer?
— Tu fais rien. On nettoiera cela sous la douche après. Allez, fais et vite!
Je suis rouge de gêne. Je suis assis la devant lui, sur le WC. Et il me regarde avec insistance.
— Allez fais! Je ne partirai pas. T'as qu'à fermer les yeux si ma présence te gêne!
Alors je ferme les yeux et fais mes besoins. Je me sens humilié comme jamais. Je suis rouge de honte. J'ai le sentiment de n'être plus qu'un animal de compagnie. Et encore! Mes joues s'empourprent.
— C'est bon, j'ai fini.
— À la douche, maintenant!
Il me pousse alors vers la douche, ouverte elle aussi. Il me place dessous. Je me laisse faire. Il ouvre le jet, règle la température, et m'arrose copieusement sur tout le corps.
— Allez tourne-toi, je vais te savonner.
Je me tourne, il prend du gel douche, m'en verse sur la tête. Il me frotte les cheveux. Ça mousse. Puis avec la mousse, il me lave le torse, les bras, toujours menottés dans le dos. L'eau chaude soulage mes épaules ankylosées. Il me savonne le dos.
— Demi tour.
Je me retourne à nouveau, et suis maintenant face à lui.
— Je vais te laver le sexe. Défense de bouger!
— Oui, oui, je sais.
Je ne bouge pas. Il reprend du gel dans sa main et me lave le sexe, les testicules. Il me décalotte doucement, me lave le gland, le frein... J'ai un petit début d'érection. Il s'en aperçoit.
— Tu vois, que ça peut être agréable!
Je préfère ne rien répondre.
— Bon l'autre côté maintenant! Tourne-toi.
Je me tourne docilement.
— Écarte un peu les jambes. Cambre toi. Je veux voir ton trou pour le laver. Tu viens de chier, je te rappelle.
J'écarte alors les jambes et me cambre. Il dirige alors le jet de la douche vers mon anus. Quelques restes marrons tombent dans le bac de la douche et sont vite emportés par l'eau ruisselante. Il passe ensuite une main pleine de mousse dans ma raie et s'attarde sur mon trou du cul.
— Et voilà, tout propre.
Je ne dis toujours rien, je me laisse faire, comme un gamin. Je retrouve la douche de ma première enfance, quand ma mère me lavait encore à 6 ans. Il me rince ensuite à fond. Je ferme les yeux. Je profite de l'eau chaude. Ça fait du bien. Quelques instants de répit.
— Fini! Allez sors.
Je sors du bac. Il prend une serviette et m'enroule dedans. Il me tourne et me retourne, me sèche de partout, entre les jambes, sous les bourses, sous les bras, le visage. Il me manipule comme un objet. Je suis un objet, son objet sexuel. Je me laisse faire.
— Bien, tu as été coopératif. Je vais tenir ma promesse: tu as droit à un bon petit déjeuner. Approche.
— Je peux me rhabiller?
— Non! Pas question. Tu restes à poil tout le temps!
Il me dirige vers le lit; je m'assois dessus.
— Mets tes jambes là.
Il me montre deux anneaux dans le sol. Je m'exécute. Il me menotte chaque jambe à un anneau puis il se penche vers mon dos et me détache enfin les poignets.
— Voilà, tu vas déjeuner normalement comme cela.
Je bouge les bras. Mes épaules me font mal. Depuis le temps que j'avais les bras derrière le dos! Petit à petit, ça revient. Mes bras fonctionnement à nouveau normalement. Ouf!
— Une minute, je reviens.
Je ne peux que l'attendre, assis sur le lit, les pieds attachés au sol. Il revient rapidement avec une table roulante. Dessus, un petit déjeuner copieux: lait, pain, croissant, céréales... Je meurs de faim et mange de bon appétit. Il me laisse seul. Bien sûr, la porte en fer est verrouillée à son départ.
Après environ 30 minutes, il revient.
— Bien, parfait. Tu es maintenant prêt.
Je doute. Prêt pour quoi?
— Euh... pour quoi?
— Tu vas découvrir des plaisirs que tu ne connais pas.
— Euh... j'ai pas vraiment envie, vous savez.
Ma voix se fait implorante. Que va-t-il encore me faire?
— Je m'en fous de tes envies. Tu OBÉIS, c'est tout! Sinon, je t'oblige à le faire par la force! C'est ça que tu veux?
— Non non, pitié...
— Bien alors tu sais ce qu'il te reste à faire.
Je suis a nouveau vaincu!
— Bras dans le dos.
Je m'exécute. Il me remet les menottes, libère mes pieds et me pousse vers le lit à étrier.
— Allonge-toi!
Il m'attache les pieds aux étriers, enlève les menottes dans mon dos, m'écarte les bras au-dessus de la tête et me les attache à deux anneaux fixés au mur. Je suis docile. Je ne peux pas lutter. Même pour faire 5m, il m'a attaché les poignets! Puis il écarte les étriers et serre les vis de maintien. Je suis donc en extension, les jambes très écartées, les bras étirés sur la tête. Ma queue pend mollement entre mes jambes.
Le lit se termine dans le bas de mon dos. Mes fesses sont donc dans le vide et ouvertes comme jamais. Mon sexe, mes bourses, mon périnée, mon trou et ma raie sont en évidence, exposés à sa vue et à ses actes. Toute mon intimité est ainsi étalée à ses yeux.
— Bien, je vais remettre la caméra. Tu dois voir ton plaisir.
Il met la caméra face a moi, entre mes jambes, et zoom sur mes fesses, ma raie imberbe et mon anus fraîchement lavé. Puis il place l'écran à côté de mon visage. À nouveau, je suis fasciné et ne peux détacher mon regard de cet écran... de mon trou... de ma rondelle. Je ne comprends pas.
— Je vais tout d'abord vérifier l'état de ton trou.
Il sort alors un spéculum. C'est un instrument qui, une fois introduit dans l'anus, peut s'écarter. Cela permet un examen des parois anales. Il met du gel sur le métal de l'instrument et le présente devant ma rondelle.
— N'aies crainte. Ce n'est pas douloureux.
Je reste néanmoins tendu alors qu'il enfonce doucement le métal froid en moi. Dès l'instrument enfoncé, il tourne une petite vis, et lentement, les parois de l'instrument s'écartent et ainsi, mon anus est dilaté. Je me rends alors compte que mon anus s'ouvre doucement. Impossible de résister. Je vois mon trou s'ouvrir lentement. Il stoppe alors son mouvement, et penche la tête en avant, à 10 cm du spéculum. Jamais je n'ai ressenti une gêne aussi grande, une soumission aussi absolue! Non seulement je suis écartelé devant lui, mais en plus, mon fondement est ouvert mécaniquement. Sortant une lampe de poche, il la dirige vers mon anus ouvert et dilaté. Il examine soigneusement.
— Tout va bien. Tu n'as aucune trace du godage de hier.
Il tourne alors la vis dans l'autre sens et lentement, l'instrument se resserre. Mes muscles anaux suivent le mouvement et se ferment au même rythme. Il retire alors ce métal froid de mes entrailles.
— Bien. On va pouvoir donc passer à la suite: godage de 4, puis de 5 et 6 cm. On va y aller doucement. Pas question de te déchirer.
J'ai peur! Comment mon anus va-t-il pouvoir supporter cela!
— Si tu ne résistes pas, tu n'auras pas mal. Tu verras.
Il prend du gel lubrifiant et en met une bonne dose dans ma raie. Il lubrifie aussi le bout du gode de 4 cm. Je suis rivé sur l'écran. Je vois l'extrémité du gode s'approcher de mon trou puis s'enfoncer doucement, de 12 cm environ. Il le ressort, le rentre... La douleur n'est pas forte. Je suis surpris.
— Maintenant, sois attentif. Écoute ton corps.
Il prend alors le gode qui dépasse de mon cul et lui imprime des petits mouvements circulaires et variés. Je sens l'intérieur du gode heurter ma prostate. Il me caresse doucement les bourses de son autre main. Et petit à petit, mon sexe se raidit. Je bande de plus en plus. Mon sexe finit par pointer vers le ciel, comme une hampe.
— Tu vois. Si j'insiste, tu peux jouir. Mais ce n'est pas le but de ce matin.
Il retire alors complètement le gode. Mon anus se referme normalement. Je n'ai pas mal. Ma queue reste bandée. Pas pour longtemps: il me verse un petit verre d'eau froide dessus! L'effet est instantané: je débande de suite et mon sexe reprend sa position de repos.
— Bien, on va passer aux choses sérieuses maintenant.
— Non, non... s'il vous plaît...
J'essaie de mentir.
— J'ai pris du plaisir là... pas la peine de plus...
— Non! Tu ne sais pas. Tu ne connais pas. Tu vas voir.
Il remet du gel sur mon trou, me le malaxe longuement avec les doigts. Puis il prend le gode de 5 cm de diamètre et l'approche de mon anus. Il entre doucement mais là, j'ai mal. Un peu trop mal. Je grimace et il le voit bien.
— Détends-toi. Ça va passer. Cool.
Et ça passe! Je regarde à nouveau sur l'écran mon fondement s'écarter et laisser entrer cet objet étranger en moi. À nouveau, il agite doucement le gode. Ma prostate réagit et je rebande doucement. Il caresse ma bourse, joue avec mes testicules. J'ai maintenant le gode enfoncé complètement. Je sens cet objet dur au fond de mes entrailles.
— Maintenant, tu vas jouir et tu vas devenir gay.
Jouir, oui, certainement, mais devenir gay? Je ne pense pas! Je subis cette jouissance. Je suis attaché!
Avec ses mains, il se met alors à malaxer mes bourses, à jouer avec mon pénis, tout en remuant de temps à autre le gode qui heurte ma prostate et me fait réagir. Malgré mes liens, je ne peux m'empêcher de gigoter de plaisir et de pousser des soupirs d'aise. Est-il donc possible de jouir ainsi attaché et forcé? Je suis maintenant complètement bandé. Mon sexe est droit vers le ciel. Il a atteint sa taille maximum et il est dur comme jamais. Je ne suis pas loin de la jouissance...
— Oui... oui... bien... m'encourage-t-il tout en poursuivant les caresses.
— Ha... Ha!
Je ne peux m'empêcher de râler de plaisir. Entre ses caresses, le gode, les chocs sur ma prostate et la vue en détail de mon anus sur l'écran, je suis très excité. Dans un ultime sursaut, je décolle mes reins de la table et jouis dans un nirvana absolu. Cinq jets de sperme jaillissent avec force de mon sexe et finissent sur le sol, après avoir décrit un bel arc de cercle. Jamais je n'avais joui comme cela!
— Bravo! C'était bien. Tu découvres des nouvelles expériences. Tu vois, parfois la douleur peut devenir plaisir.
En mon fort intérieur, je dois avouer que j'ai vraiment joui avec bonheur. Le problème, c'est que ce moment d'évasion a duré peu de temps, et surtout je suis toujours attaché, à sa merci.
— Je vais prolonger ton plaisir.
Avec stupeur, je le vois alors sortir une aiguille. Une grosse aiguille, de quelques millimètres de diamètre et de 20 cm de long. Elle brille d'un éclat métallique.
— Mais c'est quoi ce truc?!
Je suis horrifié de voir cela.
— C'est une simple aiguille. Je vais l'enfoncer dans ta queue.
— Non! Pas ça!
Je prends peur. Il est vraiment fou. Délicatement, il saisit alors mon pénis redevenu flasque après mon éjaculation, et aussi par la peur de ce nouveau traitement que je vais devoir subir. Il le décalotte soigneusement. Mon gland est bien dégagé, sur 2 cm. Il est rouge vif. Il le prend alors entre deux doigts. Son contact sur mon méat humide me procure un petit choc électrique. Il positionne alors ses doigts perpendiculairement à la fente de sortie de mon urètre. Et il presse légèrement. Mon urètre s'ouvre alors de quelques millimètres. Cette manipulation m'impressionne fortement. Je suis crispé sur mes liens.
— Voilà, je vais t'introduire l'aiguille maintenant.
Horrifié, je le vois alors positionner l'extrémité arrondie de l'aiguille devant mon canal urinaire ainsi ouvert. Il enfonce alors très doucement l'aiguille dans ma queue. Il ne va pas vite. Millimètre après millimètre, l'aiguille s'enfonce. Bien que son bout soit arrondi, l'aiguille me brûle l'intérieur de la verge. On dirait un fer rouge! Je sens la progression avec une grande précision. Je grimace de douleur. Lentement, 15 cm de l'aiguille pénètrent. Maintenu par cette aiguille, ma queue reste droite, même sans érection.
— Et voilà!
J'ai alors un gode entre les fesses, une aiguille dans la queue. Je n'ose plus bouger d'un millimètre. Je suis paralysé. C'est tout juste si j'ose respirer. Jamais de ma vie je ne me suis senti aussi impuissant, soumis et humilié.
— C'est bien. Tu n'as pas crié. Félicitations. Éprouves-tu du plaisir, là?
Éprouver du plaisir avec une aiguille fichée dans la queue?! Non mais ça va pas! Je lui dis, mais calmement, c'est pas vraiment le moment de l'énerver.
— Non. J'aime pas du tout. C'est trop impressionnant!
— Je comprends. Bon, c'est pas grave. Tu ne peux pas tout aimer.
Je ne dis rien. Je n'ose toujours pas bouger.
— Je vais enlever l'aiguille. Attention, ça va brûler. On ne peut l'empêcher.
Et il tire alors rapidement l'aiguille. Les 15 cm sortent de ma queue en cinq secondes. Effectivement, ça brûle. Je grimace. Il s'en moque mais, ouf, je respire à nouveau. Dès que l'aiguille est sortie, il s'approche alors très près de mon gland et l'examine soigneusement en le pinçant doucement entre deux doigts.
— C'est bon. Pas de sang, ni d'urine. Le gode maintenant.
Il me retire alors doucement le gode. Mon anus reste légèrement ouvert. Je ne le contrôle plus. Mais progressivement, il se referme.
— C'est bien, tu es un garçon endurant. On termine maintenant. 6 cm!
— Non!
Je ne peux m'empêcher de résister.
— Si! Tu vas voir. Ce sera sans problème.
Le nouveau gode de 6 cm est gros. J'ai peur. Il remet du gel. Afin de ne pas avoir trop mal, j'écarte les fesses au maximum de mes liens. Mais c'est gros. Ça rentre difficilement. J'ai mal, je souffre et je souffle!
— Aie! Pitié! Non!
Il enfonce alors d'un coup sec le gode sur toute sa longueur. La douleur est terrible! Je hurle! Je crois m'évanouir!
— AAAhhhhh!
J'ai mal! Je hurle. Je cherche à me débattre. Mais entravé comme je le suis, je ne peux rien faire. Je ne peux que subir ma souffrance, sans pouvoir bouger!
— C'est fini! On bouge plus!
Le gode est en effet rentré, à fond en moi. J'attends. Que puis-je faire d'autre d'ailleurs? Lentement, la douleur s'estompe. Je ne bouge pas d'un iota. J'essaie de ne pas contracter mes muscles et de rester détendu. Quelques minutes passent. La douleur fini par disparaître.
— Comme ça, ça va plus vite! Tu n'as pas souffert longtemps!
Le salaud! J'ai cru mourir de douleur!
— J'ai eu très mal!
— Je sais. Mais n'oublie pas, tu dois payer.
Il prend alors une serviette, la passe sous l'eau et m'essuie le front. Il essuie aussi les larmes qui ont coulé sur mes joues.
— Ça va aller... doucement... reste détendu...
Je récupère un peu mais je continue à avoir mal. Mon trou n'est pas habitué à de tels traitements. Je regarde à nouveau l'écran: le gode est bien enfoncé en moi. Je vois mon anus distendu qui frétille tout seul... mais peine perdue. Le gode est trop bien enfoncé. Quelques minutes passent. Je m'habitue ainsi à cet objet en moi.
— Bien, je vais le retirer.
Le retrait se passe mieux. Il va doucement. Mon anus reste béant.
— Ne t'inquiète pas. Dans cinq minutes, tout va redevenir normal.
Il me masse alors l'anus avec ses doigts. Et tout doucement, il se referme. Une petite douleur persiste toutefois.
— Bien, tu as mérité une récompense.
Il s'approche alors de ma queue et la met entièrement dans sa bouche. Puis il me fait une fellation. De sa langue, il me titille le frein, le gland... À nouveau je rebande et je jouis dans sa bouche. Je suis épuisé physiquement et nerveusement. Trois jouissances en peu de temps et la peur de souffrir m'ont complètement vidé.
Il prend un gant de toilette et avec un peu de savon, me nettoie le sexe. Il rince, puis me frotte les parties avec une serviette pour les sécher. Il me détache alors les jambes et les bras. Je me mets debout devant lui. Je vacille un peu. Je suis épuisé.
à suivre ->3
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