Dimanche 6 mai 7 06 /05 /Mai 22:17

    Tous les jours, pour une leçon de boxe,après les classes, je me dirigeais prestement chez Pierre-Louis, mon entraîneur volontaire qui voulait faire de moi un champion, . extrait

 

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...Sa chambre était située à la cave. Elle occupait un grand espace à moitié aménagé.  Le plafond absent laissait voir des poutres métalliques d'où était suspendu un 'punching bag'. Sur les murs, il y avait des affiches de voitures de sport et de filles aux nichons joufflus en bikini. Dans un coin, un grand lit défait accaparait le plancher près d'une commode couverte d'autocollants. Et dans l'autre un canapé et des fauteuils usés.

Je me déshabillais jusqu'au caleçon. Pendant une heure, j'exécutais les instructions de mon mentor : une centaine de pompes, des redressements assis et des jabs sur le sac de sable. Pierre-Louis provoquait un face à face. Il m'empoignait et pliait mon corps souple facilement. Je ricanais et hurlais quand il me faisait mal. J'adorais ce moment intime. Pierre-Louis conservait son jean et son t-shirt, mais je pouvais tout-de-même sentir la vigueur et la solidité de ses bras et de ses jambes musclées à travers les vêtements.

Il me donnait des taloches, espérant que je me défende, espérant allumer en moi une violence instinctive et primaire qui ne venait malheureusement jamais. À la fin de la leçon, je suais de partout.
Mes cheveux blonds collaient à mon front. Mon petit caleçon blanc était trempé.

 Pierre-Louis indiquait candidement :- "Va prendre une douche et après tu viendras me remercier",
J'obéissais, me savonnais dans la cabine de douche et revenais complètement nu dans la chambre de Pierre-Louis qui m'attendait, assis dans un fauteuil, son jean et son slip autour des chevilles.

- Bon, viens-ici me remercier, il réitérait en souriant.

La nature de la compensation requise pour ses services de formateur était devenue claire dès la première leçon. Je m'agenouillais entre ses jambes poilues. Sa queue se dressait déjà droite et dégoulinante. Une verge énorme. Pas moins de vingt-deux centimètres de viande gonflée. Son pubis était rasé aussi lisse que son crâne. Puisque circoncis, le pénis de Pierre-Louis me rappelait à chaque fois les longs champignons à la tige obèse et au chapeau charnu que j'avais vus au fond des bois. 

Résultat de recherche d'images pour "les longs champignons à tige renflée et au chapeau en boule que j'avais vus dans les bois" les longs champignons à la tige obèse et au chapeau charnu que j'avais vus au fond des bois.   sélection photo claudio 


    Quel fut le premier test ? une compétition inter-gym de boxe. Le jour de l'affrontement, mon entraîneur, Pierre-Louis me répéta les consignes. Être toujours en mouvement, deviner le prochain coup, frapper de toutes mes forces. Il avait confiance et affichait même de l'orgueil pour le travail qu'il avait accompli avec moi.

J'allais monter sur le ring et rejoindre mon adversaire quand Pierre-Louis choisit ce moment pour me chuchoter à l'oreille quelque chose qui me déstabilisa. Comptant sur ma terreur, Pierre-Louis débita ces mots d'un ton décisif : "Si tu perds, je vais t'enculer..."

Un souhait jamais exprimé ni par lui ni par moi se transforme en soi disant "punition" : 

Je ne parvins pas à passer le premier round, mis K.O. par une gauche redoutable. À la fin de la leçon suivante chez lui, au milieu de mes remerciements, Pierre-Louis se leva du fauteuil.

- Monte sur le coussin, place-toi à genoux, ton cul dans les airs.

Je cessai de sucer sa bite et exécutai sa demande. Je n'étais plus innocent et devinais ce qui m'attendait : ce qui arrivait légitimement aux pédés. Nerveusement, je jetais des regards derrière moi. Pierre-Louis enduisait de l'huile sur sa queue. Elle était en pleine expansion et jaillissait de son aine aussi longue qu'un gourdin.

Je sentis sa main sur ma fesse et son index huileux suivre le contour de mon anus. Puis, il se mit à l'introduire dans mon trou serré. Je couinais à chaque douloureuse exploration.

- Relaxe un peu, ouvre ta rondelle, ça sera mieux, il indiqua avant de m'insérer le majeur.

Bientôt, il employait deux doigts pour dilater le passage. Je serrais les dents afin de ne pas paraître faible. Lorsque le bout de sa bite se posa contre mon orifice, je commencai à respirer lourdement. Le jeune, surexcité, poussait entre mes fesses encore et encore, avec détermination. Le large gland s'enfonçait puis, entêté, glissait à l'extérieur. Pierre-Louis recommençait de manière plus combattive. Jusqu'à la dernière seconde, il m'apparut impossible qu'il puisse m'enfiler un membre aussi gros dans le derrière. Mon sphincter bloquait l'entrée. Puis d'un coup, sa bite me transperça, m'arrachant une plainte stridente. Pour sa part, Pierre-Louis exhala un long soupir de triomphe.
Il attrapa mes hanches et entreprit un coït retenu. Même si sa verge glissait doucement dans mon trou-du-cul, j'avais l'impression qu'il m'enfonçait un tronc d'arbre en entier. Graduellement, il augmenta la cadence. De minute en minute, je couinais de plus en plus fort, les orteils crispés, l'écoutant marmonner :

-" Ohhh c'est chaud, ouais, Ohhhh putain ! c'est trop bon !"

Heureusement, Pierre-Louis ne me baisa pas avec toute sa longueur et sa vigueur. Il fut assez gentleman pour un jeune homme au sommet de sa forme qui dépucèle un garçon soumis. Après cinq minutes, l'excitation le fit frissonner. Je lançai un cri de soulagement en sentant les pulsations de sa queue dans mon cul. Marquant la fin, elle me tapissait le boyau d'une abondante crème chaude.

Après cette "punition" pour avoir perdu mon premier match, je pensais que mon postérieur serait exempt pour un bon moment. Mais, une autre compétition vint rapidement, puis une autre, avec les mêmes conséquences. Le nombre de compétitions de boxe au calendrier me médusait. Pratiquement une chaque semaine. Chaque fois j'étais battu .

En dépit des leçons de Pierre-Louis et de mes efforts personnels, il n'y avait pas d'amélioration. L'étendue de mon talent se résumait à sautiller sur le ring et esquiver les attaques. Mes adversaires étaient tous plus âgés et costauds. Je n'étais pas de taille. Les insuccès ne m'abattaient pas. Ma soif de vaincre mes lacunes physiques demeurait indéfectible. Ce qui signifiait que je devais continuer les leçons et être l'esclave sexuel de mon mentor.

Le lendemain d'une défaite, il m'insérait un suppositoire, voire 2 qui déclenchai(en)t une vidange totale de mes intestins.

NOTE DE L'EDITEUR :


  

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EDUCTYL ADULTES, suppositoire effervescent, boite de 12

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Ce médicament est un laxatif par voie rectale. Il agit en déclenchant le réflexe de défécation. Ce médicament est préconisé dans certaines constipations et comme préparation à certains examens rectaux

         recherche pour voir si ce type de suppo existe en "dispo". Ben voui. claudio
  

À la fin de la leçon de boxe, je le remerciais avec ma bouche. Mais, après quelques minutes, il repoussait mon front et disait simplement,

- Dans ton cul maintenant...

Le gentleman de la première fois n'usait plus de la même délicatesse. Habituellement, j'étais sur le dos dans son lit. Pierre-Louis me saisissait sous les genoux pour retenir mes jambes pliées. J'étais totalement à sa merci. Mes fesses entrouvertes exposaient mon anus plissé. Les choses se passaient si vite que je n'avais pas le temps de me préparer. Pierre-Louis s'emparait de son érection lubrifiée et l'enfouissait dans mon petit cul. Il ramonait aussitôt.

La session de sodomie s'intensifiait dès les premiers instants.Mon corps était tendu et mon visage traversé de grimaces par l'inconfort d'avoir une bite aussi grosse dans le rectum. Le boxeur athlétique se démenait au-dessus de moi sans laisser paraître qu'il allait s'épuiser. Je demeurais sous lui à recevoir sa queue encore et encore, plus vite et toujours plus loin en moi. Jusqu'à ce qu'elle disparaisse en entier dans mon petit trou serré.

- Anngghh, Pierre-Louis! Angggh! Annggh! je gémissais sans cesse.

Il n'y avait pas que ses poings qui étaient d'acier. Au plus fort, je criais comme une fillette sans que personne n'entende ma litanie plaintive. Son père arrivait du boulot tard dans la soirée. Pierre-Louis pouvait donc m'enculer bien au fond.

Durant de longues minutes, ses couilles rebondissaient sur mes fesses. "Ohhrrh ouii! Orrrhh!" il grognait en remuant son bassin comme un taureau. Puis, il jouissait et s'effondrait sur moi, sa bite encore plantée dans mon cul. Il jouissait tellement fort, qu'il tremblait en éjaculant dans mon derrière. Je me branlais et frémissais aussitôt de mon petit orgasme.

Avec le temps, se fit généreux. Il invitait deux copains du gym pour une tournante. Les élus arrivaient enthousiastes et crâneurs puis se dégonflaient, réticents à baiser un garçon de leur voisinage quand je me déshabillais. Leurs regards se détournaient de ma nudité.

- Il nous fait perdre des compétitions alors il le mérite, non ? justifiait Pierre-Louis    [ils appartenaient au club, certes, mais ce fut un peu comme si Pierre-Louis m'avait vendu à des inconnus, mais toujours au prix que je perdisse le match ce qui me fait-aujourd'hui- douter que j'aie toujours souhaité le gagner. Jamais punition ne ressembla davantage à une récompense ! ]          

Pierre-Louis raisonnait avant de leur montrer comment il m'avait entraîné à sucer une bite et la prendre dans le trou-de-balle. Voyant mon consentement total, les conviés se ragaillardissaient et sautaient sur l'occasion de se taper un bon petit cul.  

Les trois me prenaient par derrière, l'un après l'autre, ou parfois par les deux trous. J'avais constamment une bite dans la gorge ou dans le trou-du-cul. Ils m'enculaient de manière agressive en me tirant par les cheveux. En rut ils laissaient libre cours à leurs pulsions, sans contrainte morale. Les ordres pleuvaient autour de moi,

- Lèche mes couilles.
- Suce ma bite.
- Écarte tes fesses.

J'entendais aussi leurs commentaires :

- Oh, c'est vraiment une pute ! -
- Ah la vache, je pensais pas que ça serait aussi top de baiser un mec ! Je crois que je vais devenir pédé!
- Tu la sens ma grosse bite ? J'vais te gicler dans ton p'tit cul, moi. Tu vas voir !
- T'aimes ça hein? T'aime ça te faire enculer? Petite pédale !

Ma popularité croissait en flèche parmi les membres du gym. De nombreux autres jeunes boxeurs participèrent à ces orgies. Même les deux frères blacks. Et je dus faire la fille pour eux tel qu'ils avaient souhaités.[A défaut d'avoir réussi mon éducation sportive, j'avais atteint une éducation sexuelle haut niveau]  

Les tournantes me ravageaient à chaque fois. Sur le chemin du retour à la maison, ma gorge était irritée et mon anus brûlait comme un charbon ardent. Le fond de ma petite culotte baignait dans la semence. Je boîtais, déboussolé, surtout estomaqué du fait que j'avais pu trouver mon plaisir et atteindre la jouissance.

Après une année et quarante-trois défaites sur le ring, mon père  renonça à croire que la boxe me rendrait viril. Il ne sut jamais ce qui s'était passé. Je conservai le secret. Je savais qu'il ne pourrait pas apprécier l'ironie du sort. Que son désir de transformer son gamin en véritable mâle hétéro l'avait au contraire astreint à être le petit vide-couille de tous les garçons d'un club de boxe.FIN.  Dolmancé a écrit avec talent ce texte qu'on peut lire au complet sur le site:   https://www.asstr.org/~Histoires_Fr/txt2016/dolmance_-_gaie_enfance_-_texte_complet.10.html  

      Quelques modifications ont été apportées pour que ce récit réponde aux exigences de la charte erog, mais son esprit et son charme demeurent 

 


commentaire :

 

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paxpaxart: “Spraying Sprayberry ”

 

 

 

Par DOLMANCé - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 6 mai 7 06 /05 /Mai 16:58

ils iront aux putes de luxe, incognito, en en ferrari ou en scooter s'il le faut,  tandis que les dames patronnesses socialistes (dites les furies) et leur loi scélérate feront ch...le monde.    

  Résultat de recherche d'images pour "gay prostitué à lyon#"  comme s'il n'y avait que des meufs qui se prostituent !

NEWS NEWS NEWS Alors que la loi sur la pénalisation des clients des prostituées faisait toujours débat dans la classe politique, les philosophes s'emparaient d'un sujet sensible...Ces philosophes , comme on dit chez-nous, ils se prennent jamais pour "un quart de cerises"et prétendent apprendre à vivre à tout un chacun. 

...........................................................

Appelons-la Claudine. Elle a trente ans de rue, et la rage : « Je ne supporte plus d'entendre ces dames patronnesses socialistes m'expliquer que je n'ai pas choisi ma vie. » Gérard, 28 ans, devient « Maîtresse S » la nuit. Il proteste : « Ce qui se passe dans un lit entre deux personnes adultes et consentantes ne regarde personne. La rétribution est d'ordre privé. Nous surveiller et nous pénaliser est une atteinte aux libertés. » Michelle, 34 ans, deux enfants, a perdu son travail il y a quatre ans. Elle se prostitue – un client par soir. « J'ai commencé par hasard, je continue par choix, même si c'est rude parfois. »

Ces personnes affirment avoir choisi de se prostituer et elles se déclarent libres et consentantes. Elles refusent d'être traitées en victimes, même si certaines admettent que la prostitution n'est pas un travail comme les autres. « Ce n'est pas un métier choisi, comme artiste ou ingénieur, reconnaît Claudine. C'est une activité qui survient sur les chemins de traverse d'une vie, fatigante souvent, physiquement, psychologiquement, mais comme beaucoup d'autres activités. »

Gérard, lui, reconnaît qu'il rencontre parfois des clients « tordus » ou menaçants : dans ces moments-là, consentir est compliqué.

Michelle explique qu'elle compte arrêter bientôt, de crainte, en vieillissant, d'en arriver à accepter des prestations sexuelles qu'elle a toujours refusées.

Ben oui, la pauvre.

"Le consentement, qui implique l'autonomie de la volonté de chacun, est un principe éthique et juridique central dans nos démocraties. En droit civil français, tout contrat suppose le consentement des parties. Dans la common law anglo-saxonne, consentir signifie accepter sa responsabilité selon le principe du Volenti non fit injuria : « On ne fait pas tort à celui qui a consenti. » L'éthique moderne de la liberté rejette l'idée d'une morale extérieure, qu'elle soit religieuse ou étatique : on ne saurait imposer ses valeurs à autrui malgré lui, ni le priver de sa liberté d'action et de conscience, s'il n'y consent" . lenouvel obs  

Et si on ne consent pas à ces termes de la loi...? La société vous a transformé.e.en paria. 

 

Image associée   Manifestation contre la pénalisation des clients de prostitué.e.s


commentaire : "On a vu des crypto ceci et des crypto cela, des politiques bon chic bon genre crypto FN . Et des crypto gays jouer les hétéros crispés y en a, y en a...Je parle pas de Hollande : il a fait ce qu'il pouvait..." 

 

Par PROUTEST - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 6 mai 7 06 /05 /Mai 08:56

  Le public s'est intéressé avec gourmandise à l'affaire Chanal, et les disparus de Mourmelon : un tueur gay et sadique qui matait les jeunes culs d son régiment pour les violer  et les tuer. Et quand est sorti «Moi comme les chiens»   c'est un flop « Exposer une problématique typiquement « gay » à un public qui, probablement, n'est pas sensibilisé à ce genre de situation» c'est difficile. Le public s'en fout de ce qui ne le fait pas saliver.

escorts gay mais pas putes ? ou putes...mais pas gay ?   -lol-

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Une histoire de sexe entre hommes, dans un milieu composé uniquement d'hommes. Salué par les médias (France 3, France Info) et par le milieu du polar, la sortie de ce roman semble être passée inaperçue dans la communauté gay en 2010. Il est grand temps de réparer cette injustice.

 

" Moi comme les chiens""   confronte deux générations d'homosexuels. Une jeune génération avec Alan, 20 ans, qui, de fil en aiguille, en vient à se prostituer dans la banlieue lyonnaise. Une génération plus âgée avec Hibou, 46 ans, qui passe pour un mystérieux gangster à la retraite. Après avoir sauvé Alan de l'agression violente d'un micheton, Hibou entame avec ce garçon turbulent une histoire de sexe poignante, jusqu'au-boutiste et tragique qui, polar oblige, terminera dans un bain de sang. L'amour physique y est décrit avec réalisme, sans jamais tomber dans le voyeurisme sensationnel. Les étreintes masculines passent tout autant par la tendresse que par la capture extrêmement précise des textures des sécrétions, des odeurs et des chairs.

 

Le mot « gay » apparaît une seule et unique fois dans ce roman. Car les deux éléments du couple Alan-Hibou rejettent, chacun pour des motivations différentes, cette appartenance communautaire.

 

Et c'est là tout l'intérêt générationnel de ce roman (écrit par une jeune auteure née en 1983) : l'appréhension de leur propre homosexualité par des hommes, finalement, « comme tout le monde ».

 

Travaillé par des pulsions de mort à l'encontre de son jeune amant, Hibou refuse d'assumer sa sexualité moins par homophobie que par un douloureux sentiment de marginalité, doublé de la culpabilité de ne pouvoir donner naissance à rien.

 

« Merde, tout ce qu'ils pouvaient faire ensemble, c'était baiser, ou déclencher la fin du monde. Baiser et déclencher la fin du monde. [...] Baiser, et mourir, parce qu'ils ne fonderaient pas de famille, ils ne pouvaient donner naissance à rien, tous les deux. Construire, ça leur était impossible. Mais détruire, ça, c'était faisable. Il comprenait pourquoi il avait tant pensé à le tuer, au début. »

 

Alan, de son côté, veut aimer et se faire aimer, par un homme et comme un homme. Cela ne semble lui poser aucun problème. En revanche, il entretient un mépris insigne à l'égard des gays qu'il drague dans des bars homos afin de leur extorquer un peu d'argent.

 

« Les autres clients ne daignaient pas le regarder. Tous se trouvaient déjà entre amis, ou en couples. Il les examina d’un œil haineux. Un tas de pédés d’une laideur totale. […] Il tenta d’envoyer des regards invitants aux clients. Vite, sa frimousse se contracta avec morgue. Ils ne se rendaient même pas compte de sa présence. Ou bien l’évitaient-ils des yeux. Sa dégaine devait les effrayer. Eux se trémoussaient dans des tee-shirts moulants, ou des chemisettes colorées. »

 

En quête infinie de virilité, Alan prend soin de se faire respecter « comme un mec », allant jusqu'à adopter la panoplie vestimentaire du parfait petit punk.

 

« Je veux que tu me traites comme un mec. […] C’est important. Peut-être que je bande pour toi, peut-être que je me suis fait baiser par toi, mais je veux me faire baiser comme un mec. Tu comprends. Pas autrement. Pas comme une pute, pas comme une fille. Je veux pas être une fille. Chuis pas une pédale, chuis pas un gay, là. »

 

Ce « chuis pas un gay », prononcé par un garçon de vingt ans, ne trompera guère le lecteur. Représentant de sa génération (le roman se déroule en 2006), Alan ne pulvérise pas des décennies de luttes pour la reconnaissance des homosexuels, au contraire, il les dépasse : il appelle à l'universalité, à l'être homme parmi les hommes, sans ghettoïsation, sans honte.

 

L'éditeur Moisson Rouge est avant tout un éditeur de polar. Moi comme les chiens est disponible dans toutes les librairies. Il est même sélectionné pour le prestigieux prix du salon Quais du Polar, le plus médiatique des évènements polar de France.

 

Une simple recherche sur internet, pour lire les critiques des nombreux lecteurs, suffit à concevoir qu'une histoire bien racontée, sans le moindre tabou, peut briser les clichés, les stéréotypes, les réticences et les idées préconçues.

 

Et c'est là toute la victoire du roman : exposer des personnages homosexuels sans jamais se ghettoïser, ou les ghettoïser. Exposer une problématique typiquement « gay » à un public qui, probablement, n'est pas sensibilisé à ce genre de situation. Le tout en respectant la vieille et noble tradition du genre noir, et grâce à une écriture riche et subtile.

 

http://culture-et-debats.over-blog.com/article-moi-comme-les-chiens-sophie-di-ricci-71226272.html

 

 

 

 

 

Par SOPHIEDIRICCI - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 6 mai 7 06 /05 /Mai 07:10

Bott-"Je garde la peur d'être reconnu sur le net... quelques billets à la fin pour qu'il croie que j'étais venu que pour le fric ...je me suis étonné moi même. On n'a fait que rigoler et on a évacué le stress. Je voulais pas que ne se voient ni ma trouille, ni mon envie (folle) de toi"

Top -"Tu as été le passif de mes rêves : câlin, enjoué, rigolard et plus que gentil...tu v  qu'on se revoie ? "

Bt-" ouais...moi pour du fric je dirais pas non...tu payes ? "  -lol-

 


commentaire :" et tu es un excellent comédien, mais quand tu te la prends, tu te la fermes ! -lol- "preuve que c'est vachement bon, non ?" claudio


JUNGLE :

Image associée là tu disais encore non mais plus faiblement

Image associée

Attends ! Putain noooon ! Qu'est-ce que tu me mets dans le cul ?

Image associée

Pourquoi tu dis non, 'sale pute'  ?

Image associée

Je peux pas m'empêcher d'avoir peur ! 

Image associée

Tu vas voir, c'est bon !  

joli montage ta bouche on dirait un cul et ton cul, une bouche ! Baise-moi les 2 !

Image associée ton cul est devenu comme une bouche...goulue et gourmande !  

->Là ! tu as vu comme c'est bon. Ne dis plus non : je sais bien que tu en redemandes ! 

Image associée

C'est bon pour toi et pour moi aussi ! 

Je le sais bien que tu m'attends ! Shawn Mendes

 

 

     

 

 

 

Par GAYPASSIF95 - Publié dans : ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 6 mai 7 06 /05 /Mai 06:39

 

gaycuckoldhq: “Shop huge dildos online ”

la forêt c'est un lieu mystétieux et magique

 

 

 

Par FORESTGLOUP - Publié dans : ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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