Tous les jours, pour une leçon de boxe,après les classes, je me dirigeais prestement chez Pierre-Louis, mon entraîneur volontaire qui voulait faire de moi un champion, . extrait
...Sa chambre était située à la cave. Elle occupait un grand espace à moitié aménagé. Le plafond absent laissait voir des poutres métalliques d'où était suspendu un 'punching bag'. Sur les murs, il y avait des affiches de voitures de sport et de filles aux nichons joufflus en bikini. Dans un coin, un grand lit défait accaparait le plancher près d'une commode couverte d'autocollants. Et dans l'autre un canapé et des fauteuils usés.
Je me déshabillais jusqu'au caleçon. Pendant une heure, j'exécutais les instructions de mon mentor : une centaine de pompes, des redressements assis et des jabs sur le sac de sable. Pierre-Louis provoquait un face à face. Il m'empoignait et pliait mon corps souple facilement. Je ricanais et hurlais quand il me faisait mal. J'adorais ce moment intime. Pierre-Louis conservait son jean et son t-shirt, mais je pouvais tout-de-même sentir la vigueur et la solidité de ses bras et de ses jambes musclées à travers les vêtements.
Il me donnait des taloches, espérant que je me défende, espérant allumer en moi une violence instinctive et primaire qui ne venait malheureusement
jamais. À la fin de la leçon, je suais de partout.
Mes cheveux blonds collaient à mon front. Mon petit caleçon blanc était trempé.
Pierre-Louis indiquait candidement :- "Va prendre une douche et après tu viendras me remercier",
J'obéissais, me savonnais dans la cabine de douche et revenais complètement nu dans la chambre de Pierre-Louis qui m'attendait, assis dans un
fauteuil, son jean et son slip autour des chevilles.
- Bon, viens-ici me remercier, il réitérait en souriant.
La nature de la compensation requise pour ses services de formateur était devenue claire dès la première leçon. Je m'agenouillais entre ses jambes poilues. Sa queue se dressait déjà droite et dégoulinante. Une verge énorme. Pas moins de vingt-deux centimètres de viande gonflée. Son pubis était rasé aussi lisse que son crâne. Puisque circoncis, le pénis de Pierre-Louis me rappelait à chaque fois les longs champignons à la tige obèse et au chapeau charnu que j'avais vus au fond des bois.
les longs champignons à la tige obèse et au chapeau charnu que j'avais vus au fond des bois. sélection photo claudio
Quel fut le premier test ? une compétition inter-gym de boxe. Le jour de l'affrontement, mon entraîneur, Pierre-Louis me répéta les consignes. Être toujours en mouvement, deviner le prochain coup, frapper de toutes mes forces. Il avait confiance et affichait même de l'orgueil pour le travail qu'il avait accompli avec moi.
J'allais monter sur le ring et rejoindre mon adversaire quand Pierre-Louis choisit ce moment pour me chuchoter à l'oreille quelque chose qui me déstabilisa. Comptant sur ma terreur, Pierre-Louis débita ces mots d'un ton décisif : "Si tu perds, je vais t'enculer..."
Un souhait jamais exprimé ni par lui ni par moi se transforme en soi disant "punition" :
Je ne parvins pas à passer le premier round, mis K.O. par une gauche redoutable. À la fin de la leçon suivante chez lui, au milieu de mes remerciements, Pierre-Louis se leva du fauteuil.
- Monte sur le coussin, place-toi à genoux, ton cul dans les airs.
Je cessai de sucer sa bite et exécutai sa demande. Je n'étais plus innocent et devinais ce qui m'attendait : ce qui arrivait légitimement aux pédés. Nerveusement, je jetais des regards derrière moi. Pierre-Louis enduisait de l'huile sur sa queue. Elle était en pleine expansion et jaillissait de son aine aussi longue qu'un gourdin.
Je sentis sa main sur ma fesse et son index huileux suivre le contour de mon anus. Puis, il se mit à l'introduire dans mon trou serré. Je couinais à chaque douloureuse exploration.
- Relaxe un peu, ouvre ta rondelle, ça sera mieux, il indiqua avant de m'insérer le majeur.
Bientôt, il employait deux doigts pour dilater le passage. Je serrais les dents afin de ne pas paraître faible. Lorsque le bout de sa bite se
posa contre mon orifice, je commencai à respirer lourdement. Le jeune, surexcité, poussait entre mes fesses encore et encore, avec détermination. Le large gland s'enfonçait puis,
entêté, glissait à l'extérieur. Pierre-Louis recommençait de manière plus combattive. Jusqu'à la dernière seconde, il m'apparut impossible qu'il puisse m'enfiler un membre aussi gros dans le
derrière. Mon sphincter bloquait l'entrée. Puis d'un coup, sa bite me transperça, m'arrachant une plainte stridente. Pour sa part, Pierre-Louis exhala un long soupir de triomphe.
Il attrapa mes hanches et entreprit un coït retenu. Même si sa verge glissait doucement dans mon trou-du-cul, j'avais l'impression qu'il m'enfonçait
un tronc d'arbre en entier. Graduellement, il augmenta la cadence. De minute en minute, je couinais de plus en plus fort, les orteils crispés, l'écoutant marmonner :
-" Ohhh c'est chaud, ouais, Ohhhh putain ! c'est trop bon !"
Heureusement, Pierre-Louis ne me baisa pas avec toute sa longueur et sa vigueur. Il fut assez gentleman pour un jeune homme au sommet de sa forme qui dépucèle un garçon soumis. Après cinq minutes, l'excitation le fit frissonner. Je lançai un cri de soulagement en sentant les pulsations de sa queue dans mon cul. Marquant la fin, elle me tapissait le boyau d'une abondante crème chaude.
Après cette "punition" pour avoir perdu mon premier match, je pensais que mon postérieur serait exempt pour un bon moment. Mais, une autre compétition vint rapidement, puis une autre, avec les mêmes conséquences. Le nombre de compétitions de boxe au calendrier me médusait. Pratiquement une chaque semaine. Chaque fois j'étais battu .
En dépit des leçons de Pierre-Louis et de mes efforts personnels, il n'y avait pas d'amélioration. L'étendue de mon talent se résumait à sautiller sur le ring et esquiver les attaques. Mes adversaires étaient tous plus âgés et costauds. Je n'étais pas de taille. Les insuccès ne m'abattaient pas. Ma soif de vaincre mes lacunes physiques demeurait indéfectible. Ce qui signifiait que je devais continuer les leçons et être l'esclave sexuel de mon mentor.
Le lendemain d'une défaite, il m'insérait un suppositoire, voire 2 qui déclenchai(en)t une vidange totale de mes intestins.
NOTE DE L'EDITEUR :
EDUCTYL ADULTES, suppositoire effervescent, boite de 12
Ce médicament est un laxatif par voie rectale. Il agit en déclenchant le réflexe de défécation. Ce médicament est préconisé dans certaines constipations et comme préparation à certains examens rectaux
À la fin de la leçon de boxe, je le remerciais avec ma bouche. Mais, après quelques minutes, il repoussait mon front et disait simplement,
- Dans ton cul maintenant...
Le gentleman de la première fois n'usait plus de la même délicatesse. Habituellement, j'étais sur le dos dans son lit. Pierre-Louis me saisissait sous les genoux pour retenir mes jambes pliées. J'étais totalement à sa merci. Mes fesses entrouvertes exposaient mon anus plissé. Les choses se passaient si vite que je n'avais pas le temps de me préparer. Pierre-Louis s'emparait de son érection lubrifiée et l'enfouissait dans mon petit cul. Il ramonait aussitôt.
La session de sodomie s'intensifiait dès les premiers instants.Mon corps était tendu et mon visage traversé de grimaces par l'inconfort d'avoir une bite aussi grosse dans le rectum. Le boxeur athlétique se démenait au-dessus de moi sans laisser paraître qu'il allait s'épuiser. Je demeurais sous lui à recevoir sa queue encore et encore, plus vite et toujours plus loin en moi. Jusqu'à ce qu'elle disparaisse en entier dans mon petit trou serré.
- Anngghh, Pierre-Louis! Angggh! Annggh! je gémissais sans cesse.
Il n'y avait pas que ses poings qui étaient d'acier. Au plus fort, je criais comme une fillette sans que personne n'entende ma litanie plaintive. Son père arrivait du boulot tard dans la soirée. Pierre-Louis pouvait donc m'enculer bien au fond.
Durant de longues minutes, ses couilles rebondissaient sur mes fesses. "Ohhrrh ouii! Orrrhh!" il grognait en remuant son bassin comme un taureau. Puis, il jouissait et s'effondrait sur moi, sa bite encore plantée dans mon cul. Il jouissait tellement fort, qu'il tremblait en éjaculant dans mon derrière. Je me branlais et frémissais aussitôt de mon petit orgasme.
Avec le temps, se fit généreux. Il invitait deux copains du gym pour une tournante. Les élus arrivaient enthousiastes et crâneurs puis se dégonflaient, réticents à baiser un garçon de leur voisinage quand je me déshabillais. Leurs regards se détournaient de ma nudité.
- Il nous fait perdre des compétitions alors il le mérite, non ? justifiait Pierre-Louis [ils appartenaient au club, certes, mais ce fut un peu comme si Pierre-Louis m'avait vendu à des inconnus, mais toujours au prix que je perdisse le match ce qui me fait-aujourd'hui- douter que j'aie toujours souhaité le gagner. Jamais punition ne ressembla davantage à une récompense ! ]
Pierre-Louis raisonnait avant de leur montrer comment il m'avait entraîné à sucer une bite et la prendre dans le trou-de-balle. Voyant mon consentement total, les conviés se ragaillardissaient et sautaient sur l'occasion de se taper un bon petit cul.
Les trois me prenaient par derrière, l'un après l'autre, ou parfois par les deux trous. J'avais constamment une bite dans la gorge ou dans le trou-du-cul. Ils m'enculaient de manière agressive en me tirant par les cheveux. En rut ils laissaient libre cours à leurs pulsions, sans contrainte morale. Les ordres pleuvaient autour de moi,
- Lèche mes couilles.
- Suce ma bite.
- Écarte tes fesses.
J'entendais aussi leurs commentaires :
- Oh, c'est vraiment une pute ! -
- Ah la vache, je pensais pas que ça serait aussi top de baiser un mec ! Je crois que je vais devenir pédé!
- Tu la sens ma grosse bite ? J'vais te gicler dans ton p'tit cul, moi. Tu vas voir !
- T'aimes ça hein? T'aime ça te faire enculer? Petite pédale !
Ma popularité croissait en flèche parmi les membres du gym. De nombreux autres jeunes boxeurs participèrent à ces orgies. Même les deux frères blacks. Et je dus faire la fille pour eux tel qu'ils avaient souhaités.[A défaut d'avoir réussi mon éducation sportive, j'avais atteint une éducation sexuelle haut niveau]
Les tournantes me ravageaient à chaque fois. Sur le chemin du retour à la maison, ma gorge était irritée et mon anus brûlait comme un charbon ardent. Le fond de ma petite culotte baignait dans la semence. Je boîtais, déboussolé, surtout estomaqué du fait que j'avais pu trouver mon plaisir et atteindre la jouissance.
Après une année et quarante-trois défaites sur le ring, mon père renonça à croire que la boxe me rendrait viril. Il ne sut jamais ce qui s'était passé. Je conservai le secret. Je savais qu'il ne pourrait pas apprécier l'ironie du sort. Que son désir de transformer son gamin en véritable mâle hétéro l'avait au contraire astreint à être le petit vide-couille de tous les garçons d'un club de boxe.FIN. Dolmancé a écrit avec talent ce texte qu'on peut lire au complet sur le site: https://www.asstr.org/~Histoires_Fr/txt2016/dolmance_-_gaie_enfance_-_texte_complet.10.html
Quelques modifications ont été apportées pour que ce récit réponde aux exigences de la charte erog, mais son esprit et son charme demeurent
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