Dieu le Père -si vous y croyez-nous a donné une joystick magique et nous ne savons pas (assez) en profiter on n'en parle guère sur nos sites
Le mois de mai a de "l'écume" -lol-
et toi tu devrais en avoir aussi La masturbation est la "sexualité la plus libre et la plus démocratique qui soit"
MAI
le mois (inter)national de la masturbation
célébration DE LA JOURNEE DU MOIS DE LA STURB PARTOUT :
Vous avez la main taciturne, le poignet mélancolique et vous sentez que vos escapades en solitaire d’antan n’ont plus le même effet réjouissant sur votre corps dorénavant blasé par cet auto-érotisme devenu trop répétitif ? NE SOYONS PAS STUPIDE !
oui tu as rêvé et tu rêves encore
RIEN NE VAUDRA JAMAIS LA MAIN mais il existe de merveilleux masturbateurs vibrants qui permettent de goûter à des plaisirs solitaires sublimes ! En effet, le pénis est dans sa prison dorée, à jouir des va-et-vient autant que de la douceur du silicone vibrant… Et les plus aventureux pourront également se munir d’un vibreur prostatique performant pour voir du pays d’une façon unique en parallèle des délicieuses caresses péniennes.
RECIT au ralenti: [un délice]
Allongé de tout mon long, une main parcourant mon corps, l’autre qui me caresse le sexe très délicatement, tout mon corps manifeste lui aussi sa joie en ondulant voluptueusement. Mes jambes pliées et écartées bougent au rythme de mes caresses sur ma verge. J’ondule du bassin à la cadence du plaisir. Je suis si bien là, ma queue est totalement raide maintenant, mon gland n’est pas encore totalement découvert mais il commence à pointer, je sens toutes les courbes subtiles de ma verge. Je continue comme ça encore un peu, quelques minutes de plaisir intense.
Je tire maintenant sur mon sexe afin de libérer mon gland de son fourreau de peau. Il apparaît complètement dégagé, rouge de plaisir. Je place mon pouce à la base de ma queue pour la faire grossir ; l’effet est immédiat : elle semble grandir encore un peu, et mon gland se gorge de sang, il devient plus gros lui aussi, changeant de couleur et devenant presque violacé comme une asperge printanière. Mon sexe ainsi caressé depuis un bon moment témoigne aussi de mon bonheur. Un témoignage d’une grande sensualité, signe de l’intensité de mon plaisir. Ce signe qui trahit ma joie s’écoule tout doucement du méat de mon gland. Ma verge semble pleurer, mais ses larmes sont les larmes de la promesse d'une joie intense. Elles apparaissent en scintillant au coin de la petite bouche de mon gland. Tout d’abord, elles emplissent mon méat, puis elles coulent sur mon gland ; larmes chaudes du plaisir brûlant qui m’envahit. Perles de plaisir trahissant ma joie suprême. Douce rosée naissant, dans l’intimité profonde, au cœur de ma queue et montant s’épanouir sur les lèvres entrouvertes de mon gland.
Je continue mes caresses ainsi de longues minutes, ma main qui remonte sans cesse le long de ma hampe depuis la base où je n’oublie pas de caresser mes boules jusqu’au sommet de mon gland, il arrive que mon gland soit recouvert de mon prépuce par moments et je m’empresse aussitôt de le redécouvrir en tirant un maximum sur ma queue. Je suis si bien perdu dans mes pensées qui sont toutes pour toi, l'un de mes amants passés, mais toujours vivants en moi, j’imagine qu’à la place de ma main je ressente la tienne ou même ta langue qui me fait tant de bien. J’imagine ton corps nu et offert tout à moi, ses courbes qui acceptent mes mains, tes tétons dont je sens les pointes durcir de plaisir sous ma langue, ton sexe que j’adore déguster à pleine bouche, ton nectar dont je me délecte, ton gland à toi avec lequel j’aime jouer de longues minutes, ma langue qui s’insinue au plus profond de ton intimité, tes jambes qui m’enserrent, ton visage qui se déforme sous l’orgasme. Voilà toutes les images qui se bousculent dans ma tête et qui me font me sentir bien, très bien même.
La plupart du temps, je me masturbe en utilisant une huile parfumée ; cela augmente considérablement l’intensité de mes sensations. C’est comme si je jouissais de manière continue sans éjaculer. Je ressens un plaisir extrêmement fort. Bien sûr, je gémis beaucoup plus et je remue tout mon corps en ondulant plus fort également. Je bande aussi plus fort en me masturbant avec de l’huile ou de la crème, ma verge est très tendue, mon gland d’une jolie et très sensuelle couleur violacée. Ça m’excite beaucoup de voir ma verge bander aussi vigoureusement et j’en sens très fortement toute la tension dans mon bas-ventre. Je nevois plus qu'elle, tout autour mon regard se trouble et rejoint ma pensée. Je regarde ma verge très tendue, merveilleusement belle et excitante, mon gland congestionné de désir. Tout ceci, c’est pour toi qui t'es éveillé dans mon souvenir et que j'ai choisi pour partager mon plaisir.
Je me masse la verge avec des caresses amples et douces sur toute sa longueur, de lents va-et-vient de mon gland à la racine, en tournant ma main légèrement à chaque mouvement descendant et montant le long de ma verge. À chaque mouvement descendant, j’insiste sur les points les plus sensibles de ma queue. Mon plaisir est d’une intensité telle que je mouille beaucoup plus ; ces larmes de joie qui coulent du méat de mon sexe sont beaucoup plus abondantes. Ça aussi ça m’excite beaucoup ! Elles sortent de la petite bouche souriante de mon gland à chaque fois que ma main remonte le long de ma verge et elles coulent sur mon gland en longs filets brillants. Je les vois donc continuer de s’écouler doucement tout le long de ma queue en lente cascade argentée, c’est merveilleusement prenant. Avec ma main qui masse mon pénis, j’étale ma mouille sur toute ma verge. Quand ma main remonte sur mon sexe et que je vois apparaître une nouvelle grosse larme de mouille, je gémis plus fort tellement ça m’excite. Et je suis au comble du bonheur de voir à quel point ma verge est heureuse de mes caresses. Et comme je suis plus excité, je mouille encore plus, et de mon pénis s’écoule de nouveau une grosse perle de plaisir.
Je suis complètement décalotté. Je tire bien la peau de mon pénis vers la racine pour que le gland, intégralement et complètement dégagé puisse profiter pleinement de chaque caresse subtile de ma main et de mes doigts. Mon pénis ainsi décalotté bien à fond et la peau bien tirée en arrière, mon gland est très impudiquement mais très érotiquement exposé à toutes mes caresses, et cette impudeur est pour toi, Jo, Paul, ou bien Maurice ? Je suis complètement nu, assis les jambes écartées et pliées, mon pénis en érection, décalotté à fond, bien dressé entre mes cuisses ouvertes. Je tire la peau de mon sexe pour encore mieux dégager mon gland. Je bande très, très fort et mon gland est très gros, violet de désir, le méat bien ouvert et suintant d’une mouille abondante. Je suis impudique à l’extrême et j’en suis très heureux. Mais je le suis pour moi et pour toi aussi et pour lui et pour tel autre encore : Hassène, Max ou bien Matt .
Le plaisir est plus fort maintenant, je le ressens en deux points bien précis. Le premier se situe exactement entre mes cuisses, sous mes boules, à la racine de ma verge ; le deuxième se situe à l’extrémité de mon pénis, dans tout mon gland. Les ondes de plaisir remontent tout le long de ma queue et se diffusent intensément dans mon gland tendu et gonflé à l’extrême par le plaisir. C’est merveilleusement beau et bon à la fois. Je pousse des gémissements et des râles de plaisir. Ma tête est complètement investie je ne pense qu'au plaisir qui nous unit ma verge, ma tête, on compagnon virtuel et moi. Je bouge beaucoup, et toujours au rythme des caresses de ma main sur ma verge tout se brouille en une merveilleuse confusion.
J’ai du plaisir, je me fais du bien, beaucoup de bien. J’aimerais tellement que tu me voies, mais tu n’es pas là ; alors je te raconte tout dans les moindres détails pour que tu puisses imaginer dans quel plaisir je suis, comme quand tu me fais partager le tien. Je ne cesse de fixer intensément mon pénis tendu par une puissante érection qui ne demanderait qu'à entrer en toi. Je fixe surtout mon gland complètement dilaté par le plaisir. Le méat, au bout de mon gland, est superbement ouvert et luisant, entièrement baigné d’une mouille abondante qui ne cesse de couler de ma verge caressée. Je mouille beaucoup et j’aime quand je mouille comme ça. Je suis au bord de l’éjaculation , alors je serre très fort ma queue pour stopper cette montée de plaisir ; j’ai du mal à me retenir, je sens un spasme, je me retiens plus fort mais de mon gland s’échappe un peu de sperme cette fois, en petite quantité, j’ai failli jouir, je le recueille, au bout de ma verge en la pressant sur toute sa longueur, depuis la racine jusqu’au bout de mon gland avec un doigt de la main droite et je le dépose sur le bout de ma langue. C’est chaud, un peu salé et liquoreux, j’adore !
Je me décide à relâcher la pression sur mon sexe et à l’abandonner un peu pour me concentrer sur mes pointes de seins, que je pince un peu comme l'un de vous, mes amants, le ferait. Je reprends enfin mes caresses sur mon sexe, bien décidé à me faire jouir jusqu’au bout cette fois ; cela fait un bien trop long moment que je me caresse et mon plaisir devient vraiment très fort. Le cœur de ma verge palpite un peu plus, à l'unisson avec le coeur qui bat dans la poitrine. Mes caresses s’accentuent sur les points les plus sensibles. En particulier sur toute la surface de mon gland dont je sens la douceur extrême. Mes caresses se précisent également sur toute la partie du corps de ma verge qui se situe immédiatement sous mon gland, tout autour. Là où tous vous savez si bien poser vos langues. C’est également agréable sur toute la couronne de mon gland ainsi que dessous et de chaque côté. Là, c’est vraiment très, très bon et je dois me forcer pour insister sur ces endroits très sensibles de ma queue car la jouissance est à la limite du non-retour.
Pour accentuer mes caresses, je pose mon gland dans le creux de ma main gauche, et je place mon pouce sur la couronne de manière à ce qu’il aille stimuler également juste sous la couronne là où j'ai ces toutes petites crètes blanches. Je fais alors un lent mais très appuyé mouvement circulaire avec mon pouce. Cette caresse m’envoie littéralement en l’air et provoque des ondes de plaisir très fortes vers la racine de mon pénis. Par ces merveilleuses caresses, je parviens à un niveau supérieur d’excitation et je masse ma verge plus intensément ; je la serre fort, je me masturbe avec des mouvements plus amples. Je monte et descends tout le long, du bout de mon gland jusqu’à mon pubis, en accentuant chaque aller et retour, mon bassin accompagne chaque mouvement de ma main.
Ma respiration est devenue un halètement entrecoupé de gémissements et de râles qui ne vous laisseraient aucun doute sur l’intense plaisir que nous nous donnons mon frère-pénis et moi. Ma main descend et monte plus vite sur ma verge. Je projette mon bassin en avant à chaque mouvement descendant de ma main sur ma verge. Entre mes cuisses, sous mes boules, à la racine de ma verge, le plaisir chaud se contracte et se dilate avec une force grandissante au fur et à mesure de mes caresses. Je sens mon sexe se contracter ; les contractions sont plus longues, plus amples, et elles sont de plus en plus rapprochées les unes des autres. J’accélère mes caresses. Mon bassin ondule de plus en plus fort, au rythme des palpitations grandissantes du cœur de ma verge. Mes gémissements et mes râles s’intensifient… Je m’abandonne totalement à mon plaisir. Je pense très fort à toi mon-amant-élu-du-jour.
Mon regard fixe ma queue, le bout surtout, mon gland luisant tant il est tendu. Instinctivement, mon corps se plie, ma tête se rapproche de mon pénis. Mes cuisses s’écartent au maximum. Les mouvements amples de ma main sur mon pénis se font plus lents, mais plus précis. Tout mon corps est transi de plaisir, je suis au bord de l’orgasme, à la limite extrême avant la jouissance. Je vais jouir, je vais éjaculer, je vais gicler, je vais me vider. Ma verge palpite, mon gland violet d’excitation est dilaté à l’extrême. Les palpitations au cœur de ma verge deviennent très fortes : des palpitations profondes et brûlantes. Je ralentis encore mes caresses sur mon sexe tout en les faisant plus précises, sur mon gland, sa couronne, sans en oublier le frein, endroit si sensible, si délicat, et tellement érogène… Je sens que je vais venir… Je sens comme une boule dans la racine de ma queue, elle se dilate ; cette dilatation me fait pousser un long râle de plaisir. Puis elle se dilate encore, puis encore. Je fixe mon gland, ce que je ressens est extraordinaire. Ça vient, oui ça vient ! Ce plaisir est pour toi. Une série de violentes contractions me fait écarter les jambes au maximum. Je projette ma tête vers mon bassin en me pliant en deux. Ça me brûle dans la racine de ma verge, tout près de l'anus contracté à l'extrême. c’est sublime ! Je pousse un long gémissement rauque… Je perçois avec une grande intensité cette explosion de la boule dans la racine de ma verge. En même temps que je ressens cet éclatement, une très vive sensation de plaisir brûlant envahit la base de mon pénis et le fait se dilater à l’extrême. Je la vois en même temps que je la ressens, cette dilatation ; mon gland se dilate aussi, faisant s’ouvrir le méat, dont la béance annonce l’imminence du jaillsement du sperme, tel un chaud geyser.
Je fixe le bout de mon gland. Je relâche mes muscles que je ne peux contrôler qu’une ou deux secondes ; une ou deux secondes de paradis ! La base dilatée de mon pénis se contracte. Je sens mon sperme brûlant monter et traverser mon pénis. Je projette mon bassin vers l’avant en même temps que je sens et que je vois jaillir du méat béant de mon gland au bout de mon pénis le premier jet de semence. Première giclée, j’aime regarder et voir les giclées de mon éjaculation qui jaillissent de la petite bouche de mon pénis ! Je suis heureux ! Contempler les giclées de ma semence qui jaillissent en jets brûlants de mon bâton congestionné de plaisir me porte au comble du ravissement et de la jouissance. Chaque jet de sperme giclé par ma verge m’arrache un long gémissement rauque. Au moment exact où un jet de sperme est en train de sortir et de jaillir du bout de ma verge, je projette mon bassin en avant, inconsciemment pour enculer profond quequ'un d'imaginaire et déposer ma semence en lui.
Trois ou quatre puissants jets de sperme jaillissent de ma verge, me faisant jouir avec une intensité inouïe. Chaque jet me fait énormément de plaisir. Je jouis, j’éjacule. Le plaisir irradie aussi dans mes boules qui sont remontées pendant la montée de mon plaisir et qui se sont plaquées contre la base de ma verge dès la première contraction. Je contemple chacun des jets de mon sperme qui gicle de ma verge en fixant intensément mon gland durant toute mon éjaculation. Pendant que j’éjacule, je masturbe ma queue plus lentement qu’avant d’éjaculer. Je sens bien chaque jet qui monte dans mon sexe. Un jet retombe sur mon ventre, puis un autre sur mon visage près de ma bouche ; je m’empresse de le lécher avec ma langue pour me goûter comme chacun de vous mes bons amant me le fait. Les jets suivants sont d’une intensité moindre, mais m’arrachent toujours un gémissement rauque de satisfaction et je continue de projeter mon bassin en avant jusqu’à la fin des contractions de mon orgasme. J’éjacule quatre ou cinq de ces petits jets, chacun me procurant une jouissance encore intense, mais sensiblement moindre que les puissants jets du début de mon éjaculation. Je ramène toujours ma verge de manière à ce qu’elle soit bien droite, à la verticale de mon corps ; cette position met très en valeur à la fois mon pénis et les jets de semence qu’il est en train d’émettre en me faisant jouir.
Je continue de me masturber en ralentissant mon va-et-vient le long de ma verge, au fur et à mesure que j’éjacule. Les dernières contractions de ma verge font s’écouler ce qui reste de semence en elle en grosses larmes chaudes qui coulent du méat de mon gland, puis sur mes doigts et dans les poils de mon pubis. Ces dernières et ultimes contractions de faible intensité me font encore beaucoup de bien. Chacune me fait gémir et me contracter en projetant mon bassin en avant. À cet instant de ma jouissance, je commence à serrer puis à desserrer alternativement mes jambes en contractant mes cuisses et mes fesses. Mes doigts remontent complètement jusqu’à l’extrémité de mon gland pour vider ma verge des quelques gouttes de sperme qu’il reste.
Mon corps est maculé de petites flaques de sperme comme un petit lac bordé du petit jardin de mes poils. J’adore sentir ma semence, mes jets retomber sur ma poitrine et mon ventre dès qu’ils ont jailli de ma verge, j’aime le sentir sur moi, le sentir couler sur mon corps, le sentir s’écouler le long de mon sexe, puis le sentir couler dans les poils de mon pubis. Je suis bien, extraordinairement bien. Je viens de vivre un plaisir sublime grâce à toi mon amant-de-cette-heure.
Je penche ma tête sur le côté, mes jambes se détendent, tout mon corps se détend. Je ne bouge pas, je profite de la douce torpeur dans laquelle le plaisir me fait baigner. Ma verge s’est ramollie dans ma main. Je la garde comme ça, décalottée et comme endormie dans ma main. Elle est toute mouillée de son sperme. Je pense aux instants merveilleux que je viens de vivre, au sublime plaisir que nous venons de nous donner mon pénis, mon amant virtuel et moi. Les yeux fermés, je revois ma jouissance, j’entends mes râles, mes gémissements de joie. Je me revois en train d’éjaculer, mon sperme giclant du bout de ma verge en longs jets chauds, au repos que nous vivons tous les deux après l’orgasme. Comme j’aimerais m’endormir dans tes bras, là ! Mes pensées sont toutes au plaisir que je viens de vivre pour et par toi comme un dieu. Je suis bien, détendu et heureux de mon bonheur. Je m’enfonce tout doucement dans le sommeil et une douce torpeur. Je suis sur un nuage de bien-être et de sérénité. Je m’endors, repu de plaisir et de jouissance. Un sourire se dessine sur mes lèvres ; sourire de bonheur qui t’est destiné, délicieux lecteur, charmante lectrice.¤
nom de nom la grosse pomme qu'ona cueillie !
Aujourd'hui au Jardin d'Eden
Cultive et maintiens ta sensibilité:
Je me souviens de ces jours où, pendant l'éjaculation, je me sentais si bien, mais aujourd'hui il y a une
sorte d'inconfort et moins de plaisir. Au lieu de profiter du moment, mon pénis fait mal, et après l'éjaculation, il devient douloureux. J'ai eu ce problème pendant des mois et ça ruine ma vie
sexuelle, je ne peux même pas me souvenir de la dernière fois que je me sentais bien que ce soit avec son sexe ou avec la masturbation. : '(
Comment puis-je retrouver la sensibilité et obtenir cette sensation incroyable d'il y a seulement trois ans ? J'étais sur le point d'acheter de l'huile man1man mais il y avait de
mauvaises critiques, donc j'ai changé d'avis. J'ai entendu dire que la vitamine E est bonne pour la peau, mais je ne l'ai toujours pas acheté, toujours à la recherche d'un produit complet. Je vais essayer de mélanger l'huile de noix de coco ou de l'huile d'olive extra
vierge, avec de l'eau. J'avais l'habitude de me masturber avec ma main ou de frotter mon pénis avec une serviette, mauvaise idée. Je pense que j'ai brûlé la tête de ma bite par la chaleur et
endommagé mon pénis et mes nerfs. Ça me fait toujours du bien avant que j'atteigne le sommet, mais dès que j'éjacule, ça fait mal et ça gâche les sensations.
La voilà cette huile vendue sur Amazon: "Man1 Man Oil" garantie - spéciale pour traiter à sec un pénis, rouge, dont la peau se craquèle ou bien pèle
... TEMOINS
hé oui, l'huile de serpent pour ta verge ! c'est une cose trop oubliée ! !
L'huile de serpent est une médecine traditionnelle chinoise (TCM) utilisant des graisses extraites du serpent d'eau chinois (Enhydris chinensis.) [1] C'est un rubéfiant et / ou une pommade, et
est appliqué par voie topique pour soulager la douleur physique mineure. Il a été utilisé dans la médecine traditionnelle chinoise
depuis de nombreux siècles, et est un médicament relativement commun prescrit par les médecins attribuant la pratique de la MTC.
Son efficacité en tant que médicament a été une source historique de controverse dans le monde occidental, où il y a beaucoup de confusion sur son origine et sa constitution en raison d'un
jugement de la Cour de District des États-Unis contre Clark Stanley.
Dans la culture occidentale, l'huile de serpent est le plus
souvent associée à un placebo, à une panacée et / ou à un marketing trompeur.
Son association à la culture occidentale tient au fait que de nombreux entrepreneurs européens du XIXe siècle et du XVIIIe siècle ont fait de la publicité et vendu de l'huile minérale (souvent
mélangée à diverses herbes, épices et composés domestiques actifs et inactifs, mais sans propriétés de serpents, ) comme «liniment de l'huile de serpent», faisant des affirmations frivoles sur son efficacité
comme une panacée.
Les médicaments brevetés qui prétendaient être une panacée étaient extrêmement répandus du 18ème au 20ème siècle, en particulier chez les vendeurs masquant des drogues addictives comme la
cocaïne, l'amphétamine, l'alcool et les concoctions et / ou élixirs à base d'opium, pour être vendus comme médicaments
Je suis un homme, plutôt joli, de 29 ans. À l’âge que j’ai, même si mes plaisirs solitaires demeurent des secrets, j’assume pleinement mon appétit insatiable pour le sexe. Je suis en couple, mais j’adore m’adonner à mon seul plaisir, en solo. Je ne me lasse jamais de regarder de la porno en ligne, ou même d’acheter un magazine ou un DVD de temps en temps pour me soulager.
Je passe beaucoup, beaucoup de temps à regarder de la porno, et des sites web avec des annonces de prostituées, etc., etc. Ces fantasmes me procurent beaucoup de plaisir et l’un d’entre eux était de mettre le pied dans un de ces fameux cinémas pornos.
J’avais lu sur certains endroits sur le web. La plupart de ces endroits semblaient être des lieux de rencontre de prédilection pour les hommes gays ou les hétéros curieux. Je ne me retrouve dans aucune de ces catégories. J’ai par contre toujours été intrigué par ces lieux. Parce que je sais qu’une fois que je serai à l’intérieur, je pourrai vivre pleinement mon appétit dévorant pour la porno, sans avoir peur d’être jugé.
Il y a plusieurs années, alors que je rentrais chez moi rejoindre mon ex-copine, j’avais fait un crochet par un club vidéo porno. Une fois à l’intérieur, mon cœur s’était mis à battre très rapidement. J’étais surexcité par l’endroit et par toutes ces couvertures de DVD sur les murs. Il y avait des cabines de visionnement à l’arrière de la boutique, mais je n’ai jamais osé m’y aventurer. Je suis ressorti assez rapidement, gêné de me trouver là et apeuré d’y croiser quelqu’un que je connaîtrais.
Il y a quelques mois, j’ai enfin surmonté ma gêne et je me suis rendu directement dans un cinéma porno de la rue Ste-Catherine, à Montréal ; le Vidéo-Erotica. C’était l’hiver, je me sentais camouflé dans mon gros manteau.
Une fois la porte franchie, j’ai vu devant moi un escalier qui descendait vers le sous-sol. Craintif de croiser le regard du portier, je m’y suis directement dirigé. Au sous-sol, il y avait deux entrées différentes pour les salles de cinéma. D’un côté deux films hétéros et de l’autre un film hétéro et un film gay. Un autre homme est arrivé à ce moment et j’ai eu peur qu’il croie que je voulais voir le film gay. J’étais attiré par le film hétéro de cette porte, car il semblait mettre en scène des femmes aux courbes généreuses et cela est définitivement mon fantasme numéro 1. Craignant de croiser trop de gens, je suis remonté voir ce qu’il y avait à l’étage du dessus.
Je devais mettre 1 dollar pour pouvoir traverser de l’autre côté. Je le fis et lorsque j’arrivai de l’autre côté, j’ai été soulagé. Il s’agissait de plusieurs cabines individuelles où l’on pouvait s’embarrer (*) pour regarder des pornos tout seul, en toute tranquillité.
Je suis donc entré dans une des cabines et j’ai verrouillé la porte derrière moi. J’entendais le son de plusieurs films différents provenant des autres cabines et cela m’a beaucoup excité. Je me sentais bien, enfin lâché dans un lieu où tout est permis. À l’écran, des images crues roulaient en boucle, derrière le texte commandant d’insérer de l’argent. J’ai mis 20 $ dans la fente et la porno a commencé à jouer sur l’écran.
Ma première surprise a été le mode de navigation entre les films. J’avais cru que je sillonnerais des allées remplies de DVD où je choisirais le film de mon choix. Mais j’avais plutôt accès à une multitude de pornos différents, en naviguant avec les boutons et le manche qui ressemblait à une manette de jeux vidéo.
Je suis un amateur fou des gros seins. Ce n’est jamais trop gros pour moi et je suis du genre à aimer surtout les seins EE et plus gros. Je n’arrivais pas à sélectionner la catégorie des gros seins. J’ignore encore pourquoi à ce jour, le menu ne semblait pas fonctionner correctement. Comme j’avais mis 20 $, je me suis mis à la recherche de quelque chose qui me plairait quand même, car l’argent ne descendait pas si vite et je voyais bien que j’avais beaucoup de temps devant moi.
J’ai enlevé mon manteau et augmenté un peu le volume. J’étais assis sur le banc et de gros speakers étaient à gauche et à droite de ma tête. J’adorais cette sensation. Pouvoir écouter de la porno à haut volume, sans avoir peur de me faire surprendre par ma copine ou encore de me faire entendre par les voisins.
Mon cœur battait rapidement d’excitation et ma queue était déjà bien dure. Je naviguais entre les films et faisais parfois quelques pauses sur les scènes où les femmes me plaisaient particulièrement.
J’ai commencé à astiquer ma queue en regardant des vidéos de lesbiennes ou des belles scènes de cul avec des femmes chaudes.
Je ne trouvais par contre pas de seins assez gros à mon goût et il m’arrivait de temps en temps de tomber sur une scène gay, ce qui me déplaisait. J’ai donc lâché ma queue un moment pour me concentrer sur la recherche d’un film qui me plairait vraiment.
Et soudain, le meilleur des scénarios se produisit. Je suis tombé sur un film avec Brandy Taylor, une pornstar incroyablement sexy. Dans la vingtaine, avec des seins d’une taille énorme, qui ont une allure très douce et très naturelle. Elle tenait un de ses gros seins dans sa main et de l’autre, une queue, filmée en POV. C’était comme si elle était là, avec moi, sur un écran tellement grand. J’ai commencé à me masturber plus frénétiquement.
Elle avait huilé ses seins et la queue de son partenaire. Elle alternait les traitements de faveur entre toutes les options suivantes : bonne branlette à la main, branlette entre les énormes seins, branlette d’une main avec le gland dans la bouche, branlette entre les seins avec le gland dans la bouche, etc. Le tout avec un regard qui ne me lâchait pas, une bouche chaude de salope et une tonne d’insanités envoyées à son auditeur. C’était du pur bonbon. J’ai hésité entre cette vidéo et une autre de Kelly Kay, un autre modèle à gros seins incroyablement sexy (parmi mes préférées), mais Kelly donne uniquement dans le soft et à ce stade-ci, j’avais clairement besoin de m’imaginer la queue entre les cuisses d’une pornstar bien salope.
L’argent prenait encore son temps avant de s’épuiser, j’ai donc attendu le plus possible. À mon grand bonheur, il me restait environ 5 $ à écouler quand j’ai vu que la scène d’éjaculation allait arriver. Je me suis relevé de mon siège et j’ai sorti de ma poche le papier de toilette que j’avais pensé à emmener avec moi.
Je me suis approché de l’écran, j’ai posé ma main dessus et de l’autre j’ai commencé à me masturber de plus en plus rapidement. Quand l’homme de la vidéo a éclaboussé la grosse poitrine de Brandy, je me suis laissé couler à grands jets sur le sol. Pendant mes dernières secondes de branlette, je me suis dit que je n’avais pas besoin du papier. Après tout, j’étais dans le meilleur lieu pour spermer partout sans me soucier de la propreté.
Je me suis astiqué la queue qui ramollissait en regardant Brandy qui s’enduisait les seins de sperme avant que le film ne se termine. Il restait quelques dollars à écouler, mais j’avais obtenu ce pour quoi j’étais venu. Je me suis donc essuyé et je suis sorti de la cabine. En sortant, j’ai croisé un couple de blacks. Un homme… et une femme ! J’ai été immédiatement ragaillardi à l’idée de les imaginer venir vivre du sexe et fort possiblement le faire devant des voyeurs ici même.
NOTES :
Péché ???...NON MAIS ???
constat de Khayyâm : « Quel avantage a produit notre venue en ce monde ? Quel avantage résultera de notre départ ? Que nous reste-t-il du monceau d’espérances que nous avons conçues ? Où est la fumée de tous ces hommes purs qui, sous ce cercle céleste, se consument et deviennent poussière ? » p.351. D’où sa philosophie : « Ô ami ! À quoi bon te préoccuper de l’être ? Pourquoi troubler ainsi ton cœur, ton âme, par des pensées oiseuses ? Vis heureux, passe ton temps joyeusement, car enfin on ne t’a pas demandé ton avis pour faire ce qui est » p.197. D’autant que la vie est brève : « Mon tour d’existence s’est écoulé en quelques jours. Il est passé comme passe le vent du désert. Ainsi, tant qu’il me restera un souffle de vie, il y a deux jours dont je ne m’inquiéterais jamais, c’est le jour qui n’est pas venu est celui qui est passé » p.22.
Ne sachant ni qui l’on n’est ni où l’on va, seul compte le présent. Et le présent est plaisir. « J’ai beaucoup observé les choses ici-bas, je n’y vois que la joie et le plaisir qui aient du prix : le reste n’est rien » p.84. Qu’est-ce que le plaisir ? Le vin, les êtres, la poésie. « Ô spectacle saisissant ! Notre échanson tenant d’une main le goulot du flacon, et de l’autre la coupe qui déborde, comme pour nous convier à recevoir le plus pur de son sang ! » p.18. Quelle vitalité dans ces vers, qu’elle attrait symbolique : le sang de la jeunesse revigore comme le vin, le vin est la vie parce qu’il donne la joie.
Et la religion dans tout cela ? Dieu, s’il est grand, sait ce qu’il fait ; s’il est grand, il est généreux. « Lorsque Dieu a confectionné la boue de mon corps, il savait quel serait le résultat de mes actes. Ce n’est pas sans ses ordres que je commets les péchés dont je suis coupable ; dans ce cas, pourquoi au jour dernier brûler dans l’enfer ? » p.99.
Et c’est interpellation de Dieu, si grande, si belle dans sa simplicité, que Maalouf a placé en exergue de son livre et que je reproduis sous une autre traduction : « Quel est l’homme ici-bas qui n’a point commis de péché, dis ? Celui qui n’en aurait point commis, comment aurait-il vécu, dis ? Si, parce que je fais le mal, tu me punis par le mal, quelle est donc la différence qui existe entre toi et moi, dis ? » p.356.
Omar Khayyâm, Les rubaïyat, Forgotten books reprint 2018, 80 pages, €8.25 https://argoul.com/tag/peche/
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Des australopithèques à la pratique du safe sex, de Freud à soeur Emmanuelle - l'"autoérotisme" féminin n'est pas en reste -, voilà finalement un plaidoyer très réussi pour "la sexualité la plus libre et la plus démocratique qui soit". Plaisir (de lecture) garanti !
VOYAGE AUTOUR DE MON SEXE. SE FAIRE L'AMOUR, par Thibault de Montaigu. Grasset, 238p., 18€.
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