Mercredi 16 mai 3 16 /05 /Mai 07:00

Dieu le Père -si vous y croyez-nous a donné une joystick magique et nous ne savons pas (assez) en profiter on n'en parle guère sur nos sites  

Le mois de mai a de "l'écume" -lol-

et toi tu devrais en avoir aussi La masturbation est la "sexualité la plus libre et la plus démocratique qui soit"

 

MAI

le mois (inter)national de la masturbation

 

             célébration DE LA JOURNEE  DU MOIS  DE LA STURB  PARTOUT   :                                                                            

                                                                                                                                                                                                                                           
                                                                                           Résultat de recherche d'images pour "onan"                                                                                                  dans les siècles des siècles...amen                     

      Vous avez la main taciturne, le poignet mélancolique et vous sentez que vos escapades en solitaire d’antan n’ont plus le même effet réjouissant sur votre corps dorénavant blasé par cet auto-érotisme devenu trop répétitif ? NE SOYONS PAS STUPIDE !

image oui tu as rêvé et tu rêves encore 

 

RIEN NE VAUDRA JAMAIS LA MAIN mais il existe de merveilleux masturbateurs vibrants qui permettent de goûter à des plaisirs solitaires sublimes ! En effet, le pénis est dans sa prison dorée, à jouir des va-et-vient autant que de la douceur du silicone vibrant… Et les plus aventureux pourront également se munir d’un vibreur prostatique performant pour voir du pays d’une façon unique en parallèle des délicieuses caresses péniennes.

 

  RECIT au ralenti: [un délice]

 Allongé de tout mon long, une main parcourant mon corps, l’autre qui me caresse le sexe très délicatement, tout mon corps manifeste lui aussi sa joie en ondulant voluptueusement. Mes jambes pliées et écartées bougent au rythme de mes caresses sur ma verge. J’ondule du bassin à la cadence du plaisir. Je suis si bien là, ma queue est totalement raide maintenant, mon gland n’est pas encore totalement découvert mais il commence à pointer, je sens toutes les courbes subtiles de ma verge. Je continue comme ça encore un peu, quelques minutes de plaisir intense.

Je tire maintenant sur mon sexe afin de libérer mon gland de son fourreau de peau. Il apparaît complètement dégagé, rouge de plaisir. Je place mon pouce à la base de ma queue pour la faire grossir ; l’effet est immédiat : elle semble grandir encore un peu, et mon gland se gorge de sang, il devient plus gros lui aussi, changeant de couleur et devenant presque violacé comme une asperge printanière. Mon sexe ainsi caressé depuis un bon moment témoigne aussi de mon bonheur. Un témoignage d’une grande sensualité, signe de l’intensité de mon plaisir. Ce signe qui trahit ma joie s’écoule tout doucement du méat de mon gland. Ma verge semble pleurer, mais ses larmes sont les larmes de la promesse d'une joie intense. Elles apparaissent en scintillant au coin de la petite bouche de mon gland. Tout d’abord, elles emplissent mon méat, puis elles coulent sur mon gland ; larmes chaudes du plaisir brûlant qui m’envahit. Perles de plaisir trahissant ma joie suprême. Douce rosée naissant, dans l’intimité profonde, au cœur de ma queue et montant s’épanouir sur les lèvres entrouvertes de mon gland.

 

Je continue mes caresses ainsi de longues minutes, ma main qui remonte sans cesse le long de ma hampe depuis la base où je n’oublie pas de caresser mes boules jusqu’au sommet de mon gland, il arrive que mon gland soit recouvert de mon prépuce par moments et je m’empresse aussitôt de le redécouvrir en tirant un maximum sur ma queue. Je suis si bien perdu dans mes pensées qui sont toutes pour toi, l'un de mes amants passés, mais toujours vivants en moi, j’imagine qu’à la place de ma main je ressente la tienne ou même ta langue qui me fait tant de bien. J’imagine ton corps nu et offert tout à moi, ses courbes qui acceptent mes mains, tes tétons dont je sens les pointes durcir de plaisir sous ma langue, ton sexe que j’adore déguster à pleine bouche, ton nectar dont je me délecte, ton gland à toi avec lequel j’aime jouer de longues minutes, ma langue qui s’insinue au plus profond de ton intimité, tes jambes qui m’enserrent, ton visage qui se déforme sous l’orgasme. Voilà toutes les images qui se bousculent dans ma tête et qui me font me sentir bien, très bien même.

 

La plupart du temps, je me masturbe en utilisant une huile parfumée ; cela augmente considérablement l’intensité de mes sensations. C’est comme si je jouissais de manière continue sans éjaculer. Je ressens un plaisir extrêmement fort. Bien sûr, je gémis beaucoup plus et je remue tout mon corps en ondulant plus fort également. Je bande aussi plus fort en me masturbant avec de l’huile ou de la crème, ma verge est très tendue, mon gland d’une jolie et très sensuelle couleur violacée. Ça m’excite beaucoup de voir ma verge bander aussi vigoureusement et j’en sens très fortement toute la tension dans mon bas-ventre. Je nevois plus qu'elle, tout autour mon regard se trouble et rejoint ma pensée. Je regarde ma verge très tendue, merveilleusement belle et excitante, mon gland congestionné de désir. Tout ceci, c’est pour toi qui t'es éveillé dans mon souvenir et que j'ai choisi pour partager mon plaisir.

 

Je me masse la verge avec des caresses amples et douces sur toute sa longueur, de lents va-et-vient de mon gland à la racine, en tournant ma main légèrement à chaque mouvement descendant et montant le long de ma verge. À chaque mouvement descendant, j’insiste sur les points les plus sensibles de ma queue. Mon plaisir est d’une intensité telle que je mouille beaucoup plus ; ces larmes de joie qui coulent du méat de mon sexe sont beaucoup plus abondantes. Ça aussi ça m’excite beaucoup ! Elles sortent de la petite bouche souriante de mon gland à chaque fois que ma main remonte le long de ma verge et elles coulent sur mon gland en longs filets brillants. Je les vois donc continuer de s’écouler doucement tout le long de ma queue en lente cascade argentée, c’est merveilleusement prenant. Avec ma main qui masse mon pénis, j’étale ma mouille sur toute ma verge. Quand ma main remonte sur mon sexe et que je vois apparaître une nouvelle grosse larme de mouille, je gémis plus fort tellement ça m’excite. Et je suis au comble du bonheur de voir à quel point ma verge est heureuse de mes caresses. Et comme je suis plus excité, je mouille encore plus, et de mon pénis s’écoule de nouveau une grosse perle de plaisir.

 

Je suis complètement décalotté. Je tire bien la peau de mon pénis vers la racine pour que le gland, intégralement et complètement dégagé puisse profiter pleinement de chaque caresse subtile de ma main et de mes doigts. Mon pénis ainsi décalotté bien à fond et la peau bien tirée en arrière, mon gland est très impudiquement mais très érotiquement exposé à toutes mes caresses, et cette impudeur est pour toi, Jo, Paul, ou bien Maurice ? Je suis complètement nu, assis les jambes écartées et pliées, mon pénis en érection, décalotté à fond, bien dressé entre mes cuisses ouvertes. Je tire la peau de mon sexe pour encore mieux dégager mon gland. Je bande très, très fort et mon gland est très gros, violet de désir, le méat bien ouvert et suintant d’une mouille abondante. Je suis impudique à l’extrême et j’en suis très heureux. Mais je le suis pour moi et pour toi aussi et pour lui et pour tel autre encore : Hassène, Max ou bien Matt .

 

Le plaisir est plus fort maintenant, je le ressens en deux points bien précis. Le premier se situe exactement entre mes cuisses, sous mes boules, à la racine de ma verge ; le deuxième se situe à l’extrémité de mon pénis, dans tout mon gland. Les ondes de plaisir remontent tout le long de ma queue et se diffusent intensément dans mon gland tendu et gonflé à l’extrême par le plaisir. C’est merveilleusement beau et bon à la fois. Je pousse des gémissements et des râles de plaisir. Ma tête est complètement investie je ne pense qu'au plaisir qui nous unit ma verge, ma tête, on compagnon virtuel et moi.  Je bouge beaucoup, et toujours au rythme des caresses de ma main sur ma verge tout se brouille en une merveilleuse confusion.

 

J’ai du plaisir, je me fais du bien, beaucoup de bien. J’aimerais tellement que tu me voies, mais tu n’es pas là ; alors je te raconte tout dans les moindres détails pour que tu puisses imaginer dans quel plaisir je suis, comme quand tu me fais partager le tien. Je ne cesse de fixer intensément mon pénis tendu par une puissante érection qui ne demanderait qu'à entrer en toi. Je fixe surtout mon gland complètement dilaté par le plaisir. Le méat, au bout de mon gland, est superbement ouvert et luisant, entièrement baigné d’une mouille abondante qui ne cesse de couler de ma verge caressée. Je mouille beaucoup et j’aime quand je mouille comme ça. Je suis au bord de l’éjaculation , alors je serre très fort ma queue pour stopper cette montée de plaisir ; j’ai du mal à me retenir, je sens un spasme, je me retiens plus fort mais de mon gland s’échappe un peu de sperme cette fois, en petite quantité, j’ai failli jouir, je le recueille, au bout de ma verge en la pressant sur toute sa longueur, depuis la racine jusqu’au bout de mon gland avec un doigt de la main droite et je le dépose sur le bout de ma langue. C’est chaud, un peu salé et liquoreux, j’adore !

 

Je me décide à relâcher la pression sur mon sexe et à l’abandonner un peu pour me concentrer sur mes pointes de seins, que je pince un peu comme l'un de vous, mes amants, le ferait. Je reprends enfin mes caresses sur mon sexe, bien décidé à me faire jouir jusqu’au bout cette fois ; cela fait un bien trop long moment que je me caresse et mon plaisir devient vraiment très fort. Le cœur de ma verge palpite un peu plus, à l'unisson avec le coeur qui bat dans la poitrine. Mes caresses s’accentuent sur les points les plus sensibles. En particulier sur toute la surface de mon gland dont je sens la douceur extrême. Mes caresses se précisent également sur toute la partie du corps de ma verge qui se situe immédiatement sous mon gland, tout autour. Là où tous vous savez si bien poser vos langues. C’est également agréable sur toute la couronne de mon gland ainsi que dessous et de chaque côté. Là, c’est vraiment très, très bon et je dois me forcer pour insister sur ces endroits très sensibles de ma queue car la jouissance est à la limite du non-retour.

 

Pour accentuer mes caresses, je pose mon gland dans le creux de ma main gauche, et je place mon pouce sur la couronne de manière à ce qu’il aille stimuler également juste sous la couronne là où j'ai ces toutes petites crètes blanches. Je fais alors un lent mais très appuyé mouvement circulaire avec mon pouce. Cette caresse m’envoie littéralement en l’air et provoque des ondes de plaisir très fortes vers la racine de mon pénis. Par ces merveilleuses caresses, je parviens à un niveau supérieur d’excitation et je masse ma verge plus intensément ; je la serre fort, je me masturbe avec des mouvements plus amples. Je monte et descends tout le long, du bout de mon gland jusqu’à mon pubis, en accentuant chaque aller et retour, mon bassin accompagne chaque mouvement de ma main.

 

Ma respiration est devenue un halètement entrecoupé de gémissements et de râles qui ne vous laisseraient aucun doute sur l’intense plaisir que nous nous donnons mon frère-pénis et moi. Ma main descend et monte plus vite sur ma verge. Je projette mon bassin en avant à chaque mouvement descendant de ma main sur ma verge. Entre mes cuisses, sous mes boules, à la racine de ma verge, le plaisir chaud se contracte et se dilate avec une force grandissante au fur et à mesure de mes caresses. Je sens mon sexe se contracter ; les contractions sont plus longues, plus amples, et elles sont de plus en plus rapprochées les unes des autres. J’accélère mes caresses. Mon bassin ondule de plus en plus fort, au rythme des palpitations grandissantes du cœur de ma verge. Mes gémissements et mes râles s’intensifient… Je m’abandonne totalement à mon plaisir. Je pense très fort à toi mon-amant-élu-du-jour.

 

    Mon regard fixe ma queue, le bout surtout, mon gland luisant tant il est tendu. Instinctivement, mon corps se plie, ma tête se rapproche de mon pénis. Mes cuisses s’écartent au maximum. Les mouvements amples de ma main sur mon pénis se font plus lents, mais plus précis. Tout mon corps est transi de plaisir, je suis au bord de l’orgasme, à la limite extrême avant la jouissance. Je vais jouir, je vais éjaculer, je vais gicler, je vais me vider. Ma verge palpite, mon gland violet d’excitation est dilaté à l’extrême. Les palpitations au cœur de ma verge deviennent très fortes : des palpitations profondes et brûlantes. Je ralentis encore mes caresses sur mon sexe tout en les faisant plus précises, sur mon gland, sa couronne, sans en oublier le frein, endroit si sensible, si délicat, et tellement érogène… Je sens que je vais venir… Je sens comme une boule dans la racine de ma queue, elle se dilate ; cette dilatation me fait pousser un long râle de plaisir. Puis elle se dilate encore, puis encore. Je fixe mon gland, ce que je ressens est extraordinaire. Ça vient, oui ça vient ! Ce plaisir est pour toi. Une série de violentes contractions me fait écarter les jambes au maximum. Je projette ma tête vers mon bassin en me pliant en deux. Ça me brûle dans la racine de ma verge, tout près de l'anus contracté à l'extrême. c’est sublime ! Je pousse un long gémissement rauque… Je perçois avec une grande intensité cette explosion de la boule dans la racine de ma verge. En même temps que je ressens cet éclatement, une très vive sensation de plaisir brûlant envahit la base de mon pénis et le fait se dilater à l’extrême. Je la vois en même temps que je la ressens, cette dilatation ; mon gland se dilate aussi, faisant s’ouvrir le méat, dont la béance annonce l’imminence du jaillsement du sperme, tel un chaud geyser.

 

Je fixe le bout de mon gland. Je relâche mes muscles que je ne peux contrôler qu’une ou deux secondes ; une ou deux secondes de paradis ! La base dilatée de mon pénis se contracte. Je sens mon sperme brûlant monter et traverser mon pénis. Je projette mon bassin vers l’avant en même temps que je sens et que je vois jaillir du méat béant de mon gland au bout de mon pénis le premier jet de semence. Première giclée, j’aime regarder et voir les giclées de mon éjaculation qui jaillissent de la petite bouche de mon pénis ! Je suis heureux ! Contempler les giclées de ma semence qui jaillissent en jets brûlants de mon bâton congestionné de plaisir me porte au comble du ravissement et de la jouissance. Chaque jet de sperme giclé par ma verge m’arrache un long gémissement rauque. Au moment exact où un jet de sperme est en train de sortir et de jaillir du bout de ma verge, je projette mon bassin en avant, inconsciemment pour enculer profond quequ'un d'imaginaire et déposer ma semence en lui.

 

Trois ou quatre puissants jets de sperme jaillissent de ma verge, me faisant jouir avec une intensité inouïe. Chaque jet me fait énormément de plaisir. Je jouis, j’éjacule. Le plaisir irradie aussi dans mes boules qui sont remontées pendant la montée de mon plaisir et qui se sont plaquées contre la base de ma verge dès la première contraction. Je contemple chacun des jets de mon sperme qui gicle de ma verge en fixant intensément mon gland durant toute mon éjaculation. Pendant que j’éjacule, je masturbe ma queue plus lentement qu’avant d’éjaculer. Je sens bien chaque jet qui monte dans mon sexe. Un jet retombe sur mon ventre, puis un autre sur mon visage près de ma bouche ; je m’empresse de le lécher avec ma langue pour me goûter comme chacun de vous mes bons amant me le fait. Les jets suivants sont d’une intensité moindre, mais m’arrachent toujours un gémissement rauque de satisfaction et je continue de projeter mon bassin en avant jusqu’à la fin des contractions de mon orgasme. J’éjacule quatre ou cinq de ces petits jets, chacun me procurant une jouissance encore intense, mais sensiblement moindre que les puissants jets du début de mon éjaculation. Je ramène toujours ma verge de manière à ce qu’elle soit bien droite, à la verticale de mon corps ; cette position met très en valeur à la fois mon pénis et les jets de semence qu’il est en train d’émettre en me faisant jouir.

 

Je continue de me masturber en ralentissant mon va-et-vient le long de ma verge, au fur et à mesure que j’éjacule. Les dernières contractions de ma verge font s’écouler ce qui reste de semence en elle en grosses larmes chaudes qui coulent du méat de mon gland, puis sur mes doigts et dans les poils de mon pubis. Ces dernières et ultimes contractions de faible intensité me font encore beaucoup de bien. Chacune me fait gémir et me contracter en projetant mon bassin en avant. À cet instant de ma jouissance, je commence à serrer puis à desserrer alternativement mes jambes en contractant mes cuisses et mes fesses. Mes doigts remontent complètement jusqu’à l’extrémité de mon gland pour vider ma verge des quelques gouttes de sperme qu’il reste.

 

Mon corps est maculé de petites flaques de sperme comme un petit lac bordé du petit jardin de mes poils. J’adore sentir ma semence, mes jets retomber sur ma poitrine et mon ventre dès qu’ils ont jailli de ma verge, j’aime le sentir sur moi, le sentir couler sur mon corps, le sentir s’écouler le long de mon sexe, puis le sentir couler dans les poils de mon pubis. Je suis bien, extraordinairement bien. Je viens de vivre un plaisir sublime grâce à toi mon amant-de-cette-heure.

 

Je penche ma tête sur le côté, mes jambes se détendent, tout mon corps se détend. Je ne bouge pas, je profite de la douce torpeur dans laquelle le plaisir me fait baigner. Ma verge s’est ramollie dans ma main. Je la garde comme ça, décalottée et comme endormie dans ma main. Elle est toute mouillée de son sperme. Je pense aux instants merveilleux que je viens de vivre, au sublime plaisir que nous venons de nous donner mon pénis, mon amant virtuel et moi. Les yeux fermés, je revois ma jouissance, j’entends mes râles, mes gémissements de joie. Je me revois en train d’éjaculer, mon sperme giclant du bout de ma verge en longs jets chauds, au repos que nous vivons tous les deux après l’orgasme. Comme j’aimerais m’endormir dans tes bras, là ! Mes pensées sont toutes au plaisir que je viens de vivre pour et par toi comme un dieu. Je suis bien, détendu et heureux de mon bonheur. Je m’enfonce tout doucement dans le sommeil et une douce torpeur. Je suis sur un nuage de bien-être et de sérénité. Je m’endors, repu de plaisir et de jouissance. Un sourire se dessine sur mes lèvres ; sourire de bonheur qui t’est destiné, délicieux lecteur, charmante lectrice.¤

 

Image associée nom de nom la grosse pomme qu'ona cueillie !

Aujourd'hui au Jardin d'Eden

 

 

 

Cultive et maintiens ta sensibilité: 

J'ai diminué en sensibilité. Que ce soit ou non la cause de mes problèmes (je pense que c'est un mélange de masturbation répétitive dans laquelle je me branle sans plaisir , dans l'anxiété ), je pense que retrouver une certaine sensibilité pourrait être très bénéfique pour ma vie personnelle. Si on croit que  l'abstinence complète de la pornographie, de la masturbation et de tout orgasme va améliorer les choses, normalement on se trompe.
 
Récupérer ma sensibilité prendra beaucoup de temps  si j'arrête la masturbation . Mes progrès sont très lents, j'ai arrêté tout acte sexuel, y compris le porno pendant 7 mois et je me suis masturbé quelques fois au début du redémarrage. J'obtiens des progrès, je crois en ce qui concerne la sensibilité, mais je suis encore loin de ce que j'étais dans ma première jeunesse. (Mon test de sensibilité est de savoir comment et ce que je ressens au cours de baises on va dire normales)
  Je ne me suis pas masturbé ou j'ai joui devant un porno il y a un peu plus de deux mois mais j'ai eu peut-être un orgasme par mois avec ma copine depuis lors.

  J'ai utilisé cette crème que j'ai lu de bonnes critiques pour (je n'ai pas lu les commentaires négatifs OP a) pour un peu plus d'une semaine. Mais à peu près chaque fois que je l'utilise, je bande, ce qui ne m'arrive plus souvent et je me demande s'il y a de réels avantages à 
tirer de cette crème              

Je me souviens de ces jours où, pendant l'éjaculation, je me sentais si bien, mais aujourd'hui il y a une sorte d'inconfort et moins de plaisir. Au lieu de profiter du moment, mon pénis fait mal, et après l'éjaculation, il devient douloureux. J'ai eu ce problème pendant des mois et ça ruine ma vie sexuelle, je ne peux même pas me souvenir de la dernière fois que je me sentais bien que ce soit avec son sexe ou avec la masturbation. : '(

  Comment puis-je retrouver la sensibilité et obtenir cette sensation incroyable d'il y a seulement trois ans ? J'étais sur le point d'acheter de l'huile  man1man mais il y avait de mauvaises critiques, donc j'ai changé d'avis.
 J'ai entendu dire que la vitamine E est bonne pour la peau, mais je ne l'ai toujours pas acheté, toujours à la recherche d'un produit complet. Je vais essayer de mélanger l'huile de noix de coco ou de l'huile d'olive extra vierge, avec de l'eau. J'avais l'habitude de me masturber avec ma main ou de frotter mon pénis avec une serviette, mauvaise idée. Je pense que j'ai brûlé la tête de ma bite par la chaleur et endommagé mon pénis et mes nerfs. Ça me fait toujours du bien avant que j'atteigne le sommet, mais dès que j'éjacule, ça fait mal et ça gâche les sensations.

 


 

La voilà cette huile vendue sur Amazon: "Man1 Man Oil" 4 oz.- Natural Penile Health Cream - M.B. guarantee - Treat dry, red, cracked or peeling penile skin and increase penile sensitivity "Man1 Man Oil" garantie - spéciale pour traiter à sec un pénis, rouge, dont la peau se craquèle ou bien pèle  

 ... TEMOINS  

1950-snake-oil-is-wonderful-stuff hé oui, l'huile de serpent pour ta verge ! c'est une cose trop oubliée ! 

     L'huile de serpent est une médecine traditionnelle chinoise (TCM) utilisant des graisses extraites du serpent d'eau chinois (Enhydris chinensis.) [1] C'est un rubéfiant et / ou une pommade, et est appliqué par voie topique pour soulager la douleur physique mineure. Il a été utilisé dans la médecine traditionnelle chinoise depuis de nombreux siècles, et est un médicament relativement commun prescrit par les médecins attribuant la pratique de la MTC. Son efficacité en tant que médicament a été une source historique de controverse dans le monde occidental, où il y a beaucoup de confusion sur son origine et sa constitution en raison d'un jugement de la Cour de District des États-Unis contre Clark Stanley.

Dans la culture occidentale, l'huile de serpent est le plus souvent associée à un placebo, à une panacée et / ou à un marketing trompeur. Son association à la culture occidentale tient au fait que de nombreux entrepreneurs européens du XIXe siècle et du XVIIIe siècle ont fait de la publicité et vendu de l'huile minérale (souvent mélangée à diverses herbes, épices et composés domestiques actifs et inactifs, mais sans propriétés de serpents, ) comme «liniment de l'huile de serpent», faisant des affirmations frivoles sur son efficacité comme une panacée. Les médicaments brevetés qui prétendaient être une panacée étaient extrêmement répandus du 18ème au 20ème siècle, en particulier chez les vendeurs masquant des drogues addictives comme la cocaïne, l'amphétamine, l'alcool et les concoctions et / ou élixirs à base d'opium, pour être vendus comme médicaments
 

 

 

Je suis un homme, plutôt joli, de 29 ans. À l’âge que j’ai, même si mes plaisirs solitaires demeurent des secrets, j’assume pleinement mon appétit insatiable pour le sexe. Je suis en couple, mais j’adore m’adonner à mon seul plaisir, en solo. Je ne me lasse jamais de regarder de la porno en ligne, ou même d’acheter un magazine ou un DVD de temps en temps pour me soulager.

 

Je passe beaucoup, beaucoup de temps à regarder de la porno, et des sites web avec des annonces de prostituées, etc., etc. Ces fantasmes me procurent beaucoup de plaisir et l’un d’entre eux était de mettre le pied dans un de ces fameux cinémas pornos.

 

J’avais lu sur certains endroits sur le web. La plupart de ces endroits semblaient être des lieux de rencontre de prédilection pour les hommes gays ou les hétéros curieux. Je ne me retrouve dans aucune de ces catégories. J’ai par contre toujours été intrigué par ces lieux. Parce que je sais qu’une fois que je serai à l’intérieur, je pourrai vivre pleinement mon appétit dévorant pour la porno, sans avoir peur d’être jugé.

 

Il y a plusieurs années, alors que je rentrais chez moi rejoindre mon ex-copine, j’avais fait un crochet par un club vidéo porno. Une fois à l’intérieur, mon cœur s’était mis à battre très rapidement. J’étais surexcité par l’endroit et par toutes ces couvertures de DVD sur les murs. Il y avait des cabines de visionnement à l’arrière de la boutique, mais je n’ai jamais osé m’y aventurer. Je suis ressorti assez rapidement, gêné de me trouver là et apeuré d’y croiser quelqu’un que je connaîtrais.

 

Il y a quelques mois, j’ai enfin surmonté ma gêne et je me suis rendu directement dans un cinéma porno de la rue Ste-Catherine, à Montréal ; le Vidéo-Erotica. C’était l’hiver, je me sentais camouflé dans mon gros manteau.

 

Une fois la porte franchie, j’ai vu devant moi un escalier qui descendait vers le sous-sol. Craintif de croiser le regard du portier, je m’y suis directement dirigé. Au sous-sol, il y avait deux entrées différentes pour les salles de cinéma. D’un côté deux films hétéros et de l’autre un film hétéro et un film gay. Un autre homme est arrivé à ce moment et j’ai eu peur qu’il croie que je voulais voir le film gay. J’étais attiré par le film hétéro de cette porte, car il semblait mettre en scène des femmes aux courbes généreuses et cela est définitivement mon fantasme numéro 1. Craignant de croiser trop de gens, je suis remonté voir ce qu’il y avait à l’étage du dessus.

 

Je devais mettre 1 dollar pour pouvoir traverser de l’autre côté. Je le fis et lorsque j’arrivai de l’autre côté, j’ai été soulagé. Il s’agissait de plusieurs cabines individuelles où l’on pouvait s’embarrer (*) pour regarder des pornos tout seul, en toute tranquillité.

 

Je suis donc entré dans une des cabines et j’ai verrouillé la porte derrière moi. J’entendais le son de plusieurs films différents provenant des autres cabines et cela m’a beaucoup excité. Je me sentais bien, enfin lâché dans un lieu où tout est permis. À l’écran, des images crues roulaient en boucle, derrière le texte commandant d’insérer de l’argent. J’ai mis 20 $ dans la fente et la porno a commencé à jouer sur l’écran.

 

Ma première surprise a été le mode de navigation entre les films. J’avais cru que je sillonnerais des allées remplies de DVD où je choisirais le film de mon choix. Mais j’avais plutôt accès à une multitude de pornos différents, en naviguant avec les boutons et le manche qui ressemblait à une manette de jeux vidéo.

 

Je suis un amateur fou des gros seins. Ce n’est jamais trop gros pour moi et je suis du genre à aimer surtout les seins EE et plus gros. Je n’arrivais pas à sélectionner la catégorie des gros seins. J’ignore encore pourquoi à ce jour, le menu ne semblait pas fonctionner correctement. Comme j’avais mis 20 $, je me suis mis à la recherche de quelque chose qui me plairait quand même, car l’argent ne descendait pas si vite et je voyais bien que j’avais beaucoup de temps devant moi.

 

J’ai enlevé mon manteau et augmenté un peu le volume. J’étais assis sur le banc et de gros speakers étaient à gauche et à droite de ma tête. J’adorais cette sensation. Pouvoir écouter de la porno à haut volume, sans avoir peur de me faire surprendre par ma copine ou encore de me faire entendre par les voisins.

 

Mon cœur battait rapidement d’excitation et ma queue était déjà bien dure. Je naviguais entre les films et faisais parfois quelques pauses sur les scènes où les femmes me plaisaient particulièrement.

 

J’ai commencé à astiquer ma queue en regardant des vidéos de lesbiennes ou des belles scènes de cul avec des femmes chaudes.

 

Je ne trouvais par contre pas de seins assez gros à mon goût et il m’arrivait de temps en temps de tomber sur une scène gay, ce qui me déplaisait. J’ai donc lâché ma queue un moment pour me concentrer sur la recherche d’un film qui me plairait vraiment.

 

Et soudain, le meilleur des scénarios se produisit. Je suis tombé sur un film avec Brandy Taylor, une pornstar incroyablement sexy. Dans la vingtaine, avec des seins d’une taille énorme, qui ont une allure très douce et très naturelle. Elle tenait un de ses gros seins dans sa main et de l’autre, une queue, filmée en POV. C’était comme si elle était là, avec moi, sur un écran tellement grand. J’ai commencé à me masturber plus frénétiquement.

 

Elle avait huilé ses seins et la queue de son partenaire. Elle alternait les traitements de faveur entre toutes les options suivantes : bonne branlette à la main, branlette entre les énormes seins, branlette d’une main avec le gland dans la bouche, branlette entre les seins avec le gland dans la bouche, etc. Le tout avec un regard qui ne me lâchait pas, une bouche chaude de salope et une tonne d’insanités envoyées à son auditeur. C’était du pur bonbon. J’ai hésité entre cette vidéo et une autre de Kelly Kay, un autre modèle à gros seins incroyablement sexy (parmi mes préférées), mais Kelly donne uniquement dans le soft et à ce stade-ci, j’avais clairement besoin de m’imaginer la queue entre les cuisses d’une pornstar bien salope.

 

L’argent prenait encore son temps avant de s’épuiser, j’ai donc attendu le plus possible. À mon grand bonheur, il me restait environ 5 $ à écouler quand j’ai vu que la scène d’éjaculation allait arriver. Je me suis relevé de mon siège et j’ai sorti de ma poche le papier de toilette que j’avais pensé à emmener avec moi.

 

Je me suis approché de l’écran, j’ai posé ma main dessus et de l’autre j’ai commencé à me masturber de plus en plus rapidement. Quand l’homme de la vidéo a éclaboussé la grosse poitrine de Brandy, je me suis laissé couler à grands jets sur le sol. Pendant mes dernières secondes de branlette, je me suis dit que je n’avais pas besoin du papier. Après tout, j’étais dans le meilleur lieu pour spermer partout sans me soucier de la propreté.

 

Je me suis astiqué la queue qui ramollissait en regardant Brandy qui s’enduisait les seins de sperme avant que le film ne se termine. Il restait quelques dollars à écouler, mais j’avais obtenu ce pour quoi j’étais venu. Je me suis donc essuyé et je suis sorti de la cabine. En sortant, j’ai croisé un couple de blacks. Un homme… et une femme ! J’ai été immédiatement ragaillardi à l’idée de les imaginer venir vivre du sexe et fort possiblement le faire devant des voyeurs ici même.

 

  NOTES :  

Péché ???...NON MAIS ???

constat de Khayyâm : « Quel avantage a produit notre venue en ce monde ? Quel avantage résultera de notre départ ? Que nous reste-t-il du monceau d’espérances que nous avons conçues ? Où est la fumée de tous ces hommes purs qui, sous ce cercle céleste, se consument et deviennent poussière ? » p.351. D’où sa philosophie : « Ô ami ! À quoi bon te préoccuper de l’être ? Pourquoi troubler ainsi ton cœur, ton âme, par des pensées oiseuses ? Vis heureux, passe ton temps joyeusement, car enfin on ne t’a pas demandé ton avis pour faire ce qui est » p.197. D’autant que la vie est brève : « Mon tour d’existence s’est écoulé en quelques jours. Il est passé comme passe le vent du désert. Ainsi, tant qu’il me restera un souffle de vie, il y a deux jours dont je ne m’inquiéterais jamais, c’est le jour qui n’est pas venu est celui qui est passé » p.22.

Ne sachant ni qui l’on n’est ni où l’on va, seul compte le présent. Et le présent est plaisir. « J’ai beaucoup observé les choses ici-bas, je n’y vois que la joie et le plaisir qui aient du prix : le reste n’est rien » p.84. Qu’est-ce que le plaisir ? Le vin, les êtres, la poésie. « Ô spectacle saisissant ! Notre échanson tenant d’une main le goulot du flacon, et de l’autre la coupe qui déborde, comme pour nous convier à recevoir le plus pur de son sang ! » p.18. Quelle vitalité dans ces vers, qu’elle attrait symbolique : le sang de la jeunesse revigore comme le vin, le vin est la vie parce qu’il donne la joie.

Et la religion dans tout cela ? Dieu, s’il est grand, sait ce qu’il fait ; s’il est grand, il est généreux. « Lorsque Dieu a confectionné la boue de mon corps, il savait quel serait le résultat de mes actes. Ce n’est pas sans ses ordres que je commets les péchés dont je suis coupable ; dans ce cas, pourquoi au jour dernier brûler dans l’enfer ? » p.99.

Et c’est interpellation de Dieu, si grande, si belle dans sa simplicité, que Maalouf a placé en exergue de son livre et que je reproduis sous une autre traduction : « Quel est l’homme ici-bas qui n’a point commis de péché, dis ? Celui qui n’en aurait point commis, comment aurait-il vécu, dis ? Si, parce que je fais le mal, tu me punis par le mal, quelle est donc la différence qui existe entre toi et moi, dis ? » p.356.

Omar Khayyâm, Les rubaïyat, Forgotten books reprint 2018, 80 pages, €8.25 https://argoul.com/tag/peche/

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Des australopithèques à la pratique du safe sex, de Freud à soeur Emmanuelle - l'"autoérotisme" féminin n'est pas en reste -, voilà finalement un plaidoyer très réussi pour "la sexualité la plus libre et la plus démocratique qui soit". Plaisir (de lecture) garanti ! 

VOYAGE AUTOUR DE MON SEXE. SE FAIRE L'AMOUR, par Thibault de Montaigu. Grasset, 238p., 18€. 

 


commentaire :

 

 

Par BRANLEURN°1 - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 15 mai 2 15 /05 /Mai 11:19

  Jonas Ben Ahmed son regard nous fait fondre

 

La comédien Jonas Ben Ahmed - "Plus belle la vie".

 

REPLAY | Grand débat du doc «Homophobie ? pas mon genre !»sur 301

© S. Pucci © S. Pucci

Les actes homophobes sont en hausse malgré leur illégalité. Le grand débat du doc tente de comprendre les causes de cette inflation et s'interroge sur les moyens mis en place pour lutter contre cette discrimination.            

Par Kathleen GaronPublié le 12/05/2018 à 12:00Mis à jour le 15/05/2018 à 09:38

Le débat fera suite à la diffusion du documentaire «Mes parents sont homophobes » réalisé par Anelyse Lafay-Delhautal  52’lundi 14 mai 2018 après Soir 3.


Débat du doc - «Homophobie ? pas mon genre !»


L’homophobie est une aversion ou rejet de l'homosexualité et plus généralement de toute attitude hostile, de manière avouée ou non, envers les homosexuels, les gays, les lesbiennes, les bi-sexuels ou les transsexuels.
C’est donc une discrimination, sanctionnée comme telle par la loi.
En France, cette homophobie est en hausse. D’après le dernier rapport annuel de l’association « SOS Homophobie» les témoignages d’actes LGBTphobes sont en hausse de 19.5% en un an.



Dans le Grand Débat du Doc, Yannick Kusy et ses invités dressent l’état des lieux de ces discriminations. Comment se manifestent-elles ? Qui en sont les principales victimes ? Pourquoi ?


Ils tenteront également de savoir quelles actions sont entreprises afin de lutter contre ces rejets, qui, parfois, mènent à de véritables drames (séparation familiale, isolement, suicides…). Des actions concrètes de soutien et d’éducation, menées par les associations. Mais aussi les démarches entreprises par les médias ou les documentalistes pour tenter de bousculer les idées reçues, porter un regard neuf.

Pour accompagner cette émission, nous avons invité un jeune comédien prometteur : Jonas Ben Ahmed est un des personnages de la célèbre série «Plus belle la vie». Originaire de Lyon, il est aussi le premier acteur Trans français à la télévision. Il évoquera son parcours et partagera ses impressions sur le thème de l’émission.

Les invités sur le plateau de Yannick Kusy : © S. Pucci        1                          2                 3       4            5
  • 4 Jonas BEN AHMED, comédien
    • 2 Julie de ARAUJO - Association « Le Refuge » Lyon
    • 1 Juliette COUPEZ - Association «SOS Homophobie»
    • 3 Roméo ISARTE, étudiant Master en histoire des femmes et du genre
  • 5  Yannick Kusy animateur du débat           

 


  si je peux informer, j'informe, pour que les prochaines personnes en transition n'aient plus les mêmes problèmes 

  Plus belle la vie : qui est Jonas Ben Ahmed qui joue Dimitri ?

Plus belle la vie : qui est Jonas Ben Ahmed qui joue Dimitri ?
Dans l'épisode de Plus belle la vie diffusé ce mercredi 28 mars, les téléspectateurs de France 3 ont pu découvrir Dimitri, un nouveau personnage qui va épauler Antoine. Jonas Ben Ahmed qui l'interprète est le premier acteur transgenre à jouer dans une série française.

Au fil des années, Plus belle la vie a évoqué de nombreux sujets de société. Après la drogue, le mariage gay ou encore le viol, la série s'est attaquée à la transidentité à travers le personnage de Clara/Antoine joué par Enola Righi. Dans l'épisode diffusé hier, mercredi 28 mars, Dimitri, un jeune transgenre qui va venir en aide à Antoine, débarquait dans la série.

Qui es-tu Jonas Ben Ahmed ?

Pour incarner ce personnage, les producteurs de Plus belle la vie ont recruté Jonas Ben Ahmed qui devient le premier acteur transgenre à jouer dans une série française. Âgé de 26 ans, Jonas Ben Ahmed est originaire de Lyon et travaillait dans une station-service avant de faire ses débuts dans Plus belle la vie. Dans un article, Libération qui l'a rencontré expliquait que le jeune homme a fait son coming out à 18 ans et qu'il a dû quitter son domicile "après avoir été soumis à un ultimatum" de ses proches.

 

La raison étonnante pour laquelle il a passé le casting de Plus belle la vie

Dans son interview pour Libération, Jonas Ben Ahmed s'était confié sur la raison pour laquelle il a auditionné pour jouer dans Plus belle la vie et c'est plutôt surprenant ! C'est à cause de l'annonce qui l'a "heurté" qu'il a décidé de tenter sa chance. "Il y était notamment question d'un acteur ayant 'fini sa transformation', ce qui ne se dit absolument pas" a-t-il expliqué avant d'ajouter : "Je me suis dit : 'Passe ce casting et va informer les gens au lieu de râler dans ton coin'".

 

Toujours pas reconnu comme un homme

Huit ans après le début de sa transformation, Jonas Ben Ahmed a expliqué sur le plateau de Quotidien n'être pas encore reconnu comme un homme. "Ça fait un moment que dans ma tête je râle, je ronchonne de mon côté en me disant que j'en ai marre d'avoir des problèmes dans les administrations car aujourd'hui je n'ai pas encore changé de papiers. Donc quand je vais en mairie, quand je me fais contrôler dans les transports (...) C'est long, c'est dur. Et juridiquement, ça prend beaucoup de temps à un monter un dossier." avait-il expliqué.

Avec son rôle dans Plus belle la vie et à travers l'histoire d'Antoine, il espère pouvoir informer le plus grand nombre "pour que les choses changent, que les mentalités bougent. J'ai bien compris que la plupart du temps, ceux qui sont contre une transition, qui en ont peur, sont ceux qui sont complètement ignorants du sujet. Alors, si je peux informer, j'informe, pour que les prochaines personnes en transition n'aient plus les mêmes problèmes." a-t-il expliqué à Télé Loisirs

 

 

 

Par LE DEBAT YANNICK KUSY - Publié dans : LUTTES HISTOIRE & REVOLTES DES GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 15 mai 2 15 /05 /Mai 08:36
 "Pousse !  allez, vas-y  pousse encore ! "
 
  censuré ??? on se passera de vous  rocco & cie ! 
 
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Par KLONGZ - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 15 mai 2 15 /05 /Mai 08:24

     Ceci n’est pas une histoire que j’ai inventée. Tous les faits que je vais révéler ici se sont réellement déroulés, exactement, ou à peu de choses près, comme je vous les raconte. Il ne s’agit donc aucunement d’un fantasme (des fantasmes, comme tout le monde ou presque, j’en ai, mais je n’avais pas celui-ci, je peux vous le garantir…). Ce que vous allez lire est la réalité et c’est bien pourquoi cette histoire, mon histoire, constitue un sérieux problème avec lequel je suis obligé de composer aujourd’hui. À mon grand désarroi…  

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Je m’appelle Loïc. J’ai 23 ans et je suis instituteur dans une école de village.  Je suis très heureux dans mon travail et je ne regrette pas mon choix. Tout se passe très bien à l’école et mes collègues sont sympas. Mais ma vie vient de basculer dans une situation devenue totalement incontrôlable. Je vous explique…  

 

Depuis quelques années, notre école s’est mise d’accord avec la mairie de notre ville pour tenter d’intégrer des personnes atteintes de handicaps légers. Donc, tous les jours de la semaine, un des pensionnaires d’un CAT (centre d'aide par le travail), institution locale d'encadrement et d'aide de handicapés, vient quelques heures à l’école afin d’y réaliser des travaux d'ntretien et de nettoyage. Rien de bien compliqué, évidemment… il s’agit de passer le balai dans la cour, de vider les poubelles ou de nettoyer des vitres, ce genre de choses. Et tout s’est toujours très bien passé. Jusqu’à cet hiver…

 

On nous a envoyé un dénommé Bruno, âgé de 25 ans. Il a l’air très calme, très doux. Pourtant, physiquement, c’est un genre de colosse. Une vraie montagne. Il n’est pas question, pour ma part, d’être méchant, entendons-nous bien, mais on ne peut pas dire que son regard respire l’intelligence… et pour cause, je vous ai expliqué d’où il vient. J’ai noté qu’il a toujours la bouche un peu entrouverte et il se déplace toujours très lentement. Comme un vieux avant l'âge.

 

Avec les collègues, pour déconner, on l’appelle « sexy-boy »… C’est pas super sympa, mais on est tous très gentils avec lui. Vers 11h 30, les cours s'interrompent et j’ai l’habitude de rester travailler dans ma classe entre midi et deux. Comme tout le monde quitte l’établissement à ce moment-là, je ne suis pas emmerdé et je peux en profiter pour faire des préparations. C’est un système efficace qui me soulage pour mes sorties et mes soirées.

De ma classe, j’ai pris l’habitude d’observer Bruno dans la cour. Je le regarde balayer quelques feuilles mollement ou vider les poubelles. Et j’ai fini par remarquer un curieux manège… Dès les premières fois, j’ai constaté qu’il travaillait pendant environ une demi-heure et qu’il finissait systématiquement par poser son balai contre un mur du préau avant de se diriger à l’intérieur du bâtiment. Il se passe à peu près un quart d’heure avant que je ne voie mon gars Bruno revenir prendre son balai et se remettre au boulot, avec toujours aussi peu d’entrain.  

 

Au début, je n’y ai pas prêté plus d’attention que ça. Et puis, au bout d’un mois environ, cette affaire m’a intrigué. J’ai commencé à me demander ce qu’il pouvait bien aller fouiner comme ça… qu’est-ce qu’il pouvait aller fabriquer à l’intérieur du bâtiment ? Alors, un jour, quand j’ai vu mon Bruno poser son balai, à mon tour, je me suis décidé à aller voir ce qu’il faisait… ce jour-là, je crois que j’aurais mieux fait de m’abstenir.

 

Je suis sorti de ma salle de classe. Le couloir était vide. Visiblement, tout le monde était parti manger. Je me suis dirigé vers la bibliothèque. Au bout du couloir il faut tourner à gauche. Si je tombais sur Bruno dans le couloir, je pouvais faire semblant d’aller chercher un bouquin. Arrivé au bout du couloir, rien. Personne. Au bout de ce second couloir, c’est la sortie vers le préau… c’était bizarre. Où avait-il bien pu se fourrer ?

 

Je m’approche de la porte de la bibliothèque. Fermée à clé. Et toujours aucun bruit. Entre la bibliothèque et la sortie vers le préau, il ne restait plus qu’un endroit. Les toilettes… J’avance doucement vers la porte des toilettes, je patiente devant quelques secondes… J’avais un peu honte de le surveiller comme ça, comme une voleuse, mais il fallait que j’en aie le cœur net.

 

Aucun bruit ne filtrait à travers la porte. Je l’ai ouverte tout doucement… Vide… J’étais vraiment gêné de venir vérifier ce qu’il pouvait bien faire, surtout en entrant dans les toilettes comme ça. Un peu inquiet et le souffle court, j’ai encore attendu quelques secondes à l’entrée des toilettes et puis tout d’un coup, j’ai entendu du bruit dans un des cabinets…

 

Visiblement, mon Bruno, réglé comme une horloge, avait ses petites habitudes, tout simplement. C’était donc aussi bête que ça. Je me suis senti idiot de m’être livré à tant de curiosité mal placée. J’allai refermer la porte et le laisser faire ce qu’il avait à faire quand une curiosité encore plus mal placée m’a arrêté… il semblait souffler bien fort là-dedans… et si… et si… j’hésitais, j’aurais dû refermer cette porte et m’en aller, mais ce bruit…

 

Et comme un con, au lieu de retourner dans ma classe pour bosser, je me suis avancé vers le cabinet où Bruno s’était enfermé et j’ai tendu l’oreille. Franchement, il n’y avait plus aucun doute possible. À s’en fier au bruit régulier et si caractéristique que j’entendais parfaitement, ce "salopard" était en train de se masturber ! Dans un premier temps, j’ai failli déguerpir au plus vite, c’était une situation des plus scabreuses et mon premier réflexe était la fuite, mais quelque chose me retenait. J’étais incapable de rebrousser chemin. Comme s’il fallait que je voie ça… que je sois sûr… Comme si la sale gamine qui sommeille en moi avait une irrésistible envie de faire une connerie. Le mauvais réflexe, quoi…

 

Sans faire de bruit, je me suis avancé, j’ai délicatement ouvert le cabinet d’à côté et je m’y suis enfermé. Je sentais l’adrénaline envahir tout mon corps, je devais être rouge comme un coquelicot pivoine. En raison de son handicap, du fait qu'on est dans une école et que je risque une sanction professionnelle, j’avais clairement conscience de faire quelque chose de mal, mais entendre ce mec se tirer sur la nouille aussi sauvagement avait clairement fait germer en moi un grain de folie sexuel.

 

Je ne vous apprendrai rien si je vous dis que,  les cloisons qui séparent les cabinets  de la plupart des lieux publics ne sont ni épaisses, ni hautes. Il n’était donc pas difficile de jeter un œil. En silence, je suis monté sur la cuvette, j’ai plaqué mes mains contre la cloison et je me suis hissé vers le haut. Vraiment très, très, doucement… mais, vu le bruit qu’il faisait et l'attention qu'il y mettait, il ne pouvait pas m'entendre. Je l’entendais grogner et il semblait accélérer son action.

 

Une fois perché, au moment où mon regard a réussi à capter la scène qui se déroulait juste à côté et en desssous, j’ai cru que j’allais hurler de surprise. Cette espèce de brute (oh pardon ! ) était en train de branler un sexe d’une taille absolument hallucinante ! Scotché le Loïc… Jamais je n’avais imaginé qu’une bite pareille puisse exister. Il avait la tête penchée en avant et il s’astiquait le manche frénétiquement avec sa main droite. Moi, je fixais la scène comme hypnotisé par le spectacle offert. Je n’avais jamais vu ça…

Il a fini par s’appuyer d’une main contre le mur du fond pour s’accroupir et se pencher sur la cuvette et je l’ai vu envoyer une purée phénoménale en plusieurs jets longs et puissants. Le "salopard" venait de se vider les couilles en râlant sous mes yeux et moi, aussitôt, je me suis laissé descendre à l’intérieur de mon cabinet avant qu’il ne relève la tête. Il n’était pas question de me faire repérer !

 

La vision incroyable… j’étais choqué. Sonné.

 

J’ai attendu qu’il s’en aille. Je l’ai entendu se rajuster, tirer la chasse, ouvrir la porte et sortir des toilettes en traînant un peu des pieds. Moi, totalement hébété par ce à quoi je venais d’assister, je me suis assis sur la cuvette. C’était donc ça qu’il venait faire systématiquement… il allait se branler dans les chiottes de l’école… le mystère était éclairci, mais mon esprit était plus embrouillé que jamais. Comment une telle pine pouvait-elle exister ? C’était cette idée, cette vision qui m’obsédait maintenant. Et aussi cette nécessité de se branler en permanence.

 

J’étais incapable de sortir des toilettes. J’avais aussi un peu peur de tomber sur Bruno dans le couloir. Toujours assis sur ma cuvette, je dois confesser que, presque machinalement, j’ai dézippé mon pantalon, j’ai fait glisser une main vers ma queue… elle était complètement détrempée, j’avais mouillé comme un fou en quelques minutes à peine. J’ai commencé à me frotter un peu à travers le tissu… j’étais super excité… la vision de cette queue de cheval… ce "salopard" qui envoie une tonne de foutre comme une vraie bête… et voilà que, moi aussi, j’étais en train de me branler dans les chiottes de l’école comme le premier adolescent venu… cette énorme queue de cheval… je me tripatouillais de plus en plus dans le boxer. Honnêtement, je crois qu’à ce moment-là, je me serais fait baiser par un singe… et j’ai fini par jouir tout seul sans bruit, comme un débile, crispé sur la cuvette, les yeux exorbités et la bouche grande ouverte.

 

Voilà, j’avais vu ce que je voulais voir, et même plus. Et je me retrouvais comme un con en train d’essuyer mes mains poissées à du papier toilette, envahi par un sentiment de culpabilité très puissant.

 

Je suis retourné dans ma classe, je n'ai pu empêcher que le travail de l'après-midi soit perturbé. Je n’ai pas eu ma tête à moi cet après-midi-là. Vous imaginez pourquoi. J’avais en permanence la vision de cette bite effroyable qui me claquait le cerveau. Je ne pensais plus qu’à ça…

Bruno avait repris ses activités dans la cour et les escaliers. Quand il a été l'heure, j’ai bouclé mon sac vite fait et j’ai tapé au carreau. Il a levé sa tête innocente. Je lui ai montré ma montre pour lui indiquer que c’en était fini pour aujourd’hui. Il m’a regardé bêtement et moi je pensais : « mon salopard, quelle queue tu as ! » Il est parti ranger son matériel de nettoyage. Discipliné. C'est une bonne marque.

 

Nous sommes sortis ensemble de l’établissement, je lui ai dit au revoir sans oser le regarder dans les yeux, il m’a dit « Au revoir, Monsieur ». Poli, le garçon… J’ai fermé le portail et je suis rentré chez moi totalement bouleversé.

 

     Le soir, j’avais en tête "l’odieuse" image du chibre de mon Bruno qui crachait ses tonnes de foutre dans la cuvette des chiottes… la honte, je vous dis…et je me suis de nouveau branlé dans mon lit cette fois

 

Cet épisode incroyable m’avait mis le cerveau complètement à l’envers.

 

    Je n’avais plus qu’une obsession en tête : cette queue phénoménale que j’avais eu le bonheur, et le malheur, de voir en pleine action. Mieux qu’un film…

 

    Fatalement, les jours suivants j’hésitais à rester dans ma classe après les cours. J’avais très envie de fuir les lieux le plus vite possible pour fuir du même coup cette situation embarrassante car je savais pertinemment que j’aurais beaucoup de mal à résister à l’envie de retourner voir mon Bruno cracher dans son bassinet à son heure régulière… mais comment justifier ce soudain changement d’habitude auprès de mes collègues ? Il était convenu depuis longtemps que c’était moi qui restais à la fin de la journée pour que le nettoyage soit fait et pour fermer l’école ensuite… j’étais bien emmerdé. Et en même temps assez excité, il faut être honnête.

 

Dès le lendemain quand j’ai vu mon Bruno arriver dans la cour le manège classique a commencé. Une petite demi-heure molle de balayage… moi, j’étais incapable de me concentrer, je passais mon temps à le surveiller du coin de l’œil par les vitres, et je sentais monter en moi, l’inquiétude en même temps -lol- qu’une immense excitation. À dire vrai, j’ai même senti que je commençais à mouiller ma culotte dès qu’il est arrivé. Je me trémoussais doucement sur ma chaise, j’avais très, très, envie de me couler une main dans le slip, dans l'anus...

 

Et puis il pose son balai… il se dirige vers le bâtiment… putain, quel porc, mais quel porc ! Je savais ce qu’il était parti faire. Je savais exactement ce qui allait sortir de sa combinaison et je savais que j’avais énormément envie de revoir ça, non pas pour le surprendre mais pour le regader. L’horreur… le gros, gros, dilemme.

 

Alors, en me maudissant moi-même,  à la pause de midi, je suis sorti de ma salle de classe. Personne dans le couloir. J’ai avancé doucement. Je savais où j’allais. Arrivé devant la porte des toilettes, j’ai encore attendu un peu, comme pour me donner une dernière chance de changer d’avis, et puis… j’ai ouvert en silence. Le souffle coupé. Et j’ai entendu le même rituel dans le cabinet. La respiration forte, le bruit de frottement et de clapotis régulier… Et comme la fois précédente, je me suis faufilé dans le cabinet d’à côté. Sans me faire repérer. Et j'ai grimpé, et j’ai vu exactement la même chose… mon bon gros Bruno en train de se frictionner sa monstrueuse pine au-dessus de la cuvette des chiottes.

 

Mais cette fois-ci, à la différence de la journée précédente, je n’ai pas été capable d’attendre qu’il ait terminé son affaire pour me glisser une main dans la braguette… faut dire que ça faisait plus d’une demi-heure que je chauffais du slip comme un dingue et je n’en pouvais plus. J’ai commencé à me branler immédiatement… c’était une situation atroce. J’étais vraiment halluciné par ce spectacle irréel, j’éprouvais l’envie presque irrésistible de poser les mains sur cette chose, mais c’était tout simplement impossible ! Interdit ! Je vous raconte pas la frustration…

 

C’est exactement à ce moment-là que la situation a définitivement basculé. J’ai dû faire du bruit… ou il a senti ma présence… Il a soudain levé la tête et il m’a vu en train de l’observer. Il s’est figé. Ses gros yeux globuleux et surexcités me fixaient. Sa lèvre inférieure luisait de salive et pendait encore plus que d’habitude tant il avait besoin d’ouvrir la bouche pour respirer. Une vraie bête apeurée… On est restés comme ça, à se regarder pendant de longues secondes, aussi pétrifiés l’un que l’autre.

 

Il fallait-il aurait fallu- absolument faire quelque chose. Ne pas perdre la face. Dans mon cerveau se heurtaient plusieurs idées totalement contradictoires. D’un côté, il fallait prendre le dessus, faire stopper cette activité dégradante le plus rapidement possible et, surtout, faire en sorte de ne m’attirer aucun problème. En effet, les ennuis potentiels, professionnels comme personnels, que cette situation pouvait me valoir étaient tout de même des plus sérieux, je ne vous fais pas un dessin…

 

D’un autre côté, j’avais affaire à une personne plus que limitée sur le plan de l’expression et de la comprenette, donc assez faible finalement et, à ma grande honte, je dois avouer que j’ai tout de suite pensé qu’il n’y avait peut-être pas tant de risques que ça à aller un peu plus loin… à le manipuler un peu… à en profiter… au point où j’en étais…

 

Au pire, ç’aurait été sa parole contre la mienne… et puis merde… cette queue quand même… c’était pas tous les jours, dans la vie d’un homme, attiré par les hommes qui plus est, qu’on tombait sur un truc pareil… sans compter que j’avais passé une nuit complète à ne penser qu’à ça ou presque. J’avais tellement envie de la toucher…

 

Sans vouloir me trouver d’excuse, on peut dire que je n’étais plus dans mon état normal. Je suis redescendu de la cuvette. Je suis resté comme tétanisé debout dans ce chiotte pendant quelques secondes. À côté, il ne bougeait pas non plus… j’hésitais…

 

Il fallait bien que je fasse quelque chose. Je suis sorti. Et j’ai frappé doucement à sa porte. J’ai commencé par le rassurer en lui disant qu’il n’avait rien fait de mal… tu parles… Je lui ai demandé d’ouvrir sa porte. Je n’en revenais pas de tant d’audace de ma part. J’avais un peu repris mes esprits et, maintenant, une idée fixe… l’amadouer… qu’il se laisse faire.

 

Il a ouvert sa porte doucement. Il était là, debout devant moi, avec son braquemart géant encore raide qui pointait dans ma direction, et il ne savait ni quoi dire ni quoi faire. La situation était hyper sordide mais j’étais trop excité. Jamais de toute ma vie je ne m’étais senti aussi excité qu’à ce moment-là. Je me suis glissé dans le cabinet. J’ai refermé la porte et je lui ai parlé doucement. J’étais incapable de détacher mon regard de son chibre. Je lui ai dit que j’avais entendu du bruit, que c’est pour ça que j’avais regardé, ou une excuse du genre, et puis que c’était très intéressant ce qu’il faisait là… vraiment n’importe quoi… je ne savais plus ce que je disais.

 

Lui, il baissait les yeux et il reniflait, il semblait peu rassuré, pris en faute. Et moi, j’étais totalement obnubilé par une seule chose, je voulais m’emparer de son truc, le peser, le tâter, le branler… je me voyais déjà en train de faire sortir cet énorme gland de son prépuce… de prendre sa queue hors norme dans mes mains…

 

Je me suis faufilé pour m’asseoir sur la cuvette. Je lui ai dit que j’allais lui montrer « quelque chose »… je lui ai dit de se laisser faire… Autant dire que j’avais à cet instant totalement perdu conscience du temps, du lieu où je me trouvais, et quasiment du reste du monde. Mon obsession permanente était là, juste sous mes yeux, à quelques centimètres de mes mains…

 

Comme il ne disait toujours rien, j’ai avancé mes mains vers la chose et, enfin, j’ai pu commencer à la toucher, à la malaxer, à la branler. C’était une sensation incroyable. Certes, j’aime la bite, et je le savais déjà, mais là… un truc aussi énorme, aussi raide… et cette odeur… Je me suis penchée en avant, j’ai approché mon visage de sa queue. Il avait l’air décidé à se laisser faire. J’ai passé plusieurs fois le monumental gland visqueux et prêt à exploser sur mes lèvres et sous mon nez. Je l’ai senti frissonner sur ses jambes. Je me régalais vraiment de cette odeur. Il sentait déjà le sperme, c’était très, très, fort. Combien de fois par jour cet animal pouvait-il se branler pour que sa pine sente si fort ?

 

Comme une  folle furieuse affamée, j’ai alors commencé à le sucer, à enfoncer son gland dans ma bouche, j’ai essayé d’en faire entrer le plus possible, un vrai malade ! Mais comment faire ? Il y en avait trop. J’ai senti qu’il durcissait encore, il avait l’air de particulièrement aimer ça et j’ai alors réalisé que c’était très probablement la première fois de sa vie qu’il se faisait sucer. Sauf si, dans son institution, une infirmière particulièrement curieuse… enfin…

 

Je me l’enfonçais bien dans ma gueule grande ouverte, en le branlant vigoureusement d’une main tandis que, de l’autre, je palpais son lourd paquet de couilles. Quelle masse de bite et de couilles j’avais là ! On aurait pu être plusieurs à se goinfrer là-dessus tellement c’était énorme. J’avais très envie de m’envoyer une énorme décharge de foutre au fond de la glotte, j’étais prêt à me goinfrer… il n’y avait plus que ça qui comptait… lui faire cracher sa purée…

 

Je sentais que j’avais complètement lâché les vannes dans mon slip … ça devait être joli joli à voir là-dedans… je ne vous raconte pas l’incroyable envie que j’avais de me faire fourrer… je me serais bien retourné aussitôt pour me carrer ce chibre de dingue le plus profond possible, mais je suçais, je suçais, je me régalais. Je sentais qu’il n’allait pas tenir bien longtemps et je me préparais plutôt à me gaver d’une bonne ration de sperme… il s’est remis à grogner: "ouaish, ouaish, ouaish..."… Je l’ai senti se tendre encore plus. Dans ma main qui lui palpait les couilles, j’ai senti les deux grosses boules s’agiter… il était sur le point de tout me défourailler dans la bouche. Ce con m’a agrippé la tête à deux mains et il s’est mis à littéralement me baiser la gueule comme un dément… j’ai presque eu peur mais je me suis laissé faire…

 

Vous avez sûrement vu cette image atroce quand on gave une volaille… eh bien imaginez-la encore et vous aurez une idée assez juste de ce à quoi je ressemblais à ce moment-là… sauf que c’était pas du maïs que j’avalais… J’ai senti un liquide lourd et chaud me remplir la gorge. Au moins quatre ou cinq fantastiques giclées… vraiment la maxi dose… J’avais les yeux qui me sortaient de la tête, c’était assez violent comme situation, mais je ne pouvais tout simplement plus m’arrêter de tout gober… Sur le coup, évidemment, je n’y ai pas pensé, mais vu le bruit que ça faisait, j’ai eu une sacrée chance que personne n’entre dans les toilettes… on avait atteint le sommet du glauque.

 

Du sperme m’était sorti de la bouche (impossible d’avaler tout ça). J’en avais sur les joues, ça me coulait sur le menton, c’était assez ignoble. Pendant que je finissais mon festin, Bruno me regardait bien hébété en soufflant rauque… il n’en revenait pas non plus… toujours aucun mot n’était sorti de sa bouche et c’était bien mieux comme ça.

 

Moi, je n’avais plus qu’une idée en tête : me débarrasser de lui le plus vite possible. Je lui ai dit que c’était très bien, très bon, je ne sais plus ce que j’ai pu balancer comme connerie à cet instant-là. Je lui ai surtout dit que c’était un secret, qu’il ne devait jamais en parler à personne, jamais ! Je lui ai demandé s’il comprenait. Il m’a fait oui de la tête… il semblait avoir compris. Moi, j’avais déjà pris conscience de l’incroyable boulette que je venais de faire, de la situation intenable dans laquelle je venais de me plonger et je tentais le maximum pour me rassurer. Comme si je pouvais faire confiance à un type comme Bruno… quelle garantie pouvais-je espérer ? Il pouvait bien accepter n’importe quoi, puis faire … n’importe quoi 

 

J’ai aussi dû lui dire que s’il avait aimé ça, s’il voulait qu’on le refasse un jour, il ne fallait vraiment jamais en parler à personne. J’essayais de le convaincre, de lui faire comprendre. Il a encore fait oui de la tête… il a eu l’air de comprendre. Je lui ai dit qu’il devait s’en aller et il est parti aussitôt. Je suis passé au lavabo pour me débarbouiller un peu. J’avais l’esprit très perturbé et je n’étais pas loin de pleurer tellement j’étais à la fois excité et affolé de ce que je venais de faire. Je suis passé dans ma classe, j’ai récupéré mes affaires et, avec Bruno, nous avons quitté l’école en fermant le portail.  Pour me donner une raison d'être avec lui en public, je l'ai ramené à son centre en voiture. Cette fois-ci je l’ai regardé et j’ai lourdement insisté en lui répétant que c’était un secret, notre secret, qu’il ne devait surtout jamais rien dire à personne. 

Il m’a dit « Oui, Monsieur… » Je suis rentré chez moi encore plus bouleversé que le jour précédent, envahi par un sentiment de culpabilité atroce.

A l’école avec un demi débile… ça serait vraiment trop dur à avaler pour les autorités, et, quelque part, je le comprends. Je suis obligé de me garder ça pour moi mais l’année scolaire va être longue… Là, ce sont les vacances, donc je peux évacuer un peu, mais je frémis à l’idée de la rentrée. Je ne sais vraiment plus quoi faire.

 

Vous me direz que si ça me pose un si gros problème, je n’ai qu’à laisser Bruno faire ce qu’il a à faire, quitte à le laisser aller se branler comme d’habitude et ne pas m’en occuper. Mais je me connais… je sais à quel point il m’est difficile de résister à l’envie d’aller pousser cette satanée porte. Je sais à quel point ça va être compliqué de rester dans ma classe et faire comme s’il ne se passait rien. L’école est vide à cette heure-là… la tentation est trop grande. D’autant que l’autre jour, j’ai vraiment eu très envie d’en faire plus, très envie de me faire baiser copieusement par son gros truc. Ça doit être énorme… et j’y pense tout le temps.

 

C’est une étape supplémentaire que je ne dois absolument pas franchir et pourtant… je me doute que si je prends l’habitude d’aller le rejoindre dans les chiottes, ça va forcément finir comme ça. J’aurai trop envie d’essayer. Et je le ferai. Je suis vraiment dans une situation plus qu’embarrassante, à beaucoup d’égards, et je n’ai pour l’instant aucune idée de ce qui va se passer maintenant. Avoir pu le raconter m’aide à faire le point sur les choses, mais à l’heure où j’écris ces lignes, je suis aussi inquiet que honteux.

En y pensant, il n'y a qu'un seul endroit, bien privé, où on pourrait se donner du plaisir bonheur : c'est chez-moi, au plus profond de mon  lit. Oui, j'y pense. 


Encore quelques jours d'observation de Bruno et, jouant les bons samaritains, j'ai proposé à Bruno et à son moniteur puis à son directeur de centre de l'héberger chez-moi...j'espère que personne ne se doutera de rien...C'est tellement mieux pour lui...BOF si quelqu'un se doute ? et après  ??? Si, lui et moi, sommes heureux  ? n'est-ce pas l'essentiel ?    

 

 

Par CAVAILLONGAYADAPT - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 15 mai 2 15 /05 /Mai 07:02

Cinq heures du mat', j'ai des frissons/Je claque des dents et je monte le son/Seul sur le lit/Dans mes draps bleus froissés
C'est l'insomnie/Sommeil cassé/Je perds la tête/Et mes cigarettes/Sont toutes fumées/Dans l' cendrier/C'est plein d' Kleenex et d' bouteilles vides/J' suis tout seul, tout seul, tout seul/ (chagrin d'amour)

 

Une heure du mat et le sommeil vient pas. J'ai la teub qui me démange et rien à me mettre sous la dent. Pas question d'aller draguer dans les rues chaudes de Paname, il fait zéro degré dehors et j'ai pas envie de me geler les couilles pour rien. Je passe un coup de fil à mon pote Momo pour qu'il me lâche sa caisse histoire d'aller roder un peu en restant au chaud dans la caisse. Trankil mon pote, j'ai juste à descendre les deux étages qui nous sépare et je me retrouve avec les clés de sa merco dans la main… en route pour l'aventure !
Il neige dehors et le vent pousse les flocons comme dans un doc sur le pole Nord. C'est pas gagné pour trouver un keum par un froid pareil. N'empêche que je voudrais bien pouvoir me faire sucer l'eskimo !
Je trace sur le périph et j'arrive au nord de Paris. Les maréchaux sont blidés de tepus qui se gèlent en attendant leurs clients. Des blacks vers Porte de Bagnolet, des meufs de l'est vers porte de Charenton, en un tour de périph t'as fait le tour du monde du cul !
C'est là que j'ai vu un p'tit lascar en train de se geler le cul en marchant le long du boulevard. Arrêté au feu rouge, je le mate droit dans les yeux. Une petite balle ce rebeu : une vingtaine d'années, survête/skets de rigueur pour les lascars en chasse et une bonne bouche bien ourlée qui me met le barreau direct. Je lui fais signe de monter et il arrive direct.
On tchatche mine de rien et Mourad m'explique qu'il voulait se taper une tepu mais qu'avec 10 euros en poche y'a pas eu moyen. C'est la galère et je lui réplique vite fait qu'on peut toujours se dépanner entre zincous. Vu le sourire qu'il me lâche, je sens que je vais pas regretter mon petit tour en bagnole. Je trace en dehors de Paname et je vais poser la caisse sur un parking désert mal éclairé dans le début du 93.
On fume tranquille dans la caisse et Mourad me raconte les histoires de taspés qu'il s'est tapé avec des potes. Il me chauffe bien avec ses souvenirs et il se vante d'être un roi de la baise avec une teub hors du commun : le Rocco Sifredi du 93 !
- “Vas y Mourad, tu charies. Tu serais pas un peu mytho, toi !
- Tu me crois pas, vas y mate”
Et le keum baisse son bène direct pour me coller sous les yeux sa teub bien raide. Elle est pas mal mais on est loin des mensurations de la star du X hétéro. Je charie Mourad qui m'explique que c'est à cause du froid qu'elle fait pas plus de 19cm. Il me balance un peu vénère de mon speed sur sa face :
-“Fais le caïd, toi, t'as mieux a proposé ?
- Bien sûr que j'ai mieux ! On parie ?
- On parie quoi man ?
- T'es joueur , toi. Je te propose un "qui perd suce” ok ?
Après quelques secondes d'hésitation ou ses yeux cherchent à deviner la taille de mon zeub sous le survête, il me fais signe qu'il est ok. Je déballe tranquillement le matos et ma teub jaillit au dessus de l'élastique. Je bande à moitié et on est pour l'instant exaequo.
On se matte avec nos teubs à l'air dans la caisse et ça bande de plus en plus dur. Devine qui va gagner ? Bien en érection, on approche nos teubs l'une de l'autre et je dépasse Mourad de deux centimètres.
-“Perdu man, fallait pas jouer avec oim, au boulot maintenant !”
Le zincou est beau joueur et il se penche vers mon zeub bien raide. Sa langue chaude vient titiller mon gland circoncis et il aspire ma teub comme une vraie petite salope. Je sais pas s'il a niqué beaucoup de meufs avec ses potes de téci, mais vu la façon dont il s'y prend, il a du en pomper u paquet dans les caves de sa cité.
Il se branle en même temps et pousse des petits gémissements quand je commence à donner des petits coups de reins pour bien lui défoncer la bouche. Il malaxe mes boules avec sa main libre et la caisse résonne des bruits de suscion de la sucette d'enfer qu'il est en train de me faire. Il arrive à avaler toute ma teub et je sens son menton mal rasé qui vient taper sur mes boules.
Comme je suis pas un chien, je chope sa teub dans ma main et je le branle pendant qu'il me suce. Sa teub est chaude et son gland mouille déjà. Je suis tellement och qu'après à peine cinq minutes de pompage intensif, je sens que mes boules sont en ébullition. J'ai à peine le temps de retirer mon zeub de sa bouche qu'il crache son jus sur le tableau bord et sur ma main. Vas y il va ruiner la caisse de mon pote cet amar ! Je lui chope la tête pour la mettre au niveau de ma teub et je lui arrose le coup de sperme en râlant comme un fauve. Après ça on s'essuie vite fait et on balance nos mouchoirs en papier sur le parking. Tous les deux dans la nuit froide, on ressort nos teubs molles et poisseuses pour pisser ensemble sous la pleine lune. Alors, elle est pas belle la vie après une bonne sucette dans la caisse !

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Par ABDER - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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