Partager l'article ! BRUNO, débile léger DE LA TETE mais pas faible du bas pose un hénaurhme problème à Loïc .: Ceci n’est pas u ...
Ceci n’est pas une histoire que j’ai inventée. Tous les faits que je vais révéler ici se sont réellement déroulés, exactement, ou à peu de choses près, comme je vous les raconte. Il ne s’agit donc aucunement d’un fantasme (des fantasmes, comme tout le monde ou presque, j’en ai, mais je n’avais pas celui-ci, je peux vous le garantir…). Ce que vous allez lire est la réalité et c’est bien pourquoi cette histoire, mon histoire, constitue un sérieux problème avec lequel je suis obligé de composer aujourd’hui. À mon grand désarroi…
Je m’appelle Loïc. J’ai 23 ans et je suis instituteur dans une école de village. Je suis très heureux dans mon travail et je ne regrette pas mon choix. Tout se passe très bien à l’école et mes collègues sont sympas. Mais ma vie vient de basculer dans une situation devenue totalement incontrôlable. Je vous explique…
Depuis quelques années, notre école s’est mise d’accord avec la mairie de notre ville pour tenter d’intégrer des personnes atteintes de handicaps légers. Donc, tous les jours de la semaine, un des pensionnaires d’un CAT (centre d'aide par le travail), institution locale d'encadrement et d'aide de handicapés, vient quelques heures à l’école afin d’y réaliser des travaux d'ntretien et de nettoyage. Rien de bien compliqué, évidemment… il s’agit de passer le balai dans la cour, de vider les poubelles ou de nettoyer des vitres, ce genre de choses. Et tout s’est toujours très bien passé. Jusqu’à cet hiver…
On nous a envoyé un dénommé Bruno, âgé de 25 ans. Il a l’air très calme, très doux. Pourtant, physiquement, c’est un genre de colosse. Une vraie montagne. Il n’est pas question, pour ma part, d’être méchant, entendons-nous bien, mais on ne peut pas dire que son regard respire l’intelligence… et pour cause, je vous ai expliqué d’où il vient. J’ai noté qu’il a toujours la bouche un peu entrouverte et il se déplace toujours très lentement. Comme un vieux avant l'âge.
Avec les collègues, pour déconner, on l’appelle « sexy-boy »… C’est pas super sympa, mais on est tous très gentils avec lui. Vers 11h 30, les cours s'interrompent et j’ai l’habitude de rester travailler dans ma classe entre midi et deux. Comme tout le monde quitte l’établissement à ce moment-là, je ne suis pas emmerdé et je peux en profiter pour faire des préparations. C’est un système efficace qui me soulage pour mes sorties et mes soirées.
De ma classe, j’ai pris l’habitude d’observer Bruno dans la cour. Je le regarde balayer quelques feuilles mollement ou vider les poubelles. Et j’ai fini par remarquer un curieux manège… Dès les premières fois, j’ai constaté qu’il travaillait pendant environ une demi-heure et qu’il finissait systématiquement par poser son balai contre un mur du préau avant de se diriger à l’intérieur du bâtiment. Il se passe à peu près un quart d’heure avant que je ne voie mon gars Bruno revenir prendre son balai et se remettre au boulot, avec toujours aussi peu d’entrain.
Au début, je n’y ai pas prêté plus d’attention que ça. Et puis, au bout d’un mois environ, cette affaire m’a intrigué. J’ai commencé à me demander ce qu’il pouvait bien aller fouiner comme ça… qu’est-ce qu’il pouvait aller fabriquer à l’intérieur du bâtiment ? Alors, un jour, quand j’ai vu mon Bruno poser son balai, à mon tour, je me suis décidé à aller voir ce qu’il faisait… ce jour-là, je crois que j’aurais mieux fait de m’abstenir.
Je suis sorti de ma salle de classe. Le couloir était vide. Visiblement, tout le monde était parti manger. Je me suis dirigé vers la bibliothèque. Au bout du couloir il faut tourner à gauche. Si je tombais sur Bruno dans le couloir, je pouvais faire semblant d’aller chercher un bouquin. Arrivé au bout du couloir, rien. Personne. Au bout de ce second couloir, c’est la sortie vers le préau… c’était bizarre. Où avait-il bien pu se fourrer ?
Je m’approche de la porte de la bibliothèque. Fermée à clé. Et toujours aucun bruit. Entre la bibliothèque et la sortie vers le préau, il ne restait plus qu’un endroit. Les toilettes… J’avance doucement vers la porte des toilettes, je patiente devant quelques secondes… J’avais un peu honte de le surveiller comme ça, comme une voleuse, mais il fallait que j’en aie le cœur net.
Aucun bruit ne filtrait à travers la porte. Je l’ai ouverte tout doucement… Vide… J’étais vraiment gêné de venir vérifier ce qu’il pouvait bien faire, surtout en entrant dans les toilettes comme ça. Un peu inquiet et le souffle court, j’ai encore attendu quelques secondes à l’entrée des toilettes et puis tout d’un coup, j’ai entendu du bruit dans un des cabinets…
Visiblement, mon Bruno, réglé comme une horloge, avait ses petites habitudes, tout simplement. C’était donc aussi bête que ça. Je me suis senti idiot de m’être livré à tant de curiosité mal placée. J’allai refermer la porte et le laisser faire ce qu’il avait à faire quand une curiosité encore plus mal placée m’a arrêté… il semblait souffler bien fort là-dedans… et si… et si… j’hésitais, j’aurais dû refermer cette porte et m’en aller, mais ce bruit…
Et comme un con, au lieu de retourner dans ma classe pour bosser, je me suis avancé vers le cabinet où Bruno s’était enfermé et j’ai tendu l’oreille. Franchement, il n’y avait plus aucun doute possible. À s’en fier au bruit régulier et si caractéristique que j’entendais parfaitement, ce "salopard" était en train de se masturber ! Dans un premier temps, j’ai failli déguerpir au plus vite, c’était une situation des plus scabreuses et mon premier réflexe était la fuite, mais quelque chose me retenait. J’étais incapable de rebrousser chemin. Comme s’il fallait que je voie ça… que je sois sûr… Comme si la sale gamine qui sommeille en moi avait une irrésistible envie de faire une connerie. Le mauvais réflexe, quoi…
Sans faire de bruit, je me suis avancé, j’ai délicatement ouvert le cabinet d’à côté et je m’y suis enfermé. Je sentais l’adrénaline envahir tout mon corps, je devais être rouge comme un coquelicot pivoine. En raison de son handicap, du fait qu'on est dans une école et que je risque une sanction professionnelle, j’avais clairement conscience de faire quelque chose de mal, mais entendre ce mec se tirer sur la nouille aussi sauvagement avait clairement fait germer en moi un grain de folie sexuel.
Je ne vous apprendrai rien si je vous dis que, les cloisons qui séparent les cabinets de la plupart des lieux publics ne sont ni épaisses, ni hautes. Il n’était donc pas difficile de jeter un œil. En silence, je suis monté sur la cuvette, j’ai plaqué mes mains contre la cloison et je me suis hissé vers le haut. Vraiment très, très, doucement… mais, vu le bruit qu’il faisait et l'attention qu'il y mettait, il ne pouvait pas m'entendre. Je l’entendais grogner et il semblait accélérer son action.
Une fois perché, au moment où mon regard a réussi à capter la scène qui se déroulait juste à côté et en desssous, j’ai cru que j’allais hurler de surprise. Cette espèce de brute (oh pardon ! ) était en train de branler un sexe d’une taille absolument hallucinante ! Scotché le Loïc… Jamais je n’avais imaginé qu’une bite pareille puisse exister. Il avait la tête penchée en avant et il s’astiquait le manche frénétiquement avec sa main droite. Moi, je fixais la scène comme hypnotisé par le spectacle offert. Je n’avais jamais vu ça…
Il a fini par s’appuyer d’une main contre le mur du fond pour s’accroupir et se pencher sur la cuvette et je l’ai vu envoyer une purée phénoménale en plusieurs jets longs et puissants. Le "salopard" venait de se vider les couilles en râlant sous mes yeux et moi, aussitôt, je me suis laissé descendre à l’intérieur de mon cabinet avant qu’il ne relève la tête. Il n’était pas question de me faire repérer !
La vision incroyable… j’étais choqué. Sonné.
J’ai attendu qu’il s’en aille. Je l’ai entendu se rajuster, tirer la chasse, ouvrir la porte et sortir des toilettes en traînant un peu des pieds. Moi, totalement hébété par ce à quoi je venais d’assister, je me suis assis sur la cuvette. C’était donc ça qu’il venait faire systématiquement… il allait se branler dans les chiottes de l’école… le mystère était éclairci, mais mon esprit était plus embrouillé que jamais. Comment une telle pine pouvait-elle exister ? C’était cette idée, cette vision qui m’obsédait maintenant. Et aussi cette nécessité de se branler en permanence.
J’étais incapable de sortir des toilettes. J’avais aussi un peu peur de tomber sur Bruno dans le couloir. Toujours assis sur ma cuvette, je dois confesser que, presque machinalement, j’ai dézippé mon pantalon, j’ai fait glisser une main vers ma queue… elle était complètement détrempée, j’avais mouillé comme un fou en quelques minutes à peine. J’ai commencé à me frotter un peu à travers le tissu… j’étais super excité… la vision de cette queue de cheval… ce "salopard" qui envoie une tonne de foutre comme une vraie bête… et voilà que, moi aussi, j’étais en train de me branler dans les chiottes de l’école comme le premier adolescent venu… cette énorme queue de cheval… je me tripatouillais de plus en plus dans le boxer. Honnêtement, je crois qu’à ce moment-là, je me serais fait baiser par un singe… et j’ai fini par jouir tout seul sans bruit, comme un débile, crispé sur la cuvette, les yeux exorbités et la bouche grande ouverte.
Voilà, j’avais vu ce que je voulais voir, et même plus. Et je me retrouvais comme un con en train d’essuyer mes mains poissées à du papier toilette, envahi par un sentiment de culpabilité très puissant.
Je suis retourné dans ma classe, je n'ai pu empêcher que le travail de l'après-midi soit perturbé. Je n’ai pas eu ma tête à moi cet après-midi-là. Vous imaginez pourquoi. J’avais en permanence la vision de cette bite effroyable qui me claquait le cerveau. Je ne pensais plus qu’à ça…
Bruno avait repris ses activités dans la cour et les escaliers. Quand il a été l'heure, j’ai bouclé mon sac vite fait et j’ai tapé au carreau. Il a levé sa tête innocente. Je lui ai montré ma montre pour lui indiquer que c’en était fini pour aujourd’hui. Il m’a regardé bêtement et moi je pensais : « mon salopard, quelle queue tu as ! » Il est parti ranger son matériel de nettoyage. Discipliné. C'est une bonne marque.
Nous sommes sortis ensemble de l’établissement, je lui ai dit au revoir sans oser le regarder dans les yeux, il m’a dit « Au revoir, Monsieur ». Poli, le garçon… J’ai fermé le portail et je suis rentré chez moi totalement bouleversé.
Le soir, j’avais en tête "l’odieuse" image du chibre de mon Bruno qui crachait ses tonnes de foutre dans la cuvette des chiottes… la honte, je vous dis…et je me suis de nouveau branlé dans mon lit cette fois
Cet épisode incroyable m’avait mis le cerveau complètement à l’envers.
Je n’avais plus qu’une obsession en tête : cette queue phénoménale que j’avais eu le bonheur, et le malheur, de voir en pleine action. Mieux qu’un film…
Fatalement, les jours suivants j’hésitais à rester dans ma classe après les cours. J’avais très envie de fuir les lieux le plus vite possible pour fuir du même coup cette situation embarrassante car je savais pertinemment que j’aurais beaucoup de mal à résister à l’envie de retourner voir mon Bruno cracher dans son bassinet à son heure régulière… mais comment justifier ce soudain changement d’habitude auprès de mes collègues ? Il était convenu depuis longtemps que c’était moi qui restais à la fin de la journée pour que le nettoyage soit fait et pour fermer l’école ensuite… j’étais bien emmerdé. Et en même temps assez excité, il faut être honnête.
Dès le lendemain quand j’ai vu mon Bruno arriver dans la cour le manège classique a commencé. Une petite demi-heure molle de balayage… moi, j’étais incapable de me concentrer, je passais mon temps à le surveiller du coin de l’œil par les vitres, et je sentais monter en moi, l’inquiétude en même temps -lol- qu’une immense excitation. À dire vrai, j’ai même senti que je commençais à mouiller ma culotte dès qu’il est arrivé. Je me trémoussais doucement sur ma chaise, j’avais très, très, envie de me couler une main dans le slip, dans l'anus...
Et puis il pose son balai… il se dirige vers le bâtiment… putain, quel porc, mais quel porc ! Je savais ce qu’il était parti faire. Je savais exactement ce qui allait sortir de sa combinaison et je savais que j’avais énormément envie de revoir ça, non pas pour le surprendre mais pour le regader. L’horreur… le gros, gros, dilemme.
Alors, en me maudissant moi-même, à la pause de midi, je suis sorti de ma salle de classe. Personne dans le couloir. J’ai avancé doucement. Je savais où j’allais. Arrivé devant la porte des toilettes, j’ai encore attendu un peu, comme pour me donner une dernière chance de changer d’avis, et puis… j’ai ouvert en silence. Le souffle coupé. Et j’ai entendu le même rituel dans le cabinet. La respiration forte, le bruit de frottement et de clapotis régulier… Et comme la fois précédente, je me suis faufilé dans le cabinet d’à côté. Sans me faire repérer. Et j'ai grimpé, et j’ai vu exactement la même chose… mon bon gros Bruno en train de se frictionner sa monstrueuse pine au-dessus de la cuvette des chiottes.
Mais cette fois-ci, à la différence de la journée précédente, je n’ai pas été capable d’attendre qu’il ait terminé son affaire pour me glisser une main dans la braguette… faut dire que ça faisait plus d’une demi-heure que je chauffais du slip comme un dingue et je n’en pouvais plus. J’ai commencé à me branler immédiatement… c’était une situation atroce. J’étais vraiment halluciné par ce spectacle irréel, j’éprouvais l’envie presque irrésistible de poser les mains sur cette chose, mais c’était tout simplement impossible ! Interdit ! Je vous raconte pas la frustration…
C’est exactement à ce moment-là que la situation a définitivement basculé. J’ai dû faire du bruit… ou il a senti ma présence… Il a soudain levé la tête et il m’a vu en train de l’observer. Il s’est figé. Ses gros yeux globuleux et surexcités me fixaient. Sa lèvre inférieure luisait de salive et pendait encore plus que d’habitude tant il avait besoin d’ouvrir la bouche pour respirer. Une vraie bête apeurée… On est restés comme ça, à se regarder pendant de longues secondes, aussi pétrifiés l’un que l’autre.
Il fallait-il aurait fallu- absolument faire quelque chose. Ne pas perdre la face. Dans mon cerveau se heurtaient plusieurs idées totalement contradictoires. D’un côté, il fallait prendre le dessus, faire stopper cette activité dégradante le plus rapidement possible et, surtout, faire en sorte de ne m’attirer aucun problème. En effet, les ennuis potentiels, professionnels comme personnels, que cette situation pouvait me valoir étaient tout de même des plus sérieux, je ne vous fais pas un dessin…
D’un autre côté, j’avais affaire à une personne plus que limitée sur le plan de l’expression et de la comprenette, donc assez faible finalement et, à ma grande honte, je dois avouer que j’ai tout de suite pensé qu’il n’y avait peut-être pas tant de risques que ça à aller un peu plus loin… à le manipuler un peu… à en profiter… au point où j’en étais…
Au pire, ç’aurait été sa parole contre la mienne… et puis merde… cette queue quand même… c’était pas tous les jours, dans la vie d’un homme, attiré par les hommes qui plus est, qu’on tombait sur un truc pareil… sans compter que j’avais passé une nuit complète à ne penser qu’à ça ou presque. J’avais tellement envie de la toucher…
Sans vouloir me trouver d’excuse, on peut dire que je n’étais plus dans mon état normal. Je suis redescendu de la cuvette. Je suis resté comme tétanisé debout dans ce chiotte pendant quelques secondes. À côté, il ne bougeait pas non plus… j’hésitais…
Il fallait bien que je fasse quelque chose. Je suis sorti. Et j’ai frappé doucement à sa porte. J’ai commencé par le rassurer en lui disant qu’il n’avait rien fait de mal… tu parles… Je lui ai demandé d’ouvrir sa porte. Je n’en revenais pas de tant d’audace de ma part. J’avais un peu repris mes esprits et, maintenant, une idée fixe… l’amadouer… qu’il se laisse faire.
Il a ouvert sa porte doucement. Il était là, debout devant moi, avec son braquemart géant encore raide qui pointait dans ma direction, et il ne savait ni quoi dire ni quoi faire. La situation était hyper sordide mais j’étais trop excité. Jamais de toute ma vie je ne m’étais senti aussi excité qu’à ce moment-là. Je me suis glissé dans le cabinet. J’ai refermé la porte et je lui ai parlé doucement. J’étais incapable de détacher mon regard de son chibre. Je lui ai dit que j’avais entendu du bruit, que c’est pour ça que j’avais regardé, ou une excuse du genre, et puis que c’était très intéressant ce qu’il faisait là… vraiment n’importe quoi… je ne savais plus ce que je disais.
Lui, il baissait les yeux et il reniflait, il semblait peu rassuré, pris en faute. Et moi, j’étais totalement obnubilé par une seule chose, je voulais m’emparer de son truc, le peser, le tâter, le branler… je me voyais déjà en train de faire sortir cet énorme gland de son prépuce… de prendre sa queue hors norme dans mes mains…
Je me suis faufilé pour m’asseoir sur la cuvette. Je lui ai dit que j’allais lui montrer « quelque chose »… je lui ai dit de se laisser faire… Autant dire que j’avais à cet instant totalement perdu conscience du temps, du lieu où je me trouvais, et quasiment du reste du monde. Mon obsession permanente était là, juste sous mes yeux, à quelques centimètres de mes mains…
Comme il ne disait toujours rien, j’ai avancé mes mains vers la chose et, enfin, j’ai pu commencer à la toucher, à la malaxer, à la branler. C’était une sensation incroyable. Certes, j’aime la bite, et je le savais déjà, mais là… un truc aussi énorme, aussi raide… et cette odeur… Je me suis penchée en avant, j’ai approché mon visage de sa queue. Il avait l’air décidé à se laisser faire. J’ai passé plusieurs fois le monumental gland visqueux et prêt à exploser sur mes lèvres et sous mon nez. Je l’ai senti frissonner sur ses jambes. Je me régalais vraiment de cette odeur. Il sentait déjà le sperme, c’était très, très, fort. Combien de fois par jour cet animal pouvait-il se branler pour que sa pine sente si fort ?
Comme une folle furieuse affamée, j’ai alors commencé à le sucer, à enfoncer son gland dans ma bouche, j’ai essayé d’en faire entrer le plus possible, un vrai malade ! Mais comment faire ? Il y en avait trop. J’ai senti qu’il durcissait encore, il avait l’air de particulièrement aimer ça et j’ai alors réalisé que c’était très probablement la première fois de sa vie qu’il se faisait sucer. Sauf si, dans son institution, une infirmière particulièrement curieuse… enfin…
Je me l’enfonçais bien dans ma gueule grande ouverte, en le branlant vigoureusement d’une main tandis que, de l’autre, je palpais son lourd paquet de couilles. Quelle masse de bite et de couilles j’avais là ! On aurait pu être plusieurs à se goinfrer là-dessus tellement c’était énorme. J’avais très envie de m’envoyer une énorme décharge de foutre au fond de la glotte, j’étais prêt à me goinfrer… il n’y avait plus que ça qui comptait… lui faire cracher sa purée…
Je sentais que j’avais complètement lâché les vannes dans mon slip … ça devait être joli joli à voir là-dedans… je ne vous raconte pas l’incroyable envie que j’avais de me faire fourrer… je me serais bien retourné aussitôt pour me carrer ce chibre de dingue le plus profond possible, mais je suçais, je suçais, je me régalais. Je sentais qu’il n’allait pas tenir bien longtemps et je me préparais plutôt à me gaver d’une bonne ration de sperme… il s’est remis à grogner: "ouaish, ouaish, ouaish..."… Je l’ai senti se tendre encore plus. Dans ma main qui lui palpait les couilles, j’ai senti les deux grosses boules s’agiter… il était sur le point de tout me défourailler dans la bouche. Ce con m’a agrippé la tête à deux mains et il s’est mis à littéralement me baiser la gueule comme un dément… j’ai presque eu peur mais je me suis laissé faire…
Vous avez sûrement vu cette image atroce quand on gave une volaille… eh bien imaginez-la encore et vous aurez une idée assez juste de ce à quoi je ressemblais à ce moment-là… sauf que c’était pas du maïs que j’avalais… J’ai senti un liquide lourd et chaud me remplir la gorge. Au moins quatre ou cinq fantastiques giclées… vraiment la maxi dose… J’avais les yeux qui me sortaient de la tête, c’était assez violent comme situation, mais je ne pouvais tout simplement plus m’arrêter de tout gober… Sur le coup, évidemment, je n’y ai pas pensé, mais vu le bruit que ça faisait, j’ai eu une sacrée chance que personne n’entre dans les toilettes… on avait atteint le sommet du glauque.
Du sperme m’était sorti de la bouche (impossible d’avaler tout ça). J’en avais sur les joues, ça me coulait sur le menton, c’était assez ignoble. Pendant que je finissais mon festin, Bruno me regardait bien hébété en soufflant rauque… il n’en revenait pas non plus… toujours aucun mot n’était sorti de sa bouche et c’était bien mieux comme ça.
Moi, je n’avais plus qu’une idée en tête : me débarrasser de lui le plus vite possible. Je lui ai dit que c’était très bien, très bon, je ne sais plus ce que j’ai pu balancer comme connerie à cet instant-là. Je lui ai surtout dit que c’était un secret, qu’il ne devait jamais en parler à personne, jamais ! Je lui ai demandé s’il comprenait. Il m’a fait oui de la tête… il semblait avoir compris. Moi, j’avais déjà pris conscience de l’incroyable boulette que je venais de faire, de la situation intenable dans laquelle je venais de me plonger et je tentais le maximum pour me rassurer. Comme si je pouvais faire confiance à un type comme Bruno… quelle garantie pouvais-je espérer ? Il pouvait bien accepter n’importe quoi, puis faire … n’importe quoi
J’ai aussi dû lui dire que s’il avait aimé ça, s’il voulait qu’on le refasse un jour, il ne fallait vraiment jamais en parler à personne. J’essayais de le convaincre, de lui faire comprendre. Il a encore fait oui de la tête… il a eu l’air de comprendre. Je lui ai dit qu’il devait s’en aller et il est parti aussitôt. Je suis passé au lavabo pour me débarbouiller un peu. J’avais l’esprit très perturbé et je n’étais pas loin de pleurer tellement j’étais à la fois excité et affolé de ce que je venais de faire. Je suis passé dans ma classe, j’ai récupéré mes affaires et, avec Bruno, nous avons quitté l’école en fermant le portail. Pour me donner une raison d'être avec lui en public, je l'ai ramené à son centre en voiture. Cette fois-ci je l’ai regardé et j’ai lourdement insisté en lui répétant que c’était un secret, notre secret, qu’il ne devait surtout jamais rien dire à personne.
Il m’a dit « Oui, Monsieur… » Je suis rentré chez moi encore plus bouleversé que le jour précédent, envahi par un sentiment de culpabilité atroce.
A l’école avec un demi débile… ça serait vraiment trop dur à avaler pour les autorités, et, quelque part, je le comprends. Je suis obligé de me garder ça pour moi mais l’année scolaire va être longue… Là, ce sont les vacances, donc je peux évacuer un peu, mais je frémis à l’idée de la rentrée. Je ne sais vraiment plus quoi faire.
Vous me direz que si ça me pose un si gros problème, je n’ai qu’à laisser Bruno faire ce qu’il a à faire, quitte à le laisser aller se branler comme d’habitude et ne pas m’en occuper. Mais je me connais… je sais à quel point il m’est difficile de résister à l’envie d’aller pousser cette satanée porte. Je sais à quel point ça va être compliqué de rester dans ma classe et faire comme s’il ne se passait rien. L’école est vide à cette heure-là… la tentation est trop grande. D’autant que l’autre jour, j’ai vraiment eu très envie d’en faire plus, très envie de me faire baiser copieusement par son gros truc. Ça doit être énorme… et j’y pense tout le temps.
C’est une étape supplémentaire que je ne dois absolument pas franchir et pourtant… je me doute que si je prends l’habitude d’aller le rejoindre dans les chiottes, ça va forcément finir comme ça. J’aurai trop envie d’essayer. Et je le ferai. Je suis vraiment dans une situation plus qu’embarrassante, à beaucoup d’égards, et je n’ai pour l’instant aucune idée de ce qui va se passer maintenant. Avoir pu le raconter m’aide à faire le point sur les choses, mais à l’heure où j’écris ces lignes, je suis aussi inquiet que honteux.
En y pensant, il n'y a qu'un seul endroit, bien privé, où on pourrait se donner du plaisir bonheur : c'est chez-moi, au plus profond de mon
lit. Oui, j'y pense.
Encore quelques jours d'observation de Bruno et, jouant les bons
samaritains, j'ai proposé à Bruno et à son moniteur puis à son directeur de centre de l'héberger chez-moi...j'espère que personne ne se doutera de rien...C'est tellement mieux pour
lui...BOF si quelqu'un se doute ? et après ??? Si, lui et moi, sommes heureux ? n'est-ce pas l'essentiel ?
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