Partager l'article ! Ces gens savent que s'ils veulent du fric ils auront du fric, s'ils veulent baiser ils iront camouflés, et chez eux il y a un paquet de pour cent d'h ...
ils iront aux putes de luxe, incognito, en en ferrari ou en scooter s'il le faut, tandis que les dames patronnesses socialistes (dites les furies) et leur loi scélérate feront ch...le monde.
comme s'il n'y avait que des meufs qui se prostituent !
NEWS NEWS NEWS Alors que la loi sur la pénalisation des clients des prostituées faisait toujours débat dans la classe politique, les philosophes s'emparaient d'un sujet sensible...Ces philosophes , comme on dit chez-nous, ils se prennent jamais pour "un quart de cerises"et prétendent apprendre à vivre à tout un chacun.
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Appelons-la Claudine. Elle a trente ans de rue, et la rage : « Je ne supporte plus d'entendre ces dames patronnesses socialistes m'expliquer que je n'ai pas choisi ma vie. » Gérard, 28 ans, devient « Maîtresse S » la nuit. Il proteste : « Ce qui se passe dans un lit entre deux personnes adultes et consentantes ne regarde personne. La rétribution est d'ordre privé. Nous surveiller et nous pénaliser est une atteinte aux libertés. » Michelle, 34 ans, deux enfants, a perdu son travail il y a quatre ans. Elle se prostitue – un client par soir. « J'ai commencé par hasard, je continue par choix, même si c'est rude parfois. »
Ces personnes affirment avoir choisi de se prostituer et elles se déclarent libres et consentantes. Elles refusent d'être traitées en victimes, même si certaines admettent que la prostitution n'est pas un travail comme les autres. « Ce n'est pas un métier choisi, comme artiste ou ingénieur, reconnaît Claudine. C'est une activité qui survient sur les chemins de traverse d'une vie, fatigante souvent, physiquement, psychologiquement, mais comme beaucoup d'autres activités. »
Gérard, lui, reconnaît qu'il rencontre parfois des clients « tordus » ou menaçants : dans ces moments-là, consentir est compliqué.
Michelle explique qu'elle compte arrêter bientôt, de crainte, en vieillissant, d'en arriver à accepter des prestations sexuelles qu'elle a toujours refusées.
Ben oui, la pauvre.
"Le consentement, qui implique l'autonomie de la volonté de chacun, est un principe éthique et juridique central dans nos démocraties. En droit civil français, tout contrat suppose le consentement des parties. Dans la common law anglo-saxonne, consentir signifie accepter sa responsabilité selon le principe du Volenti non fit injuria : « On ne fait pas tort à celui qui a consenti. » L'éthique moderne de la liberté rejette l'idée d'une morale extérieure, qu'elle soit religieuse ou étatique : on ne saurait imposer ses valeurs à autrui malgré lui, ni le priver de sa liberté d'action et de conscience, s'il n'y consent" . lenouvel obs
Et si on ne consent pas à ces termes de la loi...? La société vous a transformé.e.en paria.
Manifestation contre la pénalisation des clients de prostitué.e.s
commentaire : "On a vu des crypto ceci et des crypto cela, des politiques bon chic bon genre crypto FN . Et des crypto gays jouer les hétéros crispés y en a, y en a...Je parle pas de Hollande : il a fait ce qu'il pouvait..."
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