Partager l'article ! RECRUTER DES ESCORTS ne serait pas le mot. S'ils envient notre mode de vie, qu'ils se manifestent : on peut les aider.: fonder sa propre équipe. ...
fonder sa propre équipe...ne l'appelez pas proxo
Le "recrutement" clé en mains du JH en lui proposant son premier client. "
EXTRAIT :
Sur la plage, des amis de rencontre nous regardent regagner nos serviettes.
Ils nous demandent ou nous créchons. Au nom de notre hôtel l’un des amis siffle en nous disant que ça devait aller pour nous question fric. Du coup
le deuxième pote nous demande ce qu’on fait dans la vie.
Pour me moquer gentiment tout en restant près de la vérité finalement, je lui réponds putes, mais de luxe évidemment !
Ils sont sciés et le premier à réagir, notre serveur, nous demande si nous taffons en ce moment. PH qui commence à s’amuser lui aussi leur répond
que non, nous sommes en vacances mais que si une occasion se présentait, nous ne la laisserions pas passer.
Silence dans les rangs ! Finalement, pas si dévergondés les trois jeunes !
Le premier à se reprendre nous demande si nous œuvrons uniquement pour mecs. Nous le détrompons et lui assurons que nous baisons de tout, pour
de l’argent.
Là, il devient tout rouge malgré son bronzage.
PH éclate de rire et leur demande « ça vous choque ? », réponse collégiale « mais non ! » peu convaincante.
Celui qui paraît le plus jeune nous questionne sur comment ça marche, combien ça rapporte et autres détails. Je finis par lui demander s’il ne
préférerait pas faire ça plutôt que le service de table pendant deux mois ?
Pragmatique, il me dit que cela lui rapporterait plus que son taf de vendeur.
Je lui demande son âge, il a 18ans tout juste et s’appelle Alban. Je le détaille. Il fait dans les 1m80, blond clair court, imberbe, musclé type
footeux, de très belles cuisses, mais avec un torse correct. Je lui demande s’il est plutôt actif ou passif. Il me dit que ses 21cm font du bien à tous les culs qu’il lime. Je le traite de
prétentieux (gentiment) et lui demande si cela le gênerait de baiser une meuf.
Il me dit qu’un trou est un trou et qu’il n’aurait aucun mal à le faire.
Comme il faut aider la jeunesse, je lui demande son n° de portable et lui dit que je le rappellerais si je lui trouvais un ou une cliente dans
l’hôtel.
Ses deux potes se récrient qu’il est débile de faire ça, qu’il ne sait pas s’il ne va pas tomber sur des pervers ou des fous.
Je leur dis que depuis mon dépucelage précoce, je ne suis jamais tombé (exception faite de la mère de Ric) sur des malades dangereux.
Nous regagnons nos voitures ensemble. Quand ils voient ma SLS, le jeune me demande si ce sont les passes qui me l’ont payée et sans attendre ma
réponse me supplie de lui trouver des clients.
Je lui dis que sans être un mac (bon d’accord j’en suis un !) il me devra quelque chose. Il me demande quoi et je lui répond son cul. Il hésite
regarde à nouveau ma voiture et accepte en me disant que je serais le second seulement à l’enculer car il n’aime pas ça.
Nous nous quittons sur la promesse que je l’appellerais dès que je lui aurais trouvé un client.
Pendant le retour alors que silencieux je le voyais réfléchir, PH me demande s’il devra lui aussi faire partie de mon écurie (sous entendu de baiser des clients).
Je pose ma main sur sa cuisse et lui assure qu’il ne fera que ce qu’il voudra. S’il veut tenter l’expérience pour savoir ce que c’est, je m’assurerais de lui trouver un client de confiance, s’il veut tâter du hard je serais à ses cotés pour l’accompagner. S’il ne veut rien de tout ça, hé bien je serais encore là.
De retour à l’hôtel, passage par la piscine, l’eau de mer nous a salé le corps et c’est l’occasion de voir s’il y a des clients potentiels.
Nos corps parfaitement bronzés, nos culs et attributs moulés par nos maillot Aussiebum et ES attirent les regards d’une bonne 30aine de vieux beaux
et vieilles peaux.
Notre crawl puissant nous dégage deux couloirs.
Quand nous sortons de l’eau, nous sommes abordés par un type,
la quarantaine, qui nous propose un cocktail. Nous nous asseyons à sa table. Pendant qu’il se présente je l’examine sas m’en cacher. Il doit faire dans les 1,80m pas musclé mais pas bedonnant,
cheveux courts brun, poilu sur le torse et les jambes.
Je ne me suis pas aperçu qu’il ne parle plus, c’est un coup de coude de PH qui me ramène à la réalité. Je le prie de m’excuser. Il me demande en
souriant si je suis satisfait de ce que je vois. Je réitère mes excuses et laisse échapper que c’est un défaut professionnel. Il saisit la balle au bond en me demandant
« mannequin ? ». La réponse fuse « non, Escort », autant être franc dès le départ.
Il me dit que cela tombe bien c’est ce qui lui manquait pour ses vacances, et me demande si je suis libre moi ou mon ami ici présent.
Je lui explique que nous sommes nous aussi en vacances mais que je devrais pouvoir lui trouver cela. Il me dit chercher quelqu’un de sportif et
actif (sous entendu qui m’encule). Je lui dit alors que j’ai ça en réserve et décrit vite fait notre nouvel ami.
Il nous propose de le rencontrer ce soir et propose que nous dinions tous ensemble au restaurant de la plage.
Là je me dis qu’il va y en avoir un qui va bicher, c’est notre serveur !
Avant de le quitter, je le préviens que question tarif, nous jouons dans la cour des grands et que si cela va plus loin, il faut qu’il envisage des
prestations à 500€ l’unité. (Après tout il a bien les moyens de se payer un hôtel de luxe).
Il m’assure que plusieurs nuits ne lui poseront pas de problème." ...
commentaire : ainsi va la Vraie Vie
Comme il faut aider la jeunesse, je lui demande son n° de portable et lui dis que je le rappellerais si je lui trouvais un ou une cliente dans l’hôtel" Lire tous les chapitres du récit de JARDINIER : https://cyrillo.biz/histoire/soumission-domination-187.html |
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