Tiens ! voilà longtemps que je n'ai pas parlé de "mes amis prostitués" AZIZ est un ami : il m'accueille en
cabine dans un X-Center de la place de Clichy chaque fois que je "monte" à Paris. Vous voulez savoir si j'ai à payer ? oui je paie. Il me dit toujours tu donnes ce que tu veux. Ca fait un
peu amateur...n'importe qui peut le faire. Qu'on puisse lui donner des sous pour le faire ça le rassure. Dans sa tête, si c'était pas bon, s'il était pas bon on voudrait pas
payer. Si Aziz est un bon coup ? oui, (moi)il (me) baise bien Si c'est un prostitué pro ? Non ! car le fric n'est qu'un a côté, Aziz c'est un véritable artiste !
Je vais souvent draguer Gare du Nord à Paris. Dans le hall, côté
grandes lignes, il y a toujours des vieux qui cherchent des jeunes pour baiser.
Je suis Aziz, kabyle et très beau gosse, plutôt grand, brun, mat, imberbe, yeux noirs, muscles fins, bien dessinés. J’ai 24 ans et 22 centimètres,
épais, dans la culotte.
Les michetons m’adorent pour mon physique mais aussi parce que je suis réglo, pas coincé, plutôt cool et que j’aime leur faire plaisir. J’adore
plaire et exciter, me montrer, partouzer aussi. Je suis actif voire passif si ça paye vraiment. Mes photos : je vous plais ?
Là, cet après-midi, un papy d’une soixantaine d’années, que je ne connaissais pas, a visiblement flashé sur moi alors que j’étais adossé au
Macdo de l’entrée de la Gare. La troisième fois qu’il est passé devant moi en me matant la braguette comme si j’étais déjà nu devant lui, je lui ai fait mon grand sourire et mon clin d’oeil
ravageur et lui ai demandé du feu. Il n’en avait pas. Moi si… C’était juste pour engager la conversation…
- Qu’est-ce que tu fais de beau, me demanda-t-il ?
- Je cherche l’aventure…
- Bien ; et ça marche comme tu veux ?
- Pas vraiment ; il n’y a pas beaucoup de monde à draguer
aujourd’hui…
- Donc tu dragues ; ça tombe bien moi aussi…
- Tu cherches quoi ?
-
- Ah je vois. Et pour faire quoi ?
- Nous, tu sais ,on est des mecs tranquilles ; Avec mon ami, qui est resté à la maison, on avait envie d’un beau garçon nu, au lit, entre nous deux… on a envie de te déshabiller,
te regarder, te caresser, lécher, sucer et bouffer un peu partout. Tu pourras nous enculer si tu veux mais ce n’est même pas obligé…
Avec mon ami, qui
est resté à la maison, on avait envie d’un beau garçon nu, au lit, entre nous deux…
- Quel programme ! Donc je vous intéresse…
- Tu es très beau et tu as l’air très gentil, oui…
- Vous savez comment ça se passe ici.
- Oui, bien sûr, on vient souvent chercher des garçons. Tu vas nous demander combien
pour un festival ?
- Un festival de cul avec deux mecs ? Ca va être cher, dis-je en riant… Disons
100 euros.
- Tu rigoles, tu sais qu’ici c’est 30 euros normalement…
- Oui mais pour deux mecs ça peut faire 60 !
- Bon allez 50 euros et on y va…
- OK on y va, soupirai-je, mais ce n’était pas si mal payé et le mec avait l’air
tranquille. Tu habites où, au fait ?
- Vers Barbès.
- Ok, c’est pas loin on y va…
- A propos, je m’appelle Paul et mon ami c’est Sylvain.
- Appelle-moi Aziz, enchanté. Je lui serrai la main. Il me gratta la paume avec son
doigt. Le marché était conclu. En plus, j’avais vraiment envie de me vider les couilles.
Situé à la Goutte d’Or, son immeuble était du genre tout neuf, moderne, plutôt rupin et tranchait avec les taudis qui fleurissent encore dans ce
quartier en train de s’embourgeoiser. Dans la conversation, en venant, il m’avait expliqué que son pote et lui étaient deux jeunes retraités venus s’installer là pour profiter de l’ambiance
africaine du quartier, qu’il adoraient, et, accessoirement, draguer les arabes et les noirs qu’il aimaient amener dans leur lit.
Paul, qui n’y tenait plus, me mit la main au paquet dans l’ascenseur et fut visiblement impressionné. Moi je lui touchai les fesses et déposai un
baiser sur ses lèvres. Il fut également surpris. Mais moi, l'âge ça compte pas.
L’appartement était sympa ; Sylvain nous accueillit gentiment. Il était plus petit, mince et sec que Paul, qui avait, lui, un peu d’embonpoint.
L’un et l’autre n’étaient plus très frais physiquement mais j’avais vu bien pire et ce qui m’excitait, avec ce genre de types, c’était de les allumer, de les faire jouir, de sentir leurs regards
excités sur moi, d’être leur mâle, un peu leur maître, même si les rapports de domination ne sont pas vraiment mon truc.
On a bu un verre sur la terrasse, avec vue sur Montmartre et les rues du quartier.
Comme leurs regards me mataient intensément, je commençai à bander, à me toucher, à écarter les cuisses pour faire ressortir ma queue qui durcissait
dans mon survet blanc.
- Putain, je bande, vous pouvez toucher, leur dis-je en passant ma main dans la
ceinture pour faire saillir ma queue dans le survêt et déclencher les opérations…
- On va rentrer dans le salon, dit Sylvain, tu pourras te mettre à
l’aise.
En rentrant, Paul, après m’avoir demandé, mit un disque de raï ce qui me permit de danser un peu sous leurs yeux pour bien les allumer. Ils me
regardaient rouler des hanches puis retirer mon haut de survêt, le faire tournoyer au dessus de ma tête, leur exhiber mon débardeur rouge et, dedans, ma peau cuivrée et ms petits tétons noirs qui
débordaient sur le côté.
Là j’étais bien : excité, admiré, lascif comme une pute en chaleur, je brillais de tout mes feux dans le regard des papys et ça me plaisait
beaucoup !
- Tu es super, me dit Paul. Enlève ton pantalon maintenant sinon ta queue va le
faire exploser…
Je m’approchai de lui.
- Baisse le toi-même…
Il ne se le fit pas dire deux fois et, me saisissant aux hanches, il fit glisser lentement et en même temps mon survêt et mon caleçon.
Ma grosse queue lui bondit au visage, chaude, gonflée prête à avaler. C’est ce qu’il fit tandis que Sylvain s’approchait derrière moi. Il m’enleva
mon débardeur en caressant mes pectoraux au passage puis se colla à mon dos ; je me retournai pour lui donner mes lèvres. Au passage je nous vis tous les trois dans les glaces du
salon : moi nu et bandant, sucé par devant par Paul et croisant ma langue avec celle de Sylvain par derrière.
Sylvain me caressa partout, m’écarta les fesses et me lécha le trou du cul puis vint rejoindre la bouche de son pote sur ma queue et mes couilles
qui ruisselaient de leurs salives.
- Foutez vous à poil, je veux vous baiser, leur dis-je, précédant leurs désirs et ne
voulant pas leur gicler trop tôt sur le visage, car ils suçaient, léchaient, gobaient, bouffaient, embrassaient terriblement bien…
- On va dans la chambre, dit Paul, nous entraînant, en commençant à se
déshabiller, vers une pièce qui me rappela les chambres du bordel de Berlin où je m’étais retrouvé une fois : murs noirs, glaces partout, masques et objets africains ici et là, grand lit
découvert, gel et capotes sur la table de nuit… Tout était préparé pour la baise… Les deux pépés étaient bien des salopes totales. Il allait falloir que j’assure !
Je m’écroulai sur le lit cuisses et bras écartés pour qu’ils m’admirent en se déshabillant et j’adorai sentir leurs regards excités sur ma peau, ma
queue, mon bel anus imberbe que, contrairement à beaucoup de rebeus, je ne cherche jamais à cacher.
Comme je l’avais senti leurs corps n’étaient pas bien terribles : Paul trop gros, les chairs de Sylvain un peu pendouillantes. Mais ils
bandaient dur tous les deux ; la queue de Paul était petite et non circoncise, je n’aimais pas ça, mais celle de Sylvain était grosse et décalottée. Quand il s’agenouilla sur le lit à côté
de mon visage je la suçai direct. Paul, pendant ce temps me caressa, lécha, suça partout : queue, couilles, anus tétons, aisselles…
Après qu’il m’ait roulé une pelle avec la queue de son copain entre nos deux bouches, Sylvain me dit :
- Baise le !
- Oui, il aime comment ?
- Par derrière. Mets toi à 4 pattes Paul, Aziz va te la mettre.
- Oh oui, baise moi Aziz, dit Paul en m’offrant son cul, l’écartant à deux
mains.
Je mis un doigt puis deux dans son anus exhibé, rasé et chaud, qui ne me déplaisait pas. Lui, au moins, on était sûr qu’il se faisait baiser depuis
longtemps et par des grosses queues : ça rentrait tout seul. Il se tortillait et gémissait déjà quand j’arrivai à introduire trois doigts dans son trou.
Sylvain, pendant ce temps, nous matait puis vint sucer ma queue et le cul de Paul. Ensuite, il mit une capote, non sans mal, sur mes 22 centimètres,
épais, très durs, bandés à mort. Il rajouta du gel sur mon zob encapuchonné et dans le trou de Paul. Il guida ma queue vers l’anus qui l’avala sans peine, jusqu’aux couilles.
Je limai Paul longuement et dans plein de positions, caressé par Sylvain qui s’arrêtait souvent pour nous regarder et pour s’empêcher de décharger
trop tôt.
Paul jouissait très profondément du fond de son cul et couinait, soufflait, râlait quand je lui pilonnais la prostate.
Nous nous mations tous les trois dans les glaces autour du lit. J’aimais voir ce très beau rebeu que j’étais entre ces deux papys défraîchis mais
lubriques. J’aimais que Sylvain, régulièrement, me donne sa queue à sucer, me caresse les couilles ou risque un doigt le long de ma queue dans l’anus de son pote.
- Je peux faire une ou deux photos, me demanda-t-il ?
- Bien sûr dis-je, l’idée flattant mon côté hyper exhib.
Les cinq minutes suivantes il nous mitrailla au flash. J’ai adoré sentir qu’il cadrait le visage en extase de Paul, ma queue au sortir de son cul,
mes abdos contractés quand je le renculais, mon grand sourire et mes yeux pétillants quand je regardais l’appareil photo en face…
Tant d’exhibition accrut ma jouissance.
- Vous voulez me voir gicler comment, leur demandai-je ?
- Viens te vider sur la gueule de Paul me dit Sylvain.
- Oui, arrose moi de foutre chaud, renchérit Paul.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Je déculai rapidement, m’arrachai la capote et vins me branler au dessus du visage de Paul, à califourchon sur son
torse.
En moins de vingt secondes je contractai tous mes muscles pour me vider les couilles sur lui. Sous l’objectif de Sylvain qui avait du mal à
photographier et se branler en même temps, plein de longues giclées chaudes, crémeuses, abondantes, vinrent inonder la face de Paul et au-delà, la glace en face de moi et une partie du
lit.
Je m’écroulai, épuisé, apaisé, heureux. Je les vis se branler en me regardant, me caressant, se caressant. J’entendis leurs râles quand ils se
giclèrent dessus.
Eux aussi s’écroulèrent un long moment sur le lit.
Une heure plus tard, je repartais heureux, avec 60 Euros et un cd-rom de photos numériques obscènes en poche. Une fois de plus, j’avais joint
l’utile à l’agréable. J’avais eu et donné du plaisir.
Dites moi si vous me comprenez, ce que vous pensez de ma vie et cette histoire et si vous voulez en savoir plus ; mon adresse est
beauetbon@gmail.com.
Aziz
commentaire :
Derniers Commentaires