Mardi 1 mai 2 01 /05 /Mai 07:10

s'en prendre une grosse comme ça ? Image associée....

Seigneur !  je n'y croyais pas et ma douleur fut rédemptrice ! 

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si ça vous est arrivé de ne pas -par précaution- vérifier AVANT  si "ça le fait' -lol-...Résultat :

 

 

QUE DU BON QUE DU DOUX QUE DU BONHEUR ! : 

 

  faire des clics sur l'mage en noir pour que ça s'ouvre...comme un cul quand on le prend ! 

  de la part du passif il y a effort, persévérance, amour et abnégation -lol... Mais LUI , le "top", l'actif, il est beau, souriant, dans son effort et son don généreux !(voir ci dessus ! ) .  

LA SODO N'EST PAS SALE

"La sodomie n'est pas le propre de l'homosexualité masculine. Cela peut être le propre de l'homosexualité féminine comme cela peut être le propre de l'hétérosexualité. La sodomie n'est pas le privilège des hommes homosexuels, de même que tous les hommes homosexuels ne la pratiquent pas. Comme nous l’a également montré Raphaël Enthoven. « La sodomie c'est précisément le contraire de la bestialité. Rien n'est plus raffiné. Une pratique qui encourt le risque de la saleté est une pratique qui impose d'être encore plus raffiné. La sodomie est délicate. La violence qu'elle impose qui est proprement humaine, exige précisément un surcroît de délicatesse. Ensuite, qu'est-ce que la civilisation ? C'est non seulement détacher la sexualité de l'obligation de se reproduire, mais c'est surtout, raffiné, subtilisé, rendre forme à la sexualité. C'est comme la cuisine. La métamorphose d'un aliment cru en plat subtile, raffiné, délicat. De là apparaissent toutes les crèmes ou vaselines utilisées pour adoucir une pratique qui sans cela serait peut être plus douloureuse qu'agréable si tenté que la douleur ne soit pas un plaisir, ce qui la encore est du proprement humain. (Il n'y a que l'homme pour savoir jouir de la douleur). Il faut distinguer la sexualité de la reproduction, élaborer des plaisirs si raffiné qu'elle exige la confiance et le respect entre deux individus. Combien de confiance faut-il avoir en quelqu'un pour exhiber ainsi le plus intime de ses organes, et combien de respect faut il avoir envers la personne pour y ajouter une partie de soi ?

Il faut remplacer le besoin par le plaisir. On n’est plus dans le besoin. Ça c'est le proprement humain. Ici il y a deux spécificités de l'humanité qui s'opposent terme à terme. La première, c'est de se prendre pour le centre du monde, c'est à dire de dire « on est pas des bêtes » ou de prendre des animaux pour des humain « c'est sale ou dépravé ». La 2ème, c'est regarder le monde sans être celui qui le regarde. Débarrasser le monde de ce qu'on lui demande de faire de l'art. Et en cela la sodomie est un art, au sens propre. C'est l'introduction de l'inutile dans le règne de la nécessité. Pratiquer la sodomie c'est comme peindre une nature morte. De même qu'on ne mange pas la pintade qui est représentée dans un tableau, on ne se reproduit pas en s'accouplant de cette manière. Et le geste de la sodomie, n'est brutal que lorsqu'il  est supplice (gestapo, tortures...)" Remi Vionnet Agoravox https://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/tout-ce-qu-un-homophobe-devrait-151359#reagir 

    Un peu douleur, mais plaisir peut-être aussi, non ?  -lol-

 

 

l'eau à leurs bouches d'en bas : sa queue qui "salive clair"; son cul qui mouille du désir d'être pris !  


commentaire :


Par IKONOKLASTKLODIO - Publié dans : FOUS RIRES DECONNE (HUMOUR, FUN) - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 30 avril 1 30 /04 /Avr 10:56

UNE OPINION POSITIVE SUR L'HOMOSEXUALITE s'il est gay lui-même il ne le dit pas, et on discerne un peu sa position quand il décrit certaines situations comme des "stéréotypes". Peu importe en fait j'ai relevé cet article d'Agoravox car il a bien des côtés intéressants et positifs. Je ne peux le maintenir dans mon blog car plusieurs -et moi-même- avons constaté des points importants de divergence. Nous pourrons toujours y accéder par le lien :   

  https://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/tout-ce-qu-un-homophobe-devrait-151359  

mais non...voyons...on plaisantait ! en demandant le rétablissement de la peine de mort pour le"délit d'homosexualité"  

  on a bien fait de relever et souligner ces excès  et la haine qui en ressort

JPEG - 48.3 ko mais non...voyons...on plaisantait ! en demandant le rétablissement de la peine de mort pour le"délit d'homosexualité"      
Manifestation contre le mariage homosexuel à Washington en 2013

   

cet article sera condensé De nos jours, et malgré la perte progressive de notre héritage judéo-chrétien, la peur de l’homosexualité (ou homophobie) semble néanmoins avoir du mal à s’estomper. ...

/... Enfin, pour terminer, si un homophobe vous dit que « de toute façon si tout le monde était homosexuel, l'humanité ne survivrait pas », rétorquez-lui avec cette magnifique citation de Raphaël Enthoven que : « Oui mais si tout le monde était boulanger l'humanité ne survivrait pas non plus !... ».  

     
     

      https://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/tout-ce-qu-un-homophobe-devrait-151359  


commentaire : sur agoravox il y a eu 157 commentaires  ...

 

  NOTES:

 

Rémi Vionnet un beau minois ! un regard qui semble sincère  

@Remidu58

"Sur le chantier de ces valeurs toujours neuves, pour ces combats de chaque jour

qui se nomment liberté, égalité, fraternité, aucun volontaire n’est de trop."

 

Par agoravox 2013 Rémi Vionnet - Publié dans : LUTTES HISTOIRE & REVOLTES DES GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 30 avril 1 30 /04 /Avr 07:19

ce que j'aime dans le boeuf c'est la bavette de la bête...et toi jeune taureau non marqué (maverick) fais-y attention ! Résultat de recherche d'images pour "laptop on thighs"

  Résultat de recherche d'images pour "laptop on thighs"   Grillade de rognons sur canapé assurée !

  Garder votre ordinateur portable sur vos genoux un risque majeur pour votre fertilité ? 

La chaleur d'un ordinateur portable affecte plus les hommes que les femmes


Elle : Je m'inquiète parfois de mes oeufs(lol ovules), surtout quand je suis assis avec un ordinateur portable sur mes genoux, alias sur mes ovaires. Peut-être vous inquiétez-vous aussi de vos œufs ou de votre sperme lorsque vous vous prélassez avec votre ordinateur portable. Alors, les ordinateurs portables peuvent-ils affecter notre fertilité? La réponse est surtout non.

Ben...La majorité des médecins à qui nous en avons parlé disent que les ordinateurs portables n'affecteront certainement pas la fertilité des femmes et n'auront probablement pas d'impact majeur sur la fertilité masculine. Cependant, au moins un docteur, Michael Eisenberg, un urologue et professeur à Stanford(USA), dit que la chaleur externe qu'un ordinateur portable produit pose un risque mineur aux hommes. Si les hommes s'inquiètent de leur nombre de spermatozoïdes viables, il pourrait être utile de renoncer à des ordinateurs portables sur leurs genoux et d'utiliser un bureau à la place. Ce ne sera probablement pas la cause principale des problèmes de fertilité, mais cela pourrait être pris en compte si quelqu'un a déjà des problèmes de conception.

Tous les médecins citent une étude qui a montré que les hommes qui s'assoient fréquemment dans les bains des cures thermales connaîtront une diminution du nombre de spermatozoïdes viables. Nos ordinateurs portables ne sont pas aussi chauds qu'un spa, donc les médecins ne s'inquiètent pas de la chaleur externe de l'ordinateur portable. Les ovaires des femmes, d'autre part, sont nichés dans le corps et ne sont pas aussi réactifs à la chaleur externe. Alors les femmes, vous êtes ok pour le moment. Vous les hommes, utilisez peut-être un bureau si vous êtes inquiet. Mais sinon, continuez à vivre comme vous aimez : pas de danger pour la planète sauf....¤  

"Keeping your laptop on your lap isn’t a major risk to your fertility" Professor Eisenberg 

 
Image associée si tu crois que c'est mieux ! 

Image associée

 

Résultat de recherche d'images pour "laptop on thighs" ayé ! nous les hommes, pôvres diables, on est encore battus !

 

  Résultat de recherche d'images pour "laptop on thighs with gay pics on screen"   Un risque de s'y éterniser !

 

  • FOUS RIRES
  •  
  • Challenge: Chris Sevier, who wants to marry his laptop, has claimed he should be allowed the same rights as same-sex couples

Auparavant il a harcelé  Apple pour qu'on le laisse accéder à des images de pornographie aléatoires...Apple ont prétendu qu'ils n'en ont pas 

 




Lire la suite: http://www.dailymail.co.uk/news/article-2623231/Is-real-life-Her-Army-veteran-wants-MARRY-laptop-says-computers-preferred-sexual-object.html # ixzz5E8WTNXsE
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Par THE VERGE - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 29 avril 7 29 /04 /Avr 22:59

Tiens ! voilà longtemps que je n'ai pas parlé de "mes amis prostitués" AZIZ est un ami : il m'accueille en cabine dans un X-Center de la place de Clichy chaque fois que je "monte" à Paris. Vous voulez savoir si j'ai à payer ? oui je paie. Il me dit toujours tu donnes ce que tu veux. Ca fait un peu amateur...n'importe qui peut le faire. Qu'on puisse lui donner des sous pour le faire ça le rassure. Dans sa tête, si c'était pas bon,  s'il était pas bon on voudrait pas payer. Si Aziz est un bon coup ? oui, (moi)il (me) baise bien Si c'est un prostitué pro ? Non ! car le fric n'est qu'un  a côté, Aziz c'est un véritable artiste !  

 

Bizness Gare du Nord http://www.cyrillo.biz/histoire/garedunord.htm 

Je vais souvent draguer Gare du Nord à Paris. Dans le hall, côté grandes lignes, il y a toujours des vieux qui cherchent des jeunes pour baiser.

Je suis Aziz, kabyle et très beau gosse, plutôt grand, brun, mat, imberbe, yeux noirs, muscles fins, bien dessinés. J’ai 24 ans et 22 centimètres, épais, dans la culotte.

Les michetons m’adorent pour mon physique mais aussi parce que je suis réglo, pas coincé, plutôt cool et que j’aime leur faire plaisir. J’adore plaire et exciter, me montrer, partouzer aussi. Je suis actif voire passif si ça paye vraiment. Mes photos : je vous plais ?    

   

 

00 Shutterstock 239037454

 

 

   

 

  Image associée

Là, cet après-midi, un papy d’une soixantaine d’années, que je ne connaissais pas, a visiblement flashé sur moi alors que j’étais adossé au Macdo de l’entrée de la Gare. La troisième fois qu’il est passé devant moi en me matant la braguette comme si j’étais déjà nu devant lui, je lui ai fait mon grand sourire et mon clin d’oeil ravageur et lui ai demandé du feu. Il n’en avait pas. Moi si… C’était juste pour engager la conversation…

-         Qu’est-ce que tu fais de beau, me demanda-t-il ?

-         Je cherche l’aventure…

-         Bien ; et ça marche comme tu veux ?

-         Pas vraiment ; il n’y a pas beaucoup de monde à draguer aujourd’hui…

-         Donc tu dragues ; ça tombe bien moi aussi…

-         Tu cherches quoi ?

-       

-         Ah je vois. Et pour faire quoi ?

-         Nous, tu sais ,on est des mecs tranquilles ;    Avec mon ami, qui est resté à la maison, on avait envie d’un beau garçon nu, au lit, entre nous deux… on a envie de te déshabiller, te regarder, te caresser, lécher, sucer et bouffer un peu partout. Tu pourras nous enculer si tu veux mais ce n’est même pas obligé…

 

Image associée   Avec mon ami, qui est resté à la maison, on avait envie d’un beau garçon nu, au lit, entre nous deux…

 

-         Quel programme ! Donc je vous intéresse…

-         Tu es très beau et tu as l’air très gentil, oui…

-         Vous savez comment ça se passe ici.

-         Oui, bien sûr, on vient souvent chercher des garçons. Tu vas nous demander combien pour un festival ?

-         Un festival de cul avec deux mecs ? Ca va être cher, dis-je en riant… Disons 100 euros.

-         Tu rigoles, tu sais qu’ici c’est 30 euros normalement…

-         Oui mais pour deux mecs ça peut faire 60 !

-         Bon allez 50 euros et on y va…

-         OK on y va, soupirai-je, mais ce n’était pas si mal payé et le mec avait l’air tranquille. Tu habites où, au fait ?

-         Vers Barbès.

-         Ok, c’est pas loin on y va…

-         A propos, je m’appelle Paul et mon ami c’est Sylvain.

-         Appelle-moi Aziz, enchanté. Je lui serrai la main. Il me gratta la paume avec son doigt. Le marché était conclu. En plus, j’avais vraiment envie de me vider les couilles.

 

Situé à la Goutte d’Or, son immeuble était du genre tout neuf, moderne, plutôt rupin et tranchait avec les taudis qui fleurissent encore dans ce quartier en train de s’embourgeoiser. Dans la conversation, en venant, il m’avait expliqué que son pote et lui étaient deux jeunes retraités venus s’installer là pour profiter de l’ambiance africaine du quartier, qu’il adoraient, et, accessoirement, draguer les arabes et les noirs qu’il aimaient amener dans leur lit.

Paul, qui n’y tenait plus, me mit la main au paquet dans l’ascenseur et fut visiblement impressionné. Moi je lui touchai les fesses et déposai un baiser sur ses lèvres. Il fut également surpris. Mais moi, l'âge ça compte pas.

      

L’appartement était sympa ; Sylvain nous accueillit gentiment. Il était plus petit, mince et sec que Paul, qui avait, lui, un peu d’embonpoint. L’un et l’autre n’étaient plus très frais physiquement mais j’avais vu bien pire et ce qui m’excitait, avec ce genre de types, c’était de les allumer, de les faire jouir, de sentir leurs regards excités sur moi, d’être leur mâle, un peu leur maître, même si les rapports de domination ne sont pas vraiment mon truc.

On a bu un verre sur la terrasse, avec vue sur Montmartre et les rues du quartier.

Comme leurs regards me mataient intensément, je commençai à bander, à me toucher, à écarter les cuisses pour faire ressortir ma queue qui durcissait dans mon survet blanc.

-         Putain, je bande, vous pouvez toucher, leur dis-je en passant ma main dans la ceinture pour faire saillir ma queue dans le survêt et déclencher les opérations…

-         On va rentrer dans le salon, dit Sylvain, tu pourras te mettre à l’aise.

En rentrant, Paul, après m’avoir demandé, mit un disque de raï ce qui me permit de danser un peu sous leurs yeux pour bien les allumer. Ils me regardaient rouler des hanches puis retirer mon haut de survêt, le faire tournoyer au dessus de ma tête, leur exhiber mon débardeur rouge et, dedans, ma peau cuivrée et ms petits tétons noirs qui débordaient sur le côté.

Là j’étais bien : excité, admiré, lascif comme une pute en chaleur, je brillais de tout mes feux dans le regard des papys et ça me plaisait beaucoup !

-         Tu es super, me dit Paul. Enlève ton pantalon maintenant sinon ta queue va le faire exploser…

Je m’approchai de lui.

-         Baisse le toi-même…

Il ne se le fit pas dire deux fois et, me saisissant aux hanches, il fit glisser lentement et en même temps mon survêt et mon caleçon.

Ma grosse queue lui bondit au visage, chaude, gonflée prête à avaler. C’est ce qu’il fit tandis que Sylvain s’approchait derrière moi. Il m’enleva mon débardeur en caressant mes pectoraux au passage puis se colla à mon dos ; je me retournai pour lui donner mes lèvres. Au passage je nous vis tous les trois dans les glaces du salon : moi nu et bandant, sucé par devant par Paul et croisant ma langue avec celle de Sylvain par derrière.

Sylvain me caressa partout, m’écarta les fesses et me lécha le trou du cul puis vint rejoindre la bouche de son pote sur ma queue et mes couilles qui ruisselaient de leurs salives.

-         Foutez vous à poil, je veux vous baiser, leur dis-je, précédant leurs désirs et ne voulant pas leur gicler trop tôt sur le visage, car ils suçaient, léchaient, gobaient, bouffaient, embrassaient terriblement bien…

-         On va dans la chambre, dit Paul, nous entraînant, en commençant à  se déshabiller, vers une pièce qui me rappela les chambres du bordel de Berlin où je m’étais retrouvé une fois : murs noirs, glaces partout, masques et objets africains ici et là, grand lit découvert, gel et capotes sur la table de nuit… Tout était préparé pour la baise… Les deux pépés étaient bien des salopes totales. Il allait falloir que j’assure !

Je m’écroulai sur le lit cuisses et bras écartés pour qu’ils m’admirent en se déshabillant et j’adorai sentir leurs regards excités sur ma peau, ma queue, mon bel anus imberbe que, contrairement à beaucoup de rebeus, je ne cherche jamais à cacher.

Comme je l’avais senti leurs corps n’étaient pas bien terribles : Paul trop gros, les chairs de Sylvain un peu pendouillantes. Mais ils bandaient dur tous les deux ; la queue de Paul était petite et non circoncise, je n’aimais pas ça, mais celle de Sylvain était grosse et décalottée. Quand il s’agenouilla sur le lit à côté de mon visage je la suçai direct. Paul, pendant ce temps me caressa, lécha, suça partout : queue, couilles, anus tétons, aisselles…

Après qu’il m’ait roulé une pelle avec la queue de son copain entre nos deux bouches, Sylvain me dit :

-         Baise le !

-         Oui, il aime comment ?

-         Par derrière. Mets toi à 4 pattes Paul, Aziz va te la mettre.

-         Oh oui, baise moi Aziz, dit Paul en m’offrant son cul, l’écartant à deux mains.

Je mis un doigt puis deux dans son anus exhibé, rasé et chaud, qui ne me déplaisait pas. Lui, au moins, on était sûr qu’il se faisait baiser depuis longtemps et par des grosses queues : ça rentrait tout seul. Il se tortillait et gémissait déjà quand j’arrivai à introduire trois doigts dans son trou.

Sylvain, pendant ce temps, nous matait puis vint sucer ma queue et le cul de Paul. Ensuite, il mit une capote, non sans mal, sur mes 22 centimètres, épais, très durs, bandés à mort. Il rajouta du gel sur mon zob encapuchonné et dans le trou de Paul. Il guida ma queue vers l’anus qui l’avala sans peine, jusqu’aux couilles.

Je limai Paul longuement et dans plein de positions, caressé par Sylvain qui s’arrêtait souvent pour nous regarder et pour s’empêcher de décharger trop tôt.

Paul jouissait très profondément du fond de son cul et couinait, soufflait, râlait quand je lui pilonnais la prostate.

Nous nous mations tous les trois dans les glaces autour du lit. J’aimais voir ce très beau rebeu que j’étais entre ces deux papys défraîchis mais lubriques. J’aimais que Sylvain, régulièrement, me donne sa queue à sucer, me caresse les couilles ou risque un doigt le long de ma queue dans l’anus de son pote.

-         Je peux faire une ou deux photos, me demanda-t-il ?

-         Bien sûr dis-je, l’idée flattant mon côté hyper exhib.

Les cinq minutes suivantes il nous mitrailla au flash. J’ai adoré sentir qu’il cadrait le visage en extase de Paul, ma queue au sortir de son cul, mes abdos contractés quand je le renculais, mon grand sourire et mes yeux pétillants quand je regardais l’appareil photo en face…

Tant d’exhibition accrut ma jouissance.

-         Vous voulez me voir gicler comment, leur demandai-je ?

-         Viens te vider sur la gueule de Paul me dit Sylvain.

-         Oui, arrose moi de foutre chaud, renchérit Paul.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Je déculai rapidement, m’arrachai la capote et vins me branler au dessus du visage de Paul, à califourchon sur son torse.

En moins de vingt secondes je contractai tous mes muscles pour me vider les couilles sur lui. Sous l’objectif de Sylvain qui avait du mal à photographier et se branler en même temps, plein de longues giclées chaudes, crémeuses, abondantes, vinrent inonder la face de Paul et au-delà, la glace en face de moi et une partie du lit.

Je m’écroulai, épuisé, apaisé, heureux. Je les vis se branler en me regardant, me caressant, se caressant. J’entendis leurs râles quand ils se giclèrent dessus.

Eux aussi s’écroulèrent un long moment sur le lit.

Une heure plus tard, je repartais heureux, avec 60 Euros et un cd-rom de photos numériques obscènes en poche. Une fois de plus, j’avais joint l’utile à l’agréable. J’avais eu et donné du plaisir.

Dites moi si vous me comprenez, ce que vous pensez de ma vie et cette histoire et si vous voulez en savoir plus ; mon adresse est beauetbon@gmail.com.

Aziz

 

 

 

 


commentaire :

 

 

 

 

Par AZIZ DE AàZ - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 29 avril 7 29 /04 /Avr 19:14

escort c'estpas un métier de rebeu

 

 

 

 

 

Par Chevalier et Laspalès - Publié dans : FOUS RIRES DECONNE (HUMOUR, FUN) - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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