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suite des épisodes précédents et du parcours initiatique de Fabien
...quand
on aime, tout est bon... -11-
Maria et Fabien marchent nus,
main dans la main dans la maison. Elle ouvre la porte de sa chambre, le fait entrer, referme la porte, se tient droite devant lui, lui prend les deux mains, approche sa bouche de la sienne, frôle
ses lèvres, fait glisser ses lèvres sur les siennes, les entrouvre, prend ses mains, les place à l’arrière de son coup, les fait glisser derrière ses oreilles, ouvre la bouche, sort sa langue,
recherche l’autre, s’y enroule et gémit. Fabien a compris et recommence tout seul cette première étape mais là le baiser est profond, les langues s’emmêlent, les sexes se touchent, les corps sont
excités. Maria conduit Fabien vers le lit. Ils s’allongent tous les deux. Maria sait qu’elle doit aller à l’essentiel, Fabien n’a pas encore joui, c’est un puceau qui se contrôle depuis plusieurs
jours et l’heure de la délivrance est proche. Alors elle prend tout en main, elle le met sur le dos, caresse son corps et s’arrête sur sa bite gonflée au pénis suintant. Elle aimerait sucer ce
jus, mais elle sait qu’elle ne doit pas le faire, fabien est trop excité. Elle s’allonge à côté de lui, invite Fabien à venir sur elle. Elle sent sa queue gonflée contre son ventre. Ils
s’embrassent de nouveau, naturellement Fabien se relève. Maria l’aide et saisit sa bite, la positionne devant sa chatte et doucement la fait rentrer. Maria est mouillée comme une fontaine, la
queue s’enfonce toute seule. Elle laisse Fabien agir. Il commence un long va et vient. Maria sent cette bite dure en elle qui s’enfonce jusqu’à la garde puis le va et vient devient tout petit.
Elle sent que la jouissance de Fabien est proche. Comme elle veut que cette première fois soit une réussite totale, elle écarte un peu plus les jambes, pousse son bassin vers l’avant, la queue de
Fabien s’enfonce à peine un millimètre de plus et c’est suffisant. Une tempête de foutre jaillit en elle, douze coups successifs, d’une telle puissance qu’elle sent une abondance de liquide
chaud. A ce moment, elle est prise d’un orgasme d’une telle violence que les deux corps soudés vibrent à l’unisson. Fabien râle de plaisir, il est dans un état second, ses yeux sont révulsés. Il
s’écrase maintenant sur le corps de Maria, immobile, la queue toujours tendue dans son corps. Il reprend ses esprits. Maria sourit. C’est l’extase.
Tout doucement, Maria commence à bouger. Elle veut garder en elle ce sexe qui lui a donné tant de plaisir. Elle
sait aussi que le gland de Fabien, surexcité doit être douloureux. Alors elle va lentement, elle veut lui redonner du plaisir et surtout lui apprendre à poursuivre l’amour après l‘éjaculation.
Petit à petit elle sent le mouvement du sexe de Fabien qui revient. Il veut remettre cela. Maria le regarde et lui fait comprendre qu’il existe plein d’autres possibilités. Elle retire lentement
le sexe qui est en elle, embrasse Fabien et l’emmène dans la salle de bain. Une douche sexy en quelque sorte où chacun lave l’autre et s’attarde sur les partie du corps qu’il a envie. Fabien est
assis dans la douche, Maria au-dessus de lui. Il lui nettoie le sexe, avec un gant puis avec les mains et enfin avec la bouche. Sa formatrice est très compétente et cette soirée demeure un cours
de sensualité parfait. J’ai de la chance d’être avec toi lui a dit Fabien tout à l’heure. Maria relève Fabien et à son tour s’occupe de lui. En érection permanente, Fabien voit passer sous lui,
venant de derrière les jambes fines de Maria. Il regarde surpris et sent une douceur totale sur ses couilles, sur le périnée et la langue de maria s’insérer dans son anus. Ne touche pas ton sexe
lui dit Maria, laisse toi aller. Fabien ferme les yeux, la langue de Maria continue de vibrer en lui. Au bout de quelques minutes, Maria retire sa langue et la remplace par son doigt. Fabien a
les sens tellement exacerbés que sans le vouloir, il ouvre davantage sa rosette. Le doigt se fait plus précis, relevé vers l’avant, il masse. Il appuie un peu plus et Fabien laisse jaillir une
telle quantité de sperme et d’autre liquide qu’il pousse un cri de plaisir à réveiller un mort. Tous les deux se regardent et s’enlacent en laissant couler l’eau chaude sur leur corps. Nous
arrêterons là pour ce soir dit Maria en commençant à se rhabiller. A toi maintenant de poursuivre ton éducation par l’expérience et le respect de l’autre.
Puis, prenant Fabien, toujours nu, par la main, elle le conduit vers la chambre de Giullio.
-12-
Giullio est dans sa chambre, pieds nus et vêtu uniquement d’un pantalon de jogging noué à la ceinture par une
cordelette. Il fait entrer Fabien pendant que Maria referme la porte. Elle est sortie et fabien est seul avec Giullio. Ils se regardent et sont contents de se retrouver. Giullio s’approche de
Fabien, lui prend les mains, le serre contre lui et l’embrasse tout doucement. Fabien lui retourne le baiser en faisant pénétrer sa langue dans sa bouche. Elles s’entortillent et de temps en
temps Fabien ressort la sienne et la fait pénétrer de nouveau comme un sexe. Doucement, Giullio écarte Fabien et fait glisser sa tête contre sa poitrine. Fabien l’embrasse et descend
progressivement vers le nombril puis remonte mordiller les tétons. Giullio appuie sur la tête de Fabien pour qu’elle descende encore. Sur sa langue, Fabien perçoit les premiers poils qui font le
lien entre le nombril et l’élastique du jogging. Il est aux anges, il adore cette partie du corps de Giullio et depuis le temps qu’il en rêvait, il va pouvoir découvrir et goûter à cette partie
intime si excitante. Il est maintenant à genoux devant Giullio. Il défait avec précaution la cordelette, il fait descendre
lentement le jogging jusqu’à ce que Giullio l’arrête. Il pose son visage sur cette toison pubienne qui a occupé de grands moments dans sa vie nocturne. Il est bien, il s’enivre du parfum, ses
doigts s’enroulent dans les poils. Il poursuit la descente du jogging et laisse apparaître la verge en semi érection. Giullio
retire complètement son pantalon et approche la tête de Fabien de sa bite. Ce dernier ouvre la bouche et l'enfourne avec douceur. Les mains sur la tête de Fabien, Giullio donne la cadence. Il
maîtrise aussi la profondeur, il sait ce qu’il veut. C’est la première fellation de Fabien, il va la réussir. Giullio sent la fève monter alors il enfourne encore plus sa bite dans la bouche de
Fabien jusqu’à ce qu’elle explose au fond de sa gorge. Giullio retire sa bite et balance les derniers jets sur le visage de
Fabien. Il ré-enfourne sa queue dans la bouche et la laisse ainsi quelques instant pour que Fabien la nettoie. Il le relève ensuite et lui dit : quand on aime, tout est bon.
En allongeant Fabien sur le lit, Giullio lui propose de se laisser faire et d’apprécier l’étape suivante. Tout
d’abord, Giullio fait courir ses doigts sur le corps de Fabien de haut en bas et de bas en haut sans marquer d’arrêt. Ensuite il recommence avec le plat de la main. Il sent sa peau frissonner et
son bassin commencer à bouger. Alors il poursuit le même geste mais avec la langue. Le gland de Fabien perle. Il s’attarde maintenant sur les bouts de seins, les mordille et fait glisser sa
langue jusqu’au nombril. La queue de Fabien remue toute seule par l’excitation. Il commence alors une fellation d’abord limitée au gland puis progressivement jusqu’à la base du sexe. Ne voulant
pas que Fabien jouisse de suite, gentiment il le retourne, malaxe ses fesses et pose sa bouche en haut de sa raie pour la faire descendre avec douceur. Il revient au niveau de l’anus et fait
entrer sa langue. Fabien pousse des cris de plaisir. Alors il lui redresse les fesses, lui fait cambrer au maximum le dos et lui écarte les jambes. La vue est imprenable sur son petit trou
impatient. Giullio le lèche à présent en saisissant sa queue par en dessous. Il appuie sur le bas de son dos pour qu’il ait vraiment une position de chienne. Il mouille son gland avec sa salive,
le positionne sur la rosette et délicatement le fait entrer dans le cul. Fabien pousse un petit cri tout en écartant un peu plus ses fesses avec les mains. Giullio pénètre plus profondément et
pousse jusqu’à la garde. Ensuite il demande à Fabien de faire lui-même le mouvement en faisant coulisser son cul sur sa bite. Les deux garçons sont à la limite du plaisir ultime et c’est Fabien
qui sans se toucher jouit le premier. Giullio explose dans le cul de Fabien et laisse son sperme couler sur les bourses de son partenaire quand il retire sa queue.
Peu de temps après, ils s’endorment, allongés sur le lit dans les bras l’un de l’autre. Giullio qui se réveille
le premier, s’approche de l’oreille de Fabien et lui dit qu’il doit le raccompagner chez lui puisqu’il est déjà dimanche après-midi. Fabien est tout étonné, il avait perdu
toute notion du temps.
Fabien est déphasé en entrant dans l’appartement familial. Bien sûr il prononce quelques mots d’italien pour
prouver l’efficacité de son week-end mais son esprit est ailleurs. Il ne pense qu’à une chose, se retrouver seul dans sa chambre et penser à cette aventure palpitante qu’il vient de
vivre.
Malgré tout, le sommeil va le gagner rapidement et la sonnerie du réveil lui semblera brutale.
-13-
Assis à côté de Franck, il se sent différent. Il le regarde d’un autre œil et cherche son secret. Quel plaisir
peut le mener à se faire accompagner aux toilettes ? Jusqu’où peut-il aller et que recherche-t-il ? Quelle est sa personnalité sexuelle ? Le seul moyen de trouver réponse à ces
questions est simple, il suffit d’entrer avec lui dans une cabine. Alors Fabien écrit juste une phrase sur un papier qu’il glisse vers Franck : à la pause ? Franck acquiesce et Fabien
bande.
Franck est entré le premier, Fabien attends trente seconde avant de pénétrer à son tour dans cette toilette du
fond de la pièce. Franck a le pantalon sur les chevilles et son sweet-shirt relevé. Des poils commencent à pousser sur son torse et son boxer gonfle à vue d’œil. Fabien s’interroge : doit-il
poursuivre le déshabillage de Franck ou doit-il ôter ses vêtements à son tour ? Il opte pour la première solution. Lentement, il s’approche de Franck, s’accroupit à son tour. La bosse
gonfle. Ses mains se saisissent de l’élastique du boxer et lentement le fait glisser. La toison brune apparait, la queue est horizontale dans le sous vêtement, elle ne va pas tarder à sortir.
Fabien le sait, alors il écarte un peu plus l’élastique et laisse bondir une verge bandée. Franck sourit, cette première étape lui convient. Fabien saisit la queue et commence à la masturber.
Franck écarte les jambes, fabien en profite pour glisser une main sous les couilles puis prolonge le mouvement vers le périnée et vers l’anus. Franck se baisse un peu et Fabien comprend qu’il lui
facilite l’accès. Il fait alors entrer un doigt dans cet orifice qui ne présente aucune résistance. Fabien retourne Franck pour qu’il soit face au mur, il lui fait cambrer les reins et se
positionne contre lui : sa braguette remplie contre sa raie. Fabien défait sa ceinture, ouvre son pantalon, descend son caleçon et positionne sa queue le long de son entre fesses. Franck se
retourne pour regarder et lui donne une capote. Fabien met sa protection, mouille bien le bout et place son sexe sur l’anus. Doucement, il commence à pénétrer Franck qui écarte ses fesses avec
ses mains et permet ainsi une première entrée plus facile. Fabien continue sa poussée, de temps en temps il ralentit, revient un peut en arrière et enfonce de nouveau encore plus profond. Il
continue ainsi jusqu’à la garde et lorsqu’il se trouve au fond de Franck, il commence ses va et vient. Franck gémit, Fabien lui place trois de ses doigts dans la bouche pour limiter les sons.
Franck se dandine comme une chienne, il est prêt à jouir alors Fabien pousse un peu plus loin son gland et déclenche l’orgasme à la fois chez Franck et chez lui. Il retire sa queue emballée dans
le préservatif au bout duquel une poche de sperme pendouille. Franck se retourne, le mur des toilettes présente des coulées blanches, il se rhabille au moment où sonne la fin de la pause en
disant : je sors le premier. Fabien sourit, retire la protection, se rajuste et sors en jetant le préservatif emballé dans un mouchoir en papier dans la poubelle des toilettes. Il est juste
à l’heure au cours au moment où il s’assoit à côté de Franck.
-14-
Treize heure ce lundi, c’est le moment du cours de rattrapage d’italien de Fabien. Il est pressé de retrouver
Giullio après ce week-end mémorable. Il frappe, entre et découvre que Giullio n’a pas terminé son précédent cours mais Giullio lui demande de venir et lui présente Seb, un élève de terminale
qu’il aide pour la préparation de ses futurs examens. Au reg ard que lance Fabien, Giullio
découvre un sentiment de jalousie et préfère en sourire. Il est vrai que Seb est beau gosse. Grand, cheveux châtain clair, élancé, il a tout pour plaire. De plus il est habillé à la dernière mode
avec un jean taille très très basse, qui dévoile un boxer coloré couvrant pas moins de dix centimètres de son fessier. Vu de devant, la ceinture de ce pantalon est au niveau du bas des poils
pubiens. En voyant ce spectacle érotique, Fabien se met à bander. Il regarde Giullio et s’aperçoit que comme son habitude un bouton métallique de sa braguette est sorti de son orifice et brille
en fonction de l’éclairage de la pièce. Il sait que Giullio bande aussi mais qu’en est-il de Seb ? Il le voit rapidement quand Giullio demande à Seb de venir au tableau. En se levant à
proximité de Fabien, Seb fait en sorte de relever son sweet-shirt et montre ou du moins Fabien croit voir son gland qui dépasse de l’élastique du caleçon. Seb sourit et au moment d’écrire au
tableau, il lève hauts les bras et propose le même spectacle à Giullio dont la main se place automatiquement sur sa propre braguette.
Il est temps que le cours s’achève. Giullio précise qu’il a prévu que chaque semaine une demi-heure de cours
sera commune à Fabien et Seb et que chacun bénéficiera avant ou après d’un cours particulier. Il confirme aussi que le cours du jeudi soir aura lieu chez lui et non pas au lycée pour des raisons
de commodités.
Pour l’instant, il va s’occuper de la demi-heure de Fabien et libère Seb. A peine la porte refermée, Fabien se
dirige vers Giullio pour se serrer contre lui. Giullio recule en indiquant que le lieu n’est pas indiqué, que la porte ne ferme pas à clé et que n’importe qui peut venir. Il faut rester prudent
dit-il à Fabien !
Néanmoins, le cours connait quelques allusions coquines qui leur permettent de se toucher un peu et montrer à
l’autre que leur corps existe. Lorsqu’ils se retrouvent tous les deux devant le tableau quelques attouchements bien placés les informent mutuellement de leur état d’excitation. Après cette leçon
particulière, Fabien bande si fort qu’il se dirige vers les toilettes à la recherche de Franck afin de se soulager. Peine perdue, Franck est absent et Fabien retourne en salle de classe la
braguette bien remplie. Il comprend bien les préoccupations de Giullio et la décision de prendre chez lui les leçons du jeudi soir. Ils seront ainsi plus libres d’agir à leur
guise.
-15-
Fabien ne manque jamais ses cours de tennis. Pour deux raisons, tout d’abord le besoin de faire un peu de sport
et ensuite le désir de regarder tous ces corps qui vivent autour de lui. Il a un petit béguin pour Emma mais n’a jamais osé lui en parler. Ce n’est pas franchement de la timidité mais il ne sait
pas aborder ce sujet et ne voudrait pas tout casser. Cependant, ce mercredi après l’entrainement, alors qu’ils regagnent ensemble les vestiaires, il s’arrête subitement de marcher,
il regarde Emma et lui dit : « je te trouve vraiment belle ». Ce n’est pas réellement original, loin s’en faut,
mais sans doute suffisant à la vue du sourire d’Emma. C’est très gentil lui dit elle et il répond que c’est surtout vrai et correspond à ce qu’il pense. Il ne traîne pas ce soir,
il veut être prêt avant elle pour l’attendre dehors et la reconduire jusqu’à chez elle. Es-tu d’accord ? lui demande-t-il
dès qu’il l’aperçoit. Emma rougit et son visage radieux est la réponse souhaitée. Ils discutent en marchant et bientôt Emma lui
dit : c’est là. Déjà ! dit-il, alors il s’approche d’elle et l’embrasse sur les joues en disant : à samedi après-midi.
Au jour dit, il veut lui faire une surprise et décide de l’attendre au bas de chez elle. Il part bien en avance
pour être sûr qu’elle ne lui échappe pas. Il attend et guette tout mouvement de la porte d’entrée. Puis, à un moment donné, c’est elle et il se trouve là, devant, à la regarder et à sourire. Elle
est étonnée, peut-être pas trop quand même. En revanche, elle est contente, c’est certain et tous les deux, ensemble, se dirigent vers la salle de sport. Fabien se rapproche d’Emma et tout en
parlant tente de frôler sa main. Il l’y parvient pas, alors il s’approche un peu plus, sent sa chaleur tout près et en écartant un peu sa main, il saisit la sienne. Elle ne l’enlève pas :
elle est d’accord. Il est heureux en arrivant dans la salle de sport.
Au retour, il la raccompagne chez elle et naturellement lui reprend la main. De temps en temps ils serrent un
peu plus fort leurs doigts en marchant. Cette nouvelle initiative l’incite à prendre un peu plus d’audace et au moment de se dire au revoir il pose ses lèvres tout doucement, telle une caresse
sur les siennes. Elle est surprise, elle rosit et Fabien entend son cœur battre encore plus fort. Ce léger baiser a fait naître un désir chez Fabien. En la quittant, il sent qu’il bande fort et
qu’il aurait besoin de lâcher un peur de pression. Inconsciemment, il prend la décision de traverser le square et emprunte le sentier étroit. Quelques individus sont présents et le manque de
lumière ne permet aucune possibilité de reconnaissance. Lentement, il s’approche d’un homme lui paraissant svelte qui s’accroupit à son arrivée. La main de l’homme agrippe déjà la ceinture de son
pantalon et Fabien sans s’en rendre compte a déjà le jean sur les chevilles. En un rien de temps l’homme avalé sa queue qu’il pompe à un rythme rapide. Fabien laisse l’homme œuvrer, tantôt en
aspirant la queue, tantôt en suçant le gland, tantôt en faisant des va et vient complets. La jouissance vient rapidement et l’homme sentant la queue se préparant à juter, la sort de sa bouche
pour la faire gicler sur sa figure et la tapant sur la joue gauche puis sur la joue droite. Il la nettoie dans sa bouche avant de laisser Fabien la ranger dans son pantalon.
Le mercredi suivant, Fabien attend Emma à la sortie de son immeuble. Il lui prend la main et lui dépose un
baiser tendre sur ses lèvres chaudes. Très proches l’un de l’autre, ils discutent ensemble et petit à petit se trouvent à proximité du gymnase. Fabien, dans un coin discret, prend les deux mains
d’Emma, se place devant elle et approche sa bouche de la sienne. Elle se laisse faire, Fabien tente d’y entrer la langue. Elle accepte et se colle à lui. Ils échangent un baiser profond et se
prennent dans les bras. Emma sent quelque chose de dur contre son bas-ventre. Fabien bande et ne peut le cacher, Emma tremble, cette situation l’excite au plus haut point. Elle prend la main de
Fabien en disant : « viens, mes parents sont au travail, je suis seule à l’appartement ». De temps en temps, ils s’arrêtent, s’embrassent, se collent l’un à l’autre et vérifient
leur état d’excitation réciproque. Dans l’ascenseur, les mains glissent déjà sur les corps sans atteindre les organes sexuels.
Emma conduit Fabien dans sa chambre de jeune fille. Il la regarde, lentement elle se déshabille. Debout devant
lui vêtue maintenant d’un chemisier et d’un pantalon, elle déboutonne le premier et se trouve ainsi en soutien-gorge devant le jeune homme. Elle ôte son jean et montre un slip taille basse
surmontant des jambes fines et musclées. Elle halète, elle n’a jamais montré son corps à quiconque. Elle retire maintenant le soutien-gorge et dévoile des seins bien formés tendus vers le haut,
impatients que l’on s’occupe d’eux. Elle regarde Fabien dans les yeux et retire sa petite culotte. Elle est nue devant un garçon, elle montre son sexe à un garçon ! Fabien, à son tour,
commence son déshabillage : après le sweet-shirt, il enlève son jean. Le maillot de corps cache encore un peu l’érection dans le boxer. Il regarde les yeux d’Emma au moment de le retirer. Il
voit ses yeux fixés sur son entre-jambes et enlève rapidement son boxer. La bandaison est impressionnante et de son gland coule déjà un liquide gluant. Il est fier de ce sexe sensible et viril.
Fabien ne bouge pas, Emma se rapproche de lui, de plus en plus près, l’embrase et lui dit : « c’est ma première fois ». Fabien sait qu’il faudra être très doux et
prévenant.
Le contact du sexe de Fabien sur son ventre fait mouiller Emma. Elle meurt d’envie qu’il la prenne avec la
crainte toutefois qu’il lui fasse mal. Ils sont trop excités tous les deux pour des préliminaires. Ils s’allongent sur le lit côte à côte, s’embrassent et progressivement Fabien fait pivoter Emma
pour qu’elle se trouve sur le dos et lui au-dessus d’elle. Le baiser qu’ils échangent maintenant est une sorte de pénétration. Fabien a déjà positionné son gland à l’entrée du sexe d’Emma. Tout doucement il tente de l’enfoncer, la lubrification naturelle est à son maximum, Emma écarte
plus grand les jambes, Fabien fait entrer le gland, Emma pousse un léger cri, Fabien est en elle et descend progressivement, il s’arrête à mi-chemin et remonte au trois-quarts puis recommence sa
pénétration. Leurs lèvres sont toujours soudées, la queue de Fabien est maintenant au fond du vagin, il sent qu’il ne pourra plus résister longtemps. Il regarde Emma, elle approche de l’orgasme,
sa respiration s’accélère, des petits « oui » sortent de sa bouche, Fabien n’en peut plus, il donne un dernier petit coup de queue et gicle abondamment au moment où Emma crie de
plaisir. Cependant, il est temps pour Fabien de partir, il ne voudrait pas être surpris par les parents d’Emma. Ils se donnent rendez-vous le samedi au club de tennis après un long baiser en
appelant d’autres prochainement.
à suivre dans la
catégorie récits réels -16-
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