n'allez pas croire que, jeune ou
vieux, cela ne peut pas vous arriver...j'ai des témoins
...Je me laissai couler dans un nirvana
de plaisir mental, et je sombrai dans le sommeil...
aventures d'un sexagénaire
je
vais vous conter une histoire qui m'est arrivée il y a peu de temps de ça.
Je devais "driver" un petit groupe d'étudiants turcs et le personnel
enseignant pendant leur séjour dans ma région.
Ce séjour devait durer environ 12 jours, et je devais répondre à toutes
les questions qu'ils pourraient me poser. Je réceptionnais le groupe mercredi à 16 heures; donc, à 16 heures, j'étais au lieu de rendez vous, et je n'attendais pas très longtemps, car je vis
arriver un mini bus immatriculé en Turquie; il se gara, et les portes à peine ouvertes, un groupe de 6 garçons sortirent du bus en chahutant, puis, un homme descendit et s’adressant à eux dans
leur langue, il calma le chahut. Il jeta un regard, et quand il me vit, il se dirigea vers moi.
Ce qui me frappa, ce fut la sensation de f***e qu'il dégageait : 1,80,
85kg, cheveux bruns, ni courts ni longs, souples, yeux très clairs, petite "mouche"ornant un menton volontaire; un très bel homme. De plus, il se déplaçait tout en souplesse, en f***e retenue...
Je remarquais que la gent féminine qui se trouvait dans son environnement semblait déguster ce spectacle. Ho! rien de très provoquant dans sa tenue : chemise claire, manches retroussées sur des
bras noueux et plutôt bronzés, jean souple, ni trop collant, ni pas assez; un beau spécimen de masculinité.
Il m'aborda très directement, je suis Mr E., A. E., professeur de
géologie à ... Vous êtes Mr xxxx et vous devez nous servir de guide?
Acquiesce et je répondis à une grande main très vivement tendue. Ouf...
ma main disparu dans la sienne, et je m'attendais à ce qu'elle soit broyée.. mais non, poignée ferme, mais sans excès.
Les présentations faites, Je lui dit :
-"En premier, je vous mène à l'hôtel qui vous abritera, et vous pourrez
vous installer."
Il me demanda si j'étais véhiculé, je lui dit que pour plus de pratique
j'irai avec eux dans le mini bus.
Il rameuta les jeunes, et nous attendîmes qu'ils soient tous rentré pour
les suivre; il me présenta le chauffeur, qui était aussi la deuxième personne encadrant le petit groupe. Et, quand nous fûmes installé derrière le chauffeur, nous partîmes et sous mes directives,
nous sommes très vites arrivé à l'hôtel; celui ci, grosse maison bourgeoise datant de la fin XIXème siècle tronait sur une des hauteurs de la ville, J'avais veillé que les chambres se trouvaient
toutes au même étage, mais nous avions dû placer deux jeunes par chambre; L'accompagnateur et Le prof disposant chacun d'une chambre "single". Les chambres distribuées, je laissais ce petit monde
s'installer tranquillement, de mon côté, après avoir demandé au prof de me rejoindre en bas pour pouvoir commencer à discuter emploi du temps, j'allais me mettre sur la terrasse ombragée de
muriers platanes. Un joli petit jardin s'étageait devant l’hôtel, et à l'odeur, je devinai que des jasmins étaient en fleurs; les bougainvillées se remettaient des rigueurs hivernales, mais par
contre les roses démarraient leur floraison.
Je sirotai mon jus de fruit, quand un bruit de pas fit crisser le
gravier, je me retournais, mon beau prof turc se trouvait déjà à côté de moi. Il s'était rafraichit, et un frai parfum de vétiver vint caresser mon odorat. c'était un homme soigné. Je l'invitait
à s'assoir, et après avoir commandé à boire pour lui, je le félicitais pour son excellent français.
Il me remercia très chaleureusement, et l’explication qu'il me donna me
fit tout de suite comprendre cette facilité qu'il avait dans notre langue. Fils d'enseignant, il avait fait ses études en Turquie, et ces diplômes de fin d'étude en poche, il avait réussit à
intégrer les bancs de la Sorbonne, et il avait passé 6 ans à Paris; sa licence passée, thèse et doctorat ont suivit, puis retour pour lui dans son pays; et entrée dans la vie active. Une vrai
bête à concours.
On lui avait apporté sa consommation, et nous nous mêmes à plancher sur
l'emploi du temps.
très vite, il nous est apparu, qu'il serait plus pratique pour moi
d'intégrer complètement le groupe et de rester 24h sur 24h avec eux. J'allais voir si il y avait une chambre libre, mais manque de chance, l'hôtel était complet.
Après un rapide conciliabule, il fut décidé que je partagerais la
chambre du prof; cela nous permit de négocier un meilleur prix pour lui, et le bénéfice ainsi fait, servirai au moins aux jeunes.
Avec A. nous avons décidé de continuer notre rencontre au sommet après
mon retour; je devais aller chercher mes affaires.
Cela me prit qu'une heure, et j'intégrais le groupe juste avant le
repas; A. annonça le changement apporté au groupe, et le repas se passa en relative quiétude. Après le repas, nous nous remîmes au travail, et pour ce, nous allâmes dans la salle que nous avions
louer pour les réunions du groupe.
Dans le calme notre projet fut vite calé, et l'emploi du temps fut vite
mis au point.
Vers minuit, nous regagnâmes notre chambre, mais en arrivant à l'étage,
un gémissement explicite se fit entendre... il provenait de la chambre de l'accompagnateur. A. s’arrêta, et collant son oreille à la porte, il écouta. Le gémissement reprit, entrecoupé par des
mots prononcé en turc... A. sourit, et se tournant vers moi, il me murmura :
-"c'est un jeune qui est en train de gouter au sel de la
vie."
Devant son détachement, je fut un peu désarçonné; et même assez
outré.
Il me fit signe de venir dans notre chambre, et me précédant, il
m'obligea à le suivre.
Je haussais les épaules... Mais quand même... je le trouvais assez
désinvolte. Mais bon, ce n'était pas mon problème.
Arrivé dans la chambre, il m'invita à aller prendre une douche
m'indiquant qu'il prendrait la sienne après.
Je m'enfermai dans la salle d'eau, et prestement, à poil, sous l'eau...
Il faut dire que ce que je venais d'entendre m'avait assez secoué, et ma libido, s'en était emparé. La douche froide eut vite fait de calmer cette excitation suspecte, et je revins dans la
chambre rafraichi et calmé, il prit ma place; et moi, pendant ce temps, j'ouvris la porte fenêtre, et baissais la lumière, à cause des moustiques.
J'enlevais mon pantalon et ma chemise et je décidais de me coucher comme
ça. Je portais un string noir, et habituellement, je dormais nu.
J'entendis que ses ablutions étaient terminées, et il sortit de la salle
d'eau....
Là, j'ai du ouvrir des yeux ronds comme des
soucoupes.....
Un dieu de chair et d'os uniquement vêtu d'un slip qui avait grand peine
à contenir une virilité qui semblait particulièrement fournie....
Mais, franchement, je n'avais jamais vu un mec aussi bien foutu. musclé,
mais sans excès, pas maigre, mais musclé fort, un torse virilement habillé d'une jolie toison brune. bref.. j'étais scié...
Lui, inconscient de mon malaise, allait et venait, puis, voyant la porte
fenêtre ouverte, il éteignit la lumière et se dirigea sur le petit balcon. Au bout d'un petit instant, il m'appela pour profiter de la vue.
J'enfilais mon pantalon, et je le rejoins. La lune brillait fort, et
l'on voyait son reflet dans l'eau de la baie; les jasmins distillaient leur parfum, et sa proximité, j'ai eu très chaud d'un coup; prétextant ce coup de chaud, je rentrais, enlevais mon pantalon,
et je rejoins A. Celui ci, qui était plutôt lyrique cinq minutes plutôt , devint brusquement muet.
J'étais sur sa droite, et regardant sur la droite, je vis un autre point
de vue. et lui tournant le dos, je lui montrait la coulée de lumière que l'on distinguait à droite.
Il se racla la gorge, et il se mit à murmurer :
"-Tu sais, pour ce que l'on a entendu dans le couloir; Ce sont des
choses normales."
"-Ha oui!......?"
Ma petite interrogation demandait une réponse.
"-Oui, il y a des garçons qui sont un peu "spéciaux"; ils sont très
attiré par les hommes, et pas du tout par les femmes."
silence de ma part.
"- Il y en a un dans le groupe, tu as du le remarquer, il portait une
chemise soyeuse bleu vif, et un pantalon assez moulant."
"-Oui exact, et...?"
"-Et bien il a jeté son dévolu sur notre
accompagnateur."
"-Et!!!"
"- Depuis notre départ, il n'a pas arrêté de lui faire des avances. et
même il a été assez provoquant."
"-Ha oui, comment?"
"-Hier soir, à l’hôtel en Italie, il s'est promené nu devant
l'accompagnateur."
Il poursuivit :
"- Ce n'est qu'un homme et voir ce joli fessier se promener devant lui,
ça l'a chauffé à blanc. Demain, Le jeune sera calmé, et rien ne transpirera."
Moi, innocemment, je m'étirai exhibant certaines courbes de mon
corps...Puis je lui dit :
"- Bon je vais au lit. a demain, bonne nuit."
Sur ces mots, j'allais me coucher; il resta un petit moment dehors, puis
il rentra et il vint près de mon lit :
"- Tu ne désires rien?"
"-Merci, ce soir je suis crevé, je n'ai envie de rien."
"-Alors peut être demain soir???"
Je ne répondis pas, et je fermais les yeux; j'étais réellement
fatigué.
Je n'entendis même pas quand il est allé dans son lit, je m'endormis
très vite.
Le matin, quand je me suis réveillé, il n'était plus dans la chambre; je
me rasais, et je pris une douche, puis je descendis prendre mon petit déjeuner.
Je retrouvais le groupe en bas, et je ne sais pas pourquoi, mais je
regardais le jeune qu'il. m'avait signalé. Ce matin, il portait une chemise rose; et je remarquais qu'il semblait plutôt fatigué, les cernes sous ses yeux trahissait son activité nocturne; le
chauffeur était assis à côté de lui, et lui semblait avoir bien profité de sa nuit, si il avait aussi les yeux cernés, il avait le visage détendu. Il me fit un signe, sourit, et me dit
:
"- le prof, salle de réunion."
Je bu mon café, et j'allais le rejoindre.
la porte était ouverte, il me vit entrer et me
dit
"- bonjour, tu as bien dormi?"
"-Oui, et toi?"
il se racla la gorge, puis il me répondit :
"- pas trop, j'étais trop "tendu"; ce soir, je me
ratt****rai!"
Je vous fait grâce des activités qui ont occupées la journée; il se
montra charmant, mais un peu distant; après le repas du soir, il me dit :
"on fait le point pour demain?"
"- Oui, bien sur."
Il se leva, et il dit quelques mots en turc, au chauffeur, celui ci,
sourit, et lui répondit quelque chose que je ne compris pas, je regardais ., celui ci souriait, il haussa les épaules, et il s'adressa au groupe :
"- Coucher à 21 heures pour tout le monde, demain on commence à 8h, donc
réveil à 6h 30mn"
puis se tournant vers moi :
"-On va bosser?"
je le suivis, et dans la salle de réunion, nous fîmes ce que nous
devions faire. cela fut rapidement bouclé; mais, nous sortîmes de la salle à 21h 35mn.
Nous fîmes un passage par le restaurant, le groupe n'était plus là; un
regard au bar. Personne.
Nous sommes donc monté.
dans le couloir, il toqua à la première porte et ouvrit; c'était la
chambre du chauffeur; tout était éteint et la chambre vide.
chambre suivante : là, les deux occupants étaient tranquillement en
train de recopier leurs notes.
Il en fut de même pour les deux autres.
Dans chaque chambre, il rappela que le réveil serait à 6h 30, et qu'ils
feraient bien de se coucher rapidement. Nous sortions de la dernière chambre quand le chauffeur regagna sa chambre.
A. Me dit :
"-5 minutes, je dois lui dire quelque chose pour demain
matin."
j'allais dans notre chambre, et n'allumant que les veilleuses, j'allais
me prendre une bonne douche.
Une fois bien douché, et bien rafraichi, uniquement vêtu de mon string
je regagnais la chambre, la porte fenêtre était fermée, et la chambre était très chaude. J'ouvris donc la fenêtre et j'allais sur le petit balcon; il faisait très doux et je me laissais grisé par
les odeurs des jasmins...
Soudain, j'ai ressenti une présence : c'était A.. il se tenait dans
l'ombre, et il était complètement nu.
Il s'avança, et je pu voir qu'il était ... très
"tendu"....
Il me dit :
-" Reste devant moi, et tourne toi, laisse moi admirer ta superbe "lune"
."
je m'accoudais donc à la rambarde en fer forgé, et je le laissais
regarder...
cela dura 10 bonnes minutes; je me déhanchais, posant mon pieds sur une
des volutes.
il laissa échapper un long soupir...
il me dit :
-" Remonte ton pied plus haut!"
je le fis.
Re -soupir de sa part, mais là, j'ai senti qu'il s'était beaucoup
rapproché de moi, et ses bras ont emprisonné les miens, son torse frôlait mon dos, et cela m'électrisait; mes jambes tremblaient...
Il me murmura :
"- Tu me tentes trop... Tu vas peut être regretter... Mais j'ai envie de
te faire l'amour...."
Je soupirai et murmurai :
"- Pourquoi regretter? c'est peut être toi qui va
regretter?"
"Ho non! j'adore les hommes de ton age, et j'adore encore plus quand ils
sont un peu ronds."
ses grandes mains s'étaient posées sur ma poitrine, et ses doigts
avaient tout de suite trouvé mes tétons; ils étaient dressés et gonflés; il les tordait, les malaxait, et cette folle caresse me fit l'effet d'un coup de fouet, je gémis doucement en me
redressant complètement; mon corps épousant le sien, mes fesses massant sa virilité complètement dressée...
Il murmura des mots que je ne compris pas. je lui dit
"- Traduits moi ce que tu viens de dire"
"J'ai dit que tu étais chaud comme de la braise"
il ajouta
"-Tu sais ce qui va se passer?"
"-Oui."
"-Tu acceptes que je t’encule?"
"-Oui."
"-Tu acceptes d'être mon "edilgem, benim kadimn?"
puis en français :
"-Mon passif, ma femelle?"
"-Oui."
"-Tu vas accepter tout de moi? je pourrai t'utiliser comme je veux, où
je veux, quand je veux?"
"-Oui, tout."
ses mains ont quitté ma poitrine, et elles ont fait glisser mon string;
il le fit glisser à mes pieds, et il me reprit dans ses bras, poitrine contre dos...
Là, j'ai senti son sexe essayer de s'insinuer entre mes
cuisses.
Je cambrai mes reins, lui offrant ma croupe...
son sexe était humide, et il l'a fait coulisser entre mes cuisses
lentement; j'aimais sentir ce gros boudin de chair bouger contre ma peau...J'avais un peu peur, car là, je m’aperçut qu’il faisait au moins 22 cm et côté diamètre, j'estimai à 5 ou 6
cm...
Je lui dit :
"- Tu es très puissant, va doucement, je ne suis pas trop
habitué..."
"- Tu n'es pas vierge quand même?
"-Non, mais je ne me fais pas sodomiser tous les
jours..."
"-Ta dernière fois c'était quand?
"- presque un an."
il murmura :
"- C'était un gros calibre?"
"-Non, normal : 18x4..."
Il murmura :
"-Alors pour moi ça va être comme si tu étais
vierge..."
Il ajouta :
"-les capotes, ça t'embête?"
"-Non, mais c'est vrai que je préfère le naturel. Mais tu as raison; tu
en as?"
"-Oui; j'en ai, mais il faudra que j'en rachète
demain."
Il me tira en arrière; on avait entendu une porte fenêtre s'ouvrir. il
me poussa dans la chambre, et alla regarder, puis il tira les persiennes.
J'étais sur mon lit, et je sentais mon entre jambe complètement trempée,
j'y portais les doigts, et ensuite, je les sentis; ça sentait l'écume de mer, les embruns, le sel de la vie, je léchais mes doigts; le goût était égal à l'odeur, peut être en plus fort en plus
puissant...
Pendant ce temps, il fouillait dans sa sacoche, et il revint, des étuis
entre les doigts...
J'étais assis, et il se campa devant moi, jambe un peu écartées, sexe
dressé...
Il me dit :
"-Tu suces?"
"-Oui."
sa voix se fit plus dure :
"-Alors, vas y!!!..."
et joignant le geste à la parole, il porta son sexe à mes lèvres,
j'humidifiai mes lèvres de ma langue, ce faisant, il reçut une caresse involontaire; il grogna :
"Allez salope, vas y, gobe le... ne te retient pas..."
j'écartais les lèvres, et il le poussa fermement dans ma
bouche
il bougeait doucement, mais l'énormité de son sexe m’empêchait d'être
efficace...
il me dit :
"-On t'a fait faire des "gorges profondes"? "
je laissais mon ouvrage pour lui répondre :
"- Non jamais."
"-Et bien, avec moi, tu vas apprendre..."
il poussa son sexe le plus possible en me tenant la tête; j'étouffais
littéralement, son gland toucha ma luette, ce qui déhancha un haut de cœur, mais en même temps, il poussa son gland au fond de ma gorge... là, j'étouffais complètement, je le repoussais
brutalement, et une fois ma bouche libérée, j'ai pu retrouver mon souffle.
il ricana :
"- A ce que je vois, tu n'as jamais couché avec un vrai actif... Je vais
me régaler.."
Il me poussa sur le lit; et il m'enjamba et s'assit sur mon
torse...
là, saisissant son gros mandrin, il se mit à me gifler puis son gland
visant mes lèvres, il essaya de f***er mes dents
Je lui dit :
"-Va doucement, j'ai un dentier..."
"-Hooooo! c'est super, enlève tes dents..."
je les enlevai, il me fit me remonter sur
l'oreiller,
là, il me représenta son engin, et je me remis à lui sucer le gland, il
le bougeait lentement, et mes mains posées sur ses hanches suivaient tous ses mouvements, il grognait, et soupirait à chaque nouvelle caresse de ma part; puis il se remonta un peu, et là, il se
mit à pousser lentement, j'écartais les mâchoires au maximum, et quand il pensa que son gland arrivait au point crucial, il me dit,
"-avale, avale, comme si c'était de l'eau..."
et il força ma gorge, j'avais son gland dedans; je sentais les muscles
de mon arrière gorge se crisper, et lui masser le gland; j'avalais la tonne de salive qui emplissait ma bouche, et ça a du lui causer un grand plaisir, il grogna sourdement, et j'ai senti son
sexe se gonfler il me dit :
"-Putain! ça vient, tu suces trop
bien...HOOOOOOOOOOOOOOO........"
et il lâcha son sperme j'ai senti une grosse giclée buter dans mon
arrière gorge; il se retira doucement, laissant les giclées suivantes se déposer sur ma langue....
Il murmurait :
"-HOOOOOOOOOO !!!! Putain, putain, ouiiiiiiiiii, avale tout, déguste mon
miel............HAAAAAAAAAA!!!!!!!!....."
Les dernières giclées furent pour mes lèvres que je léchais goulûment,
c'était fort en gout, puissant, un peu âcre; il reprit très fort, et son gros sexe oscillait lourdement devant ma figure.......
il l'essuya sur ma figure, me laissant les dernières trainées de sperme
sur mes joues, puis il se retira de dessus moi; je m'essuyais la figure, et comme il me regardait, je me léchais les doigts tout collants..........
il soufflait moins fort; il caressa mes joues, séchant les dernières
trainées oubliées, et il me fit lui nettoyer les doigts, je les suçais avidement; et, il s'est plu à tâter l'intérieur de ma bouche...
Il me dit :
"-Putain, tu es vraiment un homme comme j'aime, viril dans la vie, et
salope au lit... On va bien s'entendre tous les deux..."
Il ajouta :
"-Lève toi et aide moi à rapprocher nos lits."
En faisant le moins de bruit possible, cela fut fait; il défit les draps
et couvres lits, et regardant notre travail, il me dit :
"-Voilà notre champ de bataille, recouche toi."
je me couchais et il fit de même; j'étais sur le ventre, et lui se mit
sur le côté, face à moi. J'admirai sa plastique; il était véritablement très bien fait; son sexe avait repris un aspect moins arrogant, il reposait doucement le gland dirigé vers le drap.
j’aperçois qu'il laissait échapper un peu de liquide, je m'empressais de l'essuyer avec les doigts, ce qui eut pour effet de le faire durcir... A. me sourit; il me dit :
"Hé! laisse moi reprendre du tonus, tu es insatiable ma
parole."
Je me récriai :
"-Non, évitons les taches suspectes..."
Il s'étendit voluptueusement, faisant saillir ses muscles.. je le
félicitais pour sa forme, il m’expliqua qu'il faisait et pratiquait la lutte... il m''expliqua qu'il s'épilait les jambes et les bras, mais qu'il gardait le reste de sa
pilosité..
Je lui avouais que j'aimais beaucoup, je n'aimais pas les corps
imberbes.. lui non plus, à ses dire, mais il ajouta un "bémol" :
"-Sauf entre les fesses, là, j'aime qu'il n'y ait pas de
poil."
Je me levais d'un coup et j'allais dans la salle d'eau; il me
suivit...
"-Tu fais quoi?"
"-Rien, je vais me raser..."
"-Laisse moi faire, si tu le veux bien..."
sitôt dit, sitôt fait, il prit mon rasoir, et la crème, et il m'installa
à genoux aux pieds du lit; il m'enduisit , et très délicatement, il entrepris de me raser entre les fesses; puis, quand il fut satisfait de son travail, il mouilla un gond, et délicatement, il me
lava... je me laissais faire, cul offert, cambré...il essuya longuement l'endroit, et soudain, il posa sa bouche à cet endroit; il m'infligea une "feuille de rose" délicieuse...je gémissais
langoureusement sous sa bouche, et même, j'ai poussé de petits cris quand sa langue, telle un sexe s'introduisit dans mon sphincter...
Je n'étais plus que plaisirs et sensations....
Il s'attarda longuement, aspirant, léchant, sondant, mouillant
abondamment mon anus ..
Puis, il me mit un doigt, je gémis plus fort; il plaqua son autre main
au creux de mes reins, pour que je me cambre encore plus, et ensuite, il essaya d'en mettre deux; je me tortillais... gémissant, feulant de plaisirs ... il mouilla abondamment ma raie, et
enduisit bien ma rondelle, et là, il mit trois doigts; je gémis plus fort :
"-Là, tu me fais mal..."
il continua sa torture, et sans faiblir, il poussa ses doigts en moi,
les écartant le plus possible...
J'ai senti mon anus s'ouvrir doucement sous cette pression... il les fit
aller et venir, puis il me laissa, pantois... gémissant de cet abandon. Il alla dans sa valise et revint avec un tube.
Là, il m'enduisit longuement mon anus, la crème calmait ma douleur, très
vite, il réintroduisit ses doigts; je gémissais doucement, savourant cette caresse.
il continuait ses va et vient, et chez moi, je sentais une énorme envie
de recevoir quelque chose de plus fort que ses trois doigts...je cambrai mon derrière, écartant mes fesses le plus possible.
Il me demanda :
"-Tu aimes ça?"
"Oui, on ne m'a jamais fait ça..."
il rit...
" -On va plus loin?"
"-Ouiiiiiii"
il remit encore de la vaseline et là, ce furent ces cinq doigts qui
occupèrent la place; sous la pénétration, je poussais une espèce de jappement étranglé...
il poussa encore, je sentais mon anus s'ouvrir... Il me dit
:
"-Pousse, pousse comme si tu allais faire..."
je poussais, et mon anus lâcha d'un coup, sa main progressa de presque 3
centimètres; il la bougea, m'arrachant de longs râles... Il la ressortit, et la replongea d'un coup, je me cambrai, poussant un long gémissement; il refit cette chose plusieurs fois, et à chaque
poussée la main progressait, ses doigts caressait ma prostate, me causant des frissons de plaisirs...
Puis, il s’arrêta, il essuya sa main sur mon dos, et j'entendis qu'il
déchirait un emballage, puis le claquement sec du caoutchouc sur de la chair me fit comprendre qu'il allait m'embrocher....
j'avais à la fois peur, et envie......
Il se positionna entre mes pieds, écartant un peu plus mes jambes, puis,
il me remit de la vaseline, et j'entendis qu'il s'enduisait le sexe.....il posa le bout de son gland contre mon anus....
Il me redemanda de pousser, je fis comme si j'étais au cabinet... il
m'encouragea :
"- Encore, pousse, vas y, encore..."
il claqua mes fesses, une claque sèche, mais tendre, sous le coup, j'ai
senti mon anus s'ouvrir d'un coup; il poussa un grognement :
"-Oui, comme ça, ouiiiiiiiiiiii...."
j'ai senti comme une décharge électrique me traversé, il se saisit
durement de mes hanches, et il poussa;
j'ai ouvert la bouche, un cri silencieux, une douleur vive mais
fugace... puis un long gémissement s'échappa de mes lèvres, et là, il s'enfonça jusqu’à ce que ses couilles butent contre ma peau. J'étais complètement "emmanché" sur son sexe...Il resta immobile
un moment... je m'habituais à l'énormité que j'avais dans le cul.....et la douleur s’estompa rapidement... même mon anus se serra deux ou trois fois, mesurant ainsi la vigueur mâle qui m'avait
pénétrée......
Enfin, il commença de très lents va et vient, cette lenteur torturait
délicieusement mon sphincter, l'obligeant à accepter cette présence...
Son sexe massait tout mon intérieur, et cette sensation d'être
complètement "rempli" me procurait un plaisir immense...
Des gémissements tels ceux que nous avions entendu la veille, ont
atteint mon cerveau.. c'était moi qui gémissait comme une chienne en chaleur sous la pénétration de son mâle.
Ses mouvements se firent plus brutaux, et bientôt, son sexe, entrait et
sortait sur toute sa longueur; mes gémissements ne s'interrompaient plus; et même je me suis entendu le supplier d'aller plus fort, plus vite... Je voulais sentir sa jouissance... J'appelais sa
jouissance....
Mon anus envoyait des décharges électriques dans tout mon corps, et mon
cerveau n'arrivait pas à tout analyser.... une boule de feu sembla exploser en moi, mon corps fut parcouru d'un spasme qui fit que je serrai très fort l'intrus qui ravageait mon intérieur... La
réaction fut immédiate.. il poussa une sorte de son rauque, guttural, et il se ficha au plus profond de mon pauvre cul.. son corps était parcouru de spasmes nerveux, ses mains serraient si fort
mes hanches, que j'ai eu des bleus pendant quelques jours... Il laissa exploser sa jouissance sauvagement en moi... mon bas ventre était crispé, noué, mes testicules étaient remontées, et je
sentais du liquide sortir de mon sexe et couler sur le sol.....
Il respirait comme un bucheron qui vient de fendre un arbre
centenaire...
Puis, la pression de ses mains sur mes hanches se fit plus douce; il se
pencha en avant, son torse reposant sur mon dos... il me dit juste ce mot :
"-Merci"
puis lentement, il se redressa, et j'ai senti son sexe sortir de mon
anus; je' détestais cette sensation de vide que j'avais à ce moment... je me redressai, pendant qu'il se relevait, puis il m'aida à me mettre debout... là, il enleva le préservatif et il allait
le mettre à la poubelle, je le lui pris, et sans réfléchir, je vidais le contenu dans ma bouche, même je retournais la capote, et je la suçais. Il me regardait faire,
goguenard...
"Tu as aimé, hein?"
"Non tu crois?"
je me dirigeai vers le WC, et là, je m'assis sur le siège; il m'avait
suivit...
Il me regardait...
J'avais envie d'expulser quelque chose qui n'était plus en moi, mais
cette position fit son œuvre et bientôt, je laissais échapper un petit rondin, le floc dans la cuvette le fit rire...
je m'essuyais, et jetant le préservatif dans la cuvette je tirai la
chasse, puis j'allais dans la salle d'eau, j'avais besoin de me rafraichir...
Il me suivit encore, et il m'observa pendant que je faisais mes
ablutions
Je repris un petite douche, et pendant tout ce temps, il me regardait;
il s'approcha lorsque je m’apprêtais à m'occuper de mon fondement; ce fut lui qui prit le gant et ce fut lui qui me lava entre les fesses, il eut des gestes très doux, et il me rinça tout aussi
gentiment; et ce fut lui qui m'essuya toujours avec des gestes doux.
Ensuite, il me mena au lit, et il m'aida à m'allonger et il vint me
rejoindre après avoir fait le tour du lit.
Je regardais l'heure, il était minuit trente.Soudain, il me dit
:
"-J'ai oublié de mettre le réveil"
Il s'occupa de la chose, et il se retourna vers moi.
"-Tu vas bien?"
sa voix était basse, douce, gentille...
"-Oui, ça va"
"-Tu n'as pas eu trop mal?"
"-Si, un peu."
Il resta un moment silencieux.
"-Excuses moi, mais tu sais, la façon dont tu t'es conduit m'a trop
excité; j'ai cru que tu étais habitué à des rapports "violents"."
"- Tu n'as pas a t'excuser, depuis que je t'ai vu descendre du car, j'ai
rêvé de moment."
Il me regarda en souriant... puis il murmura :
"-Tu es vraiment un type extra."
Il m'attira à lui, et très tendrement, il m'enlaça, nos jambes mêlées,
ses pieds caressant les miens, mes mains contre sa peau, mon nez près de sa toison.. Je me laissai couler dans un nirvana de plaisir mental, et je sombrai dans le sommeil
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