Le camionneur Italien. Erwann, jeune homme de 25 ans, belle gueule et carrure de sauteur à la perche avait décidé de rejoindre pour Pâques sa fiancée qui finissait ses études à Athènes. Jeune prof de gym, les caisses étaient vides alors Erwann avait pris l’option de l’auto-stop. Trajet: Lyon-Athènes via l’Italie. Le tout est d’arriver jusqu’en Italie pour pouvoir prendre le bateau direct jusqu’à la capitale hellénique. Les premières heures se passent bien mais par bon de pouces. Erwann arrive à Chambéry et pour la quatrième fois, il tend le pouce au bord de la route. Au bout de 20 minutes, un camion immatriculé en Italie s’arrête à sa hauteur. La porte s’ouvre et Erwann monte dans la cabine. Le conducteur s’appelle Giovani, il a la trentaine, les cheveux noir et parle français avec un léger accent italien. La conversation s’engage sur des banalités, sur l’excellent français de Giovani et ça dérive sur les filles du calendrier très porno de la cabine: des filles prisent par deux ou trois mecs super bien montés. Erwann n’est pas homo, mais les mecs ne le dégoûtent pas non plus; il s’est même imaginé plusieurs fois au lit avec un bien viril, comme Giovani en fait! C’est vrai que c’est un mec qui lui plait plutôt… Il a des biceps et des pectoraux impressionnants et même si il n’est pas sec et fin, il n’a pas de ventre. Il porte un tee-shirt sans manche (fait maison apparemment!) qui laisse apparaître la toison noire de son torse comme les poils de ses aisselles. Il porte aussi un jean qui moule ses cuisses puissantes et son entrejambe très bombé. Erwann sort de ses rêvasseries pour entendre la question de Giovani: — Alors comme ça tu vas en Grèce, tu sais ils ont des drôles de mœurs la bas! dit-il en souriant. — Ouais, y paraît, répond Erwann le sourire dans la voix. Mais j’suis quelqu’un de très ouvert! — Hé! comme moi, dit Giovani. Et il commença à raconter une histoire très chaude d’une partouze à laquelle il avait participé et où il avait sucé des mecs pour la première fois. Pendant qu’il racontait ça, il se touchait le paquet de temps à autre. Erwann était excité par son histoire, son jean le serrait de plus en plus. Il matait Giovani qu’il trouvait de plus en plus beau avec son bouc noir, sa coupe à la brosse et ses yeux bleues. Le conducteur du camion transpirait de plus en plus à cause de la chaleur et Erwann contemplait les gouttes de sueur ruisseler sur le corps de son hôte. — T’as déjà sucer un mec toi? demanda soudain Giovani. — Euh, nan, jamais, répondis Erwann. — C’est une expérience à faire tu sais, dit alors Giovani. Erwann ne répondit pas, un peu choqué par la question, et la conversation cessa, laissant place à la radio. Giovani continuait de se gratter les couilles de plus en plus souvent et chaque fois qu’il bidouillait la CB, Erwann salivait sur ces aisselles mouillées de sueur. Ça ne lui ressemblait pas mais la testostérone que dégageait ce routier italien le rendait fou. D’un coup, après s’être touché la paquet pour la ennième fois, Erwann jeta un regard sur l’entrejambe de Giovani et il découvrit à sa stupeur une énorme bite à moitié molle gonflée de sang qui reposait sur une paire de couilles poilues. — J’aime ça quand tu la regardes… dit Giovani. — Ben, c’est impressionnant et j’aime bien regarder les belles choses, dit Erwann un peu gêné mais décidé à franchir le pas. — Tu veux la toucher? demanda Giovani. — Ouais pourquoi pas, dit Erwann. Et il la prit dans sa main gauche. Elle était chaude et commençait déjà à mouiller. Doucement, il la caressait et elle grossissait. Erwann sortit sa bite de son jean et commençait à se branler de la main droite. Le soir tombait, Giovani entra sur une aire d’autoroute, s’arrêta et ferma les rideaux. Il se tourna vers Erwann et commença à l’embrasser goulûment. Quelle drôle d’impression d’embrasser un bouc, pensa Erwann mais putain, qu’est-ce que c’était bon… Giovani leva le bras et amena la tête d’Erwann vers son aisselle poilue et trempée de sueur. Erwann lécha avec délectation ce concentré de mâle. Ce goût salé, cette odeur d’homme, le faisait bander très dur. Une seconde fois, Giovani amena la tête d’Erwann, cette fois-ci vers sa bite. Erwann commença par lécher, puis il suça, l’avala, et descendit vers les couilles. Giovani ôta son tee-shirt, laissant apparaître son torse poilu. Il se titillait les tétons pendant sa gâterie. — Viens je vais te sucer en même temps, dit-il. Ils se déplacèrent sur la banquette de la cabine, finirent de se déshabiller et se positionnant en 69. Chacun prit celle de l’autre à pleine bouche. Giovani était très brusque et c’était bon; il donnait des coups de rein et avait attrapé les fesse d’Erwann de ses deux main pour avoir une meilleur prise dans son élan de va-et-vient sur la queue de son auto-stoppeur. — Je sens que je viens, dit Erwann. Mais à sa grande surprise, Giovani contiuna de plus belle jusqu’à recevoir le jus dans sa bouche. Il avala les deux premières saccades et garda le reste dans sa bouche. Il se dirigea vers la bouche d’Erwann pour partager le nectar. Ils mélangèrent sperme, salive et langues dans une délectation gourmande. Giovani se mit sur le dos et commença à se branler pendant qu’Erwann lui léchait les couilles. Giovani cracha un épais sperme blanc sur son torse et jusqu’au visage. — Lave-moi maintenant, ordonna Giovani à Erwann. Il s’exécuta, allant chercher la moindre goutte de foutre avec la langue dans les poils. Il ne put s’empêcher d’avaler ce nectar fait de poils, de sueur et de sperme. Giovani lui donna sa main droite pleine de sperme à lécher, ce qu’il fit avant de venir récolter les traînées de jus qui l’appelaient sur le bouc de son initiateur. Ils terminèrent en partageant le jus chaud à grands coups de langue. Ils s’endormirent aussitôt, Erwann le visage contre ce torse humide.

Le camionneur Italien.

Erwann, jeune homme de 25 ans, belle gueule et carrure de sauteur à la perche avait décidé de rejoindre pour Pâques sa fiancée qui finissait ses études à Athènes. Jeune prof de gym, les caisses étaient vides alors Erwann avait pris l’option de l’auto-stop. Trajet: Lyon-Athènes via l’Italie. Le tout est d’arriver jusqu’en Italie pour pouvoir prendre le bateau direct jusqu’à la capitale hellénique.

Les premières heures se passent bien mais par bon de quelques km. Erwann arrive à Chambéry et pour la quatrième fois, il tend le pouce au bord de la route. Au bout de 20 minutes, un camion immatriculé en Italie s’arrête à sa hauteur. La porte s’ouvre et Erwann monte dans la cabine. Le conducteur s’appelle Giovani, il a la trentaine, les cheveux noir et parle français avec un léger accent italien.

La conversation s’engage sur des banalités, sur l’excellent français de Giovani et ça dérive sur les filles du calendrier très porno de la cabine: des filles prisent par deux ou trois mecs super bien montés. Erwann n’est pas homo, mais les mecs ne le dégoûtent pas non plus; il s’est même imaginé plusieurs fois au lit avec un bien viril, comme Giovani en fait! C’est vrai que c’est un mec qui lui plait plutôt… Il a des biceps et des pectoraux impressionnants et même si il n’est pas sec et fin, il n’a pas de ventre. Il porte un tee-shirt sans manche (fait maison apparemment!) qui laisse apparaître la toison noire de son torse comme les poils de ses aisselles. Il porte aussi un jean qui moule ses cuisses puissantes et son entrejambe très bombé.

Erwann sort de ses rêvasseries pour entendre la question de Giovani:

— Alors comme ça tu vas en Grèce, tu sais ils ont des drôles de mœurs la bas! dit-il en souriant.

— Ouais, y paraît, répond Erwann le sourire dans la voix. Mais j’suis quelqu’un de très ouvert!

— Hé! comme moi, dit Giovani.

Et il commença à raconter une histoire très chaude d’une partouze à laquelle il avait participé et où il avait sucé des mecs pour la première fois. Pendant qu’il racontait ça, il se touchait le paquet de temps à autre. Erwann était excité par son histoire, son jean le serrait de plus en plus. Il matait Giovani qu’il trouvait de plus en plus beau avec son bouc noir, sa coupe à la brosse et ses yeux bleues. Le conducteur du camion transpirait de plus en plus à cause de la chaleur et Erwann contemplait les gouttes de sueur ruisseler sur le corps de son hôte.

— T’as déjà sucer un mec toi? demanda soudain Giovani.

— Euh, nan, jamais, répondis Erwann.

— C’est une expérience à faire tu sais, dit alors Giovani.

Erwann ne répondit pas, un peu choqué par la question, et la conversation cessa, laissant place à la radio. Giovani continuait de se gratter les couilles de plus en plus souvent et chaque fois qu’il bidouillait la CB, Erwann salivait sur ces aisselles mouillées de sueur. Ça ne lui ressemblait pas mais la testostérone que dégageait ce routier italien le rendait fou.

D’un coup, après s’être touché la paquet pour la ennième fois, Erwann jeta un regard sur l’entrejambe de Giovani et il découvrit à sa stupeur une énorme bite à moitié molle gonflée de sang qui reposait sur une paire de couilles poilues.

— J’aime ça quand tu la regardes… dit Giovani.

— Ben, c’est impressionnant et j’aime bien regarder les belles choses, dit Erwann un peu gêné mais décidé à franchir le pas.

— Tu veux la toucher? demanda Giovani.

— Ouais pourquoi pas, dit Erwann.

Et il la prit dans sa main gauche. Elle était chaude et commençait déjà à mouiller. Doucement, il la caressait et elle grossissait. Erwann sortit sa bite de son jean et commençait à se branler de la main droite.

Le soir tombait, Giovani entra sur une aire d’autoroute, s’arrêta et ferma les rideaux. Il se tourna vers Erwann et commença à l’embrasser goulûment. Quelle drôle d’impression d’embrasser un bouc, pensa Erwann mais putain, qu’est-ce que c’était bon…

Giovani leva le bras et amena la tête d’Erwann vers son aisselle poilue et trempée de sueur. Erwann lécha avec délectation ce concentré de mâle. Ce goût salé, cette odeur d’homme, le faisait bander très dur. Une seconde fois, Giovani amena la tête d’Erwann, cette fois-ci vers sa bite. Erwann commença par lécher, puis il suça, l’avala, et descendit vers les couilles. Giovani ôta son tee-shirt, laissant apparaître son torse poilu. Il se titillait les tétons pendant sa gâterie.

— Viens je vais te sucer en même temps, dit-il.

Ils se déplacèrent sur la banquette de la cabine, finirent de se déshabiller et se positionnant en 69. Chacun prit celle de l’autre à pleine bouche. Giovani était très brusque et c’était bon; il donnait des coups de rein et avait attrapé les fesse d’Erwann de ses deux main pour avoir une meilleur prise dans son élan de va-et-vient sur la queue de son auto-stoppeur.

— Je sens que je viens, dit Erwann.

Mais à sa grande surprise, Giovani contiuna de plus belle jusqu’à recevoir le jus dans sa bouche. Il avala les deux premières saccades et garda le reste dans sa bouche. Il se dirigea vers la bouche d’Erwann pour partager le nectar. Ils mélangèrent sperme, salive et langues dans une délectation gourmande. Giovani se mit sur le dos et commença à se branler pendant qu’Erwann lui léchait les couilles. Giovani cracha un épais sperme blanc sur son torse et jusqu’au visage.

— Lave-moi maintenant, ordonna Giovani à Erwann.

Il s’exécuta, allant chercher la moindre goutte de foutre avec la langue dans les poils. Il ne put s’empêcher d’avaler ce nectar fait de poils, de sueur et de sperme. Giovani lui donna sa main droite pleine de sperme à lécher, ce qu’il fit avant de venir récolter les traînées de jus qui l’appelaient sur le bouc de son initiateur. Ils terminèrent en partageant le jus chaud à grands coups de langue.

Ils s’endormirent aussitôt, Erwann le visage contre ce torse humide.