SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES

Dimanche 21 juillet 7 21 /07 /Juil 00:38

à relire dans RECITS REELS (35)

toutes les photos ci-dessous sont "fake" et libres du net

    Merci Claudio pour ce bel homme illustrant ton commentaire "Endurance en Durance"j'aimerai l'avoir chaque nuit dans mon lit.Ce beau poilu me rappelle une aventure vécue a St Gilles un soir ou mon ami était de service a la réception de l'hotel de sa maman.J'ai fait connaissance,dans ce club tenu à l'époque par Elysée,d'un charmant garçon de la région.Comme tout acte sexuel étant prohibé dans l'établissement nous somment sortis et il m'a emmené dans le domaine de son père au milieu des vignes.Sortis du coffre de ma 4L,tapis de sol et plaids que nous avons étendu entre deux rangée de ceps et nous somment dévétus et avons roulé a terre.

     

Nous nous somment aimés follement,il m'a comblé de caresses et m'a fécondé par deux fois   .(en 1980 la capote n'était pas de mise).Quel merveilleux souvenir j'en garde,si nous pouvions revenir 33 ans en arrière!!!!
Grosses bises a mon ami Claudio.

 

Re :

Bravo ami vikinghard ! des bises fraternelles ! une idée me vient en te lisant, c'est que la plupart d'entre nous qui nous retrouvons sur ces pages gaies du Vaucluse (5à600 visiteurs/j), avons des expériences et souvenirs tout aussi remarquables, vibrants comme au premier jour. Surtout pas gravés dans la pierre ou le métal. Ils sont fixés en nous dans une matière vivante. Ils ressurgissent aussitôt qu'on les sollicite.

Bien sûr comme Villon par la bouche de Brassens on peut ironiser sur nos "neiges d'antan " à nous. Mais ce n'est pas mon idée. Je n'aime pas jouer les anciens combattants.

Oui, cette nuance de regret que tu exprimes de "revenir 33 ans en arrière", peut être il faut la combattre en nous rejouant nos "films". Je me dis toujours que c'est une chance de pouvoir revivre ces moments intenses dont nos yeux, nos sens, ont fixé images et sons à dispo pour toujours en nous. Tiens! ce superbe garçon totalement déshinibé qui guettait chez moi les effets lisibles du moment où il faisait irruption en moi. Sa façon d'imiter mon petit cri avec son sourire rentré...c'est, en mon monde intérieur, du vivant avec sa part d'éternité, mais aussi de bien réel. Il y aurait tout le temps de quoi faire avec ça du Proust, du Gide, du Roger Martin du Gard, du Jean Genet ou...du Jean Daniel Cadinot. La littérature ou le cinéma, avec art, ont perennisé leurs moments fantasmatiques à eux . On a les nôtres.

  Tu dis DANS LES VIGNES ? c'était au temps où j'avais un vieux fourgon Mercédès*tôlé, fermé et cet après-midi là j'ai rencontré un jeune homme bisex marié près de l'usine à béton de la Durance. On s'est plu. On s'est mis à l'arrière mais ça virait tellement autour de nous avec des mecs en folie qui collaient l'oreille aux parois du bahut, qu'on décide d'aller à deux véhicules sur la petite hauteur au dessus de l'autoroute, dans les vignes. La relation fut mémorable. Chair contre chair. J'avais matelas et couette au sol.     

 Oui, mais un orage éclate là, la pluie résonnait sur les tôles augmentant notre impression d'être seuls au monde. On se regardait, on riait un peu, on se faisait des pelles et il me prenait de plus belle. On n'aurait pas été mieux dans un palais.

Autre anecdote de ce jour-là : il était reparti avec sa voiture.En rangeant le lieu de nos ébats (taches, kleenex......) je trouve son bracelet montre qu'il avait ôté pour ne pas me griffer le dos. (peut-être aussi pour que le temps qui passe nous lâche un peu la grappe ! ( lol !) Pour te répéter que c'était un mec cho, je te dirai simplement que je l'ai retrouvé sur la drague à chercher un nouveau partenaire. Etonné que je revienne vers lui il a retrouvé sa montre avec le plaisir évident de quelqu'un qui n'aurait pas à mentir sur la raison de cette perte...

J'aimerais bien te rencontrer vikinghard pour échanger ces souvenirs de vive-voix en se tenant la main

De grosses bises, des sonnantes et des mouillées, à toi mon AMI.

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* quand je regarde mon fourgon actuel portes ouvertes  s,  ça me fout une joie immense de penser que je suis le seul avec mes divers "invités" à savoir ce qui s'est passé si souvent dans ces quelques mètres cubes . Quand j'ai vendu le Mercédès, j'ai écrasé une larme car il contenait lui aussi des souvenirs. Celui d'Hassène notamment dont j'ai parlé.

Tout ce qui est dans cet échange ci-dessus passera dans un article illustré du blog, ceci pour encourager tous ceux qui ont envie de partager de précieux souvenirs avec nous et l'ensemble des 5 à 600 visiteurs / jour

contact du blog :    claudemodou@gmail.com  

 

 

  vikinghard :"(en 1980 la capote n'était pas de mise)".

 

 

 

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 18 juillet 4 18 /07 /Juil 23:53

à relire dans BISEXUELS un coeur plus grand ? (26)

 comment on se fait son chemin tout seul quand on est ado

A l'usine

 

Aujourd'hui, juste après le déjeuner, je suis allé aux toilettes. Il n'y avait personne, alors je me suis mis au milieu, comme ça, si quelqu'un arrive il ne peut pas se mettre très loin de moi. Juste après, Philippe est arrivé et s'est mis à côté. Il l'a sortie, et au lieu de commencer à pisser, il a commencé à se caresser en regardant de l'autre côté. Je n'ai pas pu résister à la tentation et j'ai un peu tourné la tête pour le voir mieux, et je l'ai vu commencer à bander et se redresser petit à petit en battant. Et puis il a commencé à se branler doucement ! Là, sous mes yeux ! Devant la scène, j'ai bandé aussi. C'est peut-être qu'une idée, mais j'avais l'impression que Philippe voulait que je le voie en train de s'astiquer. J'avais la tête en feu. Oui, c'est sûr que Philippe a un beau manche. Et puis on a entendu quelqu'un arriver, alors Philippe a rangé son truc en vitesse dans son pantalon, et il s'est sauvé rapidement. C'était Marc. Alors juste le temps de jeter un coup d'œil à celle de Marc je suis parti aussi. Quand je suis passé devant Philippe, il a continué à travailler sans me regarder, indifférent. J'ai regardé sa braguette, mais son bleu de travail cache tout. Je peux me tromper, mais je pense que Philippe l'a fait exprès. Peut-être qu'il a remarqué que j'aime regarder ? Et aussi qu'il aime qu'on le regarde, parce qu'il a un beau morceau ? Pourquoi il s'est astiqué juste sous mes yeux ? Il espérait que je commence à me branler ? Mais il regardait loin de moi, il ne me regardait pas, alors il ne pouvait pas savoir si je le faisais. Et pourquoi il s'est sauvé quand il a entendu la porte d'ouvrir ? Peut-être que Philippe est un pédé ? Mais ça a pas l'air, en plus il s'est marié il y a un an. Je ne sais pas, je ne comprends pas.

Et puis, je me pose des questions, pourquoi ça me plaît autant de regarder des bites ? Et de les regarder, des fois, ça me donne envie de les toucher ? Spécialement celles de Thibaud et de Philippe. Est-ce que j'aimerais qu'ils touchent la mienne ? Je sais pas, mais je pense que oui. Juste à y penser, je bande encore. Maintenant je vais me pieuter et une petite branlette avant de dormir.

Samedi 11 septembre

Ce matin, c'était mon dernier jour à l'usine. Tout le monde m'a salué et m'a donné ses meilleurs vœux. Il y a deux trucs qui sont arrivés et je ne m'y attendais pas.

La première, c'était vers 10 heures. Je vais aux toilettes et Michel est déjà là. Mon petit coup d'œil en coin habituel à sa bite, quand Philippe entre et se met entre Michel et moi. Et puis Michel s'en va et Philippe qui l'a sortie, commence tout de suite à se branler, mais, au lieu de regarder de côté, comme les deux ou trois fois d'avant, il me regarde et fait un clin d'œil. Je pense que j'ai rougi et j'ai regardé ailleurs. Mais il me murmure que je peux regarder, ça ne le gêne pas, et il me dit de me branler aussi. Je ne savais pas quoi faire. J'ai encore regardé sa bite et il s'est un peu tourné vers moi et m'a dit de la toucher. J'aurais bien voulu le faire mais j'avais trop peur. Et puis on a entendu le bruit de la porte et j'ai juste eu le temps de la rentrer et de partir en silence, et à la porte, j'ai croisé Claude.

Le second truc est arrivé avec Thibaud. Quand on s'est fait nos adieux, juste avant de partir, il m'a tiré derrière une étagère, et il m'a donné un beau stylo à plume, comme ça, il a dit que je me souviendrais de lui à chaque fois que j'écrirais. Et puis il a dit qu'il regrettait que je parte, et il a mis la main sur ma braguette, me frottant un moment en me disant de ne pas oublier que j'avais eu ma première fille grâce à lui.

Je suis sûr que pour lui, c'est juste un geste farceur d'amitié, de complicité, mais ça m'a fait une impression terrible, parce que pendant qu'il poussait de la paume et qu'il caressait, bien sûr, j'étais gêné, mais j'aimais beaucoup et j'ai tout de suite bandé, et lui, au lieu d'enlever sa main, il me la caressait encore, même si il pouvait sentir qu'elle était dure comme du bois. Et puis il a arrêté. Et il ne s'est rien passé. Je pense encore comment c'était chouette de se faire toucher comme ça. Est ce que je serais pas pédé ? J'aime regarder les bites des mecs. J'ai envie de les toucher, et si quelqu'un me touche, j'aime ça. Je n'y comprends rien. Je suis quoi ? J'espère vraiment que je n'en suis pas un, parce que tout le monde se fout des pédés et les emmerde. Mais je ne sais pas avec qui je pourrais en parler ou comment découvrir ce que je suis. Avec cette prostituée, ça a marché, quand même, même si c'est elle qui a tout fait.* Ah, si je pouvais au moins en parler avec quelqu'un, pour me confier ou demander des conseils... Mais qui ?

 

* Thibaud lui a payé sa première pute au bordel

 

 

 

    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 17 juillet 3 17 /07 /Juil 22:37

à retrouver dans RECITS REELS INITIATIONS ETC (33) 

Postons nos souvenirs, nos pics suggestives, et récits, pkoi pas ?

ILLUSTRATIONS DU NET PAR CLAUDIO électron libre et photos "fake" !  

Un club du Gard (30) bien fréquenté :

 honeybearcb: Another all you can eat buffet. lol !

Laissé par : vikinghard aujourd'hui à 17h42

 

j'ai aussi le souvenir d'un déplacement plus ancien,en 1980,je résidais à Clermont l'Hérault 34,et j'avais rencontré sur Montpellier un garçon d'Avignon.Il m'avait souvent entrainé dans un Club à St Gilles 30 qui était vraiment bien fréquenté. Les week-ends de baise monumentale : Que de très bons souvenirs.Vive la Provence c'est beaucoup plus vivant

que ma Normandie. Gros bisous sur ton sexe bandé

vikinghard

 

Moi, claudio ? ?? en fake alors !

 

 

Re :

Merci de ce commentaire vikinghard

Bravo ! j'adore qu'on rende et maintienne vivants ses souvenirs.

Là, tu vois je viens de me dire qu'on aurait bien pu se rencontrer en Avignon à cette date si tu as dragué tant soit peu à Montfleury ou à la Durance !

endurance en Durance lol !

C'est vrai, on a été favorisés pendant des années, mais maintenant il y a des forces répressives sur les dragues  de Provence en plein air.

Par contre les sex-shops ont ouvert des espaces de rencontre avec cabines fermant à clé. Mais c'est beaucoup moins bien.

Des grosses bises partout à notre normand adoré.

 

 

PS : Poste des remarques, réflexions, souvenirs , je les passerai en articles avec joie Ce blog est convivial je le rappelle à tous !

tu connais l'email du blog : claudemodou@gmail.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 10 juillet 3 10 /07 /Juil 00:28
à retrouver dans RECITS  REELS (32)  oui car j'ai pris ces risques quand j'étais cho excité après minuit  au sortir d'une réunion d'assoc' Vous verrez que le texte est  bien plus excitant que la vidéo de présentation qui, pour être "fake", n'en est pas moins 
une bonne...entrée en matière. lol je m'y revois...j'en ai des picotements dans les paumes des mains...hihi
attention, dans le récit il y a deux choses qui vous exciteront sans doute et que je n'ai pas faites. Devinez !
 Enjoy mes souvenirs vivants et retrouvez les vôtres. Les non initiés vous découvrez ce que vous pouvez faire ou vous faire faire tous les soirs de  cet été. Je dis ça mais je l'ai fait en hiver aussi lol ! 
 
 
J'aimais bien faire des rencontres nocturnes en forêt, les meilleurs endroits étaient alors situés dans les bois des bords de la Durance et étaient plus particulièrement fréquentés les WE (entre vendredi soir et dimanche soir). J'aimais plutôt le samedi soir mais ça dépendait évidemment de la saison, on y rencontrait toutes sortes de mecs, des homos purs et durs bien sûr mais également de nombreux hétéros à la recherche de plaisirs nouveaux. Tailler des pipes ou se faire limer dans les fourrés neme posait guère de problème et comme la nuit tous les chats sont gris les physiques des candidats à la fellation n'étaient pas pour moi un critère essentiel.
Ce soir d'été je choisis un endroit un peu à l'écart de celui le plus abondamment fréquenté, la nuit est relativement claire, pour ceux ou celles qui connaissent c'est sur les bords de la Durance, cette petite route tantôt goudronnée et tantôt poussiéreuse, avec des ornères où quelquefois on se sent tomber !  Les habitués garent comme, ils peuvent et leurs voitures signalent leur présence plus ou moins nombreuse. Il est environ onze heures du soir et à cette heure les voitures garées ne sont pas celles de familles ou de sportifs...
Quand je m'arrête donc la première fois sur le bord  je trouve qu'il y a trop de monde, une bonne dizaine de voitures et autant de silhouettes qui vont et viennent dans les bois et entre les bois et les voitures, c'est néfaste : les mecs papillonnent sans savboir où se poser. Aussi je décide de reprendre la route, je fais demi-tour et reprends la direction d'Avignon, d'où je viens. Je me gare maintenant à quelques centaines de mètres un peu plus loin. J'avais décidé de jouer le grand jeu et comme il fait très chaud je ne suis vêtu que d'une chemisette et d'un short de tennis parfaitement moulant, j'ai l'impression d'être une pute racoleuse dans le bois de Boulogne ! L'entrée de la forêt se fait par un petit chemin de terre, une barrière faite de gros rochers  empêche les voitures et les motos de s'engager sur ce chemin, je m'assois sur la barre de bois, ainsi parfaitement visible de la route et de ses abords. Les phares des voitures m'éclairent de temps en temps, une, deux, trois et la quatrième s'arrête, ça ne fait pas deux minutes que je suis en position ! Ma posture, style pute de bar , et ma tenue plutôt légère ne peuvent prêter à confusion quant à mon rôle passif dans le cadre d'une relation sexuelle.
Un type apparaît en "contre-jour" à l'entrée du chemin, il est du type grand et massif, il s'approche, je ne peux distinguer les traits de son visage, j'ai évidemment le palpitant qui bat à tout rompre.
— Salut, tu suces? Ouf ! Sa question est d'une logique implacable. Mon émotion change de motif.
Pour toute réponse je m'agenouille à ses pieds,
— Attends, on va plus loin, on est trop près de la route.
Je me relève donc et nous faisons quelques mètres dans le chemin, il y fait de plus en plus sombre, il s'arrête et je reprends ma position, je l'aide à ouvrir sa braguette et sors son sexe du pantalon, une grosse queue épaisse et de grosses couilles extrêmement velues, il ne bande pas encore, je décalotte le gland et le prends entre mes lèvres, il est tiède et sent une agréable odeur légèrement musquée. Je le lèche et le suce un moment tout en caressant les couilles, l'homme commence alors à bander, la queue grossit et durcit entre mes lèvres et je commence ma fellation. Il est adossé à un arbre et me caresse doucement les cheveux.
— Putain que tu suces bien! Oh oui... C'est bon !
Content que ça lui plaise, j'aime faire plaisir aux hommes et je suis heureux quand ils le disent, il se penche pour me caresser, j'ouvre alors ma chemisette et il commence à me titiller les pointes des seins, j'ôte alors ma chemise ce qui semble décupler son excitation car il se penche un peu plus pour me caresser le sexe, j'ouvre mon short, comme il a un bon ventre j'ai maintenant la tête écrasée dans son épaisse toison.
— T'es rasé ?
Il semble vraiment étonné et il veut me voir, je cesse donc ma pipe et me remets debout face à lui, il me fait baisser le short à mi-cuisses et comme il veut mieux examiner mon corps glabre il me fait marcher vers la route, pour marcher plus aisément j'enlève alors complètement mon short et c'est complètement nu que je l'accompagne, il me caresse maintenant avec une certaines fébrilité, ses mains s'attardent particulièrement sur mon pubis et mes couilles fraîchement épilés et parfaitement lisses.
Sa curiosité assouvie nous revenons vers l'arbre et ma chemisette et je reste alors nu pour le sucer. Il gémit de plaisir tandis que mes lèvres glissent sur la peau de sa queue et de ses couilles, je glisse une main entre ses fesses et tente de lui titiller la rondelle.
— Non pas ça, ça me fait mal.
Je n'insiste donc pas et je sens qu'il est sur le point de jouir, sa queue se raidit un peu plus, il veut la sortir de ma bouche mais comme j'insiste pour la garder il me laisse faire, c'est avec délice que je reçois sur ma langue son liquide tiède au fort goût de sperme, j'avale jusqu'à la dernière goutte et relâche la verge déturgescente.
— C'était super, merci.
Il referme sa braguette et c'est toujours nu que je l'accompagne vers la route, il me quitte et je décide de rester "à poil", je range mon short et ma chemise contre un pied de la barrière et reprends ma position sur la barre de bois.
Cinq minutes à peine plus tard une nouvelle voiture s'arrête, c'est la première fois que je drague complètement nu et j'ai quand même quelques appréhensions et je résiste à l'envie de remettre mes vêtements.
L'homme me découvre alors.
— T'es gonflé de draguer à poil ! Tu te fais enculer ?
Je suis d'accord et nous nous enfonçons dans la forêt.
— Ici c'est bien !
Il baisse alors son pantalon, sans doute excité par ma nudité il bande et malgré la nuit je peux distinguer un beau gland brillant, je me mets à quatre pattes et il s'agenouille après avoir mis un préservatif.
Il glisse un doigt dans mon anus pour agrandir son ouverture et je sens maintenant son gland qui force l'entrée, je suis large et la queue glisse doucement dans mon rectum, l'homme me maintient alors par les fesses et il commence à me limer. C'est un bon baiseur, il est calme et viril, c'est avec une parfaite régularité que son dard va et vient dans mon corps, il s'y enfonce de toute sa longueur et je sens parfaitement ses couilles qui s'écrasent sur les miennes. C'est une caresse insistante et veloutée. Je ressens un plaisir immense et une réelle jouissance anale, je ne reste pas inactif et j'accompagne ses "va et vient" d'expert baiseur en poussant des gémissements de passif comblé.
Soudain nous sommes dérangés par un nouveau venu mais le trouble est vite dissipé et le nouvel arrivant sans dire un mot s'agenouille devant mon visage et me présente sa queue dressée, il avait dû s'exciter en nous matant. Me voici donc rempli devant et derrière, ce n'est certes pas la première que je me retrouve ainsi pris en sandwich mais je ressens toujours le même plaisir à me faire prendre par plusieurs hommes, j'ai toujours envié les femmes qui peuvent se faire prendre par trois hommes en même temps. Nous sommes assez près de la route et c'est avec vraie excitation que je vois les phares des voitures qui défilent entre les feuilles des arbustes. L'homme que je suce dit alors :
— Sacrée salope quand même !
L'autre ne répond pas et continue de me baiser en silence et ses mains me caressent les fesses, je me sens alors parfaitement bien dans la chaleur de cette nuit, nu et baisé. Mon enculeur jouit alors, me presse très fort les hanches et enfonce une dernière fois son phallus au plus profond de mon corps. Je sens parfaitement ses vibrations tandis qu'il éjacule en mettant deux doigts sur sa tige à l'entrée de mon anus. La chose terminée il se retire, une dernière tape sur mon postérieur et il s'en va sans ajouter un mot et je poursuis ma fellation, tout en sentant encore la jouissance de mon cul. Mon nouveau partenaire  va jouir.
— Tu prends dans la bouche ?
Je marmonne un oui et je sens son sperme qui me remplit la bouche, il me tient par la tête tandis qu'il vide ses couilles, constatant que j'avale son foutre il me dit :
— T'es vraiment une salope !
Il ramasse alors le préservatif usagé, le sperme n'a pas coulé et la poche est toujours remplie, il finit de jouir, sort sa queue de ma bouche et comme en signe d'approbation je garde la bouche grande ouverte il vide le contenu du préservatif sur ma langue, le foutre est encore tiède et gras, afin que je puisse la vider complètement je lui prends la capote et la mets dans ma bouche pour la mâcher tel un chewing-gum et je me relève. Avec délice j'avale les dernières gouttes qui sortent du préservatif.
L'homme s'en va et je reprends mon attente sur la barrière, je me sens à présent parfaitement à l'aise dans ma tenue d'Adam presque sur le bord de la route. Il doit être plus de une heure du mat'et le trafic est plus calme que tout à l'heure, une camionnette s'arrête alors de l'autre côté de la route juste en face de moi, un homme en descend et le silence nocturne me permet de percevoir parfaitement ce qu'il dit :
— Tu prends le volant jusqu'à Aix, j'ai un coup de barre.
— OK, OK je pisse un coup et on repart !
C'est en revenant de pisser qu'il me voit alors dans les phares d'une voiture, il dit à son pote,
— Y a un mec à poil de l'autre côté !
— C'est plein de pédés par ici, si t'as envie de te faire sucer c'est gratos !
Il descend du véhicule et me crie :
— Tu viens ?
L'autre dit alors :
— Mais j'suis pas pédé, j'ai une femme et des gosses !
— Moi aussi et alors ? T'es pas pédé parce que tu te fais sucer par une pédale ! Tu fais comme tu veux mais moi j'ai envie de me vider les couilles !
Je me lève et me dirige vers eux, il n'y a personne et c'est toujours complètement nu que je  traverse. J'arrive à hauteur des deux hommes.
— T'as l'air d'être une belle salope c'est la première fois que je vois un type à poil par ici !
Ils me font monter dans la camionnette et nous nous installons à l'arrière, ils allument le plafonnier, ils transportent des meubles et ils s'assoient sur un canapé, ils rient.
— Regarde comme elle est mignonne sa petite bite rasée !
Sans rien dire je m'agenouille et ils sortent leurs bites, Le type qui avait des remords dit à l'autre :
— Tu t'es déjà fait sucer par un mec ?
— Ouais je fais souvent cette route et quand j'ai un peu de temps je m'arrête par ici et pourtant je suis pas pédé !
Je commence alors mes pipes et quand je prends la bite du premier je sens une petite boule et effectivement je reconnais une queue que j'ai déjà sucé deux ou trois fois.
— Elle suce bien cette chienne, alors ça te fait quoi de te faire sucer par un pédé ?
— Il suce bien, mieux que ma femme même !
— Moi ma femme elle veut pas sucer, c'est pour ça que je m'arrête ici, c'est mieux que les putes et surtout c'est gratos !
Ils allument alors chacun une cigarette, s'ouvrent une bière et poursuivent leur dialogue.
— Alors on n'est pas bien là peinard à se faire pomper par un vide-couilles ?
— Ouais j'aurais jamais cru qu'un jour je me ferais sucer par une pédale.
— En plus pour une première t'es tombé sur un bon, regarde-moi comment il nous les prend !
C'est alors que je lui fais une belle gorge profonde.
— Regarde moi ça, il me la prend complète ! C'est la première fois que ça m'arrive ! Toi t'es pas mal monté on va voir s'il y arrive !
Et il m'invite à changer de bite, effectivement l'autre homme est bien monté et quand j'arrive à lui faire la même chose il est épaté.
— Ouah ! C'est super ce truc !
L'autre rigole :
— Tu diras à ta femme de prendre des cours avec ce mec !
Et s'adressant à moi :
— Hé le pédé, j'ai envie de te voir te branler !
Je cesse ma fellation et me mets debout.
— Non je préfère te voir couché à nos pieds !
Et à son copain :
— Je l'ai vu tout de suite, ce mec est une lopette, c'est souvent avec ces petites tapettes, tu peux lui faire faire tout ce que tu veux, t'as des fantasmes ?
Je me branle doucement sous leurs regards amusés, l'autre répond :
— Euh... j'ai pas trop de fantasmes pédés, ah si, je voudrais le voir s'enfiler un truc dans le cul !
— Super ! Tu proposes quoi ?
Ils choisissent un marteau.
— C'est pas trop gros pour toi j'espère !
Je jouis alors sur mon ventre, je récolte alors mon sperme sur mes doigts et l'avale devant leurs yeux étonnés et sans discuter me mets à quatre pattes le cul dressé vers eux. J'écarte les cuisses et écarte mes fesses avec mes mains pour leur offrir mon anus, ils rigolent et je sens le manche du marteau contre ma rondelle, mon trou s'ouvre et l'objet glisse pratiquement tout seul, entièrement.
— Merde alors ! Moi qui peux à peine me mettre un suppo ! On a plus gros ?
C'est alors le tour d'un gros tournevis de me visiter et comme je l'absorbe également sans aucune difficulté, ils décident de me mettre les deux, ça commence à me faire mal et je gémis, ils ajoutent alors un nouveau tournevis un peu plus petit.
— Arrête on va lui faire du mal !
L'autre rigole,
— Tu parles ces trous à bites ça peut prendre une main dans le cul ! T'as jamais vu des images de ça ?
— Non...
— Ça s'appelle un fist-fucking, mais j'ai pas envie de foutre ma main dans sa merde ! on lui enlève tout ça et on lui fout la canette de bière !
Sitôt dit sitôt fait et je sens maintenant la petite bouteille de Kronenbourg qui glisse dans mon rectum, c'est limite pour moi mais ça rentre sans trop de dégâts... C'est la bouteille enfoncée dans le cul que je termine mes fellations, il jouissent presque en même temps dans ma bouche grande ouverte et offerte pour recevoir leurs giclées. Ils me font descendre de la camionnette, j'ai encore la bouteille dans le cul, je traverse vite la route tandis qu'ils démarrent. La bouteille est bien enfoncée et j'ai du mal à l'enlever...
J'ai vu sur l'horloge du tableau de bord qu'il est deux heures du matin et je décide de continuer ma nuit ici. Il y a de plus en plus de monde sur l'autre site, un ballet de voitures qui arrivent et partent sans arrêt des deux côtés de la route maintenant. C'est comme ça pendant le festival. Je sors alors du bois et lorsqu'il n'y pas de trafic je marche autour de ma voiture et m'assois sur le capot, la nuit est claire et je suis ainsi à la vue de tous, bien que je sois à deux cent mètres environ ils peuvent parfaitement distinguer ma nudité. Une voiture quitte le groupe et se dirige vers moi sans quitter le bas côté de la route, les phares sont allumés et je me retrouve dans la lumière. L'homme éteint ses phares et me rejoint.
— T'es ouf de te balader à poil ici ! Les gendarmes sont passés il y a cinq minutes !
Ils sont passés pendant que je me faisais défoncer par les deux camionneurs, je l'ai échappé belle ! Nous rentrons dans le bois et c'est reparti. Deux autres types qui ont sans doute vu mon exhibition nous rejoignent quelques minutes plus tard et c'est à trois queues maintenant que je rends hommage. C'est avec délice que je sens toutes ces mains fébriles et excitées : elles me caressent le sexe, les seins et les fesses, glissent entre mes fesses, les doigts me pénètrent et on me fait prendre des multiples positions pour mieux s'occuper de mes parties les plus intimes. C'est alors que je suis debout et penché pour sucer qu'un des hommes décide de m'enfiler, il a mis une capote. Dans ce genre de situation j'ai toujours peur qu'un homme oublie ou n'aie pas de préservatif et comme je n'ai pas d'yeux par derrière, j'aurais du mal à l'empêcher de m'enculer ainsi. C'est alors que je m'aperçois qu'ils sont à présent cinq ou six autour de moi, je commence à avoir un peu peur car les hommes sont excités et veulent tous se faire sucer ou m'enculer, ils se bousculent un peu et c'est une petite cohue maintenant que je dois subir. C'est vrai qu'un mec complètement à poil sur le bord d'une route ce n'est pas banal et c'est excitant! Les deux premiers jets de sperme arrivent alors dans ma bouche et sur mon visage, une nouvelle bite glisse aussitôt dans ma bouche libérée. Un autre type m'encule à son tour mais sans capote, avec difficulté je me libère des mains pour retirer sa queue de mon cul et lui dis :
— Pas sans capote !
Il est d'accord et n'insiste pas et il est remplacé par une bite normalement protégée. A nouveau une petite douche de sperme et ça devient quand même un peu plus calme, ils ne sont plus que deux, je ne pourrais dire combien ils ont pu être au maximum ! Lorsque je suis de nouveau seul un peu shooté et le visage ruisselant de foutre je remets mes vêtements et sors du bois, le ciel s'éclaircit laissant venir le jour, il est quatre heures du matin et je décide de rentrer.
 Correspondance du blog :
 
 
 
Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 5 juillet 5 05 /07 /Juil 06:14

uniquement en pensant qu'il allait me baiser,

beau souvenir,

 

 

http://24.media.tumblr.com/tumblr_mdppc1nVNR1rec9p5o1_400.gifenjoy la photo  gif !

 

on se donnait RV sur la drague 

 

 

 

 

il me prenait si longuement qu'à un moment complètement shooté je n'étais plus aussi sûr de moi

j'avais peur de salir tellement j'étais ouvert et sondé.

Je vais continuer à raconter  a+

 

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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