RECITS REELS (38) 2/3
Putain, c'est bien écrit et on se marre tout en bandant...je crois que eux aussi dans leur camion...mais ça se corse....hummmmh
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CHAPITRE II (Robert, Paulo et le jeune Diego)
Paulo a remis son "jean" raccourci. Il a reposé son chapeau fatigué sur sa tête blonde. Robert a remis dans son froc son grand engin qui n'a pas l'air de vouloir se
rétrécir en revenant au repos.
— Quelle bite! a encore soupiré l'autre en la caressant une dernière foisde la main avant qu'elle ne disparaisse à ses yeux.
— Tu l'as bien eue, ricane Bobo.
— Parlons plus de ça, j'ai un peu honte... rétorque Paulo le plus sérieusement du monde...
— Seriez-vous une honteuse, plaisante Robert en lui touchant les fesses.
— Ne m'appelle pas au féminin, j'ai horreur de ça...
— Bon, bon... Te fâche pas... Je te comprends... Quoique...
— Quoique quoi?
— Quoique, bref... Tu m'excuseras...
— C'est pas parce que tu m'as mis ça qu'il faut me prendre pour une tata, mon vieux... je ne suis pas une tantouze... Je suis un homo et fier de l'être...
— Nuance, ricane Robert... Je vous ai compris... Fais pas cette tête-là, je suis tout à fait de ton avis... On tire un trait dessus et on n'en parle plus.
— C'est mieux comme ça, conclut Paulo...
Puis comme ils sont en train de regarder de près une carte routière qui s'étale sur un grand panneau de bois, le grand Robert lui repasse la main sur les fesses en
soupirant:
— N'empêche que t'as une belle cambrure...
Ils sont remontés dans te bahut et ont repris la route.
— Faudra faire réparer le pneu dans le prochain patelin dit Paulo, ce serait peut être prudent.
— T'as raison, mon pote, mais avoue qu'on s'est mis en retard avec tes conneries...
— Tu ne manques pas d'air, Bobo, répond Paulo vexé.
— Ben quoi, faut être juste, si t'avais pas été là, je serai déjà loin...
— Sûrement, à part que je t'ai quand même donné un bon coup de main pourchanger de roue et puis après, ben! Ce qui s'est passé, ça devait arriver, mais ne viens pas
me dire que c'est moi qui ai commencé...
— Menteur, t'as tout fait pour m'exciter, même que t'avais accroché ta bowling tie à ton cou en montant vers le lieu du sacrifice, c'était bien pour me séduire,
Non?
— N'importe quoi, soupire Paulo, tu te conduis vraiment comme un sale macho qui n'a même pas la reconnaissance du ventre... Le beau Bob, fier de cette appellation
ricane dans sa moustache.
— Avec ça, que tu fais tout, toi-même pour jouer les machos, mon petit pote... Tiens regarde là-bas, t'as peut-être une occasion de te distinguer, y a une nana qui
fait du stop.
— Les nanas, elles peuvent aller se faire voir par les Grecs, répond le beauPaulo... Mais...Ho! Attends, ralentis... C'est un mec!
— T'es malade, je te dis que c'est une gonzesse...
Il appuie toutefois sur la pédale du frein en approchant d'une frêle silhouette qui fait des signaux sur le bas-côté de la route. Ce n'est qu'à quelques mètres qu'il
se rend compte que son compagnon avait raison. Malgré le pantalon rouge vif et la minceur de la taille il s'agit en effet d'un garçon.
Il a de longs cheveux bruns et une frange noire lui couvre le front jusqu'aux yeux, mais il n'y a pas trace de tétons sous le tee-shirt bleu pâle qui lui moule
étroitement le torse. Il porte un élégant sac de voyage et fait signe de son pouce droit dans la direction suivie par le camion. Sans hésitation le grand Robert stoppe son engin.
— Monte, mon petit gars, dit-il, il y a de la place entre nous deux... oùc'est que tu vas comme ça.
— À trente kilomètres de là, Monsieur... j'ai été pris en stop par un Monsieur à la sortie de Paris, mais il m'a laissé là au croisement, vous êtes bien
aimable.
Paulo descend pour le laisser monter et s'installer sur la banquette entre lui et Robert. Le petit jeune homme est un peu étonné de voir ce camionneur accoutré de la
sorte avec un "jean" extra court et un chapeau de cuir, mais il n'est pas d'une génération où l'on se pose des questions sur la façon dont les gens s'habillent. Il se réjouit au contraire d'être
tombé sur de jeunes routiers particulièrement sympa.
En remontant dans le bahut, Paulo qui caresse d'un regard de connaisseur le petit cul bien moulé dans le pantalon rouge a levé le pouce en direction de Robert en
ayant l'air de lui dire:
— Ça mon pote, c'est du gâteau.
Le camion a repris sa route. Le petit jeune homme, un peu impressionné tout de même par ces deux costauds, se tient bien droit sur son siège et répond poliment aux
questions que lui pose le conducteur.
— Qu'est-ce que tu fais de beau dans la vie?
— Je suis étudiant.
— Ah! Bon, alors t'es en vacances?
— Oui, je vais chez ma tante pour passer quelques jours à la campagne avantla reprise des cours.
— Comment t'appelles-tu?
— Diego.
— C'est pas un nom français, ça, serais-tu Espagnol?
— Mes parents le sont, je suis né en France...
— Qu'est-ce qu'ils font tes vieux?
— Mon père est dans l'industrie automobile et ma mère dans l'immobilier...
Pas besoin de leur préciser que son père travaille chez Renault et que sa mère est concierge dans le XVle.
— Ah! Bon! murmure le conducteur du poids lourd visiblement impressionné par ce jeune bourgeois qui a l'air un peu snob. C'est pourquoi d'ailleurs il réfrène l'envie
qu'il avait de lui tripoter les cuisses, histoire de vérifier sa musculature comme il en avait l'intention. Mais Paulo qui le regarde sans vergogne ne cache pas l'intérêt qu'il porte à cette
jeune frimousse.
— Dis donc, Bob, dit-il tout à coup, arrête-toi une minute, j'ai envie de pisser.
— Encore! répond l'autre, mais un clin d'oeil complice de son ami, le fait taire.
— Bon... Bon... Ça va, attends que je puisse me garer... Moi aussi d'ailleurs, tiens, j'en ai d'un seul coup une sacrée envie...
— Pas toi, petit gars?
— Non, Monsieur, je vous remercie...
Le nez du beau Bob s'allonge un peu, tout comme celui de son camarade. Ce dernier insiste tout de même.
— Allez viens, après on ne s'arrêtera plus... Autant prendre tes précautionstout de suite...
— Je les ai prises tout à l'heure, je vous remercie répond poliment le jeunehomme.
Les deux compères en sont pour leurs frais. Évidemment ce pipi en commun sur l'herbette, c'était une bonne idée pour une entrée en matières. Ils descendent tout de
même tous les deux du camion et se débraguettent pour uriner en choeur sur le bas-côté de la chaussée.
— C'est loupé ton truc, ricane Bob.
— N'empêche que je bandoche répond Paulo.
— Et moi, regarde cette trique...
— Tu te le ferais bien le môme?
— Et toi, salaud?
— Moi aussi, mais j'ai peur de l'effaroucher, il a l'air vachement constipé...
— Raison de plus pour lui rendre service, plaisante le grand Robert en agitant sa longue verge... puis il ajoute:
— Je vais lui montrer ma bite, on verra bien ce qu'il dira...
— Il va crier au charron, fais pas le con...
— Laisse-moi faire... Qui ne tente rien n'a rien...
De son côté Diego est un peu intrigué par la désinvolture de ces camionneurs qui sont en train de pisser dans l'herbe sans même faire un rempart de leurs mains comme
le font la plupart des hommes pour cacher leur verge quand ils urinent.
Bien au contraire, ces deux-là s'exhibent sans vergogne et lorsque le regard du gamin rencontre leurs virilités il en est tout retourné.
Quand les deux compères reprennent place dans le camion, ils n'ont pas refermé leurs braguettes. Diego ne l'a pas remarqué car il fixe la route devant lui, mais le
grand Robert ne va pas tarder à le tirer de son apparente rêverie.
— Je ne sais pas ce qui m'est arrivé, grogne-t-il, ça doit être un effet dusoleil, mon thermomètre est au beau fixe.
Il touche du coude le jeune Diego qui, ne serait-ce que par politesse, ne peut faire autrement que de regarder ce qu'il lui montre.
Le jeune homme sursaute, en présence de cet énorme mandrin dresse au bas du ventre du conducteur qui a sorti ses grosses couilles par dessus le marché.
— Oh! fait-il, interdit.
— T'en n'as jamais vu une comme ça, grasseye Robert en agitant son engin.
Diego est dans ses petits souliers, comme on dit. Il se tourne vers l'autre camionneur comme pour quêter quelque secours mais que voit-il? De la braguette du "jean"
raccourci a jailli à son tour une belle queue bien raide que Paulo est en train de caresser dans sa main droite tout en le regardant fixement avec de drôles de yeux.
Le pauvre enfant se demande où il est tombé. Un monde le sépare de ces brutes. Il n'est pas assez innocent pour savoir qu'il existe des homosexuels, mais il ne se
les imaginait pas comme ça. Il en a d'ailleurs rencontré plusieurs à la sortie du lycée. Il a des petits copains qui "marchent" avec eux. La plupart sont de vieux Messieurs très distingués,
d'autres sont plus jeunes quoi- qu'encore très vieux pour un lycéen mais surtout très efféminés... précieux d'aspect et un peu minaudant comme des dames...
Ceux-là, ce sont de vraies brutes, de véritables machos qui font peur. Qu'est- ce qu'ils veulent donc lui faire? Pourquoi exhibent-ils leurs sexes monstrueux?
Serait-ce pour l'intimider, lui extorquer ses économies, ou quoi? Il ne les soupçonne pas vraiment de véritables désirs homosexuels,
La chose ne lui vient même pas à l'idée. Cependant les deux complices ont l'air de plus en plus excités même devant ses réticences.
— Regarde, Nom de Dieu grommelle le chauffeur, quand on te montre quelque chose de beau c'est pas pour que tu regardes les nuages.
— Excusez-moi, bredouille le gamin dont les yeux retournent vers la monstrueuse queue qui s'exhibe.
— À moins que tu ne préfères celle de Paulo? Dans ce cas, vas-y, mon petitDiego, ne t'inquiète pas, je ne suis pas jaloux...
— Regarde, dit alors celui que l'autre a appelé Paulo... La mienne est moins grosse, mais elle est vachement dure... Tâte!
— Non, je vous en prie, s'écrie le garçon absolument affolé par ces propositions obscènes.
— Ah! Écoute, faudrait te décider, mon pote, ricane le grand Robert de plus en plus excité par ce minet affolé. C'est la mienne ou la sienne... C'est à choisir...
Regarde donc, regarde-là, ma grosse bite... Regarde comme tu la fais bander, môme... Touche si c'est dur... Allez, donne ta main...
— Jamais de la vie... Lâchez-moi!
— Prends-la dans la bouche alors, insiste le camionneur en approchant sonénorme braquemart des lèvres serrées du petit adolescent apeuré.
— Prends-la mienne, elle est moins grosse, comme ça tu seras plus facilementrôdé, petit gars, lui dit alors Paulo en lui exhibant son dard sous le nez.
— Vas-y, je te l'ai dit, je suis pas jaloux, suce la bite... Regarde commeil bande dur... Prends-la dans la bouche et dis rien...
Robert lui appuie sur la tête, l'ayant violemment empoigné par les cheveux. Diego mort de frayeur finit par ouvrir tout de même la bouche. Il n'a jamais fait ça de
sa vie. Il sait que ça existe, il a même un bon camarade qui lui vante les bienfaits de se faire pomper le zizi... Mais ça ne l'a jamais intéressé. Diego est un petit jeune homme sérieux, il a de
grandes ambitions. Il voudrait faire Science Po; devenir un diplomate... Quelle déchéance soudaine que de tomber entre les pattes de ces deux monstres assoiffés de stupre.
— Prends-la dans la bouche, petit con, s'agit pas de la regarder s'écrie Paulo, terriblement impatient de se faire pomper par ce petit jeûnot si mignon.
— Non, non, non, s'écrie-t-il par trois fois dans un ultime sursaut de révolte en sentant l'odeur du vit qui lui chatouille les narines.
— Fais pas le con, môme ou ça va être ta fête, grommelle le moustachu. Suce mon pote ou je te cogne.
Se sentant bien appuyé par son coéquipier, l'affreux Paulo a baissé son blue- jean transformé en slip et sorti tout son appareil génital sous les yeux effarés du
jeune garçon. La bite se dresse toute droite avec son gros gland bien gonflé de couleur cramoisie au-dessus de son paquet de testicules velu, un vrai cauchemar pour l'infortuné Diego.
— Tu vas le sucer, oui ou merde, insista le grand Robert en appuyant la têtedu gamin vers le vit monstrueux.
Il le tient par les cheveux, il tire dessus. La douleur fait gémir le jeune garçon qui, vaincu, s'exécute. Il a ouvert la bouche et engoulé avec horreur cette énorme
pine dure qui lui glisse sur la langue et lui emplit toute la cavité buccale.
— Suce-le bien, mon garçon, c'est une question d'habitude tu verras par lasuite que tu y prendras du plaisir...
— Suce-moi bien cochon, tu me fais du bien, insiste Paulo qui est à la fête.
Une étrange sensation se mêle à la peur du jeune Diego. Cette verge dans sa bouche ne lui fait aucun mal. Ce serait même amusant peut être d'essayer de faire ça dans
d'autres circonstances. Il ne s'est pas encore bien défini sexuellement. Il a de l'attirance pour certaines filles mais d'autre part il préfère la compagnie de garçons plus murs que lui. Par
exemple il y a un certain Gilles dans sa classe dont il recherche sournoisement la compagnie, un peu jaloux d'ailleurs sans se l'avouer vraiment des succès féminins de celui-ci.
Là, maintenant qu'il est en train de sucer la queue de ce type sordide, il lui vient à l'idée qu'il préférerait sucer celle de Gilles; alors que l'idée ne lui en
était jamais venue. La nature humaine est curieuse, mais ce n'est pas le moment pour Diego d'épiloguer là-dessus! Il sent un autre danger qui se précise à la hauteur de sa hanche. Le camionneur
qui semble le chef est en train de frotter son immense braquemart sur sa peau nue et voilà qu'il se met à lui baisser le pantalon.
— Non, s'exclame-t-il, pas ça!
— Ta gueule, minet, ricane le grand Robert en lui attrapant les testicules àpleine main. Il en a une belle paire pour son âge, dit-il s'adressant à Paulo qui a
refourré sa queue dans la bouche du gamin.
Celui-ci cherche encore à protester lorsqu'il sent les doigts indiscrets du camionneur se fourrer dans la raie de ses fesses; mais celui-ci le repousse d'une
bourrade et, l'empoignant de nouveau par la chevelure, lui ordonne de sucer "la bite à son pote".
— Fais-lui une bonne pipe ou je te cogne, marmonne-t-il tout en lui enfonçant délibérément un doigt dans le derrière.
— Prends-la dans la main, petit Diego, lui demande Paulo d'une voix douce, tu me fais du bien avec ta bouche, mais tu peux aussi me branler en même temps, j'aime
ça...
Malgré la gêne qu'il éprouve d'avoir le cul nu devant ce macho à grosse queue qui lui tripote les fesses, le jeune garçon s'applique sans trop de peine à contenter
son autre tortionnaire.
Il a toujours le gland dans la bouche et le tète avec une certaine conscience tout en pensant que c'est un moindre mal qui lui arrive car ce pourrait être pire,
hélas! Mais aussi le fait d'avoir empoigné le mandrin par la base lui fait un petit quelque chose qu'il ne s'explique pas. C'est presque bon pour lui de tenir cette grosse queue d'homme dans sa
menotte juvénile. Ça lui arrive de se masturber furtivement quelquefois, dans son lit avant de s'endormir ou en se réveillant par un matin plus triomphant que les autres, et il aime bien sentir
sa petite pine grossir dans ses doigts avant qu'elle ne lance la semence humaine sécrétée par ses glandes internes. Ça fait du bien de jouir. C'est humain.
Alors dans sa petite tête, il se dit que ça doit faire du bien à ce mec qu'il est en train de sucer et de branler à la fois et cette pensée l'exciterait presque s'il
ne sentait la manoeuvre qui se précise du côté de son petit cul.
Le bougre de routier musclé est en effet en train de faire rouler son muscle viril sur ses rotondités fessières et de temps en temps il sent la sollicitation brutale
du bout qui se fourre dans sa raie. Si jamais ce type le pénétrait s'en serait fait de lui, il mourrait défoncé avec un instrument pareil. Quand il pense qu'il a toutes les peines du monde à
s'enfoncer un suppositoire dans cet endroit-là, il en frémit d'horreur.
Mais les choses semblent tout de même s'arranger. ll reprend espoir tout en suçant la queue du dénommé Paulo. Il ne sent plus celle de l'autre bandit, au contraire
une caresse relativement douce lui est dispensée à l'endroit menacé. Le grand Robert est en train de lui lécher consciencieusement l'orifice de l'anus. Ça le chatouille un peu, mais quand la
langue cochonne de ce grand costaud s'enfonce dans son petit trou du cul il trouve que ce n'est pas tellement désagréable... bien au contraire.
Il sent la bave de l'homme lui dégouliner sur les testicules. C'est tout de même terriblement dégoûtant d'avoir de pareilles moeurs.
— Branle, branle, l'encourage Paulo en lui caressant la nuque, puis ilajoute, suce, aspire bien mon gros paf...
Quelle honte de s'entendre dire des choses comme ça!
Cependant le maniaque moustachu a cessé brusquement de lui lécher le derrière, il ordonne à l'autre de l'aider car il veut le dépouiller de son beau pantalon rouge,
un cadeau de sa maman qui s'appelle Carmen, comme par hasard.
— Ah! Non, proteste-t-il une fois de plus, vous n'allez tout de même pas me déculotter.
Il a beau se débattre, rien n'y fait, il ne fait pas le poids devant ces deux brutes déchaînées. Il est dépouillé comme un lapin et le voici, le cul nu, la bite à
l'air, vulnérable et honteux devant les regards bestiaux qui détaillent ses parties sexuelles.
— Il a de belles couilles, ce petit cochon, grasseye le moustachu en luifourrant son énorme queue sous le nez, regarde l'effet que tu me fais, môme... Suce-moi la
bite...
Il obéit, faisant de son mieux et pensant ainsi s'en sortir à bon compte. Mais cette douce fellation forcée excite terriblement le forcené qui bave de lubricité en
regardant Paulo peloter le cul du petit jeune homme.
— Laisse-moi la place, éructe-t-il, je vais me le faire.
— Non pitié, crie désespérément l'enfant lorsqu'il se sent empoigné par leshanches, non pas ça... Je ne veux pas mourir.
— Quel con, ricane le grand Robert, je n'ai jamais encore entendu pareilleconnerie... Ma bite n'a jamais tué personne.
— Pitié! insiste le minet en sentant l'énorme gland se fourrer dans la raiede son petit cul.
Il a beau serrer désespérément les fesses, rien n'y fait. L'autre malfrat le tient par les épaules et le force à se pencher en avant pour laisser la voie libre à son
compère qui bande comme un Turc.
— Non, non je vous en prie, je ne veux pas... Prenez mon argent, laissez-moime sauver...
— De plus en plus débile, le môme, s'exclame le grand Robert en ajustant son gros dard contre la fragile rondelle brune.
Il a craché dessus pour que ça glisse et maintenant il pousse, le salaud. Rien ne pourrait plus l'arrêter, pas même la menace du châtiment suprême. Ainsi parfois se
commettent les crimes sexuels. La bête est déchaînée, il lui faut l'assouvissement coûte que coûte.
Prisonnier de l'emprise musclée du deuxième routier, Diego, les dents serrées, subit l'assaut de l'immonde queue. Le gland a réussi à se frayer un passage difficile
dans l'anneau du petit cul vierge. Il a pénétré dans le conduit anal. Lentement la déchirure s'accentue lorsque l'immense mandrin se glisse dans l'anus. Diego a poussé un hurlement de détresse
étouffé par la main dure de Paulo qui le bâillonne pour étouffer sa plainte.
La douleur est atroce, il a l'impression d'être ouvert en deux par un coin d'acier. C'est positivement insoutenable et il sent qu'il va sombrer dans le néant. La
queue implacable l'a pénétré jusqu'aux tréfonds de ses entrailles violées. Elle a marqué un temps d'arrêt et voici qu'elle recule doucement pour revenir une fois de plus à la charge renouvelant
l'atroce sensation de torture.
Il s'est quasiment évanoui et ne se défend plus, laissant son agresseur profiter de sa passivité momentanée. Celui-ci le bascule au-dessus de lui en continuant de
l'enculer sauvagement. Diego souffre tellement qu'il ne se rend plus compte de rien, lorsqu'il reprend un peu ses esprits il s'aperçoit que l'autre malfaiteur lui suce la queue pendant que le
premier l'encule.
La douleur devenue chronique s'amenuise cependant, car finalement on s'habitue à tout et Diego, affolé se rend compte qu'il bande dans la bouche qui est en train de
lui pomper le sexe.
— C'est bon! grommelle le sodomiseur... Je t'en mets plein les miches, fais-toi bien sucer, il va te faire jouir ce salaud.
Vaincu, le jeune garçon s'abandonne. Maintenant les coups de boutoir sont devenus moins douloureux. Robert l'encule avec plus de douceur, si l'on peut dire, et la
bouche de Paulo lui donne de douces sensations.
Quelle étrange aventure. Jamais il n'aurait pu envisager pareille chose. Cependant Robert commence à sentir dans ses reins un besoin urgent de réaliser son
envie.
— Laisse-moi faire, demande-t-il à son comparse, tu te le taperas après, jevais me l'envoyer comme il faut sur la banquette.
Brutalement il jette le jeune homme à plat ventre sur le siège du camion et lui monte dessus pour le sodomiser d'une façon définitive.
— Non, proteste faiblement Diego, mais il est bien trop tard pour reculer. Déjà le grand dard s'est enfoncé puissamment dans ses reins et son propriétaire lui bourre
le cul sans rémission.
— Tiens, tiens dit-il, tiens; je vais te décharger dans le fion.
Diego gémit, mais ses plaintes sont couvertes par les acharnements démentiels du monstre qui le sodomise. Il est tellement excité, celui-là, qu'il souffle comme un
soufflet de forge en râlant de joie lubrique chaque fois qu'il enfonce son braquemard jusqu'à la garde dans l'anus de sa jeune victime.
— Je décharge, Paulo, clame-t-il en regardant son complice, je lui en fous plein le cul...
— Salaud, soupire l'autre qui s'est mis à se masturber comme un chimpanzé alors que Robert lâche sa lourde semence dans les entrailles de l'infortuné jeune
homme.
Sa queue est devenue soudainement toute molle. Elle sort enfin de la cavité anale, toute dégoulinante du sperme qu'elle vient d'éjaculer. Paulo à son tour n'y tient
plus, il offre la sienne à Diego et lui ordonne de la sucer...
Entre deux maux il faut savoir choisir le moindre. L'enfant violé est presque satisfait de ce changement. D'ailleurs, on ne sait trop pourquoi il semble avoir pris
goût à la chose car voici que soudainement il se met à bander pour de bon sous les yeux étonnés de ses deux agresseurs.
— Regarde ça, s'exclame Robert, c'est qu'il a une très belle bite, ce petitgarçon-là.
— Je te crois, soupire Paulo en lui empoignant le mandrin... Il bande comme un jeune cerf, ajoute-t-il... C'est bon de branler cette belle queue...
Diego a honte de son sexe qui a grossi malgré lui dans la main de l'homme qu'il suce. Mais finalement il préfère encore avoir ça dans la bouche que la langue que lui
glissait tout à l'heure le moustachu sur la sienne tandis qu'il l'emmanchait férocement avec son grand dard douloureux.
Les doigts de Paulo lui font du bien, il ne peut pas nier l'évidence qui se traduit par son érection démente. Il faut avouer que ce voyou à demi nu est un expert en
branlette qui en remonterait à bien des professionnelles du beau sexe ou soi-disant tel.
Un jour avec des petits copains de lycée, après une visite à Beaubourg il s'est laissé entraîner rue Saint-Denis et pour faire comme les autres, il est monté avec
une pute.
Quand il a vu toute cette chair flasque et la cavité caoutchouteuse au milieu du buisson noir de l'entrecuisse ouvert, il a eu envie de vomir. Bonne fille, la
prostituée a pourtant fait de son mieux, lui prenant son petit zizi mou dans la bouche. À cause des lèvres trop rouges qui lui donnaient des allures de dévoreuse d'enfants, il a eu l'impression
qu'elle allait le lui croquer. En désespoir de cause voyant qu'il ne bandait pas elle a tenté de le masturber, mais elle ne s'y est pas prise avec la douceur du grand Paulo. Il a fallu qu'il se
branle lui-même pour se finir, sur le conseil de la putain dépitée. Quand il a senti que ça venait malgré tout il a fourré sa bite dans le trou immonde pour se prouver à lui-même qu'il avait
enfilé une fille. Mais il en a gardé un souvenir d'écoeurement qui ne s'est pas amenuisé avec le temps. C'est pourquoi maintenant il s'inquiète du résultat flagrant qui se manifeste au bas de son
ventre.
Serait-il un homosexuel qui s'ignore? Il ne veut pas encore l'admettre, surtout après l'épreuve atroce qu'il a subie dans sa chair et le dégoût qui s'est emparé de
lui lorsque le moustachu lui a fourré une langue frétillante dans la bouche. Mais pourtant maintenant, il bande.
D'ailleurs l'instant n'est pas à la réflexion. Des sensations exquises lui envahissent le bas-ventre et se répandent dans tout son petit corps. Si ce voyou continue
à le caresser ainsi avec sa main douce, il va finir par exulter. Mais celui-ci qui nourrit la même idée s'arrête soudain de le branler.
— Viens, dit-il on va faire ça derrière le camion.
Il le pousse dehors et recommence à le branler debout, lui ordonnant de lui rendre la pareille sous l'oeil amusé de Robert qui supervise et fait le pet.
— Vas-y, dit-il à son complice, dépêche-toi de te le faire tant qu'il n'y a personne en vue.
— Tourne-toi, Diego...
— Non, je ne veux pas, soupire le môme qui en a eu assez avec sa premièreexpérience.
Mais le grand blond ne l'entend pas de cette oreille.
— Tourne-toi que je te dis, c'est moi qui commande.
Sa poigne est dure sur les bras graciles du minet. Ce dernier est bien obligé d'obtempérer.
— Appuie-toi sur le camion, penche-toi en avant...
Le revoilà une fois de plus avec une grande queue au cul.
Son petit cul nu tout meurtri qui se serre désespérément pour éviter l'envahissement de ce dard implacable qui se glisse dans la raie des fesses et tambourine du
gland sur sa pastille douloureuse.
— Vas-y, prends-le! Rugit le monstre du haut de sa cabine. Bourre-le, tu vas te régaler, Paulo.
Ce dernier a bien ajusté son instrument viril. La pénétration se fait d'un seul coup. Toute la queue dure s'enfonce sans encombre dans l'anus du gamin qui gémit de
sa nouvelle douleur.
Cependant la sodomisation qu'il subit lui fait moins mal que la précédente, pour la bonne raison que la voie a été déjà déblayée par un engin plus gros que celui-là.
Aussi encaisse-t-il l'assaut sexuel sans trop rechigner. D'ailleurs cela ne dure pas trop longtemps. Paulo est tellement excité que son sperme se bouscule à la sortie de ses glandes
séminales.
— Ça y est, soupire-t-il, je décharge.
Une fois de plus le gamin sent le fouet du liquide chaud qui se répand en lui, puis le voyou recule et de son vit congestionné jaillissent de longs filaments
blanchâtres qui se répandent sur les reins du jeune garçon, les souillant de larges flaques épaisses qui lui coulent sur les fesses.
Tandis qu'il éjacule ainsi, il a repris en main la verge un peu flaccide qui s'était dégonflée sous l'effet de la douleur de la sodomisation. Mais sous les caresses
que lui dispensent les doigts experts, elle ne tarde pas à reprendre sa belle allure.
— Tu m'as bien fait jouir petit cochon, lui grogne le monstre à l'oreille,c'était bon de te baiser, tu sais... Je voudrais que tu me décharges dans la main... T'en
as envie dis? Tu bandes...
Et alors Diego qui a toujours honte répond un "oui" très timide et s'abandonne à la manipulation savante de l'homosexuel averti.
Son sexe s'est raidi terriblement. La branlette devient frénétique et soudain un long jet fuse entre les gros doigts du routier.
— Il jouit, s'écrie-t-il en clignant de l'oeil en direction de son compère dont le regard vicieux est en train de se délecter des fusées du sperme juvénile qui
arrose les fleurs de pissenlit épanouies dans l'herbe tendre.
<à suivre...>grâce à Bob & Paulo, LE CHANGEMENT D'ORIENTATION DE DIEGO L'AUTO-STOPPEUR
Ambiance sexe !
courrier du blog :
claudemodou@gmail.com
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