SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES

Vendredi 8 novembre 5 08 /11 /Nov 21:56

Dans la famille LIBER.T. je veux les fils, - je veux le cousin - je veux la tante...- je veux le père...- je veux l'oncle ...

 

Ce récit est purement fictif. L'âge des protagonistes peut choquer*, il est bon de rappeler qu'une relation sexuelle avec personne n'ayant pas atteint la majorité sexuelle qu'il y ait consentement ou non est sévèrement punie par la loi du ou des pays des partenaires. * la majorité sexuelle en Europe va de 13 à 18 ans selon les pays.

Mon frère jumeau David et moi ...

thanks to tommyroots for this submission

...avons bénéficié d'un apprentissage sexuel très poussé lors de notre adolescence. Tout s'est passé en l'espace de quelques semaines. David était très préoccupé par les filles et moi je sentais déjà que les garçons m'attiraient. Mon père avait aussi un frère jumeau qui n'habitait pas très loin et nous nous voyions souvent, d'autant que mon oncle Éric était aussi l'entraîneur de mon club de foot. Avec sa femme Jocelyne, ils avaient la réputation d'un couple très libéré. C'est elle d'ailleurs qui mit le feu aux poudres. 

 

 

Le sujet que j'ai l'intention de traiter avec ce récit c'est celui de l'initiation sexuelle des jeunes. Ici certains parents veulent la prendre en charge. Je pense que vous serez surpris comme moi que la tante et l'oncle soit soucieuse de l'initiation de ses neveux et non de celle de son propre fils, Vincent.

 

Quel âge verriez-vous idéal pour une initiation réussie ?

 

Et à quels âges faut-il s'en abstenir ?

 

 

 

Un jour que nous étions mon frère et moi chez eux avec leur fils Vincent qui a le même âge que nous, nous parlions une fois de plus de filles à tirer à l'instigation de David, quand Jocelyne nous surprit. Nous étions dans la chambre de Vincent et sa mère lui demanda d'aller chercher quelque chose. Elle profita de son départ pour s'adresser directement à mon frère: "Si ça t'intéresse tant que ça, je m'occupe de toi." David prit cela à la rigolade et surenchérit. Du coup il ne vit pas le coup venir quand Jocelyne se plaqua contre lui et lui mit la main au paquet. Il était aussi surpris que moi. Vincent revint et interrompit tout.

Le soir avec David, nous en discutâmes et il m'avoua que cela l'avait beaucoup échauffé. Le lendemain était un dimanche et nous devions déjeuner chez eux. Le repas fut bien arrosé. Dans l'après-midi, chacun se mit à vaquer à ses occupations, ma mère faisait la sieste, mon père parlait avec son frère jumeau Éric. Jocelyne demanda à David de l'aider. Il ne se fit pas prier mais il devait être sur ses gardes car il demanda si je pouvais l'accompagner. Ma tante dit oui après un léger moment d'incertitude qui me troubla. Nous nous retrouvâmes dans leur chambre d'amis en train de l'aider à vider le haut d'une armoire de ses vieux vêtements. Il s'agissait de tenues légères et un peu provocantes.

— C'est à toi Jocelyne?

— Oui je les portais il y a 15 ans quand ton cousin Vincent est né.

— C'est un peu provocant !

Pant for your Mommy, little boy. Be a good boy and show your Mistress how much you belong to her. Show her how willing you are to do anything for her, everything for her. Let your Mommy see how much you are devoted to her pleasure, to her desires. Give yourself to me, honey. Only to your Mommy. Good boy. erooups: Hattie Watson

— Oui, peut être. Je crois que j'ai gardé la même taille.

— Chiche que tu n'es pas capable d'essayer!

— On va voir ça.

Et Jocelyne de se déshabiller et de passer une petite robe. Une fois fait, elle retire sa culotte pour que l'on n'en voit pas la marque selon ses dires. Je vois à la tête de mon frère qu'il commence à être excité. Cela n'échappe pas à Jocelyne qui se livre à un petit manège. Elle se penche en avant, sa bretelle de robe tombe, laissant voir au passage sa chatte et ses seins. David effleure le tout au passage en l'aidant à remplir les cartons, puis tout à coup je remarque qu'il a carrément sa main sous la robe.

Jocelyne commence à le guider en gémissant, il doit la doigter, je suis stupéfait. Mon frère se déshabille et me fait signe d'en faire autant. Il a beau être mon jumeau, nous ne sommes plus si intimes que cela et je suis gêné. Ma tante s'agenouille et commence à le sucer. Tout à coup, je sens sa main qui commence à me malaxer le pantalon. Elle dit à David de se branler tandis qu'elle me débraguette. Puis elle s'allonge sur le lit et demande à mon frère de la pénétrer pendant qu'elle me suce. Elle nous fait intervertir les rôles. Je ne suis pas excité par elle mais plutôt par mon frère qui se laisse faire. J'admire sa bite tendue, ses couilles, ses poils. Jocelyne malgré sa bouche pleine nous demande de nous embrasser en nous disant que les jumeaux ça l'a toujours excité. Ne nous voyant rien faire, elle prend nos deux têtes et nous fait nous rapprocher. Pour moi la sensation est énorme. David garde la bouche fermée dans les premières secondes mais j'arrive à glisser ma langue, ce qui me fait jouir instantanément dans la bouche de ma tante qui vient de recommencer à me sucer. David continue à la besogner et jouit quelques instants plus tard. Jocelyne rigole et nous demande si ça nous a plu.

Le soir, chez nous, je ne peux m'empêcher d'en reparler avec David. Il me dit qu'il est ravi d'être enfin dépucelé, qu'il a envie de recommencer. Quand je lui demande pour le baiser sur la bouche, il élude. Je lui propose alors que nous nous branlions mutuellement, ce que nous avions fait 2 ou 3 fois 2 ans plus tôt lorsque nous avions découvert que nous pouvions jouir mais que nous avions cessé de faire ensemble. À ma grande joie, il cède.

Je prends son sexe en main avec bonheur. Le seul fait qu'il me touche m'excite au plus haut point. Je me penche alors sur sa bite que je suce avec avidité, c'est la première fois et je la sens qui se contracte par petits à-coups. Je me sens éjaculer au moment où sa semence envahit ma bouche. En me relevant je l'embrasse à pleine bouche.

Une semaine après, nous partons en vacances ma tante Jocelyne, mon oncle Éric et leur fils Vincent, avec mon frère David, mon père et moi. Ma mère nous rejoindra dans une semaine car elle doit s’occuper de son père qui est malade.

Dès le premier soir, j’essaie de recommencer avec David mais il me rejette. Je comprends qu’il a quelque chose derrière la tête. Une fois couché, je fais semblant de dormir. Pas loupé, il se lève et je le suis. Il est 1h du matin et il entre dans la chambre de Jocelyne et Éric. Comme c’est l’été, je prie pour que la fenêtre de la chambre soit ouverte pour aller mater. Ouf c’est bon. J’arrive à me glisser derrière l’épais rideau qui fait office de fenêtre, je l’entrouve et je tombe sur un spectacle qui me laisse pantois. 

momspantyson: Shhh, quiet little boy, it’s all right. Mommy wants to see you naked and hard. You belong to Mommy, your cock belongs to Mommy. Do you understand? It’s mine to play with, it’s not for you anymore. You will serve me naked from now on, even when my friends are here. You will not relieve yourself unless I give you permission. I am your Mother, your Mistress, your Goddess. ————— Another post and picture I can’t begin to change. Just perfect again! - GBFM

 

Jocelyne a un gode à deux extrémités, elle en suce un embout et demande à David d’en faire autant. Ça le fait rire! Puis elle se l’enfile dans la chatte et se met à gémir. Mon frère se penche sur elle et commence à l’embrasser et lui sucer les seins mais elle le repousse. Elle le fait se disposer de telle manière qu’avec ses jambes, il encadre son corps à elle et sa bite en érection se trouve à quelques centimètres du gode. Là, elle lui dit: "Tu vas voir que nous les femmes, on sait s’occuper des pédés de la famille." Comment le sait-elle? Et elle lui introduit l’autre extrémité du gode dans le cul. David se montre très surpris mais se laisse faire. Ma tante se relève et se penche sur lui, ses deux gros seins étouffent le visage de mon frère. Il bande de plus belle et elle lui vrille le gode dans le cul. Puis elle se le remet dans le vagin, ils sont tous les deux empalés et elle se met à onduler du bassin en disant: "Allez! Fais-moi jouir pour que tu jouisses aussi du cul!" Je vois mon frère exploser: un gros jet de sperme suivi de plus petits.

Ma tante rigole: "Eh bien! Tu n’es pas endurant. Enfin, c’est normal à 15 ans!" et elle se met à le sucer pour le nettoyer. J’ai tellement envie de me branler que je retourne dans ma chambre en me demandant où est mon oncle Éric.

En passant devant la chambre de mon père, j’entends des gémissements. Je décide de jouer les curieux à nouveau. Vive l’été. Comme la chambre est à l’étage, je monte sur le petit balcon qui en fait le pourtour et je me retrouve face à la pièce légèrement éclairée. Mon père pilonne son frère Éric. 

Je suis très frappé par sa grosse queue qui entre et qui sort et le bruit des corps qui se heurtent. Alors comme moi et mon jumeau David, papa et son frère jumeau baisent ensemble! Je retourne me coucher.

Au réveil, je vois David qui dort encore et sur le drap, un petit gode qui a l’air de venir juste de lui sortir du cul et qui fait une petite tache. Il préfère ma tante et j’en suis un peu dépité.

À la fin de la journée, papa voit que je ne suis pas dans mon assiette. Je discute avec lui dans sa chambre et je pleure. "Toi tu as un chagrin d’amour. Tu sais que tu peux tout me dire, même si c’est... si c’est un garçon." Je lui réponds:

— Alors tu as tout deviné?

— Oui tu es comme moi à ton âge, mais j’ai su garder mon frère même si je l’ai partagé avec une femme. Allez approche-toi.

Papa me serre contre lui et m’embrasse de plusieurs petits bisous sur la bouche. J’ai les lèvres fermées. Il insiste, si bien que je sens sa langue. On se roule une longue pelle et en bougeant, je remarque qu’il bande. Il me déshabille et me complimente sur ma queue avant de l’engloutir. Je ferme les yeux quand je sens des mains me malaxer le dos: c’est mon oncle Éric. Mon père s’interrompt, ils s’embrassent et puis il lui chuchote quelque chose à l’oreille. Éric repart et papa reprend son boulot. J’étais impatient tellement c’est bon.

Il me lèche divinement le cul, j’ai l’impression de jouir mais je n’ai pas encore d’éjaculation. Papa m’allonge sur le lit, j’ai la bite en équerre, il me met un préservatif et s’accroupit sur moi. Mon sexe entre dans son cul qu’il a lubrifié. Je ne bouge pas, c’est lui qui fait les mouvements. Il coulisse en m’emprisonnant le dard, je sens des étoiles dans ma tête qui explosent lorsque je vois Éric revenir en compagnie de David, tous les deux nus. Mon gland inonde alors le cul de mon père et David vient m’embrasser. Papa me dit alors qu’il voulait que je sente ce que c’était de prendre quelqu’un avant que j’offre mon cul vierge pour la première fois. Je le fis pour David.

Mon père et son frère nous préparent en nous caressant, nous embrassant et nous léchant. David est en moi et puis quand approche le moment, Éric encule son frère jumeau, mon père, qui est couché à côté de moi. Nous nous tenons la main et nous jouissons tous les quatre ensemble.

Jonathan & Kevin Sampiaio

 

Mmmmmm, baby. Does Mommy’s hand feel amazing on your swollen cock? Do you feel how wet your Mistress is growing from your attentions? Mommy wants you to think about how good she is going to feel sliding down that pretty cock. Mommy wants you eager to please her when she puts her little boy’s cock into her pussy. You like that, don’t you, baby. Good boy. Mommy’s good boy.

 

This belongs to Mommy, doesn’t it, baby. You love the way Mommy plays with her pretty toy. It feels so good on my tongue. It feels so good against Mommy’s lips. Doesn’t it, sweetie. You want Mommy to slide down over you, don’t you, baby. You need it. It’s all you can think about - feeling Mommy’s mouth. OH yes, that’s my good boy.

Mommy wants this. Mommy owns this.

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 5 novembre 2 05 /11 /Nov 06:30

allo t'es "cuir"toi ?  

-- mais qu'est-ce  ça aurait été avec des ouistitis....!!!

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J'hésite à le classer en RECITS  car c'est très FUN aussi...

SEPT CONTRE UN (ne comptez pas les doigts de vos mains, c'est de sept bonshommes dont il s'agit...) 

    J'en avais assez de chercher sur le net des mecs comme je les aime. Moi, c'est musclé plus cuir archi-moulant, plus grand mecs. J'en veux au moins trois, des sérieux, pas des gros ni des s/m, ni uro-scato. Je suis passif. Je décidai d'aller dans un bar où il y a souvent des motos devant.

Je rentre. Bizarrement, on m'indique une salle au fond. J'avais mis mon perf, mes tiags, et un 501 moulé à faire damner un curé. Il ne laisse rien perdre de ce que j'ai dedans, on le croirait peint. Il fait ressortir mes couilles et mon 18 cm. Je rentre dans la salle et là, surprise, je tombe sur une réunion de cuirs comme rarement: pas des abdos kronembourg, des mecs genre bodybuildés. Je salue. On me dévisage longuement et on répond. Il me semble que la glace se romp. On m'invite à boire un verre. Un super athlète en combarde de course s'approche, je vois qu'il la porte à même la peau. elle est vieille et sent un mélange de cuir et de... sperme. J'ai soif, mais pas de flotte!

Je vois que d'autres se rapprochent et cette fois ci, c'est gagné: en voilà en tout cinq comme dans mes rêves. Je remarque deux choses: ils sont tous immenses et ont tous des couilles plus qu'apparentes à travers leurs cuirs ou leur jeans, de taille énorme. On les croirait fait au moule: je ne sais plus auquel céder, alors je décide de céder à tous. J'en bande comme un cheval et pas un ne perd la vue. Mon cuir est taillé pour que cela se voie et qu'on le sache.

L'un d'entre eux me prend le paquet dans le cuir et le caresse gentiment. Je remarque qu'il commence à bander aussi: sa pine monte en force dans son cuir et atteint la ceinture. Je lui dis que je vais exploser et que ce serait dommage que je sois le seul. Il dit simplement: "Ok, compris." Il se retourne et dit à la cantonade: "J'ai l'impression que le dîner est servi!"

Le temps de le dire et voilà trois autres mecs qui m'entourent. Malgré mon 1m83, j'ai l'air tout petit. Un me masse les couilles, l'autre frotte un jean archidestroy qui laisse sortir par tous les côtés des poils blonds et voir à peu près tout, contre ma jambe. Un autre vient par derrière et commence à faire comme s'il m'enculait. Il est tellement puissant que je me retrouve assis contre son paquet pas encore sorti du cuir!

On décide de tous aller chez l'un d'entre eux qui n'habite pas loin. Je les suis sur ma ThunderAce, eux sont presque tous en 1100GSXR et CBR.

On se range, on monte. On est sept!

On entre dans un appartement plutôt petit mais bien foutu. Un détail: tout est presque occuppé par des appareils de bodybuilding et sent le foutre à plein nez. Partout, des flaques de sperme à peine sèches. Un régal.

...à mon goût...

À peine rentrés, je leur confirme mes goûts et ils éclatent de rire: eux n'ont pas besoin de merde ou de faire mal pour baiser. Simplement, ils me préviennent que chacun à l'habitude de tirer environ 4 coups au moins et encore chacun a une particularité: l'un tire presque 10cl d'un coup avec un orgasme géant, l'autre multiplie les petits coups et son orgasme dure plus d'une heure. Un autre me dit que son gland gonfle tellement qu'il s'ancre dans l'intestin et qu'il est pratiquement impossible de l'enlever bandé sans tout arracher. le programme me plaît. Tous avouent préférer baiser habillés en cuir ou en jean. Un dernier me prévient qu'il se fraie un passage avec une pointe métallique de santiag quand même arrondie et non coupante. J'adore l'idée. Quand tout le monde a fait son couplet, mes réponses les ont tous rassurés, on attaque.

À peine on commence qu'un m'ordonne de sucer son sexe à travers le cuir. Excellent goût et vive surprise: il y a tellement de sperme séché dedans que le cuir est tout raide! Le goût est radieux, cela me fait bander. Ils en rigolent et le premier ouvre son cuir sans enlever son ceinturon. Un énorme chibre en sort comme poussé par un ressort. Belle bête. Je le mets en bouche mais il m'arrête et m'enlève mon cuir. Quand je suis nu comme un ver entouré de sept géants en cuir avec la perspective de me faire enfiler environ 28 fois et de rentrer presque un litre de sperme, j'ai une appréhension. C'est trop tard!

Il m'attrappe comme un brin de paille et m'empale à sec. C'est intenable, j'avais beau être prêt et avoir assez été léché par les uns et les autres, j'ai très mal. Il me dit: "Bienvenue au club."

Il commence à me limer ce qui de douloureux devient extraordinaire. Je suis au 7° ciel. On m'attache empalé à lui, je ne peux que sentir sa pine grossir rythmiquement loin dans mon intestin. Il s'allonge par terre, moi donc dessus. Un deuxième avec une combarde sort une pine incriyablement longue, elle doit faire au moins 28 cm. Elle est fine: c'est les meilleures. Il nous enjambe, se place au dessus de moi, me demande d'ouvrir la bouche et l'enfile après m'avoir conseillé d'allonger l'oesophage en basculant la tête, pour ne pas étouffer. Je ne peux rien faire, car un troisième s'est assis sur mon torse. Il se bascule en arrière, s'empalant sur moi et suçant le troisième. Nous faisons un beau mille feuilles. Je suis pénétré jusqu'au nombril d'un côté ai-je l'impression, jusque dans la moitié de l'oesophage par la bouche. Je ne peux pas bouger.

Les trois commencent à aller et venir, onduler, faire gonfler leurs glands. Je vais de l'extase à l'inquiétude de l'étouffement. Mais ils savent ce qu'ils font.

Un 4° se branle devant mes yeux immobilisés dans la pile de loubards, et soudain, un flot de sperme épais se rue sur moi, m'inondant entièrement: je suis complètement englué. Je me concentre sur ma respiration et essaye de faire pour mon plaisir.

Soudain, un coup de boutoir dans mon intérieur: le premier me décharge son foutre brutalement. Une sensation de satiété dans l'intestin. Bientôt le deuxième en fait autant: j'ai l'impression d'avaler un broc de sperme entier, directement dans l'estomac.

Deux autres se crossent sur nous trois pour lubrifier.

Je ne vois plus grand chose. Quand j'arrive un peu, je vois du cuir, des couilles énormes et des montagnes de muscles qui me triturent, me fouillent, m'empalent, me remplissent.

Mon rêve est devenu réalité.

Au bout d'une partie de la nuit, l'ankylose aidant, nous nous démèlons. Les trois autres commençaient à en avoir assez de devoir se crosser en regardant.

Santiags me fourre dans le cul sa pointe métallique de botte et enfonce gentiment. Pure formalité car avec l'occupation qui se termie, je suis mûr pour un gros machin sans problème. Mais j'aime bien cette mise en contact. Il retire sa botte de mon cul et m'encule sauvagement. Il est monté comme un vrai cheval. Malgré le début de la nuit, j'ai enccore du mal à l'accepter. Il force à grands coups et finalement je sens ses couilles contre mon cul. Sa pine est très vivante: elle est tellement turgescente que je sens chaque pulsation de sang dans mon anus distendu. Il commence à me limer comme un étalon, rien ne peut l'arrêter. Je ne suis qu'un trou d'accueil.

Je sens que sa pine grossit encore, chaque veine sur sa pine démesurée devient douloureuse et soudain il m'inonde. Je sens une marée chaude m'envahir et tout devient super lubrifié. C'est une extase, je ne sens que de la douceur est me sens en même temps complètement devenir son jouet sexuel. Chaque contraction de son corps en orgasme se voit à travers ses cuirs, je vois des muscles impressionnants jouer sous la peau, je le sens se vider en moi. Nous ne faisons plus qu'un.

Pendant ce temps, je n'ai le temps que de voir une combarde qui fut blanche et rouge et sans doute deux tailles trop sérrée, s'ouvrir devant mon visage et libérer la plus grosse paire de couilles que je n'ai jamais vu. De vraies balles de tennis. Branchées sur un chibre de 24 cm environ, ce qui semble être le minimum chez ces mecs.

Il s'assied doucement sur ma figure, se frotte les couilles sur mon nez et ma bouche. J'essaye de goûter au passage, j'ouvre la bouche. Il met ses couilles dedans! comme elles sont trop grosses, je bouge la tête. Le dernier qui était entrain de se crosser sur ma poitrine se met à genous à califourchon sur mon torse et m'enserre la tête fermement avec deux cuisses en cuir, je ne peux plus bouger d'un poil. Mis comme cela, il ne reste plus qu'à la combarde blanche et rouge de m'enfourner sa pine. Je n'ai que le temps de basculer la tête et de happer ce qui vient. Sa pine est très dure, comme un gode. il commence un va et vient rapide et commence une éjaculation multiple que je n'ai que le temps d'avaler au fur et à mesure. Celui qui me maintient la tête éjacule et j'ai l'impression qu'il me dépose une méduse chaude sur le visage: je suis de nouveau complètement englué. J'adore.

Pour occuper mes mains, je caresse les deux premiers du début de la nuit à l'aveuglette. Je soupèse leurs couilles et ais le temps de me demander comment ils font pour récupérer si vite. Ma nuit va être longue. Tant mieux. Le matin semble se pointer, le jour se lève, pas mes 7 mecs.

Je n'ai pas faim, je suis amplement nourri de leur sperme abondant. Je suis un peu endolori mais c'est pour la bonne cause.

On se démèle enfin, je me relève. On rigole tous. Mes sept loubards ont l'air tout frais, leur cheveux longs simplement collés de spermes mélangés.

On mange un petit morceau et on avale un café.

Les motos sont au garage et ils ont une idée: on descend tous et ils me mettent à plat ventre sur une des 1100 GSXR, le cul encore amolli à l'air. Avec sa selle mono très haute, la moto me lève les fesses, je suis appuyé sur le réservoir, la tête dans les compteurs. La bête entre les jambes. Ils la démarrent, et font rugir le moteur. En échappement course, c'est assourdissant et les vibrations sont géniales.

Ils commencent une série de chevauchées en m'enculant ce coup-ci sauvagement. Mon cul est tellement distendu et gavé de sperme que je ne trouve que de l'agrément. Je regrette de ne rien n'avoir en bouche. Comme si ils avaient eu la même idée, l'un se place sous ma bouche, ce qui me relève la tête et lui permet de m'enfourner. C'est les grosses couilles de tout à l'heure. Elles semblent vibrer plus encore et bientôt il recommence à éjaculer. Je pense que je n'en peux plus. J'ai l'estomac comme dilaté de tout ce sperme. L'intestin lui aussi est rempli à déborder, quand ils se retirent, pas mal de sperme ressort et se perd.

Quelques injections de foutre plus tard, je suis tellement gluant qu'ils commencent à glisser en m'enculant. Le plaisir n'est plus le même.

On s'arrête et on remonte à l'appartement.

Mon cul est tellement élargi que l'un d'entre eux y passe le bras sans effort pour lui et sans trop de mal pour moi. Dans mon anus, il serre le poing et le tourne. C'est extraordinaire, je ne me sens plus. Je ne suis pas abimé, bonne nouvelle. Il ressort, on essaye de s'essuyer. L'odeur de sperme est omniprésente. Les pines rentrent peu à peu dans leurs cuirs. On discute encore un peu pour laisser le temps de sécher. Ils me félicitent, disent que je suis le bienvenu quand je veux. On prend rendez-vous pour le week end suivant, cela va être long d'attendre jusque là.

Comme si de rien n'était, ils se mettent sur les appareils de muscu pour y finir le week end.

J'emporte un pot de confiture rempli de sperme pour passer la semaine.

J'en voudrais plus la prochaine fois!

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 3 novembre 7 03 /11 /Nov 08:05

conservé dans la catégorie RECITS GAY REELS 

 

  je me demande toujours comment j’ai fait pour supporter un si terrible engin...

Le feu de l'amour personnifié !

C'est LUI qui parle :

Ce mec, c’est le meilleur baiseur que j’aie jamais connu (et c’est aussi le moins salaud que j’ai connu jusqu'à aujourd’hui,  malheureusement, nos domiciles sont légèrement éloignés aujourd’hui (bof environ 9000 kilomètres) dommage...

— Surprise!

— Wouah! Un billet aller-retour pour P-à-P/Paris! C’est pour moi?  

— T’es content?

— Oh oui merci man! Ça fait des années que chuis pas parti en vacances! MERCI! SMACK! (Bisou très sonore! )

Je n’en croyais pas mes yeux, j’allais à Paris rejoindre mon frère de 21 ans (beau mais 120% hétéro... Il sait pas ce qu’il rate). Sans parents, rien que lui et moi, nous allons enfin pouvoir faire les 400 coups! Des fringues pas chères, des parcs d’attractions, une visite dans ce quartier que l’on appelle "LE MARAIS" et plein d’autres choses. Ma tête s’embrouille tant la joie est grande! Je ne suis pas encore parti que mon planning est déjà fait et à ce train là, j’aurais pas assez de mes deux mois pour faire tout ce que je voudrais!

D’ailleurs ça va me permettre de faire le point sur la relation que j’ai avec Cyril, cet apollon, ce dieu... Déjà casé mais qui me voit quand même, et quand je dis "vois", on ne se regarde pas dans les yeux pendant des heures! Et comme ça j’aurai plus à subir les attaques de son mec qui a tout à fait raison de défendre son territoire mais que voulez vous... j’étais fou amoureux, premier amour, premières folies, ça rend aveugle ce truc... bref!

Alors j’appelle Johanne, Nicolas, Amid et Freddy pour leur annoncer la bonne nouvelle!

— Quoi? Toi aussi Amid tu pars! Wouah!

Tout va de mieux en mieux! Qui n’ai-je pas encore prévenu? Mes cyber correspondants parisien bien sûr! Un mail rapide mais coloré, date et heure d’arrivées... demande de rendez-vous, tout s’enchaîne. Mais malheureusement, ils me répondent tous:

 "Oh non!  Tu sais il vaut mieux ne pas qu’on se voit parce que ça va tout  gâcher, j’ai pas envie de perdre la cyber amitié que j’ai avec toi et patati  et patata!  "

Tous me répondent ça sauf un! Le meilleur en plus! Il est guadeloupéen également, a fait ses études là-bas et y est resté pour travailler! C’est cool! Ça fait au moins 6 mois que l’on chat sur le net on se connaît assez bien! Chuis tout excité! Croyez le ou non, je n’avais pas prémédité ce qui allait se passer!

Quelques jours et 8 heures de vol plus tard!

— Oh lala qu’est ce qu’il fait froid! C’est sûr qu’on est en été?  

— Si si!

— STAN!

— Eh oui p’tit frère!

Embrassades fraternelles et tout, vous connaissez, et direction la banlieue. Je pensais que c’était la zone mais en fait ça va, y a pire en Guadeloupe! Sur le chemin je rencontre les premiers parisiens, oh lala! Plutôt pas mal! Ouais vous êtes plutôt pas mal! Et arrivé en banlieue, des noirs, des rebeu... Soit dit en passant, je rêve de sortir avec un beur, oh lala, il me font craquer! Leur belle gueule, leur façon de parler, leur virilité, tout! J’aime tout! J’en bande!

Arrivé dans l’appart, tout est cool, je m’installe et je veux me casser et aller visiter! Mais avant, je passe un coup de fil à Stéphane! On se parle, oh il a une belle voix dis donc! "Oui j’ai fait bon voyage merci!" et tout et tout, j’vais pas vous raconter, c’est pas intéressant!

Me voilà à Paris installé, malheureusement ma mère a appelé Stanley pour lui préciser de ne surtout pas me laisser seul avec qui que ce soit, ni même de me laisser prendre le RER tout seul (!) donc le Marais, j’pouvais faire une croix dessus!

Le quart de mes vacances se sont écoulées... Ça fait des jours et des jours que nous discutons par téléphone. Moi je commence grave à m’emmerder parce que mon frère me casse les couilles! J’en ai marre, je veux rentrer chez moi, en Guadeloupe! Tout ça pour une question de fric! Bref, un jour il nous invite à déjeuner, rendez-vous à l’opéra de Paris! Dans ma tête j’me dis: "Et si il était laid?"  Et il y a un mec qui arrive. Oh non, j’espère que c’est pas lui, merde il arrive vers moi! Pourquoi il sourit comme ça? Merde c’est lui...

— Vous auriez l’heure s’il vous plaît?

— 14h30.

— Merci!

Pfuiiiiiiiiiii! Soulagé! Oh lui là! Oh comme j’aimerais que ce soit lui, regarde moi ces muscles, cette gueule, oh putain! Quelle bosse! C’est pas possible! Il a mis une balle de tennis! C’est pas vrai! Et non c’est pas lui! Finalement, le portable de mon frère sonne, je réponds:

— Regarde juste derrière toi!

Et là une voiture stationnée et je vois un mec tout à fait normal, monsieur tout le monde (j’avais pas encore fouillé dans son caleçon!), ni super beau ni super laid, normal et black! On bouffe, on rigole et tout le monde rentre chez soi.

Puis un autre jour, il m’invite à dîner chez lui. Moi tout seul ! On se fixe un rendez-vous et le lendemain on se retrouve. On va au resto, il me fait visiter ce que mon frère ne m’a pas encore fait visiter et la nuit tombe... Miracle, j’ai l’autorisation pour dormir chez lui. Maintenant, sors moi cette queue et astique toi bien, ça va chauffer et mon putain de cul aussi!

On rentre chez lui, on discute et je m’assoie par terre pour reluquer ses CD, géniaux, pendant que lui met la table. Il dépose une assiette puis tout d’un coup vient se placer derrière moi. Je suis maintenant entre ses cuisses et sur mon dos, je sens sa gaule. Pendant ce temps, il me suce le lobe de l’oreille (je lui avais avoué que cette caresse me laissait sans force) et il frotte et frotte encore sa queue pour que je la sente bien! Il me gruge les tétons à travers le t-shirt!

— Qu’est ce que ça te fait quand je te fais ca!?

—...(néant)...

Il se relève d’un coup et part vers la cuisine pour finir sa table... Moi je cuve la surprise de son geste car jusque là, il avait été correct, je veux dire tranquille et là pour l’instant, il me fait l’effet d’une bête de sexe en manque de cul à troncher! Mais là au fond de moi, je sais déjà que je vais me faire baiser.

Je continue de fouiller dans ses CD mais sur le carrelage au bout d’un moment, j’ai mal au cul! Et je m’allonge sur le ventre mais vraiment sans arrière pensée. Lui il sort de la cuisine et me voit. Il court vite poser ses assiettes sur la table, moi sur le coup j’ai cru qu’il se passait quelque chose de grave: un vase va tomber? Le chat va sauter par la fenêtre? Et non, c’est mon cul qui va prendre un coup de bite! Je m’étais un mis sur le côté et lui me plaque sur le sol face contre terre et se place de façon à avoir sa bite dans ma raie! Oh lo la! C’est pas un p'tit morceau! Il frotte encore plus fort, me maintient les hanches et me lèche la nuque, le cou oh putain, les oreilles; j’en bande d’un coup!

— Putain t’as vu comme tu t’es mis?

—...(néant)...

— Viens, j’en peux plus! Je vais te faire un câlin!

Il me tient par la main et m’emmène dans sa chambre. Il me jette violemment sur son lit, m’enlève mes shoes et se jette littéralement sur moi. Pourquoi les mecs veulent-ils tout le temps me traiter comme une chienne en chaleur? Avec violence?

Et il vient se coucher sur moi, mais avant il me frotte sa queue emprisonnée dans son jogging sur le pied, remonte sur la jambe pour que je sente bien sa gaule; elle me semble énorme, elle gesticule toute seule, de part et d’autre de ma jambe et ça l’excite le cochon à l’entendre gémir virilement. Enfin il m’embrasse quand sa bite vient se presser sur la mienne et, il se frotte ainsi, en nous branlant tous les deux dans nos boxers. Il se relève et avec fureur, fait sauter les boutons de mon 501 et me l’enlève comme un fauve. Il est très violent, il a pris dans chaque main une extrémité des jambes et tire dessus mais fait aussi un mouvement de rotation de sorte qu'une fois, je me retrouve sur le ventre, une autre sur le dos. Il me fait littéralement peur en faisant ça! Enfin il enlève complètement le jeans et se déshabille complètement dans le noir en deux temps trois mouvements. Je ne peux voir que les contrastes que la faible luminosité crée sur sa peau mais sa queue m’est encore inconnue... à la vue!

Ce super baiseur alterne le chaud et le froid. Suite à cela, il se couche tranquillement sur moi en passant son gland entre mes cuisses puis remonte avec sa queue, laissant une trace humide de limace, du précum aussi abondant, c’est un vrai mâle! Quand il arrive au niveau de mon cul, sa queue se glisse entre mes fesses et le léger slip moulant blanc, et là il fait des va-et-vient doux comme si il me baisait. Moi je gémis comme si il me baisait car il me fait un effet monstre! Je jette un coup d’oeil derrière moi et déjà, il est en sueur et je vois une tente sous mon slip qui monte et qui descend, qui monte et qui descend, laissant à chaque fois une tache humide un peu plus grande sur mon pauvre slip qui risque bien de craquer tant il est plein! Puis c’est de nouveau Stéphane le sauvage! Il se relève, attrape les échancrures de mon slip et me les enfonce dans le cul comme si c’était un string et il secouait ce fil sur mon anneau qui s’échauffe grave. Tout en faisant ça, il me frappe le cul:

— T’as un cul, mon poussin, tu vas tout prendre hein pas vrai? T’es tellement bon! T’as l’air tellement bon! Un tout petit peu de gras sur le cul! Il est bien bombé, t’as un cul à te faire baiser, c’est moi qui te le dis !

Moi je ne peux rien faire d’autre que de me laisser diriger par cette ficelle improvisée qui glisse dans ma craque, en gémissant sur les claques qui me cuisent le cul et en plus de ça, cette pression qu’il exerce sur ma pine qui n’a jamais été aussi dure! Ouch! Je pourrais envoyer la sauce comme ça!

Puis il se fait de nouveau doux et me refroidit le cul avec sa langue en léchant, doucement gentiment et badaboum! Il écarte brusquement la ficelle sur un côté, dévoilant totalement ma raie et il y plonge sa langue; qu’elle sensation, c’est une première pour moi je tourne de l’oeil et cette fois-ci, je hurle tant il me fait du bien ! Cette langue qui s’agite si vite, si vite, si sauvagement sur mon trou, avec en plus la sensation que sa barbe mal rasée provoque sur les parois de mon cul! L’avant de mon slip est vraiment super humide! Et tout d’un coup il le déchire violemment ; je suis nu et lui aussi!

Il va me prendre maintenant, j’en suis sûr! Il va me la mettre sa putain de queue et je n’attends que ça! Putain, nique moi Stéphane! Bourre moi! Mais avant, il passe devant et me la fourre dans la bouche. Je n’en crois pas mes lèvres, qu’elle est grosse! Je n’ai pour l’instant que son gland dans la bouche, son gland mouillé, sucré et qui  me remplit les joues. Lui il s’amuse à l’enlever et à le remettre dans ma bouche, à le faire passer sur mes lèvres, il veut que je le supplie de me la laisser à sucer! J’en bave de partout! Je me branle en faisant des mouvements de bassin sur le drap d’une douceur incroyable!

— Oh laisse moi sucer ta queue, elle est trop bonne! Han! Slurppp!

Je l’avais gobé, je ne pouvais plus rien dire! Son sperme, son précum, son odeur, son essence de mâle m’avaient transformé en vraie salope lubrique... Il m’attrape alors des ses deux grandes mains râpeuses et aussi gigantesques que des battoirs par les joues. D’une main il me pose la tête sur ses tétons protubérants, ça m’étonne d’ailleurs beaucoup, mais il sont si bons à sucer! Je mordille et apparemment c’est son point faible, à genoux l’un devant l’autre sur le lit. Je me branle en lui bouffant ses délicieux petit bonbons! C’est son point faible, il rugit comme un fauve et quand j’augmente la pression, il pousse un cri dément et jouit... Moi je le regarde, étonné par sa jouissance inattendue!

— Et mon cul alors? Je vais me chercher un concombre parce que chuis trop chaud maintenant! Et d’ailleurs tu m’as chauffé... tu me refroidis!

— Qui a dit que j’pouvais plus te bourrer l’cul? C’était prévu ça, qu’est-ce que tu crois? Faut pas exagérer l’effet que tu me fais!

—...(néant)...

Oh putain j’ai honte... mais d’un sur le cul, je suis sur le ventre et c’est sans aucune délicatesse qu'il me tartine la rondelle avec sa jute qu’il avait récupérée. Il m’enfonce un index puis l’autre à tour de rôle, me volant des cris aigus, à son plus grand plaisir. Mais c’est pas assez, il les remplace par ses majeurs puis c’est les deux, l’un après l’autre, qu'il me travaille la craque! J’en bave de lubricité! Quel baiseur! 20/20! Hop ça y est! Il en a marre, il va me prendre maintenant, pour peu et c’est moi qui m’empalais dessus, quitte à me déchirer la rondelle! Mais dans un ultime geste:

— Tu la veux toujours? T’as pas peur? C’est 24 x 7, tu vas supporter?

— Ta gueule! Baise moi merde!

Mais où ai-je appris à parler comme ca? D’où me vient ce langage cru?

Il l’a positionné devant mon trou palpitant, qui lui aspire le gland ohhhhh! Tiens je commence à regretter, le gland a du mal à passer, c’est que sa queue est une putain de gigantesque queue en forme de batte de base-ball! Plus, je me dis que le gland passé ça ira mieux, plus j’ai mal!

— Regarde, un rat!

— Où ca?

Et tandis que j’essayais de me relever le cul en premier vu que j’étais couché sur le ventre, lui s’est avancé de sorte que je me suis moi-même empalé sur sa tige et lui, a violé les derniers passages en poussant. J’étais rempli, emmanché à fond, oh là! J’avais oublié comment c’est bon d’avoir une pine bien dure dans le cul! Mais la sensation est violente! Maintenant il n’a plus qu’une poupée désarticulée au bout de la bite! Comment puis-je prendre tout ça? Allongé sur moi, il glisse un bras sous mon ventre et sans déculer, il me met à genoux et commence ses va-et-vient, longs, doux mais profonds. Même si je le voulais, je ne pourrais pas retenir mes cris, mon anneau déchiré par ce terrible engin m’envoie des ondes dans toute la queue! Et il commence à me pilonner de plus en plus vite quand il voit que ma craque s’habitue à son pieu! Il y va fort, je crie,

— Non! Pas si fort, arrête! C’est trop gros! Han! Han! Han! Han! Han!

— Tu la prends tout entière, oh c’est bon mon p'tit chat, bouge ton cul, vas-y! Oooooooooh oui!

Et BAF une claque sur le cul!

— Ahhh non, arrête s’il te plaît, tu me fais mal!

— Écoute toi comment tu cries, tu hurles, tu gémis... tu aimes ca! Elle te fais du bien ma queue, t’as pas arrêté de m’exciter toute la soirée alors prends ça! Tiens! Tiens!

— Ah han! Han! Han!

— Laisse toi aller...

Je me faisais baiser par la plus grosse queue que j’aie jamais vue et lui il me dit "laisse toi aller". Mon trou est chauffé à blanc, son noeud me frotte toutes les parois de mon conduit et elle est tellement grosse, chaque coup de piston fait un bruit de succion qui m’excite et lui aussi! Tout en me baisant sauvagement, moi à quatre pattes et lui derrière, debout sur le lit, juste accroupi à la hauteur de mon cul, il me gruge les seins tout sensibles, il mouille ses doigts de salive et me les pince violemment. Puis tout à coup, il me retourne sur le dos, me met les jambes sur ses épaules, le cul très élevé par rapport au lit et me la refourre:

— Je veux voir ta gueule quand je vais te remplir le cul! Oh je viens! Ohhhh tiens! Tiens!

Et au même moment, je me suis pogné la queue et j’ai joui en même temps que lui! Je me sentais rempli par ce mâle en manque visiblement. Il ne se retire pas et se couche sur moi, sa queue n’a pas débandé, je suis sûr qu’il pourrait me baiser encore... Moi je cuve mon orgasme et il redevient doux et m’embrasse tendrement. Je le serre et nous nous reposons un peu ! Sa queue, toujours pas sortie, d’un coup se raidit. Il est en train de bander, sa queue dans mon cul. Il fait mine de la sortir et me la refourre à fond! Moi je crie, je ne m’y attendais vraiment pas! Il me fait un sourire et il sort. Alors là les gars, fallait voir mon trou ce jour là. ÇA c’était un trou défoncé, il baillait tout seul en essayant en vain de se refermer. J’y ai porté ma main, j’étais vraiment inquiet. Il se couche sur le côté:

— Tu me plais beaucoup tu sais...

— Sans blague? (j’avais légèrement remarqué!)

— Tout à l’heure, quand je t’ai dit de ne pas exagérer ton pouvoir sur moi! Que tu ne me faisais pas d’effet, c’était faux! C’est la première fois que je rencontre un mec comme toi!

— Oh le salaud, t’as menti et tu me fais des compliments maintenant?!

— je t’aime…

— DÉJÀ!

Je sais, je n’ai aucun sens de la répartie, mais moi aussi je ressentais un tout petit petit petit petit truc!

— Tout l’après-midi, je t’ai regardé, je t’ai écouté...

—...(néant)... (j’avais absolument rien remarqué!)

— Booba, je t’aime...

Et il m’embrasse.

On se douche et on mange et on s’endort dans les bras l’un de l’autre...


Le lendemain quand je rentre, j’ai un peu de mal à expliquer pourquoi je marche comme un canard et pourquoi je ne peux plus m’asseoir, ça y est, j’étais handicapé du cul! Je pense que mon frère a compris que j’étais aux hommes, il a peut être un peu de mal a l’accepter mais il doit s’en douter. D’ailleurs, un de ses amis m’a carrément posé la question! J’le hais ce mec depuis cette question:

— Et t’as une copine? Comment elle s’appelle?

— Euh non je n’en ai pas...

— Tu préfères peut-être les garçons?

— Dis pas de connerie!

Que je me sentais mal, mais je n’ai rien dit.


On a baisé pendant toutes les vacances de façon passionnée ou sauvage, il m’aimait vraiment et moi je ressentais (je ressens toujours d’ailleurs) autre chose que de l’amour, c’était fort aussi mais pas de l’amour, ou alors une autre forme d’amour. PUTAIN! Pour une fois que j’en trouve un qui me respecte, qui en a dans la tête, qui est intéressant, qui m’aime et qui baise divinement bien! Ah la nature humaine est vraiment très bizarre parfois...

Mes vacances tirent vers leur fin et mon anniversaire approche! Bien sûr il faut absolument que je passe la veille avec mon keum et il vient me chercher et nous partons. Nous allons passer la nuit dans l’appartement d’un de ses amis parti en voyage en Chine (rien que ca!). La nuit arrive et bien évidemment, on baise...

Le lendemain au réveil, il a une gaule d’enfer. Mais Stéphane que t’arrive-t-il? T’as pris du viagra? À chaque fois que je voyais cette grosse barre de fer noueuse qui pointait sur son bas-ventre, cherchant une grotte, un fourreau où déverser son jus, ça me faisait un petit peu peur et je me demande toujours comment j’ai fait pour supporter un si terrible engin.

On descend et nous prenons le petit déj’ devant la télé. Il y a des supers clips vidéos et confortablement installés sur son torse très musclé, on les regarde.  

— T’as encore la gaule toi, qu’est ce que tu as à bander comme ça?

— C’est d’ta faute!

— Wouais wouais! Booba il a bon dos!

Sur ça, nous continuons de regarder la télé. Je me décide à me lever pour débarrasser les bols, la confiture et tout et lui vient m’aider. Quand je retourne vers le salon pour aller récupérer ce qui reste, il me plaque sur le mur, me serre entre ce mur et son corps et frotte sa queue! C’est parti, j’vais encore me faire troncher comme la première fois! Il m’attrape les cuisses et les enroule autour de sa taille tout en m’embrassant sauvagement! Encore une démonstration de sa force herculéenne! Il m’emmène sur le sofa et nous nous écroulons. Ça chauffe dans les boxers, il y a deux queues qui ne demandent qu’une chose: être libérées de leur prison de toile, l’une pour aller me brouter le cul et les lèvres, l’autre pour la caresse de ma main!

— On continuera à débarrasser tout à l’heure!

Ma main dans son boxer et la sienne dans le mien, nous regardons la télé quand:

— Eh Stéphane! Il est 9h, tu dois aller bosser et il faut me ramener avant! Ah ben non, t’auras pas le temps! J’vais rentrer seul.

— Tu rigoles? Pas question que tu partes sans l’avoir eu dans ton cul ce matin!

— Mais...

Un baiser langoureux vient me clouer le bec!

— Mais attends...

Il vient de me sucer l’oreille, il a gagné, il peut me sauter comme une chienne, je suis d’accord et je n’ai plus de force pour résister. Il me saisit les pieds et les allonge dans le sens de la longueur du sofa et m’écarte les jambes pour s’installer entre elles! Tout en frottant sa queue sur la mienne, il me lèche les tétons, les mordant doucement puis léchant pour atténuer la chaleur, tout en faisant un bruit exagéré qu’il pourrait très bien éviter de faire; mais c’est tellement excitant! Puis il se dresse, me regarde dans les yeux, que va-t-il faire? Il attrape un paire de ciseaux, entaille mon boxer juste sous les couilles puis déchire! Tout en étant vêtu de mon boxer, j’ai ma fente totalement accessible! Ça m’excite au plus haut point! Quelle initiative! Une noix de gel et il est déjà en position de tire et il me pénètre lentement, tout en m’embrassant le cou en me disant des mots gentils:

— Je t’aime tant! Tu vas me manquer... T’es chaud, ton cul aussi va me manquer... Je t’aime, je t’aime!

Et il m’a fait l’amour doucement. Comme sa queue est plus épaisse vers le gland, quand il sort, mon trou est dilaté un max, c’est ça la sensation qu’il me procure. Puis il me soulève la jambe droite et se la met sur l’épaule, dans cette position il peut aller à fond dans mon cul. Je sens sa queue battre, durcir par moments, qu’elle est raide! Ohhh! Je suis complètement offert et écartelé, je n’ai d’autre choix que de prendre cette putain de grosse bite de noir, c’est bon, c’est doux. Il me relève et me met à quatre pattes face au dossier et me chevauche cette fois-ci plus hard. Il me bourre comme si j’étais une chienne:

— Ne crie pas mon chat, les voisins...

— Putain! Oh han! Mais tu... Han!...me défonces... Han! han!...si bien...

— Oh j’aime quand tu parles comme ça!

Sentant la fin venir, il fait des mouvements de petite amplitude avec le collet de son gros gland, la partie la plus épaisse de sa queue et d'un seul coup l'enfonce et il m’envoie toute la sauce au fond du cul. J’ai les larmes aux yeux et le cul défoncé mais habitué au traitement que Stéphane lui inflige. Il s’écroule, me tire entre ses jambes:

— Mon amour, tu n’as pas joui, je veux que tu jouisses en moi...

— Mais tu l’as jamais fait!

— Mais je t’aime, c’est pour cela que je veux que ce soit toi qui me le fasse!

Et sans préavis, il s’est mis du gel au cul, m’a pris la queue et s’est empalé dessus! Ho c’est chaud! Son cul est super serré, c’est vraiment le pied, je ne vais pas pouvoir tenir la sauce longtemps!

— Oh Booba! Vas-y, vas-y, baise moi!

Trois bons coups à fond dans son cul et il n’aura suffi que de ça pour que je lui jute dans le cul, jusqu'à ce qu’il lui en dégouline.

Nous nous lavons et partons, moi à l’appart de mon frère, lui à son boulot, mais tous deux les couilles légères.


C'était le jour du départ et surtout mon anniversaire! J’étais tellement triste de laisser mon Stéphane, mais en même temps heureux de quitter mon frère, cet emmerdeur de première ! Il avait organisé une petite fête avec SES amis: champagne, gâteaux et tout et puis quelqu'un sonne à la porte. Je vais ouvrir et hop: Stéphane! Heureux, surpris et un peu gêné qu’il soit là, j’essaie de cacher en vain mon émoi. La fête continue, Stan avec ses copains et moi avec Steph.

Il m’offre son cadeau: un super bracelet en argent. Chuis tout retourné car à son anniversaire à lui, je ne lui avais rien offert à part mon cul, mais ça c’est à cause de ce radin de Stan ! Je lui dis merci. J’aurais bien voulu l’embrasser mais il y avait du monde...

Il est 1h du matin, je pars dans 5 heures. Enfin il faut que je raccompagne Steph à sa voiture. On appelle l’ascenseur, on y entre et bizarrement, au lieu d’appuyer le rez-de-chaussée, il m’indique le dernier étage; je comprends pas mais j’appuie tout de même. À peine la porte refermée, il me plaque et m’embrasse:

— Tu vas énormément me manquer, je crois que je t’aime trop. J’ai un autre cadeau pour toi

— Ho non, c’est trop! C’est quoi?

— Tu verras au dernier étage!

Arrivés au dernier étage, il appuie le bouton "rez-de-chaussée" et défait son pantalon, juste pour laisser sa matraque déjà bandée sortir:

— Fais moi jouir avant d’arriver en bas.

Relevant le défi, je m’accroupis et gobe le sexe dur. Il gémit, je tète lentement l’énorme gland que je connais bien maintenant, je lèche de haut en bas la longue hampe noire, je m’excite et sors ma queue et me branle! Elle est pleine de foutre, juteuse à souhait et je vais tout avoir que pour moi. Je suce rapidement pour les soulager, lui et ses couilles qui n’en peuvent plus. Je les masse à travers le tissu de son pantalon fin, sa queue hoquète, il va lâcher la sauce et FUIIIIIIT! J’en ai la bouche pleine.

Il m’attrape par les oreilles et se secoue dans ma bouche pour que j’avale tout. J’en laisse pas tomber une goutte mais les jets sont trop abondants et trop rapides. Il m’en coule sur les commissures des lèvres. Quand enfin il se calme, nous sommes au huitième étage. Je me relève, il me met dans un coin et m’embrasse, goûtant son propre sperme. Il m’entraîne rapidement dans un coin quand l’ascenseur s’arrête au septième étage. Le jeune mec qui entre ne voit que son dos et suppose bien entendu que l’autre personne est une femme. Moi j’ai toujours la queue dehors et stéph me branle et j’ai joui, sans trop crier car il me baisait la bouche. Le garçon est descendu au deuxième.

Je l’ai raccompagné a sa voiture, un ultime baiser et je m’en vais.


De retour en Guadeloupe! Enfin! Terre natale. Stéphane, il me manque! Cruel dilemme, à peine arrivé je l’appelle et il me dit curieusement qu’il a envie de me faire l’amour.

Deux mois après, je lui ai dit: "l’amour à distance je n’y arrive pas!" Il m’a dit qu’il comprenait et nous nous sommes quittés comme ça!

N’empêche, l’idée qu’il puisse faire l’amour avec quelqu'un d’autre me rend fou! On s’écrit parfois via le net mais mes autres cyber-copains avaient raison: rien ne sera plus jamais comme avant!

 

 

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 2 novembre 6 02 /11 /Nov 21:30

 

Ce récit de Pascal m'a inspiré parce qu'il rappelle des situations médiatico politiques où de jeunes fils de gens d'une grande notoriété reviennent sur leurs jeunes années.(*lien en bas de page). Un secret de famille qui éclate au grand jour, à grand scandale.

Dans le récit Bruno, dans le passé, a subi la volonté de son frère aîné qui, aux termes de la loi, l'a violé en lui imposant de lui faire une fellation alors qu'il était totalement "innocent", puceau de corps et d'esprit.

Plus ou moins, je dis plus ou moins, dans combien de cas si ce n'est pas un frère, que ce soit un inconnu ou un copain, le trauma d'une initiation n'est-il pas toujours un peu la même chose. Il faut la digérer...surtout si on n'a été consentant qu'à la fin, ou pas du tout ! Après l'esprit travaille, accompagné des sens. Conclusion positive ou négative. On se comprend n'est-ce pas ?... Allez, lisons plutôt !

 

 

 

Nous sommes deux frères : Bruno a maintenant 17 ans, il fait 1m75 pour 70 kg, bien proportionné. Moi j'ai 19 ans et je fais 1m78 pour 73 kg. Nous sommes tous les deux bruns avec des cheveux courts et la peau légèrement mate.

Je craignais que Bruno ne m'en aie voulu de l'avoir forcé à me sucer. Depuis, rien et pas un mot sur "la chose".

Nous sommes vendredi et les vieux et les autres viennent de partir pour le week-end. Il est 19 heures, nous avons dîné, je suis devant la télé et Bruno est monté dans sa chambre pour travailler.

À cette heure-ci le programme n'est pas très intéressant, je monte dans ma chambre pour chercher des cigarettes. Je passe devant la chambre de Bruno , la porte est ouverte, il est sur son ordinateur. Je vais dans ma chambre chercher mes clopes au retour je regarde dans la chambre de Bruno machinalement et surprise, je vois sur son écran deux mecs en train de se sucer. Il est sur Internet sur un site homo.

Doucement je rentre dans sa chambre, me rapproche de lui sans faire de bruit, il vient d'afficher une nouvelle image où l'on voit trois mecs, un avec sa queue enfoncée dans le cul d'un deuxième qui vient de jouir sur son ventre pendant que le troisième vient de lui jouir sur le visage. Il a le visage couvert de sperme, il en a sur la langue. Bruno qui ne s'est pas aperçu de ma présence est en slip, il a sorti sa queue qu'il masturbe lentement depuis un moment. Cela fait un moment que je n'avais vu mon frère à poil, il est pas mal monté le petit frère, musclé finement, belle queue au moins 18 cm, gland large bien décalotté. De voir mon frère se branler sa belle queue devant des mecs qui se donnent du plaisir me fait dresser ma queue qui pointe sous mon boxer.

— Alors p'tit frère, on se branle devant un site gay sur Internet?

Bruno sursaute, remonte son slip, son visage est marqué par la peur, rouge de honte. Il fait un bond et me dit:

       "-- depuis je fais qu'y penser"

Sa gêne me tracasse, le pauvre petit frère, alors que j'ai forcé son premier pas il y a quelques mois,c'est moi qui devrais avoir honte ! J'ai tout de suite envie et d'aller plus loin qu'une fellation.

Ca me sidère le fait qu'il se souvienne de la fellation un peu forcée de la dernière fois et donc qu'il ne m'en veuille pas !

— je l'avais jamais fait, tu sais que je suis puceau, ça m'excite sur Internet mais à part la fois où je t'ai sucé je n'ai jamais rien fait.

— Bon petit frère, je vais te montrer comment on fait après, tu me rendras la pareille.

Je fais tourner son siège me mets à genoux entre ses cuisses. Je pose mes mains sur l'élastique de son slip pour le faire descendre, mais il refuse.

— Petit frère, tu as mon marché, alors laisse toi faire tu verras c'est bon et tu vas mieux savoir comment on fait.

Il est vaincu le petit frère, je glisse mes doigts sous l'élastique du slip pour le faire glisser, Bruno soulève les fesses pour m'aider, il est tout rouge.

— Détends toi, on est entre frères.

— Oui je sais, mais...

Il retire ses bras vers l'arrière...feu vert je note ! Je fais glisser son slip qui libère une belle queue bandée et une belle paire de couilles. Mais surprise, je comprends pourquoi il est si rouge et gêné. Il a le bas du ventre complètement rasé, pubis, couilles, fesses et son trou sont vierges de poils.

— Dis donc petit frère, qu'est-ce que je vois t'as le cul rasé dis-je en effleurant ses fesses ?

— Je t'en supplie ne...

— Oui je sais je ne dirai rien à personne, en plus tu sais que de voir ton matériel à l'air comme ça sans un poil c'est super.

— C'est vrai ? me dit-il avec un sourire qui commence à apparaître.

— Oui petit frère c'est très excitant.

Ça y est il est détendu. Je m'approche de son paquet qui sent bon le jeune homme au maximum de sa forme, il sent bon. Je lui lèche les couilles, il découvre un plaisir nouveau et pousse des gémissements ponctués de "oui c'est bon". Doucement je glisse ma langue sur son trou, il se raidit puis sentant le plaisir que je lui donne il s'abandonne à mes caresses. Les gémissements montent en intensité. La timidité, la pudeur et la gêne ont disparu. Il se laisse faire et il aime. Je marque une pause pour le regarder, il a un sourire béat. Il ouvre les yeux et d'un air interrogateur me dit:

— Pourquoi t'arrêtes?

— C'était juste pour voir si tu aimais?

— Oh tu peux continuer, tu me donnes énormément de plaisir, jusqu'à présent le seul plaisir que j'avais me venait de mes branlettes.

— Bon puisque tu aimes je continue.

Et de fait je prends sa queue en main, je découvre son gland, je le fais rentrer dans ma bouche et l'entoure avec ma langue, il gémit de plus belle. Mon autre main lui masse les couilles, il ondule du bassin. Je commence à le sucer de bon coeur, sa queue prend un peu plus de volume, je sens qu'il va bientôt cracher son jus.

— C'est bon, c'est bon! dit-il de plus en plus fort.

Je sens des sursauts dans sa queue il va exploser.

— Arrête je vais jouir, me dit-il.

Il tente de sortir sa queue de ma bouche, moi,du coup, désirant le voir tout à fait à l'aise, je l'enfonce plus profond et redouble d'ardeur. Un spasme puis deux et le voilà qui me lâche quatre longs jets de sperme dans un cri de forcené, heureusement que nous sommes en pavillon sinon les voisins auraient appelé la police. Le pauvre Bruno est secoué de spasmes tant l'effet a été violent pour lui, il est hors d'haleine comme s'il avait couru un kilomètre. J'ai gardé son sperme légèrement sucré dans ma bouche. Il ouvre les yeux me fait un grand sourire et me dit:

— Merci, putain tu sais faire !

Je l'aide à se lever le prends dans mes bras et approche mes lèvres des siennes qu'il entrouvre. Je plaque mes lèvres et lui donne à goûter son jus. Il a un moment de recul, puis revient après réflexion et vient mélanger son sperme et nos salives dans un élan fougueux. Il me suce la langue comme s'il voulait récupérer tout son sperme. Nous nous séparons. Il est radieux.

— Et bien dis donc, pour quelqu'un qui ne voulait pas se lancer t'as l'air d'aimer petit frère non?

— Oui c'est vachement bon, je n'imaginais pas que ça pouvait être aussi bon.

— J'ai une petite soif pas toi?

— Oui moi aussi on descend boire un coup?

— Ok petit frère.

Nous descendons tous les deux, Bruno est devant moi, son beau petit cul à l'air, il a oublié toute pudeur. Il a vraiment un petit cul craquant le frangin.

— Installe-toi, me dit Bruno. Je vais chercher des bières.

Je m'installe dans le canapé, allume une clope. Tiens c'est parce que j'avais envie de fumer que tout ça est arrivé, ça me fait rire. Bruno revient.

— Pourquoi tu ris?

— Je riais en allumant ma clope, comment les choses arrivent ! si je n'avais pas eu envie de fumer je ne t'aurais pas surpris et rien ne serait arrivé.

— Tu as raison, pour une fois les clopes ont bon goût, me dit-il en éclatant de rire.

Nous finissons nos bières en discutant de ce qui vient de se passer, Patrick est de nouveau raide, moi aussi d'ailleurs.

— Dis donc Bruno , maintenant que tu sais faire, il faudrait peut être remplir ton contrat non?

— Ok boss. Tu n'as pas envie que je te rase le cul? me dit-il.

L'idée me surprend, je bredouille, je ne sais pas. Patrick a pris de l'assurance, il me dit:

— J'ai bien vu que de voir ma queue et mes couilles rasées t'avait fait de l'effet, vrai?

— Je dois t'avouer que ça m'a fait bander pus fort.

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— Alors tu veux que je te rase?

— Pourquoi pas, eh, tu feras attention à ne pas me couper.

— Promis, je ne voudrais pas abîmer un bel engin que j'ai envie de goûter! me dit-il en éclatant de rire. Viens, me dit-il, on va dans ma chambre.

Il passe devant moi avec sa queue raide, dans l'escalier son petit cul est provoquant, je pose ma main sur ses fesses, il ralentit et se laisse faire, mes doigts glissent entre ses fesses, il aime le bougre.

— Bon on y va? On va pas rester dans l'escalier non?

— Tu as raison, allons-y.

Je rentre dans sa chambre, il me dit:

— Ne bouge pas!

Il fouille dans un tiroir et en sort une feuille de plastique qu'il étend sur le lit. Puis il va dans la salle de bain et revient avec des ciseaux, de la mousse à raser, un rasoir jetable et un tube de crème. Il les pose sur le lit, me prend dans ses bras et me roule une pelle d'enfer, il apprend vite le petit frère. Il s'écarte de moi me fait un sourire, s'agenouille devant moi et fait glisser mon boxer. Ma queue vient frapper mon ventre.

— Tu bandes bien. Dis donc ta queue est plus belle que la mienne.

— Tu verras la tienne va grandir encore, lui dis-je.

— Bon mets toi à quatre pattes sur le plastique, je vais te raser les fesses.

Je m'exécute. Il fait sortir la mousse de la bombe et l'étale sur mes fesses tout en douceur en faisant des commentaires salaces, nous rions tous les deux. Il prend le rasoir et me rase doucement pour ne pas me couper, il est très doux, il fait des commentaires sur mes fesses qui sont à son goût.

— Voilà c'est fait! Regarde, me dit-il en me présentant un miroir.

Je peux voir mes fesses lisses comme des boules de billard.

— Bon maintenant mets-toi sur le dos.

Il prend le tube, qu'il ouvre.

— Qu'est-ce que c'est?

— C'est une crème dépilatoire pour les couilles qui sont plus délicates à faire, je ne voudrais pas te couper avec le rasoir, laisse toi faire.

Il fait sortir de la crème qu'il étale généreusement sur mes couilles et tout autour de mon trou.

— Regarde, me dit-il.

Je me relève un peu et peux voir mes couilles transformées en sucrerie anglaise. J'éclate de rire, il me dit:

— On en mangerait. Bon pendant que la crème va faire effet je vais te raser le bas du ventre.

Il prend les ciseaux et les fait jouer près de ma queue comme s'il utilisait une cisaille. En voyant mon air affolé il éclate de rire:

— N'aie pas peur, je ne vais rien de te faire de mal.

Il abaisse ma queue raide et commence à me couper les poils du pubis pour dégager un maximum, mes poils tombent. Il reste une courte longueur, il reprend la mousse à raser et l'étale largement sur mon ventre et mon pubis. Je le regarde faire, il est tout sourire. Lentement je vois le rasoir courir sur mon ventre et apparaître une peau exempte de poils. Finie la trace de poils qui partaient du nombril vers le bas, fini les poils sur le ventre. Il s'attaque maintenant au pubis qui en sort parfaitement net. Encore un peu de mousse et il me rase l'intérieur des cuisses. Voilà il ne me reste plus que la crème sur les couilles et le trou. Il prend un éponge et essuie le ventre et les cuisses.

— Bon maintenant je pense qu'on va pouvoir enlever la crème, je vais faire un essai.

Je me redresse pour voir, il prend quelques poils englués de crème et tire dessus, ils viennent sans problème je n'ai rien senti.

— Tus n'as pas eu mal?

— Non.

— Bon je vais te nettoyer les couilles.

Il prend l'éponge et la passe sur mes couilles, je vois les poils partir sur l'éponge. En moins de deux mes couilles et mon cul apparaissent nus. Je n'ai plus un poil. Il s'allonge sur moi, me roule un pelle et me dit:

— Voilà tu as le cul les couilles aussi nets qu'un bébé qui vient de naître. Allez viens on va se doucher pour nettoyer la crème et la mousse.

Nous passons à la salle de bains entrons dans la douche où nous nous savonnons en nous caressant. Nos queues sont raides. Un rinçage, nous revenons à la chambre. Il fait le ménage débarrasse le lit.

— Viens, lui dis-je.

Il s'approche de moi, je lui dis:

— Regarde quoi?

On se met face au miroir où l'on voit deux beaux mecs à poil et bien bandés qui se tiennent par la taille.

— Beau couple, me dit-il en riant.

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Je le pousse vers le lit où il s'assied, je lui présente ma queue qu'il engloutit avec avidité. Il sait s'y prendre, ma queue est raide comme un bâton, il me masse les couilles, c'est bon.

— Si on faisait un 69?

— Ok!

Il s'allonge sur le côté, moi de même et nous commençons une longue suce quand l'un des deux va jouir il prévient l'autre qui modère sa succion. Au bout de 25 à 30 minutes, mes couilles me font mal et je le dis à Bruno qui me dit aussi avoir besoin de se vider. Je branle sa queue tout en jouant avec ma langue tout autour de son gland. Une chaleur envahit mon bas ventre et le bas de ma colonne vertébrale.

— Bruno je viens!

— Moi aussi je viens, me répond-il.

Il commence à décharger le premier, le goût de son sperme provoque ma jouissance, j'inonde sa bouche pendant que lui se vide dans la mienne. Bruno se retourne ne donne à goûter mon jus, nous mélangeons nos liqueurs dans un long baiser. Bruno me demande un peu gêné:

— Je voudrais que tu me prennes, je voudrais sentir ta queue dans mon cul, tu veux bien?

— Oui petit frère je n'osais pas te le proposer je vais t'enculer, mais il faudra que tu me le rendes, OK?

— Ok, dit-il en me sautant au cou. Je vais pisser un coup, on se boit une bibine après? me dit-il.

— Ok je t'accompagne.

On se retrouve tous les deux à pisser en même temps, mais vu notre excitation c'est difficile de pisser en bandant. Nous rions de bon coeur, enfin les sphincters se libèrent et deux jets puissants tombent en bruit dans la cuvette. Je vais pour m'égoutter quand Bruno me dit :

— Laisse je vais te nettoyer!

En un clin d'oeil il est à genoux et tête ma queue qui ressort toute propre. Du coup je lui en fais autant. Il reste quelques gouttes salées.Je me relève, une claque sur les fesses de Bruno.

— Allez hop, on boit un coup et on en tire un?

Bruno me répond comme dans la chanson de marins:

— Buvons un coup tirons en deux à la santé d es amoureux, à la santé du roi de France et merde pour la reine d'Angleterre qui nous déclaré la guerre!

Ce faisant il me caresse les fesses en me disant:

— T'as un beau cul grand frère.

— Merci, dis-je en me laissant faire et avant que je n'ai eu le temps de réagir, il me claque les fesses avec force:

— On y va?

La douleur et la surprise se mêlent à une curieuse sensation érotique. Les rapports des fessées et du sexe m'ont toujours fait réfléchir. Qu'est-ce qu'on est cool, tout seuls dans la maison ! en bas dans le canapé nous sirotons nos bibines, en échangeant des caresses et en commentant ce qui vient de se passer, le tout agrémenté de commentaires sur nos physiques respectifs. La tension de nos queues nous indique qu'il est temps de s'y remettre. Cette fois je passe devant Bruno qui a dû voir ma réaction à sa claque puisqu'il me flatte les fesses en alternant des petites claques, quand j'arrive à l'étage, mes fesses sont roses. Il va pour se diriger vers sa chambre, je l'arrête en lui disant:

— C'est moi qui invite, et je le pousse vers ma chambre.

Plaqués l'un contre l'autre, nous nous caressons. Bruno me dit presque timidement:

— Tu veux bien m'enculer?

— Attends frérot, je vais te préparer, allonge-toi sur le dos.

Il s'exécute il est là, cuisses écartées, offert. Je m'approche lui lèche les couilles et le cul, je glisse ma langue dans son trou pendant qu'il pousse des gémissements. Ma langue se fait dard et commence à pénétrer sa fleur qui s'ouvre doucement. Je récupère un tube de gel dont j'enduis son trou, la sensation froide le fait se redresser.

— Calme toi, lui dis-je. Laisse-toi aller. Je vais te préparer avec mes doigts.

Son trou s'ouvre doucement je fais glisser mon doigt autour de sa rosette, puis j'enfonce doucement le bout du doigt. Bruno serre un peu, je lui demande de se détendre ce qu'il fait. Maintenant mon doigt est entré en entier dans son trou, je lui masse la prostate il lève son bassin pour accompagner mes mouvements. Un deuxième doigt vient se glisser dedans, rejoint bientôt par un troisième. Bruno fait une petite grimace, puis se détend maintenant mes 3 doigts vont et viennent sans problème. Bruno me demande combien j'ai de doigts dans son cul.

— Trois, t'as 3 doigts dans le cul.

— C'est pas vrai?

— Si, regarde toi-même.

Il se redresse un peu et constate par lui même avec sa main... D'ailleurs je lui montre avec le menton qu'on peut se voir tout le temps dans le miroir en face mon lit.

— Si tu peux rentrer 3 doigts dans mon cul, tu dois pouvoir m'enculer non?

— Ok petit frère, on y va. Là, passe tes jambes sur mes épaules, soulève tes fesses.

Ce qu'il fait. J'ôte mes doigts et présente ma queue à l'entrée de son trou. Bruno a relevé la tête et ne rate rien du spectacle. Mon gland rentre lentement dans son trou chaud, ça y est il est rentré. Je pousse plus loin. Son anneau a un peu de mal à se détendre. Je dis à Bruno de pousser un peu comme pour aller à la selle. Quand je le sens pousser je m'enfonce un peu plus, le sphincter est passé. Je le laisse s'habituer, il me dit:

— Vas-y, c'est passé.

Alors d'une seule et longue pousse je rentre à fond. Ma queue est enserrée par son étui chaud et soyeux c'est extraordinaire. Bruno, lui, a retrouvé le sourire.

— Vas y! me dit-il en donnant des mouvements à son bassin.

Je commence à le limer, il pousse des gémissements ma queue frotte sur sa prostate, sensation délicieuse. Bruno bande comme un cerf, ses couilles sont remontées et toutes ratatinées, il me dit: "Je viens!" et je sens des contractions qui viennent étrangler ma queue. J'accélère les mouvements de pistons. Bruno pousse des cris de dément, les spasmes annonciateurs se font plus nombreux, ma queue gonfle et j'explose dans ses entrailles pendant qu'il se vide sur son ventre. La violence du jet projette du sperme sur son visage. Je finis de me vider en, restant en place puis quand ma queue ramollie sort d'elle même. Je me penche sur lui pour lui lécher le visage nous échangeons un long baiser. Il me dit:

— C'était merveilleux. Viens, il faut que je te nettoie la queue!

Et avant que j'aie eu le temps de réagir ma queue est nettoyée et toute propre. Nous restons un moment silencieux en nous caressant doucement et en échangeant des baisers.

L'inversion des rôles --- Dis, Bruno ...

— Oui.

— Je voudrais sentir ta queue dans mon cul, tu veux bien?

— Avec joie grand frérot, tu ne t'es jamais fait enculer?

— Non comme toi.

— Eh bien tu vas voir c'est extraordinaire.

Il se met à califourchon sur moi et me dit:

— Prépare moi la queue pendant que je m'occupe de ton cul.

Dans le même moment j'ai sa queue sous le nez et je sens sa langue qui titille mon trou. Je ne l'avais pas dit à Bruno mais j'ai un gode que je me glisse de temps en temps et de fait mon trou s'ouvre rapidement. Bruno me dit:

— Eh ben dis donc, ça s'ouvre vite chez toi!

Et ce faisant il glisse un puis 2 et 3 doigts qui viennent masser ma prostate. Quand il juge que je suis suffisamment ouvert, il vient entre mes fesses pose mes jambes sur ses épaules. Il présente son gland contre mon trou.

— Prêt ? me lance-t-il.

— Go petit frère.

"Try to focus on me, bro…"

Il pousse fait rentrer son gland, attend, me demande si ça va, comme je lui réponds oui, il m'empale d'un coup. Sous la douleur fulgurante je pousse un cri. Bruno me regarde surpris, va pour se retirer en me demandant pardon. La douleur passe, je lui dis de recommencer mais plus lentement. Il entre de nouveau son gland, attend que je me détende puis très lentement cette fois, me pénètre. Millimètre par millimètre je sens sa queue rentrer jusqu'à ce que son pubis vienne buter contre mes fesses. Il attend un peu puis commence à me pistonner je sens sa queue butter contre ma prostate. Une onde de plaisir envahit de sa chaleur mon ventre, mes couilles remontent.

— Bruno, je viens!

La chaleur remonte le long de mon dos mon souffle s'accélère un spasme puis deux et j'explose dans un grand cri. Bruno lui, sous l'effet des contractions de mon cul, se vide à son tour me remplissant le cul, je sens les contractions de sa queue qui semble vouloir se vider par litres. Il s'écroule sur moi, nous nous donnons un long baiser.

Bruno me demande s'il peut dormir dans mon lit. Bien sûr qu'il peut rester. Nous nous endormons dans les bras l'un de l'autre. Il faut prendre des forces les parents ne rentrent dimanche soir, d'ici-là il va y avoir du sport...

 

"You know what your big bro likes, don’t you?"

* http://www.purepeople.com/article/le-fils-de-villiers-abuse-par-son-frere-apres-chaque-viol-j-allais-vomir_a65787/1

 

- “Never mind, I can write you an excuse….” - “Yeah, that’s the advantage.”

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 29 octobre 2 29 /10 /Oct 11:11
 
postgradfraternityguy: fuck. wish it was my birthday. the guy’s balls on the bottom. unf.
PASCAL CONTINUE... Je suis né de parents québécois marginaux. Je suis leur avant-dernier fils. J'avais cinq frères aînés au-dessus de moi, qui étaient tous les rois de la famille, et aucune sœur. Le plus vieux, c'est Richard 30 ans àce moment-là, suivi par Jean , 24 ans, les deux jumeaux Ricky et Éric, 20 ans  et finalement François, 17 ans. Seuls les deux premiers ont vraiment un bon souvenir de nos parents avant qu'ils ne deviennent libertins vagabonds genre hippies. Ils ont été témoins lorsque la liberté sexuelle a pris place dans la famille. Les autres enfants ont été élevés normalement dans tout ça. Par la suite, mes parents ont eu un autre garçon, Bruno , 12 ans et ce fût le dernier de la lignée.
Ma toute première fois... Vous allez être surpris d'apprendre que cette fois là, la seulefois où j'ai été le bottom! Mais, je me dis qu'il est bien d'avoir été bottom une fois dans sa vie pour savoir comment bien en dominer un ! Par contre, je ne le serai plus jamais. Mon cul va rester fermé même aux queues les plus belles et les plus appétissantes!
Mon plus grand frère Richard, maintenant âgé de 30 ans avait annoncé son mariage depuis un moment, avec la femme de sa vie, et tous mes frères plus vieux voulaient fêter son enterrement de vie de garçon, tous ensemble, sauf Bruno qui allait être chez un ami. Ce fût avec horreur que j'ai appris que comme c'était le jour de mon anniversaire, personne ne semblait se rappeler de moi ! Je comptais pas, quoi ! Je n'ai rien dit, jusqu'à ce moment, parce que Richard était mon frère préféré. Il était mon idole : grand, fort, musclé, très masculin.
Donc, le jour de mes 14 ans, me voilà avec aucun cadeau, et tout pour Richard. Mes frères étaient tous à la maison pour l'occasion, où j'étais le dernier à rester quotidiennement avec François et Bruno. Les parents, eux, étaient partis pour la fin de semaine. Je suis resté dans ma chambre une bonne partie de la soirée pendant qu'eux, en bas, se saoûlaient comme des vrais gars en se racontant des histoires cochonnes. Tanné de les entendre crier et parler fort, je suis descendu, en pyjama comme un bon garçon, leur demander de parler moins fort. Ils n'ont pas voulu m'écouter. J'ai donc crié à mon tour que c'était aussi ma fête et que c'était pas juste que je n'ai pas eu de cadeau. Ils ont ri de ma gueule et ont continué leurs niaiseries. How hot is it to be the only gay at a college party? 
Mais sans que je le sache, une stripteaseuse devait venir leur rendre visite pendant que je dormais, ce qui a causé leur déception car ça n'a finalement pas eu lieu. Selon ce qu'ils m'on dit après, mes frères étaient très excités et ont eu un besoin intense de se vider les couilles. Il paraît aussi qu'ils ont tout de suite pensé à moi, vu que je n'avais pas de poils, comme une femme. C'est pourquoi, pendant mon sommeil, j'ai senti quelque chose de dur et chaud entrer entre mes lèvres, les écartant presque au maximum. Je me suis réveillé avec deux mains autour de la tête et une grosse queue me remplissant la bouche, celle de mon frère Richard. Il faisait sombre dans la chambre, mais j'ai vu son ombre parfaitement. Derrière lui, il y avait mes autres frères, attendant leur tour.
Assez fatigué, je n'arrivais pas à lutter contre cette attaque qui m'excitait plutôt bien, finalement. Il y avait quelque chose qui me faisait bander à l'idée de sucer le pénis de mon idole de toujours. Richard me disait: "Ouvre bien la bouche. En voilà un, un cadeau, p'tit frère! Suce bien!" tout en me baisant la gueule. Un des gars a ouvert la lumière, qui m'aveuglait, pour que tout le monde puisse voir. Ils étaient tous là, les jeans ouverts avec leur queue en érection entre leurs mains, leur t-shirt remonté pour se caresser le ventre en se masturbant. Je me suis alors rendu compte à quel point ils étaient de vrais hommes, certains bien musclés, certains bien poilus. Richard, lui, était les deux à la fois.
Toujours à demi couché sous les couvertures, je suçais le pénis de mon frère aîné qui se tenait là, debout à côté du lit, sa queue à la hauteur de mon visage. Il me regardait faire en m'encourageant et en remerciant nos frères de lui avoir donné l'idée géniale de se servir de moi . Après seulement quelques autres secondes, j'ai senti le pénis grossir dans ma bouche, et quelque chose couler dans ma gorge, ce qui m'étouffa en premier lieu. Richard jouissait en sacrant : "Ah osti que c'est bon! Aah!" et il me forçait à garder sa queue dans ma bouche tout le long de l'éjaculation : "Avale! Bois tout!" Parce que je m'étouffais, le sperme me sortait par la bouche, et carrément par le nez. Des contractions dans ma gorge laissaient présumer que j'allais être malade et je commençais à paniquer.
Richard délaissa donc son emprise sur ma tête et je me levai debout pour aller à la salle de bains, mais Jean m'a attrapé par la nuque et m'a forcé à me mettre à ses pieds, en me mettant avec autant de force sa queue dans ma bouche à son tour. C'était le plus fort de tous et il entendait me le faire sentir ! Il me tenait le visage, même si ses mains glissaient dans le sperme étalé. "On en n'a pas fini avec toi, frérot! Prends la toute!" Puis, il regarda Richard : "Hey! Toi non plus t'as pas fini! Vas lui prendre le cul comme une chienne! C'est ta dernière chance d'en profiter avant de te caser pour de bon!" Et le futur marié, qui n'avait jamais pensé à cette idée, vit sa queue se regonfler de nouveau. Pendant que j'avais un gland qui voulait s'introduire dans ma gorge malgré ma phobie d'être malade, Richard vint s'accroupir derrière moi pour me lécher l'anus imberbe.
Tout en étant très excité, je ne me doutais pas de ce qui allait arriver plus tard, donc je le laissais faire. J'aimais sentir sa langue lécher ce qu'ils appelaient ma chatte. Puis, quand j'ai senti sa queue vouloir s'introduire, j'ai tout compris. J'ai eu peur de la douleur et je me suis mis à me débattre. Mais Jean qui luttait, lui, pour garder sa queue dans ma bouche, était le plus dominant de tous, il donnait les ordres : "Pascal, ça sert à rien! Hey, les gars, on va le mettre sur le dos, sur son lit, ça sera plus facile de le tenir!" Big fucking raw cock assaulting bottom’s hole 
Tous ensemble donc, ils m'ont soulevé malgré mes soubresauts et m'ont immobilisé sur le lit. Sur le dos, la tête penchée dans le vide, une queue est venue envahir ma bouche. Puis, j'ai senti pendant un bon cinq minutes la queue de Richard me perforer le trou. Du gland jusqu'à la base, donc aux testicules. Il était maintenant entièrement en moi et j'avais trop mal! Si je n'avais pas eu une queue presque jusque dans la gorge, j'aurais crié très fort. Ça ne l'a pas empêché de commencer à m'enculer, tout en crachant de temps en temps pour bien lubrifier.
Entre temps, Jean a joui dans ma bouche. J'ai avalé une partie du sperme tandis que l'autre me coulait tout le long du visage jusque dans les cheveux. Il a continué de tenir ma tête en m'écartant la bouche pour laisser entrer la queue de François. Celui-là est venu très rapidement aussi. Cette fois, j'ai tout avalé parce que mes frères prenaient toutes les gouttes tombées dans leur mains et me forçaient à les lécher. Puis, parce que les jumeaux Ricky et Éric font tout ensemble, ils ont fourré leur deux queues dans ma bouche en même temps, m'écartant les lèvres au maximum.
C'est à ce moment que Richard s'est mis à jouir en moi, après m'avoir dépucelé pendant un bon moment pendant lequel la douleur du départ s'est tranquillement transformée en plaisir, mais pas au complet. Jean a donc pris sa place. Dans un grognement d'homme des cavernes, il l'a toute mise en moi d'un coup, sans préparation, sans évidemment tenir compte du fait qu'elle était un peu plus grosse que celle de Richard. Il s'est mis à me baiser sans ménagement, en me tenant par la gorge et en criant les plus grandes obscénités possibles. Mon lit bougeait, grinçait, tapait contre le mur comme jamais.
Encouragés par Jean, les jumeaux ont joui presque en même temps dans ma bouche. Puis, mon baiseur a tenu à se vider en moi en me regardant droit dans les yeux, en me traitant de pute, et en mettant ses mains sur ma bouche pour m'empêcher de trop crier. Tout en se retirant, il a un peu forcé François pour qu'il prenne la place, ce qui s'est fait vite. Pendant tout ce temps, Jean est venu frotter sa queue encore bandée contre mon visage. C'est alors que j'ai remarqué qu'elle était toute tachée de son sperme, mais rose. J'ai évidemment saigné pendant l'acte, puisque mon trou n'avait pas été assez préparé, mais même s'il le savait, ça non plus ça ne l'a pas arrêté.
Un peu maladroitement, François m'a baisé seulement pendant quelques secondes, avant de déverser son sperme en moi. Jean, toujours le patron de cette expérience, a incité les jumeaux à tester la tolérance de mon corps : "Toi, Ricky, va sur le lit. Sur le dos." Il s'est exécuté. Puis, Jean m'a fait m'asseoir sur le sexe de celui-ci. Mon cul l'a bien engouffré sans problème, bien ouvert et lubrifié par le sperme de mes propres frères. Puis : "Éric, va derrière Pascal, pis entre ta queue dedans toi aussi." Éric resta surpris : "Les deux en même temps?!" Et sans attendre la réponse, il est allé essayer de me baiser lui aussi. Ayant peur d'avoir deux queues dans mon petit cul, j'ai voulu me débattre, mais Jean a demandé à Ricky de me garder fortement contre son corps, pendant qu'Éric faisait ce qu'on lui avait demandé.depthsofmynastymind: Dp Com Fucked!
Après quelques minutes d'essais, me voilà doublement baisé! Ils commencèrent ensemble un va-et-vient qui, au début, comme plus tôt, m'a fait mal à en mourir. Mais ils persistèrent et le mal devint différent. Presque un plaisir. Lorsque Richard revint quelques instants plus tard, après avoir lavé son sexe, il trouva la scène très excitante. "Ayoye, mon p'tit frère! T'en prends, là-dedans!" Je n'ai pas pu répondre, et je n'ai que gémi.
Excité, le plus grand et futur marié est venu me baiser la bouche une fois de plus. Il a joui en même temps que les jumeaux. Tous s'étaient entre-excités jusqu'à l'éjaculation. Puis, lorsqu'Éric et Ricky se sont retirés de moi, Jean est venu me remettre sur le dos. De ses mains, il a écarté mes cuisses pour montrer à tous ma chatte : "Regardez ça les gars! Il est tout ouvert! On dirait un vagin de femme! Merde, ça m'excite encore!"
Pour en finir, là, Jean m'a remis sa queue dans le cul pour une dernière minute de va-et-vient avant de jouir pour une énième fois. Je me sentais usé, utilisé, soumis et violé... Et ça m'a profondément excité ! Comment ont-ils pu me laisser seul, là dans ma chambre et aller se laver ? Seul Richard est venu me revoir après. Je finissais de me branler dans les draps de mon lit tachés de sperme, et la chambre sentait le sexe mâle à plein nez.
Il m'a aidé à tout ranger, à laver les draps de mon lit, puis à prendre ma douche où, dans un ultime vague d'amour, je me suis remis à genoux, volontairement, pour le sucer une dernière fois. Il n'a pas résisté et j'ai tout avalé. Comme une vraie pute. cumdrippingtwinks: Craving Cum
Mais je n'en suis pas une. J'ai su que mon destin n'était pas de servir, mais d'être servi. Comme eux. Et que j'allais me venger en faisant subir à des garçons comme moi les plus grandes et délicieuses tortures sexuelles comme on venait de me faire vivre. Ma première victime? Je devais y réfléchir...
À suivre...
      FUCK THAT HOLE
 
  UN ANNIV' DE RËVE !  
  Lining up to use a greedy college twink 
 
     Daddy fucks his boys
 
Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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