Partager l'article ! Récit x: dans cette famille libérée, le sexe, on n'en fait pas un fromage !: Dans la famille LIBER.T. je veux les fils, - je veux le cousin - ...
Dans la famille LIBER.T. je veux les fils, - je veux le cousin - je veux la tante...- je veux le père...- je veux l'oncle ...
Ce récit est purement fictif. L'âge des protagonistes peut choquer*, il est bon de rappeler qu'une relation sexuelle avec personne n'ayant pas atteint la majorité sexuelle qu'il y ait consentement ou non est sévèrement punie par la loi du ou des pays des partenaires. * la majorité sexuelle en Europe va de 13 à 18 ans selon les pays.
Mon frère jumeau David et moi ...
...avons bénéficié d'un apprentissage sexuel très poussé lors de notre adolescence. Tout s'est passé en l'espace de quelques semaines. David était très préoccupé par les filles et moi je sentais déjà que les garçons m'attiraient. Mon père avait aussi un frère jumeau qui n'habitait pas très loin et nous nous voyions souvent, d'autant que mon oncle Éric était aussi l'entraîneur de mon club de foot. Avec sa femme Jocelyne, ils avaient la réputation d'un couple très libéré. C'est elle d'ailleurs qui mit le feu aux poudres.
Le sujet que j'ai l'intention de traiter avec ce récit c'est celui de l'initiation sexuelle des jeunes. Ici certains parents veulent la prendre en charge. Je pense que vous serez surpris comme moi que la tante et l'oncle soit soucieuse de l'initiation de ses neveux et non de celle de son propre fils, Vincent.
Quel âge verriez-vous idéal pour une initiation réussie ?
Et à quels âges faut-il s'en abstenir ?
Un jour que nous étions mon frère et moi chez eux avec leur fils Vincent qui a le même âge que nous, nous parlions une fois de plus de filles à tirer à l'instigation de David, quand Jocelyne nous surprit. Nous étions dans la chambre de Vincent et sa mère lui demanda d'aller chercher quelque chose. Elle profita de son départ pour s'adresser directement à mon frère: "Si ça t'intéresse tant que ça, je m'occupe de toi." David prit cela à la rigolade et surenchérit. Du coup il ne vit pas le coup venir quand Jocelyne se plaqua contre lui et lui mit la main au paquet. Il était aussi surpris que moi. Vincent revint et interrompit tout.
Le soir avec David, nous en discutâmes et il m'avoua que cela l'avait beaucoup échauffé. Le lendemain était un dimanche et nous devions déjeuner chez eux. Le repas fut bien arrosé. Dans l'après-midi, chacun se mit à vaquer à ses occupations, ma mère faisait la sieste, mon père parlait avec son frère jumeau Éric. Jocelyne demanda à David de l'aider. Il ne se fit pas prier mais il devait être sur ses gardes car il demanda si je pouvais l'accompagner. Ma tante dit oui après un léger moment d'incertitude qui me troubla. Nous nous retrouvâmes dans leur chambre d'amis en train de l'aider à vider le haut d'une armoire de ses vieux vêtements. Il s'agissait de tenues légères et un peu provocantes.
— C'est à toi Jocelyne?
— Oui je les portais il y a 15 ans quand ton cousin Vincent est né.
— C'est un peu provocant !
— Oui, peut être. Je crois que j'ai gardé la même taille.
— Chiche que tu n'es pas capable d'essayer!
— On va voir ça.
Et Jocelyne de se déshabiller et de passer une petite robe. Une fois fait, elle retire sa culotte pour que l'on n'en voit pas la marque selon ses dires. Je vois à la tête de mon frère qu'il commence à être excité. Cela n'échappe pas à Jocelyne qui se livre à un petit manège. Elle se penche en avant, sa bretelle de robe tombe, laissant voir au passage sa chatte et ses seins. David effleure le tout au passage en l'aidant à remplir les cartons, puis tout à coup je remarque qu'il a carrément sa main sous la robe.
Jocelyne commence à le guider en gémissant, il doit la doigter, je suis stupéfait. Mon frère se déshabille et me fait signe d'en faire autant. Il a beau être mon jumeau, nous ne sommes plus si intimes que cela et je suis gêné. Ma tante s'agenouille et commence à le sucer. Tout à coup, je sens sa main qui commence à me malaxer le pantalon. Elle dit à David de se branler tandis qu'elle me débraguette. Puis elle s'allonge sur le lit et demande à mon frère de la pénétrer pendant qu'elle me suce. Elle nous fait intervertir les rôles. Je ne suis pas excité par elle mais plutôt par mon frère qui se laisse faire. J'admire sa bite tendue, ses couilles, ses poils. Jocelyne malgré sa bouche pleine nous demande de nous embrasser en nous disant que les jumeaux ça l'a toujours excité. Ne nous voyant rien faire, elle prend nos deux têtes et nous fait nous rapprocher. Pour moi la sensation est énorme. David garde la bouche fermée dans les premières secondes mais j'arrive à glisser ma langue, ce qui me fait jouir instantanément dans la bouche de ma tante qui vient de recommencer à me sucer. David continue à la besogner et jouit quelques instants plus tard. Jocelyne rigole et nous demande si ça nous a plu.
Le soir, chez nous, je ne peux m'empêcher d'en reparler avec David. Il me dit qu'il est ravi d'être enfin dépucelé, qu'il a envie de recommencer. Quand je lui demande pour le baiser sur la bouche, il élude. Je lui propose alors que nous nous branlions mutuellement, ce que nous avions fait 2 ou 3 fois 2 ans plus tôt lorsque nous avions découvert que nous pouvions jouir mais que nous avions cessé de faire ensemble. À ma grande joie, il cède.
Je prends son sexe en main avec bonheur. Le seul fait qu'il me touche m'excite au plus haut point. Je me penche alors sur sa bite que je suce avec avidité, c'est la première fois et je la sens qui se contracte par petits à-coups. Je me sens éjaculer au moment où sa semence envahit ma bouche. En me relevant je l'embrasse à pleine bouche.
Une semaine après, nous partons en vacances ma tante Jocelyne, mon oncle Éric et leur fils Vincent, avec mon frère David, mon père et moi. Ma mère nous rejoindra dans une semaine car elle doit s’occuper de son père qui est malade.
Dès le premier soir, j’essaie de recommencer avec David mais il me rejette. Je comprends qu’il a quelque chose derrière la tête. Une fois couché, je fais semblant de dormir. Pas loupé, il se lève et je le suis. Il est 1h du matin et il entre dans la chambre de Jocelyne et Éric. Comme c’est l’été, je prie pour que la fenêtre de la chambre soit ouverte pour aller mater. Ouf c’est bon. J’arrive à me glisser derrière l’épais rideau qui fait office de fenêtre, je l’entrouve et je tombe sur un spectacle qui me laisse pantois.
Jocelyne a un gode à deux extrémités, elle en suce un embout et demande à David d’en faire autant. Ça le fait rire! Puis elle se l’enfile dans la chatte et se met à gémir. Mon frère se penche sur elle et commence à l’embrasser et lui sucer les seins mais elle le repousse. Elle le fait se disposer de telle manière qu’avec ses jambes, il encadre son corps à elle et sa bite en érection se trouve à quelques centimètres du gode. Là, elle lui dit: "Tu vas voir que nous les femmes, on sait s’occuper des pédés de la famille." Comment le sait-elle? Et elle lui introduit l’autre extrémité du gode dans le cul. David se montre très surpris mais se laisse faire. Ma tante se relève et se penche sur lui, ses deux gros seins étouffent le visage de mon frère. Il bande de plus belle et elle lui vrille le gode dans le cul. Puis elle se le remet dans le vagin, ils sont tous les deux empalés et elle se met à onduler du bassin en disant: "Allez! Fais-moi jouir pour que tu jouisses aussi du cul!" Je vois mon frère exploser: un gros jet de sperme suivi de plus petits.
Ma tante rigole: "Eh bien! Tu n’es pas endurant. Enfin, c’est normal à 15 ans!" et elle se met à le sucer pour le nettoyer. J’ai tellement envie de me branler que je retourne dans ma chambre en me demandant où est mon oncle Éric.
En passant devant la chambre de mon père, j’entends des gémissements. Je décide de jouer les curieux à nouveau. Vive l’été. Comme la chambre est à l’étage, je monte sur le petit balcon qui en fait le pourtour et je me retrouve face à la pièce légèrement éclairée. Mon père pilonne son frère Éric.
Je suis très frappé par sa grosse queue qui entre et qui sort et le bruit des corps qui se heurtent. Alors comme moi et mon jumeau David, papa et son frère jumeau baisent ensemble! Je retourne me coucher.
Au réveil, je vois David qui dort encore et sur le drap, un petit gode qui a l’air de venir juste de lui sortir du cul et qui fait une petite tache. Il préfère ma tante et j’en suis un peu dépité.
À la fin de la journée, papa voit que je ne suis pas dans mon assiette. Je discute avec lui dans sa chambre et je pleure. "Toi tu as un chagrin d’amour. Tu sais que tu peux tout me dire, même si c’est... si c’est un garçon." Je lui réponds:
— Alors tu as tout deviné?
— Oui tu es comme moi à ton âge, mais j’ai su garder mon frère même si je l’ai partagé avec une femme. Allez approche-toi.
Papa me serre contre lui et m’embrasse de plusieurs petits bisous sur la bouche. J’ai les lèvres fermées. Il insiste, si bien que je sens sa langue. On se roule une longue pelle et en bougeant, je remarque qu’il bande. Il me déshabille et me complimente sur ma queue avant de l’engloutir. Je ferme les yeux quand je sens des mains me malaxer le dos: c’est mon oncle Éric. Mon père s’interrompt, ils s’embrassent et puis il lui chuchote quelque chose à l’oreille. Éric repart et papa reprend son boulot. J’étais impatient tellement c’est bon.
Il me lèche divinement le cul, j’ai l’impression de jouir mais je n’ai pas encore d’éjaculation. Papa m’allonge sur le lit, j’ai la bite en équerre, il me met un préservatif et s’accroupit sur moi. Mon sexe entre dans son cul qu’il a lubrifié. Je ne bouge pas, c’est lui qui fait les mouvements. Il coulisse en m’emprisonnant le dard, je sens des étoiles dans ma tête qui explosent lorsque je vois Éric revenir en compagnie de David, tous les deux nus. Mon gland inonde alors le cul de mon père et David vient m’embrasser. Papa me dit alors qu’il voulait que je sente ce que c’était de prendre quelqu’un avant que j’offre mon cul vierge pour la première fois. Je le fis pour David.
Mon père et son frère nous préparent en nous caressant, nous embrassant et nous léchant. David est en moi et puis quand approche le moment, Éric encule son frère jumeau, mon père, qui est couché à côté de moi. Nous nous tenons la main et nous jouissons tous les quatre ensemble.
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