RECITS FICTIONS FANTASMES... (53) le sperme lui monte à la gorge rien ne remplacera jamais la générosité d'un père
— Arrête... !
— ...
— Arrête, Romain... !
— ...
— Romain, arrête, je te dis.. !!
— Pourquoi ? T'aimes pas çà, Bébé... ?
Profitant sans vergogne de la promiscuité de l'endroit et de la chaleur de ce jour d'été qui avait conduit le jeune Cédric Lemouillé à préférer un short plutôt que des pantalons longs, Romain
caressait d'un doigt de plus en plus inquisiteur le petit trou du garçon. Sur la ligne 9 du métro parisien. A six heures du soir. Sous la pression insistante du majeur de Romain, les lèvres
s'entre-ouvraient complaisamment et, déjà, la réaction ne se faisait pas attendre. Cédric mouillait. Abondamment. Romain, fidèle à sa coutumière délicatesse, ne se priva de le faire savoir au
garçon, ainsi qu'à la plupart des voyageurs qui les entouraient.
— Pourtant... t'es tout mouillé, Bébé... !
Un vieux monsieur, tout près d'eux, leur décocha un regard furieux.
— Si, je t'assure... t'es tout mouillé ! Tiens, regarde !
Romain brandissait à présent son majeur sous le nez de Cédric, dont les joues, déjà enflammées par l'excitation grandissante, prirent soudain la teinte des tomates bien mûres. Romain porta son
doigt à la bouche, puis, après l'avoir sucé avec des mines gourmandes, entreprit de le remettre en place, dans le trou brûlant de Cédric, sous son short. Quittant une station, le train venait de
redémarrer. Pour en couvrir le vacarme, Romain crût bon de hausser le ton.
— Me dis pas que t'aimes pas çà... çà rentre tout seul !
Cedric, en effet, malgré lui, se cambrait. Le doigt épais de Romain était tout entier en lui et, quand il se mit à le faire bouger d'avant en arrière, Cédric sût qu'il était perdu.
— Tu viens chez moi, Bébé ? Mes vieux sont pas là, ce soir... !
— Non, je...
— Me dis pas que t'as pas envie... tu mouilles, je te dis... !
Le vieux monsieur près d'eux s'étranglait de rage.
— C'est pas çà, je... c'est vendredi et mon père... Cédric se mordit les joues.
— Viens, tu sais que j'en ai une grosse... je te la mettrai bien profond dans la chatte, comme tu aimes... !
— Non, je... Cédric fit de son mieux pour ne pas donner la satisfaction à ce paon vaniteux de Romain de savoir qu'il l'avait fait jouir, là, debout dans ce wagon de métro bondé. Il venait
pourtant de mouiller son short. Romain, bien sûr, s'en aperçût.
— Tu vois ? Tu vois ? Tu as joui... juste avec mon doigt ! Tu vas voir comment je vais te faire jouir, quand je vais te la...
— Vous ne pourriez pas aller faire çà chez vous, espèce de... de.. petits pervers !
— Ben... c'est lui qui veut pas... !
Le train parvenait à un autre arrêt. Il restait à Cédric deux stations avant son arrêt. Tant pis. Il descendit. Il finirait à pied. Quel con, ce Romain. Tout çà parce qu'il avait dix-neuf ans...
il s'imaginait qu'il n'avait qu'à claquer des doigts pour que Cédric... Romain et ses "Bébé", ses plaisanteries débiles : "Cédric, si tu sais comment le prendre, c'est un très gentil garçon. Ce
qu'il préfère, c'est à 4 pattes !" Ah, ah... et encore... "Cédric, faut te méfier : tu lui donnes un doigt, il te prends la main. Jusqu'au coude !" Ah, ah... Lui est ses copains avaient fermement
établi la réputation de Cédric au collège, mais tant pis. C'était le prix à payer. Mais le pire était qu'il avait raison, ce con de Romain. Juste à claquer des doigts.
— Bon... on se voit mercredi, comme d'hab ? Y'aura Simon, aussi... t'aimes bien quand il y a Simon, aussi, hein... ?
Cédric ne se retourna pas. Romain criait assez fort pour que la moitié au moins du wagon l'entendit. Avant que les portes ne se referment, Cédric pût encore l'entendre ajouter...
— C'est dommage... tu sais pas ce que tu perds, Bébé... j'ai une de ces triques, putain !
Le pire de tout était que ce con de Romain avait raison. Cédric en mourait d'envie. Romain, à 19 ans, était monté comme un âne, même s'il était aussi con. Romain baisait bien. Romain était tout
le temps prêt à baiser et çà faisait parfaitement l'affaire de Cédric, qui, lui, avait tout le temps envie de se faire baiser. Ca en devenait presque effrayant, mais depuis deux ans maintenant,
depuis ses 14 ans, Cédric ne pensait qu'à çà. C'était devenu une obsession. Se faire baiser. Fourrer. Remplir. Enculer.
T'aimes çà, hein... te faire enculer ? lui répètait souvent Romain avec beaucoup de poésie. Il lui avait posé la question un bon millier de fois, depuis ce jour où il avait utilisé la phrase pour
l'aborder dans les vestiaires du gymnase. Il le lui demandait souvent, en tous lieux, pour le plaisir de recevoir l'acquiescement, pourtant souvent muet, de Cédric. Il le lui demandait aussi
souvent au moment le plus inutile, lorsqu'il avait sa bite énorme fichée au fond du petit trou en feu de Cédric.
Oui, Cédric aimait se faire enculer.
Il ne pouvait même pas prétendre qu'il n'aimait pas qu'on le lui demande. La honte même qui s'emparait de lui lorsqu'il devait avouer que, oui, il aimait se faire enculer, lui était délicieuse.
T'aimes çà, hein... te faire enculer ? Cédric rougissait, baissait les yeux et, docilement, tendait ses fesses, offrait son cul. C'était si bon. Quelques minutes - ou quelques heures - plus tard,
quand son baiseur, tout prêt alors de se vider en lui, lui posait à nouveau la même question, sur un ton qui n'avait plus rien d'interrogateur cette fois... T'aimes çà, hein... t'aimes çà, te
faire enculer ? Cédric ne manquait jamais de jouir une fois de plus, même si, comme il est normal à 16 ans, il avait déjà joui 3 ou 4 fois depuis que le garçon allait et venait en lui.
Cédric aimait se faire enculer, et c'était même ce qu'il aimait le mieux.
Heureusement, il y avait son père.
Comment expliquer cela à ce con de Romain ? Son père avait été le premier homme à fourrer une bite dont la taille ridiculisait la grosse queue de Romain dans son petit trou vierge et cela avait
été un éblouissement pour Cédric. La pénétration, pour douloureuse qu'elle fût au début, avait transporté rapidement le jeune Cédric au Paradis des Enculés, dont il n'était jamais redescendu
depuis. Son père était un baiseur extraordinaire, extraordinairement endurant, extraordinairement doué. Bien sûr, il y avait le fait qu'il était son père et cela était loin d'être étranger au
plaisir de Cédric - oh, se faire enculer par son propre père, cela semblait si merveilleusement pervers au garçon... - mais quand même. François Lemouillé, le père de Cédric, était un mâle hors
normes, comme on en rencontre peu et, même à son jeune âge, le garçon réalisait bien quelle était sa chance de se faire monter par un tel étalon. Tous les jours. Plusieurs fois.
Cédric, avec l'expérience survenue par la suite et les comparaisons qu'elle avait permises, avait pu mieux encore apprécier les talents paternels et la générosité avec laquelle ils étaient
dispensés. Cette première nuit, alors que son père se retirait de lui, laissant s'écouler de sa chatte béante et soudain vide un abondant trop plein de sperme et que Cédric croyait ne jamais
pouvoir atteindre plus grande extase, plus complète satisfaction, plus total bonheur que celui que son père venait de lui procurer, quelle n'avait pas été sa surprise de voir, après un bref
passage à la salle de bains, son père lui revenir aussi raide et aussi monstrueusement énorme, pour le pénétrer mieux encore et plus longtemps. Le garçon avait hurlé de plaisir à chacun des coups
de rein de son géniteur. Trois autres fois dans la nuit, son père l'avait baisé, pour finalement se vider en sa bouche au petit matin.
Depuis, l'ardeur de François Lemouillé pour son fils n'avait jamais faibli, pas plus que l'adoration de Cédric pour son père ne s'était démentie. En dépit des questions répétées de Romain - et de
bien d'autres - se faire enculer, pour Cédric, c'était surtout et avant tout se faire enculer par son père. Celui-ci, bien sûr, connaissait tout des aventures de son fils et les approuvait sans
retenue. Comment en vouloir à un aussi beau garçon que son fils d'attirer irrésistiblement tout ce qui porte des couilles alentour ? Aussi longtemps que Cédric s'allongeait avec empressement sous
lui lorsqu'ils allaient au lit le soir, se faisait baiser avec enthousiasme une ou deux fois au cours de la nuit et, le plus souvent, lui offrait encore docilement sa chatte de garçon le matin
avant qu'il ne parte au bureau, François Lemouillé n'y voyait rien à redire.
Ce con prétentieux de Romain avec sa grosse bite, pas plus que tous les autres, n'avaient pas besoin de savoir. Ils n'étaient que cela pour Cédric : des bites. Son père était son amant.
Or, aujourd'hui, on était vendredi et, le vendredi, François Lemouillé rentrait généralement tôt du bureau, ce qui lui donnait le temps de fourrer le monstrueux engin qui lui tenait lieu de queue
une fois de plus entre les fesses du gamin. Cédric n'aurait voulu manquer çà pour rien au monde, et surtout pas pour un coup de bite de Romain. De retour à la maison, Cédric prit une douche,
effaça toute trace de l'aventure du métro, lubrifia l'intérieur de son petit trou, un peu mais pas trop : il aimait bien sentir son père dans toute sa force et sa majesté, se brossa les dents
avec soin et, nu, alla s'allonger dans le vaste lit qu'il partageait avec son père et qui abritait leurs ébats incestueux.
Bientôt, son portable, en sonnant, l'éveilla. Cédric s'était assoupi.
— Chéri, c'est moi...
— Papa...
— Mon amour, je vais être un peu en retard, je suis encore au bureau, mais j'arrive bientôt... !
— Papa... je t'attends, Papa...
— Je sais, mon chéri, mon amour... je sais... souffla François Lemouillé, la voix soudain rauque.
— Papa... viens vite... !
— J'arrive, mon amour... ne fais rien pour le dîner, hein ? Je t'emmène au restaurant... après !
Cédric entendit une voix d'homme s'exclamer derrière son père, sans doute un de ses collègues...
— Oh la la, dis-donc... çà va être chaud ce soir, on dirait ! Y'a de la baise dans l'air...
— Qu'est-ce que tu racontes, Franck... ? Tu penses vraiment qu'à çà... C'est mon fils... c'est Cédric... !
— C'est çà, oui ... c'est çà ! Je te crois, mon pote... Ben dis-donc, tu l'aimes beaucoup, beaucoup, hein, ton fils... !
— Oui, justement, mon vieux... Je l'aime beaucoup, beaucoup, mon Cédric, figure-toi... ! Cédric ? Tiens, je te passe Franck Chaudemanche un instant. C'est un collègue et cet idiot ne veut pas
croire que c'est mon fiston que j'appelle...
— Allo ?
— Allô, oui....?
— Euh... c'est Franck Chaudemanche... vous... euh.... tu es...
— Bonjour Monsieur Chaudemanche... Franck... c'est Cédric. Papa rentre bientôt ? Vous avez bientôt fini, au bureau...?
— Euh, oui... euh...
— ... parce que j'ai hâte qu'il rentre ! Je l'attends !
— Ah ? Ben, euh... ne quittez pas, enfin, je veux dire... ne quitte pas, je te repasse... ton père !
— Non, non, c'est inutile. Dites-lui juste, s'il vous plait Franck que... j'ai très, très hâte qu'il soit là...
— Euh, oui...
— ... qu'il a fait chaud aujourd'hui... toute la journée... et que j'ai eu envie de... de le voir toute la journée... ! souffla Cédric.
— C'est ton fils... il... il dit qu'il a hâte que tu rentres... qu'il a été chaud aujourd'hui toute la journée et qu'il a eu envie de toi toute la j... euh... envie de te voir toute la journée et
que...
Cédric raccrocha.
* * *
— Bonjour Madame... euh, Mademoiselle...
— Jeune homme...??
— Je m'appelle Cédric Lemouillé et je....
— Vous vouliez voir votre Papa ? Monsieur Lemouillé est en réunion. Si vous voulez vous asseoir et l'attendre...
— Oui, merci... euh, non... est-ce je pourrais voir Monsieur Chaudemanche, Monsieur Franck Chaudemanche... si c'est possible ?
— Je vais voir... Allô, Monsieur Chaudemanche ? C'est Sonia... j'ai le petit Lemouillé qui est là et qui... non, Cédric Lemouillé, le fils de Monsieur Lemouillé, qui voudrait... Non, je ne sais
pas ce qu'il veut, Monsieur Chaudemanche. Oui... bon... oui, d'accord. Vous pouvez entrer, jeune homme...
* * *
— Euh... bonjour, euh... Cédric, c'est çà, hein ? On s'est, euh... vu au téléphone... l'autre jour, non ?
— Oui, c'est bien çà... bonjour Monsieur Chaudemanche... Franck.
— Qu'est-ce que je, euh...
— Et bien... j'étais venu voir mon père, mais il est en réunion et votre secrétaire m'a dit que çà vous ferait plaisir que je l'attende ici... avec vous... Franck !
— Elle... elle a dit çà ?
— Non, pas exactement, mais c'est ce que j'ai compris. Ca ne vous pas plaisir, Franck, qu'on attende Papa... ensemble ?
— Si, si bien sûr, mais euh...
— Vous êtes tout à fait comme je t'imaginais... Franck ! Je veux dire... avec la voix...
— Ah... oui ?
— Oui... grave, mâle, virile...
— Oui ? Euh...
— Chaude.
— ...
— Oui... chaude... comme quand... y'a de la baise dans l'air.... comme tu disais l'autre jour... quand on s'est vu au téléphone... Franck !
— Hein ? Qu'est-ce que... ?
— Tu trouves pas qu'il fait chaud, Franck ? Non ? Si ? On dirait vraiment qu'il y a de la baise dans l'air... tu trouves pas ?
— Mais je... qu'est-ce que tu... ma ceinture... !
— Ben dis-donc... y'en a des boutons... à ton pantalon... !
— Arrête... je suis pas.... écoute, non... !!
— Ah, la braguette, au moins, c'est une fermeture éclair... c'est plus facile... ! C'est pas grave, si on le laisse là sur la moquette, ton pantalon, Franck ? Elle a l'air très propre, la
moquette de ton bureau... !
— Mais... écoute relève-toi... je ne sais pas ce que tu... mais je suis... marié, j'ai des gosses, moi... et je... non, arrête !
— Tu mets des caleçons ? Mon père aussi, il mets des caleçons. J'adore çà, les mecs qui mettent des caleçons... Je trouve çà viril !
— Ecoute... si ton père te... non... arrête... non, pas ici !
— Dis-donc, Franck... c'est vrai, ce que dit Papa ? C'est vrai que tu penses qu'à çà ? Fais voir ? Oh la la, Franck... dis-donc... elle est é-nor-me ! Ben tu vois, tu bandes déjà... et dur avec
çà... !
— Je... c'est ma femme... elle attend notre deuxième... Ca fait des semaines qu'on n'a rien fait, alors je...
— Oui, oui, Franck, bien sûr... je comprends, bien sûr. Là... et comme çà, çà va mieux, Franck...?
— Oh putain... !
— ...
— Oh puuuuutaaaainnnnn !!
— ...
— Oooooohhhhhh putain de putain de putain !
— ...
— Quelle bouche... ! Tu suces bien, dis-donc... je veux dire... pour un garçon...! Putain... je le crois pas... doucement, doucement... ou bien je vais... Oh putain ! Oui, jusqu'aux couilles...
jusqu'aux couilles ! Merde, c'est mon portable qui sonne...?
— Non, Franck, c'est le mien... Allô ? Oui... oui, tout va bien... et toi ? Oui, oui bien sûr... ne quitte pas, je te le passe, Papa ! Tiens, Franck, c'est Papa...
— Quoi ? Hein, mais qu'est-ce que tu veux que... hein ? Allô... oui, François... oui... écoute François, c'est pas ce que tu pourrais croire... ne va pas t'imaginer que, euh... je veux dire...
— Franck ?... Comment va, mon Francky ? Comment çà se passe ? Cédric est gentil avec toi ?
— Ecoute, François... c'est pas du tout ce que tu crois, c'est juste Cédric... ton fils qui, euh... passait par là et...
— Oui ?
— Et bien... il avait un problème avec un devoir de... d'anglais et, comme tu sais je... je m'occupe de l'international dans la boite, alors...
— Laisse tomber, Francky. Cédric a pris allemand en première langue. En parlant de langue, il était en train de te sucer, non... ?
— François, je t'assure... c'est lui qui... moi je voulais pas... c'est ma femme qui... !
— Laisse tomber, je te dis, Franck. Tu sais, Cédric, il suce jamais aussi bien que quand il se fait baiser. Une bite à chaque bout, c'est ce qu'il aime. Autrement dit, c'est quand on le défonce
qu'il se défonce le mieux ! C'est chacun son truc, hein Francky ? Alors... dans ton intérêt, qu'est-ce que tu dirais si je le baisais pendant qu'il te suce, hein, Francky ? Tu vas voir, çà fait
une différence, je t'assure... et puis, ne sois pas égoïste, Franck : penses au petit ! Et aussi à ton vieux pote François, hein...?
— François, écoute, je...
— Bon, et maintenant si tu disais à cette conne de Sonia qu'elle me laisse entrer dans ton bureau, hein, mon vieux Franck ? D'accord ?
— Oui, euh... si tu veux. D'accord, François... si tu crois... Allô ? Allô, c'est cette conne de Sonia ? Oh pardon, c'est Sonia ? Oui, euh... Sonia, s'il vous plait, faites pénétrer Monsieur
Lemouillé dans mon bureau... je veux dire, faites entrer... oui, le petit Lemouillé l'attends... non le petit Lemouillé... oui, son fils... non, lui il est déjà entré, c'est pour le pénétrer...
non Lemouillé, c'est son nom, Sonia... C'est vrai que vous êtes un peu conne par moments, Sonia, quand même... ! Ah et puis dites aux gens de la compta que je les verrai demain, hein ? Oui
demain, même si c'est dimanche, Sonia.
* * *
— Ah oui, c'est vrai : tu l'avais jamais vu ? Et Cédric ne t'a pas prévenu ? Oui, je sais, la première fois, la taille surprend toujours. Après on s'habitue. Bon, fais comme si je n'étais pas là,
mon pote... reprend où tu en étais... ! Cédric, mon grand, penche-toi un peu plus... là, comme çà. Regarde notre ami Franck... comme il t'attends ...
— Oh... oh... oooooohhh là, ohlaoahlaoahla... !
— Tranquille, Frankie, tranquille... !
— Putain... !
— Oui, Franck. Tranquille, je te dis... regarde moi... est-ce que je m'énerve, moi ?
— Oh putain !!
— Tu vois, un petit cul, çà se prépare, Franck. Tu le lèches... comme çà, bien, longtemps.... profond. Tu y mets tout ton coeur et aussi toute ta salive. Tu y mets la langue aussi loin que tu
peux. Tu sens comme il aime çà ? Tu sens comme il te suce bien, encore mieux, tout d'un coup, Francky ?
— Putain, aucune gonzesse m'avait jamais sucé comme çà... merde !
— C'est parce que c'est un garçon, Franck, si tu avais pas remarqué...
— Suce... suce bien... !
— Tu colles bien ta bouche sur le trou, bien comme çà et puis... tu fais bouger ta langue à l'intérieur !
— Ah, ooooooh... putain de nom de Dieu de merde... !
— Francky, s'il te plait, ne jure pas comme çà devant un enfant !
— Putain, je sens que çà vient... !
— Cédric, mon pote Francky, qui manque à tous ses devoirs, ne t'avait encore rien offert à boire, je crois... Il va arranger çà tout de suite...
— Je jouis, je jouis... !
— C'est bien Franck... çà va aller mieux après, tu vas voir. Je vais la lui mettre bien comme il faut et puis on va pouvoir passer aux choses sérieuses, hein Francky ?
* * *
— J'étais très fier de toi, ce matin, au bureau, mon fiston, tu sais ?
— Oui Papa ?
— Il est gentil, mon pote Francky, non ? Un peu bourrin, mais gentil.
— Très gentil, Papa.
— Et comment c'était... je veux dire....
— C'était bien et... beaucoup, beaucoup, Papa...
— Oui, c'est sa femme. Ca faisait des semaines...
— Il m'a dit, oui, Papa... C'est son deuxième, non ?
— Oui, c'est un bon papa, ce Francky ! Et puis, tu sais, sa femme n'accouche pas avant trois mois, alors...
— Moi aussi, j'ai un bon Papa !
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ce récit est paru dans GayEros
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