SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES

Mardi 24 septembre 2 24 /09 /Sep 11:42

  il était une fois...

Le coup du Père François.

JE NE PEUX AUTHENTIFIER CE RECIT, SON AUTEUR , ET TOUTES LES PHOTOS QUI SONT DES FAKES VENUES DU NET ATTENTION ce blog est 18+ 

Toutefois son allure de vérité, vu toutes les affaires passées, sonne aujourd'hui juste et vu les dates le faits sont prescrits

si tant est qu'il y ait eu la moindre vélléité se se plaindre..Récit :

 

 En préambule, je veux dédouaner le Père François qui ne m'a rien appris que je ne savais déjà sur ma vraie nature. J'avais peut-être 15 ans. À cette époque, bien avant les années 70, pour nous garçons, les choses du sexe faisaient partie de fantasmes nocturnes alimentés par l'espionnage par les trous de serrure des vestiaires, toilettes et salles de bains , ou encore par des lectures qu'on s'échangeait entre copains en cachette. Toute action se résumait à de longues heures de rêves brûlants et de masturbation à répétition en imaginant des scènes improbables et irréalisables.

La vraie nature de ma sexualité devait se manifester d'une manière que je n'attendais pas. De temps en temps nous visitions, ma famille et moi, un oncle et une tante. Ils avaient 2 fils, mes cousins, l'un de mon âge tout aussi boutonneux et en proie aux mêmes fantasmes que moi. L'autre plus jeune, 2 ans de moins peut-être. Il était mignon, blondinet, les yeux bleus, un sourire d'ange, bref il avait un air "de fille" comme on disait à l'époque. C'était surtout un emmerdeur de première, toujours dans nos pattes à vouloir faire ce que nous faisions nous les aînés.

Un jour alors que nous discutions son frère et moi dans sa chambre, il m'a sauté dessus en disant "battons-nous si tu es un homme, etc.." des conneries de gamin quoi. Son frère, qui ne le supportait pas, excédé par cette interruption est sorti de la chambre. Luc (c'était son nom) et moi restâmes seuls. Ce petit coquin se fit insistant, se colla à moi et m'obligea à rouler sur le lit avec lui, en prétextant vouloir tester chatouilles, morsures et autres griffes pour me faire adopter une attitude plus agressive et entrer dans son jeu. Il était sur moi, s'agitait dans tous les sens en riant très fort.

J'ai senti soudain un fourmillement familier qui montait dans mon sexe. J'ai voulu le mordre pour le faire lâcher prise, mettre fin à ce jeu qui tout d'un coup me troublait trop violemment, j'ai senti sous ma bouche le grain de sa peau, fine, satinée et odorante du savon du bain qu'il venait de prendre et de l'eau de Cologne dont il s'était abondamment aspergé. Ma morsure s'est transformée en quelque chose de différent, ma bouche s'est ouverte, ma langue l'a touché, ma bouche s'est refermée sur son cou et je l'ai léché tout le long de sa nuque dans un plaisir intense qui m'a fait frémir et qui l'a rempli d'une joie inattendue. Il a éclaté de rire et s'est pressé plus fort contre moi.

À ce moment je me suis plus retenu, je me suis mis à bander comme un fou, je sentais cette vibration intense de ma queue et les pulsations qui la faisait battre dans mon slip. Il riait, s'agitait et se frottait tout contre mon ventre augmentant mon érection et mon désir. Je le pris à pleines mains, le pétris, pressais ses fesses, le fit me branler de tout son ventre, j'ai senti son sexe contre le mien, il bandait aussi, lui le petit Luc, si frêle, si mignon, ce petit chéri à sa maman. Il a senti la bosse dans mon pantalon, a poussé un petit cri et a dit "Mais qu'est-ce c'est que ça, mon vieux, on bande?" et aussi sec, il a mis sa main sur ma braguette. Il a appuyé, palpé, touché, pressé la bosse, puis il a commencé à me frotter de sa main qui devenait tout d'un coup très experte. "Tu me fais rire à te sentir comme ça," me dit-il. Voulait-il me donner le change avec sa fausse innocence tout à coup mise à nu? L'hypocrite savait très bien ce qui arrivait, ce qu'il faisait et il aimait ça. Un vrai petit diable qui me frottait la queue en faisant semblant de jouer à autre chose. Il riait de me sentir en feu.

Je léchais sa nuque, ses épaules, ses oreilles tout ce que je pouvais atteindre de ma bouche devenue avide de se remplir de sa peau, de sa chair si proche, si douce, qui sentait si bon. Je n'avais aucune idée de ce que je pouvais faire de lui à part prendre ce plaisir fou, intense qui m'habitait tout entier. Je ne pensais même pas à le toucher lui, il me possédait littéralement. Sa main ne me lâchait pas, il riait de plus en plus fort. On a continué comme ça un moment, combien de temps, je ne sais pas, peut-être que ça n'a duré que 5 minutes après tout. J'ai tenu tant que j'ai pu, c'était trop bon.

Tout d'un coup tout est parti, j'ai éjaculé comme ça dans mon slip. J'avais l'impression que ça ne s'arrêtait pas de couler, j'avais l'impression que ma bite voulait fouetter l'air mais elle était emprisonnée par cette main diabolique. C'était la première fois que ça m'arrivait de juter ainsi par un contact avec un autre corps, une autre main que la mienne. Un délire, j'en avais plein partout, c'était chaud, ça collait mes poils sur mon ventre, ça mouillait mes vêtements. Il s'est écarté comme si de rien était, il était rouge, soufflait très fort et souriait, beau, content, il m'avait eu, moi le grand, l'aîné à qui il avait fait rencontrer sa vérité en un éclair. J'ai voulu l'embrasser sur la bouche, désemparé, ivre de la jouissance que je ressentais encore, il m'a repoussé, il m'a dit: "Ça va, tu te sens mieux?" et il est parti sans un geste, droit, fier de lui, sans aucune gêne. 

Cela devint une habitude de me masturber en pensant à cette scène. On s'est revu quelques fois au hasard des réunions de famille. J'ai voulu rejouer comme ça une fois encore, mais ce n'était pas la même chose, les parents nous cernaient de partout, ça a été furtif. J'ai vite saisi l'impossibilité de le chercher ainsi, et que j'en voulais plus mais la famille était trop présente. On ne nous aurait jamais pardonné cette intimité interdite de tous temps. 

Ce jour-là j'ai su ce que j'aimerais les garçons qui se prennent par derrière, dans des torrents de senteurs et de parfum.

Souvenir vivant ...
 fake

"Maintenant va te repentir, récite une douzaine de Notre Père"

Il y eut place pour d'autres connaissances. Je pense que beaucoup ont découvert la "vraie" homosexualité, avec des  jeunes de leur âge, moi avec un adulte. Un vieux. Ce fut une chance.

L'inexpérience peut conduire à des ratages, de l'inassouvissement. Je pense que mon expérience en vaut bien d'autres,aujourd'hui elle ne pourrait exister je pense. Pas mal d'adultes gays ont été bannis des mouvements scouts.  Tout le monde n'a pas eu comme moi la chance de rencontrer un homme adulte que la contention rend ardent et dont la situation impose le secret absolu. Oui, il y a eu pas mal d'affaires juridico religieuses, je vous l'accorde,  pas la mienne que je tiens à garder pour moi sauf le présent récit... 

Un baroudeur pour catéchiste

Qui n'a pas eu sa crise mystique? Sa rencontre avec la religion, etc... En ce temps-là on faisait sa communion solennelle et on allait au catéchisme pour se préparer à l'événement. L'aumônier du coin, le père François, était un franciscain, viril, taillé comme un roc qui avait la particularité d'être ce qu'on appelait alors "une gueule cassée". C'est à dire un blessé de guerre. Ce vénérable personnage avait été officier pendant la guerre et avait sauté sur une mine avec son char. Il en était ressorti tout tordu avec des cicatrices partout mais il en imposait par son physique et ce qu'il représentait. Nous, les enfants de Dieu, étions très respectueux et admiratifs de toute cette gloire. Tout le monde dans le coin lui vouait un respect certain. :  

Donc il nous avait catéchisé, fait communier solennellement et fait persévérer dans notre foi. Finalement, après de longues insistances il m'a convaincu d'entrer chez les glorieux scouts du pays porteurs de la sainteté et de la grandeur de l'esprit de discipline, futurs orgueil de la Nation. Avec enthousiasme je m'intégrai au groupe, ma patrouille était formée par des copains avec qui j'allais au lycée. Donc tout allait bien et le père François nous galvanisait. Il avait un peu le défaut des franciscains: il n'était pas très net sur lui (voeux de pauvreté exigent...) mais peu importait.

Tous les jeudis, on avait nos exercices préparatoires au grand moment: le camp d'été ! Un mois en camping à jouer les David Crockett et autres Baden Powell. Le père François était très affectueux avec ses garçons. Il nous prenait toujours par la main, jouait à des tas de jeux et aimait par dessus tout la bagarre et la lutte au corps à corps. Nous on y allait mollo de peur de manquer de respect.

Le grand jour arrive. En fait c'était un soir parce que le trajet était long et on allait dormir dans une ferme avant de monter le camp. On s'est entassé dans plusieurs camionnettes. Avant le départ, ça chahutait un max. On était bien sanglés dans nos uniformes de scouts (shorts et chemises kakis). J'avais trouvé une place sur le siège arrière d'une voiture où on avait casé plein de sacs à dos. Le père François allait d'une voiture à l'autre et discutait gentiment avec tout le monde. Il est venu vers nous, s'est accoudé au montant de la portière et sa main est tombée tout naturellement sur mon genou nu. Il plaisantait avec le chauffeur et les passagers assis sur les sièges avant.

Contrairement à mon attente, il n'a pas retiré sa main. Au contraire, elle a bougé un peu, insidieusement. J'étais gêné, je me suis tortillé un peu pour briser le contact. Mais il faisait déjà nuit et personne ne pouvait voir ni la rougeur qui me montait au front ni mes tortillements. La main s'est faite plus lourde et s'est aventurée un peu plus haut sur ma cuisse, l'enserrant doucement mais fermement à l'orée de mon short en pleine chair. A mon propre étonnement, je me suis mis à bander sous ce contact ferme et pressant d'une main savante, les doigts qui se lèvent et se reposent les uns après les autres... les fourmis me montaient le long du dos.

Le moment du départ était arrivé, je sentis que j'allais être soulagé et libéré, mais le père François ouvrit la porte de la voiture et, aussitôt il s'asseoit sur le siège à côté de moi. Il n'y a pas beaucoup de place, on était collé l'un contre l'autre. La voiture démarre. Tout le monde crie, rit etc.. Puis ça se calme. Après un moment, ça commence à fatiguer et à s'assoupir. Le silence règne. Le père se penche vers moi, pose sa main sur mon genou et me dit: "Ça va? Tu es bien installé? Viens te caler contre moi, tu seras mieux." J'obéis à moitié, mais il m'a déjà saisi et enlacé de son bras gauche, sa main droite me tient par le genou et va rechercher la position qu'elle avait avant le départ sur le haut de ma cuisse, puis elle s'insère dans la jambe mon short et va se blottir dans mon entrejambe. Pendant ce temps son autre main glisse contre ma poitrine, me palpe, me pince un peu les tétons.

Aussitôt je bande comme un fou, je retiens mon souffle de peur de me trahir, mais tout le monde dort déjà. Il approche sa bouche de mon oreille, murmure: "Tu vois comme on est bien, repose-toi, laisse-moi te bercer." Je sentais le chaud de cette main qui suavement me caressait les couilles et la bite, lentement mais savamment. Il soufflait un peu, me léchait l'oreille, me disait que j'avais une peau douce. Il a accéléré un peu le mouvement de sa main dans un geste que je ne connaissais que trop bien pour le pratiquer des tas de fois moi-même tous les jours en recommandant mon âme à Dieu (catéchisme oblige).

 

La religion pour rempart :   "Tu sais ce n'est pas un péché si c'est fait avec amour."

Il me disait encore: "Tu as déjà fait ça tout seul? Avec d'autres?" Comme je n'osais pas répondre, il insistait: "Tu sais ce n'est pas un péché si c'est fait avec amour." Etc.. Moi à ce stade je ne demandais même plus d'être convaincu de la bonté divine, je n'allais pas tarder à gicler, ce qui a fini par arriver. Il a ritdoucement et m'a dit: "Dis-moi si tu as aimé, comme ça on pourra recommencer à jouer tous les deux n'est-ce pas?" Moi je bredouille un "Voui mon père!" aux senteurs de sperme.

Quel départ en fanfare!

 

Le camp s'organise, les activités sont nombreuses. Le trajet en voiture me chiffonne encore un peu mais j'oublie tout et me livre à la joie du moment.

"On va jouer à un jeu de piste. Rendez-vous à la rivière." Bien sûr, c'est le père François qui a cette idée géniale. Tout se passe bien on se retrouve à la rivière et épreuve suprême, il faut conquérir la place. Pour cela il faut faire une bataille dans l'eau. "Tous à poil et on y va!" crie le père. On obéit comme un seul homme. Lui, pudiquement (gueule cassée mais pas manchot) garde son maillot de bain, sans doute pour qu'on ne voie pas son émoi devant tant de jeunes queues en l'air. On se précipite les uns contre les autres, on se bat. Le père n'est pas le dernier à la manoeuvre: c'est beau, c'est viril, c'est sain, la jeune Belgique en pleine santé!

Tout d'un coup il me saisit par derrière à bras le corps et me renverse (normal c'est dans le mouvement) Il m'entraîne sous l'eau par le poids de son corps, je manque m'étouffer par la tasse que je prends, mais on est déjà sous l'eau et je sens sa bite dressée contre mes fesses, raide, dure. Il n'a aucun effort à faire pour la glisser dans la raie, je suis nu comme un ver. Les autres hurlent, se battent, s'éloignent de nous, entraînés par un léger courant. Moi je suis toujours enserré entre ses muscles de fer, je sens sa bite qui se pose sur mon trou du cul et qui commence à pousser pour entrer. Il me fait mal, je crie, il se retire, revient appuie de nouveau, je me débats. En cherchant à nager, j'ouvre mes jambes et me voilà dans la position de la brouette japonaise. C'était tout ce qu'il lui fallait, l'expert s'enfonce d'un coup. Il fallait le faire parce qu'à cet âge là, je n'en avais pas un large, de trou.

Je m'agite sous la douleur et je suppose qu'il était en manque parce qu'il jouit instantanément, juste une petite giclée, en plus dans l'eau je ne pouvais pas bien juger (par la suite j'ai vérifié la quantité de sperme qu'il pouvait lâcher ! ) et se retire. Juste à temps parce que les autres arrivent. Ils nous cherchaient bien sûr. Moi je me tire comme un voleur. La fin de la journée se passe. Je suis dans la plus grande confusion, j'ai mal au cul, personne n'a rien vu (apparemment), je n'ose rien dire de peur de me faire jeter ou de me faire traiter de pédé par les autres (à cet âge on n'était pas tendre sur le sujet). Et puis il faut bien dire que la situation ne me laissait pas indifférent, loin de là. Jusqu'à un certain point je n'étais pas dupe et content d'avoir été "honoré" par un adulte rassurant.  

Le lendemain c'est samedi, veille du dimanche, il faut aller à la confesse. Ça se passe sous la tente individuelle du père. Chacun son tour. Moi je traîne, je ne sais pas ce que je vais bien pouvoir dire, je vais tout de même pas confesser qu'il m'avait violé. J'arrive bon dernier. Le père me fait entrer, il me sourit et me dit: "Tu n'as rien à confesser, tu es un être pur et je suis là pour t'aider à te trouver." Là-dessus suit une longue explication sur la volonté divine pendant que naturellement (on est déjà intimes n'est-ce pas?) il me prend la main m'attire vers lui et me fait asseoir sur ses genoux.

Je commence à connaître la bosse qui pointe sous sa soutane. Il me prend la main, me la pose dessus et m'explique que lui aussi, c'est comme moi, il aime bien qu'on la lui frotte, comme il me l'avait fait dans la voiture. Donc je la lui frotte, le tissu de la soutane est rêche, il la soulève. Sa bite est dressée sous son caleçon de militaire, comme il y a une grande braguette, elle sort instantanément. Moi je n'en ai jamais vu des comme ça, je veux dire de bites d'adultes, grosses, veinées, avec un gland qui me paraissait énorme. Je n'ai vu et touché que celles de mes copains avec qui on se branlait en choeur en se racontant des histoires cochonnes. On passait notre temps à mesurer la croissance de nos organes.

La situation devient intéressante, la sensation de cet engin dans ma main est nouvelle, ce n'est pas l'impétuosité des copains, c'est une vibration profonde, des sursauts, c'est chaud, très chaud et très doux à toucher. Je m'étonne qu'il ne jute pas après deux ou trois aller-retours. Sa voix se fait douce, il m'embrasse dans le cou, me caresse les fesses, me dit: "Oui c'est bien mon tout petit, mon petit ange venu du ciel pour me rendre la vie douce." Moi je suis là à le branler, je ne sais que faire d'autre. Je sens son haleine, sa langue et sa bouche sur ma peau. Il défait ma chemise pour me lécher la poitrine, me mordiller les seins. Je n'ai jamais imaginé rien de tel. Je sens aussi monter l'odeur de sa bite, cette odeur forte qui monte, s'amplifie, me remplit les narines et me fait entrouvrir la bouche pour en aspirer un peu plus les effluves.

Lentement il me fait m'agenouiller devant lui, prend ma tête entre ses mains et l'approche de sa queue. Il me dit: "Sens comme ça sent bon, mais c'est meilleur à goûter." C'est sûr, il est déjà au septième ciel. Sous la pression, ma bouche se colle contre sa bite, il s'arrange pour qu'elle soit bien contre mes lèvres. Ma bouche s'ouvre naturellement, ma langue se tend vers le gland tout couvert de jus, je goutte, c'est salé,. Il pousse un gémissement et s'avance brusquement en me pressant la tête vers son ventre. Je l'ai toute entière dans la bouche. Elle n'est pas grande, plutôt courte mais large, trapue,  et elle est chaude, très chaude. Je referme ma bouche, il se met à bouger pour la faire entrer et sortir. Il me dit: "Fais comme ça, oui, agite ta langue, aspire-moi."

Je pose mes lèvres autour de son gland, juste le gland dans la bouche bien fermée et j'aspire, le gland se gonfle, la bite augmente de volume. "Encore ! (il gémit) Oui encore petit diable! (tiens j'ai changé de département, après les anges, le diable) Encore et encore!" Je ne trouve pas ça désagréable, la situation me paraît très naturelle maintenant. J'aspire, pour retrouver mon souffle j'ouvre tout grand ma bouche et la referme sur le membre entier. Je monte, descends et entame un va-et-vient. Il est aux anges.et moi content de faire le bien !  

Je le sens tout d'un coup se tendre, sa bite vibre fort dans ma bouche. Sa main me tient ferme, je ne peux pas me retirer et il gicle violemment dans ma bouche, une fois très fort, deux fois, et encore, il ne s'arrête pas. Moi je suffoque, j'avale tout ce que je peux, j'en ai plein qui me dégouline sur le menton et les joues. Ça a un goût acide, ça ressemble à mon goût quand je me lèche les mains après m'être branlé, une texture un peu différente de la mienne, plus épaisse peut-être. Il se ramollit, me lâche, me prend dans ses bras, m'embrasse, me remercie et me dit: "Maintenant va te repentir, récite une douzaine de Notre Père, mais avant, lave-toi la bouche, ne sois pas sacrilège..." ajoute-t-il.

 

Je suis revenu sous la tente avec les copains avec un peu de mal à m'endormir après l'extinction des feux. Ce camp aura été instructif au-delà de mon imagination.  Si je pensais devenir un soldat de Dieu viril et respecté comme le père François  je me retrouve pute de l'aumônier !  Au moins la peur initiale s'est envolée et j'ai découvert que j'avais un avantage: un plaisir supplémentaire, un secret que les autres n'avaient pas. Je faisais vraiment mon éducation sexuelle au lieu d'avoir à l'imaginer.  Je réfléchissais à tout ça. Est-ce que je devais le dire? Je savais bien que non parce que je risquais de me faire jeter du camp avec toutes les conséquences. Et puis ça me plaisait. Alors autant en rester là et voir la suite.

 

Le reste du séjour s'est bien passé. Le père François m'avait nommé "ordonnance" ce qui voulait dire que je prenais soin de son installation. Je lui faisais son lit, lui apportais son petit déjeuner, et débarrassais son dîner. Ce qui faisait que j'étais toujours sous sa tente à un moment crucial: lever, sieste, coucher. Il était donc normal que je m'attarde à la besogne. C'était donc de longues séances de pipes qui le remplissaient d'aise. J'étais plus que consentant à ce moment là, la glace était rompue, j'étais abondamment abreuvé de sperme frais tous les jours en guise de lait chaud le matin et d'infusion le soir. Ça me donnait des couleurs. Il me branlait aussi, il aimait jouer avec ma bite, il l'embrassait, me suçait un peu mais ne me laissait pas aller jusqu'au bout, ce qui faisait que je me branlais comme un malade après ça. Moi j'aimais vraiment le sucer, c'était le principal, j'avais pris goût à le sentir jouir dans ma bouche, j'aimais ça, la longue vibration qui annonçait la montée de sa giclée. J'en sortais barbouillé de sperme, j'aimais aller dormir avec ce goût dans la bouche. J'en rêvais et me branlais en y pensant.

Peu après, un soir, il me fait allonger près de lui dans son sac de couchage. Il me déshabille, je suis nu contre lui (je ne sais pas pourquoi mais il gardait toujours son caleçon, ce qui était un peu cocasse et me donnait envie de rire). Il me retourne et presse sa queue déjà dure contre mes fesses. Je vois où il veut en venir. Je me souviens de l'épisode du bain, je n'ai pas envie d'avoir mal alors je veux me dégager, mais il est le plus fort. Je finis par me calmer et me soumettre à son désir. Il me caresse les fesses, les entrouvre, me touche le trou. Il soupire de plaisir. Il a un mouvement que je ne peux voir et je sens ses doigts emplis d'une matière grasse et visqueuse qui m'enduisent le cul. Je sens par le contact sur mes fesses que sa bite en est toute enduite aussi. Il me dit: "Tu vas voir, ça ne va pas te faire mal, laisse-moi faire."

Je sens un des ses doigts longs et durs me forcer pour ouvrir le passage. Je ne résiste pas, la vaseline fait son effet, le doigt entre comme dans du beurre. Ça me fout des fourmis partout de sentir son doigt aller et venir doucement. Il le ressort, l'enduit encore de vaseline et entre de nouveau. Il le fait tourner doucement. Je me sens m'ouvrir, m'élargir, sensation nouvelle, les fourmis repartent à l'assaut de mes reins. Son doigt s'enfonce plus profond, il me touche je ne sais où là au fond et ça me fait bander tout d'un coup. Je me cambre sous ce plaisir nouveau, j'ai envie qu'il me retouche là où ça m'a fait tant plaisir, m'offre à sa pénétration. Il enfonce encore son doigt, je frémis sous le toucher, c'est trop bon. Je sens un deuxième doigt qui essaie de se faufiler, j'ai peur, ce n'est pas possible qu'il y arrive, mais c'est un expert, j'ai deux doigts dans le cul et c'est toujours aussi bon.

Il retire ses doigts, je devine qu'il approche sa queue, je sens le gland contre mon trou, ce gland dont j'ai appris à aimer la douceur et le satin, dont je connais la forme et le contour (une main de fer dans un gland de velours pensais-je alors pour me faire rire). Je sens sa chaleur, je le sens qui glisse sur ma raie sous l'effet de la vaseline. Il me fait mettre à quatre pattes, me fait baisser la tête, je m'appuie sur les coudes, me fait me cambrer (plus tard j'aurais dit tout de suite qu'il m'a fait mettre en levrette, mais à l'époque j'ignorais tout du vocabulaire utile). Il s'agenouille entre mes jambes. Comme il n'est pas grand, mon cul et sa bite sont à la même hauteur, donc je suis juste dans la ligne de mire de sa queue. Il m'entoure la taille d'un bras, saisit sa queue de l'autre main et me tire vers lui avec une force incroyable, ferme, en même temps qu'il pousse sa queue dans ma fente.

Je tressaille sous la douleur intense, mais il s'enfonce déjà. Il s'arrête, attends que je l'accepte. Je ne sais pas si je veux le rejeter ou qu'il s'enfonce davantage mais je sens la chaleur de sa bite qui se répand dans mes reins. Comme je l'ai dit, il n'avait pas une grosse bite mais elle était dure et très, très chaude, un vrai fer à souder. Je commence à bander sous l'effet de cette chaleur. Je me pousse vers l'arrière et il s'enfonce jusqu'au ventre. Je sens ses poils sur mes fesses, ses couilles contre mes cuisses. La bite enfoncée me donne encore plus de jouissance que le doigt tout à l'heure. Ce n'est pas comme dans l'eau où la surprise et la rapidité de l'action m'avaient laissé sans réaction. C'est vraiment très bon cette fois.

Il bouge. Se met à faire un va-et-vient qui s'accélère. J'ai le trou du cul en feu tellement sa chaleur m'irradie, j'ai la queue qui se tend et qui bat sur mon ventre. Je n'en peux plus, je me mets à gicler à tout va. Il s'agite encore il éclate dans mon cul, je sens le jus chaud qui m'envahit. "Putain quel pied!" je pense. Il se retire doucement. Je me demande comment je vais pouvoir marcher après ça. sans que ça se voie. J'ai envie de rester là dans cette position, le trou offert. Il a sans doute récupéré très vite parce que je le sens qui se remet en position et qui s'enfonce de nouveau. Cette fois-ci c'est facile, il n'a pas besoin de faire d'effort, c'est moi qui gémis maintenant, il me fouille avec sa queue, je me remets à bander, je découvre avec délices qu'il y a un point critique dans moi qui me fait entrer en transe quand il le touche de son gland. J'ai l'impression que ma bite est le prolongement de la sienne à travers mon cul, je nage en plein délire quoi !  C'est plus long à venir la deuxième fois, ça dure et je ne veux pas que ça s'arrête. Je le sens qui vient, il pousse un cri rauque quand il se met à juter, je ne veux pas perdre cet instant, je me branle et gicle tout partout. À ce moment-là je réalisais que j'avais pris un plaisir immense à me faire enculer. Les traces de mon sperme sur mon ventre et sur le sac de couchage le prouvent.

Ça a continué jusqu'à la fin du camp. Les terminaisons nerveuses de mon anus et mon rectum attendaient la visitede sa verge avec une impatience qui me prenait aux tripes. J'étais à lui...autant que son plaisir dépendait de moi.  Une fois, il s'est assis et m'a fait asseoir sur lui de dos, il m'avait bien préparé comme d'habitude, je me suis empalé sur sa bite. Pendant que je le branlais avec mon cul, il me branlait de sa main si experte. On en a fait plein comme ça.

 Le camp a fini, nous sommes repartis dans la même voiture, une dernière pipe à mon "confesseur" sur le trajet de retour avant de se quitter.

L'expérience du rejet :

J'avais bien senti qu'on me tenait un peu à l'écart. On me faisait des réflexions ironiques et pleines de sous-entendus. L'un d'eux, plus envieux que méprisant, a fini par me dire que personne n'avait été dupe. Le père François était connu pour son amour pour les jeunes éphèbes et que j'avais été la proie idéale. D'autres y étaient passés avant moi, tout le monde était allé à la "confesse" au moins une fois et tous les ans, au camp d'été, il avait une "ordonnance" qui s'occupait de lui au propre et au figuré.

Je ne sais plus ce qui a été le plus fort: le dépit, la jalousie ou la colère d'avoir été tout ce temps là la risée des autres. Ma conviction religieuse a été brisée à jamais. Je n'ai plus revu ni les scouts ni les pères franciscains. En contrepartie, les séances de branlettes avec les copains se sont transformées en séances de suçage de queues et enculage à la chaîne. Je profitais de ce que j'avais appris à la "confesse". Je savais que mes copains n'avoueraient jamais que je leur taillais des pipes ou qu'ils m'enculaient sous peine de mourir de honte. Il y en a quand même qui se sont révélés et avec qui... mais, comme disait Kipling, ceci est une autre histoire.

 

 

Hummmh 

frémir comme autrefois à l'approche de notre initiateur...

 

 

 

 

 

Présence  des scouts dans les gay prides  pour l'admission des scouts gays.

Members of the Boys Scouts of America and some of their families marched Sunday in Salt Lake City's Utah Pride parade.

 

il a fondé une asociation aux USA

Eagle Scout Zach Wahls of Iowa City, Iowa, founded Scouts for Equality. David Manning / Reuters

 

Scouting for All Rainbow Patch donnez-moi un badge arc-en-ciel "king size", à moi !

 

Droit à l'humour : extrait du très sérieux Nouvel Observateur 

 Le père Benedict Groeschel lors d'une cérémonie en 2011 (DR)

 

Un prêtre américain a déclenché un tollé en affirmant, dans une interview donnée à un journal catholique, que certains enfants "séduisent" les pédophiles et que ces derniers ne sont pas forcément des criminels.

Haute figure du diocèse de New York, par ailleurs diplômé en psychologie, le père franciscain Benedict Groeschel s’exprimait, le 27 août dernier, sur le site du très sérieux "National Catholic Register" sur le cas de Jerry Sandusky, un entraîneur de football américain condamné cet été pour pédophilie. iLN'Y A QUE LUI QUI LE VOIT COMME CA ! ¤

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 18 septembre 3 18 /09 /Sep 14:15

Récit  moi c'est Aurélien. je vous ferai connaître mes aventures.Si vous êtes un accroc' du cul vous allez aimer...

Saint-Germain, mercredi 22 août, 14h

 

Après toutes ces aventures avec le "Groupe" et les séances de baises plus ou moins forcées des dernières semaines, j'ai besoin de repos et de récupération. Cela fait deux jours que je suis rentré d’Amsterdam et Malmö, et j’ai toujours le cul endolori. Il est vrai que la dernière séance de perfectionnement avec Dom a été terrible, j’ai joui comme un fou quand pour la première fois en plus de sa queue j’ai pris son poing dans un fist profond. Chaude nuit !   Mais la belle journée qui s’amorce me redonne envie de sortir et de faire des rencontres. Je prends ma voiture et je me dirige sans trop réfléchir vers la piscine de Saint Germain, qui a l'avantage d'avoir un parc pour améliorer mon bronzage. J'ai mis mon boxer de bain noir très moule-burnes qui met en avant mon paquet et me fait un cul d'enfer, on ne sait jamais!

Je fais tout d'abord quelques longueurs de bassins au milieu des gamins qui s'éclaboussent, mais le chlore de la piscine m'irrite un peu la rondelle toujours gonflée et en feu après le traitement qu'elle a subi. Je préfère sortir du bassin et m'étendre sur une serviette pour une séance au chaud soleil de cette fin août. Je regarde les petits mecs chahuter, je somnole. C'est toujours l'occasion de gestes appuyés et de pelotages discrets et il y a là de beaux minets que j'imagine à la place de "Adrien" se faisant défoncer à longueur de journée sur le bord d’une piscine par la famille de l’émir et "Bruno" offrant sa rondelle dilatée dans un club SM suédois. Un de ces jeunes attire mon attention, il porte un petit slip australien en nylon rouge, pas très moulant mais chaque mouvement met en valeur son paquet. Sans trop m'en apercevoir j'ai la queue qui gonfle à la vue de ce sexe qui bouge sous le nylon. Sentant la barre venir, je m'allonge sur le ventre afin de rester discret. Mais la scène n'a pas échappé à un autre jeune mec qui me regarde fixement, un sourire en coin.

Très bien foutu ce jeune mec: 18 ans, presque 1m80, blond foncé assez court, un visage avenant avec de belles lèvres, un sourire assez ravageur et des yeux bleus qui respirent le vice et le sexe. Son corps est assez fin mais musclé et bien proportionné, un petit slip "Aréna" bleu clair moule un équipement de niveau correct, il a surtout un petit cul bombé de toute beauté, de belles jambes longues et légèrement poilues, et sur tout le corps un duvet léger blond sur une peau halée, il a des épaules assez larges, des pecs et des abdos bien dessinés. Une fine ligne de poils part du nombril vers le slip. Sûrement un sportif. Il part, je le regarde s'éloigner, le cul est vraiment beau, bien bombé. Je peux voir les muscles jouer sous le slip tendu. Ce petit mec pue le sexe et il a un cul fait pour le désir des mecs même s’il ne le sait pas encore! Finalement ça fait un certain temps que je ne me suis pas fait un petit cul bien serré... Il est temps de repasser à l’attaque car avec le «Groupe», je suis essentiellement un cul à leur disposition!

Le jeune mec revient quelques minutes plus tard, une serviette à la main qu'il étale précautionneusement à côté de moi. Mais j'ai comme l'impression qu'il me drague ce minet ! Son paquet semble avoir pris un peu de volume. Il se couche sur le ventre, comme moi. Son cul arrondi semble ferme, très ferme. Il me sourit, belles dents blanches, je vois un duvet plus foncé sur ses lèvres et quelques poils mal rasés sur son visage.

— Tu viens souvent ici? Tu es drôlement bien bronzé malgré le temps gris !

Pas très original mais à 17 ou 18 ans, on n'est pas un as de la drague ! Toutefois il a une belle voix grave et sa pomme d'Adam très marquée bouge à chaque parole. Un vrai petit mec ! Je ne vais quand même pas lui parler d'Amsterdam et d'une certaine école où j’ai pu faire des séances d’UV ou des opérations du «Groupe» ! Même si je le verrais assez bien dans le garage d’Ivry avec son petit cul musclé défoncé par un gode monstrueux.

— Non je viens rarement, j'ai fait un peu de lampe UV en bronzage intégral.

Son visage s'est contracté à l'idée du bronzage intégral, il n'a sans doute jamais fait de naturisme mais comprend sans doute que je n’ai pas peur de grand chose. Je le dévisage toujours: de beaux yeux bleus rieurs, des cheveux clairs avec des mèches plus blondes un peu en pétard. Quand il se redresse, je vois des tétons fins sur ses pecs bien dessinés. Peu à peu la piscine se vide. Je le questionne:

— Tu fais du sport? T’es plutôt bien foutu!

— Moins maintenant, j’ai moins le temps mais j'ai fait beaucoup de gym au sol, je n'aime pas trop les agrès sauf les parallèles. Et toi?

— Je fais toujours pas mal d’aviron. Tu n'as pas envie de prendre un verre avec moi? On pourra parler de sport. Tu fais quoi ce soir?

— Pas grand chose, mes parents sont partis pour 15 jours en vacances, tous mes copains sont sur les routes, je devais partir avec ma copine pour une semaine fin août mais elle a décroché un job d'été en Bretagne jusqu'à la rentrée. Je suis seul et sans fric pour les vacances car mon job d'été s'est évanoui...

— Tu es encore au lycée?

— Oui j'ai terminé ma première "ES" et je rentre en terminale à la rentrée.

— Tu veux encore faire des longueurs avant d'aller prendre le verre?

— Oui! Ça va me faire du bien.

Saint-Germain, mercredi 22 août, 17h

Je lui caresse les jambes en me relevant et lui pose une main un peu appuyée sur les fesses. Il ne réagit pas mais sourit toujours. Il a peut-être une petite copine mais il n’y a pas de problème, c’est un plan qui roule. Je vais tôt ou tard me plonger entre ses fesses, j’en suis maintenant sûr! Nous plongeons ensembles et faisons quelques longueurs, il se révèle meilleur nageur que moi, il a des bras plus puissants que je ne le pensais. Il m'attend au bord près d'un plot, j'arrive, je me colle à lui. Je pose ma main sur son paquet et je le caresse, il ne recule pas au contraire et je sens sa bite gonfler, mon autre main passe derrière pour flatter sa croupe rebondie, je rentrerais bien ma main dans son slip pour vérifier sa souplesse anale mais il y a encore trop de monde. J'arrête de toute façon car je commence aussi à bander. Le temps se rafraîchit un peu, nous restons dans l'eau qui reste plus chaude. Le public se raréfiant, je me rapproche de lui et glisse à nouveau une main sur ses fesses. Il me sourit. Je rentre la main dans le slip et glisse un doigt explorateur vers son trou. Je lui caresse la rondelle. Il écarte les cuisses. Il en veut ce petit mec mais je le crois encore puceau du cul car il ne sait pas s’offrir à la caresse de mon doigt. Nous sortons de l'eau et revenons aux serviettes. C'est le moment de passer à l'action, ce mec crève visiblement d'envie de sexe:

— Tu viens chez moi? J'ai un très bon whisky irlandais et deux ou trois autres choses que tu devrais apprécier. Je suis garé à la sortie de la piscine et je n'habite pas très loin, à Levallois.

— Oui, on peut passer la soirée ensemble si tu veux. Je n’ai rien de prévu et je suis prêt à essayer des choses...

— Tu vas en essayer... Tu t’appelles?

— Benoît.

— Et moi Aurélien. J’ai très envie de te faire découvrir des choses!

Bingo! Son sourire entendu montre qu’il a parfaitement compris ce que je lui propose pour la soirée. Nous passons par les vestiaires et sortons de la piscine. Il porte un 501 noir très moulant qui le met très bien en valeur et un sweat blanc à capuche au logo de son lycée. Il est à croquer sur place mais il est préférable d'attendre. La voiture est garée très près de la sortie. À peine assis, je ne peux résister et je pose la main sur son genou au moment où il pensait que j'allais démarrer. Il ne dit rien et je remonte plus haut vers la braguette du jean ou je sens une queue de belle allure très tendue et dure comme du bois. Ce petit mec veut du sexe et il est très chaud. Il tente aussi une approche et me pelote le genou mais je démarre, ce n'est pas le moment de prendre des risques car des jeunes arrivent. Trente minutes plus tard je mets la clé dans la porte de mon petit studio d'étudiant.

Levallois, mercredi 22 août, 19h30

— Mets-toi à l'aise, il fait chaud ici!

Il retire son sweat sans attendre et apparaît dans son t-shirt lycra blanc hyper moulant: Je lui caresse les abdos bien durs, bien marqués puis passe à la pointe des seins, proéminente, et au torse, bien développé. Tout cela est ferme, bien dur. Benoît se laisse faire et ne prend aucune initiative. Ma bouche s'approche de la sienne, il me livre ses lèvres. J'essaie de me contrôler et de ne pas aller trop vite. Il ne faut pas le brusquer si je veux aller jusqu’au bout de mes désirs. Ma langue le pénètre profondément prémices de son prochain enculage. Je lui sers un grand verre de whisky, la dose à assommer un bœuf. Je suis plus raisonnable pour moi.

— Tu as quel âge?

— 18 depuis deux mois.

— Tu as une petite amie? Tu n'es plus puceau?

— Oui depuis deux ans exactement et on baise depuis un an, mais enfin, elle m'a sucé tout de suite!

— Tu l'aimes?

— Je bande toujours pour elle, mais je ne trouve plus cela aussi génial qu'avant. C'est mécanique... Et pour moi il y a encore des dépucelages à faire...

J'aurai préféré un mec moins bi et moins actif, mais il faut faire avec ce que l'on a et ce que j'ai sous ma main fait partie du premier choix. Toutefois même actif il semble disposé à se laisser faire. Je retire mes chaussures et mon dockers et me retrouve en boxer noir, je lui dis d'en faire autant et que je ne le mangerai pas. Enfin pas tout de suite... Il le fait sans problème. Il ne garde que son petit slip de bain bleu: sa bite tendue barre tout le slip et le gland décolle la ceinture de son ventre. Il tente de le cacher avec sa main puis retire sa main et me regardant droit dans les yeux en souriant. Il est prêt à me donner son corps jusqu’à ses recoins les plus secrets. Je lui reprends les lèvres et nos langues se mélangent. Je glisse une main dans son slip en lui caressant les fesses, je descends un doigt jusqu’à sa rondelle. Il se recule dans un premier temps puis ne résiste pas et pour la première fois me donne l’autorisation de l’explorer plus intimement. Il a envie mais il est très serré...

— Pourquoi as-tu accepté de venir chez moi, tu sais pourtant que je vais te pervertir? Te faire perdre tes derniers pucelages et pénétrer ton petit cul?

— J'ai tout de suite été attiré par ton corps imberbe et bronzé, j'ai senti que tu étais très cool et tu regardais mon cul avec une telle attention que je ne pouvais pas me tromper. Je n'ai jamais rien fait avec un mec sauf mes concours de branlette en colo ! Et ça fait très longtemps que j’ai envie de tout essayer mais avec un jeune mec expérimenté. Je n’ai pas essayé avec des copains même si j’en avais très envie, avec un en particulier, super bien foutu,mais on se connaît, tu comprends ?  

— Je vois.Je ne suis pas très expérimenté, bronzé ou épilé depuis longtemps. Je t'expliquerai. Tu fumes?

Je lui tends une cigarette, l'allume et m'assois à côté de lui, je ne vais quand même pas lui parler du "Groupe" pour le faire fuir, de parties multiples plus ou moins forcées ou de mise à l’abattage de minets plus ou moins consentants. Il faut y aller en douceur, il est prêt de succomber, l'alcool aidant, je vais bientôt pouvoir l'utiliser sans problème car je suis sûr qu’il a envie de se donner totalement. Son regard flotte un peu dans le vide au bout de quelques instants, il n'est pas habitué à l’alcool et on sent chez lui à la fois de la bonne éducation et un goût pour le sexe que rien ne peut arrêter. Je vais y aller en douceur mais à fond.

— Tu t'es déjà fait masser à l'huile après le sport?

— Oui! Après une compet' assez souvent il y avait un masseur dans l'équipe.

— J'ai une huile de détente que j'utilise depuis peu. Elle est étonnante. Tu veux essayer?

— Pourquoi pas, ça fait longtemps que l'on ne m'a pas massé.

— Viens t'allonger sur le lit, mets-toi sur le ventre.

Il a vraiment un cul à damner des saints. L'"Aréna" léger met en évidence une raie qui sépare deux globes fermes et ronds. Je commence un massage très ferme des épaules, du cou, des biceps assez volumineux pour son âge, des cuisses, puis, je m'attaque à son dos et plonge peu à peu mes doigts sous le slip, je descends l'"Aréna" bleu au bas de ses fesses. Il se laisse faire, je m'empare de ses globes durs, je remets un peu d'huile et glisse un doigt le long de la raie. Mon doigt s'attarde sur sa rondelle serrée, j'insiste. Il se détend et s’ouvre. Mon doigt le pénètre doucement, je le sors et recaresse la rondelle d’un geste circulaire. Il va se laisser faire sans problème si j'y vais lentement. Un deuxième doigt rejoint le premier, ça rentre facilement, il se détend. J'ai vraiment envie de sa virginité et il a envie de ma la donner.

— Retourne-toi!

— C'est vachement bon ce que tu me fais.

— Il y a meilleur encore, tu sais! Tu as envie d'apprendre?

— Oui, avec toi je me sens bien. Et je sais ce que tu veux me faire. Tu peux me prendre le cul si tu veux, j’ai envie de savoir ce que ça fait.

Il se relève en se retournant. Sa main essaie à nouveau de cacher son érection, je lui retire la main et caresse la barre qui déforme le devant du slip avec un gland circoncis qui sort sur le côté droit. Très bien membré ce petit mec, sans doute 18, épais et au bord de l'explosion. Il va falloir l'empêcher de jouir! Je le fais se rallonger sur le dos et reprends mon massage, je lui masse les pecs en insistant sur la pointe des tétons, que j'étire et pince, les abdos bien durs. C'est un vrai petit mâle qui se donne totalement à mes mains insistantes qui s'approchent progressivement du slip. Je le baisse d'un coup et le jette au loin, la queue se redresse brusquement, c'est vraiment un beau morceau épais et long pour son âge. 18++ - brun - Q++ - K++ comme on dirait au "Groupe". Il est couvert de longs poils blonds sur le pubis, je lui caresse les couilles, les empoigne, les masse, les étire car elles sont grosses et serrées sur la base de la queue, j'évite de lui toucher la bite et lui interdit des mains de le faire. Je reprends un peu le massage. Si je veux arriver rapidement à mes fins, il faut qu'il se retourne à nouveau. Il le fait sur un simple geste. Je le positionne: épaule et tête contre le matelas, cul en l'air, jambes écartées, dans cette position la queue pend vers le bas et reste accessible, le trou du cul est bien visible, le bronzage laisse un cul blanc couvert d'un duvet blond qui s'intensifie vers la raie et la base de la bite.

La raie est nettement poilue. Je pense que je vais bientôt lui retirer ces poils superflus. Je glisse ma langue en haut de sa raie, descend doucement vers la rondelle. Ma langue s'y accroche, le cul est très fermé, il va y avoir du travail. Je rentre peu à peu la langue à l'intérieur. J’écarte un peu son trou avec mes doigts pour faciliter le passage de la langue. J’y vais à fond et il me donne son cul. Je sens sa queue s'agiter, il jouit plusieurs fois sans se toucher: catastrophe! Mais il me montre, pour le moins, qu'il est très anal. Il s'effondre sur le matelas, je le caresse, il sourit aux anges. Il va falloir une heure de pause avant de recommencer.

— Tu es réellement puceau du cul? Parce que visiblement tu aimes qu’on te travaille doucement la rondelle.

— Du cul, oui, c’est la première fois que je fais ça! J'ai baisé avec deux filles en dehors de ma copine, la première fois il y a 2 ans. J'ai branlé des potes mais c'est tout. Mais j’ai déjà enculé ma copine, j’ai bien aimé la sensation.

— Tu as envie de connaître une vraie jouissance? Celle que l'on ressent au fond du cul? Ne t'inquiète de rien, je serai très doux avec ton cul. J’ai envie que tu aimes me donner ton cul à fond!

— Oui! Tu m'as bien fait jouir à l'instant et je te fais confiance. J'ai vraiment envie de jouir du cul, un copain m'a dit que c'était géant.

— Tu as des copains bien dessalés! Un autre whisky?

— Oui! Ça fait du bien de planer un peu!

— Tu sais que tu as un superbe cul?

— Ma copine me le dit souvent, j'ai bien vu à la piscine que les mecs le regardaient. Et mon copain qui s'est fait enculer m'a dit que si je voulais essayer, je trouverai facilement, qu'il connaissait des types qui auraient envie de m'apprendre. Mais j'ai eu la trouille, il traîne avec des mecs de trente ans un rien loubards. J’ai eu peur d’être forcé par plusieurs mecs dans une partouze.

Il rougit en disant cela, mais sa queue se redresse un peu et parle pour lui. Finalement il devait en avoir envie de se faire déflorer à la chaîne... Pour ma part je suis resté en boxer bien moulant. Il me fixe la queue, bien visible, bien raide. Je sors une vidéo US avec de jeunes mecs californiens bronzés, épilés, musclés qui baisent autour d'une piscine. Il n'avait jamais vu cela et regarde l'écran avec avidité. Je laisse la vidéo tourner, rien de tel que de montrer des enculages faciles en gros plan à un jeune mec qui va donner son cul pour la première fois car cela ne sera sûrement pas aussi facile. Je retire mon boxer, je bande, il regarde mon pubis lisse.

— Tu te rases la bite et les couilles?

— Oui! Je t'expliquerai plus tard. On reprend où on en était resté, ça te dirait que je prenne une photo de ton cul encore vierge?

— T’es un vicieux toi! Mais pourquoi pas.

Je prends mon appareil photo numérique et il se remet tout seul en position. Je prends plusieurs photos de son trou serré puis je reprends mon travail d’ouverture. Ma langue a, cette fois-ci, pour but de le dilater et vite car sinon c'est moi qui vais jouir droit devant. La langue rentre facilement, il a confiance, je glisse un doigt et vais chercher un petit tube de gel silicone donné par Yann. Je lui entre deux doigts sans difficulté. Il se trémousse. Je le calme du plat de la main. Je sens l'anus se serrer et se desserrer, nerveusement. Je lui fais renifler du poppers tout en lui malaxant la rondelle au gel silicone. Je lui remets deux doigts profonds, puis essaie d'ajouter un doigt de l'autre main tout en écartant les fesses au maximum. Je parviens à mettre encore un autre doigt. Il se dilate parfaitement, se laisse faire, ne résiste plus, il a de belles capacités anales. Assez joué les romantiques!

— Pousse! Laisse-toi aller! Donne-moi ton cul!

— Oui!

— Tu vas te faire dépuceler, Benoît.

— Laisse-moi toucher ta queue.

Levallois, mercredi 22 août, 21h

Il se redresse, tend sa main et me branle doucement, je lui rends la pareille, il tend sa bouche et me suce maladroitement. Je préfère l'arrêter, il a besoin de cours de perfectionnement, c'est sa première queue. Je l'allonge sur le dos et fait reposer ses chevilles sur mes épaules. Ma bite est face à son cul. Je me penche et je lui avale la bite, en faisant attention qu'il ne jouisse pas.

— Ouvre-toi, donne-toi, Benoît!

Je lui tends le poppers, il en prend une grande ration, mon gland posé sur sa rosette pénètre d'un centimètre, je mets un petit peu du gel silicone sur mon gland, je lui pince fortement les seins pour lui faire mal au moment de la pénétration. Fini de rire, je plonge en lui sans ménagement. Il pousse un cri bref et aigu. Mon gland est passé et ma queue s'enfonce lentement sans rencontrer de résistance, je le possède à fond, il prend toute ma longueur. Le petit Benoît avait une grande envie de connaître tout ça. Je lui interdis de se branler et reste quelques instants sans bouger, je sens son cul pulser autour de ma queue, à chaque fois qu'il se contracte involontairement, il desserre de lui-même, il a compris qu'il aurait ainsi moins mal. Je me retire complètement, il semble pousser un soupir de regret.

— Ce n'est pas fini Benoît, rassure-toi, décontracte-toi bien et tu vas prendre ton plaisir.

Je le pénètre d'un mouvement régulier et lent, il prend toute ma bite sans bouger. Je le lime en lui pinçant ses tétons. Benoît a les yeux dans le vague et semble très loin. Il aime la sodomie, sa première sodomie. Je le lime de plus en plus fort, mes couilles rebondissent sur son cul, il est bien dilaté ça glisse tout seul. Je lui défonce le cul sans ménagement et il résiste bien. Je vais jouir, ma main s'empare de sa queue, il jouit à nouveau et je décharge en lui. Je me retire avec précaution, il ne faut pas l'abîmer. On s'effondre sur le lit, je l'embrasse et l'enlace, ma main se place sur son cul, un doigt sur le trou qui vient d'être dépucelé.

— Super! Belle inauguration de ton cul! Tu sais que tu as un trou d'enfer et que pour ton premier enculage, tu as la résistance d'un pro?

— En tout cas j'ai vraiment aimé, j'ai eu mal au départ mais ça n'a pas duré. Peu à peu j'ai vraiment décollé.

— Ton cul a bien tenu, tu as la rosette soyeuse et gonflée comme les lèvres d'une fille! N'essaie pas de te refermer pour l'instant.

— Je n'ai jamais autant joui avec ma copine! Tu peux prendre une autre photo maintenant?

— Bien sur, pousse un peu sur ton cul pour que l’on voie bien l’ouverture.

Son petit cul est de toute beauté, je le mitraille en ciblant bien sur l’ouverture rose et gonflée. Puis je lui caresse longuement la rondelle le temps qu’elle se referme. Une heure plus tard, une douche et une petite vidéo en plus, Benoît a encore des idées dans la tête. Il s'allonge sur moi, me mordille les seins, puis descend vers ma queue qu'il embouche avec soin. Il s’y prend mieux que tout à l’heure. Puis il me suce les couilles l'une après l'autre et tente de mettre les deux dans sa bouche mais il n'y arrive pas. Il reprend sa pipe, ce n'est pas encore un grand suceur! Mais puisqu'il veut connaître la vie, je lui empoigne la tête par les oreilles et l'oblige à descendre plus bas sur la queue. Il étouffe. Je relâche la pression mais je cale son crâne contre le mur et le tiens bien. J'enfonce ma bite et lui pilonne la bouche, ses lèvres se retroussent, il a des larmes aux yeux mais il tient bon. Je jouis brutalement dans le fond de sa gorge, puis l'embrasse pour qu'on partage le sperme. Deux dépucelages: son cul, sa bouche en une heure, à ce rythme là je vais en faire une petite salope et j’en connais que ça intéresserait!   Le problème est qu'il bande dur, très dur même, il se caresse en me regardant. Il sourit:

— Tu veux bien me donner ton cul? J'en rêve depuis que je t'ai vu allongé à la piscine, je n’ai jamais baisé un mec.

— Je m'étais promis de laisser mon cul en repos quelque temps, mais tu le demandes si gentiment ! Et j'ai bien vu que tu en avais envie.

Je me mets sur le dos et pose mes pieds sur ses épaules. Ses doigts explorent mes lèvres anales encore dilatées des fists subis, il se branle très fort et pénètre d'un coup sans préparation. Sa queue n'est pas celle de Dom mais tout de même, je pousse un "Oh!" de surprise devant la violence de l'attaque. Il baise avec énergie et jouit au bout d'une minute.

— J'espère que tu baises mieux ta copine! Tu es un vrai lapin!

— Tu m'excites tellement que je n'ai pas pu me retenir mais on recommencera!

Il vient se blottir contre moi, j'ai bien compris qu'il voulait passer la nuit ici et sans doute quelques jours. Je remets mon boxer noir, il remet son maillot bleu et on va se préparer quelque chose dans la cuisine. On parle de ce qu'il veut faire, du fait qu'il veut s'acheter une petite moto d'occasion pour ses 18 ans mais que ses parents ne sont pas d'accord et qu'il n'a pas l'argent à cause de ce job d'été qui lui est passé sous le nez. Après ce repas rapide, je lui dis d'aller m'attendre sur le lit. Quand j'arrive une dizaine de minutes plus tard, il dort, épuisé par l'effort. Je vais le laisser tranquille pour ce soir.

à suivre si on est d'accord

 

 

 

"It’s comin dude—keep your tongue out" :) 

 

 

 

 

 

Q

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 24 août 6 24 /08 /Août 05:26

RECITS FICTIONS FANTASMES... (53) le sperme lui monte à la gorge  rien ne remplacera jamais la générosité d'un père

   glucotoby: open ass, ready for more fun

— Arrête... !

— ...

— Arrête, Romain... !

— ...

— Romain, arrête, je te dis.. !!

— Pourquoi ? T'aimes pas çà, Bébé... ?

Profitant sans vergogne de la promiscuité de l'endroit et de la chaleur de ce jour d'été qui avait conduit le jeune Cédric Lemouillé à préférer un short plutôt que des pantalons longs, Romain caressait d'un doigt de plus en plus inquisiteur le petit trou du garçon. Sur la ligne 9 du métro parisien. A six heures du soir. Sous la pression insistante du majeur de Romain, les lèvres s'entre-ouvraient complaisamment et, déjà, la réaction ne se faisait pas attendre. Cédric mouillait. Abondamment. Romain, fidèle à sa coutumière délicatesse, ne se priva de le faire savoir au garçon, ainsi qu'à la plupart des voyageurs qui les entouraient.

— Pourtant... t'es tout mouillé, Bébé... !

Un vieux monsieur, tout près d'eux, leur décocha un regard furieux.

— Si, je t'assure... t'es tout mouillé ! Tiens, regarde !

Romain brandissait à présent son majeur sous le nez de Cédric, dont les joues, déjà enflammées par l'excitation grandissante, prirent soudain la teinte des tomates bien mûres. Romain porta son doigt à la bouche, puis, après l'avoir sucé avec des mines gourmandes, entreprit de le remettre en place, dans le trou brûlant de Cédric, sous son short. Quittant une station, le train venait de redémarrer. Pour en couvrir le vacarme, Romain crût bon de hausser le ton.

— Me dis pas que t'aimes pas çà... çà rentre tout seul !

Cedric, en effet, malgré lui, se cambrait. Le doigt épais de Romain était tout entier en lui et, quand il se mit à le faire bouger d'avant en arrière, Cédric sût qu'il était perdu.

— Tu viens chez moi, Bébé ? Mes vieux sont pas là, ce soir... !

— Non, je...

— Me dis pas que t'as pas envie... tu mouilles, je te dis... !

Le vieux monsieur près d'eux s'étranglait de rage.

— C'est pas çà, je... c'est vendredi et mon père... Cédric se mordit les joues.

— Viens, tu sais que j'en ai une grosse... je te la mettrai bien profond dans la chatte, comme tu aimes... !

— Non, je... Cédric fit de son mieux pour ne pas donner la satisfaction à ce paon vaniteux de Romain de savoir qu'il l'avait fait jouir, là, debout dans ce wagon de métro bondé. Il venait pourtant de mouiller son short. Romain, bien sûr, s'en aperçût.

— Tu vois ? Tu vois ? Tu as joui... juste avec mon doigt ! Tu vas voir comment je vais te faire jouir, quand je vais te la...

— Vous ne pourriez pas aller faire çà chez vous, espèce de... de.. petits pervers !

— Ben... c'est lui qui veut pas... !

Le train parvenait à un autre arrêt. Il restait à Cédric deux stations avant son arrêt. Tant pis. Il descendit. Il finirait à pied. Quel con, ce Romain. Tout çà parce qu'il avait dix-neuf ans... il s'imaginait qu'il n'avait qu'à claquer des doigts pour que Cédric... Romain et ses "Bébé", ses plaisanteries débiles : "Cédric, si tu sais comment le prendre, c'est un très gentil garçon. Ce qu'il préfère, c'est à 4 pattes !" Ah, ah... et encore... "Cédric, faut te méfier : tu lui donnes un doigt, il te prends la main. Jusqu'au coude !" Ah, ah... Lui est ses copains avaient fermement établi la réputation de Cédric au collège, mais tant pis. C'était le prix à payer. Mais le pire était qu'il avait raison, ce con de Romain. Juste à claquer des doigts.

— Bon... on se voit mercredi, comme d'hab ? Y'aura Simon, aussi... t'aimes bien quand il y a Simon, aussi, hein... ?

Cédric ne se retourna pas. Romain criait assez fort pour que la moitié au moins du wagon l'entendit. Avant que les portes ne se referment, Cédric pût encore l'entendre ajouter...

— C'est dommage... tu sais pas ce que tu perds, Bébé... j'ai une de ces triques, putain !

Le pire de tout était que ce con de Romain avait raison. Cédric en mourait d'envie. Romain, à 19 ans, était monté comme un âne, même s'il était aussi con. Romain baisait bien. Romain était tout le temps prêt à baiser et çà faisait parfaitement l'affaire de Cédric, qui, lui, avait tout le temps envie de se faire baiser. Ca en devenait presque effrayant, mais depuis deux ans maintenant, depuis ses 14 ans, Cédric ne pensait qu'à çà. C'était devenu une obsession. Se faire baiser. Fourrer. Remplir. Enculer.

T'aimes çà, hein... te faire enculer ? lui répètait souvent Romain avec beaucoup de poésie. Il lui avait posé la question un bon millier de fois, depuis ce jour où il avait utilisé la phrase pour l'aborder dans les vestiaires du gymnase. Il le lui demandait souvent, en tous lieux, pour le plaisir de recevoir l'acquiescement, pourtant souvent muet, de Cédric. Il le lui demandait aussi souvent au moment le plus inutile, lorsqu'il avait sa bite énorme fichée au fond du petit trou en feu de Cédric.

Oui, Cédric aimait se faire enculer.

Il ne pouvait même pas prétendre qu'il n'aimait pas qu'on le lui demande. La honte même qui s'emparait de lui lorsqu'il devait avouer que, oui, il aimait se faire enculer, lui était délicieuse. T'aimes çà, hein... te faire enculer ? Cédric rougissait, baissait les yeux et, docilement, tendait ses fesses, offrait son cul. C'était si bon. Quelques minutes - ou quelques heures - plus tard, quand son baiseur, tout prêt alors de se vider en lui, lui posait à nouveau la même question, sur un ton qui n'avait plus rien d'interrogateur cette fois... T'aimes çà, hein... t'aimes çà, te faire enculer ? Cédric ne manquait jamais de jouir une fois de plus, même si, comme il est normal à 16 ans, il avait déjà joui 3 ou 4 fois depuis que le garçon allait et venait en lui.

Cédric aimait se faire enculer, et c'était même ce qu'il aimait le mieux.

Heureusement, il y avait son père.

Comment expliquer cela à ce con de Romain ? Son père avait été le premier homme à fourrer une bite dont la taille ridiculisait la grosse queue de Romain dans son petit trou vierge et cela avait été un éblouissement pour Cédric. La pénétration, pour douloureuse qu'elle fût au début, avait transporté rapidement le jeune Cédric au Paradis des Enculés, dont il n'était jamais redescendu depuis. Son père était un baiseur extraordinaire, extraordinairement endurant, extraordinairement doué. Bien sûr, il y avait le fait qu'il était son père et cela était loin d'être étranger au plaisir de Cédric - oh, se faire enculer par son propre père, cela semblait si merveilleusement pervers au garçon... - mais quand même. François Lemouillé, le père de Cédric, était un mâle hors normes, comme on en rencontre peu et, même à son jeune âge, le garçon réalisait bien quelle était sa chance de se faire monter par un tel étalon. Tous les jours. Plusieurs fois.

Cédric, avec l'expérience survenue par la suite et les comparaisons qu'elle avait permises, avait pu mieux encore apprécier les talents paternels et la générosité avec laquelle ils étaient dispensés. Cette première nuit, alors que son père se retirait de lui, laissant s'écouler de sa chatte béante et soudain vide un abondant trop plein de sperme et que Cédric croyait ne jamais pouvoir atteindre plus grande extase, plus complète satisfaction, plus total bonheur que celui que son père venait de lui procurer, quelle n'avait pas été sa surprise de voir, après un bref passage à la salle de bains, son père lui revenir aussi raide et aussi monstrueusement énorme, pour le pénétrer mieux encore et plus longtemps. Le garçon avait hurlé de plaisir à chacun des coups de rein de son géniteur. Trois autres fois dans la nuit, son père l'avait baisé, pour finalement se vider en sa bouche au petit matin.

Depuis, l'ardeur de François Lemouillé pour son fils n'avait jamais faibli, pas plus que l'adoration de Cédric pour son père ne s'était démentie. En dépit des questions répétées de Romain - et de bien d'autres - se faire enculer, pour Cédric, c'était surtout et avant tout se faire enculer par son père. Celui-ci, bien sûr, connaissait tout des aventures de son fils et les approuvait sans retenue. Comment en vouloir à un aussi beau garçon que son fils d'attirer irrésistiblement tout ce qui porte des couilles alentour ? Aussi longtemps que Cédric s'allongeait avec empressement sous lui lorsqu'ils allaient au lit le soir, se faisait baiser avec enthousiasme une ou deux fois au cours de la nuit et, le plus souvent, lui offrait encore docilement sa chatte de garçon le matin avant qu'il ne parte au bureau, François Lemouillé n'y voyait rien à redire.

Ce con prétentieux de Romain avec sa grosse bite, pas plus que tous les autres, n'avaient pas besoin de savoir. Ils n'étaient que cela pour Cédric : des bites. Son père était son amant.

Or, aujourd'hui, on était vendredi et, le vendredi, François Lemouillé rentrait généralement tôt du bureau, ce qui lui donnait le temps de fourrer le monstrueux engin qui lui tenait lieu de queue une fois de plus entre les fesses du gamin. Cédric n'aurait voulu manquer çà pour rien au monde, et surtout pas pour un coup de bite de Romain. De retour à la maison, Cédric prit une douche, effaça toute trace de l'aventure du métro, lubrifia l'intérieur de son petit trou, un peu mais pas trop : il aimait bien sentir son père dans toute sa force et sa majesté, se brossa les dents avec soin et, nu, alla s'allonger dans le vaste lit qu'il partageait avec son père et qui abritait leurs ébats incestueux.

Bientôt, son portable, en sonnant, l'éveilla. Cédric s'était assoupi.

— Chéri, c'est moi...

— Papa...

— Mon amour, je vais être un peu en retard, je suis encore au bureau, mais j'arrive bientôt... !

— Papa... je t'attends, Papa...

— Je sais, mon chéri, mon amour... je sais... souffla François Lemouillé, la voix soudain rauque.

— Papa... viens vite... !

— J'arrive, mon amour... ne fais rien pour le dîner, hein ? Je t'emmène au restaurant... après !

Cédric entendit une voix d'homme s'exclamer derrière son père, sans doute un de ses collègues...

— Oh la la, dis-donc... çà va être chaud ce soir, on dirait ! Y'a de la baise dans l'air...

— Qu'est-ce que tu racontes, Franck... ? Tu penses vraiment qu'à çà... C'est mon fils... c'est Cédric... !

— C'est çà, oui ... c'est çà ! Je te crois, mon pote... Ben dis-donc, tu l'aimes beaucoup, beaucoup, hein, ton fils... !

— Oui, justement, mon vieux... Je l'aime beaucoup, beaucoup, mon Cédric, figure-toi... ! Cédric ? Tiens, je te passe Franck Chaudemanche un instant. C'est un collègue et cet idiot ne veut pas croire que c'est mon fiston que j'appelle...

— Allo ?

— Allô, oui....?

— Euh... c'est Franck Chaudemanche... vous... euh.... tu es...

— Bonjour Monsieur Chaudemanche... Franck... c'est Cédric. Papa rentre bientôt ? Vous avez bientôt fini, au bureau...?

— Euh, oui... euh...

— ... parce que j'ai hâte qu'il rentre ! Je l'attends !

— Ah ? Ben, euh... ne quittez pas, enfin, je veux dire... ne quitte pas, je te repasse... ton père !

— Non, non, c'est inutile. Dites-lui juste, s'il vous plait Franck que... j'ai très, très hâte qu'il soit là...

— Euh, oui...

— ... qu'il a fait chaud aujourd'hui... toute la journée... et que j'ai eu envie de... de le voir toute la journée... ! souffla Cédric.

— C'est ton fils... il... il dit qu'il a hâte que tu rentres... qu'il a été chaud aujourd'hui toute la journée et qu'il a eu envie de toi toute la j... euh... envie de te voir toute la journée et que...

Cédric raccrocha.

* * *

— Bonjour Madame... euh, Mademoiselle...

— Jeune homme...??

— Je m'appelle Cédric Lemouillé et je....

— Vous vouliez voir votre Papa ? Monsieur Lemouillé est en réunion. Si vous voulez vous asseoir et l'attendre...

— Oui, merci... euh, non... est-ce je pourrais voir Monsieur Chaudemanche, Monsieur Franck Chaudemanche... si c'est possible ?

— Je vais voir... Allô, Monsieur Chaudemanche ? C'est Sonia... j'ai le petit Lemouillé qui est là et qui... non, Cédric Lemouillé, le fils de Monsieur Lemouillé, qui voudrait... Non, je ne sais pas ce qu'il veut, Monsieur Chaudemanche. Oui... bon... oui, d'accord. Vous pouvez entrer, jeune homme...

* * *

— Euh... bonjour, euh... Cédric, c'est çà, hein ? On s'est, euh... vu au téléphone... l'autre jour, non ?

— Oui, c'est bien çà... bonjour Monsieur Chaudemanche... Franck.

— Qu'est-ce que je, euh...

— Et bien... j'étais venu voir mon père, mais il est en réunion et votre secrétaire m'a dit que çà vous ferait plaisir que je l'attende ici... avec vous... Franck !

— Elle... elle a dit çà ?

— Non, pas exactement, mais c'est ce que j'ai compris. Ca ne vous pas plaisir, Franck, qu'on attende Papa... ensemble ?

— Si, si bien sûr, mais euh...

— Vous êtes tout à fait comme je t'imaginais... Franck ! Je veux dire... avec la voix...

— Ah... oui ?

— Oui... grave, mâle, virile...

— Oui ? Euh...

— Chaude.

— ...

— Oui... chaude... comme quand... y'a de la baise dans l'air.... comme tu disais l'autre jour... quand on s'est vu au téléphone... Franck !

— Hein ? Qu'est-ce que... ?

— Tu trouves pas qu'il fait chaud, Franck ? Non ? Si ? On dirait vraiment qu'il y a de la baise dans l'air... tu trouves pas ?

— Mais je... qu'est-ce que tu... ma ceinture... !

— Ben dis-donc... y'en a des boutons... à ton pantalon... !

— Arrête... je suis pas.... écoute, non... !!

— Ah, la braguette, au moins, c'est une fermeture éclair... c'est plus facile... ! C'est pas grave, si on le laisse là sur la moquette, ton pantalon, Franck ? Elle a l'air très propre, la moquette de ton bureau... !

— Mais... écoute relève-toi... je ne sais pas ce que tu... mais je suis... marié, j'ai des gosses, moi... et je... non, arrête !

— Tu mets des caleçons ? Mon père aussi, il mets des caleçons. J'adore çà, les mecs qui mettent des caleçons... Je trouve çà viril !

— Ecoute... si ton père te... non... arrête... non, pas ici !

— Dis-donc, Franck... c'est vrai, ce que dit Papa ? C'est vrai que tu penses qu'à çà ? Fais voir ? Oh la la, Franck... dis-donc... elle est é-nor-me ! Ben tu vois, tu bandes déjà... et dur avec çà... !

— Je... c'est ma femme... elle attend notre deuxième... Ca fait des semaines qu'on n'a rien fait, alors je...

— Oui, oui, Franck, bien sûr... je comprends, bien sûr. Là... et comme çà, çà va mieux, Franck...?

— Oh putain... !

— ...

— Oh puuuuutaaaainnnnn !!

— ...

— Oooooohhhhhh putain de putain de putain !

— ...

— Quelle bouche... ! Tu suces bien, dis-donc... je veux dire... pour un garçon...! Putain... je le crois pas... doucement, doucement... ou bien je vais... Oh putain ! Oui, jusqu'aux couilles... jusqu'aux couilles ! Merde, c'est mon portable qui sonne...?

— Non, Franck, c'est le mien... Allô ? Oui... oui, tout va bien... et toi ? Oui, oui bien sûr... ne quitte pas, je te le passe, Papa ! Tiens, Franck, c'est Papa...

— Quoi ? Hein, mais qu'est-ce que tu veux que... hein ? Allô... oui, François... oui... écoute François, c'est pas ce que tu pourrais croire... ne va pas t'imaginer que, euh... je veux dire...

— Franck ?... Comment va, mon Francky ? Comment çà se passe ? Cédric est gentil avec toi ?

— Ecoute, François... c'est pas du tout ce que tu crois, c'est juste Cédric... ton fils qui, euh... passait par là et...

— Oui ?

— Et bien... il avait un problème avec un devoir de... d'anglais et, comme tu sais je... je m'occupe de l'international dans la boite, alors...

— Laisse tomber, Francky. Cédric a pris allemand en première langue. En parlant de langue, il était en train de te sucer, non... ?

— François, je t'assure... c'est lui qui... moi je voulais pas... c'est ma femme qui... !

— Laisse tomber, je te dis, Franck. Tu sais, Cédric, il suce jamais aussi bien que quand il se fait baiser. Une bite à chaque bout, c'est ce qu'il aime. Autrement dit, c'est quand on le défonce qu'il se défonce le mieux ! C'est chacun son truc, hein Francky ? Alors... dans ton intérêt, qu'est-ce que tu dirais si je le baisais pendant qu'il te suce, hein, Francky ? Tu vas voir, çà fait une différence, je t'assure... et puis, ne sois pas égoïste, Franck : penses au petit ! Et aussi à ton vieux pote François, hein...?

— François, écoute, je...

— Bon, et maintenant si tu disais à cette conne de Sonia qu'elle me laisse entrer dans ton bureau, hein, mon vieux Franck ? D'accord ?

— Oui, euh... si tu veux. D'accord, François... si tu crois... Allô ? Allô, c'est cette conne de Sonia ? Oh pardon, c'est Sonia ? Oui, euh... Sonia, s'il vous plait, faites pénétrer Monsieur Lemouillé dans mon bureau... je veux dire, faites entrer... oui, le petit Lemouillé l'attends... non le petit Lemouillé... oui, son fils... non, lui il est déjà entré, c'est pour le pénétrer... non Lemouillé, c'est son nom, Sonia... C'est vrai que vous êtes un peu conne par moments, Sonia, quand même... ! Ah et puis dites aux gens de la compta que je les verrai demain, hein ? Oui demain, même si c'est dimanche, Sonia.

* * *

— Ah oui, c'est vrai : tu l'avais jamais vu ? Et Cédric ne t'a pas prévenu ? Oui, je sais, la première fois, la taille surprend toujours. Après on s'habitue. Bon, fais comme si je n'étais pas là, mon pote... reprend où tu en étais... ! Cédric, mon grand, penche-toi un peu plus... là, comme çà. Regarde notre ami Franck... comme il t'attends ...

— Oh... oh... oooooohhh là, ohlaoahlaoahla... !

— Tranquille, Frankie, tranquille... !

— Putain... !

— Oui, Franck. Tranquille, je te dis... regarde moi... est-ce que je m'énerve, moi ?

— Oh putain !!

— Tu vois, un petit cul, çà se prépare, Franck. Tu le lèches... comme çà, bien, longtemps.... profond. Tu y mets tout ton coeur et aussi toute ta salive. Tu y mets la langue aussi loin que tu peux. Tu sens comme il aime çà ? Tu sens comme il te suce bien, encore mieux, tout d'un coup, Francky ?

— Putain, aucune gonzesse m'avait jamais sucé comme çà... merde !

— C'est parce que c'est un garçon, Franck, si tu avais pas remarqué...

— Suce... suce bien... !

— Tu colles bien ta bouche sur le trou, bien comme çà et puis... tu fais bouger ta langue à l'intérieur !

— Ah, ooooooh... putain de nom de Dieu de merde... !

— Francky, s'il te plait, ne jure pas comme çà devant un enfant !

— Putain, je sens que çà vient... !

— Cédric, mon pote Francky, qui manque à tous ses devoirs, ne t'avait encore rien offert à boire, je crois... Il va arranger çà tout de suite...

— Je jouis, je jouis... !

— C'est bien Franck... çà va aller mieux après, tu vas voir. Je vais la lui mettre bien comme il faut et puis on va pouvoir passer aux choses sérieuses, hein Francky ?

* * *

— J'étais très fier de toi, ce matin, au bureau, mon fiston, tu sais ?

— Oui Papa ?

— Il est gentil, mon pote Francky, non ? Un peu bourrin, mais gentil.

— Très gentil, Papa.

— Et comment c'était... je veux dire....

— C'était bien et... beaucoup, beaucoup, Papa...

— Oui, c'est sa femme. Ca faisait des semaines...

— Il m'a dit, oui, Papa... C'est son deuxième, non ?

— Oui, c'est un bon papa, ce Francky ! Et puis, tu sais, sa femme n'accouche pas avant trois mois, alors...

— Moi aussi, j'ai un bon Papa !


SVP donnez une note sur 5 à ce récit

ce récit est paru dans GayEros

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 23 août 5 23 /08 /Août 15:15

RECIT REEL ('43) témoignage en or  

 

J'ai vingt-huit ans. Depuis longtemps le sexe a toujours été ma grande préoccupation. J’ai connu ma première branlette avec mon parrain durant les grandes vacances, car j’étais chez ses parents. Le premier jour de mon arrivée, j’ai couché avec lui. Il a pris ma main, m’a fait toucher sa queue - énorme pour moi -, et me guida pour le mouvement de haut en bas. Quelle surprise! Cela sous les draps, mais lorsqu’il a découvert le lit, là j’ai vu! Vous imaginez mon étonnement. En peu de temps, j’ai reçu en plein visage son jet visqueux et chaud. Souvent je repense à cette première fois, et si tu savais, Jean, que quelque fois je me branle en y pensant.

Dernièrement, en vacances en Savoie, un soir je me suis décidé à aller draguer. Ne connaissant pas la ville, j’allais selon ma fantaisie. En peu de temps je trouve l’aire de drague. Après maintes déambulations, je me décide d’aborder un mec grand, bien, très distingué et d’allure jeune. À l'observer plus attentivement, je me rends compte qu’il a bien soixante balais. Nous bavardons, il est sympa.

Que faire et pourquoi pas? Pour une fois! J’accepte son invitation. Son appart’ est bien, plutôt confortable; il m’offre à boire et nous nous installons dans un grand canapé en cuir, face à la télé où il introduit un film X, après me l’avoir demandé. Je vois chez lui une grande délicatesse. Où suis-je tombé en fait? Que fais-je là? Le film m’excite, les gars sont beaux. Je bande. Sa main posée sur ma cuisse monte très lentement en une agréable caresse. Ses lèvres se joignent aux miennes et je réponds à son baiser chaud et profond. Sa main dégage mon sexe de sa prison. Il est dur comme de l’acier. Ses doigts parcourent mon corps. Tourneboulé de sensations, j’en tressaille des pieds à la tête. |e ne sais plus où nous en sommes. Je chavire pour cet homme expert en amour. Il quitte mes lèvres, prend mon chibre en bouche et c’est le délire! Je ne parviens à me contrôler qu’avec difficultés. Nous ôtons nos vêtements et, corps contre corps, cela devient merveilleux. La passion nous saisit.

Quelle douceur et sensibilité dans tous ses mouvement et toutes ses caresses! Ses doigts parviennent enfin à mon œillet qu’il masse très délicatement Un doigt me pénètre, deux, trois. Je me tortille et fais aller mon bassin d’avant en arrière pour mieux le sentir. C’est l’extase! Toujours en bouche, il me suce avec douceur; et sentir qu’il me branle le cul en même temps, je ne me retiens plus, c'est impossible et j’explose. Je jouis comme jamais. À nouveau il m’embrasse. Nos langues se cherchent, s’envoûtent, battent en duel. Progressivement, nos cœurs se calment, nous sommes bien. Lui, la queue raide et belle, cherche délicatement un nid pour se réfugier. J’accepte avec joie en remerciement du bonheur que j’ai reçu. Avec calme, prévenance, tout en tendresse, je sens la pénétration s’accomplir. C’est fait avec une telle douceur que le plaisir revient, et ma queue reprend vigueur. Le va-et-vient me procure une telle jouissance intérieure que je n’en peux plus. Nous sommes dominés l’un par l’autre. Nous ne sommes qu’un. Le mouvement ophidien de nos corps nous apporte le paradis sur un plateau d’argent. En quelques mouvements bien contrôlés, notre respiration au même rythme, nous crions, nous en hurlons. Quelle étreinte! Comme dans l’Amour vrai, à ce qu’on dit.

Nous restons unis par le sexe, reprenant peu à peu notre calme. La paix revient. Nous nous regardons les yeux dans les yeux: un grand sourire, sans paroles.

Nous avons passé le reste de mes vacances ensemble...

Combien je voudrais te revoir, Claude! La vie nous sépare, mais au fond de mon cœur tu as une grande place. Jamais je n’ai trouvé, ni avant, ni après, tant de délicatesse en amour. Savez-vous quel âge avait cet amant de rêve? Soixante-huit ans. Alors? Nous les jeunes, sachons être délicat dans nos rencontres. Le souvenir de ces instants est plus grand, plus beau. Le même lien nous unit et forme ainsi une chaîne d’amitié. Ne repoussons pas toujours les “antiquités”.

  

  

 

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 22 août 4 22 /08 /Août 06:02

  mis en taule 4 MOIS pour un alcootest positif, notre JEUNE  ami  va être placé avec des détenus de longue peine... 

 

 

 

 

  

  LE VIEUX POINTEUR TRAITE EN LOPE                   MES COMPAGNONS DE CELLULE

     

  QUI M'ONT SOUMIS ET ENCULE SANS ARRËT A TOUR DE ROLE  LE 4E ME FAISAIT VRAIMENT PEUR TOUT EN ETANT LE MOINS DOULOUREUSEMENT MONTE

 moi...

   Et moi et moi et moi : "Tais-toi ma poulette ou on te donne en pâture aux autres détenus de la prison "— Le vieux, il voulait pas lui non plus... Alors ils l'ont pointé à quatre d'un coup et ils vont le faire tous les soirs... En ce moment ils sont en train de lui casser le cul et il ne crie plus...

      

 

Flagrant délit, ivresse sur la voie publique, mise en danger de la vie d'autrui, excès de vitesse. Comme a dit le juge des comparutions immédiates:

— À peine un an de permis et déjà un tel palmarès... Vous avez de la chance... Votre jeune âge m'oblige à restreindre la peine qu'à quatre mois de prison ferme... Je ne peux vous infliger plus... Dommage... Affaire suivante...

Direct la tôle entre deux flics. Tout cela en à peine vingt-quatre heures. J'étais en train de vivre un cauchemar. Mon boulot, ma piaule, ma copine, tout perdu en quelques minutes. Plus rien. Bâtisse lugubre, claquements de portes, couloirs, déshabillage, fouille, photo. Couloirs, bruits, annonce du règlement, de l'emploi du temps. Bureau du directeur:

— Tenez vous tranquille... Pas de problème sinon... Mitard... Cellule surpeuplée... Vous serez avec les plus jeunes que nous avons ici... Quatre mois c'est rien, nous avons ici des personnes pour longtemps... Peut être aurez vous des jours de remise de peine...

Couloirs, bruits, chahut, cris. Les gardes m'encadrent. Des portes de fer avec des oeilletons. À n'en plus finir. On s'arrête devant l'une d'elle. J'ai peur. Bruit de serrure et porte qui s'ouvre en grinçant:

— Un nouveau les gars...

— On est déjà quatre chef!

— Rien à foutre. Il dormira par terre. Il est là que quatre mois...

Porte qui se referme en claquant. Moment de panique. Ils me dévisagent sans un mot. Je reste immobile complètement déboussolé. Je réalise toujours pas. C'est pas possible. Comment c'est arrivé tout ça! 120 jours à vivre ici... Avec ces mecs...

Les premiers jours sont impossibles à supporter. Ils ne me parlent pas. Humiliation de devoir faire ses besoins devant eux, séparé par une couverture tirée entre les deux murs. Promiscuité, odeurs, sueur, saleté. Matelas à même le sol entre deux lits. Ils sont bien plus vieux que moi. Presque la quarantaine. Ils sont là depuis longtemps. Pour longtemps. Ils se connaissent bien. C'est des durs, des squales.

Je n'ai pas faim. Impossible de manger depuis trois jours. Impossible de dormir. Trop de bruits, de ronflements, de cris. Peur de ce nouveau monde. Peur de cette jungle. Chacun pour soi. Les gardiens sont aussi durs que les prisonniers. Je vais devenir fou. Aucun nouvelle de l'extérieur depuis huit jours. Je flotte dans mes vêtements. Première douche. Nu avec les autres. Regards provocateurs, insultants, méprisants. Je me lave à peine et remet rapidement mes vêtements.

Il n'y a rien à faire à part la bouffe et la promenade. Ils ne me parlent toujours pas. Ne sont pas curieux de savoir pourquoi je suis ici. Ils n'hésitent pas à me montrer qu'ils ne veulent pas de moi. Qu'ils ne me considèrent pas comme l'un des leurs. Aucune pudeur devant moi. Ils pissent sans tirer la couverture et se changent devant moi. Ils échangent des blagues salaces en se montrant leurs queues. Moi je me change derrière la couverture.

Extinction des feux. J'ai pas sommeil. Je couche sur un matelas taché, à même le sol. J'entends les sommiers grincer. C'est le moment ou l'angoisse est la plus forte. Une boule qui bloque la gorge. L'envie de chialer. L'envie de sortir du cauchemar. J'arrive à dormir mais très mal. Souvent des cris dans des cellules voisines me font sursauter. Il paraît que ce sont des mecs qui font des cauchemars. J'ai appris à reconnaître les cris et je sais que des fois ce ne sont pas des mecs qui font des cauchemars. Un nuit j'ai tremblé en entendant des bruits de lutte dans la cellule voisine de la nôtre. Après les bruits, des cris de douleurs, puis des grognements couverts par des rires discrets et des grincements de sommier. Le lendemain à la promenade, impossible de deviner ce qui c'était passé cette nuit là. Tous les mecs de la cellule voisine avaient le même visage que tous les autres jours. Seul le plus chétif regardait le sol. C'était le plus vieux et le dernier arrivé.

La nuit revient avec son cortège d'angoisse. La toilette du soir m'a semblé interminable. Bruits d'urine, changement de vêtements. Il fait chaud. Intenable. Ils se couchent uniquement vêtu de leurs caleçons. C'est la troisième nuit et je ne connais toujours pas leurs prénoms. Ils connaissent le mien. Mon matelas est contre le mur sous la haute lucarne qui sert de fenêtre. Je ferme les yeux dans le noir. Ciel d'orage. Nuages lourds. Nuit très sombre. Au milieu de la nuit, des bruits de voix dans la même cellule que la veille. Je ne comprends pas tout les mots. On dirait qu'un des mecs supplie et pleure. D'autres voix très dures, menaçantes, violentes. Bruit de bousculade. À nouveau des supplications. J'arrive pas à avaler ma salive. Mon coeur veut sortir de ma poitrine. Des cris de douleurs me font sursauter. Ils ne durent pas longtemps. Puis le silence entrecoupé de pleurs et de rires discrets.

Le lendemain matin en se rasant un des types de ma cellule dit à la cantonade qu'il y a une nouvelle femme dans la prison. Cela fait rire les autres. Moi j'ai pas assez de poils pour me raser tous les jours. À la promenade, le vieux de la cellule voisine regarde obstinément le sol. Personne ne lui parle, il ne parle à personne. Un de ses compagnons de cellule parle avec un type de ma cellule. Ils fument une cigarette ensemble. Vers la fin de la promenade, le vieux est entouré par les mecs de sa cellule et celui qui a fumé une cigarette se met à lui pétrir les fesses devant tout le monde. Personne ne dit rien et regarde la scène. Sourires ironiques au milieu de visages fermés. Le vieux, les larmes aux yeux, le laisse faire. Les gardiens regardent ailleurs. Nous regagnons tous nos cellules.

Toilette du soir. Les mecs pissent devant moi. Ils sont costauds. Quelques tatouages sur les peaux luisantes de sueur. Leurs ventres débordent au-dessus des caleçons. Ils ne parlent pas et se couchent directement sans même se souhaiter bonne nuit. Je n'ai pas échangé plus dix mots avec eux depuis que je suis là. Les lumières s'éteignent. Je garde les yeux ouverts dans le noir. Je pense au vieux de la cellule voisine. Ce soir il n'y a pas de bruit. Peut-être qu'ils vont le laisser tranquille. Il fait très chaud. Je suis en polo et caleçon. Je n'arrive pas à trouver le sommeil. Cela fait six jours que je suis ici. Je me tourne et retourne sur mon matelas.

Le vieux hante mes pensées. Je l'ai vu à poil sous la douche. Des poils blancs, des rides, un corps maigre, moche. Il doit avoir presque cinquante ans. Les autres mecs de sa cellule doivent avoir à peine la quarantaine. Ainsi donc c'est vrai que c'est la loi du plus fort et que tu deviens vite une larve. Il va pleuvoir. Je m'assoupis...

Un mouvement dans la piaule! Un mec est debout! Il va vers les toilettes. Je ferme les yeux. J'entends le bruit de l'urine couler le long de la cuvette. Il finit de pisser. J'entrouvre les yeux. Le corps se découpe dans la pénombre. Je vois parfaitement la bosse sous le caleçon. Le type se recouche. Je me calme. J'ai eu peur. Le sang bat contre mes tempes. Je somnole avant de m'endormir...

Réveil en sursaut... Je ne peux pas bouger... J'ai du mal à réaliser ce qui se passe... Ils sont à genoux autour de moi. Leurs silhouettes massives se découpent dans la pénombre. Seule la lumière de la lune passant par la lucarne éclaire la cellule. Je comprends tout de suite ce qu'ils veulent. Je panique. J'ouvre la bouche pour crier. Une claque me coupe le souffle. Autour de mon matelas, ils ne parlent pas et respirent fort. Des mains puissantes me bloquent, les jambes, les bras, le cou. Un tissu mouillé force ma bouche. Ils m'immobilisent la tête. Je vois les lueurs dans leurs yeux. Le tissu m'écarte violemment les mâchoires. Les doigts poussent le linge au fond de ma bouche. Je gigote sur le matelas. Ils me tiennent bien.

Je grogne. Ils frappent. Je ne sais pas pourquoi ils me tabassent. Ils me frappent en silence. Sur tout le corps à l'exception du visage. Ils ont les poings entourés de tissus. Je ne peux parer aucun coup. Je souffre en grognant de douleur. Je repense au vieux et me demande s'il entend mes gémissements dans sa cellule. Les coups pleuvent sur mon corps. Les mecs prennent leur temps et frappent à tour de rôle. Essentiellement sur mes côtes, mes cuisses, mon ventre et mon bas ventre.

— Stop!...

L'ordre n'est qu'un chuchotement, mais les coups s'arrêtent. Le visage d'un des mecs, le plus vieux, se penche sur le mien. Ses yeux méchants brillent dans le noir. Les autres m'agrippent fermement les bras et les mollets. Son haleine sent le tabac. Je le regarde complètement terrorisé. Il chuchote au dessus de mon visage.

— On a de la chance d'avoir un jeune comme toi... Tu vas être une gentille poulette et on te fera aucun mal... Tu verras dans quelques jours, cela te fera même du bien...

Il s'est redressé au dessus de mon visage. Je voyais bien qu'il bandait dans le noir. Un très grosse bosse sous le caleçon taché. Je tentais désespérément de leur échapper. Je savais qu'il n'y avait aucun espoir. Je les avais pourtant entendu les autres dans la nuit. Le bâillon étouffera tous mes cris de révolte, de douleur ou de peur.

Ils m'ont retourné rapidement pour me mettre à plat ventre. Une main dans mes cheveux pour plaquer mon visage contre le matelas, à la limite de l'étouffement. J'ai énormément de mal à respirer avec ce tissu mouillé dans la bouche. Ils me débarrassent brutalement de mon caleçon avant d'écarteler mes jambes en dehors du matelas. J'étais complètement à leur merci. Je comprenais à peine ce qu'ils disaient en chuchotant:

— Il a un beau petit cul tout blanc...

— Ouais ça va être un vrai plaisir...

— Ça fait une semaine que j'en ai envie de son cul de gonzesse...

— Va cherchez le savon... Faut pas l'abîmer...

Ils m'écartent brutalement les fesses, mettant ma raie à nue. Des ongles cassés me griffent la peau. Je voulais les supplier de me laisser tranquille. Je grognais dans le matelas. Je ne pouvais bouger aucune partie de mon corps. Ils emprisonnaient mes jambes, ma tête, mes bras. Quand une main m'a enduit les fesses et la raie de savon, je me suis cabré. Cela les a fait rire.

— Vas-y bouge bien ton petit cul pour échapper... C'est encore plus excitant... Savonne lui le trou...

J'ai cru que j'allais mourir quand des doigts glissants ont forcé mon anus. Pas de douleur. La honte, uniquement la honte. Les doigts enduisaient mon tunnel. Ils allaient et venaient. Je tentais vainement de me sauver. Pour aller où? Comment? Les doigts assouplissaient ma rondelle. Je n'avais pas mal. La peur me tenaillait le ventre et je tremblais en gémissant dans mon bâillon. Quand les doigts ont quittaient ma raie, j'ai cru naïvement qu'ils allaient enfin me laisser. Mais le fumeur s'est mis à genoux entre mes jambes écartelées et quand j'ai senti ses mollets poilus contres l'intérieur de mes cuisses, j'ai cru devenir fou de désespoir.

— Tenez le bien...

Il s'est couché sur mon dos.

— Allez ma poulette... Bientôt tu en redemanderas...

C'est comme une décharge électrique qui m'a traversé tout le corps quand j'ai senti son membre très dur contre mes fesses et son haleine sur ma nuque. Les poils de son torse grattaient mon dos. Son ventre se collait contre le bas de mon dos.

— Laisse toi faire... N'aies pas peur... Tu vas devenir une bonne petite femelle...

Son sexe était contre ma raie, entre mes fesses. Le fumeur bougeait son bassin et son sexe coulissait entre mes fesses à la recherche de l'entrée. Je ne bougeais plus. Je n'en avais pas la force et je serrais les fesses au maximum.

— Laisse toi faire... Ne fais pas comme le vieux d'à côté...

Je tentais de repousser le bâillon avec ma langue. Mais la boule de tissu était bien trop grosse et bien enfoncée dans ma bouche pour sortir. Je grognais de plus en plus fort en sentant le gland se poser contre mon anus savonné. Je m'en fichais de savoir que dans les cellules voisines, ils pourraient entendre mes gémissements.

— Le vieux, il voulait pas lui non plus... Alors ils l'ont pointé à quatre d'un coup et ils vont le faire tous les soirs... En ce moment ils sont en train de lui casser le cul et il ne crie plus...

Il a commencé à donner des coups de reins contre mon anus. Des coups très secs et rapide. Il allait de plus en plus fort et je sentais avec effroi ma corolle se détendre. Les coups de bassins augmentaient en puissance. J'étais complètement tétanisé de peur en sentant mon conduit cédait lentement sous ses assauts.

— Laisse toi enculer et on te gardera que pour nous... Le vieux maintenant ils vont le transformer en lope pour le louer à toute la prison...

Ses doigts crochus ont serré mes épaules et après quelques seconde d'immobilité, il a donné un violent coup de rein. J'ai cru que mes testicules étaient remontées dans ma gorge. Des éclairs de douleurs dans mon cerveau... Puis plus rien... Comme du plomb dans mon ventre...

— Laisse toi faire... Ne bouge plus... Tu vois mec... T'es un enculé maintenant... Tu l'as bien profonde... T'es décapsulé... Ça sert à rien de te battre maintenant...

Écartelé sur le matelas, je ne criais plus. Je ne serrais plus les fesses. Je ne tentais pas non plus de bouger mes membres. Cela ne servait plus à rien. C'était trop tard... Il avait raison. J'étais maintenant un enculé. J'avais une barre bien dure dans le cul Ils étaient trois contre moi. Il a commencé à me limer de toute la longueur de son membre. Je me suis contentais de pleurer en mordant le bâillon de toutes mes forces.

— C'est bien mon petit enculé... Reste sage... Je vais t'assouplir la rondelle... À ton âge la douleur ne dure pas longtemps...

Il a commencé à accélérer ses mouvement de pilonnage. La douleur est vite revenue me faisant gémir à nouveau. Le savon me lubrifiait parfaitement et je commençais à sentir la grosse saucisse frottait contre mon conduit intime. Les autres m'ont lâché. Je n'ai rien fait pour me sauver ou échapper au pieu qui me forait vigoureusement les entrailles. J'attendais honteux la fin du calvaire.

— C'est bien... Tu es une bonne petite femelle... Ce soir, tu vas garder le bâillon... Ils faut pas que les autres entendent... Mais tu vas voir, ton p'tit cul, on va en faire une vraie chatte... Bien souple...

Il n'a plus rien dit et m'a enculé lentement en prenant son temps et en savourant sa victoire sur mon cul. Je le laissais me sodomiser. Je ne criais plus et la douleur devenait supportable.

— Tu comprends vite toi...

Mon corps bougeait sous ses assauts. Son sexe tapait contre le fond de mon ventre. À nouveaux sa voix grave:

— Tu la sens ma grosse teub... Tiens prends-la à fond mon poussin... Tu vas voir on va bien te l'élargir ton derche de gonzesse... Bientôt tu nous supplieras pour qu'on te la mette...

Les poils de son corps grattaient ma peau, son ventre cognait régulièrement contre le haut de mes fesses. Il sentais la sueur et le tabac. Les autres regardaient le spectacle en se branlant lentement. C'est cette nuit, que comme le vieux de la cellule mitoyenne, je suis devenu un enculé. C'est cette nuit que je suis devenu leur femelle soumise. Le fumeur m'a rempli l'anus de sa liqueur virile et moi, je me suis vidé de mes attributs de mec. Le type s'est longuement vidé au fonds de mes reins et moi j'ai docilement tendu mes fesses à sa loi du plus fort. J'ai eu froid quand sa queue a libéré mes fesses et qu'il s'est levé.

— La voie et ouverte les mecs... C'est une voie royale...

Je suis resté immobile, membres écartelés, fesses offertes, visage tourné vers la lucarne. J'attendais sagement le suivant. Je crois bien que j'ai pleuré...

 

Le lendemain au réveil, j'avais encore mal au cul. Mais c'était une douleur supportable. Je me suis nettoyé la raie tant bien que mal avec du papier chiotte. Eux me regardaient de temps en temps avec des sourires méchants.

— Alors petit? Passé une bonne nuit?

C'est le plus vieux, le chef de la cellule, celui qui m'avait dépucelé qui me questionnait en riant. J'ai baissé la tête en rougissant.

Au moment de la promenade, j'ai compris pourquoi le vieux regardait tout le temps le sol. Moi non plus je n'avais pas le courage de regarder les autres. J'avais l'impression que tous les détenus savaient ce qui c'était passé la nuit précédente. Je savais que je n'aurais personne pour me défendre ou même à qui me confier. Terrible sentiment de silencieuse solitude. Le mot enculé était imprimé en lettres de feu dans mon cerveau. J'étais un enculé et bientôt tous les détenus allait le savoir. Le pire c'est que le type qui m'avait dépucelé avait raison. J'avais à peine mal et si j'étais fatigué, c'est plutôt parce que je n'avais pas dormi de la nuit. J'avais passé le restant de la nuit à chier ou à dégueuler pendant qu'ils ronflaient repus et contents de s'être soulagés les burnes comme a dit le dernier.

Le matin, ils avaient eu le même comportement que les jours précédents, m'ignorant superbement à part ces sourires et la question du vieux. On aurait dit qu'il ne s'était rien passé. La seule différence est que j'étais uniquement vêtu de mon polo au réveil et qu'il a bien fallu que je me nettoie la raie. Un des types de la cellule a fait brûler une écorce d'orange séchée en me lançant une oeillade qui m'a fait rougir. J'ai su plus tard que cela servait à camoufler les odeurs suspectes.

Dans la cour, le fumeur de la cellule d'à côté discutait avec un mec d'une autre cellule qui lui a remis une cartouche de cigarette. Personne ne faisait attention à moi. Le vieux était seul dans un autre coin de la cour.

Au repas de midi, j'ai dû m'asseoir entre deux de mes compagnons de cellule. Ils m'ont piqué la moitié de ma bouffe. J'ai rien fait pour les empêcher. Les autres autour de la table m'ont lancé des regards de mépris. À la sortie du réfectoire, au moment de la bousculade pour sortir de la grande salle, j'ai senti une main sur mes fesses. Je me suis retourné pour voir le visage hilare d'un mec de ma cellule. Les mecs autour de moi ont bien vu que je rougissais de honte. J'ai baissé la tête. J'avais envie de chialer. À mon âge!

L'après-midi, dans l'atelier, le type qui avait donné la cartouche a accosté le vieux pour lui chuchoter quelques mots à l'oreille. Le vieux est devenu tout pâle. Il a regardé le fumeur de sa cellule qui s'est contenté de lui renvoyer un léger sourire ironique et très menaçant en lui faisant oui de la tête. Les gardes étaient loin du groupe. Deux mecs de la cellule ont encadré le vieux et l'ont littéralement porté derrière la grosse machine à laver le linge. Le type qui avait donné la cartouche les suivait. Le vieux avait les larmes aux yeux en se laissant emmener.

Le type qui m'avait dépucelé s'est approché de moi.

— Tu vois que je t'avais pas raconté de bobards hier. Il l'a échangé contre une cartouche de cigarette. Suis moi... Tu vas voir ce qui peux t'arriver si tu fais le con...

Ce que j'ai vu m'a fait froid dans le dos: derrière la grosse machine bruyante, les deux mecs de la cellule tenaient le vieux penché en avant sur un établi. Le troisième s'est collé contre son derrière et lui a rapidement baissé son pantalon et son caleçon sous les fesses. J'ai vu son cul tout blanc à la peau frippée tendu vers l'autre. La bite est sortie de la braguette. Elle était d'une belle taille. Le mec a craché dans sa main et s'est masturbé rapidement. Puis le mec a positionné son sexe entre les fesses flétries et a saisi le vieux par la taille. J'ai vu de mes propres yeux le sexe s'enfoncer d'un coup. Le vieux a redressé la tête sous la douleur et a ouvert la bouche. Un des mecs qui le tenait penché lui a mis sa main sur la bouche. Le type qui avait donné la cartouche s'est collé contre les vieilles fesses.

— Jusqu'aux couilles direct... C'est comme ça qui faut niquer les lopes... Elle sont là pour ça...

Puis, il a commencé à bouger. Il allait très vite et sodomisait durement le vieux cul tout blanc. La scène a à peine duré cinq minutes. Le type a déchargé, a sorti sa queue luisante et s'est rajusté avant de partir bosser. Les deux autres ont libéré le vieux qui a remonté son pantalon en reniflant.

— Tu vois comme ils l'ont mâté... Ça peut t'arriver aussi... Il suffit simplement qu'on leur raconte et qu'on leur donne notre feu vert pour te casser le fion... Et toi t'es bien plus mignon que cette vieille peau...

Tout en me parlant, il me malaxait les fesses. Je l'ai laissé faire devant tous les autres détenus...

— C'est bien, tu comprends vite toi... Vous y touchez pas les mecs, il est à nous seulement celui là.

C'était donc vrai, je leur appartenais et j'étais un enculé... Un vrai...


C'est le premier jours depuis ma détention que le temps m'a paru passer si vite. Il était déjà l'heure de la toilette du soir. Bien sûr, j'appréhendais le moment du coucher. Mais il n'y avait aucun moyen de le retarder. Et je savais déjà ce qui allait m'arriver cette nuit.

La cellule m'a paru encore plus étouffante que d'habitude. La chaleur n'arrangeait rien bien sûr. Ils se sont changés comme à l'accoutumé, sans même me regarder ne gardant que leur caleçon. Malgré moi, je jetais des coups d'oeil furtifs sur les bosses qui déformaient les calcifs. J'avais la gorge sèche... Et très peur... Je me suis changé derrière la couverture cinq minutes avant l'extinction des feux.

Les lumières se sont éteintes et l'angoisse m'a envahie. Dans le noir de cette cellule, je me suis couché sur mon matelas en relevant mon drap jusqu'au menton comme un gamin qui a peur du noir. Et j'avais vraiment l'impression d'être un môme dans cet enfer. Je revoyais le vieux de l'atelier obligé de se pencher, obligé de tendre son cul à un mec, obligé de subir la loi du mâle, visage crispé de douleur et d'humiliation. La chair pâle et flétrie de ses fesses tremblant comme de la gélatine sous les assauts de son enculeur dansait devant mes yeux.

Je tremblais malgré la moiteur de l'air. J'avais du mal à respirer et un sentiment d'oppression me comprimait la poitrine. Je ne savais pas ce qu'ils voudraient, mais je savais que je n'aurais pas le choix. Ils voudraient encore mon cul. Mon cul de jeune mec dans la force de l'âge. Est-ce-que tous les jeunots comme moi se faisait éclater le fion?..

Il ne s'est rien passé pendant au moins deux heures ou plus. Je suis brusquement sorti de ma léthargie en sentant quelqu'un à mes côtés. C'était le fumeur. Il m'a tiré par la main.

— Viens ma poule...

Je me suis levé pour le suivre. Je n'avais pas le choix. Je savais que si je n'obéissais pas cela serait pire encore. Il m'a enlevé mon polo et mon caleçon devant son lit. Je me doutais bien que les autres devaient regarder dans le noir. Mon corps blanc pâle devait bien ressortir.

— T'as plus besoin de t'habiller la nuit chérie...

Le fumeur s'est collé contre mon dos et j'ai très vite senti son sexe très dur se frotter contre mes fesses.

— Tu sens Popaul ma petite chérie?...

Ses mains se sont mises à me pincer les seins, à me caresser le ventre ou à serrer mes tétons. Il me mordillait la nuque ou les épaules. Je percevais son excitation et je tremblais de plus belle en sachant très bien que j'étais à sa totale merci.

— Ce soir tu vas être ma petite femme... Ma bonne petite salope à moi tout seul... Tu vas coucher avec moi et te laisser faire bien gentiment...

Ses grosses mains ont empaumé mes fesses qu'il a malaxé durement. Puis il a ouvert ma raie m'obligeant à me pencher, avant de revenir me pincer très fort mes tétons et descendre sur mon pubis pour me tirer les poils sans jamais toucher à mon sexe.

— Dommage que t'as des poils ici... Tu as la peau douce partout. Une vraie peau de femme...

Son corps collé contre mon dos, dégageait une puissance telle que je savais que toute rébellion de ma part serait vouée à l'échec. De plus, dans le noir, je devinais que les autres se tenaient prêts à intervenir au moindre mouvement de révolte.

— Au pieu chérie et je te conseille de pas crier si tu veux pas que les autres entendent dans les cellules voisines... Couche toi ma petite salope... Montre nous ton joli popotin...

Je me suis mis à plat ventre sur son lit et il m'a vite couvert de son corps noueux. Ses jambes musclées et très poilues ont écarté les miennes imberbes. Son pubis frottait contre mes fesses légèrement surélevées. Il sentait le tabac et la sueur.

— Je te préviens, si tu fais pas tout ce qu'on veut on te donne aux autres... Et crois moi, ils attendent que ça... C'est rare un trou neuf dans le quartier...

Pendant qu'il étalait de la salive sur ma raie et mon trou, j'ai mordu l'oreiller pour ne pas crier. J'ai serré les dents de toutes mes forces quand son gland s'est collé contre mon oeillet plissé. Il a vite trouvé la voie et quand il m'a empalé, j'ai cru que mon anus allait exploser sous la puissance de ses coups de bassin.

— Putain les mecs!... Il est vraiment royal celui là... Tu vas voir chéri, tu vas avoir bientôt un cul bien profond et bien souple... Rien que pour nous... Si t'es bien obéissant on te défendra...

Je pleurais de honte en mordant de toutes mes forces le coussin. Les autres regardaient en silence. Y en avait deux qui se branlaient.

— Écarte bien te jambes... Encore plus... Fais les sortir du pieux... C'est ça cambre toi... Vas-y... Cambre toi pour que je t'encule à fond...

Je sentais son sexe coulisser dans mon fondement. Il allait le plus loin possible, m'arrachant des sursauts de douleur. J'avais les yeux injectés de larmes. Mon anus s'élargissait sous les assauts de ce gourdin.

— Tu vois chéri, il y a longtemps qu'on a pas eu un p'tit mec comme toi avec nous...

Ses couilles lourdes tapaient contre les miennes. Ses mains étaient autour de mon cou. Son haleine empestait le tabac. Il m'a attrapé les cheveux, m'obligeant à tourner ma tête vers lui.

— Montre moi ta petite gueule de pute... Tu dois avoir beaucoup de succès avec les filles toi... J'ai vu la photo de ta petite amie dans ton casier... Elle est mignonne... Tu vas lui manquer...

Il ne bougeait plus. Son sexe était entièrement planté dans mon fion. Mon anus me brûlait. Il me regardait droit dans les yeux.

— Tu peux pleurer... Après tout t'es comme une femme en train de perdre son pucelage... Serre les dents, tu vas connaître l'homme...

Il a recommencé à bouger au fond de mes reins. De plus en plus vite... De plus en plus fort. Les autres se branlaient toujours. L'un d'eux a joui...

— Je vais te remplir à ras bord...

Pour eux je n'étais qu'un trou bon à les satisfaire. J'ai vite compris que cette bite qui m'éclatait l'anus sonnait pour moi le début de l'enfer.


Le lendemain ils ont commencé à me transformer. Leurs ordres étaient secs, péremptoires. La moitié de ma bouffe pour eux. Plus de caleçon le soir. Nu dès l'extinction. Lavage des chiottes tous les jours. Lavage de leurs chaussettes et slips. Interdiction de me faire couper les cheveux. À la moindre incartade ou rébellion, ils me frappaient. Sur le ventre, le bas ventre, les reins. Jusqu'à ce que j'obéisse. Et bien sûr les soulager...

Au bout de mon premier mois de cellule, j'étais devenu leur objet. Leur femelle soumise et consentante. Toujours à leurs ordres. Un jour j'ai retrouvé tous mes slip déchirés.

— Pas besoin d'en mettre...

Dès l'extinction des lumières, j'attendais sagement couché sur mon matelas, celui qui viendrait me chercher et m'emmènerait dans son lit pour se soulager.

Une autre nuit, avant de m'enculer un mec prend la photo de ma meuf pour la mettre en évidence sur le matelas au niveau de ma t�te;

— Comme ça j'ai l'impression que c'est elle que j'encule... Elle doit avoir un jolie cul ta donzelle...

Tous les soirs mon cul s'ouvrait de plus en plus et se remplissait à ras bord... Je n'étais qu'un trou...

Le reste du temps, ils étaient complètement indifférents. En fait, ils m'utilisaient uniquement pour se vider les burnes. Ils me traitaient comme un jouet ou comme une poupée.

Dès qu'un des type me faisait signe, je le rejoignais dans son lit et me couchais à plat ventre ou sur le côté. Je ne portais plus aucun vêtement quand je me couchais. Ils me l'interdisaient. Il y avait même un hiérarchie pour me baiser. Toujours le fumeur en premier et après seulement les autres et toujours dans le même ordre, du plus vieux au plus jeune. Heureusement, une fois la première semaine passée, ils se contentaient de prendre leur pieds deux fois par semaine chacun, rarement plus.

Mon anus s'est bien assoupli et se dilatait sans problème. Plus besoin de savon. Uniquement de la salive. J'arrivais à m'en prendre deux ou trois d'affilé sans douleur. Je sentais les bites entrer en ouvrant le passage. Je sentais les pieux frotter contre ma corolle, progresser au fond de mon cul et taper contre ma prostate. Je sentais mon cul se remplir de leurs foutres épais et visqueux. Dès qu'ils avaient joui, ils me renvoyaient de leur lit. Mon cul coulait tout le temps. Ils ne voulaient que je reste avec leur semence au fond de mon ventre. C'était leur manière de me marquer.

Je ne disais rien à personne, ne me révoltais pas, acceptais cette situation. J'étais dompté, incapable de désobéir à ces quatre mecs qui n'hésiteraient pas à me livrer en pâture aux autres si je me rebellais. Une fois j'ai osé dire non. J'ai trouvé le courage de me débattre et même d'en gifler un. Mal m'en a pris. Le soir ils m'ont bloqué, couché sur un lit. Chevilles attachées aux montant d'un des pieux et bouche écartelée par le slip et les chaussettes d'un des types. Le plus vieux m'a juste montré la flamme de son briquet. Les autres m'ont immobilisé et bâillonné. Le vieux m'a cramé les voûtes plantaires. Je pouvais rien faire. J'ai souffert en gémissant dans le bâillon, me tordant de douleur. Cela a été mon seul moment de révolte que j'ai payé très cher.


Le jour du coiffeur, ils n'ont pas voulu que je me fasse couper les cheveux. Ils me préféraient les cheveux longs.

— Comme ça, tu ressembleras plus à une femme.

Les autres détenus savaient ce qui se passait le soir dans la cellule. Mais personne ne me touchait. Ils se contentaient de me regarder avec gourmandise, surtout les jours de la douche.

J'avais découvert qu'il y avait des règles non écrites, bien plus fortes que le règlement, qui dictaient la vie de la prison et l'une d'elle étaient que les gardiens se foutaient de ce qui pouvait bien se passer à l'intérieur des cellules, pourvu que cela reste discret. Je suis presque sûr que certains gardiens de nuit avaient vu ce qui se passait dans la cellule. Je reste persuadé qu'au moins un gardien est resté l'oeil vissé au mouchard pendant que je me faisais sodomiser. J'ai entendu le bruit de ses pas, son souffle, le cliquetis de son ceinturon. Même le toubib de la prison savait sinon pourquoi il aurait voulu voir mon anus au cours d'une visite médicale de routine. Cet enfoiré avait mis un gant en latex. Il avait étalé de la vaseline sur son index et ouvert mes fesses de son autre main. Je ne comprenais pas pourquoi il m'a tâté le trou aussi longtemps. Naïvement, je serrais mon anus pour lui faire croire que j'étais encore vierge. Ce sourire narquois sur son visage impassible quand il m'a dit que j'étais en pleine forme.

Je ne lui ai rien dit. Cela ne servait à rien et ne m'aurait amené que des ennuis bien plus graves encore. Ce qui arrivait au vieux de la cellule voisine me servait de leçon et je ne voulais surtout pas finir comme lui. Car après la séance de l'atelier, le vieux est rapidement devenu le souffre-douleur de tout le groupe. Les mecs de sa cellule l'utilisaient sans vergogne et sans aucune pitié. Et les mecs de ma cellule ne se privaient pas de me raconter ce qui se passait le soir. Ils le faisaient en chuchotant à mon oreille pendant qu'ils se vidaient les burnes entre mes fesses:

— Tu vois, nous on est gentil avec toi ma poule... Hier le vieux a dû lécher les pieds de toute la cellule...

— Cambre toi chérie que je vois ton joli trou... Hier le vieux a dû nettoyer les chiottes avec sa langue...

— Ne te mets pas trop de salive salope, j'aime bien quand je sens ton trou serré autour de ma bite... Il paraît que les gars d'à côté pissent dans le cul du vieux maintenant...

Il y avait aussi les scènes auxquelles j'assistais à mon corps défendant. Comme par hasard toujours à l'atelier. Comme par hasard dans un coin que les gardes ne pouvaient pas voir de leurs postes. Et comme par hasard à un moment où la tournée des gardiens n'avait plus lieu. Deux des mecs de sa cellule entraînaient le vieux derrière les ballots de linge sale. Il se débattait toujours un peu, mais quelques claques le calmaient rapidement.

Des fois ils lui baissaient son futal en plein milieu de la salle et on pouvait tous voir ses fesses rougies de la fessée qu'il avait du recevoir dans la nuit, son pubis épilé, et les marques de brûlures de cigarette sur ses cuisses.

Une fois devant nous tous, ils lui ont badigeonné la raie et le cul de moutarde. Le vieux a dû travailler sans avoir le droit de se toucher. Il pleurait comme un gamin. Le pire c'est que les gardiens le punissaient lui, mais le laissaient avec les autres, sans jamais le mettre au mitard.

Ce qui se passait derrière les ballots de linge était encore plus violent. Ils le foutaient cul nu et se servaient de sa bouche et de son derrière moyennant ce qu'ils voulaient donner aux mecs de la cellule car contrairement aux règles de cet enfer, le vieux était devenu gratos.

Je ne comprenais pas cet acharnement sur cet homme qui me faisait de la peine. Je n'arrivais pas à admettre une telle sauvagerie jusqu'au jours où j'ai appris que le vieux était un pointeur.

Ce jours là, j'étais content de ce qui lui arrivait et j'essayais d'imaginer les souffrances qu'avaient dû endurer les trois garçons et cinq filles quand le vieux les violaient dans les caves de sa résidence. Ce salaud était condamné à perpette pour pédophilie. En taule, on n'aime pas du tout ce genre de mec. Ils étaient la classe la plus basse de notre population. Généralement, on ne les mélangeait pas aux autres. Mais avec la surpopulation, c'était impossible de respecter cette règle. J'en faisais aussi les frais.

 

>Direct la tôle entre deux flics. Tout cela en à peine vingt-quatre heures. J'étais en train de vivre un cauchemar. Mon boulot, ma piaule, ma copine, tout perdu en quelques minutes. Plus rien....regarde : on déménage mon matelas en se disant -"au suivant"....Y avait vraiment rien à faire pour moi ?  même pas me protéger...Tout ça pour un alcootest positif...

ma vie détruite pour prévenir le danger que je représentais... Ouais, on oublie trop facilement que la prison et tout le système judiciaire sont un danger pour le citoyen lambda.

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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