Mardi 24 septembre 2 24 /09 /Sep 11:42

  il était une fois...

Le coup du Père François.

JE NE PEUX AUTHENTIFIER CE RECIT, SON AUTEUR , ET TOUTES LES PHOTOS QUI SONT DES FAKES VENUES DU NET ATTENTION ce blog est 18+ 

Toutefois son allure de vérité, vu toutes les affaires passées, sonne aujourd'hui juste et vu les dates le faits sont prescrits

si tant est qu'il y ait eu la moindre vélléité se se plaindre..Récit :

 

 En préambule, je veux dédouaner le Père François qui ne m'a rien appris que je ne savais déjà sur ma vraie nature. J'avais peut-être 15 ans. À cette époque, bien avant les années 70, pour nous garçons, les choses du sexe faisaient partie de fantasmes nocturnes alimentés par l'espionnage par les trous de serrure des vestiaires, toilettes et salles de bains , ou encore par des lectures qu'on s'échangeait entre copains en cachette. Toute action se résumait à de longues heures de rêves brûlants et de masturbation à répétition en imaginant des scènes improbables et irréalisables.

La vraie nature de ma sexualité devait se manifester d'une manière que je n'attendais pas. De temps en temps nous visitions, ma famille et moi, un oncle et une tante. Ils avaient 2 fils, mes cousins, l'un de mon âge tout aussi boutonneux et en proie aux mêmes fantasmes que moi. L'autre plus jeune, 2 ans de moins peut-être. Il était mignon, blondinet, les yeux bleus, un sourire d'ange, bref il avait un air "de fille" comme on disait à l'époque. C'était surtout un emmerdeur de première, toujours dans nos pattes à vouloir faire ce que nous faisions nous les aînés.

Un jour alors que nous discutions son frère et moi dans sa chambre, il m'a sauté dessus en disant "battons-nous si tu es un homme, etc.." des conneries de gamin quoi. Son frère, qui ne le supportait pas, excédé par cette interruption est sorti de la chambre. Luc (c'était son nom) et moi restâmes seuls. Ce petit coquin se fit insistant, se colla à moi et m'obligea à rouler sur le lit avec lui, en prétextant vouloir tester chatouilles, morsures et autres griffes pour me faire adopter une attitude plus agressive et entrer dans son jeu. Il était sur moi, s'agitait dans tous les sens en riant très fort.

J'ai senti soudain un fourmillement familier qui montait dans mon sexe. J'ai voulu le mordre pour le faire lâcher prise, mettre fin à ce jeu qui tout d'un coup me troublait trop violemment, j'ai senti sous ma bouche le grain de sa peau, fine, satinée et odorante du savon du bain qu'il venait de prendre et de l'eau de Cologne dont il s'était abondamment aspergé. Ma morsure s'est transformée en quelque chose de différent, ma bouche s'est ouverte, ma langue l'a touché, ma bouche s'est refermée sur son cou et je l'ai léché tout le long de sa nuque dans un plaisir intense qui m'a fait frémir et qui l'a rempli d'une joie inattendue. Il a éclaté de rire et s'est pressé plus fort contre moi.

À ce moment je me suis plus retenu, je me suis mis à bander comme un fou, je sentais cette vibration intense de ma queue et les pulsations qui la faisait battre dans mon slip. Il riait, s'agitait et se frottait tout contre mon ventre augmentant mon érection et mon désir. Je le pris à pleines mains, le pétris, pressais ses fesses, le fit me branler de tout son ventre, j'ai senti son sexe contre le mien, il bandait aussi, lui le petit Luc, si frêle, si mignon, ce petit chéri à sa maman. Il a senti la bosse dans mon pantalon, a poussé un petit cri et a dit "Mais qu'est-ce c'est que ça, mon vieux, on bande?" et aussi sec, il a mis sa main sur ma braguette. Il a appuyé, palpé, touché, pressé la bosse, puis il a commencé à me frotter de sa main qui devenait tout d'un coup très experte. "Tu me fais rire à te sentir comme ça," me dit-il. Voulait-il me donner le change avec sa fausse innocence tout à coup mise à nu? L'hypocrite savait très bien ce qui arrivait, ce qu'il faisait et il aimait ça. Un vrai petit diable qui me frottait la queue en faisant semblant de jouer à autre chose. Il riait de me sentir en feu.

Je léchais sa nuque, ses épaules, ses oreilles tout ce que je pouvais atteindre de ma bouche devenue avide de se remplir de sa peau, de sa chair si proche, si douce, qui sentait si bon. Je n'avais aucune idée de ce que je pouvais faire de lui à part prendre ce plaisir fou, intense qui m'habitait tout entier. Je ne pensais même pas à le toucher lui, il me possédait littéralement. Sa main ne me lâchait pas, il riait de plus en plus fort. On a continué comme ça un moment, combien de temps, je ne sais pas, peut-être que ça n'a duré que 5 minutes après tout. J'ai tenu tant que j'ai pu, c'était trop bon.

Tout d'un coup tout est parti, j'ai éjaculé comme ça dans mon slip. J'avais l'impression que ça ne s'arrêtait pas de couler, j'avais l'impression que ma bite voulait fouetter l'air mais elle était emprisonnée par cette main diabolique. C'était la première fois que ça m'arrivait de juter ainsi par un contact avec un autre corps, une autre main que la mienne. Un délire, j'en avais plein partout, c'était chaud, ça collait mes poils sur mon ventre, ça mouillait mes vêtements. Il s'est écarté comme si de rien était, il était rouge, soufflait très fort et souriait, beau, content, il m'avait eu, moi le grand, l'aîné à qui il avait fait rencontrer sa vérité en un éclair. J'ai voulu l'embrasser sur la bouche, désemparé, ivre de la jouissance que je ressentais encore, il m'a repoussé, il m'a dit: "Ça va, tu te sens mieux?" et il est parti sans un geste, droit, fier de lui, sans aucune gêne. 

Cela devint une habitude de me masturber en pensant à cette scène. On s'est revu quelques fois au hasard des réunions de famille. J'ai voulu rejouer comme ça une fois encore, mais ce n'était pas la même chose, les parents nous cernaient de partout, ça a été furtif. J'ai vite saisi l'impossibilité de le chercher ainsi, et que j'en voulais plus mais la famille était trop présente. On ne nous aurait jamais pardonné cette intimité interdite de tous temps. 

Ce jour-là j'ai su ce que j'aimerais les garçons qui se prennent par derrière, dans des torrents de senteurs et de parfum.

Souvenir vivant ...
 fake

"Maintenant va te repentir, récite une douzaine de Notre Père"

Il y eut place pour d'autres connaissances. Je pense que beaucoup ont découvert la "vraie" homosexualité, avec des  jeunes de leur âge, moi avec un adulte. Un vieux. Ce fut une chance.

L'inexpérience peut conduire à des ratages, de l'inassouvissement. Je pense que mon expérience en vaut bien d'autres,aujourd'hui elle ne pourrait exister je pense. Pas mal d'adultes gays ont été bannis des mouvements scouts.  Tout le monde n'a pas eu comme moi la chance de rencontrer un homme adulte que la contention rend ardent et dont la situation impose le secret absolu. Oui, il y a eu pas mal d'affaires juridico religieuses, je vous l'accorde,  pas la mienne que je tiens à garder pour moi sauf le présent récit... 

Un baroudeur pour catéchiste

Qui n'a pas eu sa crise mystique? Sa rencontre avec la religion, etc... En ce temps-là on faisait sa communion solennelle et on allait au catéchisme pour se préparer à l'événement. L'aumônier du coin, le père François, était un franciscain, viril, taillé comme un roc qui avait la particularité d'être ce qu'on appelait alors "une gueule cassée". C'est à dire un blessé de guerre. Ce vénérable personnage avait été officier pendant la guerre et avait sauté sur une mine avec son char. Il en était ressorti tout tordu avec des cicatrices partout mais il en imposait par son physique et ce qu'il représentait. Nous, les enfants de Dieu, étions très respectueux et admiratifs de toute cette gloire. Tout le monde dans le coin lui vouait un respect certain. :  

Donc il nous avait catéchisé, fait communier solennellement et fait persévérer dans notre foi. Finalement, après de longues insistances il m'a convaincu d'entrer chez les glorieux scouts du pays porteurs de la sainteté et de la grandeur de l'esprit de discipline, futurs orgueil de la Nation. Avec enthousiasme je m'intégrai au groupe, ma patrouille était formée par des copains avec qui j'allais au lycée. Donc tout allait bien et le père François nous galvanisait. Il avait un peu le défaut des franciscains: il n'était pas très net sur lui (voeux de pauvreté exigent...) mais peu importait.

Tous les jeudis, on avait nos exercices préparatoires au grand moment: le camp d'été ! Un mois en camping à jouer les David Crockett et autres Baden Powell. Le père François était très affectueux avec ses garçons. Il nous prenait toujours par la main, jouait à des tas de jeux et aimait par dessus tout la bagarre et la lutte au corps à corps. Nous on y allait mollo de peur de manquer de respect.

Le grand jour arrive. En fait c'était un soir parce que le trajet était long et on allait dormir dans une ferme avant de monter le camp. On s'est entassé dans plusieurs camionnettes. Avant le départ, ça chahutait un max. On était bien sanglés dans nos uniformes de scouts (shorts et chemises kakis). J'avais trouvé une place sur le siège arrière d'une voiture où on avait casé plein de sacs à dos. Le père François allait d'une voiture à l'autre et discutait gentiment avec tout le monde. Il est venu vers nous, s'est accoudé au montant de la portière et sa main est tombée tout naturellement sur mon genou nu. Il plaisantait avec le chauffeur et les passagers assis sur les sièges avant.

Contrairement à mon attente, il n'a pas retiré sa main. Au contraire, elle a bougé un peu, insidieusement. J'étais gêné, je me suis tortillé un peu pour briser le contact. Mais il faisait déjà nuit et personne ne pouvait voir ni la rougeur qui me montait au front ni mes tortillements. La main s'est faite plus lourde et s'est aventurée un peu plus haut sur ma cuisse, l'enserrant doucement mais fermement à l'orée de mon short en pleine chair. A mon propre étonnement, je me suis mis à bander sous ce contact ferme et pressant d'une main savante, les doigts qui se lèvent et se reposent les uns après les autres... les fourmis me montaient le long du dos.

Le moment du départ était arrivé, je sentis que j'allais être soulagé et libéré, mais le père François ouvrit la porte de la voiture et, aussitôt il s'asseoit sur le siège à côté de moi. Il n'y a pas beaucoup de place, on était collé l'un contre l'autre. La voiture démarre. Tout le monde crie, rit etc.. Puis ça se calme. Après un moment, ça commence à fatiguer et à s'assoupir. Le silence règne. Le père se penche vers moi, pose sa main sur mon genou et me dit: "Ça va? Tu es bien installé? Viens te caler contre moi, tu seras mieux." J'obéis à moitié, mais il m'a déjà saisi et enlacé de son bras gauche, sa main droite me tient par le genou et va rechercher la position qu'elle avait avant le départ sur le haut de ma cuisse, puis elle s'insère dans la jambe mon short et va se blottir dans mon entrejambe. Pendant ce temps son autre main glisse contre ma poitrine, me palpe, me pince un peu les tétons.

Aussitôt je bande comme un fou, je retiens mon souffle de peur de me trahir, mais tout le monde dort déjà. Il approche sa bouche de mon oreille, murmure: "Tu vois comme on est bien, repose-toi, laisse-moi te bercer." Je sentais le chaud de cette main qui suavement me caressait les couilles et la bite, lentement mais savamment. Il soufflait un peu, me léchait l'oreille, me disait que j'avais une peau douce. Il a accéléré un peu le mouvement de sa main dans un geste que je ne connaissais que trop bien pour le pratiquer des tas de fois moi-même tous les jours en recommandant mon âme à Dieu (catéchisme oblige).

 

La religion pour rempart :   "Tu sais ce n'est pas un péché si c'est fait avec amour."

Il me disait encore: "Tu as déjà fait ça tout seul? Avec d'autres?" Comme je n'osais pas répondre, il insistait: "Tu sais ce n'est pas un péché si c'est fait avec amour." Etc.. Moi à ce stade je ne demandais même plus d'être convaincu de la bonté divine, je n'allais pas tarder à gicler, ce qui a fini par arriver. Il a ritdoucement et m'a dit: "Dis-moi si tu as aimé, comme ça on pourra recommencer à jouer tous les deux n'est-ce pas?" Moi je bredouille un "Voui mon père!" aux senteurs de sperme.

Quel départ en fanfare!

 

Le camp s'organise, les activités sont nombreuses. Le trajet en voiture me chiffonne encore un peu mais j'oublie tout et me livre à la joie du moment.

"On va jouer à un jeu de piste. Rendez-vous à la rivière." Bien sûr, c'est le père François qui a cette idée géniale. Tout se passe bien on se retrouve à la rivière et épreuve suprême, il faut conquérir la place. Pour cela il faut faire une bataille dans l'eau. "Tous à poil et on y va!" crie le père. On obéit comme un seul homme. Lui, pudiquement (gueule cassée mais pas manchot) garde son maillot de bain, sans doute pour qu'on ne voie pas son émoi devant tant de jeunes queues en l'air. On se précipite les uns contre les autres, on se bat. Le père n'est pas le dernier à la manoeuvre: c'est beau, c'est viril, c'est sain, la jeune Belgique en pleine santé!

Tout d'un coup il me saisit par derrière à bras le corps et me renverse (normal c'est dans le mouvement) Il m'entraîne sous l'eau par le poids de son corps, je manque m'étouffer par la tasse que je prends, mais on est déjà sous l'eau et je sens sa bite dressée contre mes fesses, raide, dure. Il n'a aucun effort à faire pour la glisser dans la raie, je suis nu comme un ver. Les autres hurlent, se battent, s'éloignent de nous, entraînés par un léger courant. Moi je suis toujours enserré entre ses muscles de fer, je sens sa bite qui se pose sur mon trou du cul et qui commence à pousser pour entrer. Il me fait mal, je crie, il se retire, revient appuie de nouveau, je me débats. En cherchant à nager, j'ouvre mes jambes et me voilà dans la position de la brouette japonaise. C'était tout ce qu'il lui fallait, l'expert s'enfonce d'un coup. Il fallait le faire parce qu'à cet âge là, je n'en avais pas un large, de trou.

Je m'agite sous la douleur et je suppose qu'il était en manque parce qu'il jouit instantanément, juste une petite giclée, en plus dans l'eau je ne pouvais pas bien juger (par la suite j'ai vérifié la quantité de sperme qu'il pouvait lâcher ! ) et se retire. Juste à temps parce que les autres arrivent. Ils nous cherchaient bien sûr. Moi je me tire comme un voleur. La fin de la journée se passe. Je suis dans la plus grande confusion, j'ai mal au cul, personne n'a rien vu (apparemment), je n'ose rien dire de peur de me faire jeter ou de me faire traiter de pédé par les autres (à cet âge on n'était pas tendre sur le sujet). Et puis il faut bien dire que la situation ne me laissait pas indifférent, loin de là. Jusqu'à un certain point je n'étais pas dupe et content d'avoir été "honoré" par un adulte rassurant.  

Le lendemain c'est samedi, veille du dimanche, il faut aller à la confesse. Ça se passe sous la tente individuelle du père. Chacun son tour. Moi je traîne, je ne sais pas ce que je vais bien pouvoir dire, je vais tout de même pas confesser qu'il m'avait violé. J'arrive bon dernier. Le père me fait entrer, il me sourit et me dit: "Tu n'as rien à confesser, tu es un être pur et je suis là pour t'aider à te trouver." Là-dessus suit une longue explication sur la volonté divine pendant que naturellement (on est déjà intimes n'est-ce pas?) il me prend la main m'attire vers lui et me fait asseoir sur ses genoux.

Je commence à connaître la bosse qui pointe sous sa soutane. Il me prend la main, me la pose dessus et m'explique que lui aussi, c'est comme moi, il aime bien qu'on la lui frotte, comme il me l'avait fait dans la voiture. Donc je la lui frotte, le tissu de la soutane est rêche, il la soulève. Sa bite est dressée sous son caleçon de militaire, comme il y a une grande braguette, elle sort instantanément. Moi je n'en ai jamais vu des comme ça, je veux dire de bites d'adultes, grosses, veinées, avec un gland qui me paraissait énorme. Je n'ai vu et touché que celles de mes copains avec qui on se branlait en choeur en se racontant des histoires cochonnes. On passait notre temps à mesurer la croissance de nos organes.

La situation devient intéressante, la sensation de cet engin dans ma main est nouvelle, ce n'est pas l'impétuosité des copains, c'est une vibration profonde, des sursauts, c'est chaud, très chaud et très doux à toucher. Je m'étonne qu'il ne jute pas après deux ou trois aller-retours. Sa voix se fait douce, il m'embrasse dans le cou, me caresse les fesses, me dit: "Oui c'est bien mon tout petit, mon petit ange venu du ciel pour me rendre la vie douce." Moi je suis là à le branler, je ne sais que faire d'autre. Je sens son haleine, sa langue et sa bouche sur ma peau. Il défait ma chemise pour me lécher la poitrine, me mordiller les seins. Je n'ai jamais imaginé rien de tel. Je sens aussi monter l'odeur de sa bite, cette odeur forte qui monte, s'amplifie, me remplit les narines et me fait entrouvrir la bouche pour en aspirer un peu plus les effluves.

Lentement il me fait m'agenouiller devant lui, prend ma tête entre ses mains et l'approche de sa queue. Il me dit: "Sens comme ça sent bon, mais c'est meilleur à goûter." C'est sûr, il est déjà au septième ciel. Sous la pression, ma bouche se colle contre sa bite, il s'arrange pour qu'elle soit bien contre mes lèvres. Ma bouche s'ouvre naturellement, ma langue se tend vers le gland tout couvert de jus, je goutte, c'est salé,. Il pousse un gémissement et s'avance brusquement en me pressant la tête vers son ventre. Je l'ai toute entière dans la bouche. Elle n'est pas grande, plutôt courte mais large, trapue,  et elle est chaude, très chaude. Je referme ma bouche, il se met à bouger pour la faire entrer et sortir. Il me dit: "Fais comme ça, oui, agite ta langue, aspire-moi."

Je pose mes lèvres autour de son gland, juste le gland dans la bouche bien fermée et j'aspire, le gland se gonfle, la bite augmente de volume. "Encore ! (il gémit) Oui encore petit diable! (tiens j'ai changé de département, après les anges, le diable) Encore et encore!" Je ne trouve pas ça désagréable, la situation me paraît très naturelle maintenant. J'aspire, pour retrouver mon souffle j'ouvre tout grand ma bouche et la referme sur le membre entier. Je monte, descends et entame un va-et-vient. Il est aux anges.et moi content de faire le bien !  

Je le sens tout d'un coup se tendre, sa bite vibre fort dans ma bouche. Sa main me tient ferme, je ne peux pas me retirer et il gicle violemment dans ma bouche, une fois très fort, deux fois, et encore, il ne s'arrête pas. Moi je suffoque, j'avale tout ce que je peux, j'en ai plein qui me dégouline sur le menton et les joues. Ça a un goût acide, ça ressemble à mon goût quand je me lèche les mains après m'être branlé, une texture un peu différente de la mienne, plus épaisse peut-être. Il se ramollit, me lâche, me prend dans ses bras, m'embrasse, me remercie et me dit: "Maintenant va te repentir, récite une douzaine de Notre Père, mais avant, lave-toi la bouche, ne sois pas sacrilège..." ajoute-t-il.

 

Je suis revenu sous la tente avec les copains avec un peu de mal à m'endormir après l'extinction des feux. Ce camp aura été instructif au-delà de mon imagination.  Si je pensais devenir un soldat de Dieu viril et respecté comme le père François  je me retrouve pute de l'aumônier !  Au moins la peur initiale s'est envolée et j'ai découvert que j'avais un avantage: un plaisir supplémentaire, un secret que les autres n'avaient pas. Je faisais vraiment mon éducation sexuelle au lieu d'avoir à l'imaginer.  Je réfléchissais à tout ça. Est-ce que je devais le dire? Je savais bien que non parce que je risquais de me faire jeter du camp avec toutes les conséquences. Et puis ça me plaisait. Alors autant en rester là et voir la suite.

 

Le reste du séjour s'est bien passé. Le père François m'avait nommé "ordonnance" ce qui voulait dire que je prenais soin de son installation. Je lui faisais son lit, lui apportais son petit déjeuner, et débarrassais son dîner. Ce qui faisait que j'étais toujours sous sa tente à un moment crucial: lever, sieste, coucher. Il était donc normal que je m'attarde à la besogne. C'était donc de longues séances de pipes qui le remplissaient d'aise. J'étais plus que consentant à ce moment là, la glace était rompue, j'étais abondamment abreuvé de sperme frais tous les jours en guise de lait chaud le matin et d'infusion le soir. Ça me donnait des couleurs. Il me branlait aussi, il aimait jouer avec ma bite, il l'embrassait, me suçait un peu mais ne me laissait pas aller jusqu'au bout, ce qui faisait que je me branlais comme un malade après ça. Moi j'aimais vraiment le sucer, c'était le principal, j'avais pris goût à le sentir jouir dans ma bouche, j'aimais ça, la longue vibration qui annonçait la montée de sa giclée. J'en sortais barbouillé de sperme, j'aimais aller dormir avec ce goût dans la bouche. J'en rêvais et me branlais en y pensant.

Peu après, un soir, il me fait allonger près de lui dans son sac de couchage. Il me déshabille, je suis nu contre lui (je ne sais pas pourquoi mais il gardait toujours son caleçon, ce qui était un peu cocasse et me donnait envie de rire). Il me retourne et presse sa queue déjà dure contre mes fesses. Je vois où il veut en venir. Je me souviens de l'épisode du bain, je n'ai pas envie d'avoir mal alors je veux me dégager, mais il est le plus fort. Je finis par me calmer et me soumettre à son désir. Il me caresse les fesses, les entrouvre, me touche le trou. Il soupire de plaisir. Il a un mouvement que je ne peux voir et je sens ses doigts emplis d'une matière grasse et visqueuse qui m'enduisent le cul. Je sens par le contact sur mes fesses que sa bite en est toute enduite aussi. Il me dit: "Tu vas voir, ça ne va pas te faire mal, laisse-moi faire."

Je sens un des ses doigts longs et durs me forcer pour ouvrir le passage. Je ne résiste pas, la vaseline fait son effet, le doigt entre comme dans du beurre. Ça me fout des fourmis partout de sentir son doigt aller et venir doucement. Il le ressort, l'enduit encore de vaseline et entre de nouveau. Il le fait tourner doucement. Je me sens m'ouvrir, m'élargir, sensation nouvelle, les fourmis repartent à l'assaut de mes reins. Son doigt s'enfonce plus profond, il me touche je ne sais où là au fond et ça me fait bander tout d'un coup. Je me cambre sous ce plaisir nouveau, j'ai envie qu'il me retouche là où ça m'a fait tant plaisir, m'offre à sa pénétration. Il enfonce encore son doigt, je frémis sous le toucher, c'est trop bon. Je sens un deuxième doigt qui essaie de se faufiler, j'ai peur, ce n'est pas possible qu'il y arrive, mais c'est un expert, j'ai deux doigts dans le cul et c'est toujours aussi bon.

Il retire ses doigts, je devine qu'il approche sa queue, je sens le gland contre mon trou, ce gland dont j'ai appris à aimer la douceur et le satin, dont je connais la forme et le contour (une main de fer dans un gland de velours pensais-je alors pour me faire rire). Je sens sa chaleur, je le sens qui glisse sur ma raie sous l'effet de la vaseline. Il me fait mettre à quatre pattes, me fait baisser la tête, je m'appuie sur les coudes, me fait me cambrer (plus tard j'aurais dit tout de suite qu'il m'a fait mettre en levrette, mais à l'époque j'ignorais tout du vocabulaire utile). Il s'agenouille entre mes jambes. Comme il n'est pas grand, mon cul et sa bite sont à la même hauteur, donc je suis juste dans la ligne de mire de sa queue. Il m'entoure la taille d'un bras, saisit sa queue de l'autre main et me tire vers lui avec une force incroyable, ferme, en même temps qu'il pousse sa queue dans ma fente.

Je tressaille sous la douleur intense, mais il s'enfonce déjà. Il s'arrête, attends que je l'accepte. Je ne sais pas si je veux le rejeter ou qu'il s'enfonce davantage mais je sens la chaleur de sa bite qui se répand dans mes reins. Comme je l'ai dit, il n'avait pas une grosse bite mais elle était dure et très, très chaude, un vrai fer à souder. Je commence à bander sous l'effet de cette chaleur. Je me pousse vers l'arrière et il s'enfonce jusqu'au ventre. Je sens ses poils sur mes fesses, ses couilles contre mes cuisses. La bite enfoncée me donne encore plus de jouissance que le doigt tout à l'heure. Ce n'est pas comme dans l'eau où la surprise et la rapidité de l'action m'avaient laissé sans réaction. C'est vraiment très bon cette fois.

Il bouge. Se met à faire un va-et-vient qui s'accélère. J'ai le trou du cul en feu tellement sa chaleur m'irradie, j'ai la queue qui se tend et qui bat sur mon ventre. Je n'en peux plus, je me mets à gicler à tout va. Il s'agite encore il éclate dans mon cul, je sens le jus chaud qui m'envahit. "Putain quel pied!" je pense. Il se retire doucement. Je me demande comment je vais pouvoir marcher après ça. sans que ça se voie. J'ai envie de rester là dans cette position, le trou offert. Il a sans doute récupéré très vite parce que je le sens qui se remet en position et qui s'enfonce de nouveau. Cette fois-ci c'est facile, il n'a pas besoin de faire d'effort, c'est moi qui gémis maintenant, il me fouille avec sa queue, je me remets à bander, je découvre avec délices qu'il y a un point critique dans moi qui me fait entrer en transe quand il le touche de son gland. J'ai l'impression que ma bite est le prolongement de la sienne à travers mon cul, je nage en plein délire quoi !  C'est plus long à venir la deuxième fois, ça dure et je ne veux pas que ça s'arrête. Je le sens qui vient, il pousse un cri rauque quand il se met à juter, je ne veux pas perdre cet instant, je me branle et gicle tout partout. À ce moment-là je réalisais que j'avais pris un plaisir immense à me faire enculer. Les traces de mon sperme sur mon ventre et sur le sac de couchage le prouvent.

Ça a continué jusqu'à la fin du camp. Les terminaisons nerveuses de mon anus et mon rectum attendaient la visitede sa verge avec une impatience qui me prenait aux tripes. J'étais à lui...autant que son plaisir dépendait de moi.  Une fois, il s'est assis et m'a fait asseoir sur lui de dos, il m'avait bien préparé comme d'habitude, je me suis empalé sur sa bite. Pendant que je le branlais avec mon cul, il me branlait de sa main si experte. On en a fait plein comme ça.

 Le camp a fini, nous sommes repartis dans la même voiture, une dernière pipe à mon "confesseur" sur le trajet de retour avant de se quitter.

L'expérience du rejet :

J'avais bien senti qu'on me tenait un peu à l'écart. On me faisait des réflexions ironiques et pleines de sous-entendus. L'un d'eux, plus envieux que méprisant, a fini par me dire que personne n'avait été dupe. Le père François était connu pour son amour pour les jeunes éphèbes et que j'avais été la proie idéale. D'autres y étaient passés avant moi, tout le monde était allé à la "confesse" au moins une fois et tous les ans, au camp d'été, il avait une "ordonnance" qui s'occupait de lui au propre et au figuré.

Je ne sais plus ce qui a été le plus fort: le dépit, la jalousie ou la colère d'avoir été tout ce temps là la risée des autres. Ma conviction religieuse a été brisée à jamais. Je n'ai plus revu ni les scouts ni les pères franciscains. En contrepartie, les séances de branlettes avec les copains se sont transformées en séances de suçage de queues et enculage à la chaîne. Je profitais de ce que j'avais appris à la "confesse". Je savais que mes copains n'avoueraient jamais que je leur taillais des pipes ou qu'ils m'enculaient sous peine de mourir de honte. Il y en a quand même qui se sont révélés et avec qui... mais, comme disait Kipling, ceci est une autre histoire.

 

 

Hummmh 

frémir comme autrefois à l'approche de notre initiateur...

 

 

 

 

 

Présence  des scouts dans les gay prides  pour l'admission des scouts gays.

Members of the Boys Scouts of America and some of their families marched Sunday in Salt Lake City's Utah Pride parade.

 

il a fondé une asociation aux USA

Eagle Scout Zach Wahls of Iowa City, Iowa, founded Scouts for Equality. David Manning / Reuters

 

Scouting for All Rainbow Patch donnez-moi un badge arc-en-ciel "king size", à moi !

 

Droit à l'humour : extrait du très sérieux Nouvel Observateur 

 Le père Benedict Groeschel lors d'une cérémonie en 2011 (DR)

 

Un prêtre américain a déclenché un tollé en affirmant, dans une interview donnée à un journal catholique, que certains enfants "séduisent" les pédophiles et que ces derniers ne sont pas forcément des criminels.

Haute figure du diocèse de New York, par ailleurs diplômé en psychologie, le père franciscain Benedict Groeschel s’exprimait, le 27 août dernier, sur le site du très sérieux "National Catholic Register" sur le cas de Jerry Sandusky, un entraîneur de football américain condamné cet été pour pédophilie. iLN'Y A QUE LUI QUI LE VOIT COMME CA ! ¤

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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