Mardi 13 août 2 13 /08 /Août 23:45

RECITS REELS (40) suite 3/3

Quasiment pris de force par les deux déménageurs, Diégo finit par jouir et rejoindre les deux complices dans un certain plaisir...Les violeurs pourraient bien craindre une plainte...

 

— Tu vois bien, môme que t'as fini par y prendre goût... Ricane le grand Robert lorsque Diego sans se faire prier a repris place dans le camion.

Celui-ci ne répond pas. Pour peu il rougirait. Il se contente de soupirer les yeux baissés sur ses skets.

— Fous-lui la paix, plaide Paulo. Tu vois pas que tu l'intimides?

— Il me semble qu'on est maintenant assez intimes pour qu'il se déboutonne, ricane le moustachu en lui passant la main sur la braguette.

Cette fois, le gamin esquisse un léger sourire et se laisse peloter par la grande paluche du routier.

— C'est qu'il me ferait re-bander, grogne ce dernier.

— Ah non! Proteste Paulo. Tu ne vas quand même pas remettre ça. Maintenant on est vraiment à la bourre.

— T'as bonne mine, on serait déjà arrivé si t'avais pas insisté pour bourrer le môme, grand dégueulasse.

—... et ça t'a donné des idées, salaud... si on continue comme ça on n'en finira pas.

Cette fois Diego se détend pour de bon. Il esquisse un sourire et déclare:

— Ce serait vraiment un cercle vicieux...

— Bien trouvé s'exclame le beau Bob, il ne manque pas de répartie, le moujingue.Alors, ajoute-t-il en lui caressant la nuque, tu nous en veux pas trop?

Diego en train de "digérer" cette expérience  fait non de la tête.

— Tu vas porter le pet?

— Sûrement pas.

— Tu diras rien à ta tante?

— Ça fait rien, de toute façon elle est sourde.

Ils s'esclaffent tous les trois. L'atmosphère est nettement détendue, tandis que le camion continue sa route vers le Nord. Dans le premier bourg qui se présente, Robert range le camion dans une station service pour faire réparer le pneu crevé. Paulo a tout de suite remarqué qu'il y a un bistrot juste en face.

— Si on allait s'en jeter un? Les émotions m'ont donné soif...

— Bonne idée répond Robert, moi j'ai comme un petit creux pas toi, môme?

— Je mangerais bien un croissant admet Diego.

— Un croissant, un croissant! Ricane le moustachu. Tu vas faire comme nous, tu vas te taper un vrai casse-croûte de déménageur. T'en auras besoin parce que tu vas nous aider...

— À quoi faire? S'inquiète le petit jeune homme qui suit les deux compères en direction du café de la Poste.

— On a une maison à déménager, tu peux bien nous donner un coup de main, non?

— Si vous voulez, accepte le jeune homme... Pourvu que j'arrive chez ma tante avant ce soir...

Quelques instants plus tard, installés tous les trois comme d'honnêtes travailleurs autour d'une table de marbre, ils dégustent à belles dents des sandwiches au pâté qui sont longs comme l'avant-bras de Paulo. Celui-ci en est à son troisième ballon de rouge alors que le beau Bob s'est contenté d'un petit Sancerre. Faut pas déconner quand on conduit un bahut comme le sien, explique-t-il la bouche pleine.

Malgré les insistances des deux complices Diego s'est contenté d'un Coca-Cola, mais il ingurgite quand même tout son sandwich gigantesque...

— Faut croire que ça t'a creusé, petit gars, ricane le grand Robert en lui faisant du genou sous la table.

Les voici maintenant tous les trois dans le pavillon qu'ils doivent vider de tout son mobilier. Les occupants sont déjà partis prendre possession de leur nouvelle demeure sur la Côte d'Azur.

— Dommage que tu ne veuilles pas rester avec nous, môme, ça te ferait une belle balade, a dit Paulo.

— Dommage, a répondu Diego sensible à la gentillesse des deux compères.

— Pour commencer, a déclaré Robert, je m'en vais prendre une douche et je vais me changer, tu peux en faire autant si tu veux, Diego.

— Je veux bien...

Paulo aussi trouve que c'est une bonne idée, excepté pour ce qui est de se changer car il n'a rien d'autre que le "jean" mutilé  qu'il a sur le dos. Diego frémit en regardant les nudités musclées des deux machos qui s'ébrouent sous la douche. Il s'est changé rapidement car il craint une nouvelle attaque sexuelle.

— Regarde comme il est mignon avec son petit débardeur rouge... c'est de circonstance... Moi j'en ai un bleu roi...

— Trêve de coquetterie, maugrée Paulo, y a du pain sur la planche...

— T'as raison, ricane le grand Robert en se tâtant la moustache pendant qu'il examine le mobilier... Remarque que tout compte fait, on pourrait peut être prendre le temps d'essayer ce beau plumard... 

 

— Déconne pas, proteste Paulo d'une voix mal assurée car il avait eu la même idée mais n'avait pas osé l'exprimer craignant de se faire rabrouer par son chef.

— Je déconne jamais dans le boulot, rétorque celui-ci, et quand j'ai décidé quelque chose, je le fais...

Alors s'approchant sournoisement du petit jeune homme il lui fait un croc en jambe et le balance sur le grand lit malgré ses protestations..

— Ah! Non, dit-il en voyant Paulo et Bobo se précipiter sur lui... Vous n'allez pas recommencer... J'étais resté seulement pour vous donner un coup de main...

— Moi je pensais plutôt à un coup de bite, plaisante le moustachu en lui empoignant les fesses...

— Non... Non... J'ne veux pas... Arrêtez ou je crie...

— Tu peux gueuler tant que tu voudras, tu sais bien qu'on est en pleine campagne et puis j'ai fermé la baraque au verrou... Remue pas comme une anguille, petit con... Tiens-le, Paulo que je lui sorte la queue...

Devant ces deux machos de nouveau déchaînés, le petit comprend bien que toute résistance serait vaine et il s'abandonne passivement à leur entreprise. En un clin d'oeil des mains avides ont baissé son petit short et mis ses fesses à l'air.

— Vise un peu ce petit fion, grogne le grand Robert, ça ferait bander un moribond.

Ce n'est certes pas son cas ni celui de son acolyte, car leurs queues manifestent la preuve de leur vitalité en gonflant leurs culottes. S'y trouvant à l'étroit, elles en jaillissent comme des diables d'une boîte dès que les fermetures à glissières sont baissées par les doigts impatients des deux complices. Ils bandent déjà comme des carmes.

— Regarde Diego... Ça va être ta fête...

— Laissez-moi, je ne veux pas... Vous allez encore me faire mal...

— Y a pas de "je veux pas", en voilà des manières... Commence par sucer mon chibre et après on verra...   Y'a pas à discuter.

Robert a pris Diego par la tignasse et approche son énorme braquemart du visage juvénile qui fait la grimace.

— Fais pas cette gueule-là, môme... On dirait que t'as jamais vu une grosse bite... Puis de toute façon, celle-là tu la connais déjà...

— Elle m'a fait trop mal, proteste faiblement l'adolescent.

Mais qu'il le veuille ou non, il est bien obligé de céder devant l'insistance du macho qui le tire douloureusement par les cheveux en avançant son gland vers ses lèvres.

— Suce, que je te dis, répète-t-il... Allez, ouvre le bec, mon bel oiseau...

Alors, vaincu, une fois de plus, Diego prend en bouche la terrible verge qui s'enfonce doucement sur sa langue pour lui emplir complètement la cavité buccale. Moins affolé que la première fois, un peu excité même, il s'acquitte assez bien de cette corvée qui lui est imposée par la force. Le vit du déménageur frémit d'aise entre ses lèvres qui glisse sur sa hampe en un va-et- vient lascif.  Bob, terriblement allumé, se penche en avant pour empoigner les fesses nues du gamin, il les pelote l'une après l'autre dans son immense paluche et s'amuse à glisser ses gros doigts dans la raie médiane pour chatouiller l'entrée de l'anus.

Afin de se trouver plus à l'aise pour pomper cette immense queue, le jeune homme se tourne sur le côté tandis que l'homme continue à lui caresser le cul.

— Nom de Dieu, s'écrie Robert, tu bandes, petit gars... 

 En effet, très excité , le gamin exhibe une magnifique érection.

— Tu parles d'une belle queue pour un petit mignon comme toi, grommelle le macho en admiration devant le beau dard qui se dresse dans toute sa splendeur.

Il le prend en main et le palpe délicatement, faisant glisser la peau pour bien dégager le gland merveilleusement gonflé...

— T'aime ça, dis... C'est bon de sucer une grosse pine?

Diego fait oui de la tête sans lâcher sa proie de chair. Il aurait mauvaise grâce à ne pas acquiescer car son partenaire a des preuves en main... Paulo qui visionne cette scène lubrique n'y tient plus. Il s'approche et s'agenouille sur le lit pour offrir une deuxième queue au jeune suceur de bite.

— Prends-les deux dans la bouche, lui suggère le grand Robert.

Diego ne proteste plus, il attrape les deux braquemarts par la base, met les deux énormes glands en contact, ce qui fait tressaillir les machos, puis passe la langue dessous pour les lécher, mouille frénétiquement à petits coups successifs et fort bien distribués sur chaque frein.

— Ah! Le salaud, constate Paulo, qu'est-ce qu'il m'excite...

— Et moi donc, surenchérit le beau Bob.

Diego se laisse aller maintenant à sa nouvelle passion. Ces deux bites l'excitent follement. Il les prend dans la bouche l'une après l'autre et leur dispense les caresses de sa langue bien juteuse de la salive qui lui vient à la bouche comme lorsqu'il a envie d'une friandise.

— À lui, dit Robert... (Diego pompe la bite à Paulo... )

— À moi maintenant.

Le petit prend celle du moustachu dans la bouche et la tète gloutonnement...

— On fera quelque chose de toi soupire celui-ci...

Puis alors que le môme a repris la queue de son coéquipier entre ses lèvres, il  ronronne dans sa moustache.

C'est le moment de passer aux choses sérieuses. Puis il ajoute, soulevant le petit par les hanches.

— Mets-toi à genoux pour pomper mon petit pote, que je m'occupe de tes fesses...

— Non... Pas ça, Bob, implore Diego de nouveau inquiet.

— Juste un petit coup vite fait, petit gars... Je vais fais faire attention, je te ferai pas de mal...

— J'ai peur, soupire le jeune en sentant le gland fourrager dans la raie de son petit cul.

— Tais-toi et suce, ricane Paulo en lui refourrant sa queue dans la bouche, puis il ajoute:

 

    

— T'as pas besoin de t'occuper de ce qui se passe derrière toi...

— Non... Non... Ça fait trop mal, proteste de nouveau Diego se tortillant comme un ver pour échapper aux entreprises du moustachu...

— Pourquoi que tu veux pas, grogne ce dernier... Tu préfères que ce soit mon copain qui te la mette?

— Oui répond le petit... Oh! Oui... Tu me fais trop peur avec ton gros morceau.

— Question d'habitude... Ricane Robert... Vas-y, Paulo! Baise-le puisque c'est toi qu'il préfère, je suis pas chauvin...

Diego se sent coupable et pour se racheter, caresse les couilles du chef déménageur qui s'est agenouillé devant lui...

— Je veux bien vous sucer, soupire-t-il...

— Eh ben faut pas te priver, mon petit pote...

Il a repris la bite monstrueuse dans la bouche tandis que celle de Paulo fourrage du côté de son trou du cul. Quand la pénétration a lieu il pousse tout de même un grognement de douleur sans pour cela lâcher la grosse queue de Robert. Mais comme l'a dit ce dernier tout cela n'est qu'une question d'accoutumance. Il apparaît maintenant que le conduit anal du gamin commence à s'accommoder doucement des va-et-vient répétés du braquemart du second déménageur. Robert sourit dans sa moustache en voyant les reins du petit sodomisé qui se mettent soudainement en branle prenant le rythme du coït anal qui lui est imposé.

— Il aime ça, le salaud, grommelle-t-il entre deux soupirs de volupté, car la langue de son jeune suceur fait merveille sur son gland rubicond.

Et voilà que soudain c'est le miracle. Le petit jeune homme timide ne se pose plus de questions, c'est sa chair juvénile qui répond pour lui. Les coups de braquemart qui lui défoncent l'anus lui procurent d'un seul coup une extraordinaire sensation de plaisir. Alors il se met à gémir, il lâche la queue de Robert pour cacher son émoi entre ses mains comme s'il avait honte de ce qui lui arrive, et il geint de volupté alors que les coups de boutoir redoublent au tréfonds de son ventre envahi.

— Tiens, tiens, salope, prends tout, grogne Paulo qui se réjouit de faire du bien à ce jeune enculé de fraîche date... Tiens, prends-la bien, ma belle queue... Régale-toi... Prends-la bien au fond de la chatte, cochon... 

 

 

— Oui... Oui... S'entend gémir Diego... Oui... Donne...

— Dis-moi. que c'est bon, salope, dis-le...

— Oui, c'est bon... Oh! Oui...

— Dis-moi que tu aimes ma pine...

— Oui... J'aime ta belle pine... Oui... Défonce-moi... Encore, Paulo... Encore!

(Il se déchaîne le môme, il ne s'y attendait pas. Jamais il n'aurait pu imaginer que c'était si extra de se faire mettre ça dans le trou du cul... Oh là là... Quelle révélation... )

— Tu vas me faire jouir, remue-le bien, ton petit cul.. remue-le... Je vais te décharger dedans, tu le veux mon sperme, dis... Tu en demandes...

— Oui... Donne... Éjacule, donne ton foutre...

Diego crie, Diego remue les reins, Diego est dans tous ses états, une folle envie de jouir lui envahit les lombes cette présence dans son anus, cette vitalité qui remue en lui le transporte vers des sommets inconnus d'extase lubrique...

— Donne, donne gémit-il tout en se caressant les lèvres avec sa petite langue...Donne ton sperme dans moi... Viens...

— Tiens, salope, marmonne Paulo entre ses dents serrées... Tiens, je décharge.

— Oui, je te sens. Hou... C'est super... Oui... Encore...

Selon son habitude Paulo a réservé ses dernières giclées pour inonder les reins de son jeune amant. Il aime voir jaillir son sperme sur un cul de partenaire. Penché en avant il se délecte à la vue des giclements lourds qui se répandent sur l'épiderme délicat du minet sodomisé.

— C'est bon, souffle-t-il dans un râle tandis que le grand Robert qui attend patiemment son heure se tripote le bout de la bite en contemplant le tableau.

Dès que son équipier essoufflé par son éjaculation démente s'est retiré de la chair du jeune homme, il le pousse d' une bourrade et prend aussitôt sa place.

— Bouge pas Diego, ricane-t-il, maintenant que t'es rôdé, tu vas enfin pouvoir apprécier ma grosse queue à sa juste valeur...

— Doucement, je t'en prie... Doucement Bob... Ne me défonce pas comme tout à l'heure... Tu me fais peur avec ton énorme pieu...

— Je vais te ramoner gentiment, mon enfant, avec toutes les précautions possibles, tu vas voir... Tu en redemanderas... 

 

   

Diego se retourne affolé mais excité à la vue de l'imposant épieu que son secondpartenaire lui promène gentiment sur les fesses...

— Tu sens comme je bande, môme?

— Oui mais j'ai peur...

— T'as peur mais tu bandes, ricane le monstre, y a de l'espoir...

— Mets la juste au bord, je t'en prie, implore le gamin lorsque le gland puissant est en train de pousser sur son petit anneau encore tout frémissant des coups de pine qu'il vient d'encaisser.

— Je te promets, petit gars... Laisse-moi faire... J'ai envie de ton cul... Mais je vais y aller doucement... Puis il ajoute avec un sourire en biais, la douceur, y a que ça de vrai...

Pourtant, il pousse, le salaud, Diego le sent bien. Sa rondelle brune est violée une fois de plus par cet instrument démesuré, il le sent pénétrer à fond dans son anus... Ça fait mal, il se plaint, il proteste...

— Non Bob... Non...

— Tais-toi, donne-moi ta langue, donne j'ai envie de ta bouche.

Et alors, il se passe encore quelque chose d'insensé. Lui qui avait failli vomir la première fois que le macho lui avait imposé ce baiser lubrique, il a envie lui aussi de cette bouche entrouverte et de cette langue virulente qui appelle la sienne et apaise totalement la douleur. Il colle délibérément ses lèvres sur celles du grand costaud moustachu et savoure sans arrière pensée ce baiser qu'il avait jugé abominable. Il apprécie même le menton râpeux du beau mâle, il se sent soudainement dans la peau d'une femelle en rut prête à subir n'importe quel assaut sexuel. L'autre l'a bien compris aussi en même temps qu'il fourre sa langue dans la bouche chaude du jeune garçon,. il pousse son braquemart jusqu'au fond de l'anus qui finalement l'accueille. Il y va maintenant à longs coups répétés, envahissant cette chair juvénile qui s'ouvre à sa volonté bestiale...

— Tu aimes ça, dis?

Et le petit Diego fait "oui" de la tête, le petit Diego remue son joli cul pour mieux avaler dans son conduit anal toute la longueur de cette immense queue qui le fouille. C'est ainsi que naissent les vocations...

Il n'a plus honte. C'est bon, ça lui fait du bien même avec la douleur, alors pourquoi pas? Puisque sa nature est ainsi faite, on ne peut pas prétendre que c'est contre nature... Le grand Robert sent qu'il a gagné la partie. Maintenant, adieu les précautions, il se déchaîne et laisse libre cours à ses instincts.

— Tu l'aimes, ma grosse queue, dis, môme?

— Oui... Elle est bonne... Pas trop fort... Arrête...

— Faudrait savoir ce que tu veux... Hein? Tu me dis oui, tu me dis non, comment veux-tu que je comprenne...

— Pas trop fort... Autrement ça va...

— C'est bon? Tu aimes que je t'encule, dis...

— Oui...

— Dis-le entièrement, j'aime bien...

— J'aime que tu m'encules... Puis, après un temps, il reprend: que tu m'encules avec ta grosse bite...

— Je t'en mets plein le cul, môme...

— Oui... C'est bon...

Alors ils se taisent et la sodomisation se poursuit, tantôt violente, déclenchant les protestations de l'enculé, tantôt douce, suivie de gémissements de plaisir de part et d'autre...

— Maintenant que tu aimes ça, chéri, dit finalement le macho, viens sur moi, on va bien se baiser tous les deux... Dis... Tu veux... Oui?

— Oui... Baise-moi... Oui...

Le grand Robert s'est étendu sur le dos, la pine en l'air. Diego s'assoit dessus avec précaution certes mais s'emmanche complètement sur le bel outil viril qui s'enfonce jusqu'à la garde dans son conduit anal. La main du sodomisateur se glisse au bas de son ventre et s'empare de son propre pénis démesurément gonflé par l'excitation.

— Tu bandes dur, petit gars... Tu aimes ça?

— Ouihhhh... Caresse-moihhhh...

— Tu veux que je te branle pendant que je te mets ça au cul dis?

— Oui, chéri, branle-moi... Branle-moi bien, j'ai envie de jouir...

La main de Robert monte et descend le long de la colonne bien gonflée, il caresse le gland de temps en temps avec son pouce mouillé et le jeune homme gémit de plaisir. C'est lui qui prend maintenant l'initiative de donner sa bouche à son baiseur; il lui passe la langue délicatement dans la moustache et la lui enfonce entre les lèvres jouant avec la sienne en d'interminables circonvolutions lubriques. Puis il se relève et s'empale à un rythme de plus en plus accéléré, se branlant lui même, car le besoin de jouir le tourmente.

— Donne-moi ton sperme, chéri, grogne le grand Robert. Donne-moi tout, je veux te voir décharger pendant que tu t'emmanches sur ma bite. Je viens... C'est bon...

— Attention, soupire Diego fou de lubricité, remuant le cul sur le puissant braquemart.

— Vide tes couilles, gamin, s'exclame Robert... Je vais jouir en même temps que toi

— Tiens... Tiens... Je décharge...

Le foutre jaillit du vit congestionné que le petit jeune homme tient dans sa main. Le beau Bob, grognant de volupté lâche sa semence dans les fesses envahies par son membre, puis lorsqu'il sort celui-ci tout dégoulinant de liquide épais, il le frotte contre le gland de Diego barbouillé de sa semence lourde...

— Et moi... Et moi... Et moi...

C'est Paulo qui entre en scène, la bite à la main, fou de lubricité après ce qu'il vient de voir...

— Dépêche-toi pendant que je bande encore, ricane le grand Robert, donne ton fion que je te la fourre dedans, puisque c'est ça que tu veux, ma grande salope... Du moins je le suppose...

— On ne peut rien te cacher, salaud... Donne-la, ta grande pine, pleine de foutre que je me régale...

Tandis que le jeune Diégo allongé sur le dos se reprend et joue les voyeurs,  ,    le deuxième macho ajuste le dard encore vibrant de l'autre sur la pastille culière de Paulo qui s'ouvre toute seule à son contact. Le reliquat de foutre facilite l'introduction. Paulo, la pine dans le cul, se branle comme un dément. Il avait tellement envie de jouir qu'en deux temps trois mouvements il envoie la purée grasse...

— Quelle averse, conclut le grand Robert... Tu parles d'une portion... Tu pouvais pas garder tout ça...

Il touille un peu dans toute cette sauce virile, puis reprenant tout à coup le sens des responsabilités, il déclare:

— Et maintenant si on pensait au boulot...

ÉPILOGUE

Ils se sont effectivement mis au labeur après ce déchaînement sexuel qui les a purgés pour un temps de leur trop-plein de sève... Diego n'a pas fait de difficultés pour mettre la main à la pâte, les deux machos complices lui laissant les objets les moins lourds à trimbaler sur ses frêles épaules...

— Dommage que tu ne restes pas avec nous, a soupiré le grand Robert lorsque le camion a été rempli... Ça t'aurait fait un beau voyage, je t'aurais payé normalement... Puis on se serait reposés ensemble...

— Je n'ai pas dit que je ne voulais pas vous suivre, a déclaré le petit jeune homme.

— Oui, mais y a ta tante?

— Je vais lui téléphoner que j'ai trouvé un job...

— Méfie-toi, a dit Paulo avec son éternel sourire en coin, comme elle est dure de la feuille, des fois qu'elle confonde le "J" de job avec le "z"...de zob !  Ils éclatent de rire !

— Elle ne sait pas ce que c'est, a rétorqué le petit Diego, c'est une sainte femme...

— Que Dieu la garde a conclu le grand Robert, respectueux.

Ils sont partis tous les trois vers le Sud, avec le chargement des meubles des rentiers.

Ils sont tellement sympas que parfois des touristes les photographient tous les trois en train de poser devant leur gros bahut. Si un jour vous tombez sur eux sur une aire de stationnement quelconque vous saurez que les deux machos sont Paulo et le grand Robert et que le petit jeune qui se tient entre les deux, c'est Diego, cet adorable adolescent promis à un brillant avenir mais à qui les circonstances et la révélation d'un certain penchant ont fait choisir le beau métier de déménageur. 

3/3 FIN

 

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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