Samedi 9 mars 6 09 /03 /Mars 22:33

 

 

 

 

Dans un dispensaire, et sur ordonnance d'un médecin du même établissement de santé, je suis allé passer une radio des poumons en urgence. Je toussais beaucoup depuis quelques jours et j'avais un goût de sang dans la bouche. C'est ce qui a poussé le médecin à me prescrire une radio.

Je vais donc au service radiologie, au sous-sol de cet établissement, et comme je suis envoyé par quelqu'un de la maison, je n'ai pas eu à attendre longtemps.
Une jeune femme en blouse blanche vient me chercher et me fait entrer dans une cabine en me demandant de me mettre torse nu.
Je me mets donc torse nu et là, j'attends, j'attends, j'attends dans cette tenue le radiologue, un bon quart d'heure. D'ailleurs je l'entends parler à travers la porte à un autre malade.
La porte donnant sur la salle de radio s'ouvre : et là apparaît un type en blouse blanche aussi, d'à peu près 55/58 ans (je devais avoir 25/28 ans). Il regarde l'ordonnance et me dit d'enlever aussi le pantalon, les chaussettes et les chaussures " à cause du métal ", précise t'il. Soit, cela se comprend : la ceinture du jean, la boucle des chaussures...

Je me retrouve donc en slip, sans aucune gène pour le moment. Puis, il me fait monter sur la planche pour commencer à prendre ses clichés, et lui se met derrière une vitre d'où il commande la machine à radio.
Il prend un ou deux clichés et revient vers moi, en disant que ce n'est pas bien d'être "comme çà", et il me baisse le slip d'un petit centimètre par devant et de 3 ou 4 par derrière.
Par devant, l'élastique commençait à montrer mes poils pubiens, par derrière, on pouvait très bien voir mes fesses ! Il est retourné derrière sa vitre et a continué à prendre des clichés.
Puis il est à nouveau revenu vers moi disant qu'il fallait que je sois un " homme " et qu'il fallait le "montrer sans honte". Il a baissé encore un peu mon slip par devant et a passé ses mains autour de mes parties, avec insistance. J'ai commencé à avoir une petite érection, ce qui lui a fait dire : "Ah, ça, c'est bien, t'es bien un homme (on notera au passage le tutoiement). Faut pas avoir honte ! On est tous pareil !"…

Maintenant, pour une radio des poumons, ce pour quoi j'étais venu, me voilà presque à poil, les fesses pratiquement découvertes, la verge dévoilée à moitié et les testicules légèrement apparents et comprimés par l'élastique (en plus, ça me faisait mal, mais il s'en moquait).
Que pouvais-je faire ? M'enfuir ? Comment ? Quitter la salle de radio tout nu ? Impossible ! Il en a refermé la porte ! J'ai du subir ce qu'il m'arrivait...
Mais le pire c'était qu'à la fin de l'examen, il m'a demandé d'attendre, comme ça, sans me rhabiller, au cas où un cliché serait raté... Et j'ai patienté devant lui, sans avoir le droit de remonter mon slip d'un millimètre (je l'ai quand même fait, il s'en est aperçu et m'a grondé, honte supplémentaire), comme si ce qu’il m’avait déjà fait subir ne suffisait pas !
fraternityrow: when its too heavy to bounce up when its released Quelques minutes plus tard, il m'a dit qu'il fallait reprendre un autre cliché (il m'a accusé d'avoir bougé), et là, il m'a entièrement déshabillé, lui-même, OUI, lui-même ! Il m'a baissé le slip et l'a posé par terre, à côté de la vitre et il a continué à prendre des clichés, mais très lentement. J'ai senti qu'avec son appareil, il m'examinait là où ce n'était pas nécessaire, d'une manière intrusive et offusquante !

J’ai vu passer l'objectif sur mon sexe de nombreuses fois, sans entendre le moindre déclic d'un cliché pris. Le radiologue ponctuait ses clichés par des "c'est bien", "c'est beau", "magnifique", et autres termes similaires ! Je ne savais pas où me mettre, j'étais rouge de confusion et de honte, je n'avais qu'une hâte, c'était de partir de cet endroit le plus vite possible, car j'étais de plus en plus en érection incontrôlée !

Quand enfin il m'a permis de me rhabiller, je suis vite retourné en cabine, mais ce monsieur a exigé que je laisse la porte communiquant avec la salle de radio ouverte (de toute les façons, il n'y avait que lui qui pouvait la fermer ou l'ouvrir). J'ai ramassé mon slip, j'ai voulu le remettre immédiatement, mais il m'a dit que je devais me rhabiller en cabine, question d'hygiène !
J'ai donc parcouru les 4/5 mètres tout nu, mon slip à la main, et en plus, je me suis rhabillé devant lui, puisque la porte de la cabine du déshabilloir était ouverte ! Quelle honte, après tout ça...

Je ne m'en suis pas tenu là ! Dès le lendemain, j'ai adressé un courrier recommandé AR au directeur du dispensaire dans lequel j'ai dénoncé les agissements du radiologue.
Peine perdue ! Mon courrier est resté lettre morte, le directeur du dispensaire n'étant autre que... le radiologue entre les mains de qui je suis passé. Je l'ai su plus tard...
Je ne suis plus jamais retourné dans ce dispensaire !   

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES
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