Lundi 2 juillet 1 02 /07 /Juil 08:00

bromance d'accord, mais si plausible, si souhaitable... 

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il a dû en voir de belles, Eithan, soumis aux caprices  -raisonnables ou fous- des clients vieux ou jeunes, étrangers ou israéliens ... MAIS IL  NE FAUT PAS Y PENSER  et vivre l'instant présent.

mais c'est son job, escort. Son site, sa pub :

 Image associée Image associée ses clients ordinaires

 

http://www.cyrillo.biz/histoire/souvenir-tel--aviv.html 

Tel-Aviv, je suis là pour un congrès international depuis quatre jours. Les conférences en anglais se succèdent les unes derrière les autres et mes journées paraissent interminables ! Heureusement ce soir c’est finit et je décide de rattraper un peu le temps perdu jusqu’à mon départ pour Paris le lendemain dans l’après-midi.

Les garçons sont beaux à Tel-Aviv ! Il y a beaucoup de jeunes minets très lookés qui fréquentent les lieux branchés très nombreux du centre ville. Tel-Aviv est une bulle de tolérance au milieu de l’hostilité qui règne dans cette région du monde.
J’aime bien les Israéliens en général. Certains sont vraiment très mignons et me font craquer. Souvent très bruns, ils ont les traits plus fins que les rebeus, et surtout beaucoup moins de poils. Ils ont aussi et c’est important beaucoup moins honte d’être PD, et de ce fait ils sont plus ouverts à la discussion et aux contacts.

Après ma dernière conférence, je rejoins ma chambre d’hôtel. C’est pratique je n’ai que l’ascenseur à prendre. Je prends une douche rapide, et je m’habille un peu plus décontracté, en jeans et en polo. Il n’est que 18h, j’aurais eu le temps d’aller à la plage mais en fait je suis trop excité, il faut que je me trouve un mec, et si possible qu’il passe la nuit avec moi. Car je me connais, un coup vite fait ne suffira pas à calmer mes ardeurs.

Je n’ai pas de mal à trouver un taxi, il y en a toute une file qui attend devant la réception du Hilton. La chaleur est étouffante, et le simple passage entre le hall de l’hôtel et la voiture fraîchement climatisée est une épreuve.
Le chauffeur me demande dans un anglais hésitant où je veux aller. En fait, à en croire la madone épinglée sur son tableau de bord, je pense qu’il est libanais. Je lui réponds en Français. Il me fait en grand sourire et me confirme qu’il est originaire du Liban et qu’il aime beaucoup la France.
C’est plus facile pour moi de lui expliquer que je veux qu’il m’amène là où l’on peut trouver des garçons qui font le trottoir…Car je voudrais en ramener un à l’hôtel pour la soirée ! Ainsi il pourra faire la course aller retour…et je lui promets un généreux pourboire s’il s’avère qu’il est un bon guide.

Il me conduit à travers les rues de Tel-Aviv. La circulation est très dense, et j’ai l’impression que l’on ne sortira jamais de ce merdier. Nous arrivons dans un quartier un peu plus populaire, mais pas très loin de celui des hôtels en front de mer.
Il s’arrête devant un immeuble un peu sale. Il me dit que c’est un bordel de garçons. A cette heure là, ils ne sont pas encore dans la rue pour la plupart. Il m’invite à rentrer pendant qu’il m’attend dans la voiture.

Je pousse la porte vitrée et me retrouve devant une petite réception semblable à celles des hôtels au mois que l’on trouve dans certains quartiers de Paris. Un mec baraqué et plutôt du genre mal aimable me parle en hébreu. Il doit faire office de videur. Je lui réponds en anglais que je cherche un jeune mec pour passer la nuit. Il me lance un regard pervers comme s’il m’imaginait en train de baiser…

Il me demande quel style de mecs j’aime. Je lui dis, environ vingt ans, plutôt mince et peu poilu. Il a l’air peu convaincu et surtout peu empressé à me répondre. Je lui réponds que les garçons un peu efféminés ne me déplaisent pas. Il esquisse alors un regard encore plus pervers que le premier et me dit qu’il a exactement ce qu’il me faut.
Sans bouger sa graisse de son siège, il décroche le téléphone et parle quelques secondes en hébreu. Il raccroche et me demande d’attendre quelques minutes.

Je ne suis pas déçu, un jeune garçon arrive du fond du couloir. Il me fait un grand sourire et me dit d’une voix assez aiguë et un peu efféminée qu’il s’appelle Eitan. Il a de grands yeux marron, un visage d’ange aux traits fins, des cheveux bruns très courts. Il est tout mince, pas très grand.

On se met un peu à l’écart du videur et Eitan commence son numéro de charme car il s’agit de parler affaire. Il pose sa main sur mon épaule de manière affectueuse et me demande ce que je veux. Je lui dis que le veux pour la nuit jusqu’au lendemain 10h. Je lui dis que je ne suis pas un pervers et que je veux simplement que nous fassions l’amour avec tendresse et que j’attends de lui qu’il se comporte comme s’il était mon homme.

Le programme à l’air de lui plaire. Il faut dire qu’à 28 ans, je suis plutôt mignon, et je ne pense pas qu’il est l’habitude de se genre de clients tous les jours. Je lui propose 1000 shekels, le reliquat de mes frais de mission non dépensés. Il accepte sans hésiter. L’argent change de poche. Je me dis que j’aurais pu l’avoir pour moins cher mais il est tellement mignon !

Il retourne chercher un sac à dos avec quelques affaires, prends ma main dans la sienne et m’amène vers la sortie. Nous montons dans le taxi et je remercie le chauffeur en français. Il méritera son pourboire ! Pendant tous les trajets, je discute avec Eitan. Il est très bavard…Il me raconte sa vie…En fait il a 21 ans. Il vient de Jérusalem. Ses parents l’ont mis à la porte quand sa mère l’a découvert au lit avec un autre garçon de son âge en train de se faire sodomiser…Il a rejoint Tel-Aviv, s’est inscrit à la fac, aux beaux arts, et pour payer son loyer et ses études il se prostitue depuis 3 ans. Il est tout fier de me dire qu’il ne s’en sort pas trop mal.

***

Je pose ma main sur sa cuisse et l’embrasse tendrement dans le cou. Nous arrivons à l’hôtel. Je paye la course en triplant le prix. Et j’emmène Eitan avec moi jusque dans ma chambre. Bon je n’ai pas fait de programme, mais là moindre des politesses, quand on a un nouveau jouet c’est de lui faire honneur. Alors à peine la porte refermée, je me jette sur Eitan ! Je le prends par la taille et lui roule une pelle langoureuse. Je glisse les mains dans les poches de son jeans pour caresser ses deux jolies fesses…Je sens son érection contre la mienne à travers nos pantalons.

J’abandonne sa bouche le temps de lui retirer son tee-shirt noir moulant. Il est mince mais joliment musclé sec et sans un poil. Je me baisse pour prendre un de ses tétons en bouche et le mordiller. Je m’enivre de l’odeur de son eau de toilettes. Elle me rappelle une histoire passée. Je m’assois sur le bord du lit. Il me fait face torse nu toujours débout. Il plonge son regard dans le mien. Je brûle d’aller plus loin mais je savoure ses quelques secondes de tension sexuelle entre nous…Tout en continuant à le regarder je dégrafe un à un les boutons de son jeans. Je découvre son boxer noir moulant et son beau paquet…Je colle mon nez dessus et je lèche le tissu au niveau de sa queue.

Je libère finalement sa queue. Circoncise, le gland bien dessiné, un bon 17 cm, pas trop épaisse. Tout ce que j’aime. Je le prends en bouche sans attendre. Il gémit…J’aime ce moment où je suce pour la première fois un garçon et que me langue découvre son membre. Je joue avec ses boules, je les lèche par moment. Sa bitte me caresse le visage. Il sent le jeune mâle…il m’excite !

Il passe sa main dans mes cheveux pendant que je le suce. Je sens ses doigts fins qui me caressent la nuque. Au bout d’un moment, il me fait signe, qu’il veut que l’on inverse les rôles. C’est vrai que j’ai tendance à ne pas voir le temps passer quand j’ai une si jolie bitte en bouche. Il s’assoit à son tour sur le lit. Je me lève et j’en profite pour me déshabiller. Je ne garde que mon slip pour lui laisser le plaisir de me le retirer, mais je bande tellement que ma queue en sort déjà. Il m’embrasse aussi longuement le ventre avant de me libérer de mon slip. Il joue avec ma queue, apparemment il n’a pas trop l’habitude d’en voir des non circoncises et ça l’amuse. Il libère enfin la tension en la prenant dans sa bouche et en me la suçant bien à fond comme j’aime. Comme moi il est assez goinfre. Il ne se fait pas prier.

Je l’arrête au bout de quelques minutes car il est en train de trop m’exciter et je n’ai pas envie de tout lui cracher en bouche tout de suite. Il termine de se déshabiller, se couche sur le dos, et je viens m’allonger sur lui. Nous nous embrassons avec passion, pendant que je tortille mon bassin pour frotter ma queue humide de salive sur la sienne. J’adore ce genre de frottements et je peux comme ça jouir très vite si j’insiste un peu. Je quitte à nouveau sa bouche pour l’embrasser un peu partout, le torse, le ventre, je redescends sur les cuisses. Je lui caresse ses jolis pieds qui m’excitent bien aussi. Finalement je reprends un peu sa queue en bouche…

Au bout d’un moment je lui fais signe de se mettre sur le côté en écartant un peu les jambes. Je découvre sa rondelle sans poils et je commence à lui lécher le cul. J’aime trop sentir ma langue lui fouiller la raie des fesses. Il semble qu’il apprécie également beaucoup ce traitement. Je caresse ses couilles et sa queue en même temps que je glisse ma langue le plus profond possible dans son intimité…Je crois qu’il n’en peut plus d’ailleurs il n’arrête pas de me demander de la lui mettre… J’enfile un préservatif, je m’allonge sur le côté le long de son dos, et je fais glisser mon gland le long de sa raie des fesses humide.

Il prend les choses en main, me prend la bite et se la fait glisser directement dans le cul. C’est trop bon ! J’attends un peu qu’il s’habitue puis je commence à m’agiter entre ses fesses. Je passe mes bras autour de sa taille pour le serrer encore plus contre moi. Je l’embrasse dans le cou, m’occupe un peu de sa queue de temps à autre, tout en continuant à le pénétrer avec douceur avec des vas et viens de grandes amplitudes.

Heureusement que j’ai le préservatif qui atténue un peu les sensations sinon je crois que je n’aurais pas tenu bien longtemps… Je le fais changer de position. Il se met sur le dos, lève les jambes et se laisse pénétrer de fasse. J’aime bien cette position qui me permet de l’embrasser régulièrement et surtout de le regarder pendant que je le baise. Il glisse une main sous ses fesses pour me caresser les couilles et sentir ma queue glisser dans son cul…De mon côté j’entreprends de lui lécher les pieds. Je passe ma langue entre ses orteils…Ca m’excite trop !

Je suis au bord, je ne vais plus tenir longtemps à ce rythme là. Je crache dans ma main et je lui lubrifie la queue. J’entreprends de la branler énergiquement alors que je m’agite encore davantage entre ses reins. Lui aussi est au bord et je le sens venir. Il pousse un petit gémissement et éjacule sur son torse et sur mes doigts qui glissent le long de sa queue. Quelques secondes après je sors de son cul, arrache le préservatif, et jouis plusieurs salves de sperme sur son ventre sans même avoir besoin de me toucher…Je m’allonge sur lui pour l’embrasser. Nos spermes se mélangent…il me glisse à l’oreille qu’il m’aime !

***

L’air frais qui sort de la bouche du climatiseur ma caresse l’échine et me fait sortir de ma torpeur. Je me lève et je vais nous chercher une serviette dans la salle de bain, pour effacer les traces de nos ébats qui s’étalent sur nos torses et nos ventres.
Il est 20h et je propose que nous allions nous rincer dans la piscine de l’hôtel avant d’aller dîner. Je prête un maillot de bain à Eitan et nous descendons à la Piscine. La vue sur la mer avec le couché de soleil est magnifique.

Eitan fait le pitre et plonge dans la piscine presque vide à l’heure du dîner. Je prends le temps de le regarde nager. Il a vraiment un beau corps…je plonge à mon tour et viens nager à ses côtés. Il me dit qu’il adore l’eau et qu’il va se baigner dans la Méditerranée dès qu’il peut.
Moins entraîné que lui, je m’arrête après quelques longueurs et m’assied sur le rebord pour le regarder nager le papillon à merveille.

Deux anglais se tiennent sur des transats en face de moi. Je les avais déjà repérés en train de me regarder au bar de l’hôtel la veille. Ils sont PD et en couple apparemment. Je surprends leurs regards concupiscents sur mon bel étalon. Ca m’énerve, il est à moi ! En plus hier au bar c’est moi qu’il matait et aujourd’hui je suis transparent…

Je fais un signe à Eitan alors qu’il arrive au bout de sa longueur. Il vient me rejoindre en brasse et s’assoit à côté de moi. L’eau ruisselle sur son corps. Ses cheveux mouillés sont follement sexy. Je le prends dans mes bras, tant pis pour la discrétion, et je lui roule une pelle d’enfer. A l’issue de quoi, je jette un regard méprisant aux deux anglais qui n’ont bien sûr rien loupé de la scène. Je retourne à l’eau avec mon nouveau chéri où nous nous lançons dans une joute aquatique tels deux adolescents. Nos corps glissent l’un contre l’autre. J’arrive enfin à la maîtriser et je scelle ma victoire par un baiser appuyé. Il glisse sa main dans mon maillot de bain pour en sortir ma queue bandée et la tripoter dans l’eau. L’eau rend la caresse très voluptueuse et je m’abandonne à cette étreinte pendant quelques instants.

Un groupe de jeunes gens vient d’arriver au bord de l’eau et nous sommes contraints de stopper nos jeux par trop voyants. Nous remontons à la chambre pour nous doucher et nous habiller. Je passe une de mes chemises propres à Eitan et nous descendons au restaurant pour un dîner romantique aux chandelles arrosé de Champagne français.

Nous passons un moment très agréable. L’anglais d’Eitan est assez simple à comprendre et je ne me lasse pas de l’écouter parler. Il évite soigneusement tous les sujets tournants autour de son activité professionnelle, et fait tout pour me laisser penser qu’il est le petit ami parfait. Il me parle de ses amis, des boîtes de Tel-Aviv où il va danser jusqu’au bout de la nuit, de ses études et de ce qu’il voudrait faire plus tard. Aucun élément ne vient me laisser penser que je suis avec un escort. Tout observateur extérieur serait convaincu qu’Eitan est mon nouveau boyfriend.

Nous remontons à la chambre vers Minuit. Eitan est un peu pompette et encore plus drôle qu’au début de la soirée. A peine entrée dans la chambre, nous recommençons à sauter l’un sur l’autre ! Mais cette fois-ci nous y mettons un peu plus de cérémonie et un peu moins d’empressement. Je m’attarde davantage sur sa bouche…je prends le temps de dégrafer sa chemise et de caresser son torse imberbe…Je le déshabille avec lenteur, pendant que je m’effeuille de concert. Il se laisse faire, il a déjà compris comment je fonctionnais. C’est moi qui règle le rythme des ébats avec mon partenaire, c’est comme ça que je fonctionne, l’expression de la domination qui m’apporte tant de plaisir !

Il est complètement nu maintenant, allongé sur le dos. Il bande et je ne résiste pas…Je le prends en bouche. Il frisonne. Je joue avec son gland, fait courir ma langue sur ses couilles, sur la hampe de sa queue…puis je la prends entièrement dans ma bouche, j’aspire, je lèche…je ne sais plus ou donner de la tête.

Je m’interromps pour aller l’embrasser. Je suis à califourchon sur lui. Je remue le bassin pour frotter sa queue mouillée de salive contre ma raie des fesses. J’ai envie qu’il me prenne. Je récupère un préservatif sur la table de nuit et d’une main experte lui déroule sur la bite. Dès l’opération terminée je la prends et la fait glisser avec un peu de gel dans mon intimité. Quel bonheur de le sentir en moi.

Je l’embrasse pendant qu’il remue sa queue et commence à me ramoner avec envie. Il s’empare de ma bite bandée et me branle. Plusieurs fois je suis obligé de retirer sa main pour ne pas jouir. Je change de position pour me sentir plus chienne, je me mets à quatre pattes sur le lit et il vient me prendre par derrière. Je sens bien sa bite glisser entre mes fesses, ses mains qui me caressent le dos et les fesses et qui viennent jouer de temps à autre avec mes couilles ou ma queue. Je m’abandonne complètement à ses caresses et je décharge trois grandes giclées de spermes sur le couvre lit.

Je me retourne. Il se met à genoux devant moi, je lui retire le préservatif et je le suce et le branle en même temps pour le faire venir à son tour. Il décharge son sperme au fond de ma gorge. Je m’empresse de l’avaler avec beaucoup d’envie. Je n’en perds pas une goûte. Nous nous embrassons à genoux tous les deux sur le lit face à face. Sa queue encore à moitié bandée se frotte sur la mienne.

Après une douche rapide et câline, mais sans sexe, nous allons au lit un peu crevé. Eitan s’endort dans mes bras très vite. Je ne tarde pas à l’accompagner dans le sommeil.
***

Je suis réveillé par un rayon de soleil qui passe entre les doubles rideaux mal fermés. L’espace d’un instant je ne sais plus trop où je suis…puis mon cerveau redémarre et je retrouve peu à peu mes esprits. Je sens la chaleur du corps d’Eitan allongé tout contre mon dos. Son érection sur l’arrière de ma cuisse ravive aussitôt mes pulsions sexuelles. Mais à écouter sa respiration, je crois bien qu’il dort encore comme un bébé.

Je me retourne très lentement pour ne pas le réveiller. Je le regarder dormir. Il est vraiment mignon. Le drap est descendu jusqu’en haut de ses cuisses et je peux admirer la courbe de son dos, sa jolie peau doré par le soleil, ses fesses fermes et musclés. En regardant son corps parfait, je me dis que j’aimerais bien me réveiller tous les matins avec lui à mes côtés. Je me dis que la vie serait plus agréable si je la partageais avec lui, si je passais toutes mes soirées à rire, à discuter et à faire l’amour avec lui comme nous l’avons fait hier soir. Je crois que je suis en train de tomber amoureux moi...

Il est presque 9 h et je n’ai plus qu’une heure pour profiter d’Eitan… En plus mon érection commence à devenir douloureuse. Le matin, c’est là que je suis le plus en forme alors je compte bien en profiter.

Eitan est allongé sur le dos. Je l’embrasse délicatement sur la nuque puis sur le haut du dos. Quand j’arrive dans le creux de ses reins. Il frisonne. Il se réveille enfin. J’ai l’impression que lui non plus ne sait pas trop où il est car il commence à me parler en hébreu. J’adore cette langue et dans sa bouche elle a encore plus de charme mais je ne la comprends absolument pas. Il tourne la tête pour me regarder et me fait un grand sourire et il poursuit en anglais en s’excusant. Je lui dis qu’il ne faut pas et que j’ai trouvé cela plutôt mignon.

Il me dit qu’il veut que je lui fasse l’amour, qu’il aime se laisser faire quand il est à moitié endormi. Ca tombe bien car c’est bien ce que j’étais décidé à faire. Je me mets à cheval sur son fessier et je commence à lui masser le dos et les épaules. Il ronronne comme un petit chat. Je poursuis mon massage en descendant doucement mais sûrement vers ses fesses ou je m’attarde un bon moment.

Je reprends mes baisers sur le bas de son dos et je fais glisser ma langue vers sa raie. Son cul m’excite trop et je commence à le lui bouffer comme un sauvage. Ma queue bandée à fond s’écrase sur son mollet. Je lèche autant que je peux. Je pose mes mains sur ses fesses pour les écarter un maximum et donner libre accès à ma langue qui s’insinue autant qu’elle peut dans son intimité. Quand il a le cul bien lubrifié par ma salive, j’y glisse un doigt. Je le sens bien ouvert et prêt à recevoir ma bite.

Je récupère un préservatif sur le chevet. Je déchire l’emballage avec les dents et me le déroule sur la queue. Je m’allonge complètement sur Eitan. Je prends ses deux mains dans les miennes, mes doigts glissent entre les siens. Je frotte ma queue entre ses fesses humides. Il se cambre un peu pour faciliter la pénétration…et sans les mains il arrive à avaler mon gland dans son cul déjà bien ouvert. Je pousse un gémissement de plaisir. Je savoure ce moment ou j’entre dans son intimité. Je commence alors à m’agiter en lui tout en l’embrassant et en lui mordillant la nuque.

J’aime bien cette position que je trouve particulièrement fusionnelle car tout mon corps repose sur le sien, mon ventre sur son dos, mes couilles contre ses fesses, mes cuisses sur les siennes, jusqu’à ses pieds qui caressent les miens. Je glisse une main entre son ventre et le lit pour attraper sa queue que je branle comme je peux. Je lui lèche le lobe de l’oreille, il adore ça. Je lui glisse un « ani ohev otakh » (je t’aime en hébreu). Il ronronne et me répond en anglais que lui aussi.

Nous changeons de positions. Je m’allonge sur le dos et il vient s’empaler sur moi. J’aime beaucoup cette position, même si elle me stimule moins la queue, je peux le regarder, l’embrasser, et surtout elle laisse mes deux mains libres pour jouer avec son corps. Je les laisse se balader sur son torse, son ventre, ses cuisses, ses pieds. J’attrape ses petites mains fines dans les miennes. Par moment je le branle, je lui caresse les couilles ou les fesses.

J’arrive à le faire jouir dans un moment de pur bonheur. Ma main s’active sur sa queue, ma queue s’active dans son cul et nos deux langues se mélangent dans nos bouches. Son sperme chaud coule sur ma main puis mon ventre. Il se redresse, je lèche mes doigts. Il glisse ma queue hors de son cul, me retire le préservatif pour me finir en me suçant et en me branlant en même temps. Je jouis abondamment dans sa bouche. Il n’en perd pas une goutte.

Il vient se blottir au creux de mes bras. Je le serre fort contre moi. Je l’embrasse tendrement. L’heure approche et je sais que je dois bientôt lui rendre sa liberté. C’est un moment de déchirement qui s’annonce, je suis si bien avec lui. Alors plutôt que de contenir cette tristesse en moi, je m’épanche et je lui dis tout ce que je ressens pour lui. Je lui dis que j’aimerais bien qu’il soit mon homme. Je lui dis que j’aimerais bien vivre avec lui, que j’aimerais bien m’occuper de lui, que j’aimerais bien lui faire l’amour s’en avoir besoin d’enfiler ces foutus préservatifs…Je lui dis que nous n’avons que 7 ans d’écart et que ce n’est pas tant que ça. Je lui dis que je ne suis sans doute pas le premier et qu’il doit me trouver bien naïf mais que je lui propose une autre vie avec moi en France, un nouveau départ.

Au moment où il s’apprête à répondre un peu embarrassé, je mets ma main tendrement sur sa bouche et je lui dis que je n’ai pas besoin de sa réponse maintenant. Je lui dis que je prends l’avion pour Paris à 18h. Je lui dis que si ma proposition l’intéresse il peut me retrouver à l’enregistrement des bagages vers 16h. J’arrête de parler, j’ai dis tout ce que j’avais sur le cœur. Il m’embrasse et me redit qu’il m’aime.

Il file dans la salle de bain pour prendre sa douche. Il s’habille devant moi sans parler. Je sens que je l’ai troublé, que dans sa tête ça tourne à plein régime. Cela gâche à un peu notre séparation, et nos derniers moments ensemble, mais au moins, pas de regret, j’aurais vidé mon cœur, j’aurais essayé ! Je ne referais plus les erreurs du passés : cacher des sentiments amoureux c’est la pire des conneries. Il ne faut pas avoir peur du ridicule et toujours avouer ses sentiments même très tôt dans une relation. Car s’ils sont partagés mais qu’aucun n’ose se déclarer on peut passer à côté d’une histoire formidable !

Sur le pas de la porte de la chambre, Eitan revient vers moi. Il va dire quelque chose, mais il se ravise. Il me donne un dernier baiser et me dit d’une voix désespérée qu’il m’aime. Je lis de la détresse dans son regard. Je n’ai plus la force de répondre. Il quitte la chambre. Je prends ma tête entre mes mains et je pleure pendant quelques minutes. Je file prendre une douche froide pour me ressaisir.

***

Après le petit déjeuner, je vais piquer une tête dans la Méditerranée pour me laver un peu l’esprit. Mais il n’y a rien à faire, maintenant j’ai Eitan dans la peau et chaque seconde je pense à lui. Dès que je croise un mec de son gabarit sur la plage, je me figure que c’est lui, je me fais des films. La journée se passe bizarrement. Je suis dans un monde irréel, encore à moitié dans le rêve, pas complètement dans la réalité.

Vers 15h je prends le taxi pour l’aéroport. Je suis angoissé. Plus l’heure approche, plus je stresse. Bien sûr je ne crois pas qu’Eitan viendra. Mais au fond de moi-même brûle une petite flamme d’espoir. Peut être qu’il viendra quand même !

J’attends devant le comptoir d’enregistrement d’Air France. Les 16h arrivent enfin ! Pas d’Eitan. Je me mets dans la queue pour faire enregistrer ma valise et récupérer ma carte d’embarquement. Je commence à digérer mon échec. Puis arrive mon tour. L’hôtesse me demande si je voyage seul. Je pose ma valise sur la balance quand j’entends soudain crier mon prénom et Eitan qui approche en criant alors qu’il tire un gros sac de voyage noir. Il me saute au cou et m’embrasse devant tout le monde.

FIN

 

 

Par EITHAN - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 1 juillet 7 01 /07 /Juil 22:23

régal pour lui, régal pour nous quand il fait le don du nectar qui remplit son copain 

qu'ils soient actifs ou passifs, les gays n'ont pas besoin de se connaître longtemps à l'avance pour savoir (bien ) s'aimer et, spontanément,  ils savent comment "aimer leur prochain"  

 

 

 

Par REDTUBE - Publié dans : ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 1 juillet 7 01 /07 /Juil 15:19

c'est le perdant qui se fait baiser au sens propre.(sale si vous voulez -lol- )et le gagnant qui baise... 

 

 

Chez-nous quand-à la pétanque- on perd les deux parties et la belle on doit baiser Fanny.Résultat de recherche d'images pour "baiser fanny" C'est souvent matérialisé dans un coin du bar par le cul d'une pin-up  escagassante comme on dit ici et qu'on doit s'humilier à biser. Rien de bien sérieux et ça reste très hygiénique. Dans ce bar du quartier chaud d'où je vous parle, la règle est à l'inverse : il y a bien profanation d'un cul mais  ce n'est ni imaginaire ni virtuel c'est le perdant qui se fait baiser au sens propre.(sale si vous voulez -lol- )

 Parfois, il est excitant d'admettre que quelqu'un est meilleur que vous. Le sentiment écrasant de la défaite nous oblige à rechercher d'une manière désespérée l'approbation d'un mec pour lequel auparavant vous n'aviez aucune considération ni estime...  C'est comme ça que je me suis retrouvé à genoux la bouche grande ouverte suppliant le foutre chaud de Roger, conséquence de ma drague irréfléchie.

J'avais rencontré Roger  plus tôt ce jour là en jouant au billard dans le bar gay local où je vais souvent. Je ne suis pas vraiment un champion, mais j'aime le billard et je me considère comme un bon joueur. Si bon que je sois, j'ai découvert que Roger est meilleur que moi au billard et il a pris grand plaisir à nous enseigner, à moi et à mon cul, ce que cela signifie d'être «perdant».

C'était un samedi après-midi et le bar était vide à l'exception du barman, de quelques habitués et de Roger. Je jouais nonchalamment un jeu face à moi-même quand Roger, solitaire, juché sur son tabouret de bar , a commencé à me chahuter et se moquer de mes coups.

Ca n'était pas que Roger fût irrésistible et vous êtes témoin que c'est un homme moins qu'ordinaire, pas loin du marginal et du clodo. A trente-cinq ans, il commençait à perdre ses cheveux et avait un petit peu de ventre. Je le regardai avec colère et calculai son chaume paresseux, ses vêtements miteux et son attitude arrogante. Je l'ai immédiatement détesté. Je l'ai ignoré autant que possible, mais après quelques minutes d'être appelé "petite chienne", en colère, j'ai eu le courage la sottise de le défier pour une partie.

J'avais tort. J'aurais dû savoir que c'était un faiseur d'embrouilles toujours prêt à tricher. Nous avons convenu que le perdant paierait les boissons et quand le jeu a commencé Roger me sembla malchanceux et même inapte. J'ai facilement gagné les deux premières parties et je me considérais comme un vainqueur insolent buvant son whisky aux frais de Roger. Roger a alors acheté un autre lot de boules et a alors décidé d'augmenter le pari. J'étais ivre, confiant et prêt à prendre presque n'importe quel pari; alors quand Roger a dit qu'il paierait pour toute ma dépense si je gagnais, j'ai accepté. Puis il m'a dit en retour qu'il voulait m'enculer-fuck me-, j'ai ri. Comme je ne croyais pas pouvoir perdre, j'ai parié. Ben...

Roger a commencé le jeu et s'est mis à travailler de façon experte sur le tapis. J'ai compris que j'avais fait une erreur quand il a gagné le jeu en quelques minutes et m'a regardé avec un sourire effrayant. "Ce jeu est une vraie saloperie" dit-il avec un ironique mépris. J'étais bouleversé, je pouvais sentir mon visage devenir rouge d'embarras. "Mon 'terrier' est à quelques pâtés de maisons d'ici, dit-il, allons-y, à moins que tu ne veuilles augmenter les mises de notre pari et tes pertes. Révolté, luttant contre moi-même, je fermai ma gueule, et sortis du bar avec Roger, qui avait déjà commencé à me donner des claques sur le cul  et à m'empoigner les hanches.

Quelques minutes plus tard, j'étais dans le studio de Roger. L'endroit était sale et n'avait même pas de lit, juste un canapé où Roger, assis, me regardait me tenir maladroitement près de la porte. «Je vais te baiser comme une chienne, tu sais ça?» Dit-il avec un sourire sournois. "Bien sûr, chérie, que tu vas le faire, tu ne serais pas là si tu n'aimais pas les grosses queues qui éperonnent ton petit trou, et te font trémousser de plaisir." J'étais fou, furieux d'avoir perdu,  mais je pouvais sentir ma bite commencer à pousser dans mon pantalon, sachant très bien qu'il y avait une certaine vérité dans ce qu'il disait.
Roger sortit sa grosse bite à moitié dure et commença à se la caresser en me regardant dans les yeux. Mes yeux ne purent s'empêcher de se  tourner vers la bite grandissante de Roger. Je ne pouvais pas me contrôler et j'ai léché mes lèvres. «Allons, je sais que tu veux la regarder de plus près,» rit Roger, «mets-toi à genoux : tu vas goûter à la bite du vainqueur. La conversation vulgaire de Roger me  mettait dans une étrange colère comme je n'avais jamais éprouvé. J'aurais dû partir et je restais. a me rappelait cette bite d'Alain quand nous étions ados. Il avait une mauvaise hygiène mais l'envie de le sucer (et le reste) était plus  forte  !  Il n'y avait aucun honneur à "payer" cette dette de jeu au billard . Je voulais le frapper et le sucer tout en même temps. Je lui ai lancé un regard de mort alors que je marchais vers lui et posais mes mains sur ses cuisses tout en je m'agenouillant pour lui donner son plaisir. Il avait vraiment une bite triomphante. J'attrapai ses testicules qui pendaient bas et passai ma main sur sa longue tige veineuse. J'ai essayé de refermer ma main autour de son pénis et il m'était impossible de la refermer tout à fait. Je regardais fixement sa queue rose tendre, bombée et grandissante."Eh bien, qu'est-ce que tu attends?" Roger rapprocha sa bite de mon visage et la plaqua dessus.

Je sentis une poussée d'adrénaline m'envahir et commençai à faire tourbillonner ma langue autour du bout de sa queue. Celle-ci était si lisse, si sensitive, je ne pouvais pas croire qu'elle appartenait à un mec aussi louche que Roger. Je lui lançai un regard méchant tout en caressant sa hampe et papillotai ma langue sur le bout de sa queue. "Ouais chienne, fais ta salope". Dit Roger en rejetant la tête en arrière. L'ordre de Roger réveillait soudain mon courage. Je me sentais vraiment bien tout d'un coup et j'ai commencé à me laisser aller à ma passion de la suce. Couché  J'avançai ma bouche et avalai davantage de la grosse bite de Roger.

 

Résultat de recherche d'images pour "gay porn homme spermé et biflé" il a commencé par se foutre de ma gueule

       Image associée J'étais aussi étonné que ce gars devant l'effort à fournir !  

-"Installe-toi 'mon chéri', allonge toi bien détendu, prends des respirations et ouvre ouvre grand surtoutImage associée

Image associée        Image associée  Image associée     Image associée  ouf quand même !  

Moi couché sur le canapé, lui debout,  J'ai lentement tourné la tête avec la queue de Roger dans ma bouche. Je l'ai ingurgitée de plus en plus profond jusqu'à ce que j'aie la nausée. Et là, j'ai dû arrêter par manque d'air. C'est vrai qu'elle est énorme la bite de Roger. Il manquait quelques centimètres pour une gorge profonde pubis-au-ras-des- lèvres.
    
Roger n'était qu'un connard. Il me disait "Allons, chérie, tu ne peux pas tout prendre? j'ai besoin de te baiser un peu la bouche avant de te baiser le cul". Roger m'a attrapé par les tempes et a poussé sa bite à fond. Il se retira puis recommença.

    Les les lèvres bien salivées ont couru le long de sa verge aller-retour jusqu'à ce que je sois prêt à nouveau à la gorge profonde. Je respirai profondément et descendis la queue tout le long dans ma bouche, réfrénant, réprimant mon réflexe nauséeux. Je me suis battu de plus en plus profondément je suis descendu et descendu, la parole coupée n'étant plus capable que de borborymes confus et de gémissements jusqu'à ce que mon menton touche ses couilles. -"Aww putain ouais, c'est mieux bébé, juste comme ça" Roger m'attrapa la tête et recommença à fourrer sa bite dure et tendue comme de l'acier dans ma bouche. Ça faisait du bien de lui faire plaisir, de rendre ce mec impoli tellement heureux, je travaillais et je transpirais. J'oeuvrais pour les paumés de ma ville -lol- Il se leva, enleva sa chemise, laissa tomber son pantalon. "Je veux voir ton cul maintenant chienne". Paumés ??? qui était le paumé là ?  

 

 

J'ai obéi à sa demande et je me suis déshabillé. Roger me pencha sur le canapé et commença à me lécher et à me frotter de la salive sur mon tendre trou du cul. Il m'a giflé le cul plusieurs fois et a commencé à travailler son doigt dans mes fesses. -«Je savais que j'allais avoir ce cul à la seconde même où j'ai posé les yeux sur toi chienne, tu étais si mignonne en pensant que tu pouvais me battre au billard» Tout en parlant il fourrageait mon cul maintenant avec deux doigts. -"Chiennes inconscientes c'est vous qui  avez les meilleurs trous du cul." Il se pencha et commença à frotter mes fesses tendrement. Il laissa échapper un grand gémissement d'excitation. Je me tenais les jambes écartées, branlant ma propre bite dure pendant que Roger chauffait mon cul, utilisant seulement de la sueur et du crachat comme lubrifiant. Quand je fus bien prêt, il a commencé à descendre. "Mmm, belle salope de cul, laisse-moi te voir danser comme la salope que tu es." Même moi, j'ai ri et j'ai claqué mon propre cul tandis que Roger applaudissait.


Roger écarta les jambes et se pencha en arrière, son long manche reposant magnifiquement sur son entrejambe. Il tendit la main vers >le tiroir de la table de nuit et en sortit du lubrifiant. "Ok perdant, prends ce coq prêt avec ta bouche parce que je vais punir ce cul et je sais que tu le veux dur." Je me levai avec empressement et m'allongeai le visage sur le canapé jambes demi pliées pour pouvoir sucer Roger et me lubrifier le cul EN MEME TEMPS  -lol- . J'ai commencé à sucer Roger sans faire attention alors qu'il tenait le lubrifiant au-dessus de mes fesses et le laissait s'égoutter lentement. Un délice d'attente exaspérée. Il l'a frotté le long de ma raie  jusqu'à ce que mon cul soit tout brillant et prêt à être baisé.

Roger m'a attrapé et m'a mis dans la position inverse : jambes toujours pliées, genoux vers le divan. Roger m'a aidé à me recroqueviller à fond, cul en position, et a lentement guidé sa bite vers mon trou. C'était presque un rêve jusqu'à ce qu'il dise, "Je vais baiser ce cul douloureux, parce que tu es le perdant douloureux, et les perdants doivent plaire à la bite du gagnant quoi qu'il leur en coûte". Et, là dessus, il s'est enfoncé dans mon cul. Ça m'a fait mal pendant un moment et j'ai gémi de douleur. Roger a ralenti sa poussée et a lentement commencé à travailler mon trou du cul. Je pouvais le sentir s'étirer et devenir de plus en plus coopérant à la bite de Roger. Au fur et à mesure que je reprenais mon souffle, j'ai commencé à pousser mon cul à la rencontre de la bite massive de Roger, mes couilles qui tapaient sur les siennes, ma bite qui coulait de mouille, mon visage rouge d'un feu d'extase pure. Roger a commencé à pomper et à pomper, je pouvais le sentir accumuler  une énorme éjac. Il gémit et ralentit. -"Mets-toi à quatre pattes."
 
J'ai rampé et fièrement mis mon cul en l'air en provoquant Roger. Roger s'est précipité et a recommencé à faire courir sa queue entre mes fesses. Roger m'a attrapé les cheveux et tout en me claquant aussi fort que possible. Je pouvais à peine l'entendre marmonner des monologues coquins sur mes gémissements de plaisir. Roger avait l'air un peu au bout de sa forme, mais il avait confiance en lui-même et, d'une main, il cherchait ma bite. J'ai rapidement craché ma charge dans le courant de ce torrent de baise. Roger cela ébranla la conviction de Roger qui ralentit  et me murmura à l'oreille: «Où veux-tu que je jouisse chienne?

Je ne sais pas quand j'ai décidé de faire cela, et cela ne faisait pas partie du pari, mais je savais que je voulais faire plaisir à tous ses fantasmes, dépasser ses attentes et gagner son respect. "Je veux que tu jouisses dans ma bouche, gagnant." J'ai crié. Roger appréciait cela et assurait de nouveau. Il a déculé et m'a retourné sur mes genoux. Son sexe planait au-dessus de mon visage. Je l'attrape et commence à le caresser furieusement.
    
 A ce moment-là, j'avais conscience que Roger m'avait bousculé, dégradé, et avait en quelque sorte profité de moi, mais je m'en fotais, le mélange d'émotions me rendait trop excité pour m'en soucier. Le fait que Roger m'avait pris pour un imbécile ne faisait que me rendre plus acharné. "S'il te plaît gagne complètement, donne-moi du sperme, je veux avoir tout ton sperme chaud," suppliai-je. Roger a largué une corde de sperme qui m'a frappé droit dans l'oeil gauche. Il a continué à jouir non pas dans ma bouche, mais sur mon visage, en me tapissant le front, le nez et le menton. Je l'ai attisé jusqu'à ce qu'il tire sa dernière giclée. Il prit sa longue bite à la base et bifla mon visage couvert de sperme comme s'il était peint. Je jouis de sa bite pendant un moment, mais il n'y avait aucun moyen que je puisse avaler toute sa charge. - «Tu vois, je savais que tu étais un peu trou-à-jus».  Son visage s'illumina enfin d'un sourire, il me jeta une serviette et me dit qu'il me paierait une autre bière.
Image associée Image associée
    Je l'ai attisé jusqu'à ce qu'il tire sa dernière giclée. Il prit sa longue bite à la base et bifla mon visage 
Aujourd'hui, je ne suis toujours pas sûr de ce que je ressens pour Roger, tout ce que je sais, c'est que je veux une revanche au billard ...
 
Résultat de recherche d'images pour "gay porn enormous face creampie" enfiévré jusqu'au bout par cette  baise qui semblait n'avoir plus de fin
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Par CAVAILLONGAY - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 1 juillet 7 01 /07 /Juil 07:25

tu as de plus en plus de mal à t'asseoir -lol-

 

Tu crois que je ne sais pas,
Que la nuit tu ne penses pas à moi,
Que pendant que j'attends ton retour,
Tu vis d'autres amours,
Tu crois que je ne me doute pas,
Que loin de moi,
Tu goûtes à d'autres fruits,
Que tu croyais interdits,
Tu crois que je ne remarque pas dans tes yeux,
Quand je les vois un samedi sur deux,
Que quelque chose a changé,
Quelque chose que tu ne veux pas m'avouer.

C'est l'amour en prison,
L'amour grâce à un tout petit bout de savon,
C'est l'amour en prison entre garçons,
L'amour en détention.

Tu crois qu'il est possible de ne pas voir,
Que tu as de plus en plus de mal à t'asseoir,
Que depuis que tu vis en captivité,
Ta mâchoire s'est déformé,
Ta bouche se vide de ses dents,
Normal avec tout ce que tu dois mettre dedans,
Et ne prend pas cet air triste,
Je sais bien que quand je vais partir tu vas courir te faire un fiste (?),
Et puis arrête de pleurer,
Comme quoi c'est dur de vivre enfermé,
T'as pourtant l'air de bien t'amuser,
Petit enculé!

C'est l'amour en prison,
L'amour grâce à un tout petit bout de savon,
C'est l'amour en prison entre garçon,
L'amour en détention.

Et puis arrête avec tes c'est pas moi c'est eux,
J'ai dis la même chose quand t'as retrouvé tes potes dans mon pieu,
L'excuse du viol je la connais,
Je l'ai beaucoup utilisé,
Moi j'étais prête à t'attendre la vie entière,
A te pardonner la séquestration de mon petit frère,
Alors avoue que c'est dommage,
D'avoir tout gâché avec des histoires d'amour en cage.
C'est fini je te quitte au revoir,
Je ne viendrai plus au parloir,
Mais tu m'ôteras pas de l'idée que si t'avais pas envie que l'on te touche,
T'aurais utilisé du gel douche.

C'est l'amour en prison,
L'amour grâce à un tout petit bout de savon,
C'est l'amour en prison entre garçons,
L'amour en détention  n.  Image associée  Image associée Image associée une nuit pleine d'étoiles grâce à ce petit bout de savon ...usé, mais utile !     

Image associée c'est pourquoi, en prison, on ne jette jamais les bouts de savonnette usés


Putain mais je m'emmerde(bien)moins quand je suis en tôle !  :  

 


commentaire :

 

Image associée

 

un cadeau à faire à votre détenu :

                   Image associée  Image associée l'anneau en savon  Image associée dernier cri !

Par GIEDRE - Publié dans : LA CHANCE AUX CHANSONS PROMO PASCAL SEVRAN - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 30 juin 6 30 /06 /Juin 17:27

       Image associée allez viens, suis-moi !

Image associéey a t-il quelqu'un qui fixe les limites , qui fige les sexes dans leur rôle étroit et qui ainsi les paralyse comme au musée Grévin.Image associée Nous, insensiblement, nous avons saisi notre bonheur chacun, puis à deux puis à trois puis à deux couples...ce vers quoi les nouveaux venus en sexualité devraient tendre en ce 21e siècle       

http://www.xstory-fr.com/lire-histoire,aime,8708.html     Une histoire érotique vraie écrite par fabrissa publiée le 3 janvier 2012 sur Xstory.fr 

       [C'est moi Joël]. J'étais jeune encore, à 16 ans les glandes me jouaient des tours, j’avais envie de jouir non plus seul mais avec une autre personne, comme c’est la normalité. J’aurais bien aimé baiser une fille de mon âge. Comment convaincre une fille de 16 ans de se donner comme ça.

En attendant je savais toujours me branler en regardant des revues porno, ce qui, réflexions faites me donnaient toujours envie de baiser ma jeune voisine. Je me souviens encore des mouvements de va et vient que je faisais faire à ma main droite enserrant ma queue bandée. Je me souviens aussi qu’au moment de jouir, je serrais ma main pour que mon sperme ne marque pas mes draps. J’ai encore en tête le plaisir trouble que j’avais quand, en me branlant, des fois je me mettais un doigt dans le cul. Je faisais coulisser mon doigt avec la même cadence que ma main droite.

[Tant de jeunes se taisent sur ce sujet et en font un secret. La chance ce fut, un  jour, d’en parler avec mon copain Aimé]. Il avait les mêmes désirs que moi. Sauf que pour lui sa préférée n’étais pas la même : il aurait bien baisé sa cousine Nicole. Il avait bon goût. Il se masturbait comme tous les copains que nous avions. Avec Aimé nous nous racontions nos masturbations. Le résultat est que nous bandions sans le dire et le soir dans nos lits, nous nous masturbions encore plus, jusqu’au jour où….

Jusqu’au jour où devant lui, je sortis ma queue pour lui montrer combien je bandais. J’avais simplement ouvert ma braguette, sortis mon sexe du slip. Devant lui, sans honte je commençais à me branler. Aimé excité certainement par ma démonstration en faisait autant : je voyais une belle bite plus grosse que la mienne. Comme moi sa main entourait sa queue pour se donner du plaisir.

Je ne sais comment m’est venue l’idée de lui prendre la pine dans ma main pour le masturber. Elle me semblait bien meilleure à toucher que la mienne. Il a défait sa ceinture pour faire glisser son pantalon et son slip. J’ai ainsi pu le masturber avec maestria. Je n’ai pas mis longtemps pour voir son sperme jaillir de sa bite. J’ai eu ma récompense quand il a pris ma bite pour me rendre ce que je venais de lui faire. Je me suis mis contre le mur de ma chambre pour être plus à l’aise. Je regardais simplement sa main aller et venir sur ma pine. Mon ventre se creusait quand je sentais arriver l’orgasme.

Ces nouveaux plaisirs nous ont donné envie de recommencer. Régulièrement, soit chez moi, soit chez lui, nous nous déshabillons pour être à l’aise et mieux jouir. Un après midi il a eu l’idée de me demander de lui mettre un doigt dans son anus pendant qu’il se branlait. Je me suis mis derrière lui, je pouvais juste voir sa main autour de sa queue. Je mouillais un doigt comme je faisais pour moi et trouvais sans peine son rectum. Je le faisais aller et venir quand il jouissait.

Image associée


— Tu m’as bien fait jouir salaud.

— Rends-le-moi.

Je me suis mis devant lui pour qu’il me mette aussi un doigt pendant ma masturbation. Je commençais à peine mes allers et venues. Je serrais bien ma bite dans ma main droite. Je me caressais les couilles de l’autre main, je sentais sa main sur mon cul. Je la sentais entrer pour finalement avoir un autre plaisir que d’habitude. Je lui ai demandé de me branler en même temps. C’était la première fois que mon copain me faisait cette chose désirée.

Bien plus tard, toujours à la recherche du plaisir sans frontière de morale, nous avons été beaucoup plus loin.

Un jour, sachant que la chose était possible nous nous sommes sucés. Quel plaisir que d’avoir une queue dans la bouche et quel plaisir de lécher un gland si doux. J’ai encore en tête quand je l’avais dans ma bouche la quantité énorme de bite que je léchais. Nous attendions l’orgasme de l’autre avec un peu d’appréhension. Pourtant la réception de sperme dans la bouche était finalement agréable. Ce liquide chaud de l’autre dans la bouche nous donnait envie de le déguster avant de l’avaler.

Pénétrer c'est la fonction naturelle de nos bites de garçons. Nous avions l’un et l’autre envie de sentir un corps autour de nos bites. Le cul de l’autre était disponible : nous en avons profité tant et plus .

Nous devions avoir à peu près 17 ans quand nous avons décidé de nous enculer. C’est moi qui le lui proposai : il était d’accord pour me donner son cul, à condition que je le branle. Rien que de savoir que l’allais enculer mon copain me donnait une bite plus dure et plus grosse.

Nous nous sommes mis nus dans ma chambre. Il s’est couché sur mon lit, les fesses bien en avant. Je le voulais en levrette pour le branler. J’ai bien posé ma queue sur sa rosette. J’ai forcé beaucoup pour le sodomiser. Nous avions oublié de mettre une pommade sur ma bite.

Nous sommes allés ensemble choisir ce qu’il fallait à la parapharmacie. Nous sommes ressortis avec du lubrifiant. De retour à la maison, nous étions toujours décidés à continuer notre jeu. Cette fois j’étalai sur ma bite une bonne dose de lubrifiant. Cette fois je pouvais pénétrer dans ce cul offert. J’étais à peine sur son cul quand je l’ai branlé doucement. Son cul suivait les mouvements de ma main. J’ai pu entrer facilement dans ses intestins. J’allais et venais dans son cul bien ouvert : il ne se plaignait pas, au contraire. J’arrêtai même de le branler : c’était plutôt fatiguant pour moi de me pencher pour bien le masturber en même temps que je le baisais -lol-.

Je me régalais de ce nouveau plaisir inconnu d’être dans un cul. Je sentais mon prépuce accompagner mes mouvements. Je sentais que son cul répondait parfaitement à notre plaisir. J’aimais sentir ses fesses contre mon pubis, il passait sa main entre nos corps pour sentir mes poils contre ses fesses.

J’étais étonné de le sentir jouir par des contractions de son anus autour de ma bite, alors que je n’avais pas encore joui.

— Tu m’as bien fait jouir, tout à l’heure c’est moi qui te la mettrai.

— Bien sur. Attendons de bander.

Nous n’avons pas attendu longtemps. Nous bandions tous les deux. J’ai pris sa bite dans ma main pour l’exciter encore plus.  

Je me suis mis en levrette, les fesses ouvertes à deux mains. Il a mis le produit utile sur mon cul qu’il caressait avec deux doigts. Il me tardait d’être sodomisé. Fier de mon expérience, jouissant suffisamment de la perspective d'être pénétré,  je refusais qu’il me branle. Le passage du sphincter a été le plus difficile. Pourtant je bandais comme un âne. La suite a été bien meilleure. Je le sentais entrer dans mon cul facilement et j’en ressentais un plaisir trouble, inconnu et agréable, plus agréable qu’une masturbation partagée. Plusieurs fois par jour, nous alternions les 69 et les sodomies. Nous améliorions les 69 en entrant au moins deux doigts actifs dans le cul du partenaire. Nous devenions de véritables homos.

Seulement nous rêvions toujours de baiser une fille. Nous l’avons trouvée un soir, sans la chercher : c’était la sœur d’un autre copain. A peine plus jeune que nous, elle venait chez moi pour chercher je ne sais plus quoi. Elle nous surprit pendant que nous nous sucions.

 

Elle n’est pas partie, elle regardait en faisant des commentaires : une fille que ça ne dérangeait pas  qui aimait qu'on s'encule entre garçons

  elle regardait...

 Vous êtes des salauds,... et moi ? Image associée

Image associée 


    — Quoi toi, tu veux qu’on t’encule ?

— Non je veux que vous vous mettiez tous les deux sur moi pour baiser.

C’était notre premier contact avec la gent féminine : elle avait à peine 17 ans, à peine moins que nous. Qu’elle était belle et sexy. Elle savait bien comment faire, en plus elle était plus que dévergondée.

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Pour cette première fois, Cathy s’est mis toute nue seule. Nous voyions pour la première fois une fille volontaire pour baiser et jolie plus que sexy. Elle est venue devant nous, ses seins pour nos bouches avides. Nous sentions biens ses tétons bander sous nos lèvres. Elle nous a embrassés sur la bouche, s’est couchée en nous demandant de la branler.

Si nous savions bien branler un homme pour les filles nous ignorions tout. Elle nous l’a vite appris en jouissant plusieurs fois. Elle m’a fait coucher sur le dos, est venue sur moi, a entré ma bite dans son con. Après s’être bien couchée sur moi elle a demandé à Aimé de venir l’enculer. Notre premier orgasme mixte était avec elle qui jouissait toujours.

Cathy est restée notre fille longtemps, même si, souvent, nous nous enculions toujours avec Aimé. Elle participait souvent à notre débauche en se mettant sous celui qui se faisait mettre pour le sucer. Elle se masturbait également.

Image associéeImage associée


Maintenant, 10 ans plus tard, nous sommes tous casés. Il nous arrive souvent de nous retrouver avec nos conjoints pour nous amuser à plusieurs. Je sais que ma femme aime quand je suce Aimé ou qu’il m’encule comme je lui fais. Elle se régale de temps en temps avec Cathy pour passer une ou deux heures avec elle.

 

Image associée

  NOTES / GARCONS AU MUSEE DE CIRE

  Image associée JUSTIN CHEZ MME TUSSAUD'S


COMMENTAIRE :

 

Par JO-EL - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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