Lundi 9 juillet 1 09 /07 /Juil 07:30

ça  c'est une musique intégrée à l'amour

 

Ils s'aiment comme avant, avant les menaces et les grands tourments

Ils s'aiment comme avant, avant les menaces et les grands tourments
Ils s'aiment, tout hésitants, découvrant l'amour et découvrant le temps
Y'a quelqu'un qui se moque, j'entends quelqu'un qui se moque
Se moque de moi, se moque de qui ?
Ils s'aiment comme des enfants, amour plein d'espoir, impatient
Et malgré les regards remplis de désespoir
Malgré les statistiques, ils s'aiment comme des enfants.

Enfants de la bombe, des catastrophes, de la menace qui gronde
Enfants du cynisme, armés jusqu'aux dents.

Ils s'aiment comme des enfants
Comme avant le menaces et les grands tourments
Et si tout doit sauter, s'écrouler sous nos pieds
Laissons-les, laissons-les, laissons-les, laissons-les s'aimer.

Et si tout doit sauter, s'écrouler sous nos pieds
Laissons-les, laissons-les, laissons-les s'aimer.

Enfants de la bombe, des catastrophes, de la menace qui gronde
Enfants du cynisme, armés jusqu'aux dents.

Ils s'aiment comme avant, avant les menaces et les grands tourments

 

Ils s'aiment comme avant.      (Daniel Deshaime/Daniel Lavoie)

 

 

 

 

 

Par RAMALLETS - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 8 juillet 7 08 /07 /Juil 22:16

pas tout à fait le même type de rapports...dans la baise !  

 

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commentaire :

 

Image associée -"tu l'as cherchée? Tu vas rire ! je l'ai trouvée dans le lit..." 

Par GLOPAGLOP - Publié dans : AMOURS & VIE DU BLOG - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 7 juillet 6 07 /07 /Juil 06:01

  Image associée Image associée  Image associée Belzebuth, enfermé jusque-là, veillait 

  maioui      ...   

      J'ai sucé sa bite jusqu'à ce qu'elle devienne molle et sèche.

Je roulai sur mon dos, l'amenant facilement sur moi, l'embrassant à nouveau et mélangeant nos sucs d'amour des étreintes précédentes  avec des bouches et des langues creusant dans le feu et la passion de notre accouplement urgent...

 

  ...25 cm en pyramide dans son...    

  maioui      ... 

    Mon sexe était dur comme de la pierre et son cul continuait à pousser contre mon entrejambe pour sa baise. J'atteignis la petite table et pris une dose de gel et attrapai son cul.

Il s'est élevé pour moi et a chevauché mon ventre, me facilitant une large entrée dans son cul trop petit. Mes doigts ont trouvé son trou plissé et, au milieu de ses halètements, j'ai inséré rapidement mon index puis mon majeur. Travaillant son trou ouvert et son petit derrière qui se tordaient au-dessus de moi laissez-moi penser qu'il était heureux. Quand j'ai senti qu'il était prêt, le troisième doigt s'est glissé dedans et je l'ai bougé rapidement jusqu'à ce qu'il grognât et gémisse à mon propre rythme. J'ai travaillé son cul jusqu'à ce que j'eusse la moitié de ma paume poussée à l'intérieur de lui. Il souffrait maintenant, mais il continuait à pousser sur ma main, prenant tout ce que je pouvais lui donner. Maintenant, son cul était ouvert et il suppliait de la bite.
    M
a main sortit  sans bruit de ce soyeux espace et mes yeux rencontrèrent les siens. Ses yeux étaient vitreux et des larmes coulaient sur son visage. "Oh, prends-le le trou de ton  bébé, s'il te plait,  s'il te plaît,  s'il te plaît" murmura-t-il plusieurs fois, essoufflé.

Je le soulevai, sous les bras, le ramenant presque complètement sur moi  et guidai son trou du cul impatient de ma bite. Dès que je sentis que mon gland  touchait son puits d'amour et glissait dans son toboggan béant, je l'investis complètement, enfouissant ma bite en lui. Il gémit un peu, ses yeux encore vitreux et lointains. J'étais choqué de voir à quel point ce jeune, bien en tous points de vue, semblait dépendant, assis là, empalé et pistonné, sacralisant ainsi ma bite dure.

Il vibrait et tremblait on ne savait plus si c'était de douleur ou de jouissance extrême alors que je poussais inexorablement plus loin en lui, alors qu'il se collait chair contre chair, poussant contre mon ventre et ma queue. Quand ses fesses touchèrent mon pubis, je guidai son comportement. Il a lentement commencé à bouger, glissant de haut en bas sur mon axe rigide. Je pouvais voir la façon dont ma bite entrait et sortait de lui, et imaginais sans peine l'effet que ça lui faisait ; il gémissait doucement alors qu'il commençait à se détendre et à le prendre dans son lieu secret le plus profond, celui qui réunit âme et corps. Sa queue était à nouveau dure, se balançant à chaque montée et descente de son corps. Je l'ai attrapée et l'ai serrée fermement pendant qu'il commençait à prendre son rythme. Je commençais à grogner chaque fois que ses fesses claquaient contre mes cuisses. Maintenant, il chevauchait le poney au galop, pesant maintenant contre moi de tout son corps d'ange livré au démon, se balançant d'avant en arrière sur mon bâton de baise, se mordant la lèvre inférieure, son visage rayonnant de faim et de désir
et de satisfaction... le diable était entre nous ; Belzébuth avait pris possession de lui. 

  Image associée  tranquille..

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Je lui ai fait lire mon récit et mon copain m'a dit que je pouvais lui faire tout ce que je voulais, alors je lui ai dit d'être prêt quand je rentrerais à la maison avec juste un jockstrap. J'avais sur moi mon costume noir et mon sweat blanc préféré que j'avais portés au travail ce jour-là en tant que professeur de lycée.

J'ai d'abord grimpé sur lui et joué, le relaxant. Puis j'ai pris ses poignets et les ai attachés au-delà de sa tête, aux coins du lit. Une fois que ses petites mains furent neutralisées, j'ai pris le temps de manger son petit cul sexy. Il gémissait de plaisir, ses pieds ballottant dans l'air.

J'ai ôté mon propre jockstrap, et ai commencé à le baiser à cru, avec rien mais ma pine. Ça lui faisait mal, alors je l'ai bâillonné un peu avec ma bite, pour avoir ma bite bien mouillée, puis je suis retourné au travail. Tout ce qu'il pouvait faire était de se détendre et de gémir. Il ne pouvait pas se toucher, et même s'il l'avait voulu, il était coincé dans son jockstrap.

Après un moment, il a commencé à me supplier de jouir. Le regard sur son visage de frustration sexuelle m'a poussé sur le bord. Je suis venu bite et boules libérées au fond de lui.
  Quand je l'ai délié il était déchaîné contre moi et m'a fait payer cher...ce que je souhaitais !¤

 


commentaire :



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Par CAVAILLONGAY - Publié dans : HYPNOSE, MYSTERE, ESOTERISME SENSUALITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 6 juillet 5 06 /07 /Juil 08:07

     Quand la panne de jus est une panne d'électricité ...et qu'en fait nous, du jus... on n'en manquait pas !  -lol- ----

       j'ai entendu le soudain orage :  

  Image associée  pendant l'une de ces nuits orageuses...

  Image associée  «Chat'raide, c'est toi ?»,

 

       Nous, geignant et gémissant à l'unisson... Image associée comme eux, et dans le noir !  

 

 

C'est pendant l'une de ces nuits orageuses dont ils ont le secret dans la région, j'étais dans le dortoir en train de regarder la télévision quand il y a eu un énorme éclair et un coup de tonnerre qui a secoué tout le bâtiment. Les lumières s'éteignirent, se rallumèrent pendant près de deux minutes, avec un bourdonnement constant et une forte détonation toute proche, les lumières s'éteignirent pour de bon.

 
C'était totalement noir, tellement noir que tu ne pouvais même pas voir ta main à quelques centimètres de ton visage. A l'occasion, avec un éclair je pouvais distinguer où étaient les choses . Je me suis assis sur le lit en regardant les flashs qui traversaient la fenêtre, j'ai finalement eu le courage d'écarter les rideaux et de voir que toutes les lumières du campus et du voisinage étaient éteintes.

 
Alors j'entendis le bruit d'un battement dans le couloir et quelque chose frappa la porte suivi d'une série de malédictions à la 'Capitaine Haddock' et en anglais comme 'fuck' et 'damned it' d'une voix que je reconnus. Je me dirigeai vers la porte et fouillai pour trouver le bouton de la porte, ouvrant la porte et je criai à mi-voix : «Chat'raide, c'est toi ?», il répondit: «Qui d'autre pourrait se casser la gueule  dans l'obscurité ?»

  Jared est un étudiant anglais en érasmus chez-nous. Tout le monde l'aime et, moi, je l'appelle 'Chat'raide'. C'est un joli nom n'est-il pas ? et, vu la proximité des sons J et CH , il ne s'en rend pas compte. -hihi
 
En allumant mon briquet, je l'ai appelé 'hé, mec, viens par ici avec moi jusqu'à ce que les lumières reviennent'. Jared est venu dans ma chambre, nous nous sommes assis au bureau et nous avons bavardé pendant que la tempête augmentait en volume.

 
Jared, dans son mauvais français, a suggéré que la tempête était là pour rester et j'ai répondu "rien n'est éternel, ça va bientôt passer". Je sentis que la main de Jared touchait la mienne et il dit doucement «this storm is a very good opportunity...», je me raclai la gorge sans savoir comment réagir quand Jared brisa le silence et dit avec son inénarable  accent «ma bite est dure comme un roc, viens en prendre soin pour moi '.

 
J'ai entendu la chaise bouger et sa fermeture éclair glisser il y eut ce que j'ai cru être un massage de ses parties intimes et j'ai pris conscience d'un arôme de mec quelque part en face de moi. La main de Jared frappa le côté de mon visage et finalement me saisit le menton, Jared dit 'sorry, j'espère que je ne t'ai pas choqué. Allez, là, fais-moi une petite fête. Pouvais-je refuser ?
Comment savait-il qu'il pouvait s'adresser à moi en ces termes ? Quelqu'un avait dû lui faire quelques confidences, c'est sûr !
 
Jared guida mon menton jusqu'à son entrejambe et à son gland  à la fois souple, rigide et glissant  comme tous les glands ! -lol- et son gland dis-je, glissa sur mes lèvres les enduisant au passage de sa mouille un peu salée. J'ai écarté mes lèvres et ai aspiré la tête de son pénis profondément dans ma cavité buccale. Jared gémit intensément et glissa sa bite d'avant en arrière dans ma bouche tout en berçant doucement ma tête dans ses mains.

 
Je suçai avidement son sexe rigide jusqu'à ce que Jared sorte de mes lèvres, provoquant un claquement de son sexe sur son ventre...c'est dire si... et mes lèvres se séparant de son contact furent désorientées et soudain en manque. Jared me souleva en plaçant ses mains sous mes aisselles jusqu'à ce que je me lève. (Il est costaud, n'en doutez pas !) Il défit mon short et je le laissai tomber par terre et en sortis. Nous nous sommes déplacés vers le lit sous la fenêtre, j'ai récupéré le tube de lubrifiant que je garde dans le tiroir et j'ai appliqué une quantité généreuse au sexe de Jared et à mon ouverture anale. Toujours ensuire les deux parties come il se doit. 

 
Jared, agenouillé, rampa entre mes cuisses et les souleva légèrement, tandis qu'il mettait son bassin à la hauteur du mien. J'attrapai son  gland et le sentis palpiter d'anticipation sur ce qui allait arriver ...et moi c'est mon petit trou  qui au lieu de se lâcher se crispe jusqu'à me faire mal comprenez : j'ai une grosse envie comme ça, dans le noir.

Tenant fermement la base du pénis et des testicules de Jared, je me glissai plus bas dans le lit et arrondis fermement mes jambes  autour de sa taille, mes talons reposant sur ses fesses. Comme ça on ne risquait pas de se perdre -lol-. La queue bien lubrifiée de Jared a contacté mon trou également lubrifié et avec une pression régulière mais douce, l'outil de baise de Jared est entré dans mon ouverture heureuse de l'accueillir.

 
Jared a lentement travaillé son pénis de plus en plus profond en moi chuchotant dans mon oreille 'Oh David, ta chatte est tellement serrée c'est comme glisser dans un gant, j'aime comment tes muscles serrent ma bite, ça fait si bon'.

 
Une fois que Jared a installé toute la longueur de son énorme outil de baise en moi, il a glissé ses bras sous mes épaules et m'a tracté jusqu'à lui et a broyé très passionnément son outil de baise en moi. Je m'agrippai à ses épaules et me hissai jusqu'à lui et allai à la   rencontre de chaque poussée avec une poussée tout aussi forte de ma part. La tempête faisait rage et les éclairs furibonds illuminaient de temps en temps la scène alors que nous nous baisions lubriquement.

 
Pendant toutes les heures qui suivirent, nous nous défonçâmes comme des sauvages, grognant et gémissant à l'unisson. Jared se leva et sortit de mon rectum et me tourna vers mon ventre en écarquillant mes jambes, Jared s'allongea sur mon dos. Je me suis retrouvé à guider de nouveau sa bite encore lancinante dans mon muscle réceptif du sphincter anal.
Ce qui fut sublime c'est que mon 'Chatraide', ben raide pour la circonstance, gémissait d'un plaisir immense et nous gémissions à l'unisson faisant un duo charmant couvert par le bruit incessant et roulant du tonnerre. 
 
Je gémissais d'une passion lubrique alors que Jared rentrait dans mon 'bunghole' comme il dit et recommençait à me baiser avec un abandon tout aussi lubrique. Il ne fallut pas longtemps avant que Jared agrippe fermement mes épaules et s'enfonce à nouveau profondément dans mes fesses et que je sente le flux chaud de sa substance éclabousser l'intérieur de mon côlon je suis sûr, qui que vous soyez, que vous pourriez bien en être jaloux. Si le courant électrique a manqué, nous, nous n'avons manqué ni d'énergie ni de fluide à aucun moment !
 

 

 

     " nous gémissions à l'unisson faisant un duo charmant"

La chanson du bonheur ♪ Mon coeur la chante  Et je sais que ton coeur  La chante aussi ♪

 

La chanson du bonheur ♪

Mon coeur la chante
Et je sais que ton coeur
La chante aussi
Souviens-toi mon amour
De ce jour merveilleux de septembre
Pour que naisse un roman
Simplement quelques mots ont suffi
La chanson du bonheur
Lointaine et tendre
Et l'écho de nos coeurs
Qui nous redit
Car la vie a vraiment commencé
Par ce jour de septembre
Ou le vent tendrement fredonnait
La chanson du bonheur
La Colline Aux Marronniers
Perdue dans la colline
Parmi les marronniers
Une biche mutine {2x}
Est venue me parler {2x}
D'un buisson d'églantines
Où l'amour m'attendait
Depuis ce matin-là
Quand le soleil brille en moi
Je fais le même chemin {2x}
Et j'oublie tous mes chagrins {2x}
La, la, la,...
Perdue dans la colline
Parmi les marronniers
Jusqu'au chant des Mâtines {2x}
Loin des yeux indiscrets {2x}
Une biche mutine
Garde notre secret
Depuis ce matin-là
Quand le soleil brille en moi
Je fais le même chemin {2x}
Et j'oublie tous mes chagrins {2x}
'chantée en son temps, par Lina Margy 
Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 6 juillet 5 06 /07 /Juil 06:43

      Image associéeQuand je vais vous dire que ma bite fait 20/6, ça ne va pas vous surprendre outre mesure. Il y en a d'autres ! mais moi mon gros zob est pointu au niveau du gland et fait 8 cm à la base. Je sais que la progressivité des augmentations de diamètre en fait un outil de jouissance extrême  et c'est pour ça que je suis recherché : à la suite de quoi je cherche un homologue, mais je ne l'ai pas trouvé. J'aimerais pourtant me faire piner moi aussi par un 20/2->/5->/8, pour savoir l'effet que je produis à mespartenaires. Mes partenaires passifs m'ont rendu jaloux ! -lol- ...mais je me résigne et je m'amuse en attendant... 

Résultat de recherche d'images pour "in the shape of a penis" http://cavaillongay-lesitelocal.erog.fr/

           jetjrCONFIDENCES : Déjà, quand le gars est pris par ma grosse, il ne peut plus avoit envie que je ressorte, vu les 8 cm de diamètre à la base qui à chaque poussée lui font pousser  le cri de la première fois.  J'aimerais-en plus- avoir un pénis qui enfle pendant la baise, à un point que le gars une fois pris ne puisse plus se dégager (on en a l'exemple sous forme de gode gonflable qu'on ne peut plus ressortir) mais je veux du naturel ! -lol-       

    Résultat de recherche d'images pour "in the shape of a penis" aucune de ces représentations ne convient à ma bite qui est longue, TRES épaisse à la base et fine et trompeuse au"sommet" puisqu'elle fait -de haut en bas-  20/2->/5->/8

 Vié de baleine, le mien est homotétique, mais 20 cm de long  

Vrai penis de baleine (Copenhagen Botanical Gardens): 

moi c'est pareil mais version 20 cm fin au bout pour qu'on ait envie que ça rentre...la surprise vient après  

 

     

    Récit :     ...25 cm en pyramide dans son... 

  Il a crié alors que je faisais monter ma bite dans son petit cul musclé, pilonnant en lui, tout en le serrant "à mort"par les épaules, le plaquant dans le lit avec mes poussées puissantes, ma bite grossissant et durcissant avec ma passion folle. Ses grognements et ses cris de surprise ne me firent que le pilonner de plus en plus fort; mes couilles tapant contre les siennes qui pendaient derrière lui, puis je m'arrêtai et je gardai ma bite moulée  dans son  conduit, mes hanches se mouvaient dans une cadence folle à la poursuite de mes courtes respirations haletantes. Ses sanglots se faisaient plus doux maintenant.

"Dis-le-moi que tu veux être baisé plus hard  salope. Dis-le moi !" Tandis que mes mains passaient de ses épaules à ses hanches Je m'agrippai davantage à lui , mes doigts s'enfonçant dans ses chairs. Il a gémi. Brusquement je l'ai giflé en travers du cul, laissant une autre marque de main rouge vif qui resterait là pendant des heures. "Si tu en veux plus il faut me supplier." Ai-je dit d'un ton qui se voulait sans concession.

-"S'il te plaît, baise-moi plus, oooohhhhhhh, oui, s'il te plaît, fais-moi mal avec ta grosse bite, donne-moi tout ton sperme, je veux ton énorme bite enfouie tout le long, tout au fond dans mon cul ... Baise-moi plus "hard" ... oooooh, "Murmura-t-il alors qu'il poussait ses fesses contre contre ma queue.
 credo : 
   
J'ai souri. Je n'arrivais pas à croire ce que j'entendais alors que je ne connaissais même pas cette magnifique salope-baiseuse 2 heures avant.

-"Je m'ennuyais, ma femme était hors de la ville et j'avais besoin d'un homme qui me fasse l'amour de la pire façon. Ayant été gay, pute au placard depuis le collège, quand on m'a parlé de me marier et de prendre la relève de l'entreprise familiale,
  Alors, maintenant, ce que je veux c'est me payer une bonne bite plusieurs fois par semaine dans l' établissement de bains que j'ai trouvé sur le web à moins de 100 bornes de notre petite ville et l'endroit idéal pour vivre et élaborer mes fantasmes loin des regards indiscrets".
                
>"généralementJe suis  un passif très reconnaissant. Plus la queue est grosse et épaisse, plus heureux je suis !  et j'attache beaucoup de prix à faire un bon "repas" avec une bonne queue et consommer tout le sperme que je peux avaler. Mais il y a  aussi des jours où j'aime moi même défoncer des culs serrés. Aujourd'hui, ce serait le cas le plus exemplaire...
                
 >"En arrivant j'ai payé mon entrée à la réception et j'ai commencé à déambuler devant les box déjà occupés et d'où sortaient des bruits de succion et de claques accompagnés de cris de plaisir. Comme je passais devant un box, il y avait ce que je pensais être un jeune garçon allongé sur la banquette, son cul blanc en l'air, attendant une bonne bite pour donner à son petit cul une bonne baise. Mais je ne lui donnais pas plus de 14 ou 15 ans et je ne pouvais pas croire qu'ils l'aient laissé entrer et que personne n'intervienne pour le faire sortir. 
Les "chambres" sont louées pour la journée, je suis passé devant lui et je suis entré dans la mienne, aussitôt j'ai glissé hors de mes vêtements et j'ai enroulé une serviette autour de ma taille suis retourné vers le box du garçon. "Qu'est-ce que tu fais ici," demandai-je en entrant dans sa chambre. "Il faut avoir 18 ans pour entrer ici."
Ce beau jeune homme se retourna en riant et s'assit en face de moi. Il était blond, frisé et n'avait pas de poils . Sa queue plutôt mince et bandée se détachait de sa peau nue, ses jambes étaient évidemment rasées. Je pouvais voir que ses aisselles étaient également rasées. Il avait le visage d'un ange. Il ne devait pas, à mon avis peser plus de 45-50 kg tout habillé. Il mesurait à peine 1,60m  et ses pieds pendaient en l'air de la banquette par-dessus le sol.

-«J'ai 20 ans et j'ai dû le prouver avec mon permis de conduire pour entrer ici. Je suis juste un gentil petit mec qui adore se faire baiser la bouche et baiser le cul... Bien profond, bien dur et bien "trash". Si tu es entré ici c'est que tu veux profiter un peu de ce jouet, n'est-ce pas? " Il sourit et tendit la main pour défaire ma serviette. Ma queue était comme une barre d'acier, droite et tendue. Il m'a attiré vers lui et a rapidement porté sa bouche à mon gland rouge vif, léchant le pré-sperme qui coulait de ma fente baveuse. Une main a caressé  ma bite à longs coups, la tirant vers sa bouche humide. De l'autre main il a saisi mon sac suspendu et a commencé à masser mes couilles douloureuses du fait de mon extrème tension. En quelques secondes il avalait la bite et je la poussais dans sa bouche gourmande aussi fort et loin que possible.
Ses mains agrippaient maintenant mes fesses et bientôt il pressait son visage contre mon ventre, les 20 cm de ma bite enfoncés jusqu'à la garde dans son gosier. 

 

     >A quel point c'était bon je ne pouvais pas le croire . C'était le 'petit garçon' le plus excité, le plus affamé, le meilleur pour les gorges profondes que j'aie jamais rencontré. Lors de mon meilleur exploit, même quand j'étais un débutant très enthousiaste, je ne pouvais pas prendre une bite pareille aussi vite, aussi profond.
    
Ce jour là je me souviens que j'étais dans un tel manque que je pouvais sentir le sperme s'accumuler dans mes couilles. J'étais tellement excité que je suis presque venu dans ma voiture pendant le trajet. Et là il faisait maintenant glisser mon sexe de long en large ... Je l'ai saisi par la tête et j'ai commencé à le marteler à coups de queue,  mes couilles se balançant sous son menton et en le giflant à la gorge, je lui mordillais aussi le visage et les oreilles en mordant la figure. Je devenais fou et le baisais sans retenue, m'abandonnant à mes instincts ainsi qu'il le demandait, le tenant dans une poigne serrée, tenant sa tête à deux mains pour le pilonner, baisant son petit visage, le regardant fixement, le regardant avidement prendre ma longue queue entre ses lèvres minces et distendues, ses yeux brillants me regardant également fixement, faisant passer de tendres et confiants messages. La voix décousue que j'entendais en arrière-plan était la mienne, criant à ma garce de compagnon de jeux de prendre ma bite et sucer mon sperme .....

>Puis ma vue s'est brouillée et je l'ai perdu de vue, comme éjecté et volant " par dessus bord", le garçon soufflant pour ingurgiter le sperme accumulé dans sa gorge, salves de feu chaudes, longues cordes de ma passion l'inondant de mes jus, de mon énergie, de mes fluides de Vie. Finalement, il ne put en prendre davantage et commença à dégorger mon monstre, le jus suintant abondamment sur les côtés de sa bouche, le long de son menton et sur sa poitrine. Je me penchai et étalai un peu de mon sperme sur ses tétons roses et durcis. "Bon, après il faudra que je m'occupe un peu mieux de ces tétons " pensai-je. Il agrippa ma bite à deux mains et dispersa les dernières gouttes de mon jus en sortant mon gros zob encore gonflé et commença à le lécher proprement. Il leva les yeux vers moi, léchant le sperme encore brillant de ses lèvres. Je m'assis à côté de lui et le pris dans mes bras et nos bouches se rencontrèrent, affamés l'un de l'autre. Ma langue s'aventura dans les profondeurs de sa bouche goûtant mon sperme mêlé à sa douceur. Je m'étends maintenant sur lui, ses jambes écartées pour me laisser reposer contre la chaleur de son corps brûlant.

Je m'éloignai lentement de ses lèvres et léchai encore le sperme qui venait de sa gorge et goûtai bientôt ces délicieux mamelons alors qu'il enroulait ses jambes autour de mon corps et me tenait fermement dans ses mains. Comme un enfant il dit :- "Oh, mec, c'est si bon, adorable, rends ton petit salopard heureux, rends-moi heureux ... fais-le moi," dit-il en arquant son corps contre moi alors que je léchais et mordillais doucement ses doux tétons.

Je pouvais sentir sa bite dure contre ma poitrine et je m'y frayai un chemin, léchant la générosité pré-éjaculatoire des lèvres suintantes de son méat et puis suçant goulûment, lui rendant ce qu'il m'avait donné j'attaquai sa queue , j'y suis allé d'une succion gourmande et frénétique, prenant toute sa longueur encore et encore en plaquant ma tête dessus , en  et en poussant mon visage contre son ventre tendu et musclé à chaque descente de ma bouche et montée de son sexe en moi. Je voulais ses jus, je voulais sentir cette vague de jus d'homme exploser dans tout mon être par osmose et, en quelques minutes, mon petit homme arquait son bébé palpitant sur mon visage et criait alors que son jus éclaboussait et tapissait ma gorge.J'ai sucé sa bite jusqu'à ce qu'elle devienne molle et sèche.

Je roulai sur mon dos, l'amenant facilement sur moi, l'embrassant à nouveau et mélangeant nos sucs d'amour nos bouches et nos langues creusant dans le feu et la passion de notre accouplement urgent.

Mon sexe était dur comme un caillou et son cul continuait à pousser contre lui, pour se faire baiser. J'atteignis la petite table et pris une noisette de gel et attrapai son cul.

Il s'est levé pour moi et a chevauché ma poitrine, me procurant une  entrée plus aisée. Mes doigts ont trouvé son trou plissé et j'ai inséré EN MEME TEMPS
-lol- mon index et mon majeur. Laissez-moi penser qu'il était heureux quand je travaillais à la dilatation et à l'ouverture de son trou d'amour tandis qu'au- dessus de moi s poursuivaient les convulsions involontaires que lui imprimait ce que je lui faisais . Quand j'ai senti qu'il était prêt, le troisième doigt s'est glissé dedans et j'ai agité le doigt rapidement jusqu'à ce qu'il grognât et gémisse à mon propre rythme. J'ai travaillé son cul jusqu'à ce que j'eusse la moitié de ma paume à l'intérieur de lui. Il souffrait maintenant, mais il poussait de nouveau vers ma main, prenant tout ce que je pouvais lui donner. Maintenant, son cul était ouvert et il suppliait pour avoir la bite.

Voulant lui maintenir des sensation fortes, tout en levant les yeux vers lui j'ai retiré ma main et cela fit un petit bruit de bisou mouillé. Ses traits demeuraient impassibles sauf que  ses yeux étaient vitreux et des larmes coulaient sur son visage. "Oh, prends-le mon trou de bébé, s'il te plaît, s'il te plaît, s'il te plaît," murmura-t-il.

Je vous l'ai dit, il n'était pas lourd. Je le cueillis comme un fruit mûr, le soulevai, sous les bras, le maintains en l'air un instant au-dessus de mon venre et guidai son trou du cul prêt à revevoir ma bite. Dès que je sentis que mon gland  atteignait son chemin parsemé d'étoiles et glissait dans son trou noir béant, je l'envahis complètement, enfouissant ma bite en lui. Il gémit un peu, ses yeux encore vitreux et lointains. J'étais choqué de voir à quel point il semblait petit, assis là, empalé sur  le piston dema bite dure

Il grinçait des dents pour lutter contre la douleur alors que je poussais plus loin en lui, alors qu'il se collait contre moi, poussant contre ma queue. Je lui ai presque proposé qu'on arrête, mais bientôt je pouvais voir la douleur se dissiper un peu et mon épée est entrée à fond. Il a lentement commencé à bouger, glissant de haut en bas sur mon axe rigide. Je pouvais voir comment ma bite  entrait et sortait en lui, il gémissait doucement alors qu'il commençait à se détendre puis quand il se la prenait au plus profond et donc au plus fort diamètre, poussait un attendrissant petit cri de surprise mêlée de plaisir. Je le tenais mon petit bonhomme, jamais il n'oublerait ça. Sa queue était à nouveau dure, se balançant à chaque montée et descente de son corps. Je l'ai attrapé et l'ai serré fermement à la taille qui'il avait si fine, pendant qu'il commençait à prendre son rythme. Pour souligner ce ryhme et marquer qu'on jouait un duo, e commençai à grogner chaque fois qu'il me claquait ses fesses contre mes cuisses. Maintenant, il chevauchait le mustang au galop, baisant contre moi de tout son corps, se balançant d'avant en arrière sur mon bâton de baise, son visage rayonnant de faim, de désir et d'extase
 .
      
Avec la souplesse d'un chaton il se pencha au-dessus de moi, tendit la main vers ma bouche ouverte, haletant dans sa gourmandise pour en avoir plus. J'ai attiré ses lèvres sur les miennes et il s'est couché sur moi maintenant, ses jambes étirées le long des miennes, ma bite toujours enfouie profondément dans son cul brûlant et brisé. J'ai fait courir mes mains sur son corps, sa douceur, alors que nous unissions nos hanches ensemble dans un rythme né de nos passions.

Il s'est relevé et s'est mis dans une position de "push-up" et a commencé à pousser avec plus de force. Pousser de plus en plus fort contre ma bite maintenant, grognant et gémissant à chaque poussée. Mon sexe commençait à brûler chaque fois davantage de manière incroyable, alors qu'il jetait tout son corps contre moi. Je me demandais à combien d'allers et retours je pourrais résister avant de jouir.

Maintenant, je pouvais voir ma bite luisante et dure entre nos corps, glissant dedans et dehors, encore et encore. Son cul battait contre mes couilles et je pouvais sentir le feu "au navire", la douleur à la base de mes couilles chaque fois qu'il descendait. Ma bite et mon cul se tendaient de plaisir, et il commença à grogner bruyamment à chaque poussée. Sa queue giflait contre son ventre alors qu'il labourait contre moi dans une putain de folie frénétique. J'étais au paradis, et je pouvais sentir ma propre queue pulser de plaisir alors qu'elle glissait le long des murs intérieurs étroits de son puits d'amour, dans son joli cul. Mes mains étaient sur ses seins, massant la chair gorgée de sang à la surface tandis que je m'abandonnais aux pulsions les plus élémentaires de mon corps, poussant un rugissement de fauve tandis que les fluides se déchaînaient hors de moi et que mon jus chaud jaillissait de mon être profond dans ce  paradisiaque "jouet sexuel", où ma queue chérie se branlait contre lui pendant que je le toujours plus remplissais de mon amour.à chaque nouvelle giclée de sperme.                                                Sa propre queue commença à dégainer des cordes de sperme, me frappant au visage et à la poitrine alors qu'il expulsait ses propres sucs pour s'assortir à mon torrent de lave bouillonnante.
 

  Finalement, après que nos corps aient arrêté les secousses et les spasmes et que nous soyons "descendus" comme on descend d'un trip de drogue,  de notre fantastique orgie de satisfaction sexuelle, il est retombé sur moi et nous nous sommes endormis, épuisés par nos rapports sexuels. Ma queue était toujours dans son corps merveilleux, ses lèvres sur les miennes. Nous restons ainsi longtemps à nous éveiller alors que ma douce queue apaisée et ramollie sort enfin de son nid d'amour. Une quantité de sperme a coulé de son trou de chatte sur ma bite et mes couilles.

Il a tourné son corps dans une position 69 et a commencé à me laver en me léchant pour me mettre propre. J'ai commencé à répondre, en léchant ses propres boules encore pleines de sperme et sucé sa verge jusqu'à ce qu'elle se lève encore. Je suçais goulûment son gentil bâton, mes mains couraient le long de ses cuisses et de ses fesses glabres, si lisses et si blanches. Je pouvais sentir ses efforts de succion éveiller ma bite de nouveau affamée... Je souris en sentant à l'intérieur de moi-même que les choses remuaient.
Je l'ai changé de position et, en lui fourrant un oreiller dessous, j'ai voulu qu'il élève son ventre, le ramenant à la position où il était quand je suis passé devant sa porte. Il s'est rapidement plié, de nouveau avide de baise. Je regardais son joli cul, si étroit et si petit, si ouvert et prêt à se faire baiser. Ma queue était de nouveau bandée à faire mal, sa tête, petite, rouge vif, plus tendue encore que je ne l'avais jamais vue malgré sa minceur à ce niveau. Cela ressemblait à un coutelas prêt à déchirer le corps devant lui ! Son trou du cul était plissé et gonflé de la première baise et le sperme en sortait encore.

J'étendis ses jambes et le remontai par derrière, Là j'étais à nouveau comme l'animal en action que je vous ai décrit et que j'étais devenu. Je pressai ma queue qi écarta ses lèvres de chatte gonfles et me laissai tomber en lui, faisant mordre ma bite dans son trou d'amour avec un bruit de souffle. Il a poussé un cri de plaisir quand j'ai atteint son point chaud. Je le tenais là comme un jouet, par les hanches et je commençai, ma bite dure, glissant en lui, dedans et dehors avec environ un tiers de ma longueur, jouant avec son cul, le préparant pour une baise chaude, un long et jouissif parcours avant que je puisse jouir à nouveau.

Je me suis glissé jusqu'à ce que mon sexe soit complètement à l'intérieur et prêt à nous donner [à lui et à moi] la baise de sa vie. "supplie-moi , prie-moi de te baiser, pute adorée, supplie ma queue de baleine, mendie mon chaton ! mendie ! "

>-"Ahh, ah, ah, baise-moi , ohhhh, fais-moi mal avec ta bite enfouis-la dans mon ventre ... oh donne-moi, donne-moi encore ta semence. ", S'écria-t-il d'une voix rendue rauque par le plaisir.

Je me levai et brusquement déculai pour lui faire sentir le manque, puis je le biflai très fort de mon pénis qui avait repris son terrain et le pilonnait, mes couilles claquant contre les siennes alors que je l'enfonçais dans le lit avec ma poussée. Il hurla de douleur alors que ma queue pénétrait dans des profondeurs qu'il n'avait jamais aussi bien ressenties avant que le monstre ne reprenne et que je chevauche son cul minuscule jusqu'à ce que je perde la notion du temps et de l'endroit, tombant avec lui dans un rythme de luxure et de folie débridée. Je ne voulais pas faire souffrir mon ange, mais Par mes claques sur ses fesses et ses jambes  -ce n'était pas cruauté- je le faisais accéder à "l'inaccessible". Son cul et ses cuisses en étaient rouge vif. 

 

  J'admirais la beauté insensée du garçon qui gisait sous mes yeux, se prenant, absorbant plutôt, cette baise sauvage, ses phalanges blanches s'agrippant au lit, son visage rosi par l'épreuve, ses cheveux blonds emmêlés de sueur, geignant et haletant à chaque plongeon de ma bite dans les profondeurs de son être.

À un moment donné, je me suis senti flotter hors de moi-même, regardant ce "gamin" maigre alors que je chevauchais son cul avec ma monstrueuse queue d'adulte, l'écoutant gémir et lutter pour respirer pendant que je le martelais de mon amour féroce. Tandis que je tirais ma bite et la lui enfonçais, encore et encore, puis l'enfouissais profondément et la mariais complètement à sa chair, je pouvais voir un peu de sang se mêler au sperme.

Quelque part au milieu de notre extase, nos esprits et nous sommes allés en un lieu de brumes et de rivières et de hautes montagnes et quelque part en moi, je me souviens des jus qui se détachaient de nous et je volais dans les nuages ​​alors que je me vidais en lui. Je sentais que l'orgasme venait de la plante de mes pieds , de ma racine, et que j'étais dans une grande souffrance, quelque part là-bas alors que j'inondais son âme de mon être même, éclatait l'auroreaprès une explosion douloureuse alors que des parties de moi se détachaient de son être magique.

Je me suis réveillé plus tard, toujours au-dessus de son corps brisé et rempli, ma bite toujours implantée dans son cul, ses mains n'étaient plus serrées, mais détendues dans un état de paix endormie.¤
  

  Image associée  mon bébé, lit défait, se reposait doucement maintenant dans le nirvana où j'avaisi réussi à le mettre 

 

NOTES: Grosse bite baveuse, trait d'union entre les hommes

"Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres
J' n'ai pas, sur ce point-là, le même avis que le vôtre
Quand c'est tout petit
C'est bien plus gentil
Quand y en a beaucoup
On n'en voit plus l' bout
D'ailleurs c'est toujours beaucoup mieux
De garder un juste milieu !"   

La chanson « Si vous n'aimez pas ça » a été interprétée par Maurice Chevalier          


Paroles de la chanson :

Pourquoi, plein d' dédain
Dites-vous "Je crois bien
Qu'elle a des p'tits seins" ?
C'est idiot!
Les p'tits seins, monsieur,
D'abord sachez-le
Cela tient beaucoup mieux
Que les gros
Puis on a l' plaisir
De les voir grandir,
Pousser, s'arrondir
Et bondir
Quoi d' plus ingénu
Que des seins menus
Et puis, monsieur, au surplus

Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres
J' n'ai pas, sur ce point-là, le même avis que le vôtre
Quand c'est tout petit
C'est bien plus gentil
Quand y en a beaucoup
On n'en voit plus l' bout
D'ailleurs c'est toujours beaucoup mieux
De garder un juste milieu !
Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres
J' n'ai pas, sur ce point-là, le même avis que le vôtre
Enfin pour la mode
C'est bien plus commode
Pour danser l' shimmy
C'est bien plus mimi
Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres

L'autre jour, silence dans un restaurant
Où pour trois cents francs
On mange peu
En plein dans l' potage
Charmant badinage
Qu'est-ce que j' vois qui surnage ?
Un cheveu !
Je crie au garçon
"Quelle dégoûtation !
Regardez mieux, voyons, votre bouillon !"
Du doigt m' désignant
Autour ses clients
Il me dit en souriant

Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres
Qu'ils mangent leur consommé si vous n' voulez plus du vôtre
Sans en avoir l'air
Avec votre cuiller
Poussez-le dans l' coin
Pour qu'on n' le voie point
Pourquoi donc pour un cheveu tout p'tit
De tout l' monde couper l'appétit ?
Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres
Qu'ils gardent leurs illusions si vous n' voulez plus des vôtres
À la réflexion
Un très bon bouillon
A toujours des yeux
Pourquoi pas des cheveux ?
Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres !

La saison dernière
Dans un trou pas cher
J' prenais mes bains d' mer sans maillot
D'ailleurs, à quoi bon
Porter un caleçon
Voir un joli garçon, c'est plus beau (hum !)
J' prenais donc mes aises
Quand une vieille Anglaise
Tout à coup surgit
Et rugit
"Oh, fit-elle, mon Dieu !
Comme c'est affreux !"
J' répondis d'un air gracieux

Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres
Les beautés d' votre pays sont-elles différentes des nôtres ?
Dans mon p'tit complet
Qu'est-ce qui vous déplaît ?
Je vous en supplie
Voyez-vous un pli ?
Car je m'aperçois qu' vos yeux tiquent
Sur un endroit de ma plastique
Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres
Vous n'avez pas c' truc-là probablement sur la vôtre
C'est un grain d' beauté
Je peux pas l'ôter
Il est mal placé
Mais il plaît assez
Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres !   Maurice Chevalier
Par CAVAILLONGAY copyright - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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