Mercredi 18 juillet 3 18 /07 /Juil 06:27

  19 cm : BM ou TBM ? Les dépositaires de gros pénis sont-ils si fortunés et vaniteux qu’on peut l’imaginer ?  

histoire, funny, vibrateur, sexualité oui, pas de pb je vais aller doucement !

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19 cm : BM ou TBM ? Les dépositaires de gros pénis sont-ils si fortunés et vaniteux qu’on peut l’imaginer ?

Que nous reste-t-il de Raspoutine, guérisseur débauché, assassiné en 1916 à la cour de Nicolas II de Russie ? Peu savent qu'il aurait soigné l'hémophilie du fils du tsar par imposition des mains et qu'il a sans doute été l'amant de la tsarine. Plus nombreux sont ceux qui colportent la légende de son imposant pénis de 29 centimètres, qui aurait été coupé lors de son assassinat.

Le membre, que de nombreux fétichistes ainsi que sa fille ont prétendu posséder, trône aujourd'hui au musée de l'Erotisme de Saint-Pétersbourg. Du moins le croit-on, la maison de vente aux enchères britannique Bonhams ayant déjà fait en 1994 l'expérience d'une fraude en acquérant un concombre de mer en lieu et place de la verge historique (le fait nous a été confirmé par la maison mère). Qu'importe, dans son titre Rasputin, le groupe disco Boney M., peu soucieux d'exactitude historique, l'a immortalisé comme "Russia's greatest love machine". Soulevant la question délicate et obsessionnelle de la taille du pénis et des avantages à être bien doté.

"Je rêvais de le découper ou de me faire opérer"

Inutile de revenir sur la sacralisation du phallus, qui a traversé les époques avec une vigueur inaltérée. Hantant la production artistique depuis les sociétés primitives jusqu'à la série américaine Hung, en passant par les priapes grecs, Cent ans de solitude, South Park et l'obélisque de la Concorde. L'imaginaire collectif affectionne les érections de qualité. Mais qu'en est-il IRL (in real life) ? Que se cache-t-il réellement derrière le terme "grosse bite", les filles s'évanouissent-elles de plaisir à la vue d'un bel organe ? Et leurs chanceux dépositaires sont-ils si fortunés et vaniteux ?

Certainement pas Felix, sujet britannique de 29 ans qui n'hésite pas à parler de handicap à propos de son sexe, dont il refuse de donner la taille exacte mais qui "dépasse largement le cadre de la normalité".

"Dès qu'il a commencé à devenir imposant, alors que j'étais adolescent, mon sexe est devenu un objet de honte", confie-t-il. "Aller à la piscine ou simplement porter un short s'est transformé en angoisse. Je rêvais de le découper ou de me faire opérer, je n'osais en parler à personne."

Des érections plus difficiles à maintenir

Même dans un pantalon normal, Felix a du mal à dissimuler sa vraie nature. Et lors des fouilles aéroportuaires, la même scène se reproduit inévitablement lorsqu'il est palpé par un agent croyant avoir mis la main sur un paquet suspect. Avec les filles aussi, la surprise laisse place à la perplexité. "Quand je rencontre une fille, je n'ose pas la prévenir, et passé l'effet d'éblouissement, je sens bien que ça la dégoûte." Pour assombrir le tableau, Felix ne connaîtra jamais la joie de pénétrer entièrement sa partenaire et avoue quelques problèmes à maintenir son érection.

“Un gros pénis demande en moyenne plus de carburant que les autres”, avance l’andrologue Ronald Virag, auteur de la bible sur le sujet, Le Sexe de l’homme. S’il faut en moyenne 133 ml de sang pour ériger un sexe moyen (10,84 cm au repos et 15,11 cm en érection), certains spécimens demandent le double. “On constate qu’un pénis ayant besoin d’un volume important conserve en général moins bien l’érection que les autres”, explique le spécialiste.

Les détenteurs d’un mégapénis sont rares et disposent pour se consoler (outre la chirurgie dans certains cas) du livre How to Live with a Huge Penis (2009, non traduit en français), bourré de trucs et astuces à leur intention.

Restent ceux qui sont suffisamment au-dessus de la moyenne pour se targuer d’en avoir une grosse. Au-dessus de 20 cm en érection, “une rareté” selon Virag, qui a “vu” plus de 15 000 hommes dans son cabinet (environ 1,8% des sujets selon les études). Ou à partir de 17 cm, soit environ 13% de la population concernée. Lionel, lui, avoue 19 cm de long et 6,5 cm de large. Il n’aborde pas les filles plus facilement, mais s’attend naturellement en se déshabillant “à de petites exclamations d’agréable surprise”.

“Je suis fier de mon zguègue, raconte le trentenaire, mais si on me demandait de me définir en trois points, je ne penserais pas à la taille de mon sexe.”

Il confesse une interdiction récurrente de pratiquer la sodomie et une récente petite amie à l’ouverture buccale insuffisante. “Un grand sexe ne donne pas plus de plaisir à la partenaire, c’est plutôt la largeur qui va compter”, explique Ronald Virag, qui rechute dans les chiffres : “Chez la femme, il y a 8 cm entre l’orifice et le col de l’utérus, plus 3 cm avant le cul-de-sac de Douglas (sic).”

"J'aurais préféré un mec moins bien équipé pour briser mon hymen"

Les demoiselles interrogées sur la question font généralement la différence entre leurs fantasmes et la pratique. Lou, “pas fan de grosse bite”, en donne un bon résumé :

“Le premier mec avec qui j’ai fait l’amour avait un truc vraiment très très impressionnant, aussi large que long. J’avais déjà vu des bites et joué à touche-pipi, donc je voyais bien qu’il s’agissait d’un modèle XXL. J’avais beau être tout à l’excitation du moment, je me suis quand même dit que j’avais pas trop de chance pour une première fois et que j’aurais peut-être préféré un mec un peu moins bien équipé pour briser mon petit hymen.”

L’avis des filles n’est pas ce qui compte le plus : les histoires de taille de bite sont plutôt des affaires de garçons. Bien plus que leur longueur en érection, ce qui tracasse les messieurs, c’est la longueur au repos, c’est-à-dire au vestiaire. “Ça ne m’a jamais donné plus d’assurance avec les filles, mon problème était plus visible, j’avais des boutons, raconte Nicolas, 29 ans, 20 cm et marié. Mais c’est plus un truc entre copains, je sors plus facilement ma bite en soirée que d’autres”, reconnaît celui que ses amis appellent Brad, pour “bras d’enfant”.

Bien membrés, plus flemmards au lit

“Même si Lacan a bien dissocié le phallus et le pénis, il reste pour les garçons un fort enjeu de pouvoir”, explique le psychanalyste Serge Hefez. Du coup, un garçon bien membré “va se sentir mieux armé dans la rivalité de vestiaire et pourra avoir une meilleure confiance en lui”.

C’est le cas de Gaspard : “Malgré toutes mes incertitudes, mes maladresses, je sais qu’à ce niveau-là, ça va. Qu’au moment de se déshabiller j’aurai les arguments.” “Même dans la vie de tous les jours, ça me donne plus d’assurance”, explique-t-il, certain que l’on peut reconnaître à leur attitude les garçons bien membrés, qui seraient pourtant selon lui plus flemmards au lit. Et même s’il n’a “jamais rencontré quelqu’un qui en avait une aussi grosse” que lui, il raconte : “Un jour, j’annonce la taille de ma bite à un mec qui cherchait un plan TTBM (très très bien membré – ndlr), je lui annonce mes 20 cm et il me répond, presque dégoûté : ‘Ah ouais non, laisse tomber, t’es juste BM.’ ”

Hugo Lindenberng  les iroc

 

Par LESINROCKS - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 16 juillet 1 16 /07 /Juil 03:54

Image associéeRassasie-toi aujourd'hui de ce qui t'est offert"Car, ce dont on se prive aujourd’hui, [dit-on] dans l’Évangile, plus tard on le retrouve au centuple… "N'en crois rien !

"ah ! qu’ai-je à faire de plus de biens que mon désir n’en appréhende ?"

 

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Image associéeViens !

 

le désir que nous avons eu l'un pour l'autre est ce qui nous restera de plus cher

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La valse en do mineur de Frédéric Chopin

 

Image associée la dernière vision que j'ai de lui.

NOTES : "si je regrette aujourd’hui quelque chose, c’est d’avoir laissé sans y mordre, se gâter, s’éloigner de moi bien des fruits, des fruits que tu m’as présentés. Dieu d’amour qui nous alimentes ! — — car j’ai connu déjà des voluptés si fortes [] et je n’aurais plus pu les goûter". André Gide 1897


commentaire :

 

goulu :

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  Image associée  Image associée ah, pour éviter les filles ?

 

Par claudio - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 15 juillet 7 15 /07 /Juil 08:31

 

Hadrien et Antinoüs

Antinoüs le joli page de 14 ans  devint bientôt le fidèle compagnon de l’empereur et l’accompagna dans tous ses voyages au cœur de l’Empire. Ils furent inséparables pendant six ans, jusqu’à leur voyage en Égypte en 130, durant lequel Antinoüs fut retrouvé noyé dans le Nil. Personne ne sut comment ni pourquoi, cela arriva.

Alexandre le Grand et Héphaistion

 Résultat de recherche d'images pour "alexandre le grand et son amant"  Héphaistion le général chéri d'Alexandre le Grand tout comme Achille avait Patrocle, Alexandre avait Héphaistion (L'acteur Jared Leto dans le film de 2004)

Apollon et Hyacinthe. L'histoire

Là on touche bien sûr à la mythologie plus qu'à l'Histoire !

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Jacopo Caraglio (15th century) - Apollo and Hyacinth - Cabinet des Estampes, Bibliothèque Nationale, Paris. gay sex
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Apollo and Hyacinth
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Hyacinthe, le jeune fils du Roi de Sparte, beau comme les dieux du Mont Olympe, était l'ami d’Apollon, le lanceur de flèches. Apollon descendait souvent sur le rivage du fleuve Eurotas à Sparte pour passer le temps avec son jeune ami. Ils allaient chasser ensemble à travers les bois et les clairières sur les flancs de la montagne, ou ils pratiquaient la gymnastique, une aptitude pour laquelle les Spartiates étaient renommés.

Un jour, dans la chaleur d'un après-midi d’été, Apollon et Hyacinthe lançaient le lourd disque, et chacun essayait de surpasser l'autre. Le disque de bronze vola de plus en plus haut, atteignant presque le ciel. Finalement, le puissant dieu rassembla toute sa force, tournoya et laissa s’envoler le disque brillant qui s’éleva rapide comme un oiseau jusqu'à atteindre les nuages. Alors, scintillant comme une étoile, il commença à retomber.

Hyacinthe courait vers l'endroit où se dirigeait le disque. Il se dépêchait pour prendre son tour, pour prouver à Apollon que, bien que juste un jeune athlète, il n'était pas moins capable que le dieu au lancer du disque. Le disque atterrit, mais étant tombé d'une si grande hauteur il rebondit et frappa violemment Hyacinthe à la tête. Il laissa échapper un gémissement et s’effondra sur le sol. Le sang jaillissait rapidement de sa blessure, colorant de vermillon la chevelure noire et bouclée du beau jeune garçon.

Horrifié, Apollon accourut. Il s’inclina au-dessus de son ami, le souleva, et posa la tête du garçon sur ses genoux, essayant désespérément d’étancher le sang s’écoulant de la blessure. Mais c’était en vain. Hyacinthe devenait de plus en plus pâle. Ses yeux, toujours si clairs, perdaient leur lueur et sa tête roula de côté, tout comme une fleur des champs flétrissant sous les rayons impitoyables du soleil de midi. Le coeur brisé, Apollon s’écria de douleur : "La mort t’a pris dans ses griffes, ami bien-aimé ! Malheur, car tu es mort de ma propre main. Pourquoi ai-je lancé le disque si haut ? Oh, si seulement je pouvais racheter mon action en te rejoignant dans ton voyage aux sombres royaumes de la mort. Oh, pourquoi suis-je maudit à vivre éternellement ? Pourquoi ne puis-je te suivre ?

Jean Broc (1771–1850) - Death of Hyacinthus - Oil on canvas, 1801 - Musée des Beaux-Arts, Poitiers
Death of Hyacinthus

Apollon tenait son ami mourant contre sa poitrine, et ses larmes ruisselaient sur la chevelure ensanglantée du garçon. Hyacinthe mourut, et son âme s’envola au royaume de Hadès. Le dieu se pencha sur l'oreille du garçon mort, et chuchota tendrement : "Dans mon coeur tu vivras à jamais, beau Hyacinthe. Puisse également ton souvenir vivre toujours parmi les hommes." Et voici que, sur ce mot d’Apollon, une fleur rouge odorante s’éleva du sang de Hyacinthe. Nous l'appelons la jacinthe, et sur ses pétales on peut encore lire le soupir de douleur qui s'éleva de la poitrine d’Apollon. Et la mémoire de Hyacinthe survit parmi les hommes, qui le célèbrent encore au milieu de l’été au festival de Hyakinthaea.  

    Vis ta vie n'y pense pas : Résultat de recherche d'images pour "steve walker man men at church"rendez-vous dans dix ans  Résultat de recherche d'images pour "steve walker man men at church" ici ou ailleurs ...

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  pour essuyer vos larmes....:  


moi pas savoir, Tarzan, où toi vouloir rentrer "ça"  

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 pas de mal à rentrer dans ton cul ma bite est fine !  

Image associée source scientifique

rencontre inespérée :

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 de la ressemblance des bites humaines à des bites rêvées :

-"attends, non ! il faut que je m'y fasse !"

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Image associée Image associée    Image associée!

 

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WEREWOLF !

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Par TERK - Publié dans : FOUS RIRES DECONNE (HUMOUR, FUN) - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 15 juillet 7 15 /07 /Juil 08:23

    Image associéema vie d'esclave sexuel volontaire :    

 

 

Jeune diplômé de 23 ans, célibataire et aimant passer du bon temps, j'étais plus que désireux de m'ouvrir à ce type que j'ai rencontré sur ce site. Permettez-moi de clarifier en disant que c'était une relation volontaire entre le gars et moi. Nous nous sommes rencontrés en ligne sur Sexualkingsetling. Ce n'était pas une entente entre "un parrain" et un" filleul"à aider et protéger; non, non. Nous nous sommes rencontrés à travers ce site, mais nous avons rapidement pris nous-mêmes les choses en main. Fifty Shades of Grey n'est rien en comparaison. La saloperie que nous faisions était nettement plus sombre, mais lui était magnifique.

      Ce que nous avons aimé sexuellement a été d'un niveau élevé.  Contrairement à tous les autres parrains-protecteursv qui sont des  hommes dégoûtants, dégoûtants, addicts à la bière,  allant bientôt prendre leur retraite, ce mec était HOT. J'ai toujours été attiré par les hommes plus âgés, les hommes plus âgés comme celui-ci. Il était ma version réelle de Daniel Craig. Il avait la quarantaine, était très athlétique et avait un sourire parfait. Honnêtement je pensais n'avoir rien à perdre vu ce que j'étais socialement, et lui était plus que disposé à l'ouverture.
 

 
    Nos textos étaient non-stop et brûlants de désir, et, incroyablement vantard, j'ai dit que le sexe brutal me faisait jouir, et il m'a répondu: «J'aimerais t'attacher et te bander les yeux. D'abord te taquiner doucement et dans la seconde suivante fouetter tes fesses jusqu'à ce qu'elles deviennent rouge-vif. "Cela m'a excité au-delà de l'imagination. Jamais, dans toutes mes autres relations, un mec ne m'a donné cette sensation brutale et sensuelle dont j'avais si désespérément envie de faire l'expérience. Je n'en avais quand même aucune idée précise. J'étais complètement inexpérimenté dans ce monde à la fois sombre et sexuel.

 
Nous nous sommes rencontrés cette première fois dans un hôtel, où il m'a rapidement jeté contre le mur et m'a déshabillé. Avant que je puisse dire un mot, j'étais à genoux avec sa bite dans ma bouche. Tout est parti ce jour-là par des gifles sur ma gueule, et c'est après qu'il m'a baisé le cul. La première fois j'étais totalement choqué et abasourdi quand, après que la séquence de sexe brutal soit terminée, il m'a serré dans ses bras, m'a ramené au calme complet et m'a juste tenu dans ses bras en m'embrassant doucement sur la tête. Les mêmes bras qui m'avaient giflé au visage me calmaient maintenant et me faisaient me sentir en sécurité.
 

Je me suis rapidement trouvé obsédé par cette foutue relation  que nous étions en train de développer. Les sextos me maintenaient collé à mon téléphone entre les réunions. Moi : « j’étais dans mon bain et ça m’a fait penser à toi. On se voit ce soir ?   » Ses textos qui ont commencé avec «j'aime dominer»  et «je vais te lier les mains si tu essaies de résister» jusqu'à «si tu ne trouves pas le moyen de me faire jouir ... je vais te détruire» et "Je te veux pour une heure tout nu sur le lit, le corps impatient d’être pris toute la nuit... et te battre et te torturer." Cette première fois, comme il l'a dit, était "juste une mise en train pratique" pour ce qui allait venir. Ce qui allait arriver serait de subir beaucoup plus de brutalité et de sévérité. Nos R V  ont été déplacés à l'entrepôt qu'il possédait où il y avait une perche à laquelle je serais attaché de temps en temps. J'étais là, impuissant, dans un immense entrepôt abandonné où personne ne pouvait m'entendre crier, peu importe à quel point je criais fort. Oh oui, je criais fort ! Vous crieriez vous aussi si vous étiez battu à maintes et maintes reprises avec une ceinture  sur votre cul nu et votre dos. Cependant les vraies luttes étaient quand je n'étais pas attaché. Si j'osais bloquer un coup, je devais savoir que je morflerais 10 fois pire. Ce type était entraîneur sportif. Son corps athlétique avait été formé pour savoir comment tacler un adversaire. Je faisais la moitié de sa taille et rien de ce que je pouvais faire ne serait jamais suffisant pour lui porter un coup. Au lieu de cela, instinctivement je me protégeais de mes bras d'un poing énorme qui me frappait aux côtes, à la mâchoire, au dos, à la tête et à l'estomac et cela ne faisait que l'énerver davantage. Si je tombais à genoux     il me relevait par mes longs cheveux et me forçait à recommencer à zéro. Une fois, m'a giflé et j'ai bougé la tête et à la place j'ai été claqué dans les yeux. J'ai crié, "MON OEIL !! Je ne vois plus ! "Et sa seule réponse était," tu n'as pas besoin de voir. "Je ris de ce que je me rends compte à quel point j'étais fou de me mettre littéralement dans les bras d'un monstre dangereux.

  La semaine suivante, je répétais des excuses pathétiques à toutes les personnes que je rencontrais et qui me demandaient: «Pourquoi avez-vous un œil au beurre noir?!» Si seulement ils voyaient les taches noires et bleues éparpillées sous la chemise à manches longues que je portais au milieu de l'été. J'éprouvais une sorte de désespoir de garder cela secret pour tout le monde. Je défendais cet homme abusif en inventant des excuses à quiconque me demandait d'où venaient les bleus.

 
Je ne peux pas expliquer pourquoi j'ai été accroc à cette relation abusive. Pourquoi? Je n'ai eu aucun problème avec mon père. En fait, ma relation avec mon vrai père était et est toujours géniale. J'ai attiré des hommes à gauche et à droite, de vrais hommes qui voulaient me rencontrer ailleurs que dans un entrepôt, qui, eux, ne souhaitent pas que je me mette à genoux en mendiant de l'air après avoir été désespérément étranglé, leur queue dans ma gorge.

 
Je ne peux toujours pas répondre pourquoi. Pourquoi ai-je traversé tant de choses et si longtemps? Le cul-trou-à-jus, la bouche-bonne à baiser, et la frappe sans arrêt étaient des rutalités si intenses. Chaque fois il a poussé plus loin. Une fois, j'ai été attaché  à un bar avec des bracelets  en métal transformés en manchettes. Après avoir été fouetté pendant cinq minutes avec la ceinture, et en criant, il a attrapé mon cou, serrant si fort et de la voix la plus méchante que j'aie jamais entendu répéter encore et encore, "Tais-toi putain." ma tête a claqué à plusieurs reprises parterre comme il a attrapé mon cou et sans cesse m'a cogné comme une poupée de chiffon.

 Il a toujours dit que son but était d'aller jusqu'à ce que je pleure, mais je ne pouvais JAMAIS pleurer. Que ce soit ma propre tête foirée, ma capacité honnête à endurer la douleur, ou l'excès d'adrénaline que Dieu m'a envoyé à chaque fois que nous nous sommes rencontrés, je n'ai jamais pleuré même si tant de choses méritaient des larmes. Je me suis toujours demandé si j'étais le seul. Étais-je le seul garçon à être dégradée dans ce donjon / entrepôt? Étais-je le seul à revenir volontairement pour en  subir davantage ? J'étais le petit poucet qui marchait dans les bras du grand méchant ogre chaque fois. Je repense à la fille que j'étais et je me demande quel miracle m'a permis de survivre à ces heures passées à sa merci. Je repense au garçon que j'étais, et je suis désolé pour lui - son innocence et son cœur ont été volés et, en retour, il a reçu beaucoup de douleurs - mentalement et physiquement.

 
Je suppose que je ne saurai jamais si j'étais le seul, s'il y a un nouveau "moi" qui va là-bas, ou je ne saurai jamais non plus ce qui lui a traversé la tête à l'époque. J'ai finalement réalisé à quel point c'était fou. Je développais des sentiments pour une personne qui aimait me voir souffrir entre ses mains sans jamais un véritable sentiment d'affection. Quels que soient les anges qui me guettaient et qui m'ont fait partir, je leur dis «merci». Ce n'était pas facile de partir enfin, mais quatre mois plus tard, je l'ai fait. Cinquante nuances de gris ?  mon cul ! moi j'ai vécu la véritable affaire !
  
    Pourquoi regretterait-il son addiction ?

 

Par CAVAILLONGAY - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 15 juillet 7 15 /07 /Juil 05:45

 Studio Lonsam qui est un groupe d'artistes japonais composé par Lonsam, Kimon Tatsukichi, Senju Kazuhira y quelques autres . une bonne dose d'érotisme, des scènes de sexe, mais dans la tradition de la culture japonaise

 

 

 si vous en avez rêvé, Lonsam l'a fait

 

  

 

 

 

 

 

 

 

Pourquoi est-ce si dificil de changer?

 

 

 

 

 

Par Studio Lonsam - Publié dans : L'ART DE /erotic music ciné danse peintur litter.. - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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