je ne sais pas si ça vous est arrivé, mais moi qui suis surtout"entre garçons", un jour un gars pas tellement monté, disons-le, avait du mal à me prendre tout en me
désirant très fort. Je l'ai câliné pour le consoler de son échec en lui disant : " c'est pas grave, ça arrive à des gens très bien...tu vas rebander..."
Vrai ou faux le gars m'a dit textuellement : "c'est la faute à ma soeur , elle arrête pas de me sucer et boire mon jus. Je lui ai dit que j'avais RV
et d'arrêter. Elle m'a séché les couilles malgré moi ...je suis venu quand même...c'est à toi de me baiser, moi là je peux pas". Ca m'étonnait bien sûr mais c'était loin d'être impossible
!
...Pour t’aider bien sûr, entre frère
et sœur on peut s’aider non ?
— Oui mais là tu ne peux rien y faire !
— Laisse-moi en décider et voir, si je peux faire quoi que ce soit, j’aimerais te faire plaisir !
— Oui ? Alors laisse-moi en paix car mon problème ne regarde pas ma sœur !
Bertrand se lève et rejoint sa chambre, la première partie du plan d’Alice marche à merveille, elle peut aller dans la chambre de son frère et faire
semblant de continuer cette conversation.
C’est ce qu’elle fait bien sûr, elle tape à la porte et entre, il est couché dans son lit et n’a juste que le drap sur lui mais elle peut voir sa
formidable verge qui pousse le drap, elle l’a mis en appétit et c’est ce qu’elle voulait.
Il suffit pour elle de continuer son travail de sape et dans quelques minutes elle aura son frère dans son ventre.
— Bertrand mon chéri parle moi enfin, ne reste pas seul si tu as un gros problème, tu peux tout me dire !
Elle est venue s’asseoir sur le lit sa main sur la poitrine de son frère.
— Bertrand ! Ne sois pas sot allons dis-moi !
— Je ne peux pas Alice et tu ne voudrais sûrement pas que je t’en parle si tu savais !
Elle s’allonge contre son frère et lui câline le torse sa bouche contre sa joue, le souffle chaud et parfumé d’Alice caressent la joue de
Bertrand.
— Dis-moi petit frère, je te promets de ne pas me moquer de toi !
— Tu veux savoir et bien j’ai un trop gros sexe et quand je bande, je n’arrive plus à débander, même si j’éjacule et il faut que je me branle
plusieurs fois de suite, voilà !
— Un trop gros sexe cela n’existe pas voyons, tu me fais voir, je te dirai !
Bertrand soulève le drap et montre son énorme verge de presque 30 cm et plus de 6 d’épaisseur à sa sœur.
Elle a les yeux hors de la tête, devant elle se dresse un pal de chair d’une dimension exceptionnelle.
— Mon dieu mon chéri, tu es comme un âne ! Tu as mal ?
— Oui car tu m’as fait bander toute la soirée à me montrer ta minette !
— Tu bandes pour moi ?
— Oui et depuis longtemps, je voudrais bien te le dire mais j’ai peur que tu me repousses !
— Tu aimerais que je te caresse pour que tu aies moins mal mon chéri !
— Oh! Oui tu voudrais bien faire ça ?
— Tu peux faire avec moi ce que tu veux mon chéri, je serai ta femelle, je ta chatte, ton vide couille, laisse moi te montrer comme je
t’aime !
— Montre-moi, tu voudrais que je te prenne avec ?
— Ho que oui et le plus possible !
Elle branle son frère, elle a besoin des deux mains et quand elle le prend dans sa bouche, elle est obligée de distendre sa mâchoire pour y
faire entrer ce gland énorme.
— Lèche-moi la chatte mon amour, caresse-moi les seins, mets tes doigts dans ma vulve et prépare moi bien pour ta magnifique bite, je te veux dans
ma chatte, fais moi ce que tu voudras, je veux te sentir en moi !
Bertrand fait ce que sa sœur lui demande, il lèche la chatte, caresse le clitoris de ses doigts et enfonce ses doigts dans son vagin.
— Viens, viens t’enfoncer dans ma fente, défonce-moi avec ta grosse bite !
Elle est sur le dos, ses jambes relevées sur sa poitrine, il présente son gland démesuré à l’entrée de la grotte secrète et bien que le nombre de
bites qui sont entrées dans cette moule soit incalculable, le gland distend tellement la fente qu’Alice crie sa douleur, son frère est en train de lui exploser le vagin, elle souffle très fort et
tente de se décontracter, il la prend par les hanches et s’enfonce en elle, dévastant les muqueuses du vagin et se dépucelant lui-même EN MEME TEMPS -lol-.
Un cri horrible est sorti de la bouche de sa sœur quand il a touché le fond de son vagin, elle vient de se faire exploser la chatte et cette fois-ci
c’est sûr elle est dépucelée pour les engins hors norme !
— Attends Bertrand, mon amour, attends un peu, là j’ai trop mal, laisse moi m’habituer à ta bite, elle es si grosse, tu viens de me
dépuceler pour toujours, après ça n’importe qui pourra rentrer dans ma chatte !
— L’autre soir je t’ai vue au bord de la piscine te faire mettre par tous les garçons, alors tu dois avoir l’habitude non ?
— Pas avec une aussi grosse bite que la tienne, tu es le premier que je voie monté comme toi, mais je sais que ça va être bon, baise-moi,
baise-moi longtemps !
Bertrand est obligé de poser une main en appui sur le ventre de sa sœur pour pouvoir ressortir sa verge et éviter de la soulever.
Il la pistonne ainsi, Alice crie sa jouissance comme une malade, son frère la fait jouir comme personne avant et la ramone comme jamais personne ne
l’a ramonée, s’enfonçant jusqu'à buter au fond de son utérus, il y a plus de ½ heure qu’il est en elle, elle ne sait plus si c’est son ventre qui explose sa chatte qui s’écarte ou sa tête qui
divague mais il lui semble que cette bite a encore grossi.
— Je vais jouir ma chérie, je vais te jouir dans la fente, je viens, je viens ! quel bonheur !
Elle ne l’entend même pas il y a longtemps que sa tête est partie dans les nuages et qu’elle râle, elle ne jouit plus elle est la
jouissance, elle ne le sent plus il fait partie d’elle, il est soudé à sa chatte et la défonce, jamais elle n’aurait cru cela possible, elle qui adore se faire mettre, elle éprouve une jouissance
aussi intense que dévastatrice, sa chatte n’est que plaisir, son ventre accepte ce pieu et en redemande.
Il l’emplit de sperme chaud, les jets viennent butter au fond de son ventre, il l’emplit comme un jet d’eau emplit un bassin, elle ne sait plus ou
elle est, le bruit de ventouse de l’énorme pieu et de sa fente emplit la chambre.
Il n’a pas débandé bien sûr, il est toujours en elle et continue à la faire jouir, encore et encore.
— Arrête Bertrand mon amour, arrête, je n’en peux plus, c’est trop je vais mourir !
Il sort enfin de sa sœur, le pieu toujours dressé, elle met quelques instant à reprendre ses esprits et le branle des deux mains.
— Je vais te refaire jouir mon amour mais ma chatte n’en peut plus pour le moment, il te faudrait au moins trois filles, si j’avais su j’aurais
demandé à Corinne de rester, je te ferai baiser toutes les filles que tu veux mon amour il faut que ta bite serve le plus possible, comme ça quand tu me baiseras, tu seras moins en manque mon
chéri !
— J’ai encore envie Alice, branle-moi plus vite, oui comme ça, encore je vais jouir, oui je viens !
Elle se penche sur la bite et suce le gland, elle veut du sperme dans sa bouche, c’est incroyable la quantité qu’il lui déverse dans la bouche, elle
en a partout, le sperme coule sur sa poitrine, elle vient d’en avaler une quantité énorme et il en sort toujours, ses grosses couilles ne sont pas encore vides.
Il ne débande toujours pas, il est aussi ferme que la première fois, elle adore se faire prendre le cul mais cet engin entrera-t-il en elle, il va
lui exploser la rondelle mais elle en a envie et cette idée lui tient à coeur.
Bertrand est sur le dos, la verge fièrement dressée, sa sœur à califourchon sur son pieu, elle le dirige dans son anus qu’il a dilaté de ses doigts
et de sa langue, il a réussi à enfoncer quatre doigts dans ce trou et l’a dilatée au possible mais quand le gland s’enfonce en elle, les larmes coulent sur les joues d’Alice.
Il est dans le ventre de sa sœur, elle pleure de douleur mais le garde en elle, il lui semble subir un supplice, le supplice du pal, elle qui adore
se faire enculer, ce n’est plus du plaisir, ce mal c’est du pur bonheur, mais c’est en même temps horrible de souffrance, elle attend que la douleur s’estompe, son cul est plein, elle sent
le pieu dans son ventre, elle monte et descend, il entre de mieux en mieux, sa rondelle se dilate autour de la chair de son frère, enfin elle prend son plaisir.
Il explose après de longues minutes de sodomie, il vient en, un soir de se dépuceler, de faire l’amour à sa sœur et de l’enculer.
— Mon amour, mon amour, je t’aime, tu es le meilleurs de tous, demain tu baiseras Corinne à deux tu pourras prendre ton pied autant que tu voudras
et s’il en faut une autre je ferais venir d’autres filles mon amour !
— Il y en a une plus que tout avec qui j’aimerais faire l’amour, je te le dirais un jour et tu m’aideras !
Si l’on veut faire une suite ici tout est possible bien sûr, on peut même changer des chapitres de cette histoire pour qu’elle soit plus longue,
broder sur certains épisodes et d'un en faire plusieurs mais ici ce n’est qu’un prototype à savoir si cela plaît ou non.
Sur une idée de 28par7, Barbebleue
Merci de me lire
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