Mardi 24 juillet 2 24 /07 /Juil 05:56

Image associée Aime-moi, aime-moi, aime-moi encore Aime-moi, aime-moi, aime-moi encore au moins Jusqu'à l'aurore, jusqu'au petit matin Aime-moi encore au moins

 

 

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commentaire :

 


NOTES :

La neige tombe sur cette nuit blanche
Petit frisson de plaisir et ma main sur tes hanches
Je caresse ta peau aussi douce que de l'argile
Tes lèvres sont si chaudes et les minutes fragiles

Aime-moi, aime-moi, aime-moi encore
Aime-moi, aime-moi, aime-moi encore au moins
Jusqu'à l'aurore, jusqu'au petit matin
Aime-moi encore au moins

J'ai déposé l'heure sur la table de nuit
Et ma guitare dans son étui
Je partirai demain les cheveux en batailles
Les yeux mi-clos, tu parles d'un train qui déraille

Mais...

Aime-moi, aime-moi, aime-moi encore
Aime-moi, aime-moi, aime-moi encore au moins
Jusqu'à l'aurore, jusqu'au petit matin
Aime-moi encore au moins

Toi tu as tout ce que je n'ai pas
Et puis tu sais aussi ce que je ne sais pas
Alors partage-moi tout contre toi
Echange-moi pour toi

Et puis...

Aime-moi, aime-moi, aime-moi encore
Aime-moi, aime-moi, aime-moi encore au moins
Jusqu'à l'aurore, jusqu'au petit matin
Aime-moi encore au moins

Les murmures insolents sous les draps
Et la main dans la main sur ce grand lit bancal
Je vendrais tous mes privilèges
Pour un dernier baisé dans la lumière pâle

Et...

Aime-moi, aime-moi, aime-moi encore
Aime-moi, aime-moi, aime-moi encore au moins
Jusqu'à l'aurore, jusqu'au petit matin
Aime-moi encore au moins

Aime-moi, aime-moi, aime-moi encore Aime-moi, aime-moi, aime-moi encore au moins Jusqu'à l'aurore, jusqu'au petit matin Aime-moi encore au moins

Par EMILIO-e - Publié dans : ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 22 juillet 7 22 /07 /Juil 15:33

 

Pour le chanteur Harry Styles, "nous sommes tous un peu gays"


Le chanteur anglais Harry Styles a affirmé, samedi 14 juillet, lors du dernier concert de sa tournée à Los Angeles, que « nous sommes tous un peu gays ». Ce n’est pas la première fois que l’ex-membre des One Direction fait planer le doute sur sa sexualité.

Los Angeles, samedi 14 juillet. Le chanteur anglais Harry Styles s’apprête à chanter son titre « Sign Of The Times », pour la dernière date de sa tournée, quand, apercevant un panneau dans la foule, il ne peut s’empêcher de lire ce qu’il y a écrit dessus : «’ Je suis gay et je t’aime’ ». Puis de répondre : « Je t’aime aussi. Merci d’être venu », avant d’ajouter avec un sourire :

« Nous sommes tous un peu gays, non ? Nous sommes tous un peu gays ! »

        Ce n’est pas le premier moment gay-friendly de l’ex-membre des One Direction sur scène. L’artiste de 24 ans a récemment aidé une fan, Grace, lors d’un concert à San José (Californie), à faire son coming-out auprès de sa mère.    

« Merci beaucoup d’avoir créé un environnement dans lequel je me sens fière d’être qui je suis. Ton soutien continu à la communauté LGBTQ+ m’a aidé à m’aimer et à me sentir en sécurité. Merci pour ce soir et il me tarde de montrer à Tina (ma mère) la vidéo. Je t’aime pour toujours. »

Une sexualité libre

Depuis son départ des One Direction, Harry Style s’est affirmé sur tous les plans. Lors de sa tournée, il a notamment joué un titre inédit, « Medicine », écrit deux ans auparavant. Il raconte l’histoire d’une soirée où tout le monde est un peu saoul et chante au cours du second couplet : « Les garçons et les filles sont là / Je m’amuse avec lui / Et ça ne me gêne pas ».

 

Dans un excellent article, intitulé « Deux directions : pourquoi la nouvelle chanson d’Harry Styles est une avancée pour les bisexuels fans de musique », le Guardian note que le jeune chanteur a toujours été un allié de la communauté LGBT+ « de manière subtile et moins subtile ». S’il refuse d’être étiqueté hétéro, gay ou bi, expliquant au tabloïd The Sun que sa sexualité est une chose « qu’il n’a pas envie d’expliquer à propos de lui-même », il brandit très souvent le drapeau LGBT sur scène et encourage ses fans à être eux-mêmes.

 

 

Crédit photo : capture d’écran Twitter.

 

 

 

 

 

 

 


COMMENTAIRE /
Par HARRY STYLES - Publié dans : LA CHANCE AUX CHANSONS PROMO PASCAL SEVRAN - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 22 juillet 7 22 /07 /Juil 08:40

J'ai discuté avec Claude, un jour au café, en baissant la voix il m'avait confié ses envies de partager sa femme et d'aller soit au sauna, ce qui lui disait moins que le club libertin ; ce qui lui aurait  le mieux convenu c'est d'aller chez un autre mec car lui et Cécile ont des enfants, ce qui pose pb. L'AUBAINE :

Tout commença comme un jeu, un défi. Marié depuis plus de quinze ans, parents de deux enfants qui deviennent grands, nous abordions peut-être la phase de l'habitude, de la routine, de l'ennui, d'une certaine lassitude de l'un et de l'autre. Je ne voyais même plus que Cécile était jolie et que ses trente six ans ne la rendaient que plus désirable encore. Ce fut à la terrasse d'un café sur le port de Cassis que le déclic se produisit. Il faisait encore chaud au début d'octobre et je remarquais le manège de deux hommes qui passaient et repassaient devant nous pour finalement stationner sur une sorte de trottoir en face de nous ou plus exactement en face d'elle, leurs regards obstinément dirigés vers elle, précisément vers ses jambes qu'elle croisait et décroisait de temps en temps ou laissait entrouvertes entre temps. Elle portait une minijupe écossaise et une très légère culotte blanche presque transparente en dessous, je le sus plus tard. Lorsque je demandais ce qu'elle pensait de ce que ces deux types nous voulaient, elle me répondit en souriant :
- ' Ce sont des voyeurs, ils reluquent ma petite culotte, je la leur montre par moments comme par inadvertance, ça les excite et moi, ça m'amuse de les voir ! Je suis sûre qu'ils bandent !

    Je me suis levé et je fis un tour pour passer derrière eux au moment où à mon intention et à la leur, Cécile ouvrit encore un peu plus ses cuisses. Je découvris le fin triangle blanc sous la courte jupe de ma femme offerte à leurs regards, elle en profitait, faisant semblant de prendre ses aises et le soleil elle écarta carrément les jambes. Cela tournait à l'exhibition et deux autres hommes se joignirent aux deux premiers mateurs. Placé juste derrière eux, je pouvais me rendre compte à quel point le spectacle pouvait être sexy, on distinguait parfaitement la fente de sa vulve sous le léger tissu. J'entendis l'un d'eux dire :
- ' Putain la salope, elle nous drague la pute ma parole, je m'en vais te lui foutre le paquet, tu vas voir ! Salope, elle demande que ça cette pute !. T'as vu cette salope... ! Je vais te la foutre à fond bordel !. ' Le spectacle de ma femme, les voyeurs et ces paroles me firent bander moi aussi. Je ne sais pas pourquoi mais je me suis adressé à eux en leur disant :
- ' Je suis le mari de cette femme, ne bougez pas, vous ne le regretterez pas, vous allez voir ! ' Et je regagnai ma place auprès d'elle.
- ' Tu sais qu'ils te traitent de pute ? De salope aussi ! Ils disent qu'ils vont te faire ta fête ! T'en as envie ?. Je leur ai dit de bien regarder la suite. Si tu veux t'amuser et moi aussi, écarte le bord de ta culotte et fais leur voir ta chatte, tu es d'accord ? '
- ' Mieux, mon chéri, je vais l'enlever devant eux ! ' Les quatre hommes devant nous n'en perdaient pas une miette et j'en aperçus deux qui se branlaient discrètement. Cécile se tortilla et réussit à ôter son slip qu'elle leur montra puis elle ouvrit largement ses cuisses.
- ' Tu es vraiment une salope ! ?a te plait de les exciter ? ?a t'excite aussi, c'est ça ? ' -' Oui, bien sûr ! Pas toi ? ' Je bandais comme un dingue en pensant que ces types reluquaient l'intimité de ma femme et qu'ils avaient envie de se la farcir. -' ?a te plait de te montrer mais ça te plairait de te faire sauter par d'autres hommes ? T'en as envie ? ' -' Et toi, ça te plairait que je le fasse ? ' -' Réponds ! '
- ' Je ne sais pas, si tu en as envie, peut-être. Oui, par moment. '
- ' Par ces types par exemple ? '
- ' Tous les quatre ? Tu sais que je ne t'ai jamais trompé, que je n'ai connu que toi et tu me demande si j'aimerais me faire sauter par ces inconnus ?. Quatre inconnus ! '
- ' Oui ! '
- ' Tu n'es pas jaloux ? '
- ' Si ou plutôt, je ne sais pas, alors, tu en aurais envie ou pas ? '
- ' Moi non plus je ne sais pas, peut-être. Et toi, ça t'exciterait de me voir avec d'autres hommes ? '
- ' Peut-être aussi mais je suis sûr que tu n'oserais pas ! Ou alors si tu en as vraiment envie. Il t'arrive d'avoir des fantasmes ? '
- ' Oh oui ! M'exhiber comme je le fais aujourd'hui mais surtout me faire violer par plusieurs hommes à la fois, me prostituer, me faire baiser devant toi par d'autres hommes, participer à une partouze, par exemple ou mieux que tu me donnes tout simplement. Je te jure que c'est vrai ! ' Dit-elle en riant
- ' Tu vois, je suis une vraie salope, comme ils disent, une nympho ! Et toi ? Quels sont tes fantasmes ? '
- ' Aussi bizarre que cela puisse te paraître, ce sont les mêmes que les tiens ! Ils correspondent exactement à ceux que tu viens de m'énumérer ! '
- ' Tu veux dire que tu aimerais me voir faire ce que je viens de dire, vraiment ? '
- ' Oui et je te pari que tu ne le feras pas ! '
- ' On parie! Tant pis pour toi, tu seras cocu avant ce soir mon chéri ! Ta chère petite femme va se faire sauter par ces types, par ces quatre types ! Quatre d'un coup !? Oh lala !. Et devant toi, bien sûr !Tu l'auras voulu ! Propose leur, si toi tu l'oses ! Demande leur s'ils sont d'accord pour baiser ta femme ! Tu crois qu'ils vont vouloir ? Peut-être que je ne leur plais pas ? ' Et elle continuait à leur montrer sa chatte que j'imaginais trempée pendant tout ce temps. Les voyeurs ne quittaient pas son entrejambe des yeux et semblaient apprécier le moment. ' Ok, on va voir jusqu'où tu peux aller. Continue à t'exhiber, je vais leur demander leur avis !' Je me suis approché d'eux pour leur dire brutalement :
- ' ?a vous plaît les gars ? Ma femme a envie d'un peu plus, vous êtes partant ? ' Les types me regardèrent ahuris, je précisais :
- ' Elle a envie de voir vos queues de plus près. ou plus exactement de se faire enfiler. vous l'excitez à la mater comme ça. elle a envie de se faire tringler. je suis d'accord. et vous. elle vous plaît ?.
- ' Le plus grand et fort d'une trentaine d'années ne réfléchit pas longtemps et me répondit :
- ' Tu parles si je suis partant. Ma femme et les enfants sont à Marseille pour la journée, suivez-moi jusqu'à chez moi, ce n'est pas loin.' Les trois autres, deux jeunes venus draguer et un type trapu, très poilu, d'environ quarante ans, acquiescèrent en se marrant. Nous le suivîmes donc, lui devant Cécile, pas fière du tout et silencieuse mais cul nu sous sa très courte jupe qui dansait, moi et les autres derrière qui lui admiraient les fesses en riant. C'est en arrivant que ma femme commença à paniquer. Elle me rejoignit et voulut que nous nous en allions mais le type lui prit la main et la fit monter le petit escalier qui menait à son logement devant lui. Tout ce petit monde suivait en ayant une vue directe sur les fesses découvertes de Cécile et nous bandions tous à la perspective de ce qui devait se passer, moi aussi. ?a n'a pas traîné et j'ai du calmer les ardeurs des mecs pour éviter qu'ils se jettent tous sur elle dès la porte franchie. Je n'arrivais pas à m'imaginer que tout cela était vrai, que nous avions suivi ces hommes et que ma femme allait vraiment se faire prendre par ces inconnus, je réalisais un fantasme mais j'étais inquiet pour elle, elle semblait paniquer. C'est le propriétaire de l'appartement qui la baisa le premier, le premier homme autre que moi. Puis ce fut une orgie totale, invraisemblable, insensée, une sorte de viol collectif consenti auquel j'ai participé. Elle fut ' comblée ' au-delà de l'imaginable et elle a joui comme jamais elle n'avait joui. Je l'ai vue se tordre de plaisir sur des sexes qui violaient ses trois orifices à la fois et je l'ai entendue hurler ses jouissances remplie de sperme qui dégoulinait de partout. Ma femme ! Je n'en revenais pas que ce fût elle. C'est donc le grand costaud, le 1 (je nommerai les deux jeunes par les n? 2 et 3 et celui de quarante ans par le n? 4) qui la mena jusqu'à sa chambre en la tirant par la main. Elle voulait s'en aller et me demanda de leur dire qu'elle ne voulait plus, qu'elle avait voulu s'amuser, que c'était un jeu, c'est tout Ils pouvaient la regarder et même la toucher mais pas plus, ils pouvaient se masturber sur elle s'ils le voulaient mais pas plus. Personne ne l'écoutait. Le 1 la culbuta sur le lit, la troussa jusqu'à la taille en découvrant ses cuisses et sa vulve à peine ombrée de fins poils blonds et lui dénuda la poitrine. Il marmonna qu'il ne pouvait plus tenir, qu'il fallait qu'il la baise. Tous la contemplèrent, là, étendue, cuisses ouvertes, seins à l'air et les quatre hommes commencèrent à la caresser, ils lui pelotèrent, les cuisses, les seins, les fesses. Des doigts s'insinuèrent dans les moindres recoins. Dans sa chatte, dans son anus et ils se débarrassèrent de leur pantalon libérant des verges déjà érigées. Je découvris que le 1 était membré comme un âne et que le 4, le quadragénaire trapu, avait une pine plus courte mais incroyablement épaisse. Je n'en croyais pas mes yeux de voir mon épouse ainsi offerte à la convoitise si évidente de ces types. Elle les regardait effarée entourée par tout ces sexes dressés, palpée par toutes ces mains. Elle me dit :
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- ' ils vont me baiser Claude, mais qu'est-ce que tu me fais faire !? Ils vont me baiser, dit-leur de me laisser !. '
- ' Trop tard ma chérie, je ne pourrais jamais les arrêter. ' Je bandais à en avoir mal. Et en effet le 1 lui écarta les cuisses, pointa sa queue entre les lèvres de sa vulve et il la pénétra de toute sa longueur d'un seul coup en poussant un râle de satisfaction. J'ai vu sa bite gigantesque s'enfoncer dans le vagin, je n'ai pas pu m'empêcher de sortir ma queue et de me branler pendant que le type commençait à baiser ma femme. Cécile a poussé un cri hystérique et m'a regardé complètement affolée :
- ' ?a y est Claude, il est rentré, il s'est enfoncé, il est gros, il me cogne tout au fond, il me baise Claude ! . Tu entends, il me baise ! Tu es cocu Claude, ça y est, tu l'auras voulu ! Il me baise, Claude, ça te plaît ? ' Puis, les yeux différents, la voix plus rauque, j'ai vu son bassin aller au devant du pieu qui la pilonnait
- ' Il me défonce, il va au fond, il est gros . tu aimes me voir baiser ? . ?a te plait de le voir se taper ta femme ? . Oh c'est bon Claude ! Il va tout au fond, il me baise fort. je vais jouir. Il va jouir dans moi, dans mon ventre, je le sens. ' Et lui la pistonnait de plus en plus vite, je voyais sa pine la pénétrer de plus en plus profondément. Les autres complètement surexcités lui gueulaient de se presser, qu'ils voulaient la tringler aussi, en se branlant comme des malades. L'un des jeunes lui enfonça son noeud dans la bouche et déchargea aussitôt, le trapu lui envoya la sauce sur les cuisses et moi dans les cheveux. Ayant oublié ses réticences, Cécile hurlait de plaisir et le deuxième jeune gicla son foutre sur ses yeux pendant que son baiseur lui éjaculait sa semence au fond du con. Elle n'eut aucun répit, le spectacle qu'elle offrait en se faisant baiser par ce type et notre excitation étaient trop forts, nous ne débandions pas, nous voulions tous posséder cette femme ouverte, offerte, les quatre autres inconnus et moi aussi, son mari. Je voulais la voir prise et reprise par ces hommes, cela m'excitait extraordinairement et je voulais la prendre aussi avec mais je n'arrivais pas à croire à ce que je voyais. Elle, ma femme que je savais fidèle depuis notre mariage jusqu'à aujourd'hui et que j'avais connue vierge, se faisant posséder par un autre, un inconnu et y prenant un tel plaisir ? L'homme sortit d'elle son énorme sexe toujours raide gluant du con dégoulinant de sperme, pressé par le trapu et les deux jeunes qui n'en pouvaient plus et qui attendaient impatiemment leur tour et s'assit sur le lit, la queue gigantesque toujours dressée et releva Cécile en lui disant simplement : -' Je vais laisser les autres t'enconner mais je vais t'enculer en même temps, salope ! ' Et aux autres :
- 'démerdez-vous, baisez la comme vous voulez, on va se la prendre en sandwich mais moi je l'encule ! ' Et il prit ma femme par la taille et la força à s'empaler sur son énorme pieu. Mon épouse protesta qu'il allait lui faire trop mal, qu'il était trop gros mais rien n'y fit, j'ai vu cette monstruosité s'enfoncer dans son anus petit à petit en me demandant comment elle pouvait faire pour se faire farcir par un membre d'au moins trente centimètre sans être déchirée et pourtant, tout est rentré, jusqu'aux couilles ! C'est le quadragénaire qui s'est précipité sur elle, il les a fait s'allonger, elle, enculée sur le premier et vlan ! En plein dans la chatte, il lui a enfourné le con de sa grosse bite d'un seul coup ! Cécile poussa une sorte de râle mais ce n'était pas de douleur, possédée à fond, au combien baisée et enculée, elle jouissait en marmonnant que c'était trop, trop gros, trop fort, qu'ils allaient trop loin, qu'ils la déchiraient. et, qu'ils continuent encore plus fort. Je la contemplais, les yeux révulsés, chahutée, envahie, bousculée, elle jouissait, spasmes sur spasmes, orgasmes sur orgasmes ; les deux jeunes s'impatientaient et tentaient de lui enfoncer leurs bites dans la bouche, elle en aspira, une puis prit l'autre, elle les masturbait comme elle pouvait et ils se sont vidés dans sa gorge chacun leur tour pendant que les deux autres l'inondait de leur foutre dans le fond de la chatte et dans son cul. J'ai alors vu son anus béant plein de sperme, terriblement dilaté. J'y ai plonge ma bite qui y rentrait toute seule comme lorsqu'on enfile des gants trop grands et je l'ai enculée moi aussi. Elle se laissait faire docilement, les autres me regardaient, l'un des jeunes lui fourra sa pine dans sa chatte entrouverte et pleine de jus et la baisa à son tour. Je sentais sa queue qui la limait à quelques millimètre de la mienne et j'ai éjaculé en elle pendant qu'elle continuait de jouir en silence. Le lit était maculé de foutre, ma femme gisait, cuisses ouvertes, totalement impudique, la chatte et le cul béants bourrés de sperme comme ses cheveux et son visage, elle en était pleine partout. Je la regardais, ils se l'étaient tous farcie à fond, tous les quatre l'avaient baisée et enculée, ils s'étaient fait sucer, tous avaient joui en elle et je rebandais encore en la voyant, comme les autres. Le 1 lui fourra sa main dans le con, jusqu'au poignet et la regardait, le trapu, le 4 se mit derrière elle et lui introduisit sa grosse bite dans le cul, elle gémissait, les deux jeunes lui fourrèrent leurs verge à nouveau tendues dans la bouche et moi j'ai eu subitement envie d'aller encore plus loin. Je me suis mis à côté du gros poilu et j'ai joint mon sexe au sien pour l'enculer avec lui en même temps. Nous étions de nouveau surexcités et j'avais la bite du type collée à la mienne dans le rectum de Cécile dilaté au maximum qui hurlait de plaisir alors que l'autre, devant, la ramonait en nous masturbant avec sa main à l'intérieur. On a éjaculé tous les deux en même temps, puis j'ai senti un liquide chaud qui envahissait le rectum de ma femme, le mec qui l'enculait avec moi a eu envie de pisser, alors il s'est vidé la vessie dans ses intestins et j'en ai fait autant. Cécile n'en demandait pas tant, jouissant sur ce flot d'urine brûlant qui lui remplissait le ventre comme un lavement. Les deux jeunes en profitèrent pour éjaculer dans sa bouche et lui pissèrent dans la gorge en se marrant. Dans un grognement le 1 retira sa main et la remplaça par sa pine, il la baisa à nouveau furieusement. Pris de priapisme, je ne débandais pas et j'ai recommencé, je me suis joint à lui pour la baiser en même temps que lui en enfonçant mon sexe à coté de son énorme mandrin pour le sentir bien la baiser, tandis qu'un des jeunes lui fourrait sa bite dans le cul. Ma femme eut un râle rauque et hurla un orgasme démentiel qui la secoua pendant que nous nous éjaculions une nouvelle fois en elle. Je sortis d'elle mais l'autre en profita pour se vider la vessie dans sa chatte. Les deux jeunes en pleine forme et voulant nous imiter lui joignirent leurs queues et l'enfournèrent à leurs tours. Deux bites dans le con qui la fourrageaient à nouveau pendant que notre hôte commençait à regarder la pendule. Ils se vidèrent une dernière fois dans le ventre de Cécile qui n'en pouvait plus. Nous regagnâmes le plus discrètement possible la voiture une heure plus tard, sa jupe et son tee shirt étaient déchirés et maculés de foutre. Elle était bourrée de sperme partout, faute d'avoir pu prendre une douche, la femme du type de l'appartement risquait d'arriver d'une minute à l'autre, nous étions partis rapidement de chez lui. Et elle n'avait pu qu'à peine se nettoyer. Elle ne disait rien et regardait dehors par la vitre latérale. Moi aussi je me taisais puis j'ai mis une main sur sa cuisse dénudée toute poisseuse et elle m'a regardée, alors j'ai éclaté de rire et elle aussi.
- ' Pour être cocu, tu es cocu mon pauvre chéri ! Tu te rends compte ? Oh lala mais qu'est-ce que j'ai fait ? Tout ce qu'ils m'ont fait. oh ! J'ai honte ! Et moi qui ne t'avais jamais trompé ! Et bien là, j'ai eu mon compte !. Tous en même temps. '
- ' Tu as beaucoup joui. Tu as aimé, n'est-ce pas, beaucoup, je l'ai vu, tu as aimé tout ce qui s'est passé ? '
- ' Tu es jaloux ?. Oui, j'ai joui, incroyablement, comme jamais je n'avais joui. c'était bon. c'était bon d'être une salope, une pute, une vicieuse... Plus ils me baisaient plus j'en voulais. et tous en même temps, devant, derrière, oh lala !. j'ai mal au... au derrière tu sais. Oh oui, c'était bon. ' Ma main remontait tout en haut de sa cuisse, je rencontrais sa vulve et sa fente encore à demi ouverte et grasse et j'y plongeais mes doigts, puis je me suis arrêté sur une aire de repos. J'avais encore envie d'elle. Je la limais délicieusement quand elle a vu les types, trois, et ils nous regardaient en se masturbant. Mais c'est une autre histoire...   
fresque :
Luis Bunuel le fantôme de la liberté 
comment va continuer et finir cette partie de cartes avec les moines  ? -lol-
Par AIZOBE - Publié dans : ELLES ET NOUS & VIDEOS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 20 juillet 5 20 /07 /Juil 08:28

    Image associéesi un gars, qui aime prendre ou se faire prendre, lit ce récit, il va courir se branler...

Monsieur, tu veux entrer .... Viens viens, il y a des très jolies choses..... T'es français.... Viens Monsieur viens, entre et fais comme chez toi...Portrait of a man crying
Je suis sorti brusquement de mes souvenirs. Le patron de la boutique devant laquelle je suis resté figé, m'interpellait gentiment. Il ne devait pas comprendre pourquoi un type comme moi était immobile devant son entrée. Il me regardait avec curiosité. Etait-ce le même qu'il y a quinze ans? Non, non, ça ne pouvait pas être lui. J'avais envie de lui demander si je pouvais visiter le vieux hamam. Il aurait été certainement très surpris qu'un touriste de mon acabit ai connaissance de cette pièce. Je lui ai souri poliment avant de rebrousser chemin pour quitter le souk. Je laissais mon esprit guider mes pas...

 

QUINZE ANS APRES ...Je me revois à plat ventre sur ma serviette en train de repenser avec angoisse à ce qui m'était arrivé la veille. Heureusement, Sylvie ne s'était aperçue de rien et j'arrivais à jouer la comédie du type sans aucun problème.
Mais la douleur au fond de mon ventre me rappelle que nos deux amis arabes avaient abusé de moi. Abusé était-il vraiment le bon terme? Je n'avais rien fait pour leur échapper, et j'avais beau me dire que j'avais trop fumé, au fond de moi, je sentais bien que je me trouvais de fausses excuses.

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Cela faisait une heure que nous étions en train de bronzer et, il était presque midi. En nous réveillant, Sylvie m'a fait quelques avances que j'ai fait semblant de ne pas comprendre. Je n'avais vraiment pas envie de faire l'amour. C'était la première fois que cela m'arrivait de lui refuser. Elle n'avait rien dit et s'était levée plutôt rapidement.
Sur la plage, elle a voulu savoir comment cela s'était passé la veille.
- Très bien. Ils sont vraiment très sympa (ouais c'était pas assez de dire ça)
- Ils avaient vraiment de l'herbe?
- Oui et elle était fameuse
- Tu en as fumé beaucoup?
- Oui ils me l'ont même offert. Ils en ont un paquet...
 

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- C'est la même que celle qu'on trouve chez nous?
- Non... Elle est plus forte...
- Et vous avez fait quoi? Photo : Khaled au centre, Mourad à sa gauche
- Ben rien.Image associée J'ai fumé chez eux c'est tout 

- Eux aussi?
- Non ils ne fument pas...
- T'as de la veine. Tu aurais pu m'en amener un peu quand même.
- Impossible, ils ne veulent pas que cela sorte de chez eux.
- Tu crois qu'ils nous en re-proposeront?
- Je ne sais pas...
- En tout cas, cette fois-ci je viendrai avec toi.
- Bien sûr tu m'as manqué...
Ce qui était sûr c'est que je n'étais pas prêt à retourner seul chez eux. Je me suis bien gardé de le dire.
Je sentais comme un malaise indicible entre nous. Elle m'en voulait et je ne savais pas si c'était pour ce matin ou pour l'herbe. Dans ma tête elle aurait pu avoir d'autres raisons de m'en vouloir dont je tremblais qu'elles lui soient révélées.  Nous n'avons plus parlé. Le soleil commençait à sérieusement chauffer. Je suis parti me baigner. L'eau de mer m'a fait mal à l'anus. Je n'arrêtais pas de penser aux événements de la veille. Je suis revenu sur le sable chaud. Je me suis assoupi. J'étais crevé.
Bien sûr ils nous ont rejoint en fin d'après midi. Quand je les ai vus, j'ai eu une peur terrible. Mais, avec un aplomb superbe, ils ont été absolument comme d'habitude. Au point que même moi, je commençais à me poser des questions.
Bien sur Sylvie a voulu en savoir plus sur l'herbe et sur notre soirée.
- Oui, la soirée a été super.
- Oui surtout pour Damien...
- Faut dire qu'il a un peu abusé des cigarettes.  

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J'écoutais leurs voix chaudes et encore un rien juvéniles. Ils étaient joyeux, décontractés, sympa. On leur aurait donné le bon dieu sans confession. Pourtant c'étaient bien leurs sexes qui m'avaient enculé sauvagement. C'était bien eux qui m'avaient sodomisé en me traitant de salope et d'enculé.

studstealer: “ “Look at him. Big man on campus ain’t so big anymore, huh?” “Nnghh! F-fuck!!” “Told you he was a slut. Anyone running ‘round in booty shorts like that is basically begging to have their ass pounded.” “Open that mouth, pretty boy. I got...
- En tout cas les mecs, il faudrait moi aussi m'en faire profiter
Quelques micro secondes de silence avant que Khaled ne réponde à Sylvie d'une voix doucereuse en me regardant, comme s'il venait d'obtenir une secrète permission....
- Pas de problème tu viens un jour et on te fait le même trip qu'avec Damien.
- Vous êtes sympa les amis. Vous venez vous baigner? ...
- Vas-y on te rejoint dans cinq minutes.
Elle est partie en courant. Son maillot moulait parfaitement ses fesses rondes qui tanguaient au rythme de sa course. Nous l'avons regardée plonger dans l'eau. J'étais gêné d'être tout d'un coup seul avec eux. J'aurais mieux aimé être à mille lieues de là.
Ils se sont couchés à plat ventre en face à moi, têtes et bustes redressés en appui sur leurs avant-bras. J'ai pris la même pose. Je ne savais pas quoi leur dire. Leurs regards se sont perdus derrière moi. A nouveau un sentiment de peur et de honte m'a traversé.
Khaled a ébauché un sourire sans desserrer les lèvres.
- Tu sais que même vu d'ici, t'as un super cul...

  Image associée  Image associée J'ai rougi brusquement. Je n'osais plus les regarder. Toujours ce sentiment de honte. J'avais peur que quelqu'un entende ou que Sylvie revienne même si je la voyais en train de nager lentement.
- Faut pas te faire de mouron. Ca restera entre nous...
- Oui, et puis, dans notre pays, c'est courant. On ne peut pas toucher aux femmes de chez nous. Alors on en profite entre nous ou avec des étrangers en saison.
- On préfère les étrangers....
- Et les étrangères....souligna Mourad, soucieux de se positionner "non gay"  
- Surtout les français....
- Ouais... Ceux là, une fois qu'ils sont partis on ne les retient plus.... Ils offrent leur cul à tous....
- Vous... Vous êtes complètement barges
J'avais beaucoup de mal à parler. (que dire ?) Les affronter, aussi d'ailleurs, me faisait un peu peur. Je regardais obstinément le sable fin de cette plage tunisienne.
    Image associée- Tu disais pas ça hier...
- Tu t'es laissé faire bien gentiment....
- Ouais. Tu t'es pas beaucoup battu pour défendre ton petit cul...
- Tu t'es bien laissé ouvrir la rondelle....
- T'as une très belle rondelle. Tu sais?.... Bien serrée et en même temps très souple.... Une vraie rondelle de fille....
- Presque une chatte.... Maintenant elle est à nous.....
- En plus avec ton bas-ventre rasé, tu es super trognon...
- Un mec qui se rase à cet endroit, c'est ou un saint homme ou une gonzesse.
Mon visage me brûlait. J'avais envie de partir, mais en même temps, je ne pouvais pas bouger.

 

Image associée 

Image associéeC'est vrai que je ne m'étais pas beaucoup défendu la veille. Je mettais mon attitude sur le compte de l'herbe que j'avais fumée et dont j'avais largement abusé. Mais ils commençaient à me mettre un sérieux doute dans mon esprit. Je regrettais amèrement ce rasage.
Sylvie est revenue. Son corps fin et bien dessiné brillait au soleil. Tout est redevenu normal avec des conversations banales entrecoupées de baignades et de fous rires. Khaled la serrait de très près. Elle ne disait rien. Moi non plus.
A midi, nous avons mangé du maïs grillé que des enfants vendaient sur la plage. Ils faisaient griller les épis devant nous sur des petits braseros, avant de nous les tendre sur les feuilles qui protégeaient les épis. Image associéeJe mangeais le mien en faisant semblant d'ignorer les très discrets regards assez équivoques que me lançaient Khaled et Mourad. Un cône de maïs ressemble tellement à une pine !
J'avais de plus en plus de mal à me contrôler. En plus, ils étaient en train de draguer ouvertement ma copine. Pour me remettre les esprits en place, je suis parti nager. Je me donnais à fond dans une brasse endiablée . Une fois arrivé à une bonne distance de la plage, j'ai fait la planche en fermant les yeux.
Des flashs de la veille martelaient mon cerveau. Je sentais bien que je bandais et que mon maillot comprimait de plus en plus mon sexe. J'avais envie de me masturber. Mais il y avait trop de monde autour de moi. Je me suis remis à nager en direction de la plage. La situation me paraissait intenable et je ne voyais pas d'issue pour moi.
A mon retour, Sylvie et Khaled n'étaient plus là ! Qui va à la chasse...me dis-je
Mourad discutait avec le môme qui nous avait vendu les maïs. Ils me regardaient venir à leur rencontre et riaient en parlant en arabe.
A la manière dont le gamin me dévisageait, j'ai tout de suite compris que Mourad lui parlait de moi. Ma voix m'a paru beaucoup trop hésitante.
- Ou est Sylvie? Mourad me fit des réponses équivoques :
- Elle est partie avec Khaled.
- Où?
- Elle avait trop envie.
- Envie?
- Elle manquait de cigarettes. Elle voulait des trucs plus forts.
Il soutenait mon regard avec une espèce d'ironie narquoise. Ses yeux brillaient d'excitation. Il ne m'était pas difficile d'imaginer Sylvie seule avec Khaled dans la fameuse chambre. Apparemment Mourad pensait comme moi. Pendant un court instant, j'ai voulu les rejoindre. Mais je ne sais pas pourquoi, je ne l'ai pas fait. Même aujourd'hui, il m'est difficile de reconnaître que j'avais eu peur d'affronter Khaled.
Mourad parlait toujours au jeune qui n'arrêtait pas de me dévisager en souriant. Je restais debout comme un con, le corps dégoulinant et le visage inquiet. Ils se sont levés et Mourad s'est campé face à moi, les pieds enfoncés dans le sable chaud, jusqu'aux chevilles.
- J'ai comme l'impression que ton amie va...... Bien Fumer..... Surtout que je suis sûr que Khaled lui plaît beaucoup...... Elle a tout de suite accepté d'y aller seule avec lui.... A mon avis, elle ne va pas fumer beaucoup..... Rien que de les imaginer, ça me fait bander....
- Tais toi!...
- Pourquoi?.... Ah pour lui!.... Ne t'inquiètes pas, il ne comprend pas le français..... Il surveille la plage et s'occupe des bungalows...
lls ont repris une assez courte conversation dans leur langue. Le môme à éclaté de rire en me regardant. Il a sorti une grosse clef toute rouillée du sac ou il rangeait ses épis et l'a tendue à Mourad. Puis il s'est assis au milieu de nos affaires et s'est mis à dessiner des arabesques sur le sable.
- Il va surveiller nos fringues... Viens avec moi...
- Où?
- Il veut qu'on visite un des bungalow....
Le ton moqueur qu'il employait ne laissait aucun doute sur ses intentions. Au regard appuyé que me lançait le môme, j'ai compris qu'il lui avait tout raconté. Le môme savait pourquoi je devais visiter ce bungalow.
Comme je ne bougeais pas, Mourad m'a saisit par l'avant bras pour me tirer à sa remorque.
- Allez viens... On a tout le temps. Sylvie et Khaled ne reviennent pas avant deux bonnes heures.... C'est ce que Khaled m'a dit. Moi je suis sûr qu'il y arrivera plus vite..... Et toi, c'est ton petit cul que tu vas me montrer....
Je me sentais sans force et comme la veille, incapable de lui résister. Je me suis laissé entraîner.
Nous avons traversé la plage, croisant peu de monde.
Il y avait trois petits algécos blancs accolés face à l'immeuble du casino. Résultat de recherche d'images pour "Il y avait trois algécos blancs# accolés"

Tous identiques, avec trois portes peintes en blanc "cassé". La peinture s'écaillait laissant apparaître le bois et les couches successives des peintures précédentes ainsi que des coulées de rouille et diverses salissures. Des gamins jouaient au football dans le sable à quelques mètres de nous. Ils connaissaient Mourad.
L'arabe a ouvert la porte du bungalow du milieu. Un grand trou sombre. Une odeur prenante. Il m'a poussé vers l'intérieur en appuyant fermement sur mes fesses.
Nous sommes entrés et il a refermé la porte à double tour. Je ne voyais rien. Nous sommes restés immobiles sur le seuil à attendre que nos yeux s'habituent à l'obscurité ambiante. Le seul éclairage de la pièce, provenait des raies de lumière blanche qui passaient par le bas et le haut de la porte et par quelques planches disjointes. Il y avait aussi deux petites ouvertures en haut de la paroi donnant sur la plage.
Il faisait chaud et humide et l'odeur m'était complètement inconnue. Un mélange d'iode et de poisson séché.
- C'est ici que viennent les fatma qui ne veulent pas se faire niquer dans leur hôtel.... Au début elles ont un peu peur et il faut les amadouer. Mais après elles reviennent ... Avance vers la droite... Encore....
J'avançais lentement, bras tendus en avant et en glissant mes pieds nus sur le sol rugueux. Il y avait des tas de débris sur le sol. Les mains du jeune arabe se sont posées sur mon maillot mouillé et me poussaient pour que je continue d'avancer. Il tenait mes fesses à pleines mains et les malaxait sans répit. Il a fait entrer mon maillot entre mes fesses.
Mes tibias ont heurté un obstacle et je serais tombé si Mourad ne m'avait pas retenu par la taille.
- Voilà, c'est là....
J'ai vite compris que j'avais en face de moi, une espèce de lit de camp, assez bas, collé contre un mur au crépi blanc et aux grandes taches noires.
- C'est la dessus qu'elles viennent se faire niquer.... Des fois on est plusieurs pour la même.... Elles adorent...... Et toi aussi tu vas aimer être traité comme ces étrangères..

C'est dans cette pièce minable que j'ai abandonné toute idée de rébellion, et que cet arabe que je croyais mon ami, est devenu en réalité mon maître. J'entends encore les cris et les rires des mômes jouant au ballon, qui traversaient cette mince porte qui nous séparait à peine du monde extérieur. Dehors, il y avait le soleil, la plage, les vacances, du monde qui s'amusait.
Il aurait simplement suffi que je me débatte, me batte ou que je crie. Quelqu'un aurait entendu. Serait venu.
Mais cela m'était impossible. Quelque chose me bloquait. Et encore aujourd'hui, je ne sais pas quoi.
Je tremblais. J'avais la chair de poule malgré la chaleur. Ma peau était encore mouillée du bain de mer. Ses mains chaudes au creux de mes reins m'ont fait frissonner.
- Avec tes cheveux longs, tu ressembles vraiment à une femme... Khaled il dit que tu as le corps d'une fatma.... Il a tout de suite deviné en te voyant que tu es une femelle dans ta tête.... On a l'habitude de vous reconnaître....
Il me parlait à voix basse au creux de l'oreille. Sa voix était grave et autoritaire. Une vraie voix d'homme qui n'avait rien à voir avec son âge. Il était sur de lui et de son autorité sur moi malgré son jeune âge. Il devait sentir ma passivité et en profitait.
- Ta copine, c'est une belle femme... Elle a tout ce qu'il faut ou il faut... T'en as de la chance.... Et nous aussi.... A l'heure qu'il est, elle doit avoir fumé et être complètement nase et Khaled doit en profiter... Et toi tu vas bien m'offrir ton petit cul blanc....
Les mots me faisaient mal. Tout combat me semblait vain. Je sentais son odeur de sueur et son haleine caressait ma nuque. Son corps chaud était plaqué contre mon dos et mes jambes. La bosse que formait sa virilité se pressait contre mes fesses.
J'avais envie qu'il arrête de me parler de Sylvie. Mais lui prenait tout son temps.
- Elle a le cul plus cambré que le tien.... Des fesses un peu plus larges aussi... Remarque t'as aussi un joli cul toi.... Tu vas bien me le montrer maintenant qu'il nous appartient.
Il a baissé mon maillot mouillé sous mes fesses pour me peloter. Ses mains très chaudes me caressaient lentement. Ses doigts ouvraient ma raie et me faisaient frissonner. Je le laissais faire.
Il m'a débarrassé du tissu collant avant de reculer, me laissant nu dans cette chambre inconnue. J'ai deviné qu'il se mettait à poil lui aussi et j'ai vite senti la pointe de son sexe, dure et chaude, parcourir mes fesses encore humides. Impossible de contrôler les tremblements dont j'étais saisi.
- Tu trembles comme une pucelle... Pourtant hier, avec la shit, on t'a niqué sans problème... Tu fais comme hier... Tu m'obéis sagement et je serai tout doux avec toi... Assieds toi... Allez assieds toi....
Je me suis assis sur le bord du lit et il est resté debout en face de moi. Son corps se découpait en contre-jour dans la pénombre. Il s'est approché entre mes jambes qu'il a largement écartées.
- Comment elle suce ta copine?.... Réponds... Pas grave..... Je suis sûr qu'elle doit bien sucer..... Khaled me racontera.... Il adore qu'on le suce..... Moi aussi j'aime ça.....
Je n'ai pas vu son sexe. J'ai juste senti une grosse pointe chaude et humide me caresser les joues avant de se poser sur mes lèvres serrées. C'était très doux et brûlant. J'ai eu un mouvement de recul qu'il a vite bloqué en me tenant la tête.
- Montre moi comment elle te suce ta copine.... Vas-y... Montre moi.... Elle doit être en train de faire la même chose à Khaled en ce moment.... Chez nous, les femmes elles ne veulent pas faire la fellation..... C'est très sale.....
Il a forcé et j'ai ouvert la bouche. Sensation étrange que ce corps étranger dans ma bouche. Impression d'avoir un anaconda vivant dans la bouche. C'est gros et j'ouvre au maximum. Je ne peux pas bouger la tête et c'est lui qui s'enfonce dans mon palais.
L'odeur est forte, musquée, anale, mélange d'iode et de sueur âcre. Je suis très troublé, et ne fais rien pour me soustraire au pal qui entre lentement dans ma bouche sèche. Il donne des petits coups de reins et me pistonne la bouche.
- Regarde ... Tu la sens aller et venir..... C'est comme ça qu'il faut faire..... Serre bien avec tes lèvres autour de mon zob.. Vas-y... Ouvre bien la bouche..... Elle est grosse hein.... Essaye de la prendre le plus loin possible.... Tu vois, ta bouche est moins profonde que ton cul.... Vas-y suce bien.... Tête bien mon biberon....
Au bout de quelques minutes, il lâche ma tête c'est moi qui le suce mécaniquement. Instinctivement, je trouve les bons gestes et le bon rythme. Lui, reste bien campé face à moi, bassin tendu et mains sur ses hanches.
- Applique toi bien on a tout le temps..... Vas y tète moi bien à fond.... Vas y prends-là au maximum.... C'est bien... Tu vois que tu sais le faire.... Vas-y profite bien de mon zob...
Le gland tape de plus en plus vite au fond de ma gorge. Mes lèvres coulissent autour de la hampe bien droite. Je me débrouille de mieux en mieux. Je sens le membre palpiter contre ma langue. Le gland va tout au fond de ma gorge.
- Tu fais très bien la fellation..... Continue comme ça..... Lèche bien mon sucre d'orge..... Lèche sur toute la longueur.... C'est bien..... Continue comme ça, tu te débrouilles très bien..... Aspire bien mon zob.... Plus fort.... Tu es né pour piper les zboubs toi...
Je l'ai sucé pendant longtemps. Il a utilisé ma bouche autant qu'il l'a voulu. Il s'en servait comme du sexe d'une femme et me pilonnait régulièrement le gosier de la même manière qu'il l'avait fait pour mon cul la veille.
Je le laissais faire. Je participais aussi. Son sexe me semblait d'une taille imposante. Son gland m'obligeait à ouvrir toutes grandes mes mâchoires. J'entendais les bruits de succion et de la salive coulait sur mon menton.
- C'est très bien.....
Il s'est reculé et m'a libéré la bouche. Je me suis essuyé le menton d'un revers de main. Je ne voyais que son bas ventre devant mes yeux. La masse noire de ses poils. Celle moins sombre de ses couilles et le pal enduit de ma salive tendu vers le plafond.
- Je suis sûr que tu suces mieux que ta copine.... Les hommes ça fait mieux la fellation que les femmes.....Il m'a flatté doucereusement tout le temps comme ça. Et ça fonctionnait sur mon mental dans cette demi obscurité étrangement complice. Pour moi plus rien ne comptait autour de nous que ce que nous faisions et son énorme sexe dont je n'arrivais pas à détacher mes yeux : dressé à quelques centimètres de mon visage, il se découpait en ombre chinoise. Assez long, avec un gland comme un champignon, et la hampe légèrement courbée vers le ventre plat.
Il m'a semblé complètement incroyable que j'aie pu sucer une bite d'homme. Et pourtant, j'avais encore envie de la sentir dans ma bouche. Et cette fois, je n'avais plus l'excuse de l'herbe.
- Allez, ma poule, couche toi maintenant.... Vas-y à plat ventre....
J'ai compris ce qu'il voulait. J'ai osé lui dire que j'avais encore mal. J'avais un tout petit filet de voix et beaucoup de mal à articuler.
- J'ai rien compris... Répète.... Plus fort.... N'aie pas peur...
- J'ai encore mal....
- Où.... Où t'as encore mal?
- J'ai encore mal.... Au..... A l'anus...

Il n'était pas homme à renoncer en si bon chemin :
- N'aie pas peur. Comme t'es sage, j'irai doucement et t'auras pas mal à ton cul.... Tu vas voir, je vais bien te niquer et tu vas adorer... Allez mets toi à plat ventre..... Ecarte bien tes jambes.... Encore plus..... Laisse les pendre de chaque coté du lit.... Oui comme ça.... Garde la position, j'adore voir ton cul tout blanc offert.....
Il s'est couché lourdement sur moi, son bassin collé contre mes fesses et surtout sa queue plaquée dans ma raie. Il a mis beaucoup de salive entre mes fesses.
- Je vais bien te préparer le trou....
Ses doigts dégoulinant de salive me massaient lentement l'anus, sans chercher à entrer. Je sentais mes chairs répondre et s'ouvrir lentement....
- T'as la rondelle bien souple..... Je me demande quel effet ça te fait d'être enculé.... Tu vas voir, tu vas en redemander.


FLASH BACK 15 ANS APRES : J'étais maintenant devant les trois baraques. Là encore, rien n'avait changé. Ils avaient dû les repeindre récemment car tout semblait neuf et propre. Comme il y a quinze ans, devant les portes closes, des jeunes jouent au ballon en criant. Ils semblent surpris de voir un touriste en costard sur cette plage pratiquement déserte en cette saison.
J'avais aussi entendu les mêmes cris de joie quand j'étais couché sur le lit de camp, fesses enduites de salive....
Le gland mouillé de Mourad s'est collé contre ma rondelle encore irritée par la séance de la veille. Mes fesses se sont refermées autour de la hampe épaisse et chaude. Ma voix m'a semblé terriblement soumise.
- Non s'il te plaît.... J'ai encore mal... S'il te plaît arrête....
- Je vais être gentil avec toi..... Fais ce que je te dis et tu verras, tu ne sentiras rien, que du plaisir..... Tends ton cul.... Vas-y, soulève le.... Pousse comme si tu voulais chier..... Vas-y pousse.... Comme pour faire caca.... Fais ce que je te dis sinon tu vas la sentir passer!....
Au ton qu'il avait, j'ai compris qu'il n'abandonnerait pas. Alors, j'ai fait ce qu'il me conseillait, me cambrant au maximum. Je tremblais en lui obéissant. Je lui tendais mon cul comme une pute... Il m'a fermement agrippé par les épaules. J'ai poussé du mieux que je pouvais en sentant la pression du gland contre mon trou. J'avais peur et j'avais honte. Les jeunes jouaient toujours au foot. La pression a augmenté contre mes sphincters contractés.
- Vas-y pousse..... Pousse.... Fait caca....
Un seul coup de rein très puissant. Une douleur fulgurante qui me coupe le souffle. Une brutale envie de vomir. Mon anus qui s'ouvre. Mon cri qui se casse brusquement.
Puis plus rien. A peine une légère brûlure au derrière et le sentiment d'avoir du plomb dans les intestins.
- Tu vois.... Je te l'avais dit.... Ti es empalé jusqu'aux couilles... D'un seul coup.... T'es un vrai enculé maintenant.....
C'était vrai, je sentais parfaitement les poils de son pubis contre mes fesses et ses couilles collées contre les miennes. Il m'avait sodomisé d'un seul coup de reins. Et sa longue bite bouillante était entièrement plantée dans la profondeur de mon ventre. J'avais l'impression que mes entrailles allaient éclater. J'avais comme envie de chier pour me débarrasser de cet énorme suppositoire et en même temps il me faisait du bien .
C'est à ce moment précis que j'ai réalisé qu'il avait raison.
J'étais devenu un vrai enculé!
Ce bâton de chair qui venait de se planter du premier coup dans mon anus sonnait la fin de ce que j'avais été jusqu'à présent, et me transformait en individu hors de la norme.
Dehors, les gamins criaient toujours, pendant que moi, j'avais le cul cassé par une bite d'arabe. Ils avaient certainement entendu mon cri de douleur. Comme le petit vendeur de maïs, ils avaient dû deviner ce qui se passait dans le bungalow.
Mourad est resté quelques secondes sans bouger, ses mains crispées sur mes épaules et son visage dans mes cheveux défaits. Puis il a levé son torse en prenant appui sur ses bras tendus. Seul son pubis était collé contre mes fesses.
- Cambre toi bien le français.... Offre moi bien ton cul.... Décontracte toi, sinon tu vas avoir mal...
Il a commencé à me sodomiser très lentement et je serrais les dents en sentant ma rondelle s'ouvrir pour épouser la circonférence de son membre-l'anaconda- qui coulissait dans mon intimité lubrifiée de salive ; cette sensation est proche de la défécation, ça sort, mais ça entre aussi. Un délice envoûtant et vertigineux.
- Tu vois, Damien comme ton cul s'est bien ouvert.... Maintenant je vais bien te niquer.... Tu vas en redemander poufiasse...C'était tout ce qu'il savait me dire. Rien de méprisant en fait.
Mêlant douleur et plaisir, la soumission a duré longtemps. J'avais les chairs à vif, les intestins chamboulés, le ventre distendu. La hampe forait mes reins. Le gland ouvrait mon conduit et l'élargissait, la douleur ne me quittait plus. Je serrais les dents laissant échapper de temps en temps des gémissements.
Au bout d'un bon moment, j'avais le cul tellement ouvert qu'il pouvait y faire ce qu'il voulait sans ajouter de salive. Il allait de plus en plus vite, de plus en plus fort, jusqu'à ce que le lit manque de s'écrouler. Il sortait tout son membre à l'exception de son gland et le replantait de toutes ses forces en mes fesses m'arrachant un cri à chaque fois que je sentais sa queue reprendre ses droits.
Il me pilonnait le cul sans relâche. Son sexe frottait contre ma rondelle dilatée. De temps en temps, il s'arrêtait pour reprendre son souffle. Il m'a sodomisé longtemps avant de se vider en moi à grands jets de foutre qui m'ont rempli le cul.
Il ne s'est pas aperçu qu'aux seuls frottements du matelas rugueux contre ma pine, j'avais éjaculé en même temps que lui. J'en ai été le premier surpris et complètement dérouté.
Quand il s'est retiré, j'ai eu froid aux fesses. Je me souviens très bien de cette sensation de vide. L'impression d'un manque et en même temps -lol- de l'avoir encore en moi.
- Tu vois, maintenant ton cul, il est à la bonne taille.... On va bien te l'ouvrir.... Il faudra faire tout ce qu'on veut..... Sinon, on dira à Sylvie que tu n'es qu'un pédé.... Allez remets ton froc.... Ne t'essuie pas.... Il faut que tu sentes que ça coule et que tu m'appartiens....
Je me suis levé complètement crevé. Mon cul coulait et mes fesses étaient glissantes. J'ai laborieusement remis mon maillot de bain. J'avais un peu de mal à marcher. Mal au ventre aussi.
Quand nous sommes sortis de la cabane, les gamins qui jouaient nous ont regardé. Un des mômes a pointé vers moi son majeur tendu vers le ciel, les autres doigt repliés. J'ai rougi. Ils ont tous rigolé de bon coeur.
Nous avons retrouvé le petit vendeur de maïs. Avant de nous quitter, il a prononcé quelques mots que Mourad m'a traduit.
- Il a dit qu'avec la tache que tu as sur le derrière du maillot tout le monde sur la plage va savoir que tu viens de te faire niquer.
J'ai rougi et me suis sauvé pour me précipiter dans l'eau chaude et salée.

     Image associée Sylvie et Khaled nous ont retrouvés sur la plage en fin d'après midi. Ils étaient restés absents plus de trois heures. J'étais furieux de cette absence et meurtri par leur bonne humeur et leur connivence. Je tentais de deviner ce qui avait bien pu se passer entre eux. Sylvie avait les yeux brillants et semblait très heureuse. Elle n'arétait pas de plaisanter et de rire. On pouvait imputer son comportement sur le compte de l'herbe qui devait encore faire son effet. C'est la seule explication que je voulais lui trouver.
Réservant leurs confidences à plus tard, Mourad et Khaled ne se sont parlé ni en français, ni en arabe. Tout semblait parfaitement normal entre nous. Nous étions un groupe de quatre amis profitant de cet été tunisien. Ils nous restait encore six semaines de vacances.
Le soir, Sylvie et moi avons fait l'amour et cela a été une séance fantastique. Sylvie s'est totalement donnée. Moi aussi. Nos corps moites dans cette chaleur lourde se sont déchaînés l'un contre l'autre. Jamais nous n'avions baisé de cette manière.
A quoi ou à qui pensait-elle à ce moment? Je n'arrivais pas à le deviner, mais moi je pensais à cette queue qui m'avait enculé et à ces deux jeunes arabes qui s'étaient soulagés dans mon corps.
Je me demandais si mon sperme s'était mélangé à celui de Khaled dans l'intimité odorante de ma copine ou si elle l'a sucé aussi bien que je l'avais fait pour Mourad.
Et sa queue à lui, comment était-elle? Je ne savais même pas à quoi ressemblaient les deux queues qui m'avaient dépucelé le cul. Je ne les avais jamais réellement vues. Sylvie, s'était-elle laissé sodomiser aussi? Elle me l'avait toujours refusé et même cette nuit, je n'ai pas osé lui demander. Peut être l'aurait-elle accepté?.

QUINZE ANS APRES...Un ballon de cuir tout élimé est venu mourir sur mes chaussures bien cirées. Un des jeunes joueurs est venu le récupérer. Il respire le bonheur ingénu. Mais j'avais appris à mes dépens, qu'il fallait se méfier de l'ingénuité dans ce pays. Il m'a juste remercié d'avoir récupéré le ballon et est reparti jouer. J'ai quitté cette plage. Il me reste deux bonnes heures à tuer avant mon rendez-vous.
Je remonte la rue qui mène au centre de la ville. Il y a beaucoup plus de voitures qu'à l'époque. Ca sent l'essence et les épices. Les gens sont bruyants et pressés. Personne ne fait attention à moi. J'arrive sur la petite place cerclée de cafés. Beaucoup de monde sur les terrasses. Je sais qu'en été, tous les vendredi soirs, il y a une fantasia.
Nous avions assisté à l'une d'elle. Le spectacle se déroulait à la tombée de la nuit et il y avait un monde fou autour de la petite place avec une majorité de touristes. Le centre de la place était encerclé de torches qui s'ouvraient pour délimiter un passage au milieu de la rue principale. C'est par là que devaient arriver au grand galop, les cavaliers. Les torches étaient le seul éclairage de la petite ville et tous les autres quartiers étaient plongés dans le noir.
On entendait des cris et des coups de fusil au loin. Sylvie et moi étions côte à côte. Derrière nous Mourad et Khaled nous racontaient ce qui allait se passer.
- Regardez, ils vont venir de la rue.
La pression des spectateurs agglutinés contre et autour de nous, m'a séparé de Sylvie et très vite, je ne voyais plus que sa chevelure à cinq mètres devant moi. Mourad avait réussi à rester à coté d'elle. Khaled lui, était plaqué contre mon dos. Le spectacle allait commencer dans une dizaine de minutes. Il faisait très chaud et nous étions tous serrés les uns contre les autres.
Pour faire plaisir à Sylvie, j'avais accepté de mettre un large pantalon bouffant de couleur blanche. C'était un vêtement local que Sylvie m'avait offert. Le tissu était si fin qu'il en devenait transparent si je passais dans la clarté. Je me sentais ridicule dans cet accoutrement et c'est Mourad et Khaled qui se sont joints à Sylvie pour me convaincre de sortir ainsi vêtu.
Brusquement, sous un tonnerre roulant d'applaudissements et de cris, une douzaine de cavaliers ont déboulé à cheval pour occuper le centre de la place à grand renfort de coups de feu tirés vers le ciel, et le spectacle a débuté. Nous étions de plus en plus serrés les uns contre les autres, tassés comme des sardines, à tendre le cou pour voir quelque chose.
Moi, je n'ai rien pu voir, car dès l'arrivée des cavaliers, Khaled m'a saisi par les hanches, et a pressé son bas ventre contre mes fesses.
J'ai sursauté. Il osait faire cela au milieu de cette foule compacte. Il m'était impossible de me dérober à ses avances. Très inquiet, je ne cessais de regarder autour de nous. Personne ne semblait faire attention à ce que me faisait Khaled.
Brusquement en tournant la tête à plusieurs reprises, je me suis rendu compte que j'étais le seul touriste au milieu des autochtones. Nous étions encerclés par des arabes. Aucun touriste en contact direct. Les premiers, étaient pratiquement à trois ou quatre rangs autour de nous. J'étais le seul étranger au milieu d'eux et Khaled me pressait de plus en plus fort contre son bassin.
Khaled a parlé en arabe à ses deux coreligionnaires les plus proches qui ont rigolé en me jetant un coup d'oeil.
- "Chez nous, il n'y a que les courtisanes qui portent ce genre de pantalon.... Les putes quoi.... Et je leur ai dit que tu en étais une qui n'est là que pour offrir son cul...."
J'ai violemment rougi. Je ne savais plus ou me mettre. Impossible de me décoller de Khaled qui me tenait fermement contre lui.
Je sentais parfaitement la bosse de son sexe se frotter lentement contre mon cul. J'étais troublé et désemparé. Je voulais partir, mais il n'y avait aucune échappatoire. Les deux arabes à qui Kalhed avait parlé ont commencé à s'intéresser à ce que faisait Khaled. Ils m'ont regardé d'un drôle d'air, et j'ai baissé les yeux honteux et soumis. Je n'ai tenté aucun mouvement pour échapper à leurs caresses.
Cela faisait maintenant presque un mois que nous étions dans ce pays et après la séance de la cabane, tout s'était enchaîné sans possibilité d'échappatoire ni de retour.
Sylvie allait de plus en plus souvent fumer avec Khaled et je devinais parfaitement qu'ils ne se contentaient pas uniquement de fumer. J'avais maintenant la certitude qu'il y avait quelque chose entre eux, même si Sylvie ne disait rien.
Mourad lui, se dévouait pour me tenir compagnie pendant que Khaled se payait Sylvie et bien sûr, assouvir lui aussi ses envies. Au fil des jours, ils m'ont appris à me plier à tous leurs désirs et j'étais devenu un mec aussi obéissant qu'une de leur fatmas. Bien que plus jeunes que moi, ils m'avaient soumis à leur volonté autoritaire.
Au cours des séances, ils me demandaient de plus en plus de choses et j'allais de plus en plus loin dans l'abdication de toute rébellion et la soumission. C'est pourquoi, je ne me suis pas révolté le soir de la fantasia, quand j'ai sentis que la main de Khaled passait lentement dans mon pantalon et baissait l'arrière de mon slip sous mes cuisses.
Je me suis retrouvé fesses nues sous mon pantalon bouffant et transparent, en plein centre ville, cerné d'arabes, qui nous cachaient aux éventuels regards et formaient une barrière infranchissable autour de nous. Et parmi tous ces inconnus, deux au moins pouvaient voir ce que faisait Khaled plaqué contre mon dos avec ses mains dans mon pantalon de courtisane.
A un moment, Sylvie s'est tournée vers nous pour nous faire de grands signes de la main, bras tendu au dessus de la foule. Mourad lui a répondu de la même manière pendant que son autre main fouillait ma raie. Il faisait de grands signes à Sylvie pendant que deux de ses doigts sont lentement entrés dans ma raie serrée pour s'enfoncer sans aucun obstacle dans mon anus.
Rouge de confusion et de honte, j'ai serré les dents et baissé la tête. Le spectacle ne m'intéressait plus. Mon anus moite de sueur s'ouvrait sous la pression des doigts vrillés dans mon fondement. Il n'y avait plus besoin de salive. Les deux autres arabes ne regardaient plus la fantasia.
Autour de nous la foule criait des encouragements aux cavaliers. Je ne savais plus très bien ce qui se passait, ni où j'étais au juste. Un type était en train de me mettre deux doigts dans le cul au milieu de dizaines d'autres individus. C'était complètement fou.
Khaled a parlé en arabe à son voisin de droite. Un type bien plus vieux que moi, avec une fine moustache et des lunettes à monture dorée. Malgré la chaleur il portait un costume de ville avec une chemise blanche et une cravate.
La foule nous pressait les uns contre les autres. La musique lancinante et les coups de feu empêchaient toutes les discussions. Khaled devait me parler à l'oreille pour que je comprenne:
- J'ai dit à ce type que tu étais une vraie pute avec un trou bien ouvert....
Le type à moustache à regardé dans mon dos. J'ai compris que Khaled lui montrait ce qu'il était en train de me faire.
- Il ne voulait pas me croire quand je lui ai dit que je suis en train de te mettre deux doigts dans le cul.... Je suis sur que tu sens bien mes doigts dans ton cul et que ça t'excite de te donner en spectacle devant des inconnus hein Damia....


C'est Khaled qui avait décidé de féminiser mon prénom pendant nos ébats. Il avait commencé à le faire environ une dizaine de jours après la séance du bungalow sur la plage. Mourad avait dû lui raconter ce qui s'était passé, et lui n'était peut être pas encore avec Sylvie. C'était la première fois que nous étions seuls lui et moi. Je ne me souviens plus ou étaient les deux autres.
- Mourad m'a raconté ce que vous avez fait sur la plage.... Il m'a aussi raconté tout ce que tu acceptes....
J'ai baissé la tête.
- J'ai envie de te niquer pour voir..... Il paraît que tu as fait des sacrés progrès.....
Il ne voulait pas aller dans un des bungalow de la plage. Il voulait mieux connaître ou nous vivions.
- Je veux voir ou vous vivez Sylvie et toi....
Nous y sommes allés. L'appartement qu'on nous avait prêté n'avait rien d'une usine à touristes, trop chère pour notre budget. Il était situé dans un vieux bâtiment minable, en plein centre ville.
Les chambres étaient disposées sur trois étages, autour d'une cour intérieure, et la nôtre était au second. Dans la journée, il n'y avait personne car les appartements étaient loués par des gens de la ville qui travaillaient.
Khaled a rapidement visité les lieux. Sans aucun préambule, il a commencé à se déshabiller. Torse nu, il s'est assis sur le lit.
- Alors, c'est sur ce lit que tu la baises ?... T'as raison d'en profiter, c'est un super coup. A mon avis, y-en-a plus pour longtemps. Je suis sûr qu'il lui en faut plus.
Les mots m'ont fait mal par ce qu'ils sous-entendaient. Pas de doute ils avaient couché ensemble. Lui avait-il dit ce qui c'était passé entre eux et moi?
Il a levé sa jambe vers moi en pointant sa chaussure devant mon torse. Il portait des sandales noires.
- Approche et enlèves moi les sandales.... Allez vite, ne fais pas semblant de vouloir résister....
Je lui ai obéi. Il avait les pieds poussiéreux. J'ai été surpris de la corne qui recouvrait sa voûte plantaire. Certainement l'habitude d'aller pieds nus depuis l'enfance, les sports de combats, et un entraînement intensif.
C'est lui qui a ouvert son pantalon. Il portait le même slip noir à maille qui ne cachait rien de sa virilité encore au repos. Complètement hypnotisé par ses mouvements de félin, je l'ai vu se débarrasser de son dernier vêtement et se recoucher sur le lit.
Pour la première fois, j'ai réellement vu au grand jour son sexe circoncis encore au repos, avec un gland brun et des couilles lourdes plantées au milieu d'une forêt de poils noirs et très frisés.
Même au repos, son sexe me semblait imposant et en tout cas bien plus conséquent que le mien.
- Alors, c'est sur ce lit que tu baises avec Sylvie?
Il y avait de l'ronie dans sa voix, et en même temps, comme un soupçon de jalousie. Ses muscles jouaient souplement sous sa peau brune. Il avait un sourire inquiétant.
- Allez au pieu le francaoui.... A poil! Viens me montrer tes progrès....
Tête basse, je suis venu me coucher à plat ventre à ses cotés. C'était cette position de soumission que Mourad me demandait de prendre à chaque début de séance de baise.
Je suis resté jambes écartées et derrière relevé, attendant que son corps couvre le mien. Mais Khaled en voulait plus.
- Prends la même position qu'une femme..... Sur le dos, cuisses écartées et bien ouvertes....
Je me suis lentement retourné. J'avais une boule dans la gorge. Une envie de pleurer me bloquait la respiration. Je me sentais encore plus humilié dans cette position, et pourtant, et pourtant, j'ai ouvert mes jambes en les repliant légèrement. Exactement comme une femme qui s'ouvre pour accueillir son mec sur elle.
- Oui comme ça... C'est bien.... Si tu veux pas voir c'est pas grave... Laisse tes yeux fermés.... T'as pas une bien grosse bite.... C'est elle qui t'a rasé aujourd'hui?..... Réponds.... Il m'a frappé les couilles m'arrachant un cri de douleur.
- Non... Non... Je me rase tout seul...
Il s'est mis à genoux, assis sur ses talons, entre mes jambes repliées et bien écartées. Mais il en voulait encore plus.
- Ecarte tes fesses avec tes mains et montre moi bien ton trou de pédale... Je veux le voir en gros plan.......
J'ai obéi en passant mes mains sous mes fesses. Je me suis mis l'anus à l'air. Je lui exhibais mon cul.
- Il va falloir que tu te rases aussi la raie. Tu as encore des poils autour de ton cul...
J'avais les yeux humides de larmes. Kalhed a saisi sa queue dans sa main droite et s'est rapidement masturbé devant moi en crachant plusieurs fois dans le creux de sa main. J'ai vu son sexe grandir et s'ériger au dessus de mon ventre.
Quand il a estimé qu'il était prêt, il a lâché son membre tendu devant son ventre plat. Son gland mouillé regardait le ciel. J'étais subjugué par la taille de son pieu. Je ne comprenais pas comment un engin d'une telle taille avait pu entrer dans mon cul. Cela me semblait presque impossible. J'ai compris pourquoi j'avais eu tellement mal la première fois.
J'avais maintenant très peur de la suite. Lui, il s'en foutait complètement. Il m'a relevé les jambes pour les passer au dessus de ses épaules.
- Tiens tes fesses bien ouvertes..... T'as déjà niqué ta copine comme ça? Elles adorent cette position parce qu'elles sont bien offertes et que ça rentre bien profond.....
Il a pointé son engin devant mon anus dévoilé avant de se coucher sur moi, m'obligeant à relever mes genoux jusqu'aux épaules.
Vu ma position, ma raie s'était complètement ouverte. J'ai lâché mes fesses et son sexe bien mouillé a forcé le passage pour s'enfoncer lentement en moi.
    Jamais je n'avais senti une telle impression. On aurait dit que mon ventre allait éclater. Je me tortillais de douleur et arrêtai de respirer pendant la pénétration. Mais il était bien plus fort et me bloquait bien.
En réalité, je ne pouvais bouger que mon bas ventre et sans que je le veuille, je lui facilitais la pénétration. Ca demeure un mystère pour moi comment la douleur est rapidement montée avant de redescendre par palier au fur et à mesure des coups de reins qu'il donnait souplement. J'ai fermé les yeux, visage crispé et souffle haletant. Je devinais qu'il devait me regarder et savourer sa puissance de mâle.
- En quelques séances t'as le cul qui s'ouvre comme les putes du port.... Dés que je t'ai vu la première fois j'ai dit à Mourad que tu devais être une sacrée salope....
J'étais stupéfait que sa bite soit entièrement entrée aussi vite. Ce n'était que la cinquième fois que l'on me sodomisait et bien sûr, je n'avais jamais eu de relations de ce type auparavant. Et pourtant, une bite aussi grosse que la sienne arrivait à entrer assez facilement.
Les profonds mouvements qu'il donnait à son corps faisaient bouger le matelas. Pratiquement couché sur moi, il m'étouffait. J'étais plié en deux, mes genoux au niveau de mes épaules. Complètement cassé et jambes repliées au maximum.
Jamais un sexe n'avait étét aussi profondément enfoncé dans mon ventre et j'avais l'impression que mes intestins allaient remonter. Je serrais les dents en gémissant et lui, continuait d'enfoncer son pieu dans mon intimité élargie sans me quitter des yeux pour mieux apprécier le mal et le bien qu'il me faisait.
Il poussait de plus en plus fort. J'étais plié sous lui à la recherche de mon souffle. Quand enfin j'ai senti son bas ventre contre mes couilles, j'étais à deux doigts de l'évanouissement.
- Ton cul, il est meilleur que celui d'une femelle. Généralement les fatmas n'arrivent pas à la prendre entièrement dans leurs culs....
Il ne m'a pas quitté des yeux tout le temps qu'il m'a limé, et je gémissais comme une femme à chaque coup de boutoir. Son pubis tapait de plus en plus fort contre mes cuisses.
J'ai serré les jambes autour de sa taille. Cela l'a encore plus excité de me voir gémir et bouger sous lui.
Il s'est brusquement immobilisé pour se vider en moi. Pour la première fois, j'ai senti mon cul se remplir d'un liquide brûlant. Il a joui longtemps à grands jets avant de s'immobiliser.
Puis, il s'est brutalement retiré. J'ai enfin pu m'allonger sur le lit complètement pantelant. Je me sentais faible et j'avais mal au cul. Mon anus irrité me brûlait et son sperme sortait lentement de mon trou. J'avais comme la sensation que mon trou restait ouvert et probablement c'était vrai.
- T'es une vrai femelle toi. C'est Damia qu'on va t'appeler. ça te va mieux que Damien....
Il a ajouté que dorénavant c'est comme cela qu'ils m'appelleraient quand on serait seuls car maintenant j'était leur fatma.
- T'es pire que n'importe quelle nymphomane étrangère.
Il est resté à poil pour aller boire un verre d'eau. Son sexe lourd et à moitié tendu ballottait entre ses cuisses viriles. Il avait les jambes couvertes de poils noirs et bouclés ...

  NOTES :  ... D'où viennent les faiblesses de Damien ?  [ Influençable et imaginatif :"- Allez viens, tu ne vas pas le regretter " " Ils m'avaient dit que les français, ils aiment bien les gros zob des arabes"/ Ami du moindre effort : " - Nous sommes bientôt arrivés. Tu verras Damien, tu vas aimer"/Il ne soupçonne pas le mensonge  :"- Il y a deux boutiques. Une pour les hommes et une pour les femmes" Une confusion mentale savamment entretenue par Mourad et Khaled et...la shit : "-Tout est confus dans mon cerveau. Je n'arrive pas à comprendre ce qui nous arrive ni pourquoi cela nous est arrivé à nous".

 


D'où viennent les blocages de Damien ?  [ j'ai voulu les rejoindre. Mais je ne sais pas pourquoi, je ne l'ai pas fait / J'avais beaucoup de mal à parler. (que dire ?) /Mon visage me brûlait. J'avais envie de partir, mais en même temps, je ne pouvais pas bouger./Je me sentais sans force et comme la veille, incapable de lui résister. Je me suis laissé entraîner/ Il aurait simplement suffi que je me débatte, me batte ou que je crie. Quelqu'un aurait entendu. Serait venu.
Mais cela m'était impossible. Quelque chose me bloquait. Et encore aujourd'hui, je ne sais pas quoi.]  "- je sais aussi que je ne me révolterai pas. J'avais manqué de courage la première fois et les fois suivantes. Maintenant il était trop tard pour esquiver".  

D'où, hein ???   -lol-


commentaires :

Ces souvenirs empreints de nostalgie rappellent "Il était une fois en Amérique" avec Robert de Niro lorsqu'il revoit toute son adolescence...  

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  Image associée       Image associée Image associée riant sous l'effet de l'opium Résultat de recherche d'images pour "De Niro as Noodles in once upon a time in america sees images of his teen age"

Image associée pris à grandes goulées pour retrouver ses souvenirs rêvés et oublier le drame sous le POnt  de Brooklin

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Par DAMIA-DAMIEN - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 18 juillet 3 18 /07 /Juil 14:20

Image associéeje ne sais pas si ça vous est arrivé, mais moi qui suis surtout"entre garçons", un jour un gars pas tellement monté, disons-le, avait du mal à me prendre tout en me désirant très fort. Je l'ai câliné pour le consoler de son échec  en lui disant : " c'est pas grave, ça arrive à des gens très bien...tu vas rebander..."

Vrai ou faux le gars m'a dit textuellement : "c'est la faute à ma soeur , elle arrête pas de me sucer et boire mon jus. Je lui ai dit que j'avais RV et d'arrêter. Elle m'a séché les couilles malgré moi ...je suis venu quand même...c'est à toi de me baiser, moi là je peux pas". Ca m'étonnait bien sûr mais c'était loin d'être impossible !


Image associée...Pour t’aider bien sûr, entre frère et sœur on peut s’aider non ?

— Oui mais là tu ne peux rien y faire !

— Laisse-moi en décider et voir, si je peux faire quoi que ce soit, j’aimerais te faire plaisir !

— Oui ? Alors laisse-moi en paix car mon problème ne regarde pas ma sœur !

Bertrand se lève et rejoint sa chambre, la première partie du plan d’Alice marche à merveille, elle peut aller dans la chambre de son frère et faire semblant de continuer cette conversation.

C’est ce qu’elle fait bien sûr, elle tape à la porte et entre, il est couché dans son lit et n’a juste que le drap sur lui mais elle peut voir sa formidable verge qui pousse le drap, elle l’a mis en appétit et c’est ce qu’elle voulait.

Il suffit pour elle de continuer son travail de sape et dans quelques minutes elle aura son frère dans son ventre.

— Bertrand mon chéri parle moi enfin, ne reste pas seul si tu as un gros problème, tu peux tout me dire !

Elle est venue s’asseoir sur le lit sa main sur la poitrine de son frère.

— Bertrand ! Ne sois pas sot allons dis-moi !

— Je ne peux pas Alice et tu ne voudrais sûrement pas que je t’en parle si tu savais !

Elle s’allonge contre son frère et lui câline le torse sa bouche contre sa joue, le souffle chaud et parfumé d’Alice caressent la joue de Bertrand.

— Dis-moi petit frère, je te promets de ne pas me moquer de toi !

— Tu veux savoir et bien j’ai un trop gros sexe et quand je bande, je n’arrive plus à débander, même si j’éjacule et il faut que je me branle plusieurs fois de suite, voilà ! Image associée


Image associée

— Un trop gros sexe cela n’existe pas voyons, tu me fais voir, je te dirai !

Bertrand soulève le drap et montre son énorme verge de presque 30 cm et plus de 6 d’épaisseur à sa sœur.

Elle a les yeux hors de la tête, devant elle se dresse un pal de chair d’une dimension exceptionnelle.

— Mon dieu mon chéri, tu es comme un âne ! Tu as mal ?

— Oui car tu m’as fait bander toute la soirée à me montrer ta minette !

— Tu bandes pour moi ?

— Oui et depuis longtemps, je voudrais bien te le dire mais j’ai peur que tu me repousses !

— Tu aimerais que je te caresse pour que tu aies moins mal mon chéri !

— Oh! Oui tu voudrais bien faire ça ?

— Tu peux faire avec moi ce que tu veux mon chéri, je serai ta femelle, je ta chatte, ton vide couille, laisse moi te montrer comme je t’aime !

— Montre-moi, tu voudrais que je te prenne avec ?

— Ho que oui et le plus possible !

Elle branle son frère, elle a besoin des deux mains et quand elle le prend dans sa bouche, elle est obligée de distendre sa mâchoire pour y faire entrer ce gland énorme.

Image associée

— Lèche-moi la chatte mon amour, caresse-moi les seins, mets tes doigts dans ma vulve et prépare moi bien pour ta magnifique bite, je te veux dans ma chatte, fais moi ce que tu voudras, je veux te sentir en moi !

Bertrand fait ce que sa sœur lui demande, il lèche la chatte, caresse le clitoris de ses doigts et enfonce ses doigts dans son vagin.

— Viens, viens t’enfoncer dans ma fente, défonce-moi avec ta grosse bite !

Elle est sur le dos, ses jambes relevées sur sa poitrine, il présente son gland démesuré à l’entrée de la grotte secrète et bien que le nombre de bites qui sont entrées dans cette moule soit incalculable, le gland distend tellement la fente qu’Alice crie sa douleur, son frère est en train de lui exploser le vagin, elle souffle très fort et tente de se décontracter, il la prend par les hanches et s’enfonce en elle, dévastant les muqueuses du vagin et se dépucelant lui-même EN MEME TEMPS -lol-.

 

Image associée

Un cri horrible est sorti de la bouche de sa sœur quand il a touché le fond de son vagin, elle vient de se faire exploser la chatte et cette fois-ci c’est sûr elle est  dépucelée pour les engins hors norme !

— Attends Bertrand, mon amour, attends un peu, là j’ai trop mal, laisse moi m’habituer à ta bite, elle es si grosse, tu viens de me dépuceler pour toujours, après ça n’importe qui pourra rentrer dans ma chatte !

— L’autre soir je t’ai vue au bord de la piscine te faire mettre par tous les garçons, alors tu dois avoir l’habitude non ?

— Pas avec une aussi grosse bite que la  tienne, tu es le premier que je voie monté comme toi, mais je sais que ça va être bon, baise-moi, baise-moi longtemps !

Bertrand est obligé de poser une main en appui sur le ventre de sa sœur pour pouvoir ressortir sa verge et éviter de la soulever.

Il la pistonne ainsi, Alice crie sa jouissance comme une malade, son frère la fait jouir comme personne avant et la ramone comme jamais personne ne l’a ramonée, s’enfonçant jusqu'à buter au fond de son utérus, il y a plus de ½ heure qu’il est en elle, elle ne sait plus si c’est son ventre qui explose sa chatte qui s’écarte ou sa tête qui divague mais il lui semble que cette bite a encore grossi.

— Je vais jouir ma chérie, je vais te jouir dans la fente, je viens, je viens ! quel bonheur !

Elle ne l’entend même pas il y a longtemps que sa tête est partie dans les nuages et qu’elle râle, elle ne jouit plus elle est la jouissance, elle ne le sent plus il fait partie d’elle, il est soudé à sa chatte et la défonce, jamais elle n’aurait cru cela possible, elle qui adore se faire mettre, elle éprouve une jouissance aussi intense que dévastatrice, sa chatte n’est que plaisir, son ventre accepte ce pieu et en redemande.

Il l’emplit de sperme chaud, les jets viennent butter au fond de son ventre, il l’emplit comme un jet d’eau emplit un bassin, elle ne sait plus ou elle est, le bruit de ventouse de l’énorme pieu et de sa fente emplit la chambre.

Il n’a pas débandé bien sûr, il est toujours en elle et continue à la faire jouir, encore et encore.

— Arrête Bertrand mon amour, arrête, je n’en peux plus, c’est trop je vais mourir !

Il sort enfin de sa sœur, le pieu toujours dressé, elle met quelques instant à reprendre ses esprits et le branle des deux mains.

— Je vais te refaire jouir mon amour mais ma chatte n’en peut plus pour le moment, il te faudrait au moins trois filles, si j’avais su j’aurais demandé à Corinne de rester, je te ferai baiser toutes les filles que tu veux mon amour il faut que ta bite serve le plus possible, comme ça quand tu me baiseras, tu seras moins en manque mon chéri !

— J’ai encore envie Alice, branle-moi plus vite, oui comme ça, encore je vais jouir, oui je viens !

Elle se penche sur la bite et suce le gland, elle veut du sperme dans sa bouche, c’est incroyable la quantité qu’il lui déverse dans la bouche, elle en a partout, le sperme coule sur sa poitrine, elle vient d’en avaler une quantité énorme et il en sort toujours, ses grosses couilles ne sont pas encore vides.

Il ne débande toujours pas, il est aussi ferme que la première fois, elle adore se faire prendre le cul mais cet engin entrera-t-il en elle, il va lui exploser la rondelle mais elle en a envie et cette idée lui tient à coeur.

Bertrand est sur le dos, la verge fièrement dressée, sa sœur à califourchon sur son pieu, elle le dirige dans son anus qu’il a dilaté de ses doigts et de sa langue, il a réussi à enfoncer quatre doigts dans ce trou et l’a dilatée au possible mais quand le gland s’enfonce en elle, les larmes coulent sur les joues d’Alice.

Il est dans le ventre de sa sœur, elle pleure de douleur mais le garde en elle, il lui semble subir un supplice, le supplice du pal, elle qui adore se faire enculer, ce n’est plus du plaisir, ce mal c’est du pur bonheur, mais c’est en même temps horrible de souffrance, elle attend que la douleur s’estompe, son cul est plein, elle sent le pieu dans son ventre, elle monte et descend, il entre de mieux en mieux, sa rondelle se dilate autour de la chair de son frère, enfin elle prend son plaisir.

Il explose après de longues minutes de sodomie, il vient en, un soir de se dépuceler, de faire l’amour à sa sœur et de l’enculer.

— Mon amour, mon amour, je t’aime, tu es le meilleurs de tous, demain tu baiseras Corinne à deux tu pourras prendre ton pied autant que tu voudras et s’il en faut une autre je ferais venir d’autres filles mon amour !

— Il y en a une plus que tout avec qui j’aimerais faire l’amour, je te le dirais un jour et tu m’aideras !



Si l’on veut faire une suite ici tout est possible bien sûr, on peut même changer des chapitres de cette histoire pour qu’elle soit plus longue, broder sur certains épisodes et d'un en faire plusieurs mais ici ce n’est qu’un prototype à savoir si cela plaît ou non.

 

Sur une idée de 28par7, Barbebleue

 

Merci de me lire

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commentaire :

Par MEAT DILDO - Publié dans : ELLES ET NOUS & VIDEOS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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