Partager l'article ! la douleur au fond de mon ventre me rappelle que nos deux amis arabes avaient abusé de moi. Abusé était-il vraiment le bon terme? Je n'avais rien f ...
si un gars, qui aime prendre ou se faire prendre, lit ce récit, il va courir se branler...
Hé Monsieur, tu veux entrer ....
Viens viens, il y a des très jolies choses..... T'es français.... Viens Monsieur viens, entre et fais comme chez toi...
Je
suis sorti brusquement de mes souvenirs. Le patron de la boutique devant laquelle je suis resté figé, m'interpellait gentiment. Il ne devait pas comprendre pourquoi un type comme moi était
immobile devant son entrée. Il me regardait avec curiosité. Etait-ce le même qu'il y a quinze ans? Non, non, ça ne pouvait pas être lui. J'avais envie de lui demander si je pouvais visiter le
vieux hamam. Il aurait été certainement très surpris qu'un touriste de mon acabit ai connaissance de cette pièce. Je lui ai souri poliment avant de rebrousser chemin pour quitter le souk. Je
laissais mon esprit guider mes pas...
QUINZE ANS APRES ...Je me revois à plat ventre sur ma serviette en train de repenser
avec angoisse à ce qui m'était arrivé la veille. Heureusement, Sylvie ne s'était aperçue de rien et j'arrivais à jouer la comédie du type sans aucun problème.
Mais la douleur au fond de mon ventre me rappelle que nos deux amis arabes avaient abusé de moi. Abusé était-il vraiment le bon terme? Je n'avais
rien fait pour leur échapper, et j'avais beau me dire que j'avais trop fumé, au fond de moi, je sentais bien que je me trouvais de fausses excuses.
Cela faisait une heure que nous étions en train de bronzer et, il était presque midi. En nous réveillant, Sylvie m'a fait quelques avances que j'ai
fait semblant de ne pas comprendre. Je n'avais vraiment pas envie de faire l'amour. C'était la première fois que cela m'arrivait de lui refuser. Elle n'avait rien dit et s'était levée plutôt
rapidement.
Sur la plage, elle a voulu savoir comment cela s'était passé la veille.
- Très bien. Ils sont vraiment très sympa (ouais c'était pas assez de dire ça)
- Ils avaient vraiment de l'herbe?
- Oui et elle était fameuse
- Tu en as fumé beaucoup?
- Oui ils me l'ont même offert. Ils en ont un paquet...
- C'est la même que celle qu'on trouve chez nous?
- Non... Elle est plus forte...
- Et vous avez fait quoi? Photo : Khaled au centre, Mourad à sa gauche
- Ben rien. J'ai fumé chez eux c'est tout
- Eux aussi?
- Non ils ne fument pas...
- T'as de la veine. Tu aurais pu m'en amener un peu quand même.
- Impossible, ils ne veulent pas que cela sorte de chez eux.
- Tu crois qu'ils nous en re-proposeront?
- Je ne sais pas...
- En tout cas, cette fois-ci je viendrai avec toi.
- Bien sûr tu m'as manqué...
Ce qui était sûr c'est que je n'étais pas prêt à retourner seul chez eux. Je me suis bien gardé de le dire.
Je sentais comme un malaise indicible entre nous. Elle m'en voulait et je ne savais pas si c'était pour ce matin ou pour l'herbe. Dans ma tête elle
aurait pu avoir d'autres raisons de m'en vouloir dont je tremblais qu'elles lui soient révélées. Nous n'avons plus parlé. Le soleil commençait à sérieusement chauffer. Je suis parti me
baigner. L'eau de mer m'a fait mal à l'anus. Je n'arrêtais pas de penser aux événements de la veille. Je suis revenu sur le sable chaud. Je me suis assoupi. J'étais crevé.
Bien sûr ils nous ont rejoint en fin d'après midi. Quand je les ai vus, j'ai eu une peur terrible. Mais, avec un aplomb superbe, ils ont été
absolument comme d'habitude. Au point que même moi, je commençais à me poser des questions.
Bien sur Sylvie a voulu en savoir plus sur l'herbe et sur notre soirée.
- Oui, la soirée a été super.
- Oui surtout pour Damien...
- Faut dire qu'il a un peu abusé des cigarettes.
J'écoutais leurs voix chaudes et encore un rien juvéniles. Ils étaient joyeux, décontractés, sympa. On leur aurait donné le bon dieu sans confession. Pourtant c'étaient bien leurs sexes qui m'avaient enculé sauvagement. C'était bien eux qui m'avaient sodomisé en me traitant de salope et d'enculé.
- En tout cas les mecs, il faudrait moi aussi m'en faire profiter
Quelques micro secondes de silence avant que Khaled ne réponde à Sylvie d'une voix doucereuse en me regardant, comme s'il venait d'obtenir une
secrète permission....
- Pas de problème tu viens un jour et on te fait le même trip qu'avec Damien.
- Vous êtes sympa les amis. Vous venez vous baigner? ...
- Vas-y on te rejoint dans cinq minutes.
Elle est partie en courant. Son maillot moulait parfaitement ses fesses rondes qui tanguaient au rythme de sa course. Nous l'avons regardée plonger
dans l'eau. J'étais gêné d'être tout d'un coup seul avec eux. J'aurais mieux aimé être à mille lieues de là.
Ils se sont couchés à plat ventre en face à moi, têtes et bustes redressés en appui sur leurs avant-bras. J'ai pris la même pose. Je ne savais pas
quoi leur dire. Leurs regards se sont perdus derrière moi. A nouveau un sentiment de peur et de honte m'a traversé.
Khaled a ébauché un sourire sans desserrer les lèvres.
- Tu sais que même vu d'ici, t'as un super cul...
J'ai rougi brusquement. Je n'osais plus
les regarder. Toujours ce sentiment de honte. J'avais peur que quelqu'un entende ou que Sylvie revienne même si je la voyais en train de nager lentement.
- Faut pas te faire de mouron. Ca restera entre nous...
- Oui, et puis, dans notre pays, c'est courant. On ne peut pas toucher aux femmes de chez nous. Alors on en profite entre nous ou avec des étrangers
en saison.
- On préfère les étrangers....
- Et les étrangères....souligna Mourad, soucieux de se positionner "non gay"
- Surtout les français....
- Ouais... Ceux là, une fois qu'ils sont partis on ne les retient plus.... Ils offrent leur cul à tous....
- Vous... Vous êtes complètement barges
J'avais beaucoup de mal à parler. (que dire ?) Les affronter, aussi d'ailleurs, me faisait un peu peur. Je regardais obstinément le sable fin
de cette plage tunisienne.
- Tu disais pas ça hier...
- Tu t'es laissé faire bien gentiment....
- Ouais. Tu t'es pas beaucoup battu pour défendre ton petit cul...
- Tu t'es bien laissé ouvrir la rondelle....
- T'as une très belle rondelle. Tu sais?.... Bien serrée et en même temps très souple.... Une vraie rondelle de fille....
- Presque une chatte.... Maintenant elle est à nous.....
- En plus avec ton bas-ventre rasé, tu es super trognon...
- Un mec qui se rase à cet endroit, c'est ou un saint homme ou une gonzesse.
Mon visage me brûlait. J'avais envie de partir, mais en même temps, je ne pouvais pas bouger.
C'est vrai que je ne m'étais pas beaucoup défendu la veille. Je mettais mon
attitude sur le compte de l'herbe que j'avais fumée et dont j'avais largement abusé. Mais ils commençaient à me mettre un sérieux doute dans mon esprit. Je regrettais amèrement ce
rasage.
Sylvie est revenue. Son corps fin et bien dessiné brillait au soleil. Tout est redevenu normal avec des conversations banales entrecoupées de
baignades et de fous rires. Khaled la serrait de très près. Elle ne disait rien. Moi non plus.
A midi, nous avons mangé du maïs grillé que des enfants vendaient sur la plage. Ils faisaient griller les épis devant nous sur des petits braseros,
avant de nous les tendre sur les feuilles qui protégeaient les épis. Je mangeais le mien en faisant semblant d'ignorer les très discrets regards assez équivoques que
me lançaient Khaled et Mourad. Un cône de maïs ressemble tellement à une pine !
J'avais de plus en plus de mal à me contrôler. En plus, ils étaient en train de draguer ouvertement ma copine. Pour me remettre les esprits en
place, je suis parti nager. Je me donnais à fond dans une brasse endiablée . Une fois arrivé à une bonne distance de la plage, j'ai fait la planche en fermant les yeux.
Des flashs de la veille martelaient mon cerveau. Je sentais bien que je bandais et que mon maillot comprimait de plus en plus mon sexe. J'avais
envie de me masturber. Mais il y avait trop de monde autour de moi. Je me suis remis à nager en direction de la plage. La situation me paraissait intenable et je ne voyais pas d'issue pour
moi.
A mon retour, Sylvie et Khaled n'étaient plus là ! Qui va à la chasse...me dis-je
Mourad discutait avec le môme qui nous avait vendu les maïs. Ils me regardaient venir à leur rencontre et riaient en parlant en arabe.
A la manière dont le gamin me dévisageait, j'ai tout de suite compris que Mourad lui parlait de moi. Ma voix m'a paru beaucoup trop
hésitante.
- Ou est Sylvie? Mourad me fit des réponses équivoques :
- Elle est partie avec Khaled.
- Où?
- Elle avait trop envie.
- Envie?
- Elle manquait de cigarettes. Elle voulait des trucs plus forts.
Il soutenait mon regard avec une espèce d'ironie narquoise. Ses yeux brillaient d'excitation. Il ne m'était pas difficile d'imaginer Sylvie seule
avec Khaled dans la fameuse chambre. Apparemment Mourad pensait comme moi. Pendant un court instant, j'ai voulu les rejoindre. Mais je ne sais pas pourquoi, je ne l'ai pas fait. Même aujourd'hui,
il m'est difficile de reconnaître que j'avais eu peur d'affronter Khaled.
Mourad parlait toujours au jeune qui n'arrêtait pas de me dévisager en souriant. Je restais debout comme un con, le corps dégoulinant et le visage
inquiet. Ils se sont levés et Mourad s'est campé face à moi, les pieds enfoncés dans le sable chaud, jusqu'aux chevilles.
- J'ai comme l'impression que ton amie va...... Bien Fumer..... Surtout que je suis sûr que Khaled lui plaît beaucoup...... Elle a tout de suite
accepté d'y aller seule avec lui.... A mon avis, elle ne va pas fumer beaucoup..... Rien que de les imaginer, ça me fait bander....
- Tais toi!...
- Pourquoi?.... Ah pour lui!.... Ne t'inquiètes pas, il ne comprend pas le français..... Il surveille la plage et s'occupe des
bungalows...
lls ont repris une assez courte conversation dans leur langue. Le môme à éclaté de rire en me regardant. Il a sorti une grosse clef toute rouillée
du sac ou il rangeait ses épis et l'a tendue à Mourad. Puis il s'est assis au milieu de nos affaires et s'est mis à dessiner des arabesques sur le sable.
- Il va surveiller nos fringues... Viens avec moi...
- Où?
- Il veut qu'on visite un des bungalow....
Le ton moqueur qu'il employait ne laissait aucun doute sur ses intentions. Au regard appuyé que me lançait le môme, j'ai compris qu'il lui avait
tout raconté. Le môme savait pourquoi je devais visiter ce bungalow.
Comme je ne bougeais pas, Mourad m'a saisit par l'avant bras pour me tirer à sa remorque.
- Allez viens... On a tout le temps. Sylvie et Khaled ne reviennent pas avant deux bonnes heures.... C'est ce que Khaled m'a dit. Moi je suis sûr
qu'il y arrivera plus vite..... Et toi, c'est ton petit cul que tu vas me montrer....
Je me sentais sans force et comme la veille, incapable de lui résister. Je me suis laissé entraîner.
Nous avons traversé la plage, croisant peu de monde.
Il y avait trois petits algécos blancs accolés face à l'immeuble du casino.
Tous identiques, avec trois portes peintes en blanc "cassé". La peinture s'écaillait laissant apparaître le bois et les couches successives des
peintures précédentes ainsi que des coulées de rouille et diverses salissures. Des gamins jouaient au football dans le sable à quelques mètres de nous. Ils connaissaient Mourad.
L'arabe a ouvert la porte du bungalow du milieu. Un grand trou sombre. Une odeur prenante. Il m'a poussé vers l'intérieur en appuyant fermement sur
mes fesses.
Nous sommes entrés et il a refermé la porte à double tour. Je ne voyais rien. Nous sommes restés immobiles sur le seuil à attendre que nos yeux
s'habituent à l'obscurité ambiante. Le seul éclairage de la pièce, provenait des raies de lumière blanche qui passaient par le bas et le haut de la porte et par quelques planches disjointes. Il y
avait aussi deux petites ouvertures en haut de la paroi donnant sur la plage.
Il faisait chaud et humide et l'odeur m'était complètement inconnue. Un mélange d'iode et de poisson séché.
- C'est ici que viennent les fatma qui ne veulent pas se faire niquer dans leur hôtel.... Au début elles ont un peu peur et il faut les amadouer.
Mais après elles reviennent ... Avance vers la droite... Encore....
J'avançais lentement, bras tendus en avant et en glissant mes pieds nus sur le sol rugueux. Il y avait des tas de débris sur le sol. Les mains du
jeune arabe se sont posées sur mon maillot mouillé et me poussaient pour que je continue d'avancer. Il tenait mes fesses à pleines mains et les malaxait sans répit. Il a fait entrer mon maillot
entre mes fesses.
Mes tibias ont heurté un obstacle et je serais tombé si Mourad ne m'avait pas retenu par la taille.
- Voilà, c'est là....
J'ai vite compris que j'avais en face de moi, une espèce de lit de camp, assez bas, collé contre un mur au crépi blanc et aux grandes
taches noires.
- C'est la dessus qu'elles viennent se faire niquer.... Des fois on est plusieurs pour la même.... Elles adorent...... Et toi aussi tu vas aimer
être traité comme ces étrangères..
C'est dans cette pièce minable que j'ai abandonné toute idée de rébellion, et que cet arabe que je croyais mon ami, est devenu en réalité mon
maître. J'entends encore les cris et les rires des mômes jouant au ballon, qui traversaient cette mince porte qui nous séparait à peine du monde extérieur. Dehors, il y avait le soleil, la
plage, les vacances, du monde qui s'amusait.
Il aurait simplement suffi que je me débatte, me batte ou que je crie. Quelqu'un aurait entendu. Serait venu.
Mais cela m'était impossible. Quelque chose me bloquait. Et encore aujourd'hui, je ne sais pas quoi.
Je tremblais. J'avais la chair de poule malgré la chaleur. Ma peau était encore mouillée du bain de mer. Ses mains chaudes au creux de mes reins
m'ont fait frissonner.
- Avec tes cheveux longs, tu ressembles vraiment à une femme... Khaled il dit que tu as le corps d'une fatma.... Il a tout de suite deviné en te
voyant que tu es une femelle dans ta tête.... On a l'habitude de vous reconnaître....
Il me parlait à voix basse au creux de l'oreille. Sa voix était grave et autoritaire. Une vraie voix d'homme qui n'avait rien à voir avec son âge.
Il était sur de lui et de son autorité sur moi malgré son jeune âge. Il devait sentir ma passivité et en profitait.
- Ta copine, c'est une belle femme... Elle a tout ce qu'il faut ou il faut... T'en as de la chance.... Et nous aussi.... A l'heure qu'il est, elle
doit avoir fumé et être complètement nase et Khaled doit en profiter... Et toi tu vas bien m'offrir ton petit cul blanc....
Les mots me faisaient mal. Tout combat me semblait vain. Je sentais son odeur de sueur et son haleine caressait ma nuque. Son corps chaud était
plaqué contre mon dos et mes jambes. La bosse que formait sa virilité se pressait contre mes fesses.
J'avais envie qu'il arrête de me parler de Sylvie. Mais lui prenait tout son temps.
- Elle a le cul plus cambré que le tien.... Des fesses un peu plus larges aussi... Remarque t'as aussi un joli cul toi.... Tu vas bien me le montrer
maintenant qu'il nous appartient.
Il a baissé mon maillot mouillé sous mes fesses pour me peloter. Ses mains très chaudes me caressaient lentement. Ses doigts ouvraient ma raie et me
faisaient frissonner. Je le laissais faire.
Il m'a débarrassé du tissu collant avant de reculer, me laissant nu dans cette chambre inconnue. J'ai deviné qu'il se mettait à poil lui aussi et
j'ai vite senti la pointe de son sexe, dure et chaude, parcourir mes fesses encore humides. Impossible de contrôler les tremblements dont j'étais saisi.
- Tu trembles comme une pucelle... Pourtant hier, avec la shit, on t'a niqué sans problème... Tu fais comme hier... Tu m'obéis sagement et je
serai tout doux avec toi... Assieds toi... Allez assieds toi....
Je me suis assis sur le bord du lit et il est resté debout en face de moi. Son corps se découpait en contre-jour dans la pénombre. Il s'est approché
entre mes jambes qu'il a largement écartées.
- Comment elle suce ta copine?.... Réponds... Pas grave..... Je suis sûr qu'elle doit bien sucer..... Khaled me racontera.... Il adore qu'on le
suce..... Moi aussi j'aime ça.....
Je n'ai pas vu son sexe. J'ai juste senti une grosse pointe chaude et humide me caresser les joues avant de se poser sur mes lèvres serrées. C'était
très doux et brûlant. J'ai eu un mouvement de recul qu'il a vite bloqué en me tenant la tête.
- Montre moi comment elle te suce ta copine.... Vas-y... Montre moi.... Elle doit être en train de faire la même chose à Khaled en ce moment....
Chez nous, les femmes elles ne veulent pas faire la fellation..... C'est très sale.....
Il a forcé et j'ai ouvert la bouche. Sensation étrange que ce corps étranger dans ma bouche. Impression d'avoir un anaconda vivant dans la bouche.
C'est gros et j'ouvre au maximum. Je ne peux pas bouger la tête et c'est lui qui s'enfonce dans mon palais.
L'odeur est forte, musquée, anale, mélange d'iode et de sueur âcre. Je suis très troublé, et ne fais rien pour me soustraire au pal qui entre
lentement dans ma bouche sèche. Il donne des petits coups de reins et me pistonne la bouche.
- Regarde ... Tu la sens aller et venir..... C'est comme ça qu'il faut faire..... Serre bien avec tes lèvres autour de mon zob.. Vas-y... Ouvre bien
la bouche..... Elle est grosse hein.... Essaye de la prendre le plus loin possible.... Tu vois, ta bouche est moins profonde que ton cul.... Vas-y suce bien.... Tête bien mon
biberon....
Au bout de quelques minutes, il lâche ma tête c'est moi qui le suce mécaniquement. Instinctivement, je trouve les bons gestes et le bon rythme. Lui,
reste bien campé face à moi, bassin tendu et mains sur ses hanches.
- Applique toi bien on a tout le temps..... Vas y tète moi bien à fond.... Vas y prends-là au maximum.... C'est bien... Tu vois que tu sais le
faire.... Vas-y profite bien de mon zob...
Le gland tape de plus en plus vite au fond de ma gorge. Mes lèvres coulissent autour de la hampe bien droite. Je me débrouille de mieux en mieux. Je
sens le membre palpiter contre ma langue. Le gland va tout au fond de ma gorge.
- Tu fais très bien la fellation..... Continue comme ça..... Lèche bien mon sucre d'orge..... Lèche sur toute la longueur.... C'est bien.....
Continue comme ça, tu te débrouilles très bien..... Aspire bien mon zob.... Plus fort.... Tu es né pour piper les zboubs toi...
Je l'ai sucé pendant longtemps. Il a utilisé ma bouche autant qu'il l'a voulu. Il s'en servait comme du sexe d'une femme et me pilonnait
régulièrement le gosier de la même manière qu'il l'avait fait pour mon cul la veille.
Je le laissais faire. Je participais aussi. Son sexe me semblait d'une taille imposante. Son gland m'obligeait à ouvrir toutes grandes mes
mâchoires. J'entendais les bruits de succion et de la salive coulait sur mon menton.
- C'est très bien.....
Il s'est reculé et m'a libéré la bouche. Je me suis essuyé le menton d'un revers de main. Je ne voyais que son bas ventre devant mes yeux. La masse
noire de ses poils. Celle moins sombre de ses couilles et le pal enduit de ma salive tendu vers le plafond.
- Je suis sûr que tu suces mieux que ta copine.... Les hommes ça fait mieux la fellation que les femmes.....Il m'a flatté doucereusement tout le
temps comme ça. Et ça fonctionnait sur mon mental dans cette demi obscurité étrangement complice. Pour moi plus rien ne comptait autour de nous que ce que nous faisions et son énorme sexe
dont je n'arrivais pas à détacher mes yeux : dressé à quelques centimètres de mon visage, il se découpait en ombre chinoise. Assez long,
avec un gland comme un champignon, et la hampe légèrement courbée vers le ventre plat.
Il m'a semblé complètement incroyable que j'aie pu sucer une bite d'homme. Et pourtant, j'avais encore envie de la sentir dans ma bouche. Et cette
fois, je n'avais plus l'excuse de l'herbe.
- Allez, ma poule, couche toi maintenant.... Vas-y à plat ventre....
J'ai compris ce qu'il voulait. J'ai osé lui dire que j'avais encore mal. J'avais un tout petit filet de voix et beaucoup de mal à
articuler.
- J'ai rien compris... Répète.... Plus fort.... N'aie pas peur...
- J'ai encore mal....
- Où.... Où t'as encore mal?
- J'ai encore mal.... Au..... A l'anus...
Il n'était pas homme à renoncer en si bon chemin :
- N'aie pas peur. Comme t'es sage, j'irai doucement et t'auras pas mal à ton cul.... Tu vas voir, je vais bien te niquer et tu vas adorer... Allez
mets toi à plat ventre..... Ecarte bien tes jambes.... Encore plus..... Laisse les pendre de chaque coté du lit.... Oui comme ça.... Garde la position, j'adore voir ton cul tout blanc
offert.....
Il s'est couché lourdement sur moi, son bassin collé contre mes fesses et surtout sa queue plaquée dans ma raie. Il a mis beaucoup de salive entre
mes fesses.
- Je vais bien te préparer le trou....
Ses doigts dégoulinant de salive me massaient lentement l'anus, sans chercher à entrer. Je sentais mes chairs répondre et s'ouvrir
lentement....
- T'as la rondelle bien souple..... Je me demande quel effet ça te fait d'être enculé.... Tu vas voir, tu vas en redemander.
FLASH BACK 15 ANS APRES : J'étais maintenant devant les trois baraques. Là encore, rien
n'avait changé. Ils avaient dû les repeindre récemment car tout semblait neuf et propre. Comme il y a quinze ans, devant les portes closes, des jeunes jouent au ballon en criant. Ils semblent
surpris de voir un touriste en costard sur cette plage pratiquement déserte en cette saison.
J'avais aussi entendu les mêmes cris de joie quand j'étais couché sur le lit de camp, fesses enduites de salive....
Le gland mouillé de Mourad s'est collé contre ma rondelle encore irritée par la séance de la veille. Mes fesses se sont refermées autour de la hampe
épaisse et chaude. Ma voix m'a semblé terriblement soumise.
- Non s'il te plaît.... J'ai encore mal... S'il te plaît arrête....
- Je vais être gentil avec toi..... Fais ce que je te dis et tu verras, tu ne sentiras rien, que du plaisir..... Tends ton cul.... Vas-y, soulève
le.... Pousse comme si tu voulais chier..... Vas-y pousse.... Comme pour faire caca.... Fais ce que je te dis sinon tu vas la sentir passer!....
Au ton qu'il avait, j'ai compris qu'il n'abandonnerait pas. Alors, j'ai fait ce qu'il me conseillait, me cambrant au maximum. Je tremblais en lui
obéissant. Je lui tendais mon cul comme une pute... Il m'a fermement agrippé par les épaules. J'ai poussé du mieux que je pouvais en sentant la pression du gland contre mon trou. J'avais peur et
j'avais honte. Les jeunes jouaient toujours au foot. La pression a augmenté contre mes sphincters contractés.
- Vas-y pousse..... Pousse.... Fait caca....
Un seul coup de rein très puissant. Une douleur fulgurante qui me coupe le souffle. Une brutale envie de vomir. Mon anus qui s'ouvre. Mon cri qui se
casse brusquement.
Puis plus rien. A peine une légère brûlure au derrière et le sentiment d'avoir du plomb dans les intestins.
- Tu vois.... Je te l'avais dit.... Ti es empalé jusqu'aux couilles... D'un seul coup.... T'es un vrai enculé maintenant.....
C'était vrai, je sentais parfaitement les poils de son pubis contre mes fesses et ses couilles collées contre les miennes. Il m'avait sodomisé d'un
seul coup de reins. Et sa longue bite bouillante était entièrement plantée dans la profondeur de mon ventre. J'avais l'impression que mes entrailles allaient éclater. J'avais comme envie de
chier pour me débarrasser de cet énorme suppositoire et en même temps il me faisait du bien .
C'est à ce moment précis que j'ai réalisé qu'il avait raison.
J'étais devenu un vrai enculé!
Ce bâton de chair qui venait de se planter du premier coup dans mon anus sonnait la fin de ce que j'avais été jusqu'à présent, et me transformait en
individu hors de la norme.
Dehors, les gamins criaient toujours, pendant que moi, j'avais le cul cassé par une bite d'arabe. Ils avaient certainement entendu mon cri de
douleur. Comme le petit vendeur de maïs, ils avaient dû deviner ce qui se passait dans le bungalow.
Mourad est resté quelques secondes sans bouger, ses mains crispées sur mes épaules et son visage dans mes cheveux défaits. Puis il a levé son torse
en prenant appui sur ses bras tendus. Seul son pubis était collé contre mes fesses.
- Cambre toi bien le français.... Offre moi bien ton cul.... Décontracte toi, sinon tu vas avoir mal...
Il a commencé à me sodomiser très lentement et je serrais les dents en sentant ma rondelle s'ouvrir pour épouser la circonférence de son
membre-l'anaconda- qui coulissait dans mon intimité lubrifiée de salive ; cette sensation est proche de la défécation, ça sort, mais ça entre aussi. Un délice envoûtant et
vertigineux.
- Tu vois, Damien comme ton cul s'est bien ouvert.... Maintenant je vais bien te niquer.... Tu vas en redemander poufiasse...C'était tout ce qu'il
savait me dire. Rien de méprisant en fait.
Mêlant douleur et plaisir, la soumission a duré longtemps. J'avais les chairs à vif, les intestins chamboulés, le ventre distendu. La hampe forait
mes reins. Le gland ouvrait mon conduit et l'élargissait, la douleur ne me quittait plus. Je serrais les dents laissant échapper de temps en temps des gémissements.
Au bout d'un bon moment, j'avais le cul tellement ouvert qu'il pouvait y faire ce qu'il voulait sans ajouter de salive. Il allait de plus en plus
vite, de plus en plus fort, jusqu'à ce que le lit manque de s'écrouler. Il sortait tout son membre à l'exception de son gland et le replantait de toutes ses forces en mes fesses m'arrachant un
cri à chaque fois que je sentais sa queue reprendre ses droits.
Il me pilonnait le cul sans relâche. Son sexe frottait contre ma rondelle dilatée. De temps en temps, il s'arrêtait pour reprendre son souffle. Il
m'a sodomisé longtemps avant de se vider en moi à grands jets de foutre qui m'ont rempli le cul.
Il ne s'est pas aperçu qu'aux seuls frottements du matelas rugueux contre ma pine, j'avais éjaculé en même temps que lui. J'en ai été le premier
surpris et complètement dérouté.
Quand il s'est retiré, j'ai eu froid aux fesses. Je me souviens très bien de cette sensation de vide. L'impression d'un manque et en même temps -lol- de l'avoir encore en moi.
- Tu vois, maintenant ton cul, il est à la bonne taille.... On va bien te l'ouvrir.... Il faudra faire tout ce qu'on veut..... Sinon, on dira à
Sylvie que tu n'es qu'un pédé.... Allez remets ton froc.... Ne t'essuie pas.... Il faut que tu sentes que ça coule et que tu m'appartiens....
Je me suis levé complètement crevé. Mon cul coulait et mes fesses étaient glissantes. J'ai laborieusement remis mon maillot de bain. J'avais un peu
de mal à marcher. Mal au ventre aussi.
Quand nous sommes sortis de la cabane, les gamins qui jouaient nous ont regardé. Un des mômes a pointé vers moi son majeur tendu vers le ciel, les
autres doigt repliés. J'ai rougi. Ils ont tous rigolé de bon coeur.
Nous avons retrouvé le petit vendeur de maïs. Avant de nous quitter, il a prononcé quelques mots que Mourad m'a traduit.
- Il a dit qu'avec la tache que tu as sur le derrière du maillot tout le monde sur la plage va savoir que tu viens de te faire niquer.
J'ai rougi et me suis sauvé pour me précipiter dans l'eau chaude et salée.
Sylvie et Khaled nous ont retrouvés sur la plage en fin d'après midi. Ils étaient restés absents plus de trois heures. J'étais furieux de cette absence et
meurtri par leur bonne humeur et leur connivence. Je tentais de deviner ce qui avait bien pu se passer entre eux. Sylvie avait les yeux brillants et semblait très heureuse. Elle n'arétait pas de
plaisanter et de rire. On pouvait imputer son comportement sur le compte de l'herbe qui devait encore faire son effet. C'est la seule explication que je voulais lui trouver.
Réservant leurs confidences à plus tard, Mourad et Khaled ne se sont parlé ni en français, ni en arabe. Tout semblait parfaitement normal entre
nous. Nous étions un groupe de quatre amis profitant de cet été tunisien. Ils nous restait encore six semaines de vacances.
Le soir, Sylvie et moi avons fait l'amour et cela a été une séance fantastique. Sylvie s'est totalement donnée. Moi aussi. Nos corps moites dans
cette chaleur lourde se sont déchaînés l'un contre l'autre. Jamais nous n'avions baisé de cette manière.
A quoi ou à qui pensait-elle à ce moment? Je n'arrivais pas à le deviner, mais moi je pensais à cette queue qui m'avait enculé et à ces deux jeunes
arabes qui s'étaient soulagés dans mon corps.
Je me demandais si mon sperme s'était mélangé à celui de Khaled dans l'intimité odorante de ma copine ou si elle l'a sucé aussi bien que je l'avais
fait pour Mourad.
Et sa queue à lui, comment était-elle? Je ne savais même pas à quoi ressemblaient les deux queues qui m'avaient dépucelé le cul. Je ne les avais
jamais réellement vues. Sylvie, s'était-elle laissé sodomiser aussi? Elle me l'avait toujours refusé et même cette nuit, je n'ai pas osé lui demander. Peut être l'aurait-elle accepté?.
QUINZE ANS APRES...Un ballon de cuir tout élimé est venu mourir sur mes
chaussures bien cirées. Un des jeunes joueurs est venu le récupérer. Il respire le bonheur ingénu. Mais j'avais appris à mes dépens, qu'il fallait se méfier de l'ingénuité dans ce pays. Il m'a
juste remercié d'avoir récupéré le ballon et est reparti jouer. J'ai quitté cette plage. Il me reste deux bonnes heures à tuer avant mon rendez-vous.
Je remonte la rue qui mène au centre de la ville. Il y a beaucoup plus de voitures qu'à l'époque. Ca sent l'essence et les épices. Les gens sont
bruyants et pressés. Personne ne fait attention à moi. J'arrive sur la petite place cerclée de cafés. Beaucoup de monde sur les terrasses. Je sais qu'en été, tous les vendredi soirs, il y a une
fantasia.
Nous avions assisté à l'une d'elle. Le spectacle se déroulait à la tombée de la nuit et il y avait un monde fou autour de la petite place avec une
majorité de touristes. Le centre de la place était encerclé de torches qui s'ouvraient pour délimiter un passage au milieu de la rue principale. C'est par là que devaient arriver au grand galop,
les cavaliers. Les torches étaient le seul éclairage de la petite ville et tous les autres quartiers étaient plongés dans le noir.
On entendait des cris et des coups de fusil au loin. Sylvie et moi étions côte à côte. Derrière nous Mourad et Khaled nous racontaient ce qui allait
se passer.
- Regardez, ils vont venir de la rue.
La pression des spectateurs agglutinés contre et autour de nous, m'a séparé de Sylvie et très vite, je ne voyais plus que sa chevelure à cinq mètres
devant moi. Mourad avait réussi à rester à coté d'elle. Khaled lui, était plaqué contre mon dos. Le spectacle allait commencer dans une dizaine de minutes. Il faisait très chaud et nous étions
tous serrés les uns contre les autres.
Pour faire plaisir à Sylvie, j'avais accepté de mettre un large pantalon bouffant de couleur blanche. C'était un vêtement local que Sylvie m'avait
offert. Le tissu était si fin qu'il en devenait transparent si je passais dans la clarté. Je me sentais ridicule dans cet accoutrement et c'est Mourad et Khaled qui se sont joints à Sylvie pour
me convaincre de sortir ainsi vêtu.
Brusquement, sous un tonnerre roulant d'applaudissements et de cris, une douzaine de cavaliers ont déboulé à cheval pour occuper le centre de la
place à grand renfort de coups de feu tirés vers le ciel, et le spectacle a débuté. Nous étions de plus en plus serrés les uns contre les autres, tassés comme des sardines, à tendre le cou pour
voir quelque chose.
Moi, je n'ai rien pu voir, car dès l'arrivée des cavaliers, Khaled m'a saisi par les hanches, et a pressé son bas ventre contre mes
fesses.
J'ai sursauté. Il osait faire cela au milieu de cette foule compacte. Il m'était impossible de me dérober à ses avances. Très inquiet, je ne cessais
de regarder autour de nous. Personne ne semblait faire attention à ce que me faisait Khaled.
Brusquement en tournant la tête à plusieurs reprises, je me suis rendu compte que j'étais le seul touriste au milieu des autochtones. Nous étions
encerclés par des arabes. Aucun touriste en contact direct. Les premiers, étaient pratiquement à trois ou quatre rangs autour de nous. J'étais le seul étranger au milieu d'eux et Khaled me
pressait de plus en plus fort contre son bassin.
Khaled a parlé en arabe à ses deux coreligionnaires les plus proches qui ont rigolé en me jetant un coup d'oeil.
- "Chez nous, il n'y a que les courtisanes qui portent ce genre de pantalon.... Les putes quoi.... Et je leur ai dit que tu en étais une qui n'est
là que pour offrir son cul...."
J'ai violemment rougi. Je ne savais plus ou me mettre. Impossible de me décoller de Khaled qui me tenait fermement contre lui.
Je sentais parfaitement la bosse de son sexe se frotter lentement contre mon cul. J'étais troublé et désemparé. Je voulais partir, mais il n'y avait
aucune échappatoire. Les deux arabes à qui Kalhed avait parlé ont commencé à s'intéresser à ce que faisait Khaled. Ils m'ont regardé d'un drôle d'air, et j'ai baissé les yeux honteux et soumis.
Je n'ai tenté aucun mouvement pour échapper à leurs caresses.
Cela faisait maintenant presque un mois que nous étions dans ce pays et après la séance de la cabane, tout s'était enchaîné sans possibilité
d'échappatoire ni de retour.
Sylvie allait de plus en plus souvent fumer avec Khaled et je devinais parfaitement qu'ils ne se contentaient pas uniquement de fumer. J'avais
maintenant la certitude qu'il y avait quelque chose entre eux, même si Sylvie ne disait rien.
Mourad lui, se dévouait pour me tenir compagnie pendant que Khaled se payait Sylvie et bien sûr, assouvir lui aussi ses envies. Au fil des jours,
ils m'ont appris à me plier à tous leurs désirs et j'étais devenu un mec aussi obéissant qu'une de leur fatmas. Bien que plus jeunes que moi, ils m'avaient soumis à leur volonté
autoritaire.
Au cours des séances, ils me demandaient de plus en plus de choses et j'allais de plus en plus loin dans l'abdication de toute rébellion et la
soumission. C'est pourquoi, je ne me suis pas révolté le soir de la fantasia, quand j'ai sentis que la main de Khaled passait lentement dans mon pantalon et baissait l'arrière de mon slip sous
mes cuisses.
Je me suis retrouvé fesses nues sous mon pantalon bouffant et transparent, en plein centre ville, cerné d'arabes, qui nous cachaient aux éventuels
regards et formaient une barrière infranchissable autour de nous. Et parmi tous ces inconnus, deux au moins pouvaient voir ce que faisait Khaled plaqué contre mon dos avec ses mains dans mon
pantalon de courtisane.
A un moment, Sylvie s'est tournée vers nous pour nous faire de grands signes de la main, bras tendu au dessus de la foule. Mourad lui a répondu
de la même manière pendant que son autre main fouillait ma raie. Il faisait de grands signes à Sylvie pendant que deux de ses doigts sont lentement entrés dans ma raie serrée pour s'enfoncer sans
aucun obstacle dans mon anus.
Rouge de confusion et de honte, j'ai serré les dents et baissé la tête. Le spectacle ne m'intéressait plus. Mon anus moite de sueur s'ouvrait sous
la pression des doigts vrillés dans mon fondement. Il n'y avait plus besoin de salive. Les deux autres arabes ne regardaient plus la fantasia.
Autour de nous la foule criait des encouragements aux cavaliers. Je ne savais plus très bien ce qui se passait, ni où j'étais au juste. Un type
était en train de me mettre deux doigts dans le cul au milieu de dizaines d'autres individus. C'était complètement fou.
Khaled a parlé en arabe à son voisin de droite. Un type bien plus vieux que moi, avec une fine moustache et des lunettes à monture dorée. Malgré la
chaleur il portait un costume de ville avec une chemise blanche et une cravate.
La foule nous pressait les uns contre les autres. La musique lancinante et les coups de feu empêchaient toutes les discussions. Khaled devait me
parler à l'oreille pour que je comprenne:
- J'ai dit à ce type que tu étais une vraie pute avec un trou bien ouvert....
Le type à moustache à regardé dans mon dos. J'ai compris que Khaled lui montrait ce qu'il était en train de me faire.
- Il ne voulait pas me croire quand je lui ai dit que je suis en train de te mettre deux doigts dans le cul.... Je suis sur que tu sens bien mes
doigts dans ton cul et que ça t'excite de te donner en spectacle devant des inconnus hein Damia....
C'est Khaled qui avait décidé de féminiser mon prénom pendant nos ébats. Il avait commencé à le faire environ une dizaine de jours après la séance
du bungalow sur la plage. Mourad avait dû lui raconter ce qui s'était passé, et lui n'était peut être pas encore avec Sylvie. C'était la première fois que nous étions seuls lui et moi. Je ne me
souviens plus ou étaient les deux autres.
- Mourad m'a raconté ce que vous avez fait sur la plage.... Il m'a aussi raconté tout ce que tu acceptes....
J'ai baissé la tête.
- J'ai envie de te niquer pour voir..... Il paraît que tu as fait des sacrés progrès.....
Il ne voulait pas aller dans un des bungalow de la plage. Il voulait mieux connaître ou nous vivions.
- Je veux voir ou vous vivez Sylvie et toi....
Nous y sommes allés. L'appartement qu'on nous avait prêté n'avait rien d'une usine à touristes, trop chère pour notre budget. Il était situé dans un
vieux bâtiment minable, en plein centre ville.
Les chambres étaient disposées sur trois étages, autour d'une cour intérieure, et la nôtre était au second. Dans la journée, il n'y avait personne
car les appartements étaient loués par des gens de la ville qui travaillaient.
Khaled a rapidement visité les lieux. Sans aucun préambule, il a commencé à se déshabiller. Torse nu, il s'est assis sur le lit.
- Alors, c'est sur ce lit que tu la baises ?... T'as raison d'en profiter, c'est un super coup. A mon avis, y-en-a plus pour longtemps. Je suis sûr
qu'il lui en faut plus.
Les mots m'ont fait mal par ce qu'ils sous-entendaient. Pas de doute ils avaient couché ensemble. Lui avait-il dit ce qui c'était passé entre eux et
moi?
Il a levé sa jambe vers moi en pointant sa chaussure devant mon torse. Il portait des sandales noires.
- Approche et enlèves moi les sandales.... Allez vite, ne fais pas semblant de vouloir résister....
Je lui ai obéi. Il avait les pieds poussiéreux. J'ai été surpris de la corne qui recouvrait sa voûte plantaire. Certainement l'habitude d'aller
pieds nus depuis l'enfance, les sports de combats, et un entraînement intensif.
C'est lui qui a ouvert son pantalon. Il portait le même slip noir à maille qui ne cachait rien de sa virilité encore au repos. Complètement
hypnotisé par ses mouvements de félin, je l'ai vu se débarrasser de son dernier vêtement et se recoucher sur le lit.
Pour la première fois, j'ai réellement vu au grand jour son sexe circoncis encore au repos, avec un gland brun et des couilles lourdes plantées au
milieu d'une forêt de poils noirs et très frisés.
Même au repos, son sexe me semblait imposant et en tout cas bien plus conséquent que le mien.
- Alors, c'est sur ce lit que tu baises avec Sylvie?
Il y avait de l'ronie dans sa voix, et en même temps, comme un soupçon de jalousie. Ses muscles jouaient souplement sous sa peau brune. Il
avait un sourire inquiétant.
- Allez au pieu le francaoui.... A poil! Viens me montrer tes progrès....
Tête basse, je suis venu me coucher à plat ventre à ses cotés. C'était cette position de soumission que Mourad me demandait de prendre à chaque
début de séance de baise.
Je suis resté jambes écartées et derrière relevé, attendant que son corps couvre le mien. Mais Khaled en voulait plus.
- Prends la même position qu'une femme..... Sur le dos, cuisses écartées et bien ouvertes....
Je me suis lentement retourné. J'avais une boule dans la gorge. Une envie de pleurer me bloquait la respiration. Je me sentais encore plus humilié
dans cette position, et pourtant, et pourtant, j'ai ouvert mes jambes en les repliant légèrement. Exactement comme une femme qui s'ouvre pour accueillir son mec sur elle.
- Oui comme ça... C'est bien.... Si tu veux pas voir c'est pas grave... Laisse tes yeux fermés.... T'as pas une bien grosse bite.... C'est elle qui
t'a rasé aujourd'hui?..... Réponds.... Il m'a frappé les couilles m'arrachant un cri de douleur.
- Non... Non... Je me rase tout seul...
Il s'est mis à genoux, assis sur ses talons, entre mes jambes repliées et bien écartées. Mais il en voulait encore plus.
- Ecarte tes fesses avec tes mains et montre moi bien ton trou de pédale... Je veux le voir en gros plan.......
J'ai obéi en passant mes mains sous mes fesses. Je me suis mis l'anus à l'air. Je lui exhibais mon cul.
- Il va falloir que tu te rases aussi la raie. Tu as encore des poils autour de ton cul...
J'avais les yeux humides de larmes. Kalhed a saisi sa queue dans sa main droite et s'est rapidement masturbé devant moi en crachant plusieurs fois
dans le creux de sa main. J'ai vu son sexe grandir et s'ériger au dessus de mon ventre.
Quand il a estimé qu'il était prêt, il a lâché son membre tendu devant son ventre plat. Son gland mouillé regardait le ciel. J'étais subjugué par la
taille de son pieu. Je ne comprenais pas comment un engin d'une telle taille avait pu entrer dans mon cul. Cela me semblait presque impossible. J'ai compris pourquoi j'avais eu tellement mal la
première fois.
J'avais maintenant très peur de la suite. Lui, il s'en foutait complètement. Il m'a relevé les jambes pour les passer au dessus de ses
épaules.
- Tiens tes fesses bien ouvertes..... T'as déjà niqué ta copine comme ça? Elles adorent cette position parce qu'elles sont bien offertes et que ça
rentre bien profond.....
Il a pointé son engin devant mon anus dévoilé avant de se coucher sur moi, m'obligeant à relever mes genoux jusqu'aux épaules.
Vu ma position, ma raie s'était complètement ouverte. J'ai lâché mes fesses et son sexe bien mouillé a forcé le passage pour s'enfoncer lentement en
moi.
Jamais je n'avais senti une telle impression. On aurait dit que mon ventre allait éclater. Je me tortillais de douleur et arrêtai
de respirer pendant la pénétration. Mais il était bien plus fort et me bloquait bien.
En réalité, je ne pouvais bouger que mon bas ventre et sans que je le veuille, je lui facilitais la pénétration. Ca demeure un mystère pour moi
comment la douleur est rapidement montée avant de redescendre par palier au fur et à mesure des coups de reins qu'il donnait souplement. J'ai fermé les yeux, visage crispé et souffle haletant. Je
devinais qu'il devait me regarder et savourer sa puissance de mâle.
- En quelques séances t'as le cul qui s'ouvre comme les putes du port.... Dés que je t'ai vu la première fois j'ai dit à Mourad que tu devais être
une sacrée salope....
J'étais stupéfait que sa bite soit entièrement entrée aussi vite. Ce n'était que la cinquième fois que l'on me sodomisait et bien sûr, je n'avais
jamais eu de relations de ce type auparavant. Et pourtant, une bite aussi grosse que la sienne arrivait à entrer assez facilement.
Les profonds mouvements qu'il donnait à son corps faisaient bouger le matelas. Pratiquement couché sur moi, il m'étouffait. J'étais plié en deux,
mes genoux au niveau de mes épaules. Complètement cassé et jambes repliées au maximum.
Jamais un sexe n'avait étét aussi profondément enfoncé dans mon ventre et j'avais l'impression que mes intestins allaient remonter. Je serrais les
dents en gémissant et lui, continuait d'enfoncer son pieu dans mon intimité élargie sans me quitter des yeux pour mieux apprécier le mal et le bien qu'il me faisait.
Il poussait de plus en plus fort. J'étais plié sous lui à la recherche de mon souffle. Quand enfin j'ai senti son bas ventre contre mes couilles,
j'étais à deux doigts de l'évanouissement.
- Ton cul, il est meilleur que celui d'une femelle. Généralement les fatmas n'arrivent pas à la prendre entièrement dans leurs culs....
Il ne m'a pas quitté des yeux tout le temps qu'il m'a limé, et je gémissais comme une femme à chaque coup de boutoir. Son pubis tapait de plus en
plus fort contre mes cuisses.
J'ai serré les jambes autour de sa taille. Cela l'a encore plus excité de me voir gémir et bouger sous lui.
Il s'est brusquement immobilisé pour se vider en moi. Pour la première fois, j'ai senti mon cul se remplir d'un liquide brûlant. Il a joui longtemps
à grands jets avant de s'immobiliser.
Puis, il s'est brutalement retiré. J'ai enfin pu m'allonger sur le lit complètement pantelant. Je me sentais faible et j'avais mal au cul. Mon anus
irrité me brûlait et son sperme sortait lentement de mon trou. J'avais comme la sensation que mon trou restait ouvert et probablement c'était vrai.
- T'es une vrai femelle toi. C'est Damia qu'on va t'appeler. ça te va mieux que Damien....
Il a ajouté que dorénavant c'est comme cela qu'ils m'appelleraient quand on serait seuls car maintenant j'était leur fatma.
- T'es pire que n'importe quelle nymphomane étrangère.
Il est resté à poil pour aller boire un verre d'eau. Son sexe lourd et à moitié tendu ballottait entre ses cuisses viriles. Il avait les jambes
couvertes de poils noirs et bouclés ...
NOTES : ... D'où viennent les faiblesses de Damien ? [ Influençable et imaginatif :"- Allez viens, tu ne vas pas le regretter " " Ils m'avaient dit que les français, ils aiment bien les gros zob des arabes"/ Ami du moindre effort : " - Nous sommes bientôt arrivés. Tu verras Damien, tu vas aimer"/Il ne soupçonne pas le mensonge :"- Il y a deux boutiques. Une pour les hommes et une pour les femmes" Une confusion mentale savamment entretenue par Mourad et Khaled et...la shit : "-Tout est confus dans mon cerveau. Je n'arrive pas à comprendre ce qui nous arrive ni pourquoi cela nous est arrivé à nous".
D'où viennent les blocages de Damien ? [ j'ai voulu les rejoindre. Mais je ne sais pas pourquoi, je ne l'ai pas fait / J'avais beaucoup de mal à parler. (que dire
?) /Mon visage me brûlait. J'avais envie de partir, mais en même temps, je ne pouvais pas bouger./Je me sentais sans force et comme la veille, incapable de lui résister. Je me suis laissé
entraîner/ Il aurait simplement suffi que je me débatte, me batte ou que je crie. Quelqu'un aurait entendu. Serait venu.
Mais cela m'était impossible. Quelque chose me bloquait. Et encore aujourd'hui, je ne sais pas
quoi.] "- je sais aussi que je ne me révolterai pas. J'avais manqué de courage la première fois et les fois
suivantes. Maintenant il était trop tard pour esquiver".
D'où, hein ??? -lol-
commentaires :
Ces souvenirs empreints de nostalgie rappellent "Il était une fois en Amérique" avec Robert de Niro lorsqu'il revoit toute son adolescence...
riant sous l'effet de l'opium
pris à grandes goulées pour retrouver ses souvenirs rêvés et oublier le drame sous le POnt de Brooklin
Derniers Commentaires