Partager l'article ! BISEX -> une sexualité qui, de hasard en hasard, nous a fait vivre une belle vie bisexuelle épanouie.Je souhaite la même à tous les jeunes.: ...
y a t-il quelqu'un qui fixe les limites , qui fige les sexes dans leur rôle étroit et qui ainsi les paralyse comme au musée Grévin. Nous, insensiblement, nous avons saisi notre bonheur chacun, puis à deux puis à trois puis à deux couples...ce vers quoi les nouveaux venus en sexualité devraient tendre en ce 21e siècle
http://www.xstory-fr.com/lire-histoire,aime,8708.html Une histoire érotique vraie écrite par fabrissa publiée le 3 janvier 2012 sur Xstory.fr
[C'est moi Joël]. J'étais jeune encore, à 16 ans les glandes me jouaient des tours, j’avais envie de jouir non plus seul mais avec une autre personne, comme c’est la normalité. J’aurais bien aimé baiser une fille de mon âge. Comment convaincre une fille de 16 ans de se donner comme ça.
En attendant je savais toujours me branler en regardant des revues porno, ce qui, réflexions faites me donnaient toujours envie de baiser ma jeune voisine. Je me souviens encore des mouvements de va et vient que je faisais faire à ma main droite enserrant ma queue bandée. Je me souviens aussi qu’au moment de jouir, je serrais ma main pour que mon sperme ne marque pas mes draps. J’ai encore en tête le plaisir trouble que j’avais quand, en me branlant, des fois je me mettais un doigt dans le cul. Je faisais coulisser mon doigt avec la même cadence que ma main droite.
[Tant de jeunes se taisent sur ce sujet et en font un secret. La chance ce fut, un jour, d’en parler avec mon copain Aimé]. Il avait les mêmes désirs que moi. Sauf que pour lui sa préférée n’étais pas la même : il aurait bien baisé sa cousine Nicole. Il avait bon goût. Il se masturbait comme tous les copains que nous avions. Avec Aimé nous nous racontions nos masturbations. Le résultat est que nous bandions sans le dire et le soir dans nos lits, nous nous masturbions encore plus, jusqu’au jour où….
Jusqu’au jour où devant lui, je sortis ma queue pour lui montrer combien je bandais. J’avais simplement ouvert ma braguette, sortis mon sexe du slip. Devant lui, sans honte je commençais à me branler. Aimé excité certainement par ma démonstration en faisait autant : je voyais une belle bite plus grosse que la mienne. Comme moi sa main entourait sa queue pour se donner du plaisir.
Je ne sais comment m’est venue l’idée de lui prendre la pine dans ma main pour le masturber. Elle me semblait bien meilleure à toucher que la mienne. Il a défait sa ceinture pour faire glisser son pantalon et son slip. J’ai ainsi pu le masturber avec maestria. Je n’ai pas mis longtemps pour voir son sperme jaillir de sa bite. J’ai eu ma récompense quand il a pris ma bite pour me rendre ce que je venais de lui faire. Je me suis mis contre le mur de ma chambre pour être plus à l’aise. Je regardais simplement sa main aller et venir sur ma pine. Mon ventre se creusait quand je sentais arriver l’orgasme.
Ces nouveaux plaisirs nous ont donné envie de recommencer. Régulièrement, soit chez moi, soit chez lui, nous nous déshabillons pour être à l’aise et mieux jouir. Un après midi il a eu l’idée de me demander de lui mettre un doigt dans son anus pendant qu’il se branlait. Je me suis mis derrière lui, je pouvais juste voir sa main autour de sa queue. Je mouillais un doigt comme je faisais pour moi et trouvais sans peine son rectum. Je le faisais aller et venir quand il jouissait.
— Tu m’as bien fait jouir salaud.
— Rends-le-moi.
Je me suis mis devant lui pour qu’il me mette aussi un doigt pendant ma masturbation. Je commençais à peine mes allers et venues. Je serrais bien ma bite dans ma main droite. Je me caressais les couilles de l’autre main, je sentais sa main sur mon cul. Je la sentais entrer pour finalement avoir un autre plaisir que d’habitude. Je lui ai demandé de me branler en même temps. C’était la première fois que mon copain me faisait cette chose désirée.
Bien plus tard, toujours à la recherche du plaisir sans frontière de morale, nous avons été beaucoup plus loin.
Un jour, sachant que la chose était possible nous nous sommes sucés. Quel plaisir que d’avoir une queue dans la bouche et quel plaisir de lécher un gland si doux. J’ai encore en tête quand je l’avais dans ma bouche la quantité énorme de bite que je léchais. Nous attendions l’orgasme de l’autre avec un peu d’appréhension. Pourtant la réception de sperme dans la bouche était finalement agréable. Ce liquide chaud de l’autre dans la bouche nous donnait envie de le déguster avant de l’avaler.
Pénétrer c'est la fonction naturelle de nos bites de garçons. Nous avions l’un et l’autre envie de sentir un corps autour de nos bites. Le cul de l’autre était disponible : nous en avons profité tant et plus .
Nous devions avoir à peu près 17 ans quand nous avons décidé de nous enculer. C’est moi qui le lui proposai : il était d’accord pour me donner son cul, à condition que je le branle. Rien que de savoir que l’allais enculer mon copain me donnait une bite plus dure et plus grosse.
Nous nous sommes mis nus dans ma chambre. Il s’est couché sur mon lit, les fesses bien en avant. Je le voulais en levrette pour le branler. J’ai bien posé ma queue sur sa rosette. J’ai forcé beaucoup pour le sodomiser. Nous avions oublié de mettre une pommade sur ma bite.
Nous sommes allés ensemble choisir ce qu’il fallait à la parapharmacie. Nous sommes ressortis avec du lubrifiant. De retour à la maison, nous étions toujours décidés à continuer notre jeu. Cette fois j’étalai sur ma bite une bonne dose de lubrifiant. Cette fois je pouvais pénétrer dans ce cul offert. J’étais à peine sur son cul quand je l’ai branlé doucement. Son cul suivait les mouvements de ma main. J’ai pu entrer facilement dans ses intestins. J’allais et venais dans son cul bien ouvert : il ne se plaignait pas, au contraire. J’arrêtai même de le branler : c’était plutôt fatiguant pour moi de me pencher pour bien le masturber en même temps que je le baisais -lol-.
Je me régalais de ce nouveau plaisir inconnu d’être dans un cul. Je sentais mon prépuce accompagner mes mouvements. Je sentais que son cul répondait parfaitement à notre plaisir. J’aimais sentir ses fesses contre mon pubis, il passait sa main entre nos corps pour sentir mes poils contre ses fesses.
J’étais étonné de le sentir jouir par des contractions de son anus autour de ma bite, alors que je n’avais pas encore joui.
— Tu m’as bien fait jouir, tout à l’heure c’est moi qui te la mettrai.
— Bien sur. Attendons de bander.
Nous n’avons pas attendu longtemps. Nous bandions tous les deux. J’ai pris sa bite dans ma main pour l’exciter encore plus.
Je me suis mis en levrette, les fesses ouvertes à deux mains. Il a mis le produit utile sur mon cul qu’il caressait avec deux doigts. Il me tardait d’être sodomisé. Fier de mon expérience, jouissant suffisamment de la perspective d'être pénétré, je refusais qu’il me branle. Le passage du sphincter a été le plus difficile. Pourtant je bandais comme un âne. La suite a été bien meilleure. Je le sentais entrer dans mon cul facilement et j’en ressentais un plaisir trouble, inconnu et agréable, plus agréable qu’une masturbation partagée. Plusieurs fois par jour, nous alternions les 69 et les sodomies. Nous améliorions les 69 en entrant au moins deux doigts actifs dans le cul du partenaire. Nous devenions de véritables homos.
Seulement nous rêvions toujours de baiser une fille. Nous l’avons trouvée un soir, sans la chercher : c’était la sœur d’un autre copain. A peine plus jeune que nous, elle venait chez moi pour chercher je ne sais plus quoi. Elle nous surprit pendant que nous nous sucions.
Elle n’est pas partie, elle regardait en faisant des commentaires : une fille que ça ne dérangeait pas qui aimait qu'on s'encule entre garçons
elle regardait...
—Vous êtes des salauds,... et moi ?
— Quoi toi, tu veux qu’on t’encule ?
— Non je veux que vous vous mettiez tous les deux sur moi pour baiser.
C’était notre premier contact avec la gent féminine : elle avait à peine 17 ans, à peine moins que nous. Qu’elle était belle et sexy. Elle savait bien comment faire, en plus elle était plus que dévergondée.
Pour cette première fois, Cathy s’est mis toute nue seule. Nous voyions pour la première fois une fille volontaire pour baiser et jolie plus que sexy. Elle est venue devant nous, ses seins pour nos bouches avides. Nous sentions biens ses tétons bander sous nos lèvres. Elle nous a embrassés sur la bouche, s’est couchée en nous demandant de la branler.
Si nous savions bien branler un homme pour les filles nous ignorions tout. Elle nous l’a vite appris en jouissant plusieurs fois. Elle m’a fait coucher sur le dos, est venue sur moi, a entré ma bite dans son con. Après s’être bien couchée sur moi elle a demandé à Aimé de venir l’enculer. Notre premier orgasme mixte était avec elle qui jouissait toujours.
Cathy est restée notre fille longtemps, même si, souvent, nous nous enculions toujours avec Aimé. Elle participait souvent à notre débauche en se mettant sous celui qui se faisait mettre pour le sucer. Elle se masturbait également.
Maintenant, 10 ans plus tard, nous sommes tous casés. Il nous arrive souvent de nous retrouver avec nos conjoints pour nous amuser à plusieurs. Je sais que ma femme aime quand je suce Aimé ou qu’il m’encule comme je lui fais. Elle se régale de temps en temps avec Cathy pour passer une ou deux heures avec elle.
NOTES / GARCONS AU MUSEE DE CIRE
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