Partager l'article ! je me connais, un coup vite fait ne suffira pas à calmer mes ardeurs.Eithan, mon escort israélien de 7 ans seulement mon cadet...juste pour une nuit ...
bromance d'accord, mais si plausible, si souhaitable...
il a dû en voir de belles, Eithan, soumis aux caprices -raisonnables ou fous- des clients vieux ou jeunes, étrangers ou israéliens ... MAIS IL NE FAUT PAS Y PENSER et vivre l'instant présent.
mais c'est son job, escort. Son site, sa pub :
http://www.cyrillo.biz/histoire/souvenir-tel--aviv.html
Tel-Aviv, je suis là pour un congrès international depuis quatre jours. Les conférences en anglais se succèdent les unes derrière les autres et mes journées paraissent interminables ! Heureusement ce soir c’est finit et je décide de rattraper un peu le temps perdu jusqu’à mon départ pour Paris le lendemain dans l’après-midi.
Les garçons sont beaux à Tel-Aviv ! Il y a beaucoup de jeunes minets très lookés qui fréquentent les lieux branchés très nombreux du centre ville.
Tel-Aviv est une bulle de tolérance au milieu de l’hostilité qui règne dans cette région du monde.
J’aime bien les Israéliens en général. Certains sont vraiment très mignons et me font craquer. Souvent très bruns, ils ont les traits plus fins que
les rebeus, et surtout beaucoup moins de poils. Ils ont aussi et c’est important beaucoup moins honte d’être PD, et de ce fait ils sont plus ouverts à la discussion et aux contacts.
Après ma dernière conférence, je rejoins ma chambre d’hôtel. C’est pratique je n’ai que l’ascenseur à prendre. Je prends une douche rapide, et je m’habille un peu plus décontracté, en jeans et en polo. Il n’est que 18h, j’aurais eu le temps d’aller à la plage mais en fait je suis trop excité, il faut que je me trouve un mec, et si possible qu’il passe la nuit avec moi. Car je me connais, un coup vite fait ne suffira pas à calmer mes ardeurs.
Je n’ai pas de mal à trouver un taxi, il y en a toute une file qui attend devant la réception du Hilton. La chaleur est étouffante, et le simple
passage entre le hall de l’hôtel et la voiture fraîchement climatisée est une épreuve.
Le chauffeur me demande dans un anglais hésitant où je veux aller. En fait, à en croire la madone épinglée sur son tableau de bord, je pense qu’il
est libanais. Je lui réponds en Français. Il me fait en grand sourire et me confirme qu’il est originaire du Liban et qu’il aime beaucoup la France.
C’est plus facile pour moi de lui expliquer que je veux qu’il m’amène là où l’on peut trouver des garçons qui font le trottoir…Car je voudrais en
ramener un à l’hôtel pour la soirée ! Ainsi il pourra faire la course aller retour…et je lui promets un généreux pourboire s’il s’avère qu’il est un bon guide.
Il me conduit à travers les rues de Tel-Aviv. La circulation est très dense, et j’ai l’impression que l’on ne sortira jamais de ce merdier. Nous
arrivons dans un quartier un peu plus populaire, mais pas très loin de celui des hôtels en front de mer.
Il s’arrête devant un immeuble un peu sale. Il me dit que c’est un bordel de garçons. A cette heure là, ils ne sont pas encore dans la rue pour la
plupart. Il m’invite à rentrer pendant qu’il m’attend dans la voiture.
Je pousse la porte vitrée et me retrouve devant une petite réception semblable à celles des hôtels au mois que l’on trouve dans certains quartiers de Paris. Un mec baraqué et plutôt du genre mal aimable me parle en hébreu. Il doit faire office de videur. Je lui réponds en anglais que je cherche un jeune mec pour passer la nuit. Il me lance un regard pervers comme s’il m’imaginait en train de baiser…
Il me demande quel style de mecs j’aime. Je lui dis, environ vingt ans, plutôt mince et peu poilu. Il a l’air peu convaincu et surtout peu empressé
à me répondre. Je lui réponds que les garçons un peu efféminés ne me déplaisent pas. Il esquisse alors un regard encore plus pervers que le premier et me dit qu’il a exactement ce qu’il me
faut.
Sans bouger sa graisse de son siège, il décroche le téléphone et parle quelques secondes en hébreu. Il raccroche et me demande d’attendre quelques
minutes.
Je ne suis pas déçu, un jeune garçon arrive du fond du couloir. Il me fait un grand sourire et me dit d’une voix assez aiguë et un peu efféminée qu’il s’appelle Eitan. Il a de grands yeux marron, un visage d’ange aux traits fins, des cheveux bruns très courts. Il est tout mince, pas très grand.
On se met un peu à l’écart du videur et Eitan commence son numéro de charme car il s’agit de parler affaire. Il pose sa main sur mon épaule de manière affectueuse et me demande ce que je veux. Je lui dis que le veux pour la nuit jusqu’au lendemain 10h. Je lui dis que je ne suis pas un pervers et que je veux simplement que nous fassions l’amour avec tendresse et que j’attends de lui qu’il se comporte comme s’il était mon homme.
Le programme à l’air de lui plaire. Il faut dire qu’à 28 ans, je suis plutôt mignon, et je ne pense pas qu’il est l’habitude de se genre de clients tous les jours. Je lui propose 1000 shekels, le reliquat de mes frais de mission non dépensés. Il accepte sans hésiter. L’argent change de poche. Je me dis que j’aurais pu l’avoir pour moins cher mais il est tellement mignon !
Il retourne chercher un sac à dos avec quelques affaires, prends ma main dans la sienne et m’amène vers la sortie. Nous montons dans le taxi et je remercie le chauffeur en français. Il méritera son pourboire ! Pendant tous les trajets, je discute avec Eitan. Il est très bavard…Il me raconte sa vie…En fait il a 21 ans. Il vient de Jérusalem. Ses parents l’ont mis à la porte quand sa mère l’a découvert au lit avec un autre garçon de son âge en train de se faire sodomiser…Il a rejoint Tel-Aviv, s’est inscrit à la fac, aux beaux arts, et pour payer son loyer et ses études il se prostitue depuis 3 ans. Il est tout fier de me dire qu’il ne s’en sort pas trop mal.
***
Je pose ma main sur sa cuisse et l’embrasse tendrement dans le cou. Nous arrivons à l’hôtel. Je paye la course en triplant le prix. Et j’emmène Eitan avec moi jusque dans ma chambre. Bon je n’ai pas fait de programme, mais là moindre des politesses, quand on a un nouveau jouet c’est de lui faire honneur. Alors à peine la porte refermée, je me jette sur Eitan ! Je le prends par la taille et lui roule une pelle langoureuse. Je glisse les mains dans les poches de son jeans pour caresser ses deux jolies fesses…Je sens son érection contre la mienne à travers nos pantalons.
J’abandonne sa bouche le temps de lui retirer son tee-shirt noir moulant. Il est mince mais joliment musclé sec et sans un poil. Je me baisse pour prendre un de ses tétons en bouche et le mordiller. Je m’enivre de l’odeur de son eau de toilettes. Elle me rappelle une histoire passée. Je m’assois sur le bord du lit. Il me fait face torse nu toujours débout. Il plonge son regard dans le mien. Je brûle d’aller plus loin mais je savoure ses quelques secondes de tension sexuelle entre nous…Tout en continuant à le regarder je dégrafe un à un les boutons de son jeans. Je découvre son boxer noir moulant et son beau paquet…Je colle mon nez dessus et je lèche le tissu au niveau de sa queue.
Je libère finalement sa queue. Circoncise, le gland bien dessiné, un bon 17 cm, pas trop épaisse. Tout ce que j’aime. Je le prends en bouche sans attendre. Il gémit…J’aime ce moment où je suce pour la première fois un garçon et que me langue découvre son membre. Je joue avec ses boules, je les lèche par moment. Sa bitte me caresse le visage. Il sent le jeune mâle…il m’excite !
Il passe sa main dans mes cheveux pendant que je le suce. Je sens ses doigts fins qui me caressent la nuque. Au bout d’un moment, il me fait signe, qu’il veut que l’on inverse les rôles. C’est vrai que j’ai tendance à ne pas voir le temps passer quand j’ai une si jolie bitte en bouche. Il s’assoit à son tour sur le lit. Je me lève et j’en profite pour me déshabiller. Je ne garde que mon slip pour lui laisser le plaisir de me le retirer, mais je bande tellement que ma queue en sort déjà. Il m’embrasse aussi longuement le ventre avant de me libérer de mon slip. Il joue avec ma queue, apparemment il n’a pas trop l’habitude d’en voir des non circoncises et ça l’amuse. Il libère enfin la tension en la prenant dans sa bouche et en me la suçant bien à fond comme j’aime. Comme moi il est assez goinfre. Il ne se fait pas prier.
Je l’arrête au bout de quelques minutes car il est en train de trop m’exciter et je n’ai pas envie de tout lui cracher en bouche tout de suite. Il termine de se déshabiller, se couche sur le dos, et je viens m’allonger sur lui. Nous nous embrassons avec passion, pendant que je tortille mon bassin pour frotter ma queue humide de salive sur la sienne. J’adore ce genre de frottements et je peux comme ça jouir très vite si j’insiste un peu. Je quitte à nouveau sa bouche pour l’embrasser un peu partout, le torse, le ventre, je redescends sur les cuisses. Je lui caresse ses jolis pieds qui m’excitent bien aussi. Finalement je reprends un peu sa queue en bouche…
Au bout d’un moment je lui fais signe de se mettre sur le côté en écartant un peu les jambes. Je découvre sa rondelle sans poils et je commence à lui lécher le cul. J’aime trop sentir ma langue lui fouiller la raie des fesses. Il semble qu’il apprécie également beaucoup ce traitement. Je caresse ses couilles et sa queue en même temps que je glisse ma langue le plus profond possible dans son intimité…Je crois qu’il n’en peut plus d’ailleurs il n’arrête pas de me demander de la lui mettre… J’enfile un préservatif, je m’allonge sur le côté le long de son dos, et je fais glisser mon gland le long de sa raie des fesses humide.
Il prend les choses en main, me prend la bite et se la fait glisser directement dans le cul. C’est trop bon ! J’attends un peu qu’il s’habitue puis je commence à m’agiter entre ses fesses. Je passe mes bras autour de sa taille pour le serrer encore plus contre moi. Je l’embrasse dans le cou, m’occupe un peu de sa queue de temps à autre, tout en continuant à le pénétrer avec douceur avec des vas et viens de grandes amplitudes.
Heureusement que j’ai le préservatif qui atténue un peu les sensations sinon je crois que je n’aurais pas tenu bien longtemps… Je le fais changer de position. Il se met sur le dos, lève les jambes et se laisse pénétrer de fasse. J’aime bien cette position qui me permet de l’embrasser régulièrement et surtout de le regarder pendant que je le baise. Il glisse une main sous ses fesses pour me caresser les couilles et sentir ma queue glisser dans son cul…De mon côté j’entreprends de lui lécher les pieds. Je passe ma langue entre ses orteils…Ca m’excite trop !
Je suis au bord, je ne vais plus tenir longtemps à ce rythme là. Je crache dans ma main et je lui lubrifie la queue. J’entreprends de la branler énergiquement alors que je m’agite encore davantage entre ses reins. Lui aussi est au bord et je le sens venir. Il pousse un petit gémissement et éjacule sur son torse et sur mes doigts qui glissent le long de sa queue. Quelques secondes après je sors de son cul, arrache le préservatif, et jouis plusieurs salves de sperme sur son ventre sans même avoir besoin de me toucher…Je m’allonge sur lui pour l’embrasser. Nos spermes se mélangent…il me glisse à l’oreille qu’il m’aime !
***
L’air frais qui sort de la bouche du climatiseur ma caresse l’échine et me fait sortir de ma torpeur. Je me lève et je vais nous chercher une
serviette dans la salle de bain, pour effacer les traces de nos ébats qui s’étalent sur nos torses et nos ventres.
Il est 20h et je propose que nous allions nous rincer dans la piscine de l’hôtel avant d’aller dîner. Je prête un maillot de bain à Eitan et nous
descendons à la Piscine. La vue sur la mer avec le couché de soleil est magnifique.
Eitan fait le pitre et plonge dans la piscine presque vide à l’heure du dîner. Je prends le temps de le regarde nager. Il a vraiment un beau
corps…je plonge à mon tour et viens nager à ses côtés. Il me dit qu’il adore l’eau et qu’il va se baigner dans la Méditerranée dès qu’il peut.
Moins entraîné que lui, je m’arrête après quelques longueurs et m’assied sur le rebord pour le regarder nager le papillon à merveille.
Deux anglais se tiennent sur des transats en face de moi. Je les avais déjà repérés en train de me regarder au bar de l’hôtel la veille. Ils sont PD et en couple apparemment. Je surprends leurs regards concupiscents sur mon bel étalon. Ca m’énerve, il est à moi ! En plus hier au bar c’est moi qu’il matait et aujourd’hui je suis transparent…
Je fais un signe à Eitan alors qu’il arrive au bout de sa longueur. Il vient me rejoindre en brasse et s’assoit à côté de moi. L’eau ruisselle sur son corps. Ses cheveux mouillés sont follement sexy. Je le prends dans mes bras, tant pis pour la discrétion, et je lui roule une pelle d’enfer. A l’issue de quoi, je jette un regard méprisant aux deux anglais qui n’ont bien sûr rien loupé de la scène. Je retourne à l’eau avec mon nouveau chéri où nous nous lançons dans une joute aquatique tels deux adolescents. Nos corps glissent l’un contre l’autre. J’arrive enfin à la maîtriser et je scelle ma victoire par un baiser appuyé. Il glisse sa main dans mon maillot de bain pour en sortir ma queue bandée et la tripoter dans l’eau. L’eau rend la caresse très voluptueuse et je m’abandonne à cette étreinte pendant quelques instants.
Un groupe de jeunes gens vient d’arriver au bord de l’eau et nous sommes contraints de stopper nos jeux par trop voyants. Nous remontons à la chambre pour nous doucher et nous habiller. Je passe une de mes chemises propres à Eitan et nous descendons au restaurant pour un dîner romantique aux chandelles arrosé de Champagne français.
Nous passons un moment très agréable. L’anglais d’Eitan est assez simple à comprendre et je ne me lasse pas de l’écouter parler. Il évite soigneusement tous les sujets tournants autour de son activité professionnelle, et fait tout pour me laisser penser qu’il est le petit ami parfait. Il me parle de ses amis, des boîtes de Tel-Aviv où il va danser jusqu’au bout de la nuit, de ses études et de ce qu’il voudrait faire plus tard. Aucun élément ne vient me laisser penser que je suis avec un escort. Tout observateur extérieur serait convaincu qu’Eitan est mon nouveau boyfriend.
Nous remontons à la chambre vers Minuit. Eitan est un peu pompette et encore plus drôle qu’au début de la soirée. A peine entrée dans la chambre, nous recommençons à sauter l’un sur l’autre ! Mais cette fois-ci nous y mettons un peu plus de cérémonie et un peu moins d’empressement. Je m’attarde davantage sur sa bouche…je prends le temps de dégrafer sa chemise et de caresser son torse imberbe…Je le déshabille avec lenteur, pendant que je m’effeuille de concert. Il se laisse faire, il a déjà compris comment je fonctionnais. C’est moi qui règle le rythme des ébats avec mon partenaire, c’est comme ça que je fonctionne, l’expression de la domination qui m’apporte tant de plaisir !
Il est complètement nu maintenant, allongé sur le dos. Il bande et je ne résiste pas…Je le prends en bouche. Il frisonne. Je joue avec son gland, fait courir ma langue sur ses couilles, sur la hampe de sa queue…puis je la prends entièrement dans ma bouche, j’aspire, je lèche…je ne sais plus ou donner de la tête.
Je m’interromps pour aller l’embrasser. Je suis à califourchon sur lui. Je remue le bassin pour frotter sa queue mouillée de salive contre ma raie des fesses. J’ai envie qu’il me prenne. Je récupère un préservatif sur la table de nuit et d’une main experte lui déroule sur la bite. Dès l’opération terminée je la prends et la fait glisser avec un peu de gel dans mon intimité. Quel bonheur de le sentir en moi.
Je l’embrasse pendant qu’il remue sa queue et commence à me ramoner avec envie. Il s’empare de ma bite bandée et me branle. Plusieurs fois je suis obligé de retirer sa main pour ne pas jouir. Je change de position pour me sentir plus chienne, je me mets à quatre pattes sur le lit et il vient me prendre par derrière. Je sens bien sa bite glisser entre mes fesses, ses mains qui me caressent le dos et les fesses et qui viennent jouer de temps à autre avec mes couilles ou ma queue. Je m’abandonne complètement à ses caresses et je décharge trois grandes giclées de spermes sur le couvre lit.
Je me retourne. Il se met à genoux devant moi, je lui retire le préservatif et je le suce et le branle en même temps pour le faire venir à son tour. Il décharge son sperme au fond de ma gorge. Je m’empresse de l’avaler avec beaucoup d’envie. Je n’en perds pas une goûte. Nous nous embrassons à genoux tous les deux sur le lit face à face. Sa queue encore à moitié bandée se frotte sur la mienne.
Après une douche rapide et câline, mais sans sexe, nous allons au lit un peu crevé. Eitan s’endort dans mes bras très vite. Je ne tarde pas à
l’accompagner dans le sommeil.
***
Je suis réveillé par un rayon de soleil qui passe entre les doubles rideaux mal fermés. L’espace d’un instant je ne sais plus trop où je suis…puis mon cerveau redémarre et je retrouve peu à peu mes esprits. Je sens la chaleur du corps d’Eitan allongé tout contre mon dos. Son érection sur l’arrière de ma cuisse ravive aussitôt mes pulsions sexuelles. Mais à écouter sa respiration, je crois bien qu’il dort encore comme un bébé.
Je me retourne très lentement pour ne pas le réveiller. Je le regarder dormir. Il est vraiment mignon. Le drap est descendu jusqu’en haut de ses cuisses et je peux admirer la courbe de son dos, sa jolie peau doré par le soleil, ses fesses fermes et musclés. En regardant son corps parfait, je me dis que j’aimerais bien me réveiller tous les matins avec lui à mes côtés. Je me dis que la vie serait plus agréable si je la partageais avec lui, si je passais toutes mes soirées à rire, à discuter et à faire l’amour avec lui comme nous l’avons fait hier soir. Je crois que je suis en train de tomber amoureux moi...
Il est presque 9 h et je n’ai plus qu’une heure pour profiter d’Eitan… En plus mon érection commence à devenir douloureuse. Le matin, c’est là que je suis le plus en forme alors je compte bien en profiter.
Eitan est allongé sur le dos. Je l’embrasse délicatement sur la nuque puis sur le haut du dos. Quand j’arrive dans le creux de ses reins. Il frisonne. Il se réveille enfin. J’ai l’impression que lui non plus ne sait pas trop où il est car il commence à me parler en hébreu. J’adore cette langue et dans sa bouche elle a encore plus de charme mais je ne la comprends absolument pas. Il tourne la tête pour me regarder et me fait un grand sourire et il poursuit en anglais en s’excusant. Je lui dis qu’il ne faut pas et que j’ai trouvé cela plutôt mignon.
Il me dit qu’il veut que je lui fasse l’amour, qu’il aime se laisser faire quand il est à moitié endormi. Ca tombe bien car c’est bien ce que j’étais décidé à faire. Je me mets à cheval sur son fessier et je commence à lui masser le dos et les épaules. Il ronronne comme un petit chat. Je poursuis mon massage en descendant doucement mais sûrement vers ses fesses ou je m’attarde un bon moment.
Je reprends mes baisers sur le bas de son dos et je fais glisser ma langue vers sa raie. Son cul m’excite trop et je commence à le lui bouffer comme un sauvage. Ma queue bandée à fond s’écrase sur son mollet. Je lèche autant que je peux. Je pose mes mains sur ses fesses pour les écarter un maximum et donner libre accès à ma langue qui s’insinue autant qu’elle peut dans son intimité. Quand il a le cul bien lubrifié par ma salive, j’y glisse un doigt. Je le sens bien ouvert et prêt à recevoir ma bite.
Je récupère un préservatif sur le chevet. Je déchire l’emballage avec les dents et me le déroule sur la queue. Je m’allonge complètement sur Eitan. Je prends ses deux mains dans les miennes, mes doigts glissent entre les siens. Je frotte ma queue entre ses fesses humides. Il se cambre un peu pour faciliter la pénétration…et sans les mains il arrive à avaler mon gland dans son cul déjà bien ouvert. Je pousse un gémissement de plaisir. Je savoure ce moment ou j’entre dans son intimité. Je commence alors à m’agiter en lui tout en l’embrassant et en lui mordillant la nuque.
J’aime bien cette position que je trouve particulièrement fusionnelle car tout mon corps repose sur le sien, mon ventre sur son dos, mes couilles contre ses fesses, mes cuisses sur les siennes, jusqu’à ses pieds qui caressent les miens. Je glisse une main entre son ventre et le lit pour attraper sa queue que je branle comme je peux. Je lui lèche le lobe de l’oreille, il adore ça. Je lui glisse un « ani ohev otakh » (je t’aime en hébreu). Il ronronne et me répond en anglais que lui aussi.
Nous changeons de positions. Je m’allonge sur le dos et il vient s’empaler sur moi. J’aime beaucoup cette position, même si elle me stimule moins la queue, je peux le regarder, l’embrasser, et surtout elle laisse mes deux mains libres pour jouer avec son corps. Je les laisse se balader sur son torse, son ventre, ses cuisses, ses pieds. J’attrape ses petites mains fines dans les miennes. Par moment je le branle, je lui caresse les couilles ou les fesses.
J’arrive à le faire jouir dans un moment de pur bonheur. Ma main s’active sur sa queue, ma queue s’active dans son cul et nos deux langues se mélangent dans nos bouches. Son sperme chaud coule sur ma main puis mon ventre. Il se redresse, je lèche mes doigts. Il glisse ma queue hors de son cul, me retire le préservatif pour me finir en me suçant et en me branlant en même temps. Je jouis abondamment dans sa bouche. Il n’en perd pas une goutte.
Il vient se blottir au creux de mes bras. Je le serre fort contre moi. Je l’embrasse tendrement. L’heure approche et je sais que je dois bientôt lui rendre sa liberté. C’est un moment de déchirement qui s’annonce, je suis si bien avec lui. Alors plutôt que de contenir cette tristesse en moi, je m’épanche et je lui dis tout ce que je ressens pour lui. Je lui dis que j’aimerais bien qu’il soit mon homme. Je lui dis que j’aimerais bien vivre avec lui, que j’aimerais bien m’occuper de lui, que j’aimerais bien lui faire l’amour s’en avoir besoin d’enfiler ces foutus préservatifs…Je lui dis que nous n’avons que 7 ans d’écart et que ce n’est pas tant que ça. Je lui dis que je ne suis sans doute pas le premier et qu’il doit me trouver bien naïf mais que je lui propose une autre vie avec moi en France, un nouveau départ.
Au moment où il s’apprête à répondre un peu embarrassé, je mets ma main tendrement sur sa bouche et je lui dis que je n’ai pas besoin de sa réponse maintenant. Je lui dis que je prends l’avion pour Paris à 18h. Je lui dis que si ma proposition l’intéresse il peut me retrouver à l’enregistrement des bagages vers 16h. J’arrête de parler, j’ai dis tout ce que j’avais sur le cœur. Il m’embrasse et me redit qu’il m’aime.
Il file dans la salle de bain pour prendre sa douche. Il s’habille devant moi sans parler. Je sens que je l’ai troublé, que dans sa tête ça tourne à plein régime. Cela gâche à un peu notre séparation, et nos derniers moments ensemble, mais au moins, pas de regret, j’aurais vidé mon cœur, j’aurais essayé ! Je ne referais plus les erreurs du passés : cacher des sentiments amoureux c’est la pire des conneries. Il ne faut pas avoir peur du ridicule et toujours avouer ses sentiments même très tôt dans une relation. Car s’ils sont partagés mais qu’aucun n’ose se déclarer on peut passer à côté d’une histoire formidable !
Sur le pas de la porte de la chambre, Eitan revient vers moi. Il va dire quelque chose, mais il se ravise. Il me donne un dernier baiser et me dit d’une voix désespérée qu’il m’aime. Je lis de la détresse dans son regard. Je n’ai plus la force de répondre. Il quitte la chambre. Je prends ma tête entre mes mains et je pleure pendant quelques minutes. Je file prendre une douche froide pour me ressaisir.
***
Après le petit déjeuner, je vais piquer une tête dans la Méditerranée pour me laver un peu l’esprit. Mais il n’y a rien à faire, maintenant j’ai Eitan dans la peau et chaque seconde je pense à lui. Dès que je croise un mec de son gabarit sur la plage, je me figure que c’est lui, je me fais des films. La journée se passe bizarrement. Je suis dans un monde irréel, encore à moitié dans le rêve, pas complètement dans la réalité.
Vers 15h je prends le taxi pour l’aéroport. Je suis angoissé. Plus l’heure approche, plus je stresse. Bien sûr je ne crois pas qu’Eitan viendra. Mais au fond de moi-même brûle une petite flamme d’espoir. Peut être qu’il viendra quand même !
J’attends devant le comptoir d’enregistrement d’Air France. Les 16h arrivent enfin ! Pas d’Eitan. Je me mets dans la queue pour faire enregistrer ma valise et récupérer ma carte d’embarquement. Je commence à digérer mon échec. Puis arrive mon tour. L’hôtesse me demande si je voyage seul. Je pose ma valise sur la balance quand j’entends soudain crier mon prénom et Eitan qui approche en criant alors qu’il tire un gros sac de voyage noir. Il me saute au cou et m’embrasse devant tout le monde.
FIN
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